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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

---fromFRAnabella
Son compagnon d'un soir à la pipe approuve sa proposition et se lève, l'entrainant avec lui vers les fauteuils.

Au passage, Bella fait un clin d'œil à Rexane. Ils passent devant Sana, Bella remarque que celle-ci est en compagnie du compagnon de la nuit dernière de Marie.... Ah, son amie va passer une nuit délicieuse vu ce que lui a raconté Marie...

Enfin, ils arrivent vers les fauteuils, son compagnon se cale dans l'un des fauteuils et invite Bella à se mettre à ses côtés. Bella ne se fait pas prier et va le rejoindre. Le contact est plus qu'intime, il caresse sa cuisse, la masse, remontant vers le haut... provoquant par la même occasion chez Bella de petits frissons.

Bella se laisse faire, appréciant la caresse qui fait du bien et réchauffe son corps de plus en plus... finissant de l'allumer...


Surprenante, ah, expliquez-vous !!!


Elle parait intriguée mais il n'en est rien, elle veut juste le faire parler...


Quant à être attirante, c'est bizarre, on ne me l'a jamais dit...

Clin d'œil à son intention, elle prends son verre et vient déguster une gorgée d'hypocras... le regardant...

Votre pipe va s'éteindre, vous souhaitez que je vous la rallume ?

Regard en coin, elle se rapproche de lui encore plus, leurs corps sont l'un contre l'autre... Elle vient lui déposer un baiser sur sa joue...
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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRBasilic
Elle fut amusée de les voir ainsi tous les deux. D'habitude les gens la regardaient comme si elle faisait intégralement partie de la Rose Pourpre. Un gibier, une proie qui se laisse apprivoiser pour assouvir les fantasmes de son vis-à-vis. Mais eux, la première personne en tout cas, car elle n'a regardé qu'elle pour le moment,ne semble pas être intéressé. Le regard semble neutre. Ni de folie, ni de peur. Ou alors, il sait maîtriser ses sentiments. Et dans ce cas-ci, Basilic le félicitera, intérieurement car il n'est point question de perturber son objectif. Quelque fut cet objectif.

Et puis la deuxième personne enfin attire son regard. Elle pose les yeux sur lui, calmement. Tout en ramenant son pied sous le banc. Ainsi, sa jambe se détend et elle peut acaparer les yeux de ses deux interlocuteurs dans les siens. A moins qu'ils ne préfèrent se perdre dans une plongée dans les profondeurs de son décolleté. Mange-rats semble préférer la deuxième solution. Ses yeux se baissent. Peut être suite au mouvement du serpent. Ou peut être pas.

Elle récupère les armes des deux hommes avant de parler à nouveau.


Êtes-vous sûr de m'avoir tout donné,
garder ne serait-ce qu'un coutelas,
ne serait vraiment pas apprécié
dans cette bâtisse de joie.

Ne vous inquiétez pas,
avec moi, vos métaux
sont dans les meilleures mains qui soient,
vous les reverrez bientôt.


Elle regarde attentivement Mange-rats qui paraît penser à quelques instants importants de sa vie.


Je suis Basilic, gardienne des soupirs.
A La Succube, bien sûr, je peux vous conduire,
à condition qu'elle soit inoccupée.
Je ne voudrais pas l'incommoder.


Elle tire la tenture qui sépare les deux pièces, laissant ainsi le bon loisir à ses deux clients de visualiser toute la pièce. Basilic remarque au bar, la Succube en charmante compagnie. Peut être n'est ce pas le moment de la déranger. Alors elle se rapproche de Mange-rats, le frolant de près pour le pousser à se diriger vers une partie de la pièce. Les corps se touchent presque. Elle peut sentir sa chaleur et lui la sienne. Leurs souffles à l'harmonie.

Installez vous donc à cette table, je vais me renseigner
pour que La Succube vous accueille dans les meilleurs délais.
Je m'en vais m'occuper de votre palais
Ne bougez pas, de vous, on va s'occuper.


Basilic se dirige vers le bar, remuant ses formes postérieures de manière flatteuse, espérant qu'un jeune homme les admire en retour.


