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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (1ère partie)

pnj
Quelle longue attente... Encore un client qui n'allait pas lui plaire. Rodrielle commencait à s'ennuyer en ayant pour seule compagnie un verre de vin encore une fois commandé, lorsque, par plaisir, un homme fit son apparition. Oh mais quel plaisir ! Valentine en chair et en os, enfin !
Rodrielle eut alors un sourire mesquin et ne lacha pas Luinwë des yeux lorsque celui ci s'approcha d'elle.

La donzelle l'écouta attentivement, ne laissant pas montrer son envie irresistible. Rester impassible au charme, pendant un instant, c'est ce qu'elle savait faire le mieux. Avant qu'elle ne réponde, l'une des filles de la Rose intervint auprès de l'homme. Cela laissa alors le temps a la belle de se souvenir du client qu'elle avait attrapé auparavant.


oups...

et voilà la donzelle dans un sérieux pétrin. Elle ne pouvait pas s'occuper de deux hommes en même temps (même si l'envie était grande de faire cela), et décevoir la Succube n'était pas du tout conseiller...
Rodrielle se tourna donc vers la maitresse des lieux qui encaissait déjà la bourse de l'inconnu... Elle n'avait donc d'autres choix que de s'absenter quelques instants ?! La belle se tourna donc vers Luinwë tout en lui posant délicatement une main sur le visage


Je croyais que vous n'alliez pas venir très cher, et vous me voyez ravi de vous savoir à mes cotés ! J'accepte votre... vos propositions cher ami ! Mais permettez moi de vous laisser quelques instants, j'ai... comment dire... un client à satisfaire et la Dame de la Rose compte sur moi...

Elle s'approcha alors de l'oreille de l'assassin, laissant son souffle glisser dans le cou de celui-ci

Mais sachez que ce dont vous aurez le droit ensuite sera exceptionnel !

Elle sourit en se reculant et commanda un verre pour son ami

Comme ca votre organisation tombe à l'eau ? En quel honneur ?
{chloe_la_douce}
[A l'étage]

Anma paraissait à moitié conscient.
Il marchait, marmonait des phrases dans une langue inconnue, mais il n'était pas vraiment en état de travailler ce soir là.
Inquiète, Chloé l'avait guidé dans leur chambre et l'avait ré-installé dans le lit.
Il semblait sur le point de se rendormir.
La Succube pourrait peut être pardonner une nuit d'absence pour motif de santé, mais pas deux. Il fallait qu'elle aille travailler.
En bas, des rires et des bruits de conversations se faisaient déjà entendre.

Anma rendormi, elle fila ventre à terre dans le couloir, frappa rapidement à la porte de sa patronne, mais aucune réponse ne se fit entendre.
Timidement, elle entra et fouilla rapidement dans le coffre à linge, dans l'espoir de trouver une tenue pour ce soir.
Finalement, une robe noire, un peu grande fit son affaire.
De retour dans sa chambre, elle vérifia que le jeune masseur dormait toujours, tressa hativement ses cheveux et raccrocha sa ceinture d'intendante autour de sa taille. Cela fixerait la robe.

Ainsi parée, elle déposa un baiser tendre sur le front meurtri d'Anma, puis descendit rapidement les escaliers.
Effectivement, la salle était déjà bien pleine.

Quelques couples, des nouvelles filles. L'activité avait repris.
Elle sourit en saluant Rexanne, et alla rapidement prendre sa place au bout du comptoir.
La Succube n'était visible nul part, heureusement. Peut être que son retard passerait inaperçu finalement.

_________________
pnj
[dans l'alcôve]

Eh bien, je suis un étudiant… j’étudie le droit.

