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Couronnement de la duchesse Barberine

Ecaterina
HERETIQUE

A ce cri, les gardes de Son Éminence se levèrent et se regroupèrent devant elle pour la protéger. Le lieutenant de Chamblay fixait l'assemblée pour essayer de voir où se trouvait l'hérétique.


La Primat vit Uriel s'avançait vers Graoully puis Mun s'approcher. Lorsqu'elle compris, elle se leva et se dirigea vers le petit groupe.


Mgr Graoully, pouvez-vous m'expliquer ce qui se passe ici.
uriel
Il retira alors sa main de l'épaule de l'Évêque lorsqu'il croisa son regard ; puis regarda son parrain Mun, lui signifiant d'un regard, d'un mouvement de la bouche que la situation était sous contrôle.
Les choses allaient très vite et il convenait d'agir avec discernement ; il recula de quelques pas.


Certes, je respecte et comprends votre interprétation Monseigneur, mais la différence entre nous est que je connais Syndel depuis fort longtemps et que je lui ai enseigné moi-même ce qu'elle sait sur notre religion.
Je ne dis point cela pour m'en enorgueillir ; simplement pour vous dire comment elle a voulu le dire et comment elle le pense.

Toute phrase peut être soumise à interprétation et peut ainsi devenir ambigüe.


Ses yeux se tournèrent alors vers Syndel, lui conférant l'assurance et le soutien dont elle avait besoin à cet instant.
Enfin, il s'écarta pour laisser une place à Ecaterina, qui venait s'enquérir de la situation.

Il serra un peu les mâchoires, se sentant un peu responsable de la situation ; de fait, Syndel lui avait demandé son avis et il n'avait pas vu cette ambiguïté, une pensée lui vint alors à l'esprit ... peut-être qu'à force de chercher à débusquer l'Ombre partout, on finissait par la voir là où elle n'était pas.

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Graoully
Tiens ? La pourpre cardinalice semblait permettre son porteur à s'immiscer dans les conversations ! Décidément, il avait bien du mal avec certains.

Eminence, le différend qui nous oppose vient de l'interprétation d'une des phrases de la jeune femme qui prêche en ce moment le début de la célébration. Sa phrase a été comprise tout à fait objectivement par Uriel, mais perçue comme un appel au sans-nom par moi-même.

Frère Uriel, je ne prétends absolument pas connaître mieux que vous la sœur dont j'ai oublié le nom, puisque je l'ai vu pour la première fois il y a dix minutes. Je ne sais si sa prêche a été écrite ou si elle vient de l'improviser, mais elle doit savoir qu'il faut peser chaque mot.

L'assistance est désormais en émoi. Il faudra lui signaler l'ambiguïté de ses propos dès la fin de cette messe !

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Ecaterina
La Cardinal leva les yeux aux ciel.

Il faut peut être éviter de voir le mal partout, surtout lorsqu'il n'y est pas. Je pense que tout ceci n'est qu'une mauvaise interprétation et que la cérémonie peut reprendre...........

Elle fit comprendre, d'un regard, qu'elle ne souffrirait pas la contestation.

Que chacun retourne à sa place.

Puis tout en souriant à l'assistance et à sœur Syndel pour leur signifier que tout était réglé.
uriel
Uriel hocha la tête à l'explication de Mgr Graoully

Sa prêche avait été écrite, Monseigneur, et elle me l'avait montré, pour avis. Sincèrement, je n'y avais vu aucun mal.
Il faut aussi savoir que c'est la première prêche de notre Soeur.

Ainsi si vous estimez devoir blâmer quelqu'un, considérez-moi comme seul et unique fautif pour n'avoir pas relevé cela.


Pour lui, il était absolument hors de question que la diaconnesse de Toul soit accusée de quoi que ce soit ou encore qu'elle subisse une remontrance.
A la rigueur, ils en discuteraient posément, mais rien de plus en ce qui concernait l'Archidiacre.


La Primat du Sring coupa alors court à la discussion entamée et illustra verbalement ce qu'Uriel pensait.

Merci Eminence.

Il s'inclina, obtempérant à l'ordre venu "d'en haut" et rejoignit alors sa place, les regards interrogatifs qu'il croisa furent rapidement rassurés.

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Barberine
Barberine trouvait étrange que le clergé ait disparu un si long moment , se demandant s'il y avait un ptoblème. Car là elle aimerait bien être au courant.

jetant de fréquents coups d'oeil ,alentour, elle espérait que ce n'était rien de grave et que la cérémonie allait pouvoir commencer.

