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Couronnement de la duchesse Barberine

Flavien
Flavien n'eut le temps de voir partir Zahra que celle-ci avait déjà glissé entre ses doigts! Enfin bon, il vit arrivait derrière la franc comtesse, Erine, sa chère et tendre fiancée. Il s'empressa d'aller l'accueil, oubliant par la même occasion la dame de beaulieu.

Bonjour ma Jade, vous ne m'aviez prévenu de votre présence à cette cérémonie. Mais sachez que cela me ravit au plus haut point!


Il lui offrit son bras, et partit en direction de la basilique. Une fois à l'entrée, il emmena Jade aux places réserver à la noblesse (oui oui, Flavien est bien noble, faut pas juger certains aprioris). Ils s'installèrent, en attendant le début de la cérémonie.

Une fois débutée, il entendit un cri retentir, il s'agissait du chasseur de "nez rhétique" (petit clin d'oeil à des demoiselles devenues riches !!), qui paraissait d'ailleurs pleinement pris dans sa fonction et sa mission! A croire qu'il allait tomber dans une folie ou une monomanie, le poussant à voir des hérétiques de partout. Ou bien, les voulait il tous? Il pourrait ainsi les torturer, les faire parler puis les bruler.. un plaisir, qui vu de cette façon est tout à fait compréhensible!
Enfin, là n'est pas la question , la cérémonie devait reprendre et Barberine devait être couronnée pour mener le duché.

aah oui aussi, alors qu'il allait se plonger entièrement dans le couronnement, il croisa le regard de son père, assit non loin de lui. Le frayner lui chuchota à travers les différents rangs qui les séparaient.


bonjour père, j'espère que vous allez bien, j'ai à vous parler!


Le jeune homme se remit ensuite à écouter la cérémonie, ne pouvant être mieux accompagné!

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Syndel
Syndel avait suivi la bénédiction dans un état second . Quand elle vit Monseigneur Graoully partir, elle le suivit dans la sacristie .
Après qu'il eut donné ses ordres, elle s'avança vers lui et se mit à genoux, tête baissée :


- Monseigneur, je vous conjure de bien vouloir souffrir ma présence quelques instants encore.
Je me sens si honteuse de ma conduite, mon coeur est empli de contrition .
Je ne voulais pas vous offenser, ou offenser le Créateur . Mon discours me semblait ena ccord avec la Foy d'Aristote. Mais s' il est vrai que ma pensée me sembait claire à moi même, je n'ai pas pensé à une autre interprétation. Sans doute me suis-je laissée tentée par l'orgueil de croire que je pouvais tenir un tel rôle alors que je ne suis diaconesse que depuis moins d'un mois.

Je vous supplie de bien vouloir pardonner au frère Uriel pour ses interventions; il fut mon professeur au séminaire et il est sans doute trop investi dans son rôle .

Je me soumettrais à toute pénitence que vous jugerez bon de m'infliger . Et si vous estimez que je doive renoncer à ma charge car ma conduite l'a déshonoré, je me plierais à votre sentence .

Ce disant, elle ota sa médaille et la lui présenta, toujours en restant à genoux devant lui .
Graoully
A peine avait-il eu le temps de donner ses directives que le vidame et le diacre arrivaient.

Oui Monseigneur, je suis préoccupé. J'ai beau savoir que je suis l'évêque de Metz, j'ai l'impression que son éminence semble en faire peu de cas. L'un de nous deux étant de trop, je quitte cette basilique ! Elle me discrédite aux yeux de tous, comme si j'étais simple fidèle ! Mais je suis prêtre et évêque ! Et cela, je n'arrive pas à l'accepter.
Inutile d'accentuer les rancœurs. Que son éminence fasse ce qu'elle veut. Elle fut évêque de Toul, et bien si elle souhaite reprendre la Lorraine, qu'elle me demande mon évêché ! Je le lui cèderais avec plaisir ! Quant à moi, je partirais alors m'occuper d'un autre évêché, plus loin ! Moi qui me faisais une joie de venir dans ce diocèse où je suis né, je ne le quitterai pas à regret si cela continue ainsi. La pourpre n'excuse pas tout !


Le diacre se jetait maintenant à ses pieds, il la releva.