Que dire d’autre ? Guillemot n’était en effet qu’un simple petit étudiant aux cheveux longs. Il n’était pas de ces fils de gentilshommes, étudiants assez riches pour avoir à leur service, par pure ostentation, des domestiques qui portaient devant eux les gros livres. Mais il n’était pas non plus le plus pauvre d’entre ses camarades. Certains de ses compagnons, fils de vilains, étaient si indigents qu'ils se livraient à toutes sortes de petits métiers pour payer leurs frais d'études. Certains mendiaient même dans les rues.
Lui était fils d’artisans, et n’était donc pas le plus à plaindre. Il avait pu se payer une chambre dans un établissement pour étudiants nécessiteux.
Cependant, jusqu’ici, cela n’avait pas été aisé de manger tous les jours, ni d'avoir de la chandelle et des livres pour étudier. Et comment faire venir des poules quand on est pauvre et timide ?
L’héritage de la vieille tante était venu, si on peut dire, à point. Guillemot était un jeune homme, et à cet âge, on s’occupe plus du superflu que du nécessaire, si bien qu’il avait préféré, à l’achat de nourriture et de livres, une visite chez les catins. C’est qu’il voulait vraiment en finir avec son pucelage, comme vous l’aurez compris.
Guillemot avait ainsi sacrifié deux ans de chandelle et autant de livres pour venir se déniaiser à la Rose.
Mais peu importait.
Ce qui le préoccupait actuellement, c’est qu’Il était en tête-à-tête avec la plus belle femme qu’il aie jamais vu, et qu’il ne savait pas quoi lui dire. C’est à peine s’il osait la regarder, alors lui parler ! En vérité, il se sentait comme une souris piégée dans les griffes brûlantes d’un chat. Mais ce félin, ou plutôt cette féline, avait un pelage si doux et des yeux si verts, que la proie, envoûtée, oubliait de fuir et goûtait le suave supplice de se faire croquer crue.

Pour se donner une contenance, il but une gorgée de son verre et manqua de s’étouffer tant le breuvage était fort. L’alcool mêlé aux épices fit son effet : réchauffé et enhardi, Guillemot jeta un coup d’œil au chat, à ses yeux, puis à ses seins, puis de nouveau à ses yeux. D’une voix tremblante et plus aigue qu’à l’accoutumée, il parla :


Je suis ravi de faire votre connaissance.


Pris de courage, il ajouta d’une voix plus chaude :


Je vous trouve très belle.


Là-dessus, il piqua un fard. Mais il garda la tête haute, et ses beaux yeux noirs de biche effarouchée continuèrent de détailler la rousse.
--Dusaan


La Succube acceptait son or. Dusaan s'attarda un instant sur la Reyne et, fait suffisamment rare chez lui pour être noté, lui décrocha un sourire à son tour.
Glacial.
Mais un sourire quand même. Le genre de sourire qui disait qu'il reviendrait. Pour elle. Il admira sa croupe et sans plus d'ambages, revint vers la putain.

Le bordel s'emplissait peu à peu de clients en tous genres. L'atmosphère s'épaississait. Les conversations s'amplifiaient. Dusaan n'était pas le genre de gars à s'attarder autour d'un verre pour discuter, refaire le monde ou causer affaires. Une seule affaire à la Cour avait attiré "le rapace". Un projet insensé. Une action qui allait, si tout fonctionnait comme prévu, révolutionner la Cour. Un truc de fous qui le rendait nerveux.
Prendre une fille calmerait son impatience. C'est du moins ce qu'il avait espéré en entrant ici.

Mais il sentit son corps se tendre quand il vit la fille minauder avec un client. Sur le comptoir, devant elle, le verre était déjà vide. C'était donc signe qu'elle était prête à le mener, comme prévu, en un endroit approprié. Que faisait-elle donc avec cet homme ? Il la fustigea du regard en approchant. L'homme était de dos. Il ne voyait qu'elle mais sentait que tous deux avaient des choses à se dire, penchés l'un vers l'autre, complices. La rage bouillonna aux tréfonds de son être. Aveuglé de colère, le visage fermé et noir, il fondit sur elle et, de ses longs doigts maigres, serra son bras. La voix était rauque. Le ton sans appel.


On y va.
Lyhra
[Derrière les velours d’une alcôve, premiers pas …]

C’était charmant.
Mieux que ça, véritablement électrisant pour la Rousse ce petit étudiant tout neuf que le mélange de Rexane délurait un peu plus à chaque gorgée.
Elle observait avec amusement le feu gagner ses joues et la timidité de son regard faire place à quelque audace. Regard qu’elle savourait comme une caresse.

Dieu qu’elle aimait de l’amour ses prémices, la lente montée du désir, les délicieux supplices infligés à coups de baisers et d’enlacements, parfois brusques, nerveux, la peau échauffée réclamant apaisement, parfois léger comme le frôlement d’une plume.
Ça pouvait être un brasier consumant comme le feu des enfers et qui vous réduisait en cendre, épuisée et brûlante sur la couche ou bien, telle une fièvre qui vous laissait alanguie et cotonneuse au creux des draps.

