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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

Jeanbaptiste63
Maintenant a côté de lui le coup de vent de tout à l'heure prend forme humaine et il peut voir une jeune femme qui est conduit avec lui dans le salon. Il la sent éloigne comme si elle était toujours dans un rêve et aussi toute douce. Ce n'était donc pas une fille du salon alors que venait t'elle faire ici?Cherchait t'elle du plaisir ou du travail? Même si les deux était souvent lié en cet endroit.
Line c'est ainsi qu'elle s'appelait.

Mais le voila tirez de ses pensées par de nouvelle parole de celle qui avait maintenant un nom: Rexane maitresse des plaisirs gustatifs.


"C’est vrai, vous avez raison messire, et nous en recherchons actuellement un, le poste vous intéresserait-il par hasard ?"

Voila donc la réponse de son audace peut être déplacer pour une première rencontre.
Si un jour je cherche une situation sable et sans risque je penserait à vous.

Maintenant une nouvelle douceur jeune et mystérieuse qui parle a Rexanne quelque seconde avant de nous présenter des serviettes, je la remercie et m'essuie les cheveux laissant juste quelque goutte glisser sur mon visage et que ma langue attrape pour les engloutir.
Puis nous somme conduit au salon des délices.Ses yeux se projette partout a la fois en quelque seconde avant de revenir sur les deux jeunes femmes qui les menaient au bar et une nouvelle venu rousse qui dégageait une aura particulière qu'on juste quelque femme.
Il savait avoir devant la lui Succube dont on parlait temps a la cour.
Il se hasarde a une nouvelle réflexion sur l'accueil

Vous accueillé toujours les clients avec temps de monde ou somme nous juste chanceux?

la réponse n'était pas encore arriver qu'il était déja devant le bar ou ses sens était déjà exciter par le plat qu'on lui proposait et par la beauté des femmes dont ses yeux se régalait.
Maintenant Rexane est parti mais on lui pressente Nérée qui semblait différente des autres filles, peut être plus vieille qu'elles, peut être moins a l'aise mais tout aussi belle avec un quelque chose de plus dans le regard.
Alors tout en mangeant il la laisse au plaisir des yeux.
Il se rapproche d'elle et ne trouvant pas de serveuse il s'adresse a elle.

Mademoiselle je ne voudrais pas vous importunez mais voyez vous j'aimerais offrir un verre a une délicieuse créature mais je ne trouve pas de serveuse.Alors j'aimerais savoir si vous savez a qui je doit m'adressez pour vous offrir a boire.[/i]
Lyhra
Avant qu'elle ait pu revenir de sa surprise -on la dépeignait comme âme généreuse !- et répondre à l'homme qui la confondait avec une bonne samaritaine, Rexane était revenue des cuisines et veillait au grain. Cela lui laissa quelques temps de réflexion sur la conduite à tenir.

Je te remercie, pas encore.
Mais je prendrais bien un verre de vin.
Un clin d'oeil et un sourire énigmatique plus tard, Rexane aura eu la réponse à sa question sur le repos de la patronne. Enfin, repos... tout était relatif.

Un festin dis tu ? ... pour ... cet homme là ? Qu'il montre son or avant ! Ces gens là sont souvent avares, il faut leur soutirer le moindre sol, mais si il a de quoi payer, je n'y vois pas d'inconvénient, j'irai le voir plus tard et m'enquérir de ses souhaits pour la nuit.
Je te laisse prévenir Baba en cuisine mais j'ai besoin de te parler ensuite, il y a des choses qu'il faudra m'expliquer...

Elle se détourna vers le jeune homme.

Le ton était courtois et il était touchant avec sa bourse aussi plate que les mamelles de feue la Frulg mais on n'était pas à la souplette populaire !
Mille cornes ! Elle tenait le bordel des Miracles et les hommes étaient sensés venir y dépenser leurs écus pas souper à ses frais !


Un gentilhomme comme vous ne saurait me déranger,
Commença t'elle d'un ton enjôleur,
Rangez donc vos piécettes, elles suffiraient à peine à payer une coupe de vin.

Elle soupira, comme à contre coeur, sachant qu'elle allait le décevoir et le regrettant un peu déjà.
Ici rien n'est gratuit jeune homme.
Mais... tout travail méritant salaire, je veux bien pourvoir à vos besoins pour la nuit, repas et lit uniquement s'entend, cru t'elle bon d'ajouter, contre un petit travail.

Que savez vous faire qui pourrait m'être utile ?

Si la rumeur se répandait que la Succube offrait pour rien le confort de la Rose, c'en serait fini de sa réputation ! Cela lui semblait donc un bon compromis.

