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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRAnonymous
Kobal sourit, sa victime ne voulait rien entendre mais ce n'était que partie remise ....

"Peut être as tu raison, discuter ici peut présenter quelques risques et je n'ai aucune envie de murmurer davantage alors soit! mais je te préviens demain, dès l'aube arranges toi pour me rejoindre au bord de la seine, je t'y attendrais et nous pourrons ainsi régler l'affaire !! Ne me fais pas faut bond .. " Son regard balaya la salle et s'arréta momentanément sur un jeune garçon:

"Fichtre, ce bambin est partout, le connais tu Toi qui désormais passe ta vie ici?"

Il attendit une réponse de Nérée qui n'avait pas l'air de lui donnait satisfaction. Peu lui importe car ce soir, il ne voulait chercher querelle à personne juste user et abuser des charmes de la catin. Il s'avança vers elle, d'une main qui se voulait moins ferme que de coutume, il se mit à retracer les contours du visage de Nérée, visage délicat et doré, sa peau pareille à du velours et ses yeux ..Ah des yeux magnifiques, qui prévoyait un voyage sans retour une fois que vous y plongiez...La main se mit à trembler, non par le manque d'alcool mais par cette émotion soudaine qui prend l' homme tout à coup sans crier gare et qui vous assaille de toute part. Sa main voyage sur le visage de Nérée puis lentement descend le long de son coup, et atteint le creu des seins, deux globes rond et ferme à peine dissimulés sous le vétement fin couleur fushia.


Kobal touche sans ménagement, se repet de cette chair si tendre, ses yeux ainsi que ses mains soulignent, mémorisent, marquent chaque courbe, chaque ligne, ...

" Nérée, Tu m'as refusé une fois ta couche ..ce qui m'a d'ailleurs mis hors de moi mais maintenant, tu es seule et je suis là alors passons aux choses plus sérieuses et loues moi tes charmes pour cette fin de soirée, je meurs d'envie de te combler.." à cela s'ajuste le geste, il sort une bourse bien remplit puis la place dans la main de Nérée, le refermant fermement.

Le visage de Kobal à ses mots s'était soudain figé, plus blanc que de coutume seuls ses yeux pouvaient laisser entrevoir qu'il avait une idée bien précise sur la suite à donner....


"Nous voilà liés pour cette nuit ma jolie, ta joie fait plaisir à voir...Alors, qu'en dis tu Mon pacte te convient une nuit avec un démon comme moi ne te fais pas peur n'est il pas vrai .." Kobal jubile, tout se déroule comme prévu..
Lyhra
Non celle-ci est Nérée, vois l’ombre sous ses yeux … sourit elle.
Affaire conclue Démétria. Te voici donc de cette maison. Tu n’auras à le regretter je te l’assure.

Bella est encore en haut.
Si tu le souhaites Chloé qui est notre intendante, la désignant, d’un petit mouvement de main, peut te mener à une chambre et te mettre au fait des us de l’établissement, ensuite tu pourras t’y reposer, l’aube n’est pas si loin. Pour demain, nous aviserons. Tu aménageras cette chambre à ta guise et tu verras toutes les femmes de la Rose.

Cinq mille écus semblaient un bon début. Oui. C’est à ce chiffre que l’innocence de la jeune fille serait mise à prix. Nul doute que celui ci flamberait avec quelques bons acquéreurs.

Bienvenue. Son sourire était sincère autant que la douceur de sa voix. On peut être femme d’affaires et de pouvoir et n’en être pas moins chaleureuse et bienveillante.
Ou sèche et impitoyable selon les circonstances. Elle s’excusa auprès de Démétria et avança auprès de Nérée justement dont la voix semblait distiller quelque colère.


Un problème Messire ? Lorgnant sur la bourse que tenait Nérée elle ne fit un geste mais toisa l’homme, celui là même venu plus tôt dans la soirée et repartit d’une façon plutôt cavalière.
Voyez au carreau, un éclat violet allait s’éclaircissant, l’aube est proche, nous allons fermer Messire, il n’est plus temps de penser à la bagatelle mais à un repos bien mérité. Mais revenez donc un autre soir…

Regardant Nérée, elle semblait lui intimer de ne point la contrarier. Il fallait qu’elles aient une petite conversation au sujet de cet homme car la Rousse percevait plus qu’une simple discussion anodine entre eux. Il fallait donc qu’elle sache de quoi il retournait avant de le laisser prendre ici ses aises.