Rexane, il y a là deux personnes
que j'aimerais que tu bichonnes.
Si tu pouvais leur service une de tes spécialités,
je t'en saurais fort gré.

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Serpentant en transversal dans la salle, personne ne saurait esquiver son désir de suivre les principes d'une tenue somptueuse...
Lyhra
La prunelle arrondie de surprise, elle écoute les quelques phrases poussées d’une langue hésitante.
L’œil glisse vers le comptoir, non il n’a pas eu la descente facile d’un cruchon d’alcool, le verre est vide mais il est seul, qu’importe. Elle cueille de la pulpe d’un doigt une goutte oubliée, la déposant sur ses lèvres.

Ainsi, c’était donc ce mystérieux et versatile correspondant… elle l’avait imaginé plus vieux et moins attrayant. Les mèches folles qui valsaient autour de son visage invitaient à y glisser une main effrontée. Ce qu’elle ne fit pas évidemment.

La Rousse démone –au sens figuré bien sur – installa un siège près du sien et se prépara à cet entretien qu’elle avait déploré quand il avait semblé décidé à s’y soustraire, enfin, aux enchères et pour d’obscures raisons d’ailleurs.

Finalement, cette toquade pour,
Démétria, c’est son nom, avait eu raison de lui et de ses hésitations.

Vous faites preuve d’un goût sur en choisissant cette fleur ci Malaussène.
Faussement désinvolte, elle avait prononcé son nom, il n’était pas si commun qu’elle n’ait pu en avoir le souvenir.
La Rose offre nombre de ravissantes jeunes fleurs mais celle-ci et vous ne le saviez pas, a ce parfum si … particulier du bouton à peine éclos et qui cache en son cœur un velouté d’une exquise douceur.

La Rousse se renversa en arrière, confortablement adossée à son siège en un mouvement lent et soigneusement étudié, la peau gagnant du terrain sur la dentelle dans un combat lascif.

Comme je vous l’ai dit, cela a un prix et le sien sera fonction du désir qu’elle saura provoquer chez ces messieurs. Avec un sourire taquin non dénué de convoitise, je crois que ce ne sera pas bien difficile. Je n’ai pas même encore fait courir le bruit d’une vierge à la Rose des Miracles que voici déjà un acquéreur. Je ne me fais pas de soucis.

Vous serez donc des nôtres ?
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---fromFRMange-rats
Un flux sanguin soudain lui fouette les tempes et l’esprit, le Rey cligne des yeux, sourit, relève le front. Tiré de sa léthargie, il suit le Marchombre pour s’asseoir à une table, dans un coin de la pièce.
Qu’est-ce donc qui l’a réveillé ? Les mots de l’Ensorcelé, ceux de Basilic, l’étonnante gardienne, ou bien…

Ce qu’il a vu.

Ce qu’il a senti.

Il est comme les conquistadors devant les jungles inconnues. Il appelle Inde les Amériques. Comme un nouveau-né devant l’inconnu. Il n’a pas de mot, de nom à donner à ce qu’il…

Ressent ?

Sent ?

Pressent ?

Sa chair pense. Elle réagit plus vite que lui. Mais sa chair, n’est-ce lui ? Que son cerveau, son intellect. Comme engourdi par les murmures, le froufrou des étoffes, les vapeurs, la tiédeur, les couleurs. Cocon.
Mouche prise dans une toile confortable, il a un sursaut d’horreur : et s’il perdait sa volonté… sa liberté ! S’il était comme ceux là qui, à force d’alcool, devenaient « fous » comme, dans sa naïve innocence, il disait ? Dextre sur le front, il se masse les tempes.

Dans son cou, encore, le souffle de la veilleuse.
Sur sa chair, encore, imprimées en négatif, les courbes de la gardienne.
Dans ses yeux, encore, décalquée sur ses pupilles comme la lumière du soleil regardé trop fixement, la gorge profonde de la sentinelle.
Dans ses nerfs, encore, le frisson. Peur du serpent ? Peur de la déroute ? Au-delà ? Il n’a pas de mot. Il ne comprend pas.