Allons ma fille, remets donc cette médaille ! A traquer continuellement l'hérésie, on la voit partout ! Chaque mot se doit d'être pesé. Le procès inquisitorial que je mène actuellement n'arrange rien à cela ! La formation de ta phrase était ambiguë pour moi. Je n'ai pas hésité une seconde et ai crié à l'hérésie.
Uriel vient de me faire un éloge de toi, me disant que lui-même avait relu ta prêche et n'avait pas trouvé cela choquant.
Il ne m'appartient pas de juger de ta dignité de diacre. Si tu es à ce poste, c'est que le très-haut l'a voulu ! Lui seul peut décider de ton sort. Ce n'est pas moi qui t'enlèvera cette médaille !
Aucune pénitence ne te sera infligée !


Excédé et fatigué, l'abbé tendit sa mitre et sa crosse a l'un de ses acolytes, et alla s'affaler dans l'un des fauteuils de la sacristie. Il apostropha le clerc.

Sers-moi donc quelque chose de fort !

Puis, s'adressant à ses deux vis-à-vis, leur indiquant les autres fauteuils.

Servez-vous, si le cœur vous en dit.

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Syndel
Syndel déclina la boisson, mais s'assit avec joie car ses jambes étaient encor faibles.
Elle inspira pour se recomposer une figure présentable, et reprendre une contenance .


zahra.2
{Être espion c'est drôlement c**}

Des crampes aux mains, à force de tenir le bord de la fenêtre, des crampes aux orteils, à force d'être sur la pointe des pieds, à épier la cérémonie, "bon dieu que c'est long", pis petit rassemblement dans un coin des membres de la curie, pis dispersion de la bande après une intervention de la cardinale rouquine sainte vômitout, pis enfin de l'action ; de loin elle ne pouvait rien entendre à part tenter de lire sur les lèvres ce qui est quasi inutile vu son état d'ébriété, enfin la couronne sur la tête de la duchesse, c'était fini?

L'inquisiteur se dirige vers la sortie, l'air tout de même excédé, Z. n'a pu rien entendre, à part "hérétique" bien fort pis ensuite un "silence" aussi fort , pis ensuite plus rien.

Elle en profite pour relâcher sa prise, fichue bar de bois qui encadre la fenêtre trop haute, en se maudissant de ne pas avoir quelques centimètres de plus, pour pouvoir contempler le tout sans avoir à faire quelques efforts d'étirements.

S'apprêtant à quitter sa cachette un peu trop visible tout de même, réfléchissant encore à la missive qu'elle écrirait à sa duchesse! Lettre d'excuses motivant son absence en ce jour si important.

Elle se dirige vers un carrosse au couleur de Beaulieu, rouge flashi bien pétant, pis fait signe à son Manuel le seul Mariachis qui était revenu de la clairière entre Épinal et Vaudemont après la bataille de Sabifax et sa comparse Nadaelle...




Tu me ramènes au Castel de Nancy, pis tu m'aides à monter à l'étage de la prévôté, j'ai la flemme de marcher...*hips*
Tu rédigeras pour moi une lettre poignante d'excuses pour la duchesse; que je te dicterais, uniquement quand je serais à même de le faire....en attendant fouette moi l'étalon, et zou...*hips*


Dame, vous avez du souci?

J't'ai rien demandé! Je suis pas Cosette, suis pas misérable*hips* alors tais toi et conduit!
Me suis fait jetée de la basilique par un vieux breton! voila ce qui s'est passé, c'est le cousin d'Aristote me semble, il a pas apprécié que le prenne pour un barbare...


Manuel, secoua la tête, ne comprenant rien à ce qu'elle disait sa dame seigneur, puis trouvant qu'elle était bien faite de si bon "matin"...


aïe, aïe; dame Zahra, des fois.... vous cherchez à ce que les pigeons vous chient dessus.... c'est encore plus grave que de chercher querelle avec un prélat...


sans commentaire j'ai dit!

Le carrosse s'éloigna de la basilique, la dame de Beaulieu avait prit soins de fermer ses "minis lucarnes" .

Manuel tremblait de peur, sa dame était enivrée quelque peu énervée... rien de bon pour lui!

Ahlalala la gueusaille quand ça a un peu de noblesse ça se sentait plus chier ! Tel était le cas un peu de Zahra à huis clos avec ses pecnots.



Dame Zahra....vous n'avez rien oublié, vous deviez prêter serment ma chère.

.....fait demi tours..... en attendant je vais faire une ébauche de mon serment , je dirais que je suis aphone pour éviter mes crises de hoquets...

Barbie me comprendra....