Je vous engage à partir Messire. A cet instant elle aperçu Mulot planté dans la grande salle près du bar et fronça les sourcils. Ce n’était pas un endroit pour lui, comment Basilic avait elle pu lui permettre d’entrer jusqu’ici ? Il aurait du attendre dans les cuisines.
Elle fit signe à Basilic postée près des tentures et montra Kobal puis la porte, se faisant bien comprendre sur la signification de sa demande : il devait sortir.


Basilic va vous reconduire et vous remettre vos affaires.

A une prochaine fois Messire.

Elle s’inclina légèrement, un mince sourire aux lèvres et se dirigea derechef vers le jeune garçon.
Rexane ! Un verre de quelque chose pour le Seigneur des Campagnols s’il te plait.
Alors jeune homme, quoi de neuf chuchota t’elle ?
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---fromFRAnonymous
Nérée n'avait guère de plaisir à parler avec Kobal, trop arrogant et dont la voix mielleuse ne dissimulait que peu la cruauté. Mais, il fallait passé outre et c'est à grands efforts qu'elle prit la parole. Ses lèvres tremblèrent légèrement, le souffle lui manquait ..

"Messire, je ne puis accepter votre offre dut moins pour ce soir alors reprenez votre bourse et mettez là en lieu sur..Pour ce qui est de "notre affaire" je crains de ne pas vous suivre...vous devez vous trompez de personne..On ne sait jamais vu..." A ce moment ci, il lui prit la main pour lui remettre son sac d'écus et ses doigts entrèrent en contact avec ceux de Kobal,

"M'entendez vous, on ne sait JAMAIS vu...."

Elle se doutait que Kobal ne serait pas d'accord et qu'il allait son nul doute employer la violence pour obtenir ce qui lui sembler de droit mais hélàs pour lui, la Succube avait choisi ce moment pour faire son apparition. Elle regarda la bourse remplit d'écus puis Nérée mais apparement cela ne semblait être le sujet de sa venue. Un regard sur le vitrail pour signifier que le jour allait se lever et gratifier Kobal de sortir, un signe de tête à Basilic et le tour était joué, rien à redire!!

Nérée était soulagée de remettre à plus tard sa nuit avec ce visiteur mais allait il vraiment la laissait tranquille?
---fromFRAnonymous
La rouquine été venu "participer" à leur conversation mais dommage pour elle, Kobal avait déjà dit l'essentiel à Nérée. La Succube lui notifia qu'il était fort tard pour commencer une quelconque étreinte avec la jeune femme et qu'il fallait de ce pas partir ...Kobal ne dit rien sur le coup et pendant qu'elle lui tourna le dos pour se diriger vers le bambin il l'interpella:

"La Rouquine a des heures de fermeture?? Mais je ne me trompe pas c'est bien un bordel ici " Kobal écarquille ses yeux démesurément faisant de grands gestes éloquents " je ne me trompe pas, c'est bien de cela qu'il s'agit alors quoi!! J'ai de l'argent, puis cette fille " Il montre Nérée "Est ce trop demandez, elle est payée au nombre de clients sans aucun doute et vous lui enlevez sa chance de se faire un peu de pécule, mais franchement ou va t on??"


"Si je ne puis l'avoir ici alors laissez la sortir, nous serons revenu avant que la cloche n'est sonnée midi.." Kobal transpirait de rage, le mettre dehors Lui, et de surcroit par une femelle, Foi de Kobal les choses n'en resteraient pas là.
---fromFRCarpenter
Dans la ruelle.

Soudain, tout se met à tourner autour de lui. Non loin, les pas précipités de son agresseur résonnent un instant sur le pavé, puis s’atténuent et s’éteignent …

Il titube … Ses jambes l’abandonnent … Son esprit capitule …

Ses bras battent l’air, cherchant en vain à se raccrocher au mur, ou à ces volets clos, là, derrière lui. Mais il s’affaisse dans la ruelle, lentement, les mains plaquées contre son ventre.