Avec le joli Guillemot, ce serait comment ? Pensait elle en réduisant la distance qui les séparait, un grain de raisin entre les lèvres, elle se pencha vers lui, proposant le partage du fruit qu’elle déchira entre ses dents au moment où elle touchait sa bouche, abreuvant sa langue du jus frais.

Belle ? Oui elle l’était, et n’en tirait aucune vanité particulière, c’était un fait et c’était aussi son fond de commerce. Le temps un jour ne lui serait plus aussi clément aussi la Succube profitait de chaque instant pleinement.
Pour l’heure elle sourit du compliment et baisa longuement la bouche humide de Guillemot, se délectant du goût fruité.
Pendant ce temps ses deux jambes s’étaient magiquement lovées de chaque coté des siennes qu’elles enserraient légèrement, portant sa gorge ronde à hauteur de ses yeux. Elle se tenait ainsi face à lui, assise sur ses genoux, les mains posées dans son cou, doigts enroulés aux mèches de cheveux et le moindre sursaut de sa virilité serait aussitôt ressenti par ses chairs que la dentelle cachait peu, relevée haut sur ses cuisses pâles et douces.

Etre payée pour ces frissons accroissait la volupté qui envahissait ses sens, la Succube n’était pas catin par obligation mais bien par irrésistible inclinaison…


Et qu’est-ce qu’un jeune étudiant heureux de faire ma connaissance pourrait souhaiter faire de moi, là … maintenant …
_________________
--Thorvald
[Aux bains - peau neuve]

Line, vraiment, le surprend et l'intrigue. Il est comme capté par la magie de ses mouvements, sa grâce enfantine et fluviale, sa nature mystérieuse et naturelle à la fois. A chaque instant, il imagine qu'elle va s'envoler, se transformer, le transformer. Ils ne se quittent pas des yeux. Ils se mesurent, s'amusent l'un l'autre et se découvrent.
Avec elle, il oublie sa blessure à la tête.

"Dites-moi, qui vous a donc dérobé vos vêtements ?"


Une ondine, certainement. Elles font toujours de méchantes blagues.

Son sourire est plus complice que malice quand il lui répond. Soudain, sans prévenir, Line sort de l'eau, dégouline sur les dalles. Petit bruit de ses pieds nus. Douceur de ses courbes ruisselantes. Torrent de cheveux. Thorvald se rince ... l'oeil.

Telle une magicienne, elle sort de son sac un habit d'homme. Pourpre.
Thorvald est ébahi. Puis il se met à rire, à la fois étonné et soulagé d'une telle apparition, d'un rire enfantin et limpide. Il sort de l'eau à son tour, touche la somptueuse étoffe. Son regard passe du vêtement à Line. De Line au vêtement. Quelle allure il va avoir là-dedans ! Presque trop beau pour un simple gardien. Il la prend dans ses bras, la soulève, la fait tournoyer en riant, le bel habit rouge coincé entre leurs deux corps nus.


Vous me sauvez !


Il la repose avec délicatesse. Que fait-elle avec de tels trésors dans ses bagages ... elle est vraiment incroyable ! Il ne préfère pas savoir à quel homme elle a volé ses vêtements, ni en quelles circonstances. Sûrement des choses effroyables. Un équipage perdu en haute mer, et qui se serait laissé guidé par le chant des sirènes jusqu'à la déraison. Et jusqu'à la mort ... Peut-être son baluchon est-il empli d'effets volés à des cadavres au fond des eaux ? Il frémit et chasse ces idées saugrenues. Mais en la regardant à nouveau, il ne peut s'empêcher d'y repenser.


Merci mais ... je n'ai point de cadeau à vous faire, moi ! Je vous suis redevable.

Il chasse les gouttelettes sur son corps musclé et, encore humide, enfile sa nouvelle peau. Comme un gant ! Il tourne sur lui-même pour faire admirer à Line sa nouvelle prestance, s'arrête et lui sourit.
Il est pieds nus.
Ses bottes tâchées d'huile rance sont bonnes à jeter mais il pourra peut-être demander une avance à la patronne pour s'en acheter une nouvelle paire. Avant, il volait. Maintenant, il fera les magasins de dentelle avec les filles. Finalement, cette idée ne lui déplait pas ...


