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[RP] Du vent dans les roses - Castel de Dampierre / Boutonne

Datan
[Terres de Dampierre sur Boutonne, quelques jours après le départ de Dune]

Malgré le froid et le manteau de neige qui recouvre les terres gelées de Dampierre, le Seigneur des lieux fait sa promenade matinale. Il aime ces moments privilégiés où la nature s'éveille, engourdie, après une nuit d'hiver. Quelques animaux pointent le bout de leur nez, cherchant quelques nourritures, la végétation se débarrasse de la neige qui fond grâce au soleil qui tente de la réchauffer. La nature réveille ses sens et la vie reprend doucement.

Sur son cheval, que Datan fait avancer doucement, le propriétaire des lieux admire cette beauté matinael. Il connait chaque recoin, chaque chemin et chaque arbre de ses terres, tant sa proximité avec elle est grande. Il ne serait rien sans ces instants où il s'approche d'elle, cette nature bien plus simple et merveilleuse que sa propre race.

En arrivant près d'une vieille bâtisse, celle qui servait autrefois à une des familles de fermiers, il se rend compte que celle-ci est fragilisée, à plusieurs endroits. C'est une belle longère à plusieurs pans, avec une surface importante. Ce bâtiment délabré le désole, et Datan passe son chemin tout en se disant qu'il faudrait trouver quelqu'un pour lui redonner vie...

Plus loin, sur le chemin qui rejoint la Boutonne, surgit un petit bâtiment un peu moins abimé. C'est un repère de chasse qui servait à l'ancien propriétaire, mais si l'épervier qui l'accompagne chasse pour se nourrir, celui que l'on surnomme l'Epervier n'est point chasseur... Là, son regard est attiré au niveau de l'entrée. La porte est entre-ouverte, le sol a été foulé. Il frappe sur l'huis, mais les coups restent sans réponse. En entrant, il découvre les lieux et se rend à l'évidence ; Quelqu'un s'est installé ici récemment. Une âme sans logis.

Un logis sans âme...

Un sourire illumine son visage. L'Epervier vient d'avoir une idée.

Lorsqu'il était à Niort, il s'est un temps occupé des pauvres erres, des vagabonds et des laissés pour compte. Maintenant qu'il a acquis un meilleur statut social, qu'il possède des terres, peut-être pourrait-il revenir à ses origines... On ne renie pas ses origines.
Redonner vie à ce grand bâtiment qu'il a vu quelques instants avant, en faire un lieu d'accueil pour les plus démunis, s'entourer des boulangers volontaires qu'il connait et qui accepteront certainement de l'aide à les nourrir.

Voilà une belle journée qui s'éveille, propices aux idées vertueuses.

Datan remonte sur son cheval et le lance vers le château... Il quitte le chemin menant du pavillon de chasse et tourne vers celui qui mène au château. Là, il tire sur les rênes, à peine le temps de stopper leur élan.
Une jeune femme est face à lui. Il la reconnait, bien entendu, Datan oublie rarement un visage.


Bien le bonjour Dame Oane, je suis heureux de vous trouver ici... Vous auriez du me prévenir de votre arrivée, je vous aurais moi-même guidé sur ces terres...

Malgré le froid et le manteau de neige qui recouvre les terres gelées de Dampierre, la chaleur humaine n'est jamais loin...
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Porte-Parole du Poitou - Champion du Poitou - Médaillé du Mérite militaire - Épervier dans l'âme...
Oane
Au matin. près du domaine de Dampierre sur Boutonne


Oane , emmitouflée dans son manteau de fourrure couleur de rouille, s'abimait dans la contemplation de ce paysage, au rythme régulier du pas de Cornard. Quand soudain une voix grave aux accents connues emplie l'espace :

Bien le bonjour Dame Oane, je suis heureux de vous trouver ici... Vous auriez du me prévenir de votre arrivée, je vous aurais moi-même guidé sur ces terres...