L’obscurité recouvre aussitôt son corps. Un liquide poisseux s’infiltre entre ses doigts, là où la lame a déchiré sa chair et fouillé ses entrailles.

Atroce douleur ! Ne pas s’endormir ! Lutter ! Survivre !

Il faut bouger … se lever … crier !

Impossible, sa grande carcasse ne répond pas à ses sollicitations. Et aucun râle de désespoir ne peut franchir ses lèvres exsangues.

La ruelle semble déserte. Là-bas, une lueur pourtant … Une rose écarlate … couleur du sang inondant ses mains. Mais trop éloignée, hélas !

Et il attend, immobile ... Voguant entre douleur et inconscience. Entre résignation et vigilance.

Quelqu’un, par pitié, réussit-il à murmurer. Je ne veux pas crever ici …

Mais seul le silence lui répond !

Rexanne
Déjà la jolie Nérée était redescendue, se faisant rapidement alpaguer par le bonhomme étrange avec lequel Rexy parlait quelques minutes plus tôt. Le lascar ne semblait pas décidé à la lâcher, il s’était mis en tête de l’avoir et le faire lâcher prise n’était pas chose aisée… La Succube vint bientôt l’éconduire, ne pas obtenir ce qu’il désire, une fois de plus, n’a pas l’air de lui plaire et le bougre tente de négocier… Mais la brunette ne perçoit pas leurs paroles de derrière son bar, surtout qu’un client désire à boire et requiert son attention… Le jeune client de Nérée, souriant et l’air satisfait le jeune homme est redescendu un peu après sa belle de la nuit mais n’a pas l’air décidé a terminer sa nuit si vite…

Mademoiselle auriez vous l'obligeance de me donner de quoi me rafraîchir. La nuit fut épuisante et je crois qu'elle m'a fatigué.

D’un sourire amusé elle répond au sourire en coin du client qui dépose déjà des piécettes sur le bar. Elle aurait pu ne rien dire et s’en saisir bien sur mais ce n’était pas son genre de se faire payer deux fois la consommation et celle-ci avait déjà été réglée… En empoignant une chope et commençant à la remplir d’ambre fraîche et mousseuse elle en informa le client de Nérée, repoussant de sa main libre les quelques pièces vers lui.


- Reprenez votre monnaie messire, un client généreux a payé une tournée générale un peu plus tôt, pendant que vous étiez .. euh.. à l’étage en compagnie de Nérée. Je vous sers une bière puisque c’est la nécessité de vous rafraîchir que vous avez mise en avant, c’est la boisson qui me parait la plus appropriée.

Un sourire enjôleur aux lèvres pour Baptiste tandis qu’elle posait la chopine devant lui sur le comptoir mais du coin de l’œil elle surveille le Kobal, un signe de violence de sa part et elle interviendrait, aucune violence ne serait tolérée en ces lieux et surtout pas envers ses consoeurs et amies… La patronne le congédiait avant de prêter attention au petit blondinet, le petit coursier auquel elle confiait parfois quelques menues missions…

Rexane ! Un verre de quelque chose pour le Seigneur des Campagnols s’il te plait.

Un sourire et un signe de tête pour signifier à la maquerelle qu’elle l’avait bien entendue et la jeune serveuse prit un verre propre avant de se demander ce qu’elle allait bien pouvoir mettre dedans… aucune des boissons qu’elle possédait derrière le bar ne semblait indiquée pour un si jeune homme…Apres un instant de réflexion elle fila en cuisine en espérant trouver un peu de lait et des fruits pour l’agrémenter. L’idéal serait des fraises mais en cette saison fallait pas rêver !

Le bon Baba s’afférait en cuisine et moult odeurs plus alléchantes les unes que les autres emplissaient la cuisine, de quoi lui mettre l’estomac dans les talons ! Mais elle n’était pas venue pour ça, quelques mots échangés avec le maître de la cuisine et elle obtint le verre de lait désiré ainsi qu’un coulis de framboise dans un petit pot recouvert de paraffine… plus qu’elle n’en aurait espéré ! Un peu de coulis dans le verre pour aromatisé le laitage et remua le tout avec une longue cuiller avant de l’apporter en salle au petit Mulot, avec un bon sourire pour ce gamin débrouillard. Une petite douceur ne lui ferait pas de mal a ce gamin des rues…
---fromFRBasilic
Elle avait ouï son nom et il fallait, de ce pas, amener quelqu'un à la porte. Un grand plaisir pour Basilic.