Sur le bois ciré, lustré, ses mains se sont allongées. Longues, fines, écorchées. Il n’a pas encore les mains épaisses et lourdes de travailleurs et des guerriers, mais pas non plus les doigts pâles et distingués, délicats, des étudiants, des femmes. Sans doute n’aura-t-il jamais les mains potelées et grasses, huileuses des bourgeois. Ça le rassure. Il les regarde parce qu’il les comprend. Il se rappelle le cliché du nouveau-né qui découvre ses doigts et les agite devant ses yeux, émerveillé. Devant les siens se sont agitées des formes délicieusement inconnues. Il n’est pas émerveillé. Il est terrifié. L’altérité, pour la première fois peut-être, le submerge d’inquiétude, d’anxiété. Son incompréhension le trouble. Et pourtant, il a déjà ressenti une telle fièvre intérieure. Il ne se rappelle pas quand.
Ce n’est pas si lointain. La glace dans ses veines, dans ses nerfs. Comme si on les lui retirait, un à un. L’affreuse douleur… de ne pas comprendre… c’était…

***

Un éclair métallique, gerbe de sang, le gosse a un hoquet de surprise. Les yeux exorbités, il regarde avec incompréhension la plaie que la lame a ouverte. Ses yeux se fichent dans ceux de son adversaire, lui non plus ne comprend pas, hébété, il s’affale lourdement, lâchant un dernier souffle… si piteux… si léger… si dérisoire…
C’est donc cela, mourir ?

***

La demeure du Morlhon. Il avait tué. Voilà. La dernière fois qu’il avait subi ce choc engourdissant, terrifiant, de l’incompréhension. C’était face à la mort.
Et maintenant, qu’était-ce ? L’amour ? Il ne le croyait pas. C’eût été pitoyable, risible. A la mauvaise herbe qui grandit entre les pavés, on ne promet pas la rose qui se vend dans les allées.
La mauvaise herbe aime le lys ou le pissenlit. On n’aime pas la rose. On l’inspire, et c’est tout.


Lentement, il relève la tête vers son compère. Sourit, amusé, en songeant que l’autre doit le trouver bien étrange. Son sourire a quelque chose de morbide, de pas naturel. Il ne s’en doute pas.

T’es un marlou, tésigot, un prudent, comme mésiguot. Tu pictes que d’chi. Un moricaud d’lance, c’est bon.

Goguenard pour de bon, le gosse sourit. Il a retrouvé son monde, son univers, sa liberté. Elle n’est jamais loin…
Simplement sous sa langue.


Ça va.

Il se lève, file vers le comptoir, yeux dans ses poches, grelot au cou, tant qu’il tinte, rien ne compte.

Un broc d’eau, deux verres, ça ira. On bavardera en attendant la patronne.

Sourire, sans attendre de réponse, il fait volte face, fier de lui. Son orgueil, asticoté, lui remonte dans la poitrine et la bombe. Il est Rey de la Cour des Miracles.
Il peut bien choisir ce qu’il boit, crotte.


Et pourtant, dans ses entrailles, dans les tréfonds de son cortex, quelque chose s’agite qu’il ne comprend pas. Et qui lui fait peur.
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---fromFRjordan13
Il fut prit d'un leger fou rire lorsque la belle qui l'avait accompagné en ces lieux se mit a parler dans un patois qu'il adorait. Beaucoup furent surpris par ce langage, lui non, il en etait habitué. Ce qui le contraria plutot etait ce regard que lui avait lancé brievement Sana en voyant sa main caresser la cuisse d'Eolia. Peut etre avait il l'air trop gourmand. Il retira donc sa main, la posant plutot sur le verre que venait de lui apporter Rexane et a qui il s'adresse.

Ah cette fameuse tournée.. eh bien voyez vous je n'ai point boire seul, j'aime partager avec les personnes que j'apprecie. Ce soir sera encore une nuit pleine de tournées, j'espere que vous serez de la partie pour boire avec moi jolie tenanciere. Voyant les verres devant lui. Ce sera parfait pour commencer, vous savez exactement quoi donner a vos clients..