Elle attendit donc sa réponse en laissant un regard aigu vagabonder derrière son épaule et c'est alors qu'elle remarqua la vitre brisée... Il y avait eu du grabuge ici ! Est-ce cela qu'elle avait entendu depuis l'étage ?
Non c'était encore autre chose, il y avait eu des bruits de chevaux...

Elle interrompit les réflexions du jeune homme et l'interrogea brusquement,

vous venez d'arriver n'est-ce pas ?
Avez vous vu quelque chose dehors ? Un incident ? Des soldats ?
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---fromFRCarinya
Carinya attendait patiemment que Rexane lui parle. Ainsi le jeune homme allait bien. Ah tant mieux ! Quand même ! Il aurait été navrant qu'un homme sorte en répondant dans la cours que la Rose ne prenait pas soin de ses clients et des personnes qui y venaient...
Les deux jeunes gens qui accompagnaient Rexane avait l'air de bien être embêter de salir ainsi le par terre.
Tout cela se nettoierait bon sang, et laisser une cliente s'en charger était tout bonnement inconcevable.

De l’aide ? Eh bien tu peux accompagner avec moi ces jeunes gens jusqu’au bar, je vais devoir m’absenter un instant je le crains…

Carinya sourit contente de pouvoir servir à quelque chose.

Oh mais bien sûr, et puis, si tu dois t'absenter, ne te gênes pas surtout. Je pense que c'est dans mes cordes de recevoir ces deux personnes au sein de la rose...
D'ailleurs dis-moi. Y aurait-il des vêtements pour des invités ? ils vont mourir frigorifiés trempés de la sorte...

Carinya vit bien que la jeune brune était bien occupée, elle n'entendit donc peut-être pas sa question. C'est ce qu'elle pensa lorsque Rexane dit ceci :

Je vous laisse quelques instants aux bons soins de Nérée et de Carinya, je reviens aussi vite que possible, vous pouvez réfléchir à ce qui vous ferait plaisir en attendant.

Ce n'était pas vraiment un souci... Elle demanderait à cette Nérée si elle voyait ce qu'elles pourraient leur proposer pour se réchauffer... Déjà dans le salon, il faisait bien chaud à souhait.
Prenant l'invité mâle par la taille et la jeune femme par les épaules, elle s'apprêtait à aller au bar lorsqu'elle entendit la porte s'ouvrir et avec elle un courant d'air frai.
Elle se retourna très légèrement et vit une femme se lamenter. Ah... Elle cherchait un autre travail autre que catin ici ?? Hum... La tâche d'eau qui traînait lui donna une idée, mais étant nouvelle, elle ne savait pas si la Rose disposait déjà d'une servante qui s'occupait du ménage... Probablement puis que cet endroit était si propre...
Enfin pas le moment de proposer quoi que ce soit... Plus tard peut-être.

Venez avec nous. Nous allons au bar, vous vous réchaufferez...

Prenant les devants elle intima les trois nouvelles personnes de la suivre.
Une fois arrivées au bar, elle s'assit avec une grâce certaine et demanda :

Que voudriez-vous que je vous serve ? Il y a le choix ici, à votre aise.

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Valric
L'endroit commençait à bouger de partout. Des clients entraient un après les autres et prenaient place. Plusieurs commandaient à boire et à manger ne pensant plus trop qu'ici tout avait son prix... Des femmes aussi, parmit les plus belles qu'il est vu descendaient de l'étage. Vraiment l'endroit commancait à grouiller de partout et le manque de personelle comme un portier par exemple ou bien un videur pour chasser la canaille devenait aussi une évidence...

Le Gambiani entendit même la belle tavernière demander à cet inconnu s'il voulait devenir portier!

Il sourit.

Lui-même aurait été tenté de prendre le boulot monnayant un contrat juste pour les deux parties! Dans ce cour instant perdues au milieu de ses pensées le jeune lieutenant regardait le belle vierge à ses côtés... Alors que ses envies étaient tournées vers elle ses instincts lui disait que quelque chose n'allait pas...

N'allait pas du tout même!

Lorsque dans un balayage de la salle il vit une dame trônant sur l'endroit telle une reine, il comprit qu'elle était la maîtresse des lieux. D'une oreille attentive il l'entendit parler de Soldats, d'incident...

Il n'avait pas rêvé,

Ses instincts ne l'avaient pas trompé!

Il y avait du tapage à l'extérieur... Voir des cavaliers en armes... Ici à la cour des Miracles cela n'augurait rien de bon! "Norf!" Que ferait-il si vraiment des Armées avaient envahis l'endroit? De quel côté se rangerait-il?! Sûrement ce n'était pas les Armées du Roi non... Elles devaient ou plutôt elles se devaient d'être sur le front de Bretagne... Alors si ce n'était pas les armées du Roi, Valric avait alors décidé de son camp! Si le besoin s'en faisait sentir, il défendrait cette endroit point à la ligne!

