Gaspard.
Ya des jours comme ça...
Ouvre un il petit Gaspard, sors de ton doux rêve car il est temps de t'énerver!
Avant même de savoir pourquoi il avait comme un sale pressentiment en se réveillant. Comme un arrière gout d'abandon dans la bouche dont on ne peut se débarrasser et sur lequel on se focalise; a l'instar du petit aphte sur lequel on ne peut se retenir de passer sa langue. Dans le camp de fortune occupé par Karyl, Maeve et le mini Nerra il n'y avait pas un bruit. Il avait d'ailleurs dormi plus tard que d'habitude, n'ayant pas été réveillé par Karyl qui papotait ni par les bruits familiers de la préparation de petit déjeuner dont Maeve avait toujours eu la charge. On se redresse sur les coudes, coup d'il embrumé a droite, a gauche, rien... Personne... plus un baluchon et encore moins de compagnons. Les yeux se plissent un moment pour remettre de l'ordre dans son esprit. On réfléchit... Non... décidément la il y a un soucis. Il n'avait pas rêvé, il était bien a Montmirail mais il y était seul alors qu'ils étaient trois a l'arrivée. Grommelant en se levant le Vicomte s'aperçoit que la hauteur prise ne lui donne aucun autre indice sur sa solitude. On respire un grand coup... Bon ils doivent être avec Cianne! Mais sans avoir prit la peine de le réveiller?... bah... sans doute se disaient ils que Gaspard avait besoin de repos et ils n'avaient alors pas osé le réveiller. Hypothèse peu probable qui se forme dans la tête de l'écuyer mais qui a le mérite de ne pas le laisser ruminer. Enfilant une cape légère après s'être promptement débarbouiller a l'eau froide de la rivière il se met donc en route pour l'auberge occupée par Cianne et Cass'.
On passe la tête par la porte, rien... personne... Bon bon bon... On monte les escaliers et on regarde dans la chambre... rien et personne (bis). Cassian lui fait discrètement signe de ne pas faire de bruit et lui désigne Cianne dont la poitrine se soulève lentement au rythme de sa respiration endormie. Acquiesçant en silence il lui demande d'approcher.
Dis t'as pas vu ma fiancée et le blondinet des fois?
Moue dubitative de paon de Bourgogne puis sa tête se secoue légèrement de droite a gauche, accompagné par un haussement d'épaule. Nouveau grommellement de la part du Nerra.
Bon ce soir on part pour le couvent y déposer ta sur, je viendrais la soigner et t'aider a la préparer avant le départ. En attendant je vais chercher mes deux égarés.
Tournant casaque sans demander son reste il reprend la direction de la ville que l'agitation des marchands commencent a rendre bruyante et poussiéreuse alors que les roues des chariots soulèvent des nuages de terre séchée qui se colle, insidieuse, sur tout ce qu'elle touche. Et bien vite le jeune vicomte se retrouve enduit d'une couche maronnasse et désagréable de poussière fine qui n'aide en rien a améliorer son humeur. D'ailleurs les premiers signes sont visibles sur son visage: sourcils froncés, regard noir et une main serrée aux jointures blanchissantes. Encore quelques recherches infructueuses et il se retrouvera sans doute avec une veine saillante sur le front, dernier signe visible a l'adresse de ceux qui le connaissent avant une explosion mêlant gesticulations, imprécations et tapage de sol, de meuble ou de mur a grands coups de chausses. Mais nous n'en sommes pas la... pas encore...
Et le Nerra cherche... cherche... galope dans les environs, questionne les gens... et rien, nada, que dalle! "Mais nom de Dieu ou ils sont passés?! un blondinet et une saltimbanque en vadrouille! il ma manquait plus que ça!
Et il se souvient des paroles de son maitre "reste avec eux, tu es le plus a même de les protéger". Beh quel succès... Un aspirant Licorne qui se fait larguer par un gamin pas plus haut qu'un poney qui vient de naitre et une fille dont la seule tignasse est visible a des lieux. "Gaspard tu n'es qu'un crétin doublé d'une marmotte!" Et les heures passent, et les lieux défilent sous les sabots du cheval de bat transformé en cheval de coursier pour l'occasion.
Retour au quartier général pour débriefing face a sa chopine de bière quand un homme entre en taverne, essoufflé, portant les livrés d'un coursier, un vrai celui la. Visiblement gêné il déclare d'une voix de stentor
Il y a un... Mini Nerra ici?
Gaspard... respire... Tu l'écoutes et ensuite seulement tu lui fiches tes chausses dans le fondement. Et il lève la main, visiblement blasé.
Oui... je suis la... Et pour ta gouverne c'est Gaspard... Il n'y a aucune personne qui...
éclair de compréhension... il n'y a qu'elle pour le nommer ainsi...
Donne moi la lettre de Felina et tires toi.
