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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

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Obscure qui c'était endormie sur la table de la cuisine se réveilla. Elle regarda par la fenêtre et vit que le soleil était rendu haut.

Elle se leva encore autant fatiguée. La servante n'avait pas bien dormit. Elle aurait préféré avoir un lit, mais elle n'avait pas osé en demander un de peur de se faire encore retourner de bord.

Obscure avait mal partout. Les yeux à moitiés fermés elle alla voir s'il y avait quelque chose à manger. Elle trouva des fruits. La servante se mit à manger les fruits, puis décida d'aller dans la salle sans faire de bruit.

Vu qu'elle était déjà levée la jeune femme décida de commencer le travail. De toute façon ça prendrait des heures. Obscure soupira et alla chercher son matériel de ménage.

Elle ramassa en premier les verres et assiettes qui trainaient un peu partout dans la salle. Elle les lava et l'ai rangea. Elle lava le comptoir du bar.

La servante prit son balai et commença à nettoyer le plancher. Elle lava les tables, changea les bougies de la veille qui avaient fondu et alla derrière jeter les restes de nouritures imangeables.

Elle resta un moment dehors pour profiter du soleil. Obscure revint dans la salle. il restait encore bien du travail.

Elle prit la direction des alcôves et prit les draps et cousins qui avaient besoin d'un bon lavage. Elle partit dans la cuisine et fit bouillir de l'eau et vida l'eau chaude dans la cuvette. pendant des heures elle frotta les draps et les fit sécher.

Obscure trouva des draps et des cousins de rechange et alla installer le tout dans les alcôves.

La servante prit un plumeau et épousseta les étagères derrière le comptoir et les nombreux vases que la salle contenait.

Elle retourna en cuisine et prit la vaiselle et retourna dans la salle et installa le tout pour que lorsque les filles de la Rose se réveilleraient n'auraient pas à attendre pour manger. Le cuisinier avait déjà fait à manger et la jeune femme porta tout sur la table.

Obscure regarda voir si elle avait oublié quelque chose. Tout semblait en ordre et la salle brillait de propreté. La servante sourit et se sentait lasse. Elle n'avait pas fière allure.

Elle prit donc un seau et sortit pour aller à la fontaine proche de La Rose. Elle avait ammené son sac qui avait du savon. Elle se lava et se recoiffa.

Elle revint et entra sans faire de bruit et prit dans son sac une autre robe. Elle avait pourtant dit qu'elle n'avait qu'une autre robe, mais celle qu'elle venait de sortir était plus pratique pour faire le ménage et travailler. Elle était verte et n'avait aucune broderies ou artifices, mais elle lui faisait très bien. La robe laissait voir ses épaules seulement. Une vrai robe de servante.

Pendant la soirée, elle serait sûrement confinée dans la cuisine ce qui ne l'a dérangé pas c'était mieux que de se faire rouspéter. Elle s'assit donc dans la cuisine en entendant que l'établissement se réveille. Elle espérait qu'on remarquerait son travail...
---fromFRAnma
Aux bains...

Le Soleil escaladait lentement le ciel sombre, mais pourtant le jeune couple replongeait dans l’obscurité, dévalant d’un pas ralentit par la fatigue un étroit escalier, caché par des tentures de velours, menant à une autre partie de la cave. Cette dernière, bien qu’aussi obscure, semblait tout de suite plus chaleureuse que la prison sous-terraine et improvisée du Bordel, là où croupissaient à présent deux hommes de l’église, intrus en ces lieux...

Arrivés à la dernière marche, les jeunes gens mirent pieds à un sol de terre battue recouvert de quelques tapis et traversèrent un petit couloir donnant sur trois pièces dont une seule fut leur destination finale... Le jeune homme ne pensait plus alors qu’à se délasser dans l’eau chaude, un luxe qu’il n’avait plus eu l’occasion de savourer depuis longtemps, alors que Chloé poussait devant lui une porte au bois sculpté d’ornements qui s’ouvrit sur une vaste pièce... Une lumière tamisée, échappée de quelques bougies posées sur une table alors que les lanternes restaient sans lumières, se reflétait à la surface d’une eau déjà chauffée, des nappes de vapeur dansant dans cette atmosphère de détente intime, portant à ses narines une douce odeur de savon...

Les pieds de l’homme d’Orient s’impatientaient de délaisser les dalles froides du seuil de la porte pour celles, surement plus chaude, du fond du bassin chauffé. À leurs côtés, ceux de Chloé restaient immobiles dans leurs chausses tandis que sur le visage de leur propriétaire deux lèvres charnues s’étiraient en un sourire las mais heureux. Les regards des deux amants se croisèrent, ceux d’Anma, brillant d’envie et de hâte, se reflétant dans ceux de sa douce...

Sans attendre, pour une fois, une quelconque approbation, le jeune étranger étreignit Chloé, la saisissant par la taille et prenant entre ses lèvres son lobe d’oreille, lui murmurant à l’oreille deux mots, deux simples mots...


Suis-moi...

Sur cette parole, il l’entraîna vers le bassin et ce fut sans pudeur qu’il détacha l’unique ficelle retenant ses braies sur son corps toujours serré à celui de son amante, les laissant glisser le long de ses jambes brunes, se séparant de l'intendante et les abandonnant à ses pieds... Seul le bas de sa longue tunique protégeait encore son intimité tandis qu’il posait un pied sur la première marche permettant d’accéder au bain. Un instant, Anma laissa ses paupières se clore sur ses yeux, savourant ce premier contact avec l’eau chaude depuis si longtemps... Oh oui, il s’était déjà baigné durant sa captivité, mais de force et dans l’eau tiède, voir froide, dans le seul but de le rendre présentable aux yeux d’acheteurs potentiels qu’il ne voyait jamais, ayant les yeux bandés presque en permanence. Mais cette fois, c’était une douce vengeance à torture...