Uriel revint à ce moment là, elle le regarde d'un air interrogateur.

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crc57
Installé depuis un moment avec les autres membres de l’Etat-major de l’Ost Lorrain, je ne suis pas au bout de mes surprises, après l’incident zahra pour une histoire d’abus de quelques boissons alcoolisées, voilà à présent qu’un nouveau souci vient perturber le couronnement de la Duchesse Barberine.

Monseigneur Graoully traitant d’hérétique notre Diaconesse Syndel. S’ensuit un moment de panique et d’explication entre les uns et les autres, puis après une ultime intervention d’Uriel le calme revient et la cérémonie peut se poursuivre… "heureusement qu’à l’extérieur personne n’a semble t’il entendu sinon voir tous les soldats de l’Ost intervenir épée à la main plus ceux de la GE s’était le pompon".

Portant de nouveau mon attention sur ce qui se passe vers l’autel et la nef je récite la prière comme les autres paroissiens.

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Ma liberté s'arrête ou celle des autres commence.
uriel
Uriel revint donc s'asseoir et jetta un coup d'oeil en directon de la Duchesse.
D'un simple signe de tête, il lui signifia que tout était rentré dans l'ordre.

Il leva également la main en direction des membres de la GE et des soldats de l'Ost qui le regardaient, pour leur signifier que l'incident était close.

Il soupira ; décidément, lui qui avait voulu une belle cérémonie pour son amie ; voici que nombre de lorrains étaient inquiets.

Mais soit, il convenait de continuer. Barberine pourrait réciter le Crédo, puis ce serait à Mgr Graoully de bénir la courrone ducale.


Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
créateur du ciel et de la terre
des Enfers et du Paradis
juge de notre âme à l'heure de la mort.

En Aristote son prophète
le fils de Nicomaque et de Phaetis
envoyé pour enseigner la sagesse
et les voies divines de l'univers aux hommes égarés.

je crois aussi en Christos,
né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
c'est ainsi qu'après avoir souffert sous ponce,
il est mort dans le martyre pour nous sauver
il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du très haut

Je crois en l'action divine,
en la sainte Eglise aristotélicienne romaine
une et indivisible,
en la communion des saints
en la rémission des péchés
en la vie Eternelle

Amen

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slarkoss
Dieu que cette patrouille l'ennuyait... Rien a par deux trois imbiber mais qui detalait comme des lapin a la vue de la patrouille ou alors il rentrait chez eux. Lorsque au detours de ruelles trois hommes a l'aspect louche les voient et font volte face disapraissant au detour d'une autre ruelle.

- He La bas... Par le crane de mes ancêtres ils ont filer. soldat Broadside prener la recrue Floche avec vous allez voir la bas si les individu son encore la. Si oui appelez nous ne prenez aucune initiative

[dans une ruelle adjacente]

- Pourvu qu'ils ne nous aient pas vu sinon sa fonctionnera pas
- bon alors comme on a dit si on veux pouvoir se faire un maximum de fric faut trouver les riche et chopper leur bourse sa sera pas compliquer vu la masse de gens
- Ouais sinon y a qu'a enlever l'un de leur marmot et demander uen rançon


Les trois gaillards vetu de vetement ample et de cape sombre son toute fois equipé de dague efilée et d'epée courte.
Graoully
Le primat avait trop tendance à se croire chez elle partout. Voilà qu'elle ordonnait, alors qu'elle était invitée dans un diocèse qui n'était pas à sa charge ! Qu'elle laisse les évêques se comporter comme ils le veulent dans leur diocèse, ou qu'elle devienne camerlingue !
Voyant qu'elle coupait court à toute discussion, l'abbé alla rechercher sa crosse et s'avança à l'autel.

Silence !

Il aspergea d'eau bénite la couronne.


Bénis, Dieu tout-puissant et miséricordieux, cette couronne, témoignage de Ton amour, de Ta force et de Ton infinie miséricorde.
Amen


Étendant les mains sur la duchesse.


