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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

Jeanbaptiste63
Laissant le temps a son compagnon de tablé le temps de réfléchir a ses propos Jean-Batiste regarde la servante et l'homme au bar.Il l'examine un instant quand leur regard se croise une seconde et il le reconnait.Beaucoup de rumeur sur un groupe d'assassin était née avec l'histoire du gamin enlevé.Vu la description qu'on lui en avait fait il devait être le chef de ce groupe.Mais qu'est qu'un assassin était venu faire ici?

Pas le temps d'y réfléchir que la dame vient vers eux et demande a son compagnon de déposer les armes, il tourne la tête et regarde le bonhomme faire son numéro out en souriant.Voila un personnage qui pourrait se révélait intéressant.
Tourne la tête vers la fille et lui dit.

Si vous me proposez a boire je prendrait bien du vin.

Il attend qu'elle les aie servi et soit retourner au comptoir avant de reprendre la conversation avec le riche inconnu.

Une bourse de quelques deniers est un bon appât pour les informateurs dans votre genre et si on me la vole, je ferais quérir un page pour m'en chercher une nouvelle sur mes terres. Que sont quelques pièces pour un noble ?

Pour un noble pas grand chose mais pour presque n'importe qu'elle courien cela représente beaucoup et il ne se contente pas tous que de la bourse...La encore vous êtes dans un établissement de qualité mais éviter de faire ça ailleurs pour votre propre bien.


Pas le genre de Jean-Baptiste de donner ce genre de conseil mais il préférait que le gaillard reste en vie pour que cette bourse se retrouve dans sa poche.
Il écoute encore l'homme parler et réfléchit quelque instant. Il pouvait conduire l'homme chez les Marchombes sans trop de difficulté mais dans ce cas la il pourrait pas voir l'intendante du bordel avant ce soir.
Quelle décision prendre?Quelque seconde de réflexion avant de répondre.

Je sais en effet ou il se trouve mais la question est pourquoi devrais je vous y conduire?
---fromFRIcarasht
Oh vous savez, des coupes jarrets et autres chapardeurs, ça courre peut-être les rues mais les trois quarts ne savent pas tenir une arme correctement. Enfin, toujours est-il que vous êtes bien sympathique de vous soucier de ma sécurité.

L'homme finit par revenir sur le sujet des Marchombres. Au moins, il ne tournait pas autour du pot.

Ils sont de vieilles connaissances... Mais je suppose que c'est plutôt ce que vous auriez à gagner en me parlant d'eux qui vous intéresse. Ma bourse déjà, une bouteille de framboise, et pourquoi pas l'honneur d'avoir aidé le plus grand usurpateur de France ! Oui, l'hérauderie s'amuse à m'attribuer ce triste titre...

Qu'est-ce que vous voulez en échange ?

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Jeanbaptiste63
Vu comment il parlez des coupes jarrets il avait jamais du rencontrer ceux qui trainait a la cour, pas que ce soit tous des maitres assassins ou voleurs mais ils étaient bien pire qu'ailleurs car la plupart connaissez la cour par cœur et avez tout apprit des leur plus jeune age pour survivre

Oh vous savez, des coupes jarrets et autres chapardeurs, ça courre peut-être les rues mais les trois quarts ne savent pas tenir une arme correctement. Enfin, toujours est-il que vous êtes bien sympathique de vous soucier de ma sécurité.

Vous devriez vous méfiez de ceux de la cour quand même si vous voulez arrivez jusqu'à votre destination vivant.Et si je me soucie de voree sécurité disons que c'est le professionnel qui parle.Pas qu'un cadavre paye moins bien qu'un vivant mais j'aimerais pas avoir la réputation de faire mourir mes clients.


Triste sourire qui s'affiche sur son visage pendant un cour instant. Voila longtemps déjà que c'est sourire était devenu triste et morbide.Mais bon il l'avait accepter comme il avait acepter cette nouvelle vie.