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Je ne suis pas "folle " vous savez?
02.07.2010: vous vous remettez tranquillement de votre plongeons dans les douves du castel de Nancy, votre personnage a gardé toutes ses caractéristiques. Félicitations!
Vous êtes passé au niveau "rassurée geekette"!
Floche

Floche avait suivit le regard du Sergent Slarkoss, trois hommes vêtus de lourdes capes de couleur sombre avaient disparus au coin de la rue. Encore des gens de mauvais aloi se dit-elle. Elle allait se glisser dans la foule discrètement pour voir s'ils étaient encore dans le coin... quand elle réalisa que le Sergent avait donné l'Ordre au soldat Broadside. Oups ! se dit-elle... voilà que j'allais gaffer en y allant sans lui ! Mais qu'il est lent à réagir .. les autres vont avoir tout le temps de fuir.

Elle piaffait le regard passant du coin de la rue au Sergent et du Sergent au soldat pour retourner au coin de la rue.
Barberine
Barberine traversait la nef de la basiliuque, et de dirigeait vers le portai qui la mènerait au parvis.

Elle marchait lentement, tournanbt la tête à droite et à gauche, souriant gravement, se préparant à recevoir le serment des conseillers qui se grouperaient bientôt autour d'elle.

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slarkoss
La recrue Floche etait prete a y allez mais quelque chose semblait retenir le soldat Broadside. Tampis Il iront donc ensemble.

- bon pas le temps de revasser. trouver moi ses gaillards et arreter les.

Il partis en direction de la zone ou les trois drole avait prit la fuite.

arrivé sur le lieu Il se trouva face a trois gaillard arme au point avec un linge devant le visage qui leur faisait face et qui s'apretait a vider les poche d'un marchand richement vetu. Pas malin le bonhomme se balader ainsi.

Le sergent lança ses chiens sur l'un deux qui prit la fuite devant les deux molosse qui, crocs dehors, lui fonçaient dessus a vive allure arnacher de cuir et de metal abboyant comme des sauvage.

Les deux autre surprit de voir la troupe arrivé ainsi restèrent pentoient avant de prendre a leur tour la poudre d'escampette. Poursuivit par la patrouille
Jade
La réaction évidente de plaisir du Seigneur de Lignéville mais surtout qu'il l'appelle spontanément « ma Jade » avait réjoui la ravissante rousse et son sourire s'accentua. Chacun devant vaquer à son devoir, elle fut infiniment reconnaissante au Duc de Vittel de libérer son fils de la garde de la dame qui paraissait ivre et elle le lui signifia par une gracieuse et courtoise inclinaison de la tête avant d'accepter avec empressement et une joie non dissimulée le bras de son fiancé pour pénétrer fièrement à ses côtés dans la basilique. Apercevant sa tante, elle glissa à l'oreille du jeune homme

Me feriez-vous l'honneur de me conduire moi et ma tante dans les bancs réservés aux dignitaires étrangers ? À moins que vous n'insistiez pour me garder près de vous ?

Son ton démontrant nettement sa préférence, ne souhaitant toutefois pas se montrer insistante, mais son cher Flavien semblait plus que disposé à l'agréer. S'étant tous deux occupés de la Franc Comtesse, Jade ayant eu son assentiment pour rejoindre le jeune Von Frayner, elle la laissa après s'être moultes fois assurée de son confort, légèrement préoccupée de l'état de celle-ci après une route fort cahoteuse.

Assise au milieu des nobles Lorrains, à réciter le credo, la fille unique de la Vicomtesse de Rochefort sur Nenon avait peine à réaliser tout ce qui s'était déroulé en peu de temps, stupéfaite des échanges entre membres du clergé. Se penchant vers son fiancé, elle murmura


Vos couronnements sont-il toujours aussi mouvementés ?

Elle ne se voulait pas moqueuse pour une fois, se jugeant fort mal placée, étant Comtoise, pour émettre un quelqueconque reproche, le mode était plutôt interrogatif mais voyant le calme revenir, elle avait porté son attention sur la cérémonie, notant au passage la présence de son ex-collègue parlementaire Son Éminence Ecatarina.

La damoiselle de Sparte se surprit à penser que décidément, elle passait beaucoup de temps dans les bâtiments d'église avec son fiancé ; baptême, mariage et maintenant un couronnement, se disant qu'elle allait de surcroit bientôt assister au baptême de celui-ci, que les rôles seraient alors inversés cette fois et un sourire apparut sur son délicat visage en regardant affectueusement le jeune homme près d'elle.

La cérémonie tirait à sa fin, Jade ayant apprécié le flegme dont avait fait preuve la Duchesse tout juste couronnée, mais dès que celle-ci se dirigea vers le portail, Flavien se vit pris d'assaut par la curiosité de la damoiselle


Aurais-je le privilège d'une visite du Castel de Nancy pendant mon séjour ? Avec vous comme guide bien sûr !