Ouvrant les yeux, le jeune homme observa un instant Chloé, se mordant à nouveau la lèvre inférieure... C’était surtout grâce à elle qu’il pouvait à présent se laver et dormir sans crainte... Oui, la Succube lui offrait tout cela en plus des repas, mais elle ne lui offrait pas une présence réconfortante en permanence, un corps à enlacer dans le sommeil, des lèvres à embrasser... de l’amour. C’était Chloé qui lui avait offert cela avec sa liberté... Et que pouvait-il lui offrir en retour sinon son amour sans cesse grandissant bien que tout juste naissant pour elle ?

Sans plus attendre, le jeune homme se saisit de son dernier vêtement, le faisant passer par-dessus sa tête et l’abandonnant non loin du bain... C’est complètement nu qu’il descendit les dernières marches du bassin et qu’il posa ses pieds sur le sol chauffé. S’asseyant sur un des bancs taillés à même les parois du bassin, il sentit l’eau chaude enserrer son buste jusque sous sa poitrine, caressant sa peau sombre... Anma soupira d’aise en réponse à cette sensation délicieuse tandis que l'étreinte de Morphée se faisait plus douce et moins pressante...

Mouillant sa chevelure sombre, il se laissa porter par la détente fixant Chloé qui, toujours au sec, l’observait... Silencieusement, d’un regard, il l’invita à le rejoindre.
Jeanbaptiste63
HRP:Bon je poste se message en prenant en compte le fait que LJD nérée a disparu du forum donc je fait avec et aussi avec beaucoup de retard mais temps pis.

RP:

Belle avait été la nuit avec cette douce compagnie, voila bien longtemps qu'il n'avait plus connu pareil plaisir en compagnie d'une femme. Entre eux tout avait été parfait mais elle été parti sans un mot au petit matin le laissant seul et triste.
Prise de conscience soudaine, il avait tout perdu et même les catins ne voulait rester avec lui.Triste sourire qui s'affiche sur son visage a l'air maussade.

Traine sa carcasse dans les escaliers et voit les derniers couple qui se sépare apres de longue nuit, hommes au visages satisfait qui descende la mine réjouit rejoindre leur existence fade.
Passe alors la tenancière prêt de lui, a voir son visage la nuit a té longue et éprouvante, d'autre fille sont en train de remonter seul cette fois pour reposer leur frêle corps qui se soir encore la cour entière enviera.

Arrive das la grande sale presque vide ou une femme fait le ménage entre les derniers homes affalait sur les tables.
"Ils leur faut vraiment un portier dans cet établissement"

Continue sa descente et commence a se déplacer vers la porte quand jetant un dernier regard une idée s'insinue dans son esprit, il avait tout perdu et avait fuit sa vie d'avant our se retrouver ici dans l'espoir de s'y refaire.
Mais il devait pour l'instant survire dans cette cour alors pourquoi pas ici, il pourrait peut être s'y faire une place et rencontré ceux qui chercher pour mener ses projets a bien.

Agitation de tout son esprit qui cherche maintenant commet faire tandis que ses yeux cherche avec fureur une des filles avant qu'il décide de fermer.Pas au bar, ni dans les escaliers, pas non plus dans la salle.
Respirer un long moent et prendre le temps de se calmer, il devait bien un moment ou un autre faire sortir tout le monde donc il reviendrait forcement ici.

Changement de direction et se dirige vers le bar et il commence a regzrder partout autour de lui cherchant un visage connu, personne encore.
Attendre encore patiemment, attendre encore et toujours



---fromFRIcarasht
La porte du bordel s'ouvrit brusquement sur une silhouette imposante. Le portier avait visiblement oublié de la fermer à clef. Tout de noir vêtu, un manteau long descendait jusqu'à ses pieds. Une capuche lui recouvrait à moitié le visage, ne laissant paraître que quelques grandes mèches d'un blond éclatant et magnifique.

Au côté, un fourreau ; probablement celui d'une rapière à en juger par la garde espagnole de l'arme qu'il abritait. Le manteau noire portait un blason familial lardé d'une affreuse barre rouge. Le bâtard de Rancon et de Louvelle finit par avancer dans l'établissement où flânaient quelques catins en manque d'argent et quelques potentiels clients en manque d'amour. Une démarche militaire et lourde, imposante et menaçante.

Le Comte Déchu prit une chaise et s'y installa nonchalamment, levant ses jambes avant de laisser choir ses pieds lourdement sur la table. Il sortit une petit poignard qu'il observa un moment, puis, il entreprit de se curer les ongles de la pointe de la lame, attendant qu'on lui apporte ce qu'il recherchait.

Les secondes lui parurent des heures et la patience n'étant guère son fort, il finit par hurler.


Qu'on m'apporte une framboise !

Il marqua une pause avant de sortir une bourse clinquante.

Et pas mal de pièces à celui qui me dira dans quel coin se terrent les Marchombres ! Et bien plus pour ceux qui voudront me suivre dans mon entreprise !
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pnj
Rose Pourpre

Les pas se faisaient bruyant sur le pavé mouillé a l’extérieur dans les rues, le Maître de l’organisation Basilisk se dirigeait en direction de la rose pourpre après avoir découvert une nouvelle recrue qui était a l’heure actuelle blessée tout près de la pochée. Il la reverrait certainement un de ses jours, elle trouverait le chemin du Quartier Général … Le Maître Assassin emprunta une petite ruelle malfamée ou il se fit abordé … par un homme le dépassant de 2 tête et largement plus musclé que lui … une brute comme jamais on aimerait en rencontrer dans sa vie.

Ton argent de suite !

Au lieu de cela que dirais tu d'un tour de magie …
Prend cette lame dans ta main je vais la faire disparaître…


Valentine sortit de sa poche une lame plus fine qu'une dague esquivant un coup bien placé, il vint la planter directement dans son œil l’enfonçant jusqu'à son cerveau .... Un cri roque se fit entendre non loin de la pourpre, l’homme tomba au sol et Valentine répliqua …

Magie ! Je t’avais bien dit que la lame disparaîtrait …

Ses amis n’eurent pas un mot a lui dire, ils quittèrent tous les lieux très rapidement la mort au trousse. Effectivement Luinwe les suivaient pauvre eux, ils avaient choisi la direction de la rose Pourpre. Au niveau de l’homme le plus lent, Le maître assassin lui planta sa dague dans le dos montant avec beaucoup de volonté le long de la colonne vertébrale jusque dans son cou. L’expression sur le visage du condamné exprimait tout le mal que lui procurait cette action … Le laissant au milieu de la rue … Il rattrapa le dernier, l’attrapant par le collet. Il le retourna se dernier se débattait avec ferveur, la peur au ventre sa c’était certain. Un sourire moqueur se dessina sur les lèvres du tueur.

