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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRAnonymous
La brunette s'en était allée le taquinant gentillement au passage, son humour mordant avait de quoi attiré les foudres de l'Enfer mais cela ne le dérangé nullement enfin pour l'instant. Il reprit une bouffée de son tabac suivi de près de sa bière qu'il déglutit avec avidité. D'un revers de manche, Kobal s'essuie la bouche, lèvres gerçées un peu saignante par endroit. Il regarda les courbes généreuses de la brunette, cheveux soyeux, et son air rebelle le fit doucement rigolé. Les femmes avaient bien changées, vouloir etre égal à un homme, pff foutaise, une femme restera une femme dans toute sa spendeur et de surcroit soumise à l'Homme.

Kobal traversa à nouveau la salle, s'accoudant au comptoir afin d'y déposer son verre vide.

"Gentille Demoiselle voudriez vous m'apporter un verre d'absinthe, je vous en serais infiniment reconnaissant..."

Rire à peine voilé, il sortit de ses poches les écus attendus puis les déposa sur le bar.

"Voilà ma belle, je vous paie la mixture comme un honnete client que je suis.."

Rexanne
A peine était elle réinstallée au bar qu’il rappliquait, lui collant au train, il pouvait décidemment plus se passer d’elle une minute le bonhomme ou quoi ? Un sourire espiègle, il s’accoude au comptoir, et il lui avait même ramené la chope vide, un peu de savoir vivre finalement le gredin. Elle s’en empare et la chope va rejoindre quelques verres dans la bassine d’eau prévue pour la vaisselle sous le bar.

Gentille Demoiselle, voudriez vous m'apporter un verre d'absinthe, je vous en serais infiniment reconnaissant.

Elle rit amusée, le ton était poli cette fois, caressant, obséquieux, mielleux presque même bien qu’il fut plus qu’évident que le tout était faux, son rire tout juste contenu le prouvait d’ailleurs assez bien. Pourtant il entrait dans son jeu l’ours mal léché, qu’est ce qu’il ne ferait pas pour avoir sa dose d’alcool ! Après cette bière déjà ses mains se faisaient un peu moins tremblantes bien qu’encore frémissantes….


– Infiniment reconnaissant dites vous ? Je ne voudrais manquer ça pour rien au monde alors ! C’est long l’infini savez-vous ?!

Elle lui coule un regard narquois sous ses cils charbonneux et lui prépare un nouveau verre généreusement dosé, l’absinthe était à la mode ce soir… Pendant ce temps il avait extrait de ses poches de nouveaux écus pour régler cette deuxième consommation, les lâchant cette fois pas comme une envolée de moineaux mais les déposa en petit tas propret devant elle. Elle en prend note en souriant, en progrès… La jeune serveuse pose son verre devant lui sans se départir de son sourire et ramasse le petit tas de pièce qui vont aussitôt grossir le pécule de la soirée derrière le comptoire.
---fromFRDemetria.
Elles vont s'entendre ... Espérons. La rouquine écoute son ainée. Vagues réactions. Oui, cela se monnaye. Etonnée ? Pas tellement. Vu comme elle a du batailler pour garder ce.. comment dit-elle ? cette fleur encore en bouton...

Haussement léger des épaules à la peau fine quand la Succube lui cause des paysannes. Elle a appris à les fréquenter, se faire passer pour l'une d'entre elles. Pour la seconde possibilité, Demetria baisse un peu le regard. Pas question ici de timidité. Souvenirs plutot. Enfance, adolescence... Le vert se voile légèrement, puis la jeune fille se reprend.

La presque enfant, à la peau diaphane et aux mains encore douces, se tourne vers la Succube. Oui, autant la monnayer et en parler franchement. Pas du genre à s'encombrer de faux semblants.


Il est d'usage que ce soit la pucelle qui fixe elle-même un prix en dessous duquel on ne doit pas descendre et que la meilleure partie du gain lui soit destiné

Premier air de panique. Enfin, panique, c'est un bien grand mot. Mais là, pour une fois, elle va demander conseil. Ne sait pas quels sont les prix. Profite de sa réflexion pour surveiller de nouveau. Le cracheur se promène. Sourire s'esquisse. Rexane semble s'amuser. Boucles folles tournent et volent, regarde la propriétaire du lieu.

Que dis tu de ma proposition ?

J'en dis qu'elle me plait. Je n'en espérais pas moins.
Peut être un peu plus : conseils que vous saurez surement m'accorder.
Quelles sont les conditions, les règles ?
Que je sache à quoi m'en tenir.