Ton peu amène mais qui n'empêche pas l'ours d'Ambert de lui fourrer quelques piécettes dans la pogne en échange de la missive.
Et enfin tout s'éclaire... du moins presque... Karyl est au Mans... triple buse. Pas de nouvelles de la rouquine mais sans doute est elle avec Karyl. Soupire de soulagement bien vite remplacer par un soupire de lassitude. Mais grand Dieu pourquoi tout le monde part en vadrouille sans prévenir? bon... plus question de trainer. Autant que Alycianne soit au couvent avant la nuit. Gaspard se sent responsable de la sécurité de Cass et de sa sur alors il est temps de prendre les choses en mains. Sans terminer sa chope (si si c'est possible) il monte et ouvre la porte sans soucis de réveiller la petite blessée, qui de toute façon doit l'être étant donné que le départ approche.
Cass, prépare vos affaires on va pas tarder. Je préfère pas attendre la nuit. Les routes ne sont jamais sures une fois le soleil couché. Je vais regarder si je peux encore faire quelque chose pour ta sur et on va filer.
Et Gaspard, rituel immuable depuis son arrivé deux jours auparavant, fouille sa besace de premier soin et ressort les instructions laissés par Cerrid. Coup d'il vers la petite table de chevet ou trône encore une tasse d'infusion de thym...
Cianne tu devrais tout boire même si tu en a marre... Enfin c'est pas grave. Au couvent ils te feront boire croit moi
Petit sourire avant de commencer a examiner les plaies. La plupart sont fermés bien que très fraichement mais l'état ne semble pas des plus préoccupant. Après une hésitation le jeune écuyer remballe le fiole ou trempent son achillée millefeuille. Tant que les blessures ne saignent plus autant ne rien toucher. Il est novice dans les premiers soins aussi se borne t-il a exécuter a la lettre les ordres de son chevalier. Et si ça saigne pas on utilise pas l'achillée... ou alors si... bon... les bonnes surs sauront ça très bien... Du moment que le sang de Cianne reste en elle c'est déjà bon signe.
Puis délicatement, aidé de Cassian, il transfère le petit corps sur une litière avec mille précautions et une tendresse toute maternelle plutôt étonnante de la part du Paon et de l'Ours. Et doucement, minutieusement, amoureusement même, ils descendent les escaliers, jetant des regards froids a ceux qui ont l'audace de vouloir monter.
Et enfin ils arrivent au chariot ou ils peuvent déposer la litière et son occupante qui n'a pas gémi une seule fois durant le trajet. Signe de son courage ou de l'attention des porteurs? Un peu des deux sans doute. Lentement la charrette se met enfin en route, les sabots du cheval claquant régulièrement sur le sol et les rapprochant chaque pas un peu plus du couvent ou elle pourrait être au calme et ou les surs la soigneraient, la protégeraient et lui offriraient un endroit idéal pour sa convalescence.
Trajet sans encombre en direction du couvent qu'ils atteignent en fin d'après midi et après un court conciliabule avec les surs ils abandonnent la petite patiente au bon soins et a la charité aristotélicienne des religieuses qui s'affèrent déjà autour de Cianne, qui ne tardera sans doute pas a se mettre toute les femmes dans sa poche. Quelques battements de cils bien placés et elle règnerait en maitresse absolue sur la petite communauté autarcique.
Puis vinrent les adieux, brefs mais chaleureux avec son compagnon bourguignon qui prenait déjà la route pour son duché natal et le fief de son paternel, la légende de Bourgogne. Et le tant attendu retour se fait vers Leard, sa maison, sa famille, son éden autant que son enfer. D'un trot allègre qui permet de dévorer les lieux sans épuiser son cheval le jeune écuyer retourne donc chez lui.
Sur place, aucun signe du chef... Quelques informations glanées auprès des palefrenier lui apprennent qu'elle est sur le terrain, gérant la démobilisation des troupes licorneuses du Maine. Qu'a cela ne tienne il attendrait le lendemain. Fouillant dans sa besace il récupère son rapport de mission a Montmirail et prend la direction du bureau de Cerrid afin de l'y déposer. Cela aurait sans doute pu attendre mais il avait vite apprit que ce qui semblait pouvoir attendre ne souffrait en réalité aucun retard auprès de son chevalier. Aussi fouilla t-il dans sa bourse pour en sortir la petite clef du bureau de la Vergy.
Mais une fois dans le couloir il fit une rencontre a laquelle il ne s'attendait pas... Une petite tignasse d'un noir de jais était accroupi devant la porte et furetait dans la serrure a l'aide d'instruments que Gaspard ne maitrisait pas mais qu'il reconnut sans peine comme un nécessaire pour forcer les portes.
S'éclaircissant la gorge bruyamment il présenta la petite clef dans main ouverte
Besoin d'aide Damoiselle Lais? Je pense qu'avec ceci ça serait bien plus simple qu'en pensez vous?
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Ouvre un il petit Gaspard, sors de ton doux rêve car il est temps de t'énerver!