La jeune femme sursaute légèrement en entendant cette voix surgir de l’immensité blanche, elle se tourne légèrement sur sa selle et regarde le cavalier puis, laisse naitre un sourire sur ses lèvres couleur cerise

Bonjour sire Datan, je suis fort heureuse de vous enconstrer icelieu. Vous prévenir de mon arrivée ? Oui peut être … Vous avez raison. Mais disons que je me trouvais là pour d’autres raisons quand j’ai vu surgir vostre demeure à l’horizon et que je me suis souvenue de vostre invitation. Ce n’était donc pas précisément prémédité …. même si Sainte Noël fait bien les choses. Car je ferais volontiers avec vous le tours de vos terres.

La nature est si belle parée de ses joyaux cristallins... regardez là bas ! On dirait une enfilade de diamants sur ce sapin. Bien des femmes de haute naissance riche à souhait envierait à cet arbre sa parure qui a de plus l'avantage inique d'être totalement gratuit !


La jeune femme lâche un rire en grelot qui s’envole dans l’air glaciale. Elle se redresse sur sa selle, une bourrasque de vent soulève ses boucles brunes et saupoudre le paysage d'une pluie de fines fleurs de neige. Elle regarde Datan.
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Xanthipremier
La route l'appelle.
Ils reviennent dans ce vieux relais de chasse délabré, non loin de ce château aperçu à leur arrivée en Poitou.
Le toit les a protégés de la neige tombée ces derniers jours.
Se tournant vers James


Je te laisse un instant, je vais aller voir aux cuisines de ce château, si l'on peut me vendre quelques œufs et du fromage.

Elle regarde l'homme qui acquiesce et part chercher du bois pour préparer un feu.
Hoax ne la quitte pas, il court dans la neige et elle lui lance des boules de neige qu'il attrape. Elle rit quand il mord dans le vide et ne comprend pas. Il se roule dans la blancheur des champs, la neige colle à son poil.
Arrivée non loin du château elle laisse son chien


Bas bouger, je reviens.


Elle ne croise personne sur le chemin qui aurait pu l'arrêter.
Une odeur appétissante la guide jusqu'aux cuisines.
Elle frappe à la porte.


Ola ! Quelqu'un ?

Elle attend, pose un sourire sur ses lèvres, serre quelques pièces au creux de sa main, pour montrer qu'elle pourra payer les œufs et le fromage.
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Anagor
Anagor profitait de l'absence de Charibert, le cuisinier, pour occuper la cuisine.
Il malaxait la pâte à pain et, les mains enfouis dans cette matière élastique, rêvassait.
Ola ! Quelqu'un ?, entendit-il.

Il devint brusquement fébrile comme un gamin qui utilise un jouet qui n'est pas à lui.

Une jeune femme attendait, sur le pas de la porte, de l'argent dans la main mais surtout, un sourire aux lèvres.

Vous cherchez Charibert ? Demanda Anagor.
Xanthipremier
La porte s'ouvre soudainement sur un jeune homme. Elle voit ses mains, pense à sa chère Mahault pétrissant le pain, et sourit de plus belle.

Vous cherchez Charibert ?

Du haut de ses 5 pieds, elle lève la tête et le regarde, comprend la question.

Charibert dites vous ?

Charibert qui cela peut-il bien être ? Si c'est le maître de ce château, ce serviteur manque vraiment de respect envers lui. Quoique ne le connaissant pas il se peut que ce maitre soit, ou ne soit pas ....
Enfin ce n'est pas la question.
Perplexe la Gamine se demande ce qu'il faut dire. Elle choisit la courtoisie.


Bonjour, je suis Damoiselle Xanthi. Nous voyageons et heu ....Elle tend la main, montre les piécettes. Auriez-vous quelques œufs et du fromage à me vendre Messire ?

Elle reste là sur le pas de la porte, les effluves de la cuisine la font saliver, lui tournent presque la tête. Le bruit soudain de son estomac vient confirmer s'il ne l'avait compris qu'elle a faim.
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Datan
[Aux abords du château]

Les lieux étaient un enchantement pour le regard, en partie grâce aux jeux de lumière entre le soleil qui luisait dans un ciel d'un bleu limpide, et les gouttes d'eau qui coulaient le long des végétaux recouverts d'une fine couche de neige. Un vent léger apportait avec lui un air glacé qui transformait tout mot prononcé en petit nuage humide et éphémère. Ils échangèrent un peu, là où Datan jugeait bon de devoir décrire la partie des terres qu'ils foulaient.