Par la volonté du Seigneur, vous avez été choisie par peuple, lequel vous a élue. Vous avez dans vos mains le pouvoir de gouverner notre terre : faites-le dans la magnanimité, dans la justice et dans la foi aristotélicienne.
Je vous bénis devant nos gens, devant Dieu et devant votre conscience. Que le Très-Haut vous guide dans les choix que vous prendrez.
Au nom de Dieu, des deux prophètes et de la sainte Église aristotélicienne, nous bénissons votre mandat pour qu'il soit prospère, fécond comme la terre en printemps, juste et soutenu de la clairvoyance du Très-Haut.
Nous bénissons le conseil qui vous assistera dans ces mois : qu'il soit éclairé de la lumière divine comme fut éclairé Christos pendant les jours qu’il passa dans le désert.
Éloignez l'iniquité de votre vie, éloignez les choix méprisables et suivez la morale aristotélicienne, respectez la foi en Dieu comme vous l’impose le baptême.
Amen


Crosse en main et mitre sur la tête, il esquissa un geste de bénédiction. Puis, sans accorder de regard à quiconque, il fila dans la sacristie. Il s'adressa à l'un des bedeaux.


Que l'on apprête immédiatement mon carrosse, et qu'on prévienne mes gens : nous rentrons !
Son Eminence semble bien meilleur évêque de Metz que moi ! Laissons les Réaumont entre eux, la Louveterie est de trop ici !

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uriel
Le Premier Archidiacre espérait que le reste de la cérémonie se déroulerait correctement.
Il sursauta néanmoins lorsque l'inquisiteur, d'une voix puissante, imposa le silence. Celui-ci semblait encore passablement agacé.

Uriel le regarda bénir la Duchesse puis partir sans autre forme de procès. Son visage resta fermé à toute émotion mais il serrait les mâchoires.
Fort heureusement qu'il connaissait la majorité les Conseillers Ducaux et des nobles, car ce genre de manifestation pouvait mettre en péril les relations entre l'Eglise et le Duché.

Aussi bien le Spirituel et le Temporel, à travers leurs agents mortels, avaient travaillé dur pour arriver à une entende plus que cordiale.
Il était hors de question de gâcher tout cela, surtout pas maintenant. Le diplomate se leva et prit alors la courrone sur l'autel, puis s'avança vers la Duchesse.

Tendant les mains il posa enfin celle-ci sur la tête de la dame.


Barberine de la Varenne, Duchesse de Lorraine, aujourd'hui je te confie cette courronne.
Sois un guide pour les tiens, pour ton peuple, étends ta main aimante sur ce Dcuhé que nous chérissons.

A grande charge, grandes responsabilités et tu devras observer le sacrifice, celui de faire passer le bien de ton peuple avant le tien ; tu devras être juste et agir avec honneur.

Par cette couronne, je fais de toi la Duchesse légitime du Duché de Lorraine.
Sers-le correctement et bien ; ton temps s'écoulera alors sans embûches ; sers-t'en à de sombres desseins et elle deviendra si lourde qu'il faudra te l'enlever.

Enfin, n'oublies pas que seul le Très-Haut détient le vrai pouvoir.


Il se recula de quelques pas et tendit la main à la Duchesse, l'aidant à se relever.
Lorsqu'il fut si près que personne d'autre qu'elle ne puisse l'entendre il lui glissa.


Je suis désolé que cela ce soit passé de la sorte, Barbie ; en mon nom propre, je te présente des excuses.

Diplomatie, quand tu nous tiens. C'était le moins qu'il puisse faire ; les excuses étaient sincères, cela dit.
Il savait que personne ne tiendrait rigueur au clergé en général, mais il allait encore falloir déployer des trésors de sagesse pour faire passer l'événement.

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Mun Von Frayner
La tension était vraiment palpable, bon nombre d'invités s'étaient levés, leur regard tourné vers l'autel.
Comme si l'air était chargé lors de jour d'orage annonçant une pluie diluvienne qui viendrait nettoyer les terres de Lorraine.
Mun ne perdait personne du regard ne comprenant toujours pas vraiment qui avait été appelé hérétique. Voyant les regards échangés entre les prélats .

Monseigneur, nous sommes dans une situation ambiguë, retirons-nous tous trois aux regards de l'assemblée en reculant de quelques pas.

Le regard de Monseigneur Graoully vers la Sœur . S'est la que le Vidame se dit qu'il y avait de l'eau dans le vin cette fois. Et cela n'avait rien à voir avec un des invités.
Le mot hérétique lui résonnait toujours aux oreilles, le Vice Dominus Vétéranus, ne pouvait penser que celui ci soit adressé à Sœur Syndel, vrai qu'il ne la connaissait pas vraiment . Mais bon entre prélats, ... .
Reculant de quelques pas à l'invitation, Mun ne desserrait les lèvres espérant en savoir plus .
Voyant les gardes de sa marraine s'être levés pour la protéger puis elle s'avança afin d'en savoir plus.
S'inclinant afin de la saluer.



