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Couronnement de la duchesse Barberine

ellebasi40
Ellebasi arriva comme à son accoutumé en retard mes n'avais pas pu faire autrement avec la défense de verdun la mise en place et s'organiser pas le temps de venir plus tôt au couronnement de la nouvelle Duchesse.

Voyant arrivée le carrosse je me dépêche de rentrais avant et d'allée m'installer à ma place en se demandant ou était son frère .

Saluant au passage ses frères et soeurs d'armes son Amie la capitaine,Kyro et marcha prestement vers la sacristie et attendit le déroulement de la cérémonie.

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Syndel
Syndel suivit Uriel et l'évêque dans le choeur; Elle restait en retrait bien entendu, n'étant pas du même rang qu'eux.
LA Cathédrale était déjà grouillante de personnes, d'invités et cela donna un instant le tournis à Syndel :


Aristote, il va falloir que je parle devant TOUS ces gens...Faites que ma voix ne tremble pas

L'évêque alla prendre sa place, et Uriel se tourna vers un DAme en robe d'écarlate...le Cardinal Ecatérina en personne !
Citation:
Je vous présente également Soeur Syndel, de Toul, qui va officier avec nous.


Syndel s'agenouilla bien bas devant ce haut prélat de l'Eglise , en baisant son anneau cardinalice:
- Votre Eminence, murmura-t-elle plus qu'elle ne parla.

Graoully
L'abbé répondit au salut du cardinal.

Demat éminence. Il y a un incident à déplorer, mais je l'ai mis dehors, au sens propre comme au figuré. Enfin passons !
Son éminence voudrait-elle procéder à la bénédiction du conseil ducal, puisque je vous sais lorraine de cœur, et que vous devez connaître pas mal de monde dans cette basilique, contrairement à moi ?


Avancement, quand tu nous tiens ! Tous les moyens sont bons dit-on ! Qui plus est, l'incident avait mis l'abbé de mauvaise humeur, et il se demandait maintenant ce qu'il faisait là. Il n'avait guère d'autre envie pour le moment que de retourner s'isoler dans son palais épiscopal. Sauf que là, il ne pouvait plus partir. Attendant la réponse du cardinal, il fit un geste vague vers Syndel, pour lui signifier de commencer.

A toi ma fille !

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Ecaterina
Votre Eminence

La Cardinal sourit.

Bonjour ma fille, ma sœur. Je suis heureuse de voir de nouvelle tête dans le clergé lorrain. Il faudra que nous discutions toutes les deux.

Tout en lui faisant un signe de la te^te aimable, elle entendit l'évêque de Metz lui adresser la parole.

Demat éminence. Il y a un incident à déplorer, mais je l'ai mis dehors, au sens propre comme au figuré. Enfin passons !
Son éminence voudrait-elle procéder à la bénédiction du conseil ducal, puisque je vous sais lorraine de cœur, et que vous devez connaître pas mal de monde dans cette basilique, contrairement à moi ?


Vous êtes un évêque local, je ne voudrais pas vous priver de vos prérogatives. De plus, se sera l'occasion pour vous de vous faire connaitre. Je me contenterai de vous regarder du fond. J'ai hâte de vous voir officier, je suis certaine que je vais apprendre de nouvelles choses.

Elle lui sourit puis après avoir salué Uriel une nouvelle fois, alla prendre place dans le siège épiscopale se trouvant au fond, au centre de la nef.
Barberine
le carosse avait enfin atteint l'emplacement réservé. Les manoeuvres d'approche avaient été plus longues que prévu, tant la foule était dense.

Barberine remerciait du fond du coeur ces tous ceux qui s'étaient déplacés et qui par leur présence l'aidaient en ce moment solennel. Son coeur se serrait à penser qu'il y avait deux absents. Tristhan était resté avec son père. Avec un petit soupoir de résignation, elle chasse les tristes pensées de son esprit.

l'équipage s'est immobilisé. Par la portière elle observe les allées et venues de la foule, les placements stratégiques de ceux qui veillaient à sa sécurité et au bon déroulement de la cérémonie.