Doux sourire pour contraster propos un peu secs. Réserve le ton mielleux à ceux qu'elle ne respecte pas, ou à peine. Ici, elle se sent bien, pas de raison de louvoyer.
{chloe_la_douce}
Elle observe l'homme à la dérobée.
Curieux personnage que voilà.
Intrigant et dérangeant.
L'apparence joue contre lui, et il ne fait rien pour la changer.
Pire, il semble prendre un malin plaisir à se rendre encore plus désagréable.

Visage buriné par le temps, les yeux délavés de ceux qui en ont trop vu.
Encore une fois, elle s'interroge.
Cet homme a du être un jeune homme probablement agréable à une époque pas si lointaine, et le voilà à présent échoué à la cour.

Et la môme dans le coin ?
Prête à tout pour un toit et un repas chaud.
Quelle sera sa vie qu'elle ne fait que commencer ?
Finira-t-elle comme la Succube, reyne incontestée de la nuit des Miracles ?
Finira-t-elle besognée brutalement par un ivrogne décati appuyée contre un mur ?

Etrange lieu que la cour où les destins se croisent, se créent ou se détruisent, où les gens se trouvent ou se perdent sans espoir de revenir.

Elle écoute d'une oreille distraite la conversation.
Femme d'expérience et femme en devenir. Elles ont visiblement trouvé un terrain d'accord.
Satisfaction de Chloé. Elle ne s'est pas trompée en faisant entrer la môme.

Elle termine son verre et le repose, appréciant la brûlure de l'alcool qui la réveille et la tire de sa torpeur.
La nuit commence à se faire vieille.
Dehors les premières lueurs de l'aube doivent être visibles à présent.
Les filles vont bientôt redescendre et les amants d'une nuit repartir.

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---fromFRDaimones
[A la cave]

Vomi des entrailles de la Cour, Daimones respirait enfin un air non vicié... et même très différebt de la dernière fois qu'il avait quitté cette cave pour s'enfoncer dans les souterrains s'étirant sous la cour des miracles, à partir d'un mur à moitié défoncé qui heureusement n'avait pas été reconstruit.... il faisait noir... pourtant il sentait que les lieux étaient.... saints... les tonneaux devaient être pleins, des bouteilles devaient être soigneusement rangées.... et cette odeur.... des jambons pendaient... la porte de la cave était close, mais un minuscule royon de lumière pâle filtrait par dessus la porte, et, habitué qu'il avait été à vivre dans l'obscurité pendant ces longues semaines, Daimones pouvait distinguer les formes qui pendaient au dessus de lui....

Il bondit, s'accrocha à un jambon..... l'instant d'une seconde, crut qu'il allaiut resté suspendu comme ça à se balancer, mais la ficelle qui le fixait cassa et il tomba en poussant un grognement de bête sauvage... il donna quelques coups de pioches pour faire sauter des morceaux de jambon secs qu'il commença à dévorer.... s'arrêtant juste je temps de saisir à taton une bouteille dont il brisa le goulot avant de s'y abreuver goulument....

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Lyhra
Tu dois me faire confiance, s’il est une règle c’est celle-ci.

Appréciant la franche simplicité de la réponse et l’aveu de son ignorance sur ces choses, la Succube prit le parti de conter sa propre expérience, chose qu’elle n’avait jamais faite, mais avant une mise au point s’imposait.

Il y a toutes sortes d’hommes Démétria mais principalement deux espèces d’amants. Celui qui ignorera tout de ton plaisir et n’ira quérir que le sien tout au fond de ton ventre, son seul mérite à celui-là est la rapidité de ses assauts… il faut le faire payer à la mesure de l’ennui qu’il procure.

Le second bien au contraire aura à cœur de te mignoter et de te caresser tant et plus afin que le plaisir soit fort et commun. C’est là que tu dois me faire confiance, je ferai le meilleur choix pour toi. Il sera expérimenté et amant délicat.
Donner de la confiture aux cochons n’est pas dans mes habitudes.

Ceci dit. Elle pu enfin passer à la question proprement dite de cette vente toute spéciale.

Chaque établissement ou chaque « accordeur » comme on les nomme parfois, a ses pratiques. Je vais te dire ce qu’il en fut pour moi.
Un silence, pour rassembler quelques souvenirs, puis …

C’était un homme dont la réputation n’était plus à faire en ce domaine et qui était fort recherché et très cher payé pour ses bons offices. Quand il me remarqua je n’avais que douze ans. Il laissa alors passer une année pleine afin que mon corps perde les angles aigus de l’enfance et s’arrondisse. Il fut pleinement satisfait et décida d’une date. Durant les deux semaines qui courraient avant le jour prévu, il me fit voir des femmes qui m’apprirent les sensations que l’on peut éprouver aux attouchements, me montrèrent certains gestes, pas tous bien sur, qui s’occupèrent de ma peau, de mes cheveux, de mes ongles.
A l’issu de ce temps j’étais parfaite selon lui, sinon prête.