Ne voulant pas quitter sa chaise auprès de la belle Démetria il regarda d'un regard inquiet et questionneur la Reine des Lieux. Il espéra alors qu'elle le remarque et vienne lui demander soutient. Après tout, s'il avait été Chef d'Escorte du Grand Maître de France, il pouvait bien escorter la Maîtresse d'un bordel!

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pnj
Line n'en a pas fini de rougir de sa conduite. A présent elle ne sait quoi faire de ses bras. Une autre femme est entrée, beauté nocturne, palais inconnus. Elle avoue avoir été abandonnée, sans doute par un client. Pourtant ses pas un peu hésitants montrent qu'elle n'a pas l'air d'être accoutumée au lieu. Etrange, étrange. Elle repart aussi vite qu'elle est venue, laissant derrière elle une atmosphère onirique. Line rêve de la nuit et de ses splendeurs cachées, de la Lune si capricieuse, de son reflet dans l'eau une nuit de printemps, quand Line vivait encore au bord de la Seine. C'est ainsi qu'elle se laisse surprendre par une voix qu'elle n'a pas encore entendue, une voix calme, assez autoritaire, et pourtant terriblement féminine et sensuelle. Une voix rauque aussi, un peu fatiguée. Line émerge de sa rêverie et regarde la nouvelle venue. Pas de doute. On la lui a bien décrite. Cheveux de feu, yeux de mer, coquillage de délires érotiques, splendeur incroyable. C'est elle ! C'est la Succube ! Elle en a tant rêvé de cette femme légendaire, dont le surnom est murmuré dans toutes les tavernes de la Cour. Line se sent à la fois flottante et attirée dans les profondeurs dangereuses de ce regard. Cette femme, c'est l'alliance parfaite de l'eau et du feu. Ce regard qui est dirigé vers elle ! Line a la tête qui tourne, elle s'accroche aux mots, à leur sens, ne pas perdre le fil, non.


Citation:
Laissez cela, nous nous en chargerons. Approchez vous du bar et commandez ce qu’il vous plaira, profitez ....



Elle comprend et répond :

Non, non, cette flaque vient de la pluie qui s'était accrochée sur mes vêtements. C'est à moi de nettoyer cela.

La situation ne pourrait être plus désastreuse. Au lieu de parler de travail, d'avenir ici, des vagues de désir qu'il s'agirait de combler, voilà que les premiers mots échangés entre la succube et elle traitent de nettoyage du sol et de sa flaque-bourde ! En outre, la Succube semble la prendre pour une cliente. Line ne sait plus si elle doit rire ou pleurer. Les larmes intérieures la submergent, mais l'autodérision salvatrice vient à son secours. Elle se sent si crétine de n'avoir pas encore dit ce qu'elle fait ici, de s'être tant attardée sur sa flaque, si insuffisante de ne pas pouvoir non plus endosser le rôle de cliente, puisqu'elle n'a pas même de quoi s'offrir à boire ou à manger. C'est vrai, quoi, rien ne va ! Line réprime un fou rire, ça chante des idioties dans sa tête, elle sourit et pense à ses amis les poissons de la Seine, avec leurs yeux globuleux. Un instant, la jeune femme redevient une gamine prise en faute, qui voudrait briser la situation en un éclat de rire.
Cependant un autre détail cloche, et ce détail ne lui donne pas du tout envie de pouffer davantage. Plus elle observe son interlocutrice, plus elle s'en aperçoit, de cette anomalie. Dans ses rêves, la Succube était une reine victorieuse, resplendissante de beauté. Reine, elle l'est sans conteste. Quel port de tête ! Chez cette femme, pas une once de vulgarité. Belle, c'est incroyable à quel point elle l'est. Mais victorieuse ? son regard est trop mélancolique, son teint trop pâle. Serait-elle malade ? Malheureuse ? A-t-elle des soucis ? Line réprime un frisson. Cette gravité la contraint à se recentrer un peu. Elle tente de parler mais déjà la Succube est partie. La belle aux charmes nocturnes, elle, revient, lui propose de quoi se sécher et tente de l'emmener au bar. Desemparée, Line se laisse un peu faire mais consciente de sa bourse vide, elle finit par réagir.

A vrai dire, je ne suis pas une cliente. Je viens ici parce que j'ai tant entendu parler de la beauté cruelle des roses, et moi, voilà, je cherche du travail. Je ne suis vraiment pas une cliente.

C'est dit. Pauvre Line. Elle se sent en dessous de tout. Après tout, personne ne lui a jamais dit que même le rouge au front, elle est charmante.
---fromFRLaylana
Laylana observe tout ces gens puis se rend compte qu'elle va être ridicule dans un tel lieux. Elle se dit soudain qu'elle ferait mieux de s'éclipser avant de se rendre ridicule puis l'idée lui vient qu'elle serait encore plus ridicule si elle partait maintenant.
Laylana prend son courage à deux mains puis s'assoie à une table en essayant de se convaincre qu'elle arrivera à ne rien faire de stupide. Elle observe la jeune femme, nommée Line qui semblait vouloir absolument nettoyer cette fichue flaque.
-Comme moi quoi, y'a moins ridicule que moi...