Terminant la phrase avec un sourire engageant et un air moqueur.

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Constance de Clèves
Le Président de l'Assemblée ducale était bien silencieux... Elle ne s'en offusqua pas, peut-être était-il dans ses pensées.

La cérémonie était drôlement mouvementée d'ailleurs, à entendre "Hérétique" elle aurait pu se croire ailleurs à une autre époque... en Artois quelques années plus tôt quand pour elle c'était le meilleur endroit où vivre. Elle soupira... et puis se mis à penser que ce devait être ce genre de cérémonie, de couronnement, qu'il manquait à cette terre dont elle venait. C'était en vertu de leur absence qu'il avait été établi que ce Comté ne respectait plus le Concordat avec l'Eglise... Nouveau soupire de la Vicomtesse, elle espérait que la Lorraine n'aurait jamais de souci de ce genre, déjà il n'y avait pas d'abbaye fabriquante de bière...

Elle sortit de ses pensées en regardant aux alentours. Les têtes qu'elle connaissait se faisaient rares et en plus quand elle connaissait quelqu'un il n'y avait pas de réponse à ses salutations. Pour un peu elle regretterait d'être là... "Au moins il fait frais" se dit elle.

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Notre bureau (Université)

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Floche
En courant vers l'endroit où on été vu les hommes suspects, le Sergent Slarkoss libère enfin l'impatience de FLoche qui se précipite à sa suite... habituée aux courses dans les champs le matin, elle a le pas souple et rapide. Quand ils tournent le coin de la rue, rapide Slarkoss lâche les deux chien sur trois hommes armés en train de dévaliser un bourgeois. L'un deux prend la fuite poursuivit par les chiens. les deux autres ont l'air tétanisé leur arme inutile au bout du bras .... puis comme s'ils se réveillaient, il détalent eux aussi.

En passant, FLoche jette un coup d'œil à l'homme agressé , il tient debout donc ils auront toujours le temps de s'en occuper après. Elle continue sur sa lancée derrière les deux fuyards. Tout en courant elle attrape un bâton appuyé sur le mur et de toutes ses forces le lance dans les jambes du dernier. L'obstacle ainsi créé le fauche, il tombe le nez le premier sur le sol, la chute est brutale, mais tout de suite il se retourne pour faire face .... Voyant que le Sergent continue la poursuite, la recrue fonce sur l'homme à terre.

D'un coup de pied elle envoi promener au loin le couteau que l'homme tient dans la main. Ce geste la déséquilibre et elle tombe de tout son poids sur la poitrine de son adversaire. L'homme en a le souffle coupé et compte sans doute les chandelles. FLoche en profite pour se redresser sur les genoux d'un coup de rein, et rapidement, pour ne pas perdre son avantage lui prend le bras qu'elle tord derrière lui en le faisant basculer sur le ventre. L'homme tente de se défendre en remuant des jambes, la recrue pousse le bras un peu plus loin
.

Aaaiiiieee ! Maudite femelle !

Comme un coup de fouet, l'insulte de l'homme donne à Floche un regain de force, elle amène le bras au point de rupture et crie...

Si tu bouge encore je le casse !

Reprenant son souffle elle maintient l'homme en respect l'épaule prêt à se déboiter. La douleur doit être insupportable parce qu'il arrête de remuer. Pendant quelques instants tout tourne autour de Floche, mais elle tient bon en attendant que le Sergent ou le soldat Broadside vienne l'aider.

Broadside.
Voyant les deux militaires partir en courant et comprenant a moitié se qui se passe, il les poursuit. Arrivant juste au moment ou le sergent lâche ces deux molosse sur un les types en noir "j'aimerais vraiment pas être a leur place" et la recrue mettre un coup de pied et tombe sur l'autre type. Il dégaine son épée et la pointe sur le maraud a terre

C'est bon recrue vous pouvez vous relevez, il bouge; il est cuit,

Une fois la recrue debout il attache les pied et les main


Vous le tenez en joue ici, il fait mine de bouger vous l'assommer.
Et je ne sais pas se que fait votre collègue, il doit peut être s'amuser a compter les pavés...
Je vais voir si le sergent a besoin d'aide mais a mon avis rien que de le voir sa vous passe l'envie de faire le mariole


Il partit en courant dans la direction où était partit le sergent mais se retourne 3 mètre plus loin

Ah oui, au fait, Bien joué !