Qu'est-ce que vous voulez en échange ?

La bourse je prend, j'aime pas la framboise mais je prendrait bien une bouteille de vin et pour l'honneur vous pouvez le gardez mais en plus faudra me dire ce que vous leur voulez aux Marchombes.pas tout les détails mais les grandes lignes.Vous savez c'est important pour quelqu'un comme moi de savoir ce qui passe a la cour.A oui et puis aussi votre nom j'aimerais pas vous appelez bonhomme pendant tout le voyage.
Alors marché conclus?


Il fixe son compagnon dans les yeux en attendant sa réponse, un verre de vin en main qu'il porte de temps en temps a sa bouche. Pas sur ces gardes car il savait que personne ne s'en prendrait a lui ici et pour le moment.
Petit coup d'oeuil vers le bar ou il voit l'assassin se faire soigner, il faudrait qu'il se renseigne sur lui une fois l'histoire du gosse passer. Il aimait être au courant de ce qui se passait a la cour et l"arivé d'une guilde d'assassin était un événement sur lequel il devait se renseigner une fois son affaire terminer.
pnj
La Rose Pourpre

Les mises en gardes de la jeune femme n’étaient pas tombées dans l’oreille d’un sourd. De plus, il ne voulait pas lui attirer plus de problèmes qu’elle n’en avait déjà. Elle n’avait également aucune chambre pour elle-même car il pensait bien a partager la sienne pas une autre. Il lui adressa tout de même un sourire compatissant, sa situation de vie n’était pas rêvée mais certains vivaient pires ailleurs dans les donjons, ou en mourant de faim dans les rues … La jeune femme entama un nouveau paragraphe sur sa vie … tout en venant s’asseoir devant lui, elle ne baissait jamais les yeux scrutant toujours son regard. Elle n’avait pas froid au yeux non plus celle-la et c’était tant mieux il n’aimait pas parlé a des gens craintif…

Un parasite, elles se méprennent sur votre compte vous êtes une jeune femme extraordinaire. Peut-être voit-elle simplement de la concurrence voila tout ? Une jeune femme qui serait capable de leur voler des contrats avec des clients si elle devenait plus que la simple ménagère … et pour votre question non je ne viens pas voir la Succube, elle ne m’intéresse pas pour le moment sans être trop indiscret. Je n’ai jamais mis les pieds dans cet établissement car je n’en ai jamais eu besoin, je n’en ai toujours pas besoin mais j’ai cru bon qu’il faudrait que j’y fasse un tour un jour afin d’en découvrir le papier peint des murs et se que cela pouvait m’apporter …

Valentine attrapa sa coupe de vin et la porta à ses lèvres avant de continuer sur sa lancée …

Et vous savez le meilleur ? C’est que je croyais que se lieux ne m’apporterait rien hormis quelques femmes a se mettre sous la dent. Mais j’ai découvert une dame des plus intéressante avec qui je crois bien m’entendre et qui pourrait être mon médecin personnel. Si vous le désirez, vous serez bien payée pour vos services je viendrais vous voir quelques fois lorsque je serais blessé gravement … Vous n’aurez qu’a caché l’argent a l’extérieur de la Rose pourpre voila tout …

Luinwe se rapprocha d’Obscure pour lui dire quelque chose à l’oreille …

Se serait notre petit secret …

Puis il lui déposa au creux du coup un petit baiser enflammé avant de se lever complètement et se diriger vers la porte tranquillement sa jambe ne semblait pas le gêner tant que ça mais il était tout autre il avait constamment un point douloureux lui tirant les muscles … très désagréable mais il encaissait, il ne pourrait pas courir c’était chose certaine.