Il plongea a nouveau son regard noir dans celui de Sana, decidement, cette jeune femme etait fascinante, comme sortie tout droit d'un reve. Elle etait majestueuse, si belle, et tellement vertueuse malgré son emploi. Il n'avait qu'une envie, passer le plus de temps ici avec la sirene de la Rose Pourpre.

Ce qui m'est arrivé dites vous? oh.. Une petite aggression au detour d'une ruelle, qui m'a valu quelques cicatrices encore, mais ne vous inquietez pas, mon corps en est habitué. Je ferais plus atention la prochaine fois.

Bref regard sur son frere qui semblait hypnotisé par ce lieu de debauche, ce qui le fit sourire. Le pauvre garçon sortait a peine de l'adolescence et voila l'endroit premier que le tenebreux lui fait visiter.

Alors Chakras, ne t'avais je pas dit que ce lieu etait un regal pour les yeux?

Puis il regarda Eolia, qui semblait elle etre plus a l'aise, presque meme dans son element..un peu comme lui. Il se delecta de quelques gorgées du cocktail de Rexane, encore meilleur que la veille. Il eut aussitot une petite pensée pour Marie Jeanne, sa princesse d'un soir qui l'avait emmené le temps d'une nuit, au paradis. Le beau comptait une nouvelle fois y retourner dans ce petit paradis, mais peut etre aurait il la chance et l'honneur d'y emmener Sana avec lui.
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Philippe_le_bel
Tout occupé à masser la dame, il n'écoutait plus rien du tumulte du reste du bordel, lorsqu'elle l'embrassa sur sa joue, il frémit de plaisir, et à l'écart, il s'enhardit, il déposa doucement ses lèvres par dessus celles de Bella, puis tout aussi doucement, sa langue força le barrage des dent de la belle, et trouva sa langue. Alors, Les deux tournèrent longuement, en douceur... Après ce baiser, le cram' constata, que sa pipe, s'éteignait...

Votre pipe va s'éteindre, vous souhaitez que je vous la rallume ?

Echange de regard complices, chargé de sens...
et bien ma demoiselle, je me disais, que nous pourrions aller deviser légèrement dans vos appartements privés, qu'en pensez-vous? vous aurez toute l'occasion, de la rallumer là-bas...
En attendant la réponse, il glissa délicatement sa main sur l'entrejambe de la dame...
---fromFReolia.
Eolia observait Jordan envouté par la belle Savanahh, tellement envouté que d'un simple regard la belle le fit arreter ses caresses sur sa cuisse.
Eolia souriait interieurement tout en regardant les moindres gestes de la desirable fille, son jeu de regards et de sourires, sa façon de se tenir et de bouger. Elle était comme une petite fille imitant son modèle, goutant chaques mots sortant de sa bouche.

Puis elle bu son verre, laissant la fée verte impregnier chaques parcelles de son âme, petite fée qui convoite les âmes coule lentement en elle, lui faisant tout oublier, provocant le desir en elle. Petit à petit tout dissparait autour d'elle, engloutit dans un tourbillon d'alcool, de rire, de desirs.

Puis tout reviens, le bordel, les filles, les hommes. Seul son desir brule encore en elle, toujours cette fille qui la captive, sa voix l'encorcelle, son regard l'hypnotise. Elle pose sa main sur la table et lentement la fait glisser vers celle de Jordan, ses doigts frolent et enlacent les siens.

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---fromFRAnabella
D'un baiser chaste fait sur une joue, celui-ci se transforme en une danse langoureuse et allumeuse de deux langues... des frissons parcourent le corps de Bella... faisant sentir qu'elle est une femme désireuse de plaisir et aimant en donner.

Aller dans mes appartement privés, déjà ?

Et tout en attendant sa réponse, son compagnon glisse sa main sur sa cuisse remontant doucement mais surement vers son entrejambe..


Et bien, Messire Phil, il vous faut payer à la propriétaire de ces lieux pour que vous puissiez aller plus loin...