Puis arriva la nuit choisie. Cela se passa dans l’opulente demeure d’un homme riche dont je ne sut jamais le nom. Il y avait de nombreux hommes, des femmes aussi, pour leur compte ou celui d’un commanditaire, je n’en savais rien. On me prépara minutieusement et l’on me fit paraître devant l’assemblée, je devais évoluer parmi tout ces gens, peu vêtue mais cachant l’essentiel, afin de les charmer et de provoquer leur désir. On me fit boire afin de faire que je reste détendue et souriante, légèrement rougissante.
Les offres se griffonnaient sur de petits morceaux de parchemins remis à l’accordeur.
C’était un balai incessant de serviteurs portant réponses et nouvelles propositions.

Elle sourit à ce souvenir, n’en ayant finalement gardé que la meilleure part et ne regrettant en rien le chemin parcouru depuis.

J’avais fixé la somme à deux mille écus. C’était une petite fortune pour la fillette que j’étais. Pourtant ma famille était loin de la pauvreté.
Très loin même. Ajouta t’elle intérieurement.

Les enchères montèrent à vingt cinq mille écus, puis trente mille et enfin c’est pour quarante deux mille écus qu’on vendit cette nuit là mon sang de vierge. J’étais effarée par un tel magot. Il m’en est revenu trente mille.

Elle n'en voulu rien dire de plus.
C’est ainsi qu’elle escomptait procéder, tout simplement aux enchères, ici même à la Rose Pourpre bien sur.


Il te faut juste donner un prix et ne pas t’occuper du reste.
Cela pourrait se faire d’ici une quinzaine, le temps pour moi de faire circuler la nouvelle dans les oreilles adéquates.
Entre temps, les femmes de la Rose s’occuperont de toi.

Et puis… Bella te préparera un onguent pour détendre tes chairs intimes et ainsi diminuer la douleur, elle te donnera également de quoi te préserver… il ne faudrait pas que la première floraison portât un fruit…

Elle se tut enfin après si long récit et attendit la réponse de la jeune fille.
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---fromFRAnonymous
Nérée venait de quitter Batiste, son amant d'un soir, qui avait été au combien merveilleux et attentif à ses désirs. Il avait su la combler, comme elle avait su aussi le faire, tous deux en parfaite harmonie. La nuit était encore profonde et en traversant le couloir menant à l'escalier on pouvait deviner quelques murmures, parfois de rires..Nérée descendit donc l'escalier qui la menerait jusqu'à la grande salle, lieu de rendez vous pour les clients affamés de chair fraiche. Elle replace une méche qui était sur son front, visage encore rosé de sa nuit, quand soudain, son regard parcourant la salle tombe sur ....Lui!! Un profond soupir sortit entre ses dents : "Encore Lui, toujours Lui.."

La salle était quasi vide, les clients venus en debut de soirée etaient montés à l'étage, il ne restait que la Patronne, Rexane, Chloé et puis une jeune fille ..nouvelle recrue peut etre? Elle n'en saurait rien ce soir en tout cas. Nérée s'approcha du bar et demanda à Rexane si elle pouvait avoir un verre. Son regard s'était vidé de tout enthousiasme depuis qu'elle avait croisé...Kobal!!
---fromFRDemetria.
Demetria écoute tranquillement la Succube. Plutôt que de lui expliquer bille en tête, la tenancière prend son propre exemple.L'œil pétille et le sourire pointe chez la elle, et la jeunette écoute attentivement. Ne refuse jamais un conseil, et l'expérience d'une femme qui a réussi à monter son propre bordel ne peut que l'intéresser.

L'oreille se tend, donc, et la tête une fois posée dans une paume ouverte, les boucles rousses tombent le long du visage, soulignant des traits fins. Parfois un léger hochement de tête, d'autres fois une pupille qui se dilate un peu.

La Succube se tait, plongeant son regard perçant dans le sien. Demetria doit ouvrir la bouche et répondre. Sourit.


Vous faire confiance ...
Je pense qu'elle vous est déjà acquise.
Du moins celle que je peux accorder.


N'a pas oublié la belle qu'à trop faire confiance on s'y perd... Elle croit, elle admire, elle laisse faire, mais jusqu'à un certain point. Et ce n'est pas dû à la patronne, c'est encore pire avec beaucoup d'autres.

