Scath_la_grande
Scath serra furieusement les mâchoires lorsque le mot « grosse » effleura son oreille et essaya de faire abstraction à cet affront amical de Mata. Dailleurs, à cueillir les gens au saut du lit, il ne fallait pas croire que lhospitalité en serait gracieuse.
Ah le charmant accueil de Montauban, on sy faisait à la longue et de la part de loccitane à laccent mat, elle ne sattendait pas à autre chose.
Le ton sec et péremptoire de lembrunaise claqua dans lair et offrit une question en guise de réponse.
Dis ? Tu pionces les portes ouvertes toi ? Hé ben tas pas peur pour tes miches.
La rouquine remâcha amèrement encore un peu lallusion à ses formes légèrement trop épanouies à son goût ses derniers temps, puis passa outre. La Grande népiloguait jamais longtemps, et gardait rarement la rancune tenace sauf dans des cas rares.
Mouais tas tout pigé ma belle faudrait reprendre les coutures à certains endroits une moue contrariée prit place sur le minois avenant de la rousse, et comme tu me las judicieusement fait remarquer, ça déborde, ça boudine bref ça ne va plus !
Ses longues mains ivoirines se posèrent en conque sous sa poitrine rebondie, formant comme un balconnet.
Hmmm jai tout pris dans les loches, bizarre, hein ?
Lil sombre de Mata, semblait mesurer mieux que son ruban, jaugeant la silhouette de sa « comparse » sous toutes les coutures, lauscultant presque avec sévérité. Et la carcasse docile se tint sous le haut commandement de la maîtresse au ruban, se tint raide, écarta même un peu les bras pour se laisser estimer, quantifier, calculer. La brune se tenait si proche que le souffle tiède de lanimal vient chatouiller le museau délicat de la belette qui se retroussa. Fichtre, une meute de chacals moisis sétait échappée de sa bouche à en croire lodeur et venait faire agression à son nez. Vite, elle détourna son visage en grimaçant légèrement.
Ahem Matalena ? Tu ne connaitrais pas les graines de fenouil à mâcher ou bien les feuilles de menthe au pire ? parce que ce que tu moffres là ce nest pas dla brise matinale à la rose
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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"
Ah le charmant accueil de Montauban, on sy faisait à la longue et de la part de loccitane à laccent mat, elle ne sattendait pas à autre chose.
Le ton sec et péremptoire de lembrunaise claqua dans lair et offrit une question en guise de réponse.
Dis ? Tu pionces les portes ouvertes toi ? Hé ben tas pas peur pour tes miches.
La rouquine remâcha amèrement encore un peu lallusion à ses formes légèrement trop épanouies à son goût ses derniers temps, puis passa outre. La Grande népiloguait jamais longtemps, et gardait rarement la rancune tenace sauf dans des cas rares.
Mouais tas tout pigé ma belle faudrait reprendre les coutures à certains endroits une moue contrariée prit place sur le minois avenant de la rousse, et comme tu me las judicieusement fait remarquer, ça déborde, ça boudine bref ça ne va plus !
Ses longues mains ivoirines se posèrent en conque sous sa poitrine rebondie, formant comme un balconnet.
Hmmm jai tout pris dans les loches, bizarre, hein ?
Lil sombre de Mata, semblait mesurer mieux que son ruban, jaugeant la silhouette de sa « comparse » sous toutes les coutures, lauscultant presque avec sévérité. Et la carcasse docile se tint sous le haut commandement de la maîtresse au ruban, se tint raide, écarta même un peu les bras pour se laisser estimer, quantifier, calculer. La brune se tenait si proche que le souffle tiède de lanimal vient chatouiller le museau délicat de la belette qui se retroussa. Fichtre, une meute de chacals moisis sétait échappée de sa bouche à en croire lodeur et venait faire agression à son nez. Vite, elle détourna son visage en grimaçant légèrement.
Ahem Matalena ? Tu ne connaitrais pas les graines de fenouil à mâcher ou bien les feuilles de menthe au pire ? parce que ce que tu moffres là ce nest pas dla brise matinale à la rose
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"Ce n'est pas de ma faute si je suis SI parfaite ! C'est Deos qui m'a faite ainsi !"