La vie nous pousse parfois à faire des choix … je décide que tu auras la vie sauve … après tout il faut préserver le chaos de la cour des miracles ! Mais dit le a tes amis ne vous en prenez plus jamais a Luinwe Valentine, Maître des Basilisk j’espère avoir été clair … nous sommes la voie a suivre !

Un rire sinistre se fit entendre … puis il relâcha sa prise sur l’homme qui s’enfuit. Il se dirigea calmement vers la Rose dans laquelle il pénétra ne sachant trop s’il devait cogner avant d’entrer. Il n’était jamais venu puisqu’il n’en avait jamais besoin … il avait toujours une femme prête a lui faire l’amour peut importe l’endroit ou la situation … et il leur en était reconnaissant ! Après tout il n’était pas Valentine pour rien …

Valentine alla s’asseoir au bar ayant entendu dire qu’une jeune femme nommé Rexane dont la beauté n’a d’égal que son ironie mordante travaillait ici il avait envie de faire sa connaissance depuis quelques lunes déjà … il n’adressa même pas un regard a l’homme au mauvais caractère durant son parcours de la porte au tabouret, s’il devenait gênant il ne ferait pas long feu cela était certain. L’homme a la cape rouge vin étais sous celle-ci armé jusqu’au dent même si cela ne paraissait pas. Ses long cheveux noir étaient retenus par son bandeau de couleur ocre … un homme d’un beau physique et possédant une hygiène irréprochable comme il y en avait peu en France. Il avait bien envie de compagnie

Avait t-il dit les marchombres ? Le Maître Basilisk le savait ou ils se terraient, peut-être cet homme pourrait être une recrue potentiel puisqu'il n'avait pas l'étoffe d'un chef ... une seule jeune femme était présente une jolie demoiselle pour sûr. Qu’était-il donc venu faire ici ?
{chloe_la_douce}
Une douce descente et ils étaient arrivés au lieu des plaisirs aquatiques.
La pièce était sombre, éclairée d'une lumière diffuse et agréable.
Cette partie de la Rose était ancienne, très ancienne. Elle datait probablement d'une époque oubliée où Paris s'appelait encore Lutéce.
Un système de canalisations en terre cuite apportait de l'eau qui était chauffée par la cheminée de la cuisine.
L'atmosphère chaude et silencieuse, propre aux lieux souterrains incitait à la détente et au repos.
Anma ne s'y trompa pas.
A peine arrivé, le voilà qui l'enlace tendrement, et l'invite à la suivre dans le bassin peu profond qui occupait le centre de la salle.
Sans bouger, elle reste à l'observer sur le bord un moment.
Plaisir des yeux sur des courbes harmonieuses, étonnantes chez un homme.
Finesse presque féminine des hanches et des fesses, malgré des épaules assez larges, il était bien différents des hommes d'ici, même si de face, il n'y a aucun doute sur son identité.

Son corps lui fut finalement caché par le trouble de l'onde, caressante et apaisante, certainement.
Une expression de détente et de plaisir pur prit place sur le visage d'habitude si énigmatique.
En souriant, elle détacha alors sa ceinture et la déposa sur le sol.
Les clés, symbole de son office ici, teintèrent sur le sol brièvement, avant d'être recouvertes par le tissu de sa robe qui glissa sans bruit sur les dalles.
Elle était prête à le rejoindre, mais retardait encore un peu le moment.

D'abord, elle abaissa la barre de la porte, garantissant ainsi leur intimité.
En souriant, elle lui tourna le dos et ouvrit un petit coffre posé contre le mur.
Elle en retira un flacon bleuté et un savon d'aleph. Matière précieuse qui adoucissait la peau, et qui venait également d'un Orient, peu lointain finalement.
Elle s'agenouilla au bord du bassin et versa quelques gouttes du flacon bleu dans l'eau.
Une odeur apaisante s'éleva bientôt dans les vapeurs moites, de la lavande, calmante et reposante.
Satisfaite, elle reboucha le flacon et descendit à son tour les quelques marches, le savon à la main.
L'eau brulante sur sa peau était un supplice délicieux, qui chassait la fatigue et poussait au plaisir.
Avec un soupir heureux, elle s'assit aux côtés d'Anma, renversant sa tête en arrière, pour laisser l'eau imprégner chaque parcelle de son corps.
Une sensation de bien être et de sérénité l'envahit bientôt, poussant presque à la somnolence, mais elle secoua la tête pour chasser cette sensation.
Ca attendrait.

Prenant le savon en main, elle l'humidifia et le frotta, imprégnant ses mains de mousse blanche. Presque timidement, elle avança sa main vers le cou humide d'Anma et la laissa doucement redescendre sur l'épaule encore marquée de bleus.


- Pour aujourd'hui, c'est à mon tour de te faire des massages...


Un baiser tendre sur le creux du cou, et elle laisse ses mains vagabonder, mousseuses et glissantes sur la peau brune du jeune homme.
Soulagement, tendresse et douceur, voilà de quoi elle veut profiter à présent, sans arrière pensées.


- Tu vois... tu fais partie de la Rose à présent. Je suis certaine que tout ira bien à présent....


Le savon dessine bientôt des arabesques blanches directement sur la peau brune, alors que l'eau chaude amollit les chairs et que l'odeur de la lavande se diffuse.

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Jeanbaptiste63
Voila quelque minute qu'il était assis la à attendre au bar, son esprit voguant sur le flot de ses pensées.Presque plus de bruit au bordel et déjà le matin qui pointe le bout de son née.