Votre façon de voir les choses me convient.
Un seul point: je vous laisse juge de la somme.
Je ne saurais accorder de valeur chiffrée à ma virginité.
Et je vous fais confiance pour qu'elle me rapporte.


Dernière bouchée, froide, repousse l'assiette loin d'elle. Sourire à l'intendante. Regard reconnaissant du ventre rassasié. Retour sur la Succube.

Affaire conclue ? Je travaillerai donc pour vous ?
Vous me présenterez Bella? Qui doit être une de celles qui sont montées...
A moins que ce ne soit la jeune femme qui redescend ?
---fromFRAnonymous
Kobal avachi sur son tabouret à lorgner son verre, tourna instinctivement la tete et que voit il ?? La jolie Nérée, la sauvageonne, l'insoumise qui descendait les escaliers et venait les rejoindre dans la salle. Elle prit place puis commanda quelque chose à la brunette, Kobal allait saisir l'occasion:

"Permettez moi de vous offrir ce verre délicieuse jeune femme..Cela faisait un bout de temps que l'on ne sait point vu, n'est il pas vrai? " Sourire jusqu'aux oreilles. Son regard translucide parcourent les formes généreuses de Nérée s'arrétant ici et là ou le vetement était plus échancré que de coutume. Il en bavait tellement elle était...superbement provoquante.

Kobal descend de son trone puis va à sa rencontre

"Je souhaiterais vous parler en privé jeune demoiselle et je pense que ce que j'ai à vous dire va changer de tout au tout sur ma personne"

Kobal lui prend le bras , cette fois ci, délicatement et l'emmène jusqu'à la cheminée. Il fouille à nouveaux ses poches et en retire sa pipe qu'il allume aussi sec. Maintenant que Nérée est là, tout peut commençer...

Il s'approche de Nérée puis lui murmure à l'oreille afin que personne ne puise entendre ces dires:

"Un voyage dans le passé, cela te dis...Moi, je n'ai pas oublié.."

Et il laisse sa phrase en suspend, Nérée écarquille ses yeux et en reste bouche bée, ...Faut croire que le passé la poursuit!!
{chloe_la_douce}
L'affaire semble conclue entre la gamine et la Succube.
Toujours au bar, Choé profite du calme quand Nérée redescend.
Joues rosies, et un petit rien de rêve au fond des yeux.
Visiblement sa soirée ne l'a pas laissée froide.

Elle lui sourit alors qu'elle prend place au bar, mais l'accalmie est de courte durée.
Le buveur de fée verte intervient rapidement et l'entraine.

L'intendante en alerte, interroge du regard ses compagnes dans la pièce.
Tendue, elle observe.

L'homme a des gestes rudes, et visiblement il est très émoustillé par la belle brunette, mais toutefois, il se contient... pour le moment.

Se rasseyant sur son siège, elle ne les quitte pas du regard.
Debout devant la cheminée, ils semblent échanger des murmures et confidences comme le ferait 2 vieux amis, seulement elle sait que les apparences peuvent être trompeuse.

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---fromFRAnonymous
[ Dans la rue en face de la Rose Pourpre ]


V'là un bon moment déjà que Jess avait quitté la Cour pour régler quelques affaires personnelles dans les quartiers chiques de Paris. Cela faisait également un certain temps qu'il n'avait pas eu de nouvelle de Wilow qui était censé venir faire un petit quelques chose pour Jess à la Rose Pourpre.

L'esprit plus douteux que jamais, le jeunot avait vite rejoint les ruelles de la Cour des Miracles pour finalement se rendre dans le Quartier Pourpre qu'il trouvait bien vide par une heure si tardive.

Marchand le long des grandes battisses, Jess ne faisait pas attention aux quelques passants qu'il croisait. L'avantage dans cette rue était que la plupart des personnes qui s'y aventuraient n'étaient pas à la recherche de combat sanglant ou autres idées plus tordues les une que les autres.

« Arf ! Enfin j'y suis ! »

Marmonnait-il, ayant arrêté sa course folle et regardant de l'autre coté de la rue l'immense qui battisse qui répondait au nom de la Rose Pourpre.
Jess s'empressa donc de traverser la petite rue avant de venir coller son visage à l'une des fenêtres du bâtiment. Les deux mains posées sur les vitres déjà salles, Jess observait les personnes qui se trouvaient à l'intérieur.

Peut de monde s'y trouvait, quelques clients à peine, une jeune femme au comptoir et... quelques objets de valeurs qui attirèrent l'attention du jeune brigand. En revanche, pas un seul signe de Wilow sans doute cette femme avait décidée de doubler le jeune Jess qui lui avait confié une tache des plus importantes.