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L'enfer est un paradis qui brule.

Soyez complice du crime de vivre et fuyez!
pnj
L’attention de son interlocutrice fut détournée un bref moment par une jeune femme, une simple meschine pensa-t-il. Il avait pu voir de l’étonnement dans les yeux de la Succube _ c’est à ce nom qu’elle avait répondu lui semblait-il _, peut-être la vue d’un galapiat dans sa Maison ne lui était pas familière, et certainement pas appréciable. Après la mande d’un verre de vin, elle se retourna vers lui.

Un gentilhomme comme vous ne saurait me déranger. Rangez donc vos piécettes, elles suffiraient à peine à payer une coupe de vin.

Le hère sentit un sourire poindre au coin de ses lèvres ; ainsi, elle lui ferait cadeau de sa demande. Elle était du genre bourru, il l’avait déjà bien observée ; mais elle le dissimulait sous un air chatternite dès qu’elle avait à causer un brin, ce qui en trompait certainement plus d’un.

Ici rien n'est gratuit jeune homme. Mais... tout travail méritant salaire, je veux bien pourvoir à vos besoins pour la nuit, repas et lit uniquement s'entend contre un petit travail. Que savez vous faire qui pourrait m'être utile ?

Ainsi, il s’était donc fourvoyé… Elle ne lui offrait rien, mais le lui vendait. Mais après tout, pourquoi non ? Il n’était pas malhabile de ses mains, et était bien capable de rendre quelques services si cela pouvait lui apporter repaissance et nuitée l’esprit quiet, contrairement au dehors où l’on ne pouvait s’assurer d’une nuit tranquille. Mais que pouvait-il proposer qu’elle n’ait déjà ? Le service en salle ou en cuisine ? Les meschines étaient bien plus attirantes que lui, il en convenait, aux yeux des hommes pour le service ; et les cuisines devaient bien avoir leurs queux, meilleurs que lui dans ce domaine. Il lui fallait trouver une monnaie d’échange plus appropriée… Qu’était-il capable de faire ? Qu’avait-il à marchander ? Mais ce fut la Succube qui lui apporta la réponse. Elle fronça soudainement les sourcils, le regard fixé au-dessus de son épaule, l’air passablement contrarié.

Vous venez d'arriver n'est-ce pas ? Avez-vous vu quelque chose dehors ? Un incident ? Des soldats ?

Il se retourna alors, et vit la vitre brisée. Il l’avait aperçue en arrivant, mais ne s’était pas réellement posé de questions, pensant qu’il était courant en un endroit si fréquenté de finir une journée avec quelque fenestre détériorée.

Vous m'en voyez désolé, mais il me semble que cet incident fut advenu avant mon arrivée en ces lieux. Je suis habituellement à mon aise de n’être témoin de rien, je ne préfère pas m’aviser d’autres choses que de moi-même… Mais je suis navré, vous m’êtes plaisante et m’apparaissez comme une gente Dame, et je ne puis pourtant vous apporter mon aide à ce sujet ! Cependant, au vu des circonstances, je peux me proposer pour vous changer cette fenestre. Et par la même occasion, sans souhaiter vous paraître vipérin, votre devanture m’est apparue quelque peu… ancienne et dévernie. Je pourrais lui redonner son allure d’antan, et m’y mettre dès le lever du jour ? Je n’aspire ce vêpre qu’au sommeil et à me sustenter…

Le Vagabond espérait une réponse positive, il était à bout et ne tenait pas à passer une nuit sous la pluie. Encore, cela, il aurait pu l’accepter. Mais il ne pouvait se payer un repas avec ce qu’il possédait de monnaie ; il n’aimait point cela, mais s’il se voyait refuser un repas ici aussi, il devrait larronner ce soir…
pnj
Obscure avait vu la maitresse de maison descendre. Une magnifique rousse. Elle avait de la prestance et était comme ce l'avait aimaginé Obscure. Plusieurs personnes étaient entrées depuis quelques temps. obscure vit bien qu'il manquait de personnel. Avec un peu de chance elle pourrait se faire enganger, mais pour cela elle devait pouvoir parler avec la propriétaire. La jeune femme au cheveux noir observait la succube. Et tous ces hommes qui entraient. Obscure les regarder avec aviditée. Mais plusiseur femme aussi étaient apparus. Obscure espérait qu'elle serait prise. Elle décida de se mettre à l'eau pour se dégriser un peu. Elle attendit donc que La succube porte son attention sur elle pour lui faire part de sa demande.
---fromFRDemetria.
Demetria... Belle et jeune pouvez-vous me faire préparer un repas pour soutenir ce corps que je porte brisé de quelques blessures? Vous êtes déjà un ange au regard mais cette attention serait des plus divines à cet instant. Et puis si cela ne serait trop vous demandez, j'aimerais bien vous entendre parler de vous. La beauté de votre être me fascine déjà et bien sûr j'aimerais bien connaître les dessous de cette façade de charnelle tentation.