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slarkoss
Le sergent Slarkoss bien que lourd a cause de sa haute taille et de sa carrure, etait, une fois lancé, comme son surnom l'indiquait, un veritable auroch en furie. Une charge qui ne s'arrete qu'une fois enfoncer dans l'obstacle. Il avait laché ses deux chien de guerre sur l'un des brigand et ne prit pas la peine de les suivre preferant se jeter sur le l'autre. Celui ci etait agile et rapide. Un vrai chat et bien que perdant du terrain face a la charge de Slarkoss, il n'en restait pas moins maitre de son destin en prenant des passage dans des rue etroite jonché d'obstacle qu'il passait d'un simple bond mais qui rallentissait le sergent qui lui les emboutissait avec force ne s'arretant pas.

Les detours du malandrin l'amenèrent dans un cul de sac. Il n'avait pas du prevoir cette eventualité. Le mur s'opposant a lui etait haut et massif. Il entreprit de la gravir. Mais ce fut sens compter la taille de slarkoss qui lui attrapa la cape et le fit descendre en l'attirant au sol. Le gaillard fit mine de se rendre lorsque le sergent lui mit sa hache sous le nez alors qu'il tentait de se relever. Lorsque Broadside arriva dans la ruelle Il lui lacha


- Il est a vous soldat faite attention il est habile et rapide

Alors qu'il disait cela le brigand degagea une dague et tenta en se faufilant tel un chat, de planter sa dague dans le sergent. Celui ci reussi a esquive l'attaque mais du se jetter sur le cote laissant le brigand foncer droit sur Broadside.
Broadside.
A peine arrivé dans la ruelle, il entendit
Citation:
- Il est a vous soldat faite attention il est habile et rapide

Hein ? Quoi qui est rap... voyant le type lui foncer dessus
Ah ouai, ok...

Ni une, ni deux ils mit son bouclier devant lui en espérant que l'autre zigoto en face n'était pas trop habile et commença a avancé vers le mec, une fois qu'ils était assez prêt l'un de l'autre, il lui sembla qu'il allait lui porter un coup de dague sans réfléchir, il lui décrocha un coup de bouclier.
Le type tomba a la renverse et la dague vola 2 mètres plus loin
"un probleme en moins " A peine tomber qu'il se relevait déjà "Se type est malade" Il vira son bouclier et rangea son épée. Lorsque le brigands essaya de le frapper, le soldat esquiva et lui mit un coup de coude dans le dos il le repris par le col et lui en décrocha une droite dont il allait se souvenir
"CRAC"
Le type était par terre et il regarda sa main ces phalanges était devenu toute bleu et lui faisait un mal fou

J'aurais peut être du taper encore lus fort
C'est bon sergent il est KO


Il récupéra vite son bouclier le mit dans le dos et pointa son épée de la main gauche (puisque la droite était HS) sur le brigands a terre

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slarkoss
Il s'etait mit a la suite du brigand pour preter main forte a Broadside mais celui ci metrisa le brigand. En voyant la main du soldat il fit la grimace.

- vous irez voir une hospitalière le plus rapidement possible je n'aime pas la couleur de votre main je ne voudrais pas que vous deveniez invalide d'une main pour un brigand. vous auriez du lui mettre un coup d'epee sa vous aurait eviter cette blessure. en tout cas bien joué.

Il prit une laniere de cuire qu'il mouilla et attacha solidement les main et les pied du brigand. La chaleur secherait le cuir qui se ressererait. rendant les lien encore moins retirable.

- retrouver les deux recrues et surveiller celui et l'autre que la recrue Floche semblait maitriser tout a l'heure Je vais tenter de retrouver celui qui fut prit en chasse par mes chien ... ... si il en reste quelquechose parce que il ne sont pas dresser a a intercepter ... Je vous laisse le commandement jusqu'a mon retour.

Il laissa Broadside retrouver les deux recrue avec et ramener le gaillard assommer avec lui. Et il partit chercher ses chiens.

Au bout d'un moment il retrouva leur piste et suivit les trace celle ci devinrent plus precise et commençerent a laisser voir des trace de sang. Il arriva pres de l'echoppe d'un tanneur. Les odeur de peau fraiche et des produits lui montait au nez mais les abboyement de ses molosse le guidèrent. il arriva sur une scene d'un macabre. Les deux chien de guerre n'avait laisser au malheureux aucune chance et reduit son corp en charpie il n'y avait plus rien a faire. Les pavé etaient maculé de chaire d'os et de sang. Les cuirasse de cuir et de maille d'Ares et de Ades degouilinait du sang du gaillard.

Le sergent chargea le tanneur de nettoyer la zone et retourna rejoindre sa patrouille
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