Comme vous n’avez pas de chambre très chère il me faudra retourner au Quartier Général des Basilisks afin d’y trouver le repos dont j’ai besoin. Je vous souhaite une bonne nuit…
pnj
Obscure avait finit de raconter son arrivé ici. Il semblait ne pas être d'accord avec ce qu'elle avait dit. il lui avoua qu'il ne venait pas pour La Succube heureusement. Elle sourit lorsqu'il dit:

Un parasite, elles se méprennent sur votre compte vous êtes une jeune femme extraordinaire. Peut-être voit-elle simplement de la concurrence voila tout ? Une jeune femme qui serait capable de leur voler des contrats avec des clients si elle devenait plus que la simple ménagère …

La servante commençait à bien l'apprécier. Elle fit un sourire amusé lorsqu'il dit qu'il était venu voir le papier peint. Obscure savait qu'il était venu pour autre chose. Et il continua à lui parler:

Et vous savez le meilleur ? C’est que je croyais que se lieux ne m’apporterait rien hormis quelques femmes a se mettre sous la dent. Mais j’ai découvert une dame des plus intéressante avec qui je crois bien m’entendre et qui pourrait être mon médecin personnel. Si vous le désirez, vous serez bien payée pour vos services je viendrais vous voir quelques fois lorsque je serais blessé gravement … Vous n’aurez qu’a caché l’argent a l’extérieur de la Rose pourpre voila tout …

Elle resta stupéfaite lorsqu'il lui proposa d'être son médecin personnel. Obscure ne savait quoi penser. En même temps, elle aimerait avoir un salaire de plus, mais si la Succube le découvrait que lui arriverait-elle?

Mais quand il dit qu'elle pouvait cacher l'argent ailleur qu'à la rose Obscure trouva cela intéressant.

Il s'approcha de son oreille et dit que ce serait leur secret. Une simple servante avait maintenant un secret avec un maistre assassin. On aura tout vu. la servante frisonna légrement quand il lui déposa un baiser dans le creux de son cou. Son point faible.

Elle répondit avant qu'il parte. Elle dit tout bas pour pas que les deux messires entendent:




Je suis d'accord pour votre proposition, mais si vous venez à la Rose passait par derrière. Je crois que la patronne pourait voir vos aller et venu étrange. Et envoyer quelqu'un si possible me prévenir votre arrivé pour que je sois dans la cuisine. MErci beaucoup. C'est une aide appréciée. Mais j'espère que vous ne viendrez pas trop souvent, car ce serait dommage que vous vous blessiez souvent. Je vous sohaite à vous aussi une bonne nuit.

Obscure qui avait complétement oubliée les deux autres entendit la voix de la grosse brute retentir. Il allait encore réveilller la maison. Et le pire il l'a tutoyer. Pas parce qu'elle était une servante qu'il avait le droit de lui parler ainsi. Elle s'approcha de lui et fronça les sourcils et dit:

Premièrement messire soyez un peu plus courtois avec moi. Deuxièmement je n'irais pas mettre vos armes en lieu sûr, car c'est vous que je vais mettre à la porte. Désolée d'être aussi brusque, mais vous avez mit ma patience à bout. Et arrêter de crier ainsi.

Elle jeta un regard vers l'autre et dit:

C'est la même chose pour vous. Tous les deux vous allez finir votre conversation ailleur qu'ici et ne revenait pas pendant le jour.

Obscure resta donc ainsi avec un air déterminé. S'ils ne partaient pas elle devra utiliser la manière forte. Car Obscure en avait assez d'eux.
---fromFRIcarasht
L'homme lui demanda son nom alors que la servante revenait à la charge.

Moi ? Te manquer de courtoisie ? Je ne peux être plus courtois ma chère !

Puis, se tournant de nouveau vers l'homme, il ajouta :

Ah les femmes, quelle caractère n'est-ce pas ?! La bourse est à vous. Quant à mon nom, sachez que je suis le Comte Icarasht d'Ysengrin Louvelle !

Il se leva, imposant sa carrure à la servante.