Un mouvement de foule attire son attention : ***quoi mais c'est ... ***

Elle maitrise un éclat de rire ! Zahra ! *** qu'a t-elle encore inventé. M'étonne pas d'elle.***

Cette diversion lui avait fait du bien. Après une grande respiration, elle se prépare à paraitre en public, attendant qu'on vienne au devant d'elle.

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uriel
[A l'autel]

Les présentations faites, Uriel les laissa s'échanger quelques paroles tandis qu'il allait chercher la Duchesse.
Elle se sentirait sans doute plus en confiance pour cet événement majeur.

Transversant l'allée central, il distribua sourires, signes de tête, quelques poignées de mains ... pas le temps, hélas de s'arrêter pour parler à chacun, pour donner des accolades ou faire des bises.
Comme il connaissait pratiquement tout le monde, la nuit serait tombée avant qu'il ne puisse y arriver.

Arrivant sur le parvis, il salua son parrain Mun et tous les soldats de l'Ost lorrain.
Regardant le carosse Ducal, il se demanda comment allait Barbie.


Sur le Parvis

Enfin, le Premier Archidiacre de Trèves attendit son amie touloise tout en contemplant la place ...

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Barberine
Apercevant Uriel sortir de la basilique traverser la foule, elle prend une grande inspiration et se prépare à sortir du carosse.

Elle suit sa progression heureuse qu'il soit là.
Uriel, cher ami qui a toujours répondu présent dans les moments de joie comme dans les autres. Leur amitié remontait ah plus d'un an déjà, la pastorale, quel bon souvenir !

On ouvre la portière du Carosse, dignement, elle descend, s'appuyant légèrement sur le bras qu'on lui tend.

elle fait quelques pas vers le parvis.

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Constance de Clèves
Constance de Clèves ou la Vicomtesse de La Fère et Dame de Maintenay avait longtemps hésité sur ce qu'elle devait faire suite à cette annonce de couronnement. Fallait-il venir, fallait-il ne pas venir? Après tout tous les Lorrains étaient invités donc elle aussi. Elle avait fini par se décider, ce serait une légère compensation pour les cérémonies d'allégéances auxquelles elle ne pouvait plus se rendre depuis des années.

Le choix de la tenue avait lui aussi pris du temps. Fallait-il montrer ses origines ou se comporter comme une personne du peuple. Lorraine lui aviat bien spécifié qu'elle devait être traitée comme tous les nobles mais elle avait bien remarqué que ce n'était pas le cas. Elle décida de ne point montrer ses titres et de s'habiller le plus sobrement possible. Elle se mit une fois de plus en mémoire qu'il faudrait aborder le sujet au détour d'une conversation.

Enfin avec tous ces qestionnements, elle était loin d'être en avance. Elle arriva après la nouvelle Duchesse. Au moins ça lui laissait une marge de progression pour la prochaine cérémonie.

Le temps était beau, elle avait donc décidé de ne pas mettre de cape et pas non plus de capuche ou autre pardessus.



Une fois les gardes passés et un petit sourire adressé à son amie Floche, elle prit le temps de regarder le plan.

En voila une riche idée, un plan pour que tout le monde aille à la bonne place. Donc je vais avec le peuple... Ah non il y a une place pour l'Assemblée Ducale. Ah ben dans ce cas peut-être que... Hum non rien pour l'Université et bien je serai donc présente comme membre de l'Assemblée Ducale.

Elle ne prit pas trop le temps de regarder qui était présent ou non, elle était en retard c'était tout ce qui importait pour le moment. Elle aperçut Palogar et s'approcha alors de lui pour lui glisser.

Bonjour cher Président, j'espère que vous vous portez bien. Je ne suis pas en avance pour ma première grande cérémonie lorraine...

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Notre bureau (Université)

Si vous aimez ma bannière cliquez dessus...
armael
Barberine était arrivée et sortie de son carrosse , a l'intérieur de la Basilique tout le monde était a sa place et les retardataires trouveraient surement la leur le plan restant a l'entrée;

Elle entra donc a son tour et alla s'installer parmi les conseillés Ducaux non sans faire un petit signe a son époux assis parmi la Noblesse

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Sybille_Von_Frayner
Sybille n'était pas très en forme ce jour là. Fatiguée, elle avait, par mesure de précaution, demandé à Lison, sa fidèle suivante, de l'accompagner.