Une porte qui s'ouvre, un homme qui rentre d'une démarche lourde et assuré.Batiste prend quelque seconde de son temps pour le détailler en détail.
Longue cape noir qui cache le visage surement un noble qui voulait se donner un genre assassin; un fourreau de rapière montrant qu'il n'avait aucun respect pour les règles de l'établissement ; une carrure de combattant qui prouvait que la rapière était pas juste la pour décorer.

Et voila que le personnage se met a gueuler a pleine voie pour attirer l'attention de fille qui n'était pas la.Mais voila que quelque parole tombe dans l'oreille de Baptiste qui décide de s'approcher du gars.
Prend une chaise et pose son cul dessus avant de dévisager le bonhomme, prend la parole l'air de rien pour lui dire:


Vous avez de la chance que la tenancière soit monter aussi non elle vous aurez virez du bordel vite fait bien fait pour avoir oser porter des armes dans son bordel.Au fait pas la peine de gueuler la nuit est terminer et les serveuses sont pas la alors faudra faire comme moi attendre.


Petit sourire qui éclaircit son visage et dévoile quelque dents jauni mais presque propre pour le quartier. Voila comment JeanBaptiste aimer commencer une discussion.
Puis ses deux petits yeux marron se pose sur la bourse pour l'analysez comme ils sont l'habitude de le faire sur toute les bourses qu'ils croisent.

Et puis je voudrait pas critiquer mais vous devez être sacrement taré pour sortir une bourse comme ça dans le quartier parce que ça peu intéresser pas mal de gens qui aimerez qu'elle change de main pour atterrir dans la leur.

Espère pas avoir blesser l'égo de l'autre brute pas qu'il ne lui fasse peur mais il était pour le moment désarmer et il n'aimerais pas a voir a combattre le bonhomme en face de lui car en force pur il se ferait écraser.
C'est sur que question de carrure il pouvait pas rivaliser mais son corps sec était expert au combat a l'épée.
Maintenant fallait pas le laisser parler ou penser et reprendre la conversation.

Mais bon j'ai pu entendre votre délicate voix dire avec délicatesse que vous cherchiez les Marchombes et il se trouve comme par miracle que je sais ou il se terre. C'est surement la providence qui vous a mis sur ma route.Et comme je n'ai rien de mieux a faire en ce moment on pourrait parler affaire
pnj
Obscure qui attendait dans la cuisine que les filles se réveillent entendit un vacarme. Elle sursauta et se demanda bien qui avait pu bien entrer quand la Rose était fermée.

Elle entendit un homme criait elle se dépêcha à aller dans la salle pour aller voir qui était-ce.

La servante s'arrêta avant d'avancer. Elle fronça les sourcils en voyant une espèce de grosse brute les pieds sur la table et un autre qu'elle avait déjà croisé et qui était tous les deux en grande discussion.Elle avait tellement travaillé pour que tout soit propre et voilà que messire salissait la table avec ses bottes.

Obscure avança vers eux et dit:


Bien le bonjour messires. Je suis navrée de vous apprendre que la Rose n'est pas encore ouverte et qu'en criant ainsi vous allez réveiller les filles qui servent les messires. Alors, si vous pouviez baisser le son ce serait grandement apprécié. Par la suite, les armes sont interdites dans ce lieu. Et pour finir, vous venez de salir la table que j'avais si bien lavé.

Obscure avait dit sa dernière phrase avec un léger ton d'humour, mais ne plaisantait pas avec le reste. Elle les regardait avec ses yeux bleus et ne bougeait pas, mais lorsqu'elle entendit la porte ouvrir à nouveau, la servante faillit perdre son sang-froid.

Elle se dit qu'ils allaient un jour la rendre folle. Elle regarda le nouveau venu. Elle ne l'avait jamais vu, mais il alla s'installer au bar et se demanda bien qu'est-ce qu'il regardait comme ça. Il n'y avait qu'elle qui était réveillée et dans cette pièce.

Elle resta à sa place, mais parla à celui qui venait d'arriver.


Que puis-je pour vous? Comme je le disais à ce charmant messire nous ne sommes pas encore ouvert. Je suis la seule qui est réveillée. Alors il faudra que vous patientez. Ce ne sera pas long le soleil se couche bientôt.

Obscure remarqua la cape de l'homme assit au comptoir. Elle voyait bien qu'il y avait beaucoup d'armes. Elle rajouta:

Au fait, les armes sont interdites ici.

Obscure réfléchit un moment. Elle se dit que peut-être fallait mieux les laisser ici et en entendant leur apportait quelque chose à boire et à manger.

Elle espérait que les filles se réveilleraient bientôt. La servante fit un sourire enjôleur et regarda les trois messires et dit:


Mais pour vous faire patienter je peux vous offrir à boire et à manger. Mais vous devrez laisser vos armes à la porte. Si vous avez besoin de quoi que ce soit vous n'avez qu'à m'appeller. Je m'appelle Obscure. Et à qui ai-je l'honneur de parler?

De ses yeux pénétrants et sa chevelure noire ,elle vit bien que les trois la regardaient. Elle espérait qu'elle n'avait pas fait erreur en venant les voir. Elle attendit donc de voir ce qu'ils diraient.
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La Pochée

Valentine fut déjà intercepté par la douce voix d’une des servantes de la Rose Pourpre, n’ayant jamais mis les pieds ici il ne savait pas que l’établissement était fermé. Mais elle le lui apprit, Le Maître assassin acquiesça de la tête lorsqu’elle lui dit que les armes étaient interdites … cependant il la regarda dans les yeux et prit la parole arborant un sourire charmant.