Et elle se rapproche de lui, approchant à nouveau ses lèvres des siennes pour déposer un baiser toujours plus intense, sa poitrine venant se serrer contre son torse masculin...

Allez-y et moi, pendant ce temps-là, j'irais nous chercher nos coupes d'hypocras... vous pourrez ainsi le déguster sur mon corps si l'envie vous tente toujours...

Entre deux baisers, elle lui a parlé... le regard se fait fiévreux... désireux... envieux...

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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
Philippe_le_bel
Et bien, Messire Phil, il vous faut payer à la propriétaire de ces lieux pour que vous puissiez aller plus loin...

Oui, bien sûr, je me charge de ces formalités, ne vous préoccupez pas de cela... Ma bourse me le permet * Béni soit cette action fumante qui me permit de récolter, cette Bella en vaux le coup, vraiment*
Le partage du second baiser fut encore plus intense que le premier, décidément, cette nuit serait celle de tous les extrêmes, après son "emprunt" d'une paire de botte sur un futur-mort, il plongeait maintenant allégrement dans les futurs délices que lui promettait de plus en plus sûrement cette Bella...

Allez-y et moi, pendant ce temps-là, j'irais nous chercher nos coupes d'hypocras... vous pourrez ainsi le déguster sur mon corps si l'envie vous tente toujours...


Toujours envie? plus que jamais même, vote corps est comme un appel au mien, je ressent le désir de frotter chaque parcelle de ma peau conte la votre, si douce et chaude...et Ma langue ayant goûté à la votre, éprouve l'envie, de vous goûter encore, de plus en plus... intensément

Alors, ôtant à regret sa main, il se mit en quête de la patronne qui avait disparue depuis un moment en compagnie de ce fameux prêtre qui l'avait tant amusé. Il sentait contre sa nuque au moment où il se levait la pression du regard si fiévreux de Bella, était-elle bonne actrice ou, trouvait-elle vraiment le Cramoisi séduisant? Il ne se posait même pas la question... Car peut importait la réponse, lui il la trouvait vraiment séduisante, ça lui suffisait.
---fromFRAnabella
Il accepte la proposition de Bella, sentir les hommes à sa merci, elle adore cela... Est-elle cruelle pour autant ? Elle joue avec eux et nuit après nuit, elle se transforme en manthe religieuse les attirant toujours plus entre ses bras...

On a voulu un jour lui faire subir cela, elle prend nuit après nuit sa revanche, les attirant dans son piège, leur faisant tourner la tête, leur faisant miroiter l'inimaginable, leur faisant croire qu'ils sont tous uniques en leur genre, qu'ils sont séduisants...

Elle est une femme, mais grâce à son mentor, elle s'est juré d'être maitre de sa vie, d'imposer ses choix...

Elle lui sourit, si seulement il savait... mais bon, qu'est-ce que cela lui apporterait de plus de savoir...


et bien, dépêchez-vous alors de régler les derniers détails...

L'allumer encore plus, lui faire tourner la tête... tel est son but...

Elle le regarde s'éloigner en quête de la Succube et Bella se lève pour se diriger vers le comptoir récupérer les 2 coupes préparées par Rexane...

Un regard vers le comptoir, et là son cœur bat différemment en reconnaissant une silhouette, ainsi donc il est revenu...

Comment faire ?

Personne ne doit remarquer son trouble, alors mine de rien, elle s'approche du comptoir se mettant à côté de l'albinos et tout en faisant signe à Rexane de lui donner 2 coupes d'hypocras... elle commence à lui parler mais sans le regarder, en regardant droit devant elle... Tous le monde doit croire qu'elle parle à Rexane et à personne d'autre...


Ange, vous ici ? Que faites-vous ici ?

Elle ne sait plus où elle en est, elle si sure... est troublée maintenant, sa main tremble légèrement, ne pas le toucher et pourtant, elle le voudrait, elle a remarqué en le regardant à la dérobée qu'il se massait les tempes...


Vos maux de tête sont revenus ?

Elle voudrait tant lui masser ses tempes, mais on l'attends par ailleurs...