Elle avait récemment repris quelques responsabilités au sein du duché, à la chancellerie en l'occurence. C'est sur le travail qui s'annonçait titanesque que Sybille imputait cette grande lassitude. Sans chercher plus loin, elle s'était promis que le lendemain, elle prendrait une journée de repos bien mérité.

C'est parce qu'elle voulait à tout prix honorer son amie de sa présence pour son couronnement que Sybille avait fait le déplacement. Elle savait que cela lui ferait plaisir même si elle était consciente qu'en ce jour, Barberine aurait bien d'autres chats à fouetter. L'important était qu'elle puisse la féliciter après la cérémonie, l'embrasser et lui dire toute sa joie de la voir à ce poste prestigieux.

Quand il arrivait à Sybille de croiser le regard de son époux, elle lui adressait un sourire empli de tendresse. Toutes les autres femmes avaient leur mari auprès d'elles. Sybille, elle, le regardait officier de loin. C'était ainsi pour la plupart des cérémonies religieuses : mariages, baptêmes, couronnements... funérailles...
Elle s'y était faite avec le temps. Même si à l'instant sa main réconfortante lui manquait terriblement. Elle ne s'expliquait pas cet étrange état d'esprit ce jour là. Ce manque, ce vide... cette fatigue immense... Et cette envie de rien...

Ba, ce n'était surement pas bien grave. Elle demanderait à Uriel quelques plantes à infuser. Après quelques heures de repos, elle retrouverait sans aucun doute son dynasmisme ! Foi de Sybille !

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Jeune mariée au comble du bonheur...
angel
En retard, pas en retard ?

je suis en r'tard, en r'tard! Grrr !!!

Angie courrait comme une dératée, elle avait pris en mains le bas de sa robe, pour plus de facilité, et pour une accélération progressive.





Pas facile, d’arpenter les rues aussi rapidement avec une tenue adéquate pour un couronnement…la jeune femme, avait du en bousculer des gens pour qu’ils se poussent, en criant des « pardoooon » a tout va…mais bon, fallait qu’ils comprennent, hein…y’avait URGENCE…voir Même urgence ducale…

Essoufflée, il ne pouvait en être autrement, mais elle était enfin arrivée devant la Basilique, elle se faufila discrètement et entra dans cette dernière…cherchant du regard son amie…

Une fois trouvée, elle alla s’assoir juste a ses cotés…


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- EN DEUIL
Zeiss
Tout semblait se dérouler sans accroc.Zeiss n'avait pas encore eu à intervenir,et apparemment il n'y avait pas d'agitation dans la basilique.Mais il fallait garder l'oeil ouvert,des incidents pouvaient avoir lieu à n'importe quel moment.Et d'ailleurs,le Caporal eut bien fait de garder l'oeil ouvert,car il remarqua une personne encapuchonnée en train d'essayer de voler la bourse d'un passant.Il s'avança discrètement et lui saisit le poignet,restant sur ses gardes au cas où le voleur serait armé.

Hey là,ça sera pas pour aujourd'hui!

Et là,ce fut le choc...Zeiss fixa l'homme quelques secondes,il l'avait reconnu.

Toi!Mais c'est toi l'ordure de la dernière fois!

Effectivement,c'était bien celui qui,lors d'un précédent évènement comme ce couronnement,avait volé quelqu'un et avait bousculer la femme du jeune homme,enceinte à cette époque.Il l'avait attrapé,mais apparemment cela ne lui avait pas servit de leçon.

Pour le voleur,il suffisait de voir son visage pour remarquer que lui aussi se souvenait très bien de Zeiss.Et c'est avec son visage effrayé qu'il dis ceci:


-NON!Pitié je le referai plus!

Oui,il se souvenait parfaitement de ce jour,lui aussi...Le Caporal se souvint d'un charriot avec une cage non loin de la basilique prévue pour ce genre d'individu.Cela tombait bien.Zeiss l'y conduisit et le garde en faction devant la cage comprit immédiatement en le voyant arriver,ouvrant la porte à l'avance.Le jeune homme saisit le voleur par le col et le balança au fond de la cage.