Pardonner moi de porté mes armes dans un pareil établissement mais par mesure de sécurité, je me dois de les gardées. Je me nomme Luinwe Valentine, Maître Basilisk et j’ai beaucoup, beaucoup d’ennemis … Alors j’espère que vous comprendrez mon point de vue mon organisation ne pourrait se passer de la tête dirigeante. N’ayez crainte je ne tue jamais sans raison valable … enfin cela dépend des jours…

Luinwe se tourna en détourna le regard et la tête pour regarder droit devant lui ne s’occupant plus de la jeune femme et des deux hommes ou presque, se n’était qu’une parure… puisqu'il était toujours alerte au moindre bruit, a la moindre respiration exagéré sous l'effet de la peur ou de l'adrénaline coulant dans le sang lorqu'on égorge un homme ...

Mais bon si vous voulez d’un maître assassin pour vous protéger au cas ou ses deux jeunes gens là-bas décidaient de vous attaquer, je suis ici et vous n’avez rien a craindre de moi j’aime beaucoup trop les femmes pour leur faire mal tant et aussi longtemps qu’elles ne me menace pas de la pointe d’une épée afin de m’amener de vie a trépas. Obscure c’est un très joli nom, vous auriez des bandages et une bouteille de vin rouge ? J’ai amplement de quoi payer la note …

Valentine posa ses yeux sur sa cuisse qui avait été touché très profondément un trou dans son pantalon était présent et du sang s’écoulait d’une plaie … le poison n’avait eu aucun effet son absence de peur et son goût du risque le conduirait peut-être un jour a sa perte … mais cela ne le préoccupait pas beaucoup dans le moment présent. EL bel homme ténébreux attendit de croiser le regard de la tavernière a nouveau lorsqu’elle déposerait se qu’il désirait devant lui …

Si vous voulez je peux tout aussi bien quitter les lieux j’ai beaucoup de choses a faire je ne prend qu’un moment de repos …

Valentine avait bien besoin de sa coupe de vin il n'en avait pas bu depuis, la Pochée, le rictus d'un sourire se dessina a la comissure de ses lèvres ... plus pour lui que pour quelqu'un d'autre ...
pnj
Obscure qui observait les trois hommes fit un sourire en coin. Une femme seule avec trois hommes. elle en avait de la chance.

La servante avait sous sa jupe une petite dague et elle savait s'en servir. On ne sait jamais qui on peut rencontrer. Elle restait tout de même sur ses gardes.

La servante observa plus en détail celui qui était au comptoir. Plutôt bel homme. Elle se demandait qui aurait la chance d'en profiter. C'est lui le premier qui lui répondit. Il dit en la regardant dans les yeux:


Pardonner moi de porté mes armes dans un pareil établissement mais par mesure de sécurité, je me dois de les gardées. Je me nomme Luinwe Valentine, Maître Basilisk et j’ai beaucoup, beaucoup d’ennemis … Alors j’espère que vous comprendrez mon point de vue mon organisation ne pourrait se passer de la tête dirigeante. N’ayez crainte je ne tue jamais sans raison valable … enfin cela dépend des jours…

Tout en écoutant ses paroles, Obscure ne l'avait pas lâché des yeux et soutenait son regard. S'il pensait qu'elle avait peur de lui il était plutôt naĩf de croire que la jeune femme était faible. Bien au contraire.

Quand il se nomma Obscure réfléchit et se souvint de déjà avoir entendu parler de lui. Alors, enfin elle pouvait mettre un visage sur ce fameux assassin. Elle fit un charmant sourire et répondit:


Je ne doutes point que vous vous attaquiez à de pauvres femmes sans défenses comme moi( Obscure fit un sourire en coin et l'avait dit sur un ton sarcastique) Je peux bien croire que vous avez beaucoup d'ennemis, mais ce n'est pas ici que vous en aurez vous pouvez me croire.

Il gardait toujours son petit sourire et ne la regardait plus, mais elle voyait bien qu'il gardait un oeil sur elle. Il lui proposa même de la protéger contre ses deux messires. Obscure faillit rire, mais ce retint. Elle ne voulait pas le vexer. La servante dit:

Ne vous inquiétez pas je ne crois pas vous menacer. Et pour ce qui est de me protéger, c'est très gentil de votre part, mais je ne crois pas que ces messieurs soient si méchants.

Obscure gardait toujours un sourire enjôleur. Il lui demendant un verre de vin et quand il lui demanda des bandages, elle remarqua qu'il était blessé. Obscure dit:

Oui des bandages nous en avons, mais il vous faudra plus que ça. Si vous me permettez je peux vous aider avec cette vilaine blessure.

Obscure se demandait comment il avait bien eu cette blessure, mais ne posa pas de question.

Avant qu'il réponde, la servante alla derrière le comptoir et prit une bouteille de vin et trouva une vieille bouteille poussièreuse avec un alcool fort. C'est ce qu'elle voulait. Elle versa du vin et tendit la coupe à Valentine.

Elle replaça une mèche rebelle et attendit que Valentine lui parle et que les deux autres disent aussi quelque chose. Elle espérait que la grosse brute allait s'en aller, mais ne dit rien.
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La Rose Pourpre au bar avec Obscure

Valentine écouta les réponses de la jeunes femmes succédant les siennes a chaque fois toujours plus surprenante les unes que les autres…

Je ne doutes point que vous vous attaquiez à de pauvres femmes sans défenses comme moi( Obscure fit un sourire en coin et l'avait dit sur un ton sarcastique) Je peux bien croire que vous avez beaucoup d'ennemis, mais ce n'est pas ici que vous en aurez vous pouvez me croire.

Ça personne n’était en mesure de le savoir, rien n’arrêterait un homme aguerri a rentrer dans ses lieux et lui percer la peau si il en avait envie et une volonté de fer. Ses armes étaient les seules choses en lesquels il pouvait avoir une parfaite confiance. Les amis, ont beau être des gens d’honneur, ils ne sont pas infaillible tandis qu’une lame ne demeure qu’a son propriétaire de la manier et s’il a confiance en lui et possède l’expérience nécessaire, il vaincra tous se qui se mettra au travers de sa route.

Ne vous inquiétez pas je ne crois pas vous menacer. Et pour ce qui est de me protéger, c'est très gentil de votre part, mais je ne crois pas que ces messieurs soient si méchants.