Assis en face d'elle, il se tient droit. D'un oeil jeune elle observe les mimiques qui se profilent sur le visage buriné du militaire tandis qu'il pense... Amusant parfois comme on peut lire sur l'autre le fait qu'il a une vie intérieure. La fossette gauche se creuse un peu tandis qu'elle laisse se promener le sourire sur ses lèvres.

J'aimerais vous entendre me dire par quel hasard vous vous êtes retrouvé ici, d'où vient cet envie de mettre, si haut prix, aux enchères et bien, découvrir la demoiselle que vous êtes, belle Demetria.

Le minois se fait mystérieux, le regard joueur. Elle ne remarque pas vraiment ce qu'il se passe, dans une capacité qui frole l'autisme à ne se concentrer que sur une chose à la fois. Un peu l'inverse de Rexane au final...
Peut être pour cette raison qu'elles s'entendent si bien. Une inspiration... Dira, dira pas... A quinze ans l'hésitation est éphémère et balançant son pied en cadence avec les pensées, elle glisse d'une voix basse aux consonances taquines :


Vous connaissez déjà mon nom.
Vous connaissez déjà mon état de vierge aux enchères.
Vous connaissez le lieu où je vis.
Quant aux raisons qui m'ont poussées à entrer ici... Le froid de l'hiver, et la chaleur du lieu.
Autre chose peut être ?


Elle incline la tête, laissant les boucles rousses caresser son bras et y soulever la peau en un charmant frisson qui court sur sa peau jusqu'à caresser l'échine. Elle esquisse un vague mouvement, avisant le mouvement de tête du soldat, l'imitant, pour apercevoir la Reyne Maquerelle, le teint rose et l'allure sereine...
D'un doigt elle effleure le bras devant elle. Et d'un petit air mutin sourit à Valric.


Je vais donc vous chercher à manger.
Souhaitez vous m'accompagner une partie du trajet, je vous présenterai ainsi La Succube.
Elle vous aiguillera sur les choix qui se présentent à vous.


Et sans vraiment attendre de réponse, elle saute sur ses pieds. Etrange mélange entre l'adolescente et la femme séduisante, le dos dénudé, tissu dessinant amoureusement les courbes fermes de la demoiselle.
Le pas nonchalant, elle guide l'homme d'armes jusqu'à la rousse flamboyante. Entourée, la maîtresse des lieux. D'un regard et d'un geste discret elle attire son attention, puis laisse Valric se débrouiller tandis qu'elle file vers les cuisines.

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Valric
Il sortie bien rapidement de ses pensées quand la belle Démetria reprit la conversation. Ce sourire oh combien charmant sur ses lèvres qui s'entrouvrirent sur un ton taquin.

Vous connaissez déjà mon nom.
Vous connaissez déjà mon état de vierge aux enchères.
Vous connaissez le lieu où je vis.
Quant aux raisons qui m'ont poussées à entrer ici... Le froid de l'hiver, et la chaleur du lieu.
Autre chose peut être ?


Il sourit à son tour brièvement,

Cela le frappa de la voir déjà et si jeune jouer avec ses manières de façon à capter l'attention de tout homme devant elle. Vraiment les yeux de la belle le perçait au jour.

Il se sentait vulnérable d'une certaine façon.

On aurait dit qu'elle pouvait voir tout se qui se passait dans sa tête. Sans jamais l'avoir vu auparavent elle semblait le connaître et savait surtout comment prendre son attention. Elle le perçait à jour et à peine avait-il regardé vers la Maîtresse des Lieux que la jeune vierge avait enregistré le mouvement et son regard suivant le sient aboutit sur celle que l'on nommait "La Succube".

Un frisson lui passa du bras jusqu'à l'épaule laissant sa marque douloureuse sur ses côtes encore en voie de guérison. Le touché si délicat ramenait instinctivement et avec force l'attention du Gambiani sur la vierge. Son esprit virevolletait et à peine avait-il le temps de s'y plonger qu'elle reprenait la parole.

Elle voulait lui présenter La Succube!

"Norf!" La Succube & Le Gambiani en tête à tête... "Norf!" Qui l'aurait cru!