« Quelle malchance, j'vais encore devoir me débrouiller tout seul »

Soufflant un bon coup pour évacuer le peut de colère qui montait déjà en lui, Jess se poussa sur le coté et vint s'adosser contre le mur juste à coté de la porte d'entrée de la battisse.

* Il faut que je trouve un moyen d'entrer pour dérober quelque chose à forte valeure que je pourrait ensuite revendre à un plus offrant. *

Pensa t-il tout en passant l'une de ses mains dans ses cheveux...
---fromFRwilow
Willow arriva à hauteur de La Rose Pourpre.
Elle ralenti son allure, il etait là, l'air exaspéré, anxieux, il ne la voyait pas, tout à sa pensée.

Ainsi il s'etait trompé, il l'attendait ici. Il devait surement penser qu'elle l'avait doublé, Il ne la connaissait pas, c'etait normal, on etait à la Cours des Miracles!

Elle s'approcha enfin, sans bruit, se planta à coté de lui, attendant qu'il tourne la tête, la boite dans la paume de sa main ouverte devant elle.

Salut!
---fromFRAnonymous
Le voila redecendant les escaliers apres sa nuit d'amour sans fin dans les bras de Nérée, moment de bohneur et d'harmonie entre les deux amants. L'aube commencer a apparaitre et bientot il partirait mais avant juste un dernier verre en agréable compagnie avant le retour.

Son regard se glisse ansla salle et il peut voir Nérée en compagnie de l'homme qu'il avait vu plus tot, il les observa quelque instant mais il ne voulait poas agir ici car il ne connaisait pasla situtation même si il savait que Nérée se e sentait pas à l'aise avec lui.

Le voila au bar ou il s'assoit pour commander de la boisson apres une nuit d'extase.


Mademoiselle auriez vous l'obligence de me donnez de quoi me refraichir. La nuit fut epuisante et je croit qu'elle m'a fatigué.

Petit sourire en coin à l'intention de son interlocutrice en déposant quelque piécesur le bar.
---fromFRAnonymous
[i]Nérée avait pensé que Kobal l'oublierait un moment trop occupé qu'il était à discuter avec Rexane mais il n'en était rien. Il lui proposa un verre puis à peine le temps d'être servi que l'homme l'amena près de la cheminée. Le regard de Kobal avait quelque chose de changer, sa façon d'être, ces paroles , tout cela sonnait faux à ses oreilles. Il prend la pose, étudie le terrain, observe sa proie et tourne autour. Les vapeurs de son tabac l'encercle, elle respire difficilement, Nérée a le coeur qui bat la chamade. Soudain, les mots fusent, elle n'a rien vu venir et en reste bouche bée, essayant de comprendre ..Elle articule avec difficulté:

"Voyage dans le Passé..."

Elle déglutit puis se redresse, Non, elle ne lui laissera pas le plaisir de la destabilisé.

"Je doute que nous ayons quelque chose en commun et mon passé ne vous regarde en rien et le votre, ne m'intéresse nullement alors cessez votre petit jeu ridicule ..Je ne suis pas là pour discuter sauf si vous sortez quelques écus alors là c'est une toute autre affaire. Pour le reste restons en là"

Le regard de Nérée se veut plus dur que de coutume et sans aucune crainte, elle plonge son regard dans celui de Kobal...Son esprit s'évade, remonte en arrière, loin...Elle n'a rien oublié mais elle ne le laissera pas détruire ce qu'elle mit tant de temps à construire, cela serait trop injuste mais Kobal, elle le sait, s'en moque. Elle le revoit en souvenir, ses traits étaient plus régulier, son sourire très différent de maintenant, Tout en lui s'était modifié et pourtant...Nérée ne l'avait pas oublié ce démon du passé!
---fromFRMulot...
La portière le laissa passer, ce qu'il fit non sans avoir au préalable jeté un regard de défi au serpent qui le lorgnait du haut de l'épaule de sa maîtresse.

Mulot passa le rideau masquant l'entrée, et se retrouva dans une vaste pièce meublée avec soin, dans laquelle discutaient quelques hommes accompagnés de femmes aux tenues affriolantes.

Le gamin sentit ses joues s'empourprer, il détourna son regard qui tomba sur la Succube, en grande conversation avec une très jeune et jolie fille.

Il s'approcha un peu mais prit soin de laisser deux bons mètres entre le bar et lui pour ne pas être trop remarqué et pour éviter de déranger la Rousse.

Sûr que ce qu'il avait à lui dire était important, mais il ne voulait pas paraître impoli dans un lieu si beau et si propre. Patient, il s'intéressa soudainement à la pointe de ses souliers troués, qui laissaient apparaître ses chaussettes.

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