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Entre mes bras, un baiser est une gourmandise sucrée qui ne fait pas grossir...
---fromFRScribos
Sommeil agité.... l'impression d'étouffer toujours, mais plus de la poitrine étrangement... le souffle se fait paisible, mais une sensation de gêne, comme s'il avait pris une trop longue corde pour attacher sa bure....

Il ouvrit les yeux brusquement. Il était tombé, évanoui... il décida de se lever... impossible ! Des cordes le retenaient.... il ferma les yeux.

Les rouvrit... il ne savait pas où il se trouvait exactement... il essaya de tirer sur les cordes mais il n'avait plus de forces.... faible, si faible.... et soif, vraiment soif il avait...

Il essaya de se retourner sans y parvenir

il commença alors à prier tout bas


Ô Seigneur tout puissant, toi qui commandes aux Tempêtes, donne moi ta force, impulse à moi l'abnégation ultime qui me poussera encore à rester ici-bas pour te servir encore et encore, et à prier assis en ma cellule à nouveau pour le Salut de tous ces pêcheurs qui adorent plus l'Incarnation que Ce qui est Incarné, aide moi à leur montrer le chemin du Ciel...

Il se tut... sa gorge et ses lèvres étaient trop sèches, il pouvait à peine parler.... il ferma alors doucement les yeux et sa respiration ralentit...; ralentit...ralentit.... il entrait progressivement en méditation... et en sa tête il parlait à Dieu.
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SCRIBOS, Maître-Plume Itinérant au service de la Voix des Peuples
---fromFRAnonymous
Manifestement sous l'emprise encore tenace de sa précédente "expérimentation", ses yeux suivirent le mouvement de la Succube, ou plutôt, se fixèrent sur ce qu'il daignait dévoiler. Combien de livres de chair pesait cette gorge en tout ? Rude questionnement. Gageant que la réponse serait plus ardue encore à obtenir, il oublia ; qu'importe le poids, la vue était plaisante. Son esprit, amusé, jugea le geste de la souteneuse habile, son corps, efficace. Et durant les quelques secondes où son regard resta rivé sur l'objet mammaire, il articula - arrivant à se convaincre que la dernière question ayant retentit à ses tympans provenait de cette paire de seins-là.

"Oh oui, je voudrais tant être des vôtres...

Puis se reprenant, relevant d'instinct le regard, aggravant la voix pour la rendre plus assurée. (Il fallait être honnête, les seins ne parlaient pas).

"Enfin oui, oui bien entendu, si ma souvenance est bonne je suis là pour ça. Même si... Pardonnez mes hésitations primaires, j'ai dû prendre le temps de réfléchir à l'affaire... Vous allez peut-être me rétorquer que votre bouton de rose est si alléchant et prometteur qu'il ne permet pas l'atermoiement, je pourrais en convenir, mais je suis ainsi."

Tandis qu'il parlait, la réflexion germait à l'arrière de son entendement, dans la petite pièce des questions fondamentales. Les seins ne parlaient pas. En était-il bien certain ? Quelqu'un avait-il déjà mené ses recherches sur le sujet ? Avait-on déjà vu un compte-rendu strict sur l'affaire qui condamnait les seins à une existence muette ? Et la bouche était-elle nécessairement l'unique objet de langage ? Peut-être l'aréole était-elle en mesure de s'adresser à un homme... Tout simplement le problème d'une barrière de langue. Ceux-là, parlaient-ils l'anglois ? Un de ces patois de la langue d'oïl ? Non... ou la langue amère des terres septentrionales, ou les consonances roucoulantes des pays du Sud, où les gorges sont élevées au soleil.. Ou la plus belle, celle de l'Est froid.
Sur un ton sérieusement détaché, sans qu'il y est une rupture particulière dans ses phrases


"Et..."désignant d'un doigt pivotant le décolleté du délit, "vos seins, ils sont originaires d'où ?"
---fromFRAnonymous
Le jeune homme restait calme, toujours a observer les comportements des uns des autres, il ne comprennait pas vraiment, ne savait pas s'y prendre avec les dames, il cherchait conseil dans les yeux de son frere qui l'ignorait totalement, etant bien plus occupé a caresser les cuisses de la femme qui les avait accompagné et a deshabiller du regard la catin qui les avait rejoint. Il etait troublé par tant de beauté, mais son peu d'experience vis a vis des femmes l'empechait de prendre la parole, il ne savait que dire devant elle, il voulait eviter a tout prix de montrer sa jeunesse, laissant donc son frere s'occuper de tout, lui qui depuis toujours etait a l'aise avec toutes les dames qu'il rencontrait.

