Jehanne Elissa
Et encore, elle regardait droit devant elle. Bon droit devant elle en cet instant il y avait Cristol entrain de prier le Très-Haut après qu'il lui ai lancé un regard vaguement étrange. Mais elle s'en fiche, elle a tenu le coup. Et elle le regarde prier, toujours bien droite, toujours avec une expression des plus implacables. Quand elle a décidé qu'on ne l'embêterait pas on ne l'embêterait pas!
Bruits d'une entrée dans la Chapelle et elle ne peut se retenir de se retourner la Goupil; trop curieuse. Et là, what a surpriiiise [pardon]! En prime abord elle ne l'a pas reconnu. la seconde suivante il lui a dit quelque chose de vaguement familier, un visage déjà croisé. Et enfin un prénom est venu clignoter sous les cheveux roux comme une belle et stridente alarme incendie:Lop-Guilhem. Ça pour être une surprise... Depuis combien de temps ne s'étaient-ils pas vus? Depuis... Depuis... Bon, longtemps. Depuis qu'il avait été envoyé en Périgord chez une quelconque noblesse locale pour son éducation d'homme. Depuis que le défunt Comte du Gévaudan avait décidé qu'il vivait dans un univers trop féminin pour devenir un Comte digne de ce nom. Lop avait été un des premiers compagnons de jeu de la petit Vicomtesse de Cauvisson et comme ils s'étaient amusés! Et pourtant, comme il avait changé... Il n'était plus l'enfant avec qui elle crapahutait dans les jardins les joues rouges de chaleur et la gorge nouée d'avoir crié, son corps prenant petit à petit l'enveloppe d'un Homme, son visage s'était un peu durcit et même s'ils avaient un âge à peu près égal il devait bien la dépasser de quelques têtes.
Elle lui sourit presque gentiment alors que ça avait semblé si difficile quelques instants plus tôt et une sorte de douceur enfantine vient de manière fugace lui éclairer le visage. Une réminiscence de ces instants précieux ou elle n'avait pas à affronter -rotation de la tête vers Cristol et l'autre Chevalier- des moments aigres comme celui quelle vivait à présent. Et hop, le visage qui se rembrunit. Elle irait saluer Lop plus tard, elle avait sa comédie a finir de jouer.
Damoiselle, je suis ravi de vous revoir... ainsi que de rencontrer votre... amie.
Ah!
Alors quelle s'était à nouveau plongée dans le mutisme qui l'aiderait à commencer l'Acte II voila qu'on vient la déranger. Hop, au sourcils de se froncer violemment et aux mirettes vertes parant un visage chiffonné de se lever vers celui qui lui parle. Qui est-ce? L'expression change pour passer à celle d'une enfant qui réfléchit -oui oui, vous voyez!- avant de se détendre à nouveau. Guillaume de... De... Et voila quelle ne se souvient plus. Oh en temps normal elle se serait sentie affreusement gênée et mal à l'aise de ne plus se souvenir du nom d'une personne présentée la veille car c'était mal poli et ça, elle n'aime pas. Mais ce jour son seul objectif reste d'assister à cette cérémonie comme spectre de sa mère. Donc la politesse... C'est sa petite voix aux accents chantants ternes en ce jour qui s'adresse au jeune homme.
- « Eilinn Melani. Mon amie et dame de compagnie s'appelle Eilinn Melani. Eilinn, je vous présente Guillaume... Guillaume. Et le plaisir serait partagé si nous n'étions pas en de telles circonstances pour ma part, n'en doutez pas.
Elle se fend d'un sourire entre tristesse et gêne, lui fait signe de s'assoir et fixe à nouveau l'autel. Sa masse de cheveux roux lâchés a été une idée géniale. Car là en fixant cet hôtel et si son visage était découvert pour sur qu'ils auraient vus ses yeux verts devenir humides. Ce n'est même pas le mariage. Ce n'est même pas le dos de Cristol. Ce n'est rien de tout ça. C'est juste qu'être là lui enlève sa joie, c'est juste qu'être là et avec son rôle bille en tête va donner à ce Guillaume une image taciturne d'elle alors que Ciel! Comme elle en est éloignée normalement! Et chaque autre jeune personne DOIT être son amie! L'héritière Volpilhat inspire alors un grand coup une fois puis expire de la même manière. Et encore deux fois. Finalement, après s'être une fois de plus redressée et malgré des mirettes encore quelque peu humides elle se tourne vers Guillaume, sourire aussi avenant quelle le peut en cet état aux lèvres et voix un peu cassée à la gorge.