Avant même de savoir pourquoi il avait comme un sale pressentiment en se réveillant. Comme un arrière gout d'abandon dans la bouche dont on ne peut se débarrasser et sur lequel on se focalise; a l'instar du petit aphte sur lequel on ne peut se retenir de passer sa langue. Dans le camp de fortune occupé par Karyl, Maeve et le mini Nerra il n'y avait pas un bruit. Il avait d'ailleurs dormi plus tard que d'habitude, n'ayant pas été réveillé par Karyl qui papotait ni par les bruits familiers de la préparation de petit déjeuner dont Maeve avait toujours eu la charge. On se redresse sur les coudes, coup d'il embrumé a droite, a gauche, rien... Personne... plus un baluchon et encore moins de compagnons. Les yeux se plissent un moment pour remettre de l'ordre dans son esprit. On réfléchit... Non... décidément la il y a un soucis. Il n'avait pas rêvé, il était bien a Montmirail mais il y était seul alors qu'ils étaient trois a l'arrivée. Grommelant en se levant le Vicomte s'aperçoit que la hauteur prise ne lui donne aucun autre indice sur sa solitude. On respire un grand coup... Bon ils doivent être avec Cianne! Mais sans avoir prit la peine de le réveiller?... bah... sans doute se disaient ils que Gaspard avait besoin de repos et ils n'avaient alors pas osé le réveiller. Hypothèse peu probable qui se forme dans la tête de l'écuyer mais qui a le mérite de ne pas le laisser ruminer. Enfilant une cape légère après s'être promptement débarbouiller a l'eau froide de la rivière il se met donc en route pour l'auberge occupée par Cianne et Cass'.
On passe la tête par la porte, rien... personne... Bon bon bon... On monte les escaliers et on regarde dans la chambre... rien et personne (bis). Cassian lui fait discrètement signe de ne pas faire de bruit et lui désigne Cianne dont la poitrine se soulève lentement au rythme de sa respiration endormie. Acquiesçant en silence il lui demande d'approcher.
Dis t'as pas vu ma fiancée et le blondinet des fois?
Moue dubitative de paon de Bourgogne puis sa tête se secoue légèrement de droite a gauche, accompagné par un haussement d'épaule. Nouveau grommellement de la part du Nerra.
Bon ce soir on part pour le couvent y déposer ta sur, je viendrais la soigner et t'aider a la préparer avant le départ. En attendant je vais chercher mes deux égarés.
Tournant casaque sans demander son reste il reprend la direction de la ville que l'agitation des marchands commencent a rendre bruyante et poussiéreuse alors que les roues des chariots soulèvent des nuages de terre séchée qui se colle, insidieuse, sur tout ce qu'elle touche. Et bien vite le jeune vicomte se retrouve enduit d'une couche maronnasse et désagréable de poussière fine qui n'aide en rien a améliorer son humeur. D'ailleurs les premiers signes sont visibles sur son visage: sourcils froncés, regard noir et une main serrée aux jointures blanchissantes. Encore quelques recherches infructueuses et il se retrouvera sans doute avec une veine saillante sur le front, dernier signe visible a l'adresse de ceux qui le connaissent avant une explosion mêlant gesticulations, imprécations et tapage de sol, de meuble ou de mur a grands coups de chausses. Mais nous n'en sommes pas la... pas encore...
Et le Nerra cherche... cherche... galope dans les environs, questionne les gens... et rien, nada, que dalle! "Mais nom de Dieu ou ils sont passés?! un blondinet et une saltimbanque en vadrouille! il ma manquait plus que ça!
Et il se souvient des paroles de son maitre "reste avec eux, tu es le plus a même de les protéger". Beh quel succès... Un aspirant Licorne qui se fait larguer par un gamin pas plus haut qu'un poney qui vient de naitre et une fille dont la seule tignasse est visible a des lieux. "Gaspard tu n'es qu'un crétin doublé d'une marmotte!" Et les heures passent, et les lieux défilent sous les sabots du cheval de bat transformé en cheval de coursier pour l'occasion.
Retour au quartier général pour débriefing face a sa chopine de bière quand un homme entre en taverne, essoufflé, portant les livrés d'un coursier, un vrai celui la. Visiblement gêné il déclare d'une voix de stentor
Il y a un... Mini Nerra ici?
Gaspard... respire... Tu l'écoutes et ensuite seulement tu lui fiches tes chausses dans le fondement. Et il lève la main, visiblement blasé.
Oui... je suis la... Et pour ta gouverne c'est Gaspard... Il n'y a aucune personne qui...
éclair de compréhension... il n'y a qu'elle pour le nommer ainsi...
Donne moi la lettre de Felina et tires toi.
Ton peu amène mais qui n'empêche pas l'ours d'Ambert de lui fourrer quelques piécettes dans la pogne en échange de la missive.
Et enfin tout s'éