---fromFRALolite
Aimer à en perdre la raison, lorsque la bouche nobéît plus au contrôle de lêtre passionné emporté dans ce tourbillon de soupires.
Délires et balbutiements qui se perdent en râles, navoir plus la force de répondre lorsque la réponse semble si évidente, lorsque le regard ne cesse de se repaitre de lautre se logeant contre son corps, avide de savourer sa peau.
Les mots montent en elle, la prenant violement, la clouant au sol, laiguisent et la consument.
Seule sur le parquet dune chambre dauberge, les mains glissants sur elle, le bassin ondulant sur le sol tandis que sintensifient les caresses, les ongles senfonçant dans ses cuisses cuivrées, le bois irritant son dos fragile parcouru de spasmes, le plaisir montait en elle alors fulgurant la laissant assommée quelques secondes, un goût dinachevé sur ses lèvres
Aimer
Aimer pour voler, prendre, arracher, donner, envoyer, cracher, hurler, soupirer, adorer, mordre, aimer jusquà ce que la folie viennent les achever dans un déluge de larmes salines sécoulant delles amoureusement.
Sa bouche tremble, sa gorge se serre, observant la Rousse soffrir complètement à elle. Sculpture dargile prenant forme sous ses mains expertes, dessinant à nouveau ses courbes quelle malmène et déforme lentement sous les doigts pressant la peau lorsque tout est trop fort. Tout est frôlé, chevelure glissant sur sa peau de porcelaine, illuminant son regard qui observait la douce torture quelle infligeait à Lolite.
Et tandis que les mains vont et viennent sur elle, la brune simagine accompagner chaque geste de sa langue gourmande se promènant lentement sur ses lèvres asséchés de trop de soupires.
Le spectacle est immense, elle ne regrettait pas dassister à pareille séance, lorsque le son et limage sont aussi accompagnés dodeurs, de goûts, de douceur et de volupté.
Aimer à en perdre la raison
Les yeux de la belle se ferment, souvrent, papillonnent pour observer la brune admirer son plaisir monter, à deux doigts dexploser contre elle, se retenant pour jouer avec Lolite qui frémit sentant sur son corps les caresses dune boule de feu.
Sur des braises ardentes se consumaient les amantes, brûlants tout autours delles, lair manquant à lappel, la cheminée crépitant à leurs côtés, lentement le sang dévient ébullition, leur sens confusion, leurs mains pressions, les caresses adorations, leurs regards émotions.
Libères moi...
Un souffle, à peine plus.
Une demande, une supplique.
Libères moi.
Un gémissement à peine contenu.
Une brûlure qui violement la pique.
Qu'elle lui laisse ses mains, qu'elle soit son miroir, et qu'ensemble elles hurlent sous les caresses....
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Délires et balbutiements qui se perdent en râles, navoir plus la force de répondre lorsque la réponse semble si évidente, lorsque le regard ne cesse de se repaitre de lautre se logeant contre son corps, avide de savourer sa peau.
Les mots montent en elle, la prenant violement, la clouant au sol, laiguisent et la consument.
Seule sur le parquet dune chambre dauberge, les mains glissants sur elle, le bassin ondulant sur le sol tandis que sintensifient les caresses, les ongles senfonçant dans ses cuisses cuivrées, le bois irritant son dos fragile parcouru de spasmes, le plaisir montait en elle alors fulgurant la laissant assommée quelques secondes, un goût dinachevé sur ses lèvres
Aimer
Aimer pour voler, prendre, arracher, donner, envoyer, cracher, hurler, soupirer, adorer, mordre, aimer jusquà ce que la folie viennent les achever dans un déluge de larmes salines sécoulant delles amoureusement.
Sa bouche tremble, sa gorge se serre, observant la Rousse soffrir complètement à elle. Sculpture dargile prenant forme sous ses mains expertes, dessinant à nouveau ses courbes quelle malmène et déforme lentement sous les doigts pressant la peau lorsque tout est trop fort. Tout est frôlé, chevelure glissant sur sa peau de porcelaine, illuminant son regard qui observait la douce torture quelle infligeait à Lolite.
Et tandis que les mains vont et viennent sur elle, la brune simagine accompagner chaque geste de sa langue gourmande se promènant lentement sur ses lèvres asséchés de trop de soupires.
Le spectacle est immense, elle ne regrettait pas dassister à pareille séance, lorsque le son et limage sont aussi accompagnés dodeurs, de goûts, de douceur et de volupté.
Aimer à en perdre la raison
Les yeux de la belle se ferment, souvrent, papillonnent pour observer la brune admirer son plaisir monter, à deux doigts dexploser contre elle, se retenant pour jouer avec Lolite qui frémit sentant sur son corps les caresses dune boule de feu.
Sur des braises ardentes se consumaient les amantes, brûlants tout autours delles, lair manquant à lappel, la cheminée crépitant à leurs côtés, lentement le sang dévient ébullition, leur sens confusion, leurs mains pressions, les caresses adorations, leurs regards émotions.
Libères moi...
Un souffle, à peine plus.
Une demande, une supplique.
Libères moi.
Un gémissement à peine contenu.
Une brûlure qui violement la pique.
Qu'elle lui laisse ses mains, qu'elle soit son miroir, et qu'ensemble elles hurlent sous les caresses....
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