La jeune femme avait un sourire enjôleur particulièrement lorsqu’elle posait ses yeux sur lui. Le remarquer n’était pas bien difficile c’était certainement se qu’elle avait envie de lui faire partager. Le maître assassin toucha un peu à sa plaie imbibée de poison qui lui aurait été mortel s’il n’avait pas été immunisé. Quel gâchis et dire qu’il aurait pu éviter cette attaque pourquoi l’avait t-elle laissé se planter dans sa jambe cette fichu canne piégée. Il voulait repousser ses limites encore et toujours en quête de la perfection ne plus ressentir la douleur s’y habituer, y résister, la contrôlée. Ce monde n’a aucune place pour les faibles et il ne l’est pas, il le sait il le sent dans ses veines, dans son cœur, dans son esprit. Il se le prouve toujours un peu plus avec le temps et suit un chemin long et tortueux dans son esprit. Il revint a lui-même sortant de ses pensées …

Oui des bandages nous en avons, mais il vous faudra plus que ça. Si vous me permettez je peux vous aider avec cette vilaine blessure.

La jeune femme semblait ne vouloir que son bien alors pourquoi ne pas céder, c’était si gentiment demandé ?

Il me ferait plaisir de vous laisser vous occupez de ma jambe je n’ai pas réel grande expérience en médecine. Laisser moi une aiguille et du fil entre les main je sens que je ferais un travail de bouché. Mais laisser moi regarder comment vous faites et j’apprendrai à me le faire moi-même pour les prochaines fois. Je ne suis pas une bien fameuse couturière a mon grand regret …

Il lui adressa un sourire charmant, il était venu pour rencontrer une jeune femme qui de réputation semblait intéressante et il en avait trouvé une qui l’était tout autant et pleine de bonne de bonnes intentions … si toutes les femmes de cet établissement étaient comme cette dernière ils s’entendraient bien. Il devrait rencontré la succube également cette femme qui semblait si sympathique jamais il ne se serait douté qu’elle l’avait trahie en donnant le lieux ou se trouvait l’enfant misérable Louis1er. Après tout il ne la connaissait même pas …

Posant ses yeux dans ceux d’Obscure, il prit la parole a nouveau.

Le fait que je vous laisse vous occupez de moi ne veut pas nécessairement dire que je me défais de mes armes car se sont tous se en quoi je peux placer mes espoirs de survie j’ai bel et bien des maîtrises en plusieurs sortes de combats rapproché avec les poings mais rien ne se compare a des armes bien affilés. Je crois que vous pouvez comprendre cela car je ne crois pas que sous cette jupe ne se cache que votre culotte et votre sexe n’ais-je pas raison mademoiselle ? Et si j’ai tord montré moi afin que j’en ais le cœur net …

Valentine lui adressa un petit sourire mesquin et un regard enjôleur a son tour. Avant de prendre la coupe de vin rouge qu’elle lui avait servit entre ses doigts et la portée a ses lèvres en tirant une bonne rasade …toujours gardant ses yeux posés dans les siens en attente d’une réaction quelquonc…
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Obscure ne le lâchait pas des yeux, car elle n'était pas une femme a baissé les yeux facilement. Il la regardait de la tête au pied, mais revenait toujours rivé son regard dans le sien. Elle sourit lorsqu'il dit:

Il me ferait plaisir de vous laisser vous occupez de ma jambe je n’ai pas réel grande expérience en médecine. Laisser moi une aiguille et du fil entre les main je sens que je ferais un travail de bouché. Mais laisser moi regarder comment vous faites et j’apprendrai à me le faire moi-même pour les prochaines fois. Je ne suis pas une bien fameuse couturière a mon grand regret …

Obscure le trouvait plutôt amusant et pour un assassin il était bien éduqué à comparer de certaine grosse brute. Elle dit:

Vous en avez de la chance je suis une fameuse couturière et je sais soigner les blessures. Attendez-moi un instant je vais aller chercher ce qu'il faut.

Obscure alla en cuisine et prit sa besace et trouva une aiguille et un bon fil résistant. elle revient et déposa le tout sur le comptoir. Il lui dit:

Le fait que je vous laisse vous occupez de moi ne veut pas nécessairement dire que je me défais de mes armes car se sont tous se en quoi je peux placer mes espoirs de survie j’ai bel et bien des maîtrises en plusieurs sortes de combats rapproché avec les poings mais rien ne se compare a des armes bien affilés. Je crois que vous pouvez comprendre cela car je ne crois pas que sous cette jupe ne se cache que votre culotte et votre sexe n’ais-je pas raison mademoiselle ? Et si j’ai tord montré moi afin que j’en ais le cœur net …


La servante trouvait Valentine de plus en plus intriguant. il alla jusqu'à dire qu'elle devait bien avoir une arme sous ses jupes. Il n'avait pas tord. Ellle lui sourit et s'approcha de son oreille pour ne pas que les deux autres l'entendent:

Vous avez raison j'ai bien une arme avec moi, mais vous comprendrez-vous aussi que pas tous les hommes sont aussi galant envers les femmes.

Obscure garder toujours son sourire. Elle ne se préoccupait des deux autres qui restaient dans leur coin. La servante dit:

Premièrement il va falloir nettoyer et j'ai ce qu'il vous faut.

Obscure prit la vieille bouteille et ouvrit le bouchon. L'odeur de l'alcool était assez forte pour faire pleurer des yeux.

Elle leva les braies pour qu'elle puissse voir la blessure. Elle ne l'avait pas avertit que ça allait faire mal. Elle versa l'alcool sur la blessure et vit bien qu'il se retenait de montrer sa douleur.

Elle ferma la bouteille et prit un linge pour éponger l'alcool. Elle lui dit:


Maintenat il vous faudra vous montrez courageux. Je crois comprendre que vous n'avez pas froid aux yeux. Vous n'avez qu'à le prouver. Et je vous conseille de boire une bonne rasade de la bouteille, car ça risque de faire mal.

La jeune femme prit l'aiguille et plaça le fil. Avec ses mains, elle rammena un peu la peau pour rapprocher les extrémités de la blessure.