Il ne pouvait pas refuser... Il ne pouvait pas réagir à cet instant car déjà la gamine sautait sur ses pieds. L'adolescence de ses mouvements n'était que finesse à la beauté de son corps presque femme. Sans comprendre il l'a suivait vers la "patronne". Sans savoir pour il était si captivé par ses mouvements il se retrouva face à face avec la femme la plus connu de la Cours...

Il fallait parler...

Réagir du moins!

La parole hésitante et le regard comblé devant la femme qu'était La Succube, Valric tenta de prendre part à la coversation improvisé pour tout de même se présenter à elle.


Ma Dame, je vous amène mes respects et mes salutations. Je suis le Lieute...

Il laissa glisser sa main dans ses cheveux en bataille.

Valric Gambiani de Valrose, ma Dame. Cet un plaisir de vous rencontrer et je ne voudrais pas parraître grossier de détourner la conversation ainsi mais est-ce moi où il y a eu ou a encore à la Cours du tapage?! J'ai cru entendre le bruit du fer contre fer mélangé au pas de sabots... J'espère que ce n'est pas ma tête qui me joue un tour et en contre-partie, j'espère dans un sens qu'aucune armée n'est présente ici!

Cela tromblait vraiment le Gambiani de savoir que la Cours pouvait être menacé... Pour plusieurs ce n'était qu'un endroit ou la charogne du Royaume se retrouvait mais pour le jeune Lieutenant d'État-Major Royal, c'était un endroit où certaines personnes pourraient espérer un meilleur lendemain. Ici ils étaient protégés et plusieurs gagnaient leur vie. Peut-être pas de la facon la plus honorable mais avoir pour métier de faire couller le sang n'était peut-être pas des plus honorable non plus!
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Lyhra
Ainsi celui-ci ne savait rien, n’avait rien vu ni entendu pourtant son instinct lui disait qu’au-delà d’une fenêtre brisée il se mijotait des ennuis dans les environs.
Quelque chose dans l’air…


Je n’aurais pas le cœur à vous renvoyer sous cette pluie, faites vous servir quelque chose à manger et à boire, on vous indiquera un endroit ou dormir mais ne le répétez pas trop fort n’est-ce pas ? La Rose n’est point une auberge, je ne voudrais pas qu’il arrive des charretées de curieux sans le sou.

Pour ces travaux, ce sera parfait, faites vite surtout pour la fenêtre, en attendant nous tirerons le volet.
Il y a des outils dans les caves, laissés par les ouvriers de mon maitre d’œuvre, vous y trouverez sans doute tout ce qu’il vous faudra.

Un petit silence, tout est bien, elle n’a rien oublié.

Alors c’est entendu. L’affaire est conclue.

La Succube sentait peser le regard de plusieurs personnes dans sa direction mais elle ne put s’interroger à ce sujet que Démétria conduisait celui qu’elle avait au préalable remarqué jugeant qu’il avait tout d’un soldat et en eut aussitôt la confirmation.

Lieutenant Gambiani de Valrose … souffla t’elle d’une voix rauque, un nom sans doute fort honorable et qui ne manque pas de panache.
Vous me voyez enchantée de votre présence, sachez que je ferai mon possible pour que vous passiez un merveilleux moments parmi nous.

La situation était pourtant délicate… elle ne put attendre plus avant de l’interroger d’un ton pressant,

Alors vous aussi avez entendu ces bruits ? Cela ne ressemblait en rien à l’agitation habituelle de la Cour ! j’en étais sûre !
Je m’inquiète voyez vous… Nous sommes bien isolés au cœur même de Paris… Et si la Cour devait se trouver sous le coup d’une quelconque embuscade… ce serait si terrible… dans son regard hanté défile des images de mort et de feu.

Vous savez… elle s’approche de lui comme pour une confidence, il n’y a pas que des mauvaises gens ici. Les miséreux sont ils forcément des crapules ? Et puis il y a des enfants, des femmes ! Et même les voleurs qui peuplent la cour ont parfois plus d’honneur que ceux qu’on nomme les honnêtes gens !

Sa véhémence se veut convaincante, la Cour est toute sa vie, la sentir menacée lui est insupportable.
Peut être n’est-ce rien ? Rien du tout… mais il faudrait s’en assurer.

Il suffirait d’enfiler un mantel et d’aller voir …


Je me demande si… m’accompagneriez vous ? A cette heure les places sont bien éclairées, de grands feux, tout le monde se regroupe, je pourrais apprendre de quoi il retourne…

Ils n’en auraient que pour un instant… et le jeune garçon qui avait gagné souper et matelas pourrait rester au bar s’assurer que tout aille bien. Il était jeune certes mais avait l’air bien bâti.
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---fromFRCarinya
Apparemment la femme qui cherchait un travail en grommelant ne l'avait pas entendue puis qu'elle était partie en sens opposer... Hum... Que faire, aller la chercher où qu'elle décide à venir en salon rencontrer du monde et les personnes qui pourraient l'aider ?
Peut-être avait-elle besoin d'un temps pour se consacrer à ses pensées.
En se dirigeant vers le bar, l'autre jeune femme connue sous le nom de Line semble confuse et se défait de son emprise.
Voilà qui était bien étrange, mais cette dernière s'expliqua.

