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[RP] Bureau du Porte Parole

Indifred
Oullaaaaa mais une question comme ça mériterait au moins un jambon...ou une truite grillée à la rigueur.
D'abord moi je suis pas porte parole de l'église Aristotétélicienne...qu'est ce que j'en sais ? C'est pas le conseil qui fait les curés, ni même l'église peut être juste la providence.
Mais à mon avis c'est pas pour demain, tu aurais plus vite fait de partir dans une ville pleine de curés... je sais pas moi... Bourges, Joinville...Calais ?
Nan parce qu'à Espalion ça va bien comme ça moi je dis...je crois pas que la grande vilaine bête va nous tomber dessus !


Arf encore un petit godet de rouge, mince le saucisson est fini et fallait pas compter sur la cuisinière du Castel, la dernière pas payée depuis des lustres avait démissionnée. Pauvre pays en plein hiver...faisait froid dans ce bureau, Indi aurait bien brulé quelques parchemins qui trainaient dans les armoires mais il se doutait que quelques érudits en auraient besoin un jour ou l'autre.
Drob66
c'est les bras chargés de victuailles que Drob pénétra dans le bureau du porte parole. Il sourit aux derniers propos.

bonjorn Indi, j'ai ouï parler d'un concours à qui posera la question la plus compliquée. Faut payer ? Voilà de quoi tenir une semaine, j'ai la clef des caves du château ....

pendant que tu mastiques, voilà ma question : il y avait il y a quelques jours encore deux charmantes petites vieilles qui discutaient sur leur banc. Crois-tu qu'elles soient enfouies sous la neige, je ne les entends plus de la fenêtre de mon bureau. Il faut peut-être lancer des recherches, leurs propos me distrayaient gentiment pendant que je travaillais. Qu'en penses-tu ?
Indifred
Joie intense...

Scruntch, glop, miammmm, sluuuuurp....

Diantre avec tout ça tu as de quoi poser une douzaine de questions !
Bein les petites vieilles, après la neige vient le soleil qui la fait fondre...
Avec l'accalmie elles ont du dégeler !
J'aime bien aussi leurs ragots, ça fait un peu notre patrimoine ces histoires là...A ton avis les vieux du conseil c'est nous ?

Scruntchhh, ssluuuurppp

Porte parole était en train de devenir le meilleur poste du conseil, Indi avait mangé pour trois jours. Lui restait plus qu'à se réhydrater avec du vin.
Lysalore
Lysa regarde cette débauche d'engloutissement de nourriture et vin, en souriant, puis elle tourne les talons, déçue.

Ben voilà. Un porte parole qui répond n'importe quoi de son propre chef.
Elle rit en marchant, Moi, une grenouille de bénitier... on aura tout entendu !! C'est mon Til qui se marrerait franchement en entendant une c.... pareille ! C'est pas tout ça mais si nos dirigeants ne négocient pas avec les représentants de l'église Aristocélienne pour le bien-être de certains de leurs citoyens, qui le fera ?

Entre la bière frelatée qui ne donne plus la boulasse ni la joie (mais l'a-t-il seulement remarqué, l'Indi ?), et le manque de réconfort de la messe pour ceux qui y croient... mmmh...


Elle marche, s'en retournant à son travail, la tête pleine de questions...

... c'est qui d'abord ce "grand".... mauvais ? Mal ? Qu'est-ce qu'il a dit encore ? Tsssssssssssssssss.... y dit n'importe quoi Indi...
Indifred
Et la politesse scruntchhhh slurpppp, on dit "au revoir messer le porte parole glouton, merci de vos réponses" namého cette jeunesse, enfin...

Bon bein pour les curés l'affaire était réglée, yavait plus qu'à demander à son éminence...

Regard vers les panneaux accrochés, il en manquait encore un ou deux mais pour l'instant l'inspiration n'y était pas.
Arfadette01
De retour de son long voyage, Arfadette avait une chose importante a faire, aller saluer son Comte Toni, lui qui était si beau et qui sentait bon.
Persuadée qu'il était encore Porte Parole, elle se dirigea vers le bureau et y entra rapidement.


Tadammmm ! C'est moi !

Elle regarda l'homme vers le bureau, et ne reconnu pas son Comte.

Erf lé ou ?


Bien vite elle se trouva ridicule en pensant à son entrée théatrale.Elle tenta de masquer sa déception et sourit naivement.

Heu, je passais vous saluer, bah vi hein je rentre de voyage je dis bonjour à tout le monde. Ca va , heu vous portez la parole vous ? Pas trop lourd ?

Elle recula un sourire géné et stupide aux lèvres.

Bon ben je vous dérange pas plus , bonne journée
Indifred
Euh bein bonjour, ça va la parole est pas trop lourde !

Bonne journée damoiselle ! Gloupsssss


Bon tout allait bien, pas de questions sur le feu. Indi sortit du bureau en devisant avec Drob, ils prirent la direction de la mine de fer pour aller donner quelques coups de pioches défoulant.
Nidnim
L'enrubanné milhavois frappe...ancune réponse ne traverse la lourde porte. Il entre et constate qu'il n'y a personne. Peu importe. Il se dirige vers le grand livre des questions et doléances; taille la plume tiré de son grand galure et couche son interrogation.
" L'ordonnance du barreau et de l'avocat rouergat, validée le quinzieme jour du neuvième mois de l'an de grasce 1456 par le conseil du moment, affichée au castel, est-elle toujours valide ?"
Indifred
Quelques coups de pioches plus tard.

Arf l'est temps d'aller voir si ya des questions.

Direction le castel, bureau, jusque là point d'embuches. Arrivé dans la pièce, tient le livre des doléances est ouvert et une encre plus vive attire l'œil, hum ça a l'air frais.