Dites-moi ce que vous désirez, maintenant, demoiselle ... ?


La phrase reste en suspend. Il ne connait même pas son nom.
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[dans l'alcôve, où tout se précipite !]



Par tous les saints, quel baiser ! La langue fruitée de la Succube était à présent dans sa bouche. Personne ne l’avait jamais embrassé comme cela. Guillemot compara mentalement ce baiser à un cambriolage. Seulement la langue détrousseuse, devenue folle, avait beau fouiller dans tous les sens, elle ne trouvait pas l’objet de son larcin. Si bien qu’elle poursuivait délicieusement les fouilles, de plus en plus rapidement, de plus en plus follement… à en devenir fou… A cette évocation, il eut envie de rire nerveusement, mais il oublia vite le motif de son hilarité quand la Succube vint sur lui. Il la sentait si près, si près le chevauchant et l’enserrant de ses cuisses !
Sa langue ignorante devint vite habile, et le désir, mêlé au goût du fruit, se fit si intense que la tête lui tourna. Qu’elle… qu’il… ! Oh ! Ses seins juste devant son visage !
Pourquoi ne les sortait-elle pas une bonne fois pour toutes, ces seins si terriblement présents, cruellement montrés, trop montrés, et pas assez montrés ?
Oh qu’elle les sorte, qu’elle les sorte enfin et qu’elle les lui tende, pour qu’il puisse les manier ! Qu’elle écarte ce tissu, hypocrite tissu qui sournoisement les recouvre tout en les révélant, et qu’elle les montre !


Et qu’est-ce qu’un jeune étudiant heureux de faire ma connaissance pourrait souhaiter faire de moi, là … maintenant …


Guillemot entendit ces mots comme s’ils étaient prononcés dans son propre esprit. Comme avoir une femme sublime tout contre soi vous déniaisait vite ! Ce qu’il souhaitait faire de ce corps, de ces hanches, de ces seins, il le savait bien, soudainement ! Mais comment lui demander ? Mais comment ne pas lui demander ?


Je…Ce que je souhaiterais faire de vous… Vos…vos seins… j’aimerais tant les toucher…je…vous me faites tout drôle…mon dieu ce que vous êtes belle ! vous me brûlez de l’intérieur.



Soudain honteux de sa demande, il se tut. Mais il la désira encore plus violemment.
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Sursaut et regard glacial. Ce goujat l'avait coupé dans ses paroles en l'attrapant nerveusement par le bras. Deux choses qu'elle détestait plus que tout : qu'on la coupe et qu'on la prenne pour un jouet. Elle attrapa alors le bras de Dusaan (celui qui tenait le sien) et y planta ses longs ongles avec force. L regard qu'elle lui lança n'avait plus rien de cordial ni de charmant, bien au contraire. Il ne savait pas sur qui il était tombé de damoiseau ! Et le ton frid qu'elle emprunta lui donnait un peu l'idée :

Vous n'avez pas appris la politesse dans vos contrées ? Vous n'êtes pas dans un simple bordel, vous êtes à la Rose Pourpre, et ici, c'est comme partout ailleurs, les "bonjours", "merci", et "s'il vous plait" sont recommandés !

De plus, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, j'étais en pleine conversation importante, et c'est encore moins impoli de couper quelqu'un dans une conversation ! Mais vous n'avez surement pas appris ca...


Elle eut un sourire malsain puis se retira de la prise de cet homme. Qu'avait-elle à perdre à présent ? Elle n'était même pas engagée à la Rose ! Mais il avait déjà payé, c'était le problème, et elle n'avait pas envie de donner des problèmes à la Succube. Enfin elle verrait bien ! En tout cas, son rendez vous était là, et elle n'avait pas envie de le faire attendre ! c'est pour cela (mais aussi pour jouer avec Dusaan) qu'elle se tourna vers Valentine et lui parla avec une voix féline

Nous disions mon ami ?

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En route vers le paradis

Douce réplique qu’une délicate main posée sur sa joue, tel une caresse promettant mille et un délicieux moments. Simplement par se geste, il savait se qu’elle lui dirait mais sa réponse prit une drôle de tournure au fur et a mesure qu’il l’écoutait parlé …

Je croyais que vous n'alliez pas venir très cher, et vous me voyez ravi de vous savoir à mes cotés ! J'accepte votre... vos propositions cher ami ! Mais permettez moi de vous laisser quelques instants, j'ai... comment dire... un client à satisfaire et la Dame de la Rose compte sur moi...