A vrai dire, je ne suis pas une cliente. Je viens ici parce que j'ai tant entendu parler de la beauté cruelle des roses, et moi, voilà, je cherche du travail. Je ne suis vraiment pas une cliente.

Vous savez, je me doutais un peu que vous n'étiez pas une cliente. Sinon, votre regard aurait une toute autre expression en me regardant ou bien en regardant les autres femmes.

Avec un peu rire elle continua :

Et puis, trouvez-vous que ma beauté est cruelle ? Ici, la beauté naturelle, on la chouchoute, on la câline... Vous savez, en vous arrangeant un peu, vous aussi pourriez faire partie de la beauté "cruelle" des Roses...

Carinya s'assit et porta son attention vers l'homme qui lui ne s'était pas fait prier pour s'asseoir.

Vous accueillez toujours les clients avec temps de monde ou somme nous juste chanceux?

Pour ma part, vous êtes peut-être des chanceux, c'est mon tout premier jour ici. Mais sinon, recevoir être une ficelle à dompter.
Elle le regarda poser ses yeux sur elle ce qui la fit légèrement sourire illuminant ses prunelles bleu ciel. Puis il porta son attention vers Nérée, la douce et tendre apparemment de cette Rose, exceptée Chloé évidement.
Il se rapprocha de cette douce et lui parla doucement, elle ne l'écouta pas, car après tout cela ne la regardait pas.


Carinya sourit à la jeune femme et lui tendit un verre sans vraiment porter attention à ses protestation.

Taisez-vous et buvez... On dirait que vous ne vous êtes pas rempli l'estomac depuis des jours, si vous voulez faire bonne impression pour espérer trouver un travail ici, il faudrait faire en sorte que ses joues blanches reprennent quelque peu des couleurs.

La jeune femme habillée de noir avec son décolleté en dentelle observait cette femme.

Il y a, je pense encore de la place pour devenir catin, nous recherchons un portier, mais un homme serait plus appliqué à cette tâche, et il nous reste, je pense le poste de servante car bien que nous nettoyions derrière nous, nous sommes en général très occupé et c'est donc difficile de faire le ménage de fond en comble pour que cet endroit resplendisse. Comme, c'est le cas aujourd'hui.

Carinya sonda de ses prunelles claires celles de Line qui étaient troublées. Hum... Elle devait sûrement être troublée de venir quémander un travail ici. Car il ne faisait aucun doute que depuis le temps, elle avait remarqué qu'il s'agissait d'un bordel.

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---fromFRAnonymous
Seule assisse dans son coin à boire un verre de fée verte et attendant la Providence, celle qui sera lui faire tourner la tête et battre le coeur. Plongée dans ses profondes méditations, à la Rose Pourpre, tout s'enchaine, La Succube fait son retour et inspecte les lieux. On frappe à nouveau et on entre ..comme dans un moulin.. Un jeune homme et une femme dégoulinant d'eau font leur entrée..Décidémment, il n'y a pas qu'un portier qui manque!!

Regard dans leur direction puis retour à la case départ celle de son verre à moitié vide.

La nouvelle recrue se chargent de faire venir les visiteurs au comptoir puis leur propose à boire..Nérée est curieuse de savoir si elle va s'en sortir. Apparemment, la nouvelle apprend vite et il est préférable à la Rose.

Le client s'approche davantage d'elle et lui demande quelque chose..Sourire qui s'affiche sur le visage de la jeune femme avant de lui répondre tout aussi doucement, allant jusqu'à frôler son visage

"Messire, vous ne m'importunez guère..Je suis là pour vous servir et vous guidez si besoin est...quelle bonne idée pour commencer une discussion que de la faire autour d'un verre..Vous avez une préférence pour un alcool? Pour ma part, j'adore la Fée Verte, elle est excellente..En voulez vous Messire?"

Elle reporta son regard sur lui en attendant sa réponse.
Jeanbaptiste63
Voila ce soir c'est avec elle qui s'amusera jusqu'à en perdre la tête comme avec toute les femmes pour lui. C'était surement son plus gros défaut ça, cette amour pour les femmes et leur corps auquel il ne résistait pas.Ce n'était pas prêt de changer car même si défois il se faisait avoir, il les aimaient trop pour arrêter.


"Messire, vous ne m'importunez guère..Je suis là pour vous servir et vous guidez si besoin est...quelle bonne idée pour commencer une discussion que de la faire autour d'un verre..Vous avez une préférence pour un alcool? Pour ma part, j'adore la Fée Verte, elle est excellente..En voulez vous Messire?"