C'était l'homme qui se cachait le visage à son entrée. On lui avait dit de ne pas le laisser rentrer à nouveau et elle avait failli.

C'est donc avec un grand plaisir qu'elle allait se rattraper. Sous les ordres de la succube, il fallait le faire. La journée commençait à se lever et les filles devaient tomber de fatigue.

Elle laissa pour la première fois la porte fermée derrière elle et avança en direction de Kobal. Sfsik avait senti qu'il fallait faire quelque chose et il se glissa le long de son torse pour remonter dans son cou. La bouche grande ouverte de son serpent accompagna les paroles qu'elle prononçait.


Nous avons eu une longue nuit
et je crois qu'il faut qu'elle se termine;
Les filles doivent se reposer si vous voulez
profiter pleinement de leurs capacités.
Revenez la nuit prochaine,
et vous saurez apprécier
de vos mains leurs courbes pleines
jusqu'à ce que vous soyez rassasié.


Elle lui montra la porte et attendit qu'il la devance. Le boa sifflait mais Basilic n'y pretait pas attention. Elle attendait que kobal fasse un pas.
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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
---fromFRAnonymous
Nérée regarda la scène sans y prendre partie, Kobal semblait hors de lui et le notifia à l'assemblée. Sa décision était sans appel, il voulait resté et profité de cette fin de journée en sa compagnie. Heureusement, Basilic ne tarda pas à faire son apparition et lui parla en terme plus que courtois, l'établissement allait fermé ses portes et tout le monde sans exception devait sortir. Kobal avait viré à l'écarlate, ne se controlant plus. Jusqu'à présent, il s'était montré "sérieux" mais là s'en était trop pour lui, un deuxième refus s'en était assez, d'habitude, les gens lui obéissait au doigts et à l'oeil. L'atmosphère était tendue, on aurait entendu une mouche volait si le lieu s'y prétait.

Nérée s'avança vers Kobal

"Messire, n'abusez pas de notre hospitalité et veuillez sortir, voyez autour de vous, le lieu est désormais désert..Je vous promet qu'à votre retour nous passerons une nuit ensemble et qu'elle vous sera mémorable mais pour l'instant, il faut que je me repose la soirée a été longue et nous ne sommes que des Humains, le repos s'impose à nous, faites ce qu'on vous dit Messire et ne nous en tenez pas rigueur"

A ces mots elle s'approche de lui et l'embrassa aussi tendrement que possible, l'effort avait été immense mais elle le fit pensant que ce geste allait calmer momentanément les ardeurs de ce Kobal.

"Je vais vous accompagnez jusqu'à la porte Mon Ami et nous nous reverrons bientot promis!"

Elle sentait que ses jambes allaient faillir, la fatigue accumulée et de surcroit la présence de ce Kobal avait eu raison d'elle mais elle tenta de n'en rien laisser paraitre. Souriante presque aimante dans ces gestes, ce Kobal la suivrait sans faire de tapage de moins le croyait elle..
---fromFRDaimones
[A la cave]

Il avait bu ainsi quatre bouteilles prises au hasard dans la semi obscurité... dévoré le quart du jambon désormais déchiqueté et quasi complètement inconsommable...

Il cracha...

ET se dirigea vers la portre de la cave semi courbé... le souffle rauque.. l'ouvrit en grand et cria


AAAAAAAAAaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh


La lumière lui avait perforé les globes oculaires et n'avait pas pu retenir ce cri de bête blessé... ce cri de rage....c'est en aveugle qu'il avança en titubant et poussa les portes, panneaux ou tentures qui séparaient les cuisines du salon principal....

[Salon Principal]

Il sentaiy la présence de nomvreuses personnes... de douces odeurs d'encens et de parfums, les verres qui teintaient, des voix suaves, d'autres plus graves, voire grasses.... du temps avait passé... tout était encore en chantier lorsqu'il était parti, et voici que la maison semblait petre renée de ses cendres.....

Mais... et ses esclaves ??? Où étaient-ils ??? Il entendait les sons mais ne distinguait que des formes... il rugit à nouveau


RRrhhhhh Sssuuuccccube !!!