Et je ne saurais être discourtois envers une si charmante créature telle que toi ! Si le temps ne m'étais pas compté, je t'aurais volontiers offert une framboise et l'étreinte de mon... corps !

Il s'était tellement rapproché que la servante pouvait sentir son haleine alcoolisée.

Je te quitte malheureusement, mais peut-être nous reverrons-nous un jour, qui sait ?!

Il lacha un rire gras et sonore et de son pied souleva le fourreau de sa rapière pour l'amener à sa main. Il reprit sa dague puis s'adressa à son nouveau compagnon.

Allons-y ! J'ai de grands projets pour les Marchombres. Nous avons été très liés par le passé. Je vous rassure, nulle vendetta ou vengeance ne sera accomplit, je souhaite simplement leur adresser une offre.

Le Comte se dirigea alors vers la porte, dans la lueur du couchant naissant.
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Jeanbaptiste63
Toujours assis a attendre une réponse était Jean-baptiste quand l'assassin sorti et que la fille s'approcha d'eux et leur demanda de quitter les lieux assez énervé. Il laissa d'abord son client parler avant de prendre la parole.

Eh bien quelle caractère madame.Mais nous partons pas la peine de s'énerver comme ça. J'espérais juste rencontrez votre intendante mais je reviendrais ce soir.


Il se tourna vers l'homme puis prit la bourse qu'il attacha a sa ceinture avant de se lever et de lui adresser la parole.
Je perfere prendre l'argent au cas ou ça tournerais mal avant mais ne vous inquiétez pas je vous conduirez jusqu'au Marchombes messire Icarasht.
De grand projet dites vous et bien nous verrons cela, je pense que cela peu animer un peu la cour.
.


Le voila qui suit le comte vers la porte en assimilant le peu d'information qu'il avait apprise et chercher déjà le meilleur moyen de les utiliser. Mais trop peu de détail pour l'instant faire bonne figure auprès de lui et voir ce que feront les Marchombes avant de faire quoi que ce soit.

Maintenant il est devant la porte et il reprend ses armes avant de faire signe a l'homme de le suivre dans la cour qui se réveiller.
---fromFRAnma
Aux bains...

Vision digne des plus grandes œuvres d’Art que celle-ci... Dans le silence presque complet, avec pour accompagnement cette seule musique que les clapotis de l’eau et le froissement du tissu, Chloé se dévêtit avec presque une certaine timidité. Seuls spectateurs pouvant profiter de ce spectacle délicieux, les yeux de son amant, Anma...

Alors qu’elle abandonne sa robe et sa ceinture sur le carrelage froid, c’est à nouveau qu’elle se retrouve nue devant lui, mais c’est pour la première fois qu’il peut admirer complètement sa nudité à la lumière, n’ayant, dans leur précédente rencontre intime, que sentit et découvrit ses formes et la douceur de sa peau qu’il n’avait qu’entraperçus dans l’obscurité. Il détaille alors ses hanches finement dessinées, sa poitrine menue mais si fière... Puis sa peau. Il prend alors conscience de sa blancheur, de son éclat de neige... Cette neige froide qu’il a vue pour la première fois alors qu’on le traînait au dehors de sa prison, par son premier hiver passé dans ce pays... Oui, sa peau est si blanche alors que la sienne si sombre, la température ici est parfois si froide alors que chez lui elle était toujours si chaude... Mais c’est ici, chez lui, maintenant.

Souriant à ces pensés tandis que sa douce les enfermes dans leur intimité et se retourne vers un coffre, le jeune homme songe que, oui, c’est maintenant sa maison, son chez-lui... Il n’en a pas eu depuis si longtemps, même sous le soleil brûlant d’Orient car, alors, il vagabondait, tout simplement, faisant son chez-soi de celui d’une de ses clientes pour une nuit, une simple nuit sans amour... Mais maintenant, il n’est plus l’homme d’Orient... il est quelqu’un de nouveau.