Comme ça la prochaine fois tu réfléchiras peut-être avant de vouloir voler!

Le garde referma la porte et Zeiss repartit en patrouille,espérant ne pas trouver un ami pour le voleur en cage.

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Brigess
Pour ne pas changer, Brigess arriva en retard. Elle avait pris trop son temps pour choisir sa tenue digne de ce nom pour le couronnement de la Duchesse Barberine. Elle n’était pas si loin que cela, puisqu’elle avait vu la nouvelle Duchesse sortir de son carrosse… A quelques minutes près… elle pestait contre elle même !

Elle arriva près de la nouvelle Duchesse, habillée d’une somptueuse tenue, lui fit une révérence pour la saluer mais aussi pour s’excuser de son retard puis se faufila dans la basilique sans bruit.

C’est avec soulagement qu’elle repéra ses amies. Brigess salua les personnes présentes d’un signe de tête à son passage. Elle prit place près de ses amies et attendit le début de la cérémonie.



Barthelemy
Barthelemy suivait avec soin le sergent responsable de cette mission ainsi que le soldat qui le secondait. Il regardait tout autour de lui afin de déceler le moindre signe de problème, mais jusqu'à présent, toujours rien. Alors que son regard se promenait vers l'entrée, il vit entrer une demoiselle qu'il avait croisé en taverne la veille. Elle semblait pressée et légèrement perdue jusqu'à ce qu'elle croise son regard. Elle fondit directement sur la jeune recrue à son grand étonnement pour venir prendre de ses nouvelles. Il aperçut le sergent du coin de l'œil s'impatienter. Il tenta donc de faire au plus bref.

Je vais bien, c'est très aimable de votre part d'être venue à ma rencontre. Cependant, il y a une raison pour le port de mon uniforme de recrue. Je suis en mission. Je devrai donc faire court. Peut-être allons-nous-nous recroiser plus tard.

Il lui offrit un petit sourire puis s'inclina vers elle en prenant tendrement sa main dans la sienne. Il lui fit un baisemain puis se remit en rang rapidement. Il savait qu'il aurait droit à d'autres réprimandes du géant sergent, mais il n'avait pu s'empêcher de faire un brin de causette avec cette charmante dame.

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Barthelemy Cardofer de Rehainvillier
Floche
Floche regarde la foule et, tout comme elle, les invités arriver dans leurs superbes tenues. Certains avançent calmement en saluant les uns et les autres de leur connaissance, d'autres pressés entrent sans même jeter un regard juste préoccupé de trouver une place ... Floche scrute les visages, elle n'a qu'une crainte c'est la venue du révolté de Nancy qui nargue toute la Lorraine depuis des semaines. La maire de Nancy le lui a décrit avec précision, elle saurait donc le reconnaître s'il passait dans la foule.

L'atmosphère plutôt bon enfant est rassurante. Le caporal a arrêté un pauvre erre qu'il semblait connaître et l'a mis dans la charrette fermée.
Il fait beau et chaud ce qui rend les gens plus aimable. Se dit-elle en souriant. Mais cela ne l'empêche pas de regarder chaque visage, chaque attitude pour prévoir plutôt que guérir. Lorsqu'un visage lui paraît plus tendu que la normale, son regard file directement vers les mains de la personne. S'assurer qu'il n'y a pas d'arme trop près de leur portée. Elle a bien aperçu ce gamin futé qui, passant de bourgeois et bourgeoises, glisse discrètement la main dans les poches pour en sortir quelques menues monnaies... Il promet celui-là ! pense-t-elle.

Mais ils ne sont pas là pour arrêter les détrousseur en herbe, le carrosse de la duchesse arrive. FLoche voit L'archidiacre Uriel sortir de la Basilique pour aller l'accueillir... Elle se souvient du moment d'angoisse qu'elle avait éprouvé en descendant du carrosse et se demande comment elle pourrait aider Barbie.... Soudain une idée lui vint ... Elle croise les doigts dans son dos espérant que tout le monde la suivrait et que ses chefs ne soient pas fâchés de son initiative.

VIVE LA DUCHESSE ..... VIVE LA DUCHESSE BARBERINE !
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