Il était proprement terrifiant... très différent du fou peint en bleu qui était parti dans les souterrains.


Ses robes étaient déchirées, toutes tachées et puantes de boue, de terre et de sang... ce mélange encore humide et collant recouvrai ses bras, ses jambes... il avait de nombreuses plaies aux jambes et aux avant bras... des morsures de rats... au visage des griffires multiples... les chauves souris....
Complètement émacié, son regard était toujours aussi fou... étrangement plus encore alors qu'il n'avait pas pu consommer ses drogues habituelles dans les souterrains....

Sous le noir et le sang séché, on voyait parfois encore des traces de bleu...sur son visage surtout...

Il se tenait mi courbé... pensant d'un pied sur l'autre, en position d'attente....prédateur.... son regard parcourait la pièce en tous sens, à moitié aveugle.... sa main droite était crispée sur sa pioche sanguinolente dont la lame gardait collée sur elle des fragments de rats et de jambons.... sa main gauche plaquait convulsivement le coffret de fer qu'il avait trouvé en bas....

Il sentit un déplacement d'air...la pioche siffla et fracassa un quelque chose qui semblait être en verre....

Il tourna à présent sur lui même et appelant....


Succcube.... succcube...qu'as tu fait...mais qu'as tu fait...
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---fromFRDemetria.
Affaire est entendue. Demetria fait un franc sourire à La Succube.
Cette dernière lui désigne d'ailleurs Chloé, qui aurait une chambre pour elle.
Une chambre... doux plaisir d'une couche sous son dos. Voilà plusieurs semaines qu'elle n'a pas eu sa chambre.
Quelques paillasses dans les quelques auberges minables qu'elle a pu se payer.
Un regret ? Non, aucun. Elle sent qu'elle va être bien ici.

Doucement, esquissant un léger baillement, Dem se lève et avance doucement vers l'intendante.
Sourire furitf au passage à la portière.
En profite pour détailler, encore, la salle du regard.
Curieux, fouineur, le vert se pose partout.
Oui, elle sera bien ici.

Après quelques pas, la gamine arrive vers Chloé, lui sourit, pas de timidité dans cette approche, pas le genre de la maison.
Elle s'assied près de la demoiselle.


La Succube m'a dit que vous auriez une chambre pour moi...

Sursaut. Voile de panique qui passe devant les yeux de Demetria.
Instinctivement, elle se rapproche de Chloé. L'interroge du regard.
Mais qu'est ce ? Une créature venue droit de l'enfer débarque au milieu du salon.
Ralant, piochant, l'homme, ou ce qu'il en reste, avance dans la pièce.
La belle le fixe. Lui ne semble rien voir, sa tête dodeline et ses pas sont hésitants, l'emmenant à droite comme à gauche.
Il appelle, il hurle. Les boucles rousses virevoltent. La Succube. Serait ce elle la cause de cette douleur ?

Retour sur lui. Cette pioche. Elle l'effraie. Mais ce qu'il pourrait en faire encore plus.
Il cherche, avec elle, comme avec une canne. Presque malgré elle, Dem voudrait l'aider.
Attirée par le mal, attirée par la folie, elle envisage d'aller le guider.
Mais reste à distance. Non qu'il la dégoute. Mais elle pense qu'il aura peur d'elle.
Ou qu'il la considèrera comme une ennemie au mieux. Vert fixé sur la pioche.
Voudrait pas se la prendre dans le ventre alors qu'elle vient de trouver un chez elle.
---fromFRAnonymous
Triste perspective que de partir même si la demande était si joliement formée. Kobal allait de nouveau éclater de rage quand soudain, Nérée s'avança à lui et entreprit de l'embrasser. Son baiser était doux, sensuel et Kobal ne savait pas résister à cette invitation alors comme de coutume, il l'a prit à son tour s'accaparant ses lèvres. Sa langue caressa doucement les contours délicats avant de s'introduire dans son palais. Découvrant son orifice buccale, sa langue devint plus taquine et s'approcha de la langue
de Nérée avant de l'emprisonner.

Il sentit que Nérée en avait assez mais il s'en moquait bien tant que son plaisir à Lui était là, il continuerait aussi longtemps qu'il le voudrait.