Une douce odeur de Lavande se glissa soudain par ses narines et vint bercer son esprit, apaisant ses songes... Les images qui s’étaient embuées sous la vapeur issue de ses pensées bouillonnantes s’éclaircirent devant lui, lui permettant d’apprécier à nouveau la beauté nue de l’Intendante qui se glissait dans l’eau parfumée et chaude, ses seins sautillants au moindre de ses gestes tandis qu’elle s’asseyait à ses côtés, soupirant d’allégresse et de bonheur. Un sourire en étira les lèvres fines d’Anma qui se serra sans plus attendre contre Chloé, leurs corps nus et mouillés se frôlant dans une valse de sérénité tandis que Chloé prenait en main un pain de savon qu’elle humidifia d’abord dans l’eau avant de s’enduire les mains de son résidus tout aussi savonneux que mousseux en le frottant entre ses mains... Et ce fut ces mêmes mains qui vinrent glisser sur le cou et les épaules encore meurtries du jeune étranger, lui arrachant un gémissement d’allégresse... Et sur ses paroles murmurées tendrement, elle vint embrasser le creux de son cou, goûtant sa peau savonnée...

Et c’est bien cette peau brune qui sert maintenant de toile pour les dessins tracés au savon par les doigts de Chloé. Anma se cambre doucement, laissant tomber sa tête derrière ses épaules dans un soupir.

C’était Chloé qui, depuis son arrivée, lui offrait tant de détente alors qu’elle était traînée par les cheveux d’un problème à un autre... C’était aussi à lui de lui offrir un moment de repos complet.


Oui, je voir que tout va bien, dit-il dans un murmure tendre. Mais être à toi de relaxer maintenant...

Sans laisser le temps à son amante de riposter, le jeune homme la força, d’une douce pression sur l’épaule, à se retourner et ainsi à lui faire dos. Se saisissant du savon qui était à présent abandonné sur le bord du bassin, hors de l’eau, il s’en enduisit les mains avant de l’abandonner à nouveau pour ensuite glisser ses doigts sur les côtes de la jeune femme, embrassant sa nuque sous sa chevelure mouillée puis le creux de son cou, taquinant un instant cette veine palpitante de vie tandis que ses mains suivaient ses formes et venaient caresser sa poitrine, laissant sur leur passage une traînée de mousse blanche.

Puis, d’une pression presque inexistante, il s’attarda, l’espace quelques secondes, sur les mamelons pointant de sa douce mie. Dans un patinage presqu’artistique, une des mains reprit son chemin en sens inverse, revenant caresser ce dos cambré tandis que l’autre, accompagnée d’un bras, soutenait le buste en l’enserrant, ses doigts caressant le bas du ventre.

Doucement alors, Anma appuya la paume de sa main resté libre entre les omoplates de la jeune femme puis alla détendre le bas de la colonne vertébrale d’un mouvement circulaire, reprenant ce processus mainte et mainte fois, arrachant des soupirs à Chloé. Puis, abandonnant lentement et peu à peu cette pratique, il invita l’Intendante à lui refaire face et enserra ses jambes de femmes autour de ses hanches brunes et bleuis par leur malmenage.

Dans un tendre baiser leurs lèvres se rencontrèrent à nouveau tandis que l’homme d’Orient, la soutenant, souleva sa belle et la fit s’asseoir sur le bord du bassin, prolongeant leur baiser et nettoyant sa peau blanche de ses doigts fins...
Rexanne
La nuit avait été longue, riche en évènements de taille également… Le Maistre réduit à l’état de captif à la cave, ça allait en faire des remous pour sur ! Pourtant aucune peur n’étreignait les entrailles de la jeune tenancière du bar, pas d’anxiété non plus… juste une légère excitation avide tout au plus. L’Inconnu ne l’effrayait pas, âme errant qu’elle était, mais la nourrissait de la même façon que le lait maternel redonne force et bonne humeur à un jeune enfant.
Un sourire tenace, plus marqué encore qu’à son habitude, avait donc orné les lèvres de la brunette durant la collation que les filles avait partagé. Elle avait salué avec entrain la jeune recrue de la Succube, nouvellement préposée aux Bains, et lui avait naturellement souhaité la bienvenue.
La Succube avait finement joué en occupant la petite Dem’ qui patientait tant bien que mal en attendant que son innocence soit vendue, en la livrant aux mains expertes du masseur, jeune protégé de la Douce Chloé.