- « J'espère que vous resterez en Languedoc quelques jours après... Ça. J'aimerais vraiment que nous puissions nous connaître. »
Autel. Regard rivé. Silence. Comme c'est dur...
Bruits d'une entrée dans la Chapelle et elle ne peut se retenir de se retourner la Goupil; trop curieuse. Et là, what a surpriiiise [pardon]! En prime abord elle ne l'a pas reconnu. la seconde suivante il lui a dit quelque chose de vaguement familier, un visage déjà croisé. Et enfin un prénom est venu clignoter sous les cheveux roux comme une belle et stridente alarme incendie:Lop-Guilhem. Ça pour être une surprise... Depuis combien de temps ne s'étaient-ils pas vus? Depuis... Depuis... Bon, longtemps. Depuis qu'il avait été envoyé en Périgord chez une quelconque noblesse locale pour son éducation d'homme. Depuis que le défunt Comte du Gévaudan avait décidé qu'il vivait dans un univers trop féminin pour devenir un Comte digne de ce nom. Lop avait été un des premiers compagnons de jeu de la petit Vicomtesse de Cauvisson et comme ils s'étaient amusés! Et pourtant, comme il avait changé... Il n'était plus l'enfant avec qui elle crapahutait dans les jardins les joues rouges de chaleur et la gorge nouée d'avoir crié, son corps prenant petit à petit l'enveloppe d'un Homme, son visage s'était un peu durcit et même s'ils avaient un âge à peu près égal il devait bien la dépasser de quelques têtes.
Elle lui sourit presque gentiment alors que ça avait semblé si difficile quelques instants plus tôt et une sorte de douceur enfantine vient de manière fugace lui éclairer le visage. Une réminiscence de ces instants précieux ou elle n'avait pas à affronter -rotation de la tête vers Cristol et l'autre Chevalier- des moments aigres comme celui quelle vivait à présent. Et hop, le visage qui se rembrunit. Elle irait saluer Lop plus tard, elle avait sa comédie a finir de jouer.
Damoiselle, je suis ravi de vous revoir... ainsi que de rencontrer votre... amie.
Ah!
Alors quelle s'était à nouveau plongée dans le mutisme qui l'aiderait à commencer l'Acte II voila qu'on vient la déranger. Hop, au sourcils de se froncer violemment et aux mirettes vertes parant un visage chiffonné de se lever vers celui qui lui parle. Qui est-ce? L'expression change pour passer à celle d'une enfant qui réfléchit -oui oui, vous voyez!- avant de se détendre à nouveau. Guillaume de... De... Et voila quelle ne se souvient plus. Oh en temps normal elle se serait sentie affreusement gênée et mal à l'aise de ne plus se souvenir du nom d'une personne présentée la veille car c'était mal poli et ça, elle n'aime pas. Mais ce jour son seul objectif reste d'assister à cette cérémonie comme spectre de sa mère. Donc la politesse... C'est sa petite voix aux accents chantants ternes en ce jour qui s'adresse au jeune homme.
- « Eilinn Melani. Mon amie et dame de compagnie s'appelle Eilinn Melani. Eilinn, je vous présente Guillaume... Guillaume. Et le plaisir serait partagé si nous n'étions pas en de telles circonstances pour ma part, n'en doutez pas.
Elle se fend d'un sourire entre tristesse et gêne, lui fait signe de s'assoir et fixe à nouveau l'autel. Sa masse de cheveux roux lâchés a été une idée géniale. Car là en fixant cet hôtel et si son visage était découvert pour sur qu'ils auraient vus ses yeux verts devenir humides. Ce n'est même pas le mariage. Ce n'est même pas le dos de Cristol. Ce n'est rien de tout ça. C'est juste qu'être là lui enlève sa joie, c'est juste qu'être là et avec son rôle bille en tête va donner à ce Guillaume une image taciturne d'elle alors que Ciel! Comme elle en est éloignée normalement! Et chaque autre jeune personne DOIT être son amie! L'héritière Volpilhat inspire alors un grand coup une fois puis expire de la même manière. Et encore deux fois. Finalement, après s'être une fois de plus redressée et malgré des mirettes encore quelque peu humides elle se tourne vers Guillaume, sourire aussi avenant quelle le peut en cet état aux lèvres et voix un peu cassée à la gorge.
- « J'espère que vous resterez en Languedoc quelques jours après... Ça. J'aimerais vraiment que nous puissions nous connaître. »
Autel. Regard rivé. Silence. Comme c'est dur...