Son étreinte devenait de plus en plus ferme, ses bras entourant les hanches de la jolie catin, formes généreuses que Mère Nature lui avait offert en cadeau. Kobal n'en était pas insensible alors lui qui n'avait aucune manière n'allait pas se géner pour satisfaire un caprice passager.

Ses doigts descendirent vers les fesses de Nérée qui se voulaient ferme et bien proportionnée , moment délicieux que cette caresse sur un bout de charme tel que celui ci où bien des fantasmes traversés sa tête. Moment délicieux que de la sentir entre ses bras, son corps collait à lui, cette poitrine qui se soulevait sans cesse ..Ah le Paradis!

Kobal fut soudainement projetté, dur retour à la réalité sans aucun doute ...Derrière lui, une espèce de monstre ideux avait fait son apparition dans la grande salle et hurlait ..Voix rauque, tonitruante..

"Quel est donc cet individu, peut pas brailler ailleurs...La Succube? Mais Tout le monde la cherche la Succube et on en fait pas un foin pour autant"

Kobal regarda l'individu à moitié mangé par les morsures de rats, et dont la couleur de peau était pour le moins étrange....
---fromFRMulot...
La Rousse avait finit de parler, elle se tourna vers Mulot qui, tout sourire, attendait sagement les bras croisés dans le dos.

Alalala m'dame la Succube, j'ai des trucs super important à vous dire ! fit-il le plus sérieusement du monde.

J'ai suivit le type, comme vous z'avez demandé. D'abord il est allé dans une taverne, jusque là rien de pas normal. Mais il est pas resté longtemps, et quand il est sorti il est allé dans un quartier bizarre que j'évite bien souvent.

Le gamin expliqua ensuite la discussion qu'avaient eut Kobal et le gros. Il s'excusa de ne pas tout avoir bien entendu, mais s'il approchait trop près, il aurait difficilement pu justifier sa présence, et la suite n'aurait pas été très joyeuse. Il rapporta tout de même à la Rousse les mots qu'il avait saisit, "La Succube", "Magot", et d'autres brides sans importance.

Soudain, alors qu'il allait prendre congé pour se rendre aux cuisines, un cri à faire dresser les cheveux sur la tête retentit.
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Lyhra
Alors que le gamin tétait son verre de lait amélioré materné par Rexane et pendant qu'il lui contait ce qu’il avait à révéler, un énergumène sale et puant, tout à fait horrible à voir et vociférant pénétra dans la grande salle apparement venu des cuisines, Baba avait du en être littéralement pétrifié !

La Rousse en avala cul sec un verre posé là et déglutit dificilement, hoquetant de surprise à la vue du monstre.


Par le diable qui vous a vu naitre Daimones ! – et elle n’était pas loin de le croire – que faites vous donc ici dans cet état ! Vous voulez faire fuir mes premiers clients ! Salir les tapis que vous m’avez si chèrement vendus ?! Et casser mes carafes pour faire bonne mesure !

Elle avança rapidement vers lui qu'elle avait reconnu aisément tant il avait un physique particulier, qu'il soit sale ou propre.

Dieu qu’il était répugnant ! Eut un mouvement de recul devant la croute nauséabonde qui le recouvrait mais ne jeta qu’un regard indifférent à la pioche.


Mais d’où sortez vous donc ?!
Tout droit des égouts ma parole ! Le nez froncé et l’œil courroucé elle le regardait de haut en bas, ébahie et folle de colère qu’il ose ainsi troubler une soirée tellement réussie. Qu’allait penser ces messieurs s’ils choisissaient tous ce moment pour descendre ? Que les guenilleux pouvaient passer la porte ?! Déjà que l’un deux se raffraichissait au bar … elle eut un sourire d’excuse et entraina le forcené à l’abri d’une tenture, prenant soin qu’il ne touche pas les murs fraichement peints. Après avoir versé au sol quantité de sang de porc dont l’odeur tenace avait du être masquée par quantités d’herbes voici qu’il y déversait de la boue et les immondices qui lui collaient au corps.