Les écoutants l'un après l'autre.
Maintenant il commençait vraiment à comprendre la situation et ce qui avait été dit.
Ces mois avaient chargés procès hérétique, procès pour dissolution de mariage, expulsion d'une basilique et cette fois une hérésie. Les campagnes militaires étaient moins fatigante.
Quand son Éminence décida en prenant la parole.

Que chacun retourne à sa place.

Les ordres étaient les ordres réajustant un peu sa tenue, il était pas question que le Vidame retraverse la Basilique cette fois pour reprendre position surs les marches du parvis, s'est lui que l'on aurait regardé comme une bête étrange..
Si problème devait arriver une fois de plus autant qu'il soit au bon endroit. Ce qui éviterait de le faire courir sous cette chaleur en plus que l'air était frais dans la basilique.
Prenant un des sièges libres réservés aux prélats, il s'écarta un peu et prit place légèrement en retrait mais visible de tous . Essuyant quelques gouttes de sueur qui commençaient à couler sur son front. Tout en suivant la cérémonie.

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isis25
Isis, de sa place, essayait tant bien que mal à suivre la cérémonie.

C'était la première fois qu'elle assistait à un couronnement, mais elle s'en souviendrai longtemps.
Le seule regret qu'elle avait c'est de ne pas avoir son compagnon à ses cotés ou d'être avec lui à patrouiller aux alentours

Elle dit la prière du pardon avec ses compagnons et réussit tant bien que mal à entendre la suite de la cérémonie.

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Barberine
Quand Uriel revint vers elle, lève la tête confiante elle a tellement besoin d'être rassurée.

A peine a t-elle le temps de réciter le credo que monseigneur Graoully béni la couronne au pas de charge et s'éclipse sans autre forme de procès.


Elle regarde L'archi diacre d'un air intrigué, puis se reconcentre sur la cérémonie.

Elle incline la tête en recevant la couronne et les paroles d'Uriel

Citation:
Barberine de la Varenne, Duchesse de Lorraine, aujourd'hui je te confie cette courronne.
Sois un guide pour les tiens, pour ton peuple, étends ta main aimante sur ce Dcuhé que nous chérissons.

A grande charge, grandes responsabilités et tu devras observer le sacrifice, celui de faire passer le bien de ton peuple avant le tien ; tu devras être juste et agir avec honneur.

Par cette couronne, je fais de toi la Duchesse légitime du Duché de Lorraine.
Sers-le correctement et bien ; ton temps s'écoulera alors sans embûches ; sers-t'en à de sombres desseins et elle deviendra si lourde qu'il faudra te l'enlever.

Enfin, n'oublies pas que seul le Très-Haut détient le vrai pouvoir.


Moi Barberine Duchesse de lorraine, je reçois cette couronne comme un cadeau précieux du Très Haut et du peuple Lorrain. Je fais serment d'honorer cette charge dans le respect, la compréhensioin et l'humanité, en accord avec la foi arsitotélicienne. J'ai conscience que mon intérêt personnel disparait devant le bien du peuple que je chéris. Que la couronne me soit retirée si je faillis à ma promesse.
Je mets toutes mes forces dans la tache qui m'est confiée et je prie le Très Haut qu'il me guide.

jetant un coup d'oeil navré vers la sortie par où Mgr Graoully a disparu, et prenant la main qu'uriel lui tend elle se lève en lui murmurant :
Tu n'y es pour rien uriel, moi aussi j'aurai voulu que ce soit parfait.

espérons que ce n'est pas un mauvais présage.


Puis elle se prépare à sortir de la basilique pour recevoir le serment des conseillers.

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Mun Von Frayner
A peine assis ayant pris le confortable des tissus rembourrés.
Mun vit Monseigneur reprendre la crosse et imposer le silence .
Fermant les yeux un instant en recueillement. La bénédiction s'annonçait .
Écoutant les paroles puis plus rien . Juste un Amen et un bruit métallique sur le sol qui s'éloignait.

Ouvrant les paupières cherchant dans l'ombre voyant Monseigneur s'éloigner vers la sacristie mitre sur la tête d'un pas pressé. Mun se leva discrètement et le suivi.
Poussant la porte de la sacristie voyant les préparatifs devant l'ouverture de celle ci, calèche avancée et postillons s’affairant.

Refermant la porte sans délicatesse.

Monseigneur vous me semblez très préoccupé ou attendu par d'autres taches
Je puis vous faire accompagner si cela est nécessaire.

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