Petit à petit le comptoir s’était vidé. La Succube avait ouvert le bal en montant se coucher, bientôt imitée par Dem’ tandis que le jeune couple de la Rose opta pour un bain. Ne restait donc qu’Aemiliana et elle, à picorer encore quelques mets plus pour s’occuper les mains et par gourmandise que par faim avérée tandis qu’elles discutaient encore un peu.

Un bâillement qui s’échappa inopinément de sa bouche lui rappela que l’heure était venue d’aller prendre un peu de repos aussi se décida t’elle a ranger les bouteilles sorties durant la soirée et ranger quelque peu son espace de travail qu’elle aimait trouver en ordre en se levant. Elle souhaita la bonne nuit à sa compagne de fin de nuit et monta finalement retrouvée sa couche qu’elle partageait encore et pour la énième fois avec la jeune Démetria qu’elle trouva profondément endormie. Sa présence lui plaisait, au moins ne dormait-elle pas seule pensa t’elle en se glissant sous les épaisses couvertures. Rapidement, la respiration régulière de sa jeune amie la plongea dans les limbes du sommeil, agissant comme un métronome sur son esprit engourdi.

Aussi dormait-elle profondément pendant qu’Obscure se levait et s’affairait déjà dans la Grande Salle avant de tenir compagnie aux clients improbables de cette heure de la journée. Elle apprendrait peut-être par la suite qu’elle avait ainsi manqué la visite de cet homme qu’elle ne connaissait que de réputation, un maître assassin selon sa réputation, homme raffiné et élégant disait-on également, avec qui elle aurait certainement eut une discussion fort divertissante. Chaque chose en son temps pourtant, et le temps pour le moment était au repos. Ainsi était le rythme de la Rose, activité fébrile et variée la Nuit, repos intense et flâneries en tous genres la journée…
pnj
Obscure qui regardait toujours les deux hommes sévérement vit la brute se lever. Il était assez imposant, maisil en fallait beaucoup pour avoir peur d'un homme.

Ce qui l'énervait encore plus c'était qu'il la tutoyait. Elle n'avait qu'une envie de le frapper pour son insolence, mais la servante réussit à se contrôler.

La brute tourna vers l'autre et lui dit son nom. La jeune femme n'avait rien à faire avec son nom. Le supposé Comte lui dit:


Et je ne saurais être discourtois envers une si charmante créature telle que toi ! Si le temps ne m'étais pas compté, je t'aurais volontiers offert une framboise et l'étreinte de mon... corps !

Obscure fut dégoûtée. Comment osait-il? Jamais il n'aurait cette chance de la revoir et qu'elle se laisse faire.

Il c'était rapproché d'elle et ell put sentir une haleine qui faillit la faire tourner de l'oeil. En plus, il rajouta que c'était malheureux de partir. Elle eut envie de rire de lui. Que pensait-il donc? Lui ne se gêna pas pour rire.

Enfin, ils partirent tous les deux et put fermer et barrer la porte pour que personne d'autre rentre. elle regarda tout le désordre de cet imprévu. La servante soupira et alla chercher un seau et une serviette et frotta la table qui était à nouveau sale et le plancher ou Valentine avait salit avec sa blessure.

Elle rangea les bouteilles et ramassa la bourse qu'elle mit dans son sac qu'elle porta à la cuisine. Ou mettre la bourse? Il ne fallait pas que quelqu'un la découvre. Elle eut une idée.

