pnj
Venez-vous pêcher avec moi ?
Comme si Line attendait quon le lui propose. Lappel de leau est bien trop fort pour se soucier des accords, ou de la Succube Insolence ? Eh bien soit, cest un jour dinsolence.
La modeste robe tombe sur le sol, laissant ainsi jaillir les seins, sublimes et enfin libérés de létoffe. Les cheveux sont dénoués en longues ondulations qui caressent ses épaules nues. Haute nymphe, victorieuse en sa nudité et sans une once de pudeur, elle fixe lhomme en souriant. Ses yeux ont la couleur des rivières, troublantes de transparence, qui roulent, ondulent et donnent soif de vivre.
Mais Line ne se précipite pas. Elle fait durer le plaisir des retrouvailles aquatiques. Lentement elle se penche pour tâter l'eau. Elle est merveilleusement bonne.
Un pied, puis lautre, et la voilà immergée jusquaux florissantes hanches. Leau parfumée et délicate qui la caresse en montant entre les cuisses, voilà qui lenivre Et lhomme est là, élancé lui aussi, et il la regarde, ladmire peut-être délicieux frisson... Leau gagne à présent son ventre, puis ses seins et la voilà subitement devant lui, si près quils se frôlent.
Instant irréel où deux inconnus oublient de se présenter lun à lautre.
Soudain, avant que lhomme aie le temps de réagir, Line plonge la tête dans leau et disparaît. Quelques mouvements de nage plus loin, la voilà qui réapparait à bonne distance de lui, un éclat de rire aux lèvres. Le jeu de cache-cache se poursuit encore quelques instants. Puis, lasse de jouer, elle exécute quelques mouvements de brasse, sautille dans leau et murmure :
Alors, Monsieur ? La pêche a-t-elle été bonne ? Quavez-vous trouvé à la Rose Pourpre ? Et que faites-vous donc ici, seul au milieu des éléments ? Quel drôle de client vous faites-là ! Vous vous amusez seul au lieu de prendre votre plaisir dune femme !
Dans leau, Line na plus peur de rien. Ni de la Succube, ni des inconnus. Maintenant, elle nest plus une fille perdue comme il y en a tant aux Miracles. Elle a laissé les convenances sociales avec sa robe, au bord du bassin. Au contact du rhum et de leau elle est devenue une ondine chuchotante et joueuse, qui aime sentir sur sa peau blanche la double caresse voluptueuse de leau et des hommes.
Comme si Line attendait quon le lui propose. Lappel de leau est bien trop fort pour se soucier des accords, ou de la Succube Insolence ? Eh bien soit, cest un jour dinsolence.
La modeste robe tombe sur le sol, laissant ainsi jaillir les seins, sublimes et enfin libérés de létoffe. Les cheveux sont dénoués en longues ondulations qui caressent ses épaules nues. Haute nymphe, victorieuse en sa nudité et sans une once de pudeur, elle fixe lhomme en souriant. Ses yeux ont la couleur des rivières, troublantes de transparence, qui roulent, ondulent et donnent soif de vivre.
Mais Line ne se précipite pas. Elle fait durer le plaisir des retrouvailles aquatiques. Lentement elle se penche pour tâter l'eau. Elle est merveilleusement bonne.
Un pied, puis lautre, et la voilà immergée jusquaux florissantes hanches. Leau parfumée et délicate qui la caresse en montant entre les cuisses, voilà qui lenivre Et lhomme est là, élancé lui aussi, et il la regarde, ladmire peut-être délicieux frisson... Leau gagne à présent son ventre, puis ses seins et la voilà subitement devant lui, si près quils se frôlent.
Instant irréel où deux inconnus oublient de se présenter lun à lautre.
Soudain, avant que lhomme aie le temps de réagir, Line plonge la tête dans leau et disparaît. Quelques mouvements de nage plus loin, la voilà qui réapparait à bonne distance de lui, un éclat de rire aux lèvres. Le jeu de cache-cache se poursuit encore quelques instants. Puis, lasse de jouer, elle exécute quelques mouvements de brasse, sautille dans leau et murmure :
Alors, Monsieur ? La pêche a-t-elle été bonne ? Quavez-vous trouvé à la Rose Pourpre ? Et que faites-vous donc ici, seul au milieu des éléments ? Quel drôle de client vous faites-là ! Vous vous amusez seul au lieu de prendre votre plaisir dune femme !
Dans leau, Line na plus peur de rien. Ni de la Succube, ni des inconnus. Maintenant, elle nest plus une fille perdue comme il y en a tant aux Miracles. Elle a laissé les convenances sociales avec sa robe, au bord du bassin. Au contact du rhum et de leau elle est devenue une ondine chuchotante et joueuse, qui aime sentir sur sa peau blanche la double caresse voluptueuse de leau et des hommes.