Pourquoi Diable avait-il mit autant de temps a venir en ses lieux une jeune femme l’y attendait et s’impatientait. Tellement qu’elle avait du prendre un homme au hasard afin d’assouvir quelques desseins propre. Cependant qui était-il ? Il ne s’agissait certainement pas d’un homme aussi adroit et aussi bien que se cher dénommé Valentine. Ou était-il se bougre qu’il lui fasse la peau au couteau … Les douces et sensuelles paroles que lui murmura Rodrielle a l’oreille le calmèrent tranquillement cependant il ne serait pas le morceau de deuxième choix quitte a transpercer … ce paysant dont il ne connaissait encore ni l’allure ni le nom.

Obscure vint lui déposer quelques paroles a l’oreille et disparût aussitôt …

La jeune demoiselle face a lui, lui offrit un sourire des plus appréciable et un sentiment de désir lui prit littéralement le bas du ventre … Il avait envie de cette Rodrielle, un sentiment grandissant dans son cœur dans sa tête … Bien vite, elle n’aurait d’autre choix que de griffer son corps musclé tellement le plaisir serait intense. Il imaginait déjà le souffle saccadé de cette déesse la sentir se raffermir sur sa prise, la jouissance qu’elle en tirerait... en finir vite avec cet homme, cet obstacle le séparant de l’amour de sa partenaire.

Comme ça votre organisation tombe à l'eau ? En quel honneur ?

Aucune place pour la discussion, l’homme qui l’avait achetée se saisit de Rodrielle de façon rustique, jaloux de ne pas faire l’objet du désir de sa future partenaire de couche. Savait-il seulement qu’une demoiselle ne devait pas être traitée ainsi il devait avoir été élevé au temps ou la réflexion et le changement n’eurent pas leur place. Un rire, un sourire … Valentine savait pertinemment que Rodrielle ne se laisserait pas parlé et maltraitée ainsi … A un point tel ou il ne se mêla même pas de se qui allait se produire.

Effectivement la sublime demoiselle n’apprécia pas beaucoup les manières du pecno et lui fit savoir de façon assez sèche. Luinwe posa ses yeux sur l’homme ressemblant étrangement à un singe. Le bonhomme ne dégageait rien de bon cela se sentait au premier coup d’œil cependant il n’avait pas l’air des plus dangereux loin de la. En fait de toute l’assemblée, Rodrielle et lui était certainement les plus dangereux … Sa ravissante recrue se tourna vers lui et reprit la discussion … il se voyait qu’elle prenait malin plaisir a faire bouillir de rage l’inconnu. Valentine avait son mot à dire également.

Nous disions donc que nous allions monter a l’étage baiser comme des bêtes et que nous allions savourer le moment … après vous très chère … !

Valentine désigna l’escalier qu’elle lui montre le chemin … cette dernière prit les devant. Valentine croisa le regard de Dusaan une fois de plus et ne pu réprimer un sourire moqueur, vil et mesquin. Il décrocha entre temps une bourse bien pleine de sa ceinture … et la lui lança au niveau du visage afin qu’il soit obligé de l’attraper…

Tenez et cette fois au lieux d’acheter une femme que vous maltraiterez … payez vous a boire sa vaudra mieux pour tous et toutes …

Valentine lui adressa un clin d’œil avant de partir a la poursuite de sa proie qui avait prit un peu d’avance il la rattrapa dans les marches avant d’atteindre l’étage des chambres … il ne savait trop s’ils auraient droit a des représailles de cet homme mais tant pis le jeu en valait drôlement trop la chandelle. L’assassin attrapa Rodrielle par la taille et la fit enrouler ses jambes autour de sa taille ainsi elle ne touchait plus au sol déposant d’agréables baiser enflammés sur les lèvres de cette dernière et de sa langue venir agaçer la sienne. Elle lui indiqua le chemin du mieux qu’elle pu jusqu'à la pièce ayant été réservée pour elle. Il l’ouvrit et verrouilla derrière eux à l’aide d’une seule de ses mains tenant toujours la belle tout contre lui dans ses bras. La chambre était modique mais agréable ils passeraient tous deux une bonne nuit c’était chose certaine…
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