Elle sortit par la porte de derrière et elle avait remarqué qu'il y avait que sur le mur il y avait une faille . Elle réussit à enlever la pierre et vit une cachette. Elle mit la bourse et replaça la pierre qui faisait partit du mur. Puis elle retourna à la cuisine ou elle se rendormit à nouveau...
Odoacre
Doux sommeil, beaux draps, parfum envoûtant...

Un éclair sursaut, un éclair pourpre, une ombre, une choc sourd et une douleur qui s'éteind aussi rapidement.... nouvelle nuit, celle-ci aucunement sereine...

Le vieil homme, en robe de nuit blanche, est ligoté et transporté tel un ballot jusque dans la cave, avec les victuailles....

Il n'a conscience de rien.

Même pas de la voix familière du moine qui soliloque seul dans le noir....

Son corps a mal... la peau sur son crâne s'est semble-t-il fendue.... point tout jeune mais assez robuste, il accuse un certaine âge et son organisme n'est plus aussi résistant qu'avant.... quelques gouttes de sang s'écoulent...

Mais le sommeil imposé reste profond, Monseigneur de Rodez continue sa sieste.

_________________
Archevêque de Rouen
{chloe_la_douce}
Ebats aquatiques


D'habitude, c'était elle qui prenait soin des autres.
C'est une sensation nouvelle que de sentir quelqu'un prendre soin d'elle. Nouveauté à laquelle elle prend vite gout, alors que les mains d'Anma l'enduisent de savon et explorent hardiment creux et reliefs.
Une curieuse décontraction soulage son dos des tensions de la journée, alors qu'au contraire, la chaleur s'installe du côté de son ventre.
En soupirant d'aise, elle s'abandonne et se laisse aller, obeissante et consentante.
Liquides et solides se mélangent. Les caresses se font plus accentuées et les baisers plus pressants alors que la fraicheur des carreaux sous ses fesses contrastent avec la chaleur de l'eau.
Avec fougue, elle se presse contre son jeune amant.
L'humidité a plaqué ses longs cheveux noirs contre ses joues.
Elle les repousse du bout des doigts, et les lisse longuement, appréciant la douceur sous ses doigts.
Ses lèvres papillonnent, gobent les gouttelettes de liquide sur le visage brun, puis se glissent dans le cou.
Mutine,elle l'éclabousse un peu avant de se moquer gentillement.


- Dis donc toi... tu n'es plus si fatigué on dirait...

Un tendre baiser pour vérifier ses dires, puis, elle replonge vigoureusement dans l'eau, éclaboussant largement autour d'elle.
Un grand éclat de rire ponctue son saut. L'intendante laisse place à l'insouciance enfin...

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---fromFRCarinya
[ grand désolé pour l'absence involontaire. je serai de plus absente du 15 au 22 ]

Carinya avait regardé Rexane et lui avait sourit. Oui en effet, manger lui ferait un plus grand bien. Mais il s'avérant que devant son assiette qui était des plus apetissante, elle ne faisait que picorer, elle n'avait pas grande faim...
La jeune brunette vit un homme bien bâti entrer dans la Rose et son regard posé sur Oscubre la fit frissonner. Il était de ceux qui lui rappelaient celle qui avait tué sa mère. Un assassin. Qu'est-ce qu'il venait faire ici ? Même s'il lui demandait de partager sa chambre, jamais elle ne le lui accorderait, elle ne pactisait pas avec ces gens là, même pour tout l'or du monde. Seul la promesse de l'aider à retrouver l'assassin de sa mère lui ferait faire n'importe quoi, retrouver cette femme aux cheveux sombre et ondulé... Elle ne se rappelait que de ça, il faisait trop sombre.
La jeune femme se retira de la table s'excusant auprès de Rexane qui avait l'air bien occupé à présent et fila dans sa chambre pour se changer. Elle mit une robe des plus ordinaires, noire et souple et redescendit quelques minutes après s'être nettoyer aussi son corps de femme qui venait à peine d'éclore et qui pourtant en avait satisfait plus d'un. A cette pensée un petit sourire s'afficha sur ses lèvres, cela la réconfortait de ses deux échecs de ce soir passé.