Bientôt le château apparut devant eux. Masse robuste et rustique, les fondations enneigées, la bâtisse semblait encore endormie. Malgré un regard embrumé par le froid qui avait finalement eu raison de leur chaleur corporelle, Datan distingua Anagor, discutant avec une jeune femme, à la sortie de la cuisine. Il la vit lui tendre la main.

Il se dirigèrent vers les écuries à la demande aimable du Seigneur des lieux. Datan ne voulut point intervenir auprès de son frère, qu'il savait tout aussi près à aider les personnes en difficulté. Aimant les grandes tablées aux convives provenant de tous horizons, l'Epervier était toujours près à recevoir tous ceux qui se présentaient.

Et de plus en plus, cette idée de refuge s'installait dans sa tête...

Une refuge où la chaleur humaine rayonnerait, brisant les lames de froid lancées par le vent d'hiver.

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Porte-Parole du Poitou - Champion du Poitou - Médaillé du Mérite militaire - Épervier dans l'âme...
Alizielle
L'hiver venait de commencer. Les journées se réduisaient à peau de chagrin, la lumière se faisait rare et la grisaille constante.

Alizielle, bien que fatiguée, était de joyeuse humeur. La chance venait de lui sourire. Le maire de Poitiers lui avait écrit pour l'informer qu'elle venait de gagner le premier prix de la tombola de Noël : une belle somme ma foi, 300 écus. Dire qu'elle ne savait même pas qu'elle y participait ! Datan lui avait acheté un ticket à son insu...

Il fallait qu'elle aille le remercier. Tandis qu'elle partait à sa recherche, il lui vint à l'esprit d'offrir la somme à une bonne oeuvre. Datan lui avait déjà évoqué un projet en ce sens : voila qui l'aiderait à démarrer.

Ayant appris qu'il s'était dirigé vers les écuries, elle pressa le pas en cette direction pour le rejoindre. Elle le trouva avec son frère et une jeune femme qui lui était inconnue.


Bonjour, j'espère que je ne dérange pas.

Elle fit une légère pause pour reprendre son souffle, puis sourit.

Permettez-moi de me présenter : je suis Alizielle.

Mon cher parrain ! Il faut que je te remercie.
Tu ne m'avais pas mentionné ce ticket de tombola que tu as pris à mon intention ! Figure toi qu'il m'a fait remporter...


Elle eut une grimace soudaine et se tint le ventre à deux mains.

Hé ben, il semblerait que mon petit locataire ait décidé qu'il était temps de prendre l'air.

Regardant autour d'elle et avisant un tabouret, elle alla s'y assoir.
Oane
Fin de matinée, Dampierre sur Boutonne

L'air du temps se joue de la chaleur des corps
Une foulée ample les a sauvé jusque là du froid
Mais arrivés devant les portes du castel, l'allure s'est ralentie, la brise insinuée entre les insterstices des manteaux de fourrure, l'ovale de porcelaine de la damoiselle a rougit, les lèvres craquellent, un frisson la parcourt. Ils démontent, elle attend qu'un palefrenier prenne en charge son frison, là debout, dans les bourassques glaciales intermitentesqui soulèvent sa longue chevelure de jais. Elle écoute le souffle de Datan dans l'air frais ; De l'agitation provient des cuisines.


Cher Datan, si cela ne vous gêne pas je profiterais bien de vostre hospitalité avant de repartir "A la bonne étoile". Je crainds d'être un peu frileuse malgré mon séjour dans les cellules glaciale du couvant des Soeurs au Vitellio.


Oane lache un rire cristallin qui tinte dans l'air frais comme des clochettes et va se supendre en guirlande aux arbres enneigés du jardin cient par les hautes murailles de la batisse.

Une bonne tasse de lait chaud ne serait pas de refus !

Elle sourit, une lueur dansante au fond de se ses prunelles océan. Elle observe ensuite en silence le castel. Bien que rustique et fort petit en comparaison des immenses domaines de son père et de sa mère, il se dégage un charme certain à Dampierre, la pierre semble ici comme ... vivante, bruissante de vie, d'activités. De la cheminée s'échappe des volutes âcres. des voix résonnent ; Une demoiselle interromps le dialogue siencieux de Datan et de son invitée surprise, sa nièce, de ce que comprend la jeune dame. Une nièce bien chanceuse, il semble d'avoir un parrain fort généreux ... Oane sourit et les écoute converser. Un homme d'âge mur, un berret planté sur sa tignasse, vient prendre la longe de Cornard. Elle le salut et lui dità voix basse " bichonnez le bien, nous sommes dehors depuis ce matin avant l'aube" puis, elel s'en retourne vers Alizielle et Datan et sourit avant de se présenter

Bonjour Alizielle, enchantée de faire vostre connaissance, je suis Oane de Surgères, je rends une visite pour le moins impromptue à vostre parrain, ce cher Datan et je lui demandais de m'offrir quelque chose de chaud avant que je reparte car ,voyez vous il m'a fait visiter le domaine et avec ce froid, un peu de chaleur avant de repartir me fera le plus grand bien, peut etre venez vous de loin vous aussi ?


Elle leur sourit à tous deux et frotta ses mains pour les réchauffer.
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Yseline
Les routes étaient enneigées, le vent soufflait dans la plaine, la glace commençait à s'accrocher à son chapeau et la cape s'alourdissait.

Yseline , qui voyageait seule, vit un château au bout d'une allée.
Elle arrêta son cheval et hésita un instant. Il semblait aussi transi qu'elle ce qui la poussa à faire prendre l'allée à la bête.

Arrivée devant le château, elle se dirigea vers les écuries où elle entendait des bruits de voix.

Bonjour, je demande l'hospitalité pour mon cheval et moi-même. Ce froid glacial me ronge jusqu'aux os.

Une dame semblait proche du terme. Elle grimaçait et s'assit rapidement sur un tabouret.
Elle n'attendit donc pas de réponse avant de descendre de cheval, la dame demandant une certaine attention vu son état ou plutôt le changement d'état qui commençait à s'opérer.

Elle rentra elle-même son cheval dans les écuries, enleva l'harnachement mouillé et bouchonna la bête fatiguée.
Elle espérait bien être conviée à la table de l'hôte, elle avait du pain et des fruits qu'elle pouvait mettre sur la table. Elle ne manquait de rien sauf de chaleur et peut-être d'un moment convivial.
Oane
Alors meme que Oane attendait que son hote lui propose de rentrer, la jeune femme dont ele venait de faire la connaissance, Alizielle, se plia en deux, les mains sur son ventre dont on devinait meme sous le lourd manteau, une forme rebondie par une grossesse fort avancée. Oane prit alors le bras d'Alizielle et alors qu'elel s'appretait à dire quelque chose, uennautre femme fit son apparition demanda accueil par ce froid. Oane ne s'en préocuppa pas plus, gérant les priorités du moment :

Datan ou ... vous là, pardonnez moi pour les présentation .... succinte ... aidez moi, Alizielle doit être emmenée d'urgence l'intérieur sinon son petit va etre congelé avant de mettre le nez dehors ventrebleu !

A deux, ils soulevèrent presque la futur mère et la firent entrer dans le chateau sous la houlette de Datan. Ils se rettrouvèrent bientôt tous l'intérieur sous le regard étonné du reste de la maisonnée.

sire Datan, où pouvons nous installer la parturiante ? -silence, sourcil interrogateur- Il nous faut un lit, des draps propres, de l'eau chaude et des linges, et bien sur une sage femme !

Pouvez vous aller en quérir une à l'instant ? A moins que cette jeune femme ne soit elle même sage femme ? -regard interrogateur-

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Xanthipremier
Xanthi reste là, tremblant de froid, l'homme la regarde sans dire un mot.

Entendant le bruit de sabots de cheval, elle tourne la tête et voit s'approcher des écuries un couple dont la prestance ne laisse aucun doute : voici le seigneur des lieux accompagné d'une belle Dame.
Puis d'autre bruit de sabots ; Que de vas et viens dans ce château.

Elle garde toujours la main tendue et le sourire se crispe, sa main tremble et les pièces tombent, roulent dans la cuisine, dans la cour..... Elle laisse échapper d'une voix chevrotante un cri de surprise.


Ooooh !

Hoax se retrouve immédiatement à ses côtés, sa maitresse aurait-elle quelques ennuis ?
Elle pose sa main sur la tête de l'animal qui lui arrive à la taille, sent la chaleur de son chien.


Ce n'est rien Hoax, calme !

Alors Messire ? Avez- vous quelque chose à me vendre ? Je vous en prie !

Et de pousser le chien et de ramasser les rares piécettes glacées qu'elle voit et de mourir d'envie de secouer ce gamin.
Ben il aussi vif que l'épouvantail de mon champ celui-là ! pense-t-elle.
Et de laisser perler son rire.
Le chien rassuré, s'assoit à ses côtés et attend sagement, la langue pendante, la queue tapant doucement le sol.

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Alizielle
Merci de votre aide Dame Oane...
Oane... Oane... votre nom ne m'est pas étranger.
Où nous sommes-nous donc déjà rencontrées ?


Elle fronça les sourcils et réfléchit intensément.

N'auriez-vous pas participé à des fouilles jadis en quête d'un fossile dans les mines ?
Des fouilles organisées par ce cher Datan d'ailleurs...
Mais je fais peut être erreur sur la personne.


Elle salua la Dame qui venait d'arriver, réprimant une grimace de douleur.

Veuillez excuser ma courtoisie rudimentaire, je suis ceci dit enchantée de faire votre connaissance.

Elle se laissa entrainer à l'intérieur du château.
Anagor
Anagor resta un instant, saisi par la détresse de cette jeune femme.
Il se revit, enfant, allant de ferme en ferme pour se proposer comme journalier.
Certains fermiers, pour s'amuser, lâchaient les chiens. Lorsqu'il courait, leurs mâtins sur ses talons, il entendait leurs rires gras lui transperçait le coeur.

Le bruit des pièces sur les dalles le fit sursauter.

Alors Messire ? Avez- vous quelque chose à me vendre ? Je vous en prie !
Il chassa un frisson et répondit :
Entrez, je vais vous préparer à manger. Reprenez votre argent. Ici, vous n'en aurez pas besoin.
Xanthipremier
Entrez, je vais vous préparer à manger. Reprenez votre argent. Ici, vous n'en aurez pas besoin.

Entrer ? Ici ...

Hésitante, elle regarde le jeune homme, passe devant lui, Hoax sur les talons. Elle lui indique de la main un coin : Coucher ! Pas bouger.
Elle sourit à son hôte et laisse tomber les pièces sur la table de la cuisine.

Vous prépariez le pain, je vous fais perdre votre temps. Vous me voyez confuse.

Elle baisse les yeux, la chaleur des cuisines, le fumet des plats lui tournent la tête. Elle se retient à la table. Elle ne se savait pas si fébrile, la fatigue du voyage et le froid sans doute.
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Yseline
Yseline se fit interpeller

Citation:
Datan ou ... vous là, pardonnez moi pour les présentation .... succinte ... aidez moi, Alizielle doit être emmenée d'urgence l'intérieur sinon son petit va etre congelé avant de mettre le nez dehors ventrebleu !


Yseline se dépêcha d'aider la future mère à se déplacer vers le chateau.

Citation:
A moins que cette jeune femme ne soit elle même sage femme ?

-regard interrogateur-

Moi?

De surprise, il ne fallut qu'un instant qu'elle lâcha la future mère mais elle se ressaisit de suite.

Non, du tout.
Je peux aider au cas où ... J'en ai déjà vu mais je ne suis pas une spécialiste.


Yseline regarda dame Alizielle.

Il me semble que cette dame est de bonne constitution, en grande forme et en bonne santé.
Une grossesse n'est pas une maladie mais quelque chose de très naturel. Tout devrait bien se passer.Restons plutôt calme et laissons le temps bien faire les choses.


Elles se remirent en marche toutes les trois jusque dans le hall du chateau.
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