Obscure lui dit qu'elle allait commencer et qu'il ne faudrait pas qu'il bouge. Elle commença donc à coudre la blessure. Elle sentait que Valentine se crispait. C'était tout à fait normal.

lorsqu'elle eut finit elle coupa le fil avec ses dents et se releva et vit que l'homme avait bien souffert. Elle dit:


Et bien ce n'était pas si terrible. Vous avez bien fait ça. Vous méritez une récompence. Je vous offres sur mon compte quelque chose à manger. Je suis ravie messire de vous avoir rencontré. J'avais entendu vaguement parler de vous, mais j'ai pu constater par moi même votre courage.

Obscure était d'humeur à s'amuser. Une autre mèche tomba de ses cheveux et comme d'habitude elle la replaça. Elle dit:

J'espère au moins que vous passez un bon moment pour l'instant. je ne sais pas quand elles vont se réveiller. Je ne suis là que depuis hier. Oui je suis une nouvelle. Pas appréciée de toutes, mais au moins j'ai un travail. pour ce qui est de votre blessure, dans quelques jours elle ne sera plus qu'un mauvais souvenir et si un jour vous vous blessez encore et bien pensez à moi.

Obscure fit un sourire espiègle. Elle resta accoudée au comptoir pour l'observer.
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La Rose Pourpre, en compagnie d'Obscure au bar

Le sourire que cette belle jeune femme arborait fièrement était la preuve qu’il ne pouvait que lui faire passer un agréable moment … du moins il l’espérait, habituellement c’était toujours le cas si l’on ne se retrouvait pas lame appuyée contre sa propre gorge.

Vous en avez de la chance je suis une fameuse couturière et je sais soigner les blessures. Attendez-moi un instant je vais aller chercher ce qu'il faut.

Il attendit donc qu’elle revienne posant ses yeux sur les drôles d’oiseaux dans le fond de la Rose Pourpre discutant sûrement des Marchombres. L’homme qui l’avait rejoins devait certainement connaître leur emplacement tel Luinwe le savait. Se n’était pas bien difficile à savoir si l’on était résident de la cour tout le monde finit par connaître tout le monde. En bien ou en mal, tous va selon les rumeurs et les faits vécus … Enfin il garderait son attention en alerte au cas ou ses deux hommes s’averraient hostiles … ont est jamais trop prudent.

Lorsqu’il lui dit sa phrase pour le moins provocante, elle ne réagit pas si se n’est qu’elle lui fit un sourire, il avait effectivement eut raison dans ses déductions. Ce dernier déposa sa coupe sur le bar et la jeune demoiselle s’approcha de son oreille se penchant tout près de lui assez pour qu’il puisse sentir son odeur délicate lui caresser les narines doucement. Dans un souffle elle poussa cette phrase a son oreille a mi-voix.

Vous avez raison j'ai bien une arme avec moi, mais vous comprendrez-vous aussi que pas tous les hommes sont aussi galant envers les femmes.

Nous nous comprenons maintenant j’ose croire.

La jeune femme se retira et lui dit ensuite …

Premièrement il va falloir nettoyer et j'ai ce qu'il vous faut.

Obscure déboucha la vieille bouteille d’alcool fort, l’examinant tranquillement… il savait qu’elle était destinée a sa jambe il savait également qu’il fallait désinfecté la plaie. La demoiselle en versa donc un peu sur sa jambe qui se crispa, une douleur qu’il arrivait très bien a contrôlé pour le nombre de fois qu’il l’avait subit. Le maître assassin avait dû subir plusieurs torture en tout genre alors la douleur n’était plus qu’une vieille amie, hostile mais contrôlable … La jeune femme posa un linge sur sa blessure et épongea tranquillement. Le visage de Valentine restait impassible, l’Alcool avait du se frayé un chemin presque jusqu'à l’os et il n’avait pas broncher sa jambe lui ferait mal mais il pourrait courir de nouveau demain.

Maintenant il vous faudra vous montrez courageux. Je crois comprendre que vous n'avez pas froid aux yeux. Vous n'avez qu'à le prouver. Et je vous conseille de boire une bonne rasade de la bouteille, car ça risque de faire mal.

La peur emprisonne le cœur des hommes moi j’ai eu la chance d’être né sans. Je n’ai jamais connu cette sensation qui semble t-il est désagréable. J’ai le plein contrôle sur moi et mes émotions je décide de tout … Qu’est le courage sans la peur … ? Je ne suis qu’un homme vivant avec le fardeau qu’est ça vie et je tente de me créé un nom qui passera a l'histoire ...

Valentine ne bu pas de l’alcool qui lui était offert il laissa la bouteille sur le bar sentant l’aiguille percé sa peau s’enfoncé dans sa chair repercé ça peau pour ensuite tiré sur la ficelle pour rapproché les deux extrémités … L’homme se crispait mais n’émettait pas un son, il restait silencieux… il Souffre en Silence. Le dernier coup fut porté et le fil l’aiguille fut coupé à l’aide des dents de la belle Obscure.

Et bien ce n'était pas si terrible. Vous avez bien fait ça. Vous méritez une récompense. Je vous offre sur mon compte quelque chose à manger. Je suis ravie messire de vous avoir rencontré. J'avais entendu vaguement parler de vous, mais j'ai pu constater par moi même votre courage.

Je ne puis accepter votre bonne attention … je crois que vous êtes beaucoup plus dans la misère que je ne le suis, après tout je possède mon organisation et mon immeuble je vais payer pour tout se que j’ai pris et vos services … tout se que je pourrais espéré c’est un lieux pour reposer ma jambe.

Valentine décrocha une des deux bourses attachées à sa ceinture très bien remplie qu’il déposa sur la cuisse de la jeune femme …

Voila je ne veux pas vous vexer mais c’est une simple question de bons sens. En se qui concerne moi dans l’une de vos chambres si vous avez de la place… cela devra rester un secret. J’espère que vous comprenez, c’est très important du moins jusqu'à se que je me réveille … ensuite libre a vous de le dire.