Carinya avisait que le bordel allait fermer, elle sortit donc dans la cours pour se dégourdir les jambes et respirer cet air qui ne lui donnait aucune satisfaction si ce n'est la chair de poule de tombe sur quelqu'un de peu recommandable. Elle ne savait pas vraiment par ou commencer véritablement ses recherches. Et parler à cet homme à l'allure imposante et agile ne lui donnait envie même s'il connaissait peut-être cette femme.
En parcourant la cours, plusieurs fois, lorsqu'elle avait décrit la personne qu'elle recherchait, les visages s'étaient étirés de peur. D'autres lâchaient qu'il ne fallait parler du corbeau. Quel corbeau ? Carinya ne comprenait pas. Il y en avait des tonnes ici dans cours parsemant les toits et les rues aux odeurs pestilentielles.

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pnj
HRp / Désolé pour mon retard, quelques petits soucis HRP … Etant donné le manque de cohérence de mon absence dans le temps, je remonte un petit peu les pendules …\ HRp

Quelques heures plus tôt a la Rose Pourpre


Les lieux s’étaient petit a petit vidés au fur et à mesure de la nuit, ou plutôt du jour qui commençait à diffuser sa lumière. La Reyne Pourpre, comme une des demoiselles l’avait appelée, s’en était allé sûrement abattue par sa journée. Elle fut suivie par nombreuses courtisanes.
Quelques temps plus tard, restait encore la femme du bar et une autre courtisane. Elle pu apprendre au fil de la discussion qu’elles s’appelaient Rexane et Carinya. Tout en grignotant et en parlant de la maison, Dame Morphée fit lentement son office et commençait a tirer sur les paupières d’Aemiliana. Rexane la quitta à son tour pour rejoindre le pays des songes.

Il était a présent difficile de lutter contre la fatigue. Seulement, on ne lui avait pas attribué de chambre. Elle aurait bien dormi dans les bains mais les deux soupirants s’y était rendu.

De ses fins pieds refroidit par la nuit, Aemiliana monta les marches, et se mit en quête de trouver une chambre libre. Il y avait tant de portes pour si peu de donzelles. Une chambre était forcément libre. Poussant délicatement chaque porte et scrutant les formes du lit, Aemiliana chercha.
Après deux échecs et une porte fermée, la rousse trouva un lit nu, ses draps blancs recroquevillés sur eux mêmes. Heureuse, elle s’avançât, délaça sa robe, puis son corset, déchaussa ses pantoufles et noua ses cheveux d’un ruban brun.
Quel bonheur se fut de se glisser ainsi sous cette étoffe fraîche et de s’allonger contre la couche.
Sans trop attendre, Aemiliana ferma ses paupières et vit défiler de nouvelles terres derrière elles.
---fromFRScribos
Nuit éternelle, étrange en atmosphère confinée.

Echec.

Vieillesse.

Nostalgie mourrante quand même l'espoir disparaît.... abandonné.... laraison l'a quitté.... il récite d'antiques prières qui ont perdu tout leur sens, et il ne fait qu'à peine attention aux rares visites qui lui apportent eau et nourriture...

Il n'en a plus conscience.... parfaois mécaniquement lape-t-il un peu d'eau, mais il n'ingère rien d'autre...

Un squelette vivant désincarné.

Il ne remarque même pas le corps qu'on allonge près de lui... ses yeux passe plus tard dessus...et il ne reconnaîtra même pas l'Abbé élémentaire...


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SCRIBOS, Maître-Plume Itinérant au service de la Voix des Peuples
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