Ça suffit ! Pas d’esclandre cette nuit, c’est l’ouverture ! La plupart des clients sont en haut dans les chambres, l’aube ne va pas tarder, allez donc vous … laver, frottez bien surtout et revenez donc quand vous aurez figure humaine, si jamais cela est possible ajouta t’elle silencieusement.
Et elle le planta là dans une volte de soie noire pour rejoindre le Mulot.

Toutefois elle dardait un œil sur lui le mettant au défi de désobéir.


Mon nom et magot tu dis ?
Tu es sur de n'avoir rien entendu d'autre ?
Tu connais un magot toi ?
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---fromFRCarpenter
Dans la ruelle

La mort ne voudrait-elle pas de lui ? Il serait pourtant si agréable de s’abandonner à sa douce étreinte, de ne plus s’accrocher à cette vie sans saveur.

Il émerge péniblement d’un long évanouissement, et ses souvenirs renaissent peu à peu, d’abord flous, puis plus précis. L’agression, la lame qui s’enfonce d’un coup sec, le voleur qui détale, emportant sa maigre bourse. Et la douleur … surtout la douleur … toujours présente, mais se calmant légèrement. Anesthésiée par le froid du petit matin, sans doute ?

Il porte la main à sa blessure, mais sa chemise est collée à sa peau par le sang coagulé. Impossible d’évaluer les dégâts causés par la dague.

Se lever ? En est-il capable ?

Carpenter prend appui contre le mur, derrière lui, et réussit à se redresser à grand-peine. Un long gémissement s’échappe de sa bouche. Ses jambes le portent malaisément, il se sent d’une faiblesse effrayante.

Un pas hésitant … un deuxième …

Il fixe la porte intensément. Evalue la distance. Cette porte est son seul objectif désormais. La rose pourpre …

Un autre pas …

Il se laisse aller contre le battant de bois … Tambourine … Y jette ses dernières forces …

---fromFRDaimones
Il respirait bruyamment, et d'un coup elle fut à, il reconnut son odeur, et il reconnut également vaguement la couleur cramoisie de ses vêtements...

Elle l'entraina vivement dans un endroit sombre, le tança vertement comme s'il était un vulgaire laquais et le planta là en lui donnant des ordres....

Il serra violemment les dents pour se retenir de hurler au point que l'une d'elle se brisa avec un claquement sec, morceau qu'il cracha par terre.... comme tétanisé, il vit la forme purpre s'éloigner, les veines du cou gonflées... si la colère et la rage ne l'avaient pas tétanisées ainsi, il se serait jeté sur elle pour la déchiqueter vivante de ses longs ongles acérés....

Il respira de plus en plus lentement jusqu'à ce que ses muscles puissent se relâcher assez pour qu'il puisse parler... il murmura d'une voix rauque...


Immonde trainée... tu paieras pour ça...

Il entendait les bruits du salon.... il savait qu'il devait y retourner... mais ne comptait pas sortir... il était chez lui ici, il était le contremaître... et elle l'avait envoyé dans un piège pour qu'il se perde à jamais ou se fasse tuer.... elle paierait oh oui.... elle avait déjà des dettes... mais il avait d'autres choses à accomplir, des choses qui n'avaient que trop tarder... le vieux le lui avait dit, il était impératif d'agir vite... lui ou le gros se chargeraient de la Succube pour la piéger dans une toile d'or, tandis que Daimones devait s'absenter d'ici... mais dans l'immédiat, il lui fallait revoir la Succube sans lui laisser l'occasion de le traiter comme un valet... le lui bien faire comprendre...

il ferma les yeux, resta ainsi un long moment... sa vue revenait.... il repoussa alors à nouveau les tentures, aparaissant dans le salon... il tenait toujours le coffretr contre lui, mais sa pioche était glissée dans un des trous de son vêtement... et elle aparaissait à présent comme un accessoire grotesque et non plus comme une arme...

Cela ne changeait rien à son apparence repoussante et à ses yeux injectés de sang.

Il se dirigea vers le bar... une jeune femme s'y tenait, il ne la reconnaissait pas... il se pencha vers elle


Envoie moi quelqu'un... me mener là où je pourrais nettoyer les traces de mon voyage en enfer... tu m'ouvriras un compte car j'imagine que La Succube tient une comptabilité très serrée avec toutes les dettes qu'elle a déjà accumulées... tu l'ouvriras au nom de Daimones, car c'est mon nom.
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