Et bien servez donc de la fait verte puisqu'elle est excellente mademoiselle sans nom.Et puisque nous en somme la, moi c'est Jean-Baptiste, simple voyageur venu gouter au délice d'une nuit avec vous.

Voila maintenant c'est parti pour lui, cette soirée s'annonce
merveilleuse avant qu'il jette un nouveau regard a la Succube en conversation avec un soldat. Il savait qu'elle devait se renseigner sur les événements qui se déroulé a la cour et qui pouvait atteindre son établissement. En venant il avait vu une cour en ébullition mais pas celle normal, plus de colère et de peur.Plus de cri et de larme, bientot les cri et le sang des mendiants et le feu qui brule les innocents.
Il décida de lui souffler un mot avant d revenir prendre son verre, peut être pourra t'elle faire quelque chose pour eux.Juste une parole a sa nouvelle compagne.

Excuser moi, il faut que je parle a la Succube je reviens de suite profitez de vos charmes.

Il se leva et s'approcha de la dite dame en grande conversation avec le soldat.Il attendit qu'elle aie fini de parler pour les interrompre.
Je m'excuse de vous interrompre mais j'ai cru comprendre que vous recherchiez d'ou vienne ces bruits et cette agitation.Les templiers madame sont a nos portes.Tous sont venu de France et de plus loin.Déjà les enfants ont peur et les vieillards se cachent.Gare si dans la rue vous mettez les pieds
Maintenant si vous le voulez bien je vais retournez a la raison pour laquelle je suis venu ici.


Il salua la dame et le soldat un petit sourire au lèvre. Le voila de retour au bar ou les verres avait été servi. Il la remercia et porta la coupe a ses lèvres.
A une soirée qui s'annonce merveilleuse.
pnj
La réponse vint vite, la Succube ne devait pas être du genre à gamberger plus que le nécessaire. Une qualité appréciable dans un monde où la réflexion prenait le pas sur l’élan du cœur…

Je n’aurais pas le cœur à vous renvoyer sous cette pluie, faites vous servir quelque chose à manger et à boire, on vous indiquera un endroit ou dormir mais ne le répétez pas trop fort n’est-ce pas ? La Rose n’est point une auberge, je ne voudrais pas qu’il arrive des charretées de curieux sans le sou. Pour ces travaux, ce sera parfait, faites vite surtout pour la fenêtre, en attendant nous tirerons le volet. Il y a des outils dans les caves, laissés par les ouvriers de mon maître d’œuvre, vous y trouverez sans doute tout ce qu’il vous faudra.

Elle n’a pas même le temps de souffler, cette pauvre femme, qu’on lui amène un autre homme ; certainement un soldenier, tout harnaché qu’il l’était. Rick n’aimait pas ça… les soldats n’apportaient jamais rien de bon avec eux, et il suffisaient qu’ils soient présents pour attiser les haines. Le Vagabond n’avait que peu de choses à se reprocher, certes quelques larcins par-ci par-là sans jamais rien de bien méchant, mais avait déjà eu affaire de nombreuses fois à ces hommes. Il est rare que les galapians de son genre ne soient bien vus…

« Nous tirerons le volet », avait-elle dit. Mais quitte à se donner à la tâche, autant l’exécuter jusqu’au bout, du moins autant bien la débuter ! Il laissa donc la femme à ses occupations, et se dirigea vers ladite fenestre. Rien de bien compliqué pour le moment, le panneau de bois était posé contre le mur, il n’eut qu’à le faire passer dans ses fixations et le tour était joué. La corvée ne serait pas aussi simple le lendemain.

Il pouvait maintenant se remplir la panse ! La Succube lui avait dit de se faire servir, il n’allait pas se faire prier. Il avisa une serveuse qui passait au-devant de lui.


Bien le bonsoir damoiselle. Je ne puis vous entretenir du beau temps et en suis navré, nous aurions de ce fait eu un intéressant sujet de conversation. Remarquez, il ne m’étonnerait pas que vous vous en fussiez désintéressée… à mon grand dam ! Mais je ne suis point ici pour de tels discours. Il me serait aise que vous me guidiez à table et m’apportiez un repas. Le plus simple fera l’affaire, je ne désire que souper chaud.

Elle ne paraissait pas comprendre. Peut-être la pauvrette n’était-elle pas des mieux loties question méninges ; ou encore n’avait-elle pas pour habitude qu’un vulgaire vagabond ne sache user de manière distinguée le françois, sans aligner de grossièretés à toute phrase énoncée ? Il avait pourtant lui aussi suivi une éducation, certes pas des plus poussées, mais une éducation tout de même. Le vagabondage n’était qu’un choix de vie.
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