Citation:
L'ordonnance du barreau et de l'avocat rouergat, validée le quinzieme jour du neuvième mois de l'an de grasce 1456 par le conseil du moment, affichée au castel, est-elle toujours valide ?


Norf une question anonyme, et pas de la petite question que même les gosses connaissent la réponse, non non de la bonne petite question de juriste. Voilà qui méritait pour le moins une visite chez le juge Aster. Indi se demandait si le pôle justice était correctement approvisionné en boissons et autres nourritures; la visite aurait donc un double but.
Le berger se mit en route pour les bureaux du juge en espérant le trouver derrière une pile de parchemins.
Guyhom


Guyhom, dit le grinch, profita du fait d'être à la capitale, pour aller voir le porte parole...enfin, porter des paroles lui semblait incongru mais au moins peut être pourra t'il répondre à des questions. Guyhom frappa et entra, ne vit personne, ce qui ne l'étonna point, tira un siège et s'assied dessus, s'alluma sa pipe et attendit que le locataire des lieux se manifeste....

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Indifred
De retour de chez Aster. Ouverture de la porte, tient un visiteur.

Le bonjorn messer ! Que puis je pour vous ?
Je crois qu'il me reste un peu de paté de cailles, par contre coté vin je suis un peu en rupture de stock... zauriez pas une gourdasse dans la poche par hasard ?
Sofio
Bureau du porte parole enfin trouvé, peut être la qu'elle trouverait réponse a sa demande, enfin des questions elle en avait pleins, mais chaque chose dans l'ordre, déjà régler tous ces questions administratives, elle n'avait jamais foutu le pied dans un bureau pareil, mais on lui avait dit c'est le bureau de la cohue tu entres tu cherches pas a savoir si tu dois prendre un ticket ou pas, tu pousses ta question en clair et tu attend qu'une personne te réponde , enfin prend de quoi manger et boire, c'est le genre de bureaux , ou tu sais pas combien de temps tu vas y rester.

Alors elle poussa la porte, et posa sa question


Bonjour, je voudrais savoir si le comté du Rouergue reconnaissait l'université de Belrupt dans ces institutions.

Puis se trouva un petit coin pour attendre
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Guyhom


Guyhom vit Indi entrer et sourit amusé, tout en sortant une petite fiole:

Bonjorn, tenez, voici de quoi boire....une petite eau de vie de normandie...du calva qu'on appelle ça.

sinon, merci pour le pâté mais je préfère le cochon...
Guyhom sourit puis redevint sérieux:

allez, ne tournons pas autour du pot. Je dois en plus me rendre au tribunal.

voilà, pourquoi je suis ici? et bien tout simplement parce qu'il m'est arrivé une petite mésaventure...voyez vous. entre Millau et Rodez, il y a deux adorateurs de la nature, deux personnes étrangères qui aiment bien rester à camper dans la forêt et à aborder les voyageurs pacifiques en leur quémandant de gré ou de force, souvent la dernière option, leurs biens ceci afin de s'éviter la fatigue journalière d'un travail quelconque.

Ceci ne me regarderait pas d'habitude, mais comme ils m'ont, disons poliment, assommé et volé du bon vin d'anjou, je suis légèrement agacé par l'inactivité de la force publique.

voyez vous, entre une maréchaussée inexistante, fantômatique et une douane invisible par rapport à celle que j'ai connu, un ost qui à part faire le tour des tavernes à rodez, et qui se taquine la tige à défaut de professionnelles , j'ai l'impression fort désagréable qu'il n'y a rien de fait pour la sécurité des voyageurs et du commerce.

donc la question étant celle ci, en version édulcorée: pourquoi les routes ne sont pas sécurisées? que fait la force publique et quelles sont les mesures prises pour faire cesser ce genre d'activités ?


Guyhom, sourire moqueur aux lèvres, attendit sa réponse lorsqu'une autre personne entra, de manière cavalière et écouta sa question, dont la réponse se trouvait tout simplement à l'université elle même...peut être ne savait elle pas lire...il haussa les épaules, cela ne le concernait pas, même si il y étudiait depuis plusieurs mois.

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Nidnim
Ta..tan. Tala.. tantan...! , l'air de l'encathaire en tête lo floricat milhavois toque à la porte. En pousse à sa manière grandement le battant.
« Adieussiatz los meus amics.... Arg !.. »
La sanginaria de Polignac est assise dans le coin droit de la pièce. Sévère. Guy a la gola amochée. La guerriera l'a frappé c'est sûr. Ou il a fait des colhonadas à Belrupt ? Ou Sofio la roja vient se plaindre du bordèl que lui même y fout dans le cours de politique ? Et mèrda de mèrda Nid y avait envoyé pas plus tard que la semaine passée une infirmière s'y inscrire... L'ambiance est lourde, bien que le porte parole partage pichet avec Guy.
Lo grand borgés s'avance.
« Mes omenatges Dòna,
Car Guy,
Portaparaula,
je ne passais que pour m'enquérir si vous aviez réponse à mon interrogation.
Voyez-vous je suis confronté à un dilemme ou disons une contradiction, en cours de droit, dans l'université où d'ailleurs Dòna Sofio ici présente,
exerce hum !...avec fermeté dans son domaine : le militaire.
Hum ! Rassurez nous Dòna. Vos troupes ne vont pas se déverser en nos contrées ?... Est-ce un détour pour faire la guerre al provençal ?
Guyhom


Guyhom sourit en voyant entrer Nid, il le salua amicalement:

si tu veux trinquer n'hésite pas....indi va pas tout boire....bien qu'il préfère le lait de brebis, je pense qu'il ne crache pas sur la gnôle...de toute façon, ta question m'interesse aussi vu le devoir à rendre!


Guyhom sourit et attendit que le porte parole réponde.

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