Il lui adressa un sourire mesquin ...

J'espère au moins que vous passez un bon moment pour l'instant. Je ne sais pas quand elles vont se réveiller. Je ne suis là que depuis hier. Oui je suis une nouvelle. Pas appréciée de toutes, mais au moins j'ai un travail. Pour ce qui est de votre blessure, dans quelques jours elle ne sera plus qu'un mauvais souvenir et si un jour vous vous blessez encore et bien pensez à moi.

La jeune femme le regardait avec un petit sourire espiègle lui donnant un jolie petit air ...

Le moment en votre présence était fort agréable je dois bien me l’avouer, vous êtes sympathique, de surcroît très jolie et vous semblez également très intelligente comment vous êtes vous retrouvez ici ?
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Obscure le regarder toujours et réflichissait àtout ce qu'elle avait dit ou fait. Elle pensa qu'il faudrait être clair avec le nouveau venu. Elle le regarda et dit avant qu'il ne réponde:

Je dois vous avertir de quelque chose. Normalement on ne soigne pas ici, alors si vous avez besoin d'aide vous n'aurez qu'à m'envoyer un message et je viendrais. Par la suite, si vous gardez vos armes et que ma patronne le remarque s'en est fait de moi. Je risques de gros ennuis. Alors, si vous pouviez les déposer à la porte vous m'éviterez des ennuis. Vous me devez au moins ça pour vous avoir soigné. Tout ce que j'ai fait ou dit personne ne doit le savoir. Surtout pas les gens de l'établissement déjà que j'ai besoin de faire mes preuves pour qu'on m'accepte vraiment.

Lorsqu'il lui parla de la peur elle fit un léger sourire. Obscure le comprenait. Elle aussi n'avait plus peur depuis très longtemps.

Il avait l'air à vouloir vraiment laisser une trace de son passage dans ce monde. Comme tout le monde en fait. On voudrait tous qu'on se rappelle de nous après notre mort.

Valentine refusa son offre en disant que la servante devait être dans la misère. Il lui donna une grosse bourse remplit d'écus. Obscure avait rarement vu autant d'argent. Elle dit:


Oui en effet je n'ai pas beaucoup d'argent. ce qui est pour les chambres vous devrait patienter, car je n'ai pas les clés. J'aurais bien aimé pouvoir vous être utile, mais je n'ai pas accès aux chambres. Si j'avais une chambre j'aurais pus vous la céder, mais je dors dans la cuisine pour le moment. Je ne peux accepter l'argent. Tout ce que les employés gagnent vont à La Succube. À moins, que vous me disiez que c'est pour elle, mais c'est gentil de vouloir m'aider.

En fait Obscure mourrait d'envie de garder l'argent pour elle. Elle le méritait tout de même, mais si on la voyait avec cet argent elle risquait gros. Elle comprit le sous-entendu qu'il dit quand il parla qu'il faudra qu'elle ne dise rien. Il la complimenta et lui demanda comment elle était tombée ici.

Et bien je suis arrivée hier pour demander du travail. Malheureusement, le seul travail qu'il y avait c'était servante. J'avais besoin vraiment de ce travail. Alors j'ai accepté. Au moins, je sais tout faire. Mais disons que ça mal débuté ma relation avec les filles. Pour elles, je crois que je suis un parasite, mais bon je suis sûre que si j'étais à leur place j'en fairais autant. Je me suis levée tôt ce matin pour commencer à tout préparer pour la nuit. Ça n'a l'air de rien le travail de servante, mais vous pouvez me croire que ce n'est pas aussi facile qu'on pourrait le croire. Ah au fait, je ne sais ce que vous êtes venu chercher ici, mais si c'est LA Succube je vous avertis qu'elle ne voudra pas nécessairement ce que vous lui proposerait. Elle préfére faire tout elle même. Ça évite les ennuis.

Obscure en parlant était venue s'asseoir face à lui et ne se gênait pas de l'observer. Dommage qu'elle ne soit que la servante, mais bon tant pis. Celle qui saura avec elle sera très chanceuse. Obscure regardait toujours la bourse, mais la déposa sur le comptoir en entendant une réponse de Valentine.
---fromFRIcarasht
A peine la discussion était-elle engagée avec un inconnu qu'une servant vînt les interrompre. Le Comte n'écouta qu'à demi mot et lui adressa pour toute réponse un sourire carnassier.
Il planta sa dague dans le bois de la table puis se leva après avoir enlevé les pieds de la table. D'un mouvement rapide il dégagea la rapière du ceinturon la laissant heurter le sol dans un vacarme épouvantable. Désormais au sol, on pouvait aisément distinguer les armoiries du Limousin et de la Marche ornant la garde.


Si tu veux bien te donner la peine de mettre ces armes en lieu sûr, je n'y vois pas d'inconvénient. Je suis gentilhomme et jamais il me viendrait à l'esprit un quelconque désir de querelle en ce lieu.

Il avait volontairement laissé son arme à terre.

La lame m'est particulièrement précieuse, lointain souvenir d'un passé révolu, lorsque ma famille ridiculisait la grande duchesse Bretonne à Rohan.

J'insiste aussi sur ma framboise, un breuvage me détendrait et je te prie de suite de m'excuser pour le dérangement. L'établissement me semblait à même de m'accueillir.


De sa manche, il essuya le peu de crasse laissé par ces bottes.

Je m'en voudrais de t'accabler de travail alors que tu devrais me mettre dehors ma chère. Maintenant, j'aimerai discuter avec mon compagnon s'il t'en plait.

Il laissa la femme livrée à elle même puis reporta son attention sur l'homme.

Une bourse de quelques deniers est un bon appât pour les informateurs dans votre genre et si on me la vole, je ferais quérir un page pour m'en chercher une nouvelle sur mes terres. Que sont quelques pièces pour un noble ?

Il marqua un temps d'arrêt, observant l'homme désormais en compagnie de la servante.

Vous savez donc où se terrent les Marchombres ? Vous m'intéressez...
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