Citation:
Alors Chakras, ne t'avais je pas dit que ce lieu etait un regal pour les yeux?


Leger sursaut qui le sort de son reve lorsque son frere s'adresse enfin a lui. Aucune reponse de sa part si ce n'est un timide sourire, pour dissimuler le rouge de ses joues. Il prend son verre, et le boit lentement.
---fromFRSavanahh

Par mégarde, bien entendu, le pied d’Eolia lui caresse la cheville. Oh, quelle maladroite … Sana lui adresse un sourire coquin. L’observe avec attention. La jeune femme est très mignonne et plutôt agréable quand elle maîtrise ce vilain accent venu d’un autre monde, voire d’une planète lointaine.

Assis en face de Sana, Jordan lui décoche de charmants sourires, cherche à accaparer son regard. Il lui raconte sa mésaventure de la veille, la rassure, mais ses yeux la détaillent avec insistance. Il est craquant, le bougre, et il ne l’ignore pas. Il doit multiplier les conquêtes lorsqu’il s’en donne la peine.

Elle apprécie énormément l’instant, Savanahh. Elle se sent admirée, désirée. Elle s’est donné du mal pour être si ravissante, et son but est atteint, sans aucun doute. Elle plait aussi à la jeune femme ? Ca ne la trouble pas du tout. Elle n’a aucun préjugé, aucun à-priori, la fille des îles. N’est-elle pas une professionnelle, ce qui ne l’empêche d’ailleurs pas de fondre dans les bras d’un partenaire agréable.

A sa droite, le petit frère est muet. Il n’a pas assez de ses deux yeux pour contempler les filles superbes qui déambulent dans ce prestigieux décor.

Taquine, Sana s’adresse au jeune homme. Hé bien, Messire Chakras, avez-vous perdu votre langue ? Vous suis-je à ce point antipathique que vous ne daignez pas m’adresser la moindre parole ?

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---fromFRDemetria.
[Dehors ... Dans la rue, n'arrive pas à la quitter...]

Il lui court après, il se présente.
D'un oeil elle a vu entrer du monde à la Rose.
Il veut lui offrir un verre ?
Alors qu'on y aille. Il lui faudra vite revenir au Bordel.


D'un pas vif, elle avance vers la pochée.
Envie de boire un verre, de se terrer un instant dans l'obscurité crasse du bouge.
Il se présente.
Galomé, un ciel azur.
remarquera-t-il la lueur d'interrogation dans le vert de ses yeux ?
Elle en a à peine entendu parler, plutôt dans leur coin à ce qu'elle sait.
Se demande dans une pensée fugace ce qu'il venait faire dans le coin.
Et pourquoi il la suit.

Emmitouflée dans sa cape, à peine un morceau de mollet qui s'échappe du tissu au hasard des enjambées...
Elle ne ressemble pourtant aux autres filles...
Qu'espère-t-il d'elle ?

Crissement des graviers sous ses pieds finement chaussés.
Tourna la tête dans un mouvement de boucles affolées par le vent.
Sourire charmeur, ne peut s'en empêcher.


J'm'appelle Demetria.

Toujours aussi bavarde.
Il faudrait que l'intérêt soit vraiment éveillé pour qu'elle accorde phrases bient tournées.
Pour l'instant elle file dans les rues.
Il faut y arriver vite, pour rentrer dans les temps.
Ne veut pas faire attendre la Succube plus que de raison.
Surtout vu le nombre de visiteurs à la Rose.


Vous m'suivez alors ?
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