Dimaro
Dimaro riait encore des taquineries faites à Lynette ... Si le trajet depuis le Maine avait été bien long, ils avaient su s'occuper largement de cette façon. Il pouffa de rire, expulsant les quelques gouttes de liqueur qu'il avait entamé de boire, en entendant les justifications de son amie ...
"... Pis j'aimerai bien vous y voir vous, à vous les geler tous les matins devant les remparts pour contrôler les passages des nouveaux arrivants, fait froid en hiver ! "
Mais bien sûr Lynette .. c'est même pour cela que ton mentel d'hiver à de grandes poches ... pour contenir toutes les jarres d'alcool !!
Dimaro lança un regard complice à Robblochon avant que ceux-ci ne reprennent leurs hilarité ...
"Et puis de toute façon si ma mère est tombée amoureuse de lui, c'est qu'c'était forcément un homme bien non ?"
Bah ...
Dimaro ne pu répondre que Lynette s'empressa de rétorquer :
"Et non, ma mère n'était pas alcoolique ! Bon, une p'tite lichette de liqueur de poire à l'occasion, mais elle était pas accrochée à sa bouteille toute la journée."
Heu ... j'ai rien dis moi !! Qu'est-ce j'en sais moi qu'elle était amoureuse ou pas ta mère .... Pis c'était pt'être un bon père ... que sais-je .. s'il ne se serai pas enfui on aurai pu le savoir !!
Il reparti dans une allégresse commune avec Robb en voyant Lynette faire la moue ... décidément ... son père devait être un homme très spécial ... Et généreux qui plus est ... Car il avait transmit à lynette la joie de l'alcoolisme en taverne ... cette pensée le fit rire de plus belle, voyant son amie sourire avec eux.
Quand soudain, un gueux à la démarche patibulaire les arrêta en meuglant quelque chose que même Marguerite - dicte la vache folle de Mayenne - n'aurai pu comprendre. Ensuite tous ce passa très vite, Lynette en une poignée de seconde - ou de poivre - mis à mal le premier bandit en criant :
Mousquetons, à l'attaque !!!!!!!
De suite, Dimaro empoigna son épée et la sortie de son fourreau, criant en coeur avec Robb :
Mousquetons, Un porto et tous pour l'vin !!
Le cheval de Dimaro se cambra devant les assaillants - ou du moins ce qu'il en restait - pendant que Dimaro scrutait les alentours, épiant chaque arbre suspects, à la recherche d'autres assaillants cachés ... Il mit la pointe de sa lame en avant, face à la gorge du pauvre brigand aveuglé par le poivre avant de lui demander :
Parle !! Qui es-tu bougre ? Y en a t-il d'autres sur ces routes ?
Dimaro gardait sa lame tendue, jetant des regards de droite à gauche, en attendant que l'homme agenouillé à terre daigne lui répondre entre deux frottements oculaire ...
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"... Pis j'aimerai bien vous y voir vous, à vous les geler tous les matins devant les remparts pour contrôler les passages des nouveaux arrivants, fait froid en hiver ! "
Mais bien sûr Lynette .. c'est même pour cela que ton mentel d'hiver à de grandes poches ... pour contenir toutes les jarres d'alcool !!
Dimaro lança un regard complice à Robblochon avant que ceux-ci ne reprennent leurs hilarité ...
"Et puis de toute façon si ma mère est tombée amoureuse de lui, c'est qu'c'était forcément un homme bien non ?"
Bah ...
Dimaro ne pu répondre que Lynette s'empressa de rétorquer :
"Et non, ma mère n'était pas alcoolique ! Bon, une p'tite lichette de liqueur de poire à l'occasion, mais elle était pas accrochée à sa bouteille toute la journée."
Heu ... j'ai rien dis moi !! Qu'est-ce j'en sais moi qu'elle était amoureuse ou pas ta mère .... Pis c'était pt'être un bon père ... que sais-je .. s'il ne se serai pas enfui on aurai pu le savoir !!
Il reparti dans une allégresse commune avec Robb en voyant Lynette faire la moue ... décidément ... son père devait être un homme très spécial ... Et généreux qui plus est ... Car il avait transmit à lynette la joie de l'alcoolisme en taverne ... cette pensée le fit rire de plus belle, voyant son amie sourire avec eux.
Quand soudain, un gueux à la démarche patibulaire les arrêta en meuglant quelque chose que même Marguerite - dicte la vache folle de Mayenne - n'aurai pu comprendre. Ensuite tous ce passa très vite, Lynette en une poignée de seconde - ou de poivre - mis à mal le premier bandit en criant :
Mousquetons, à l'attaque !!!!!!!
De suite, Dimaro empoigna son épée et la sortie de son fourreau, criant en coeur avec Robb :
Mousquetons, Un porto et tous pour l'vin !!
Le cheval de Dimaro se cambra devant les assaillants - ou du moins ce qu'il en restait - pendant que Dimaro scrutait les alentours, épiant chaque arbre suspects, à la recherche d'autres assaillants cachés ... Il mit la pointe de sa lame en avant, face à la gorge du pauvre brigand aveuglé par le poivre avant de lui demander :
Parle !! Qui es-tu bougre ? Y en a t-il d'autres sur ces routes ?
Dimaro gardait sa lame tendue, jetant des regards de droite à gauche, en attendant que l'homme agenouillé à terre daigne lui répondre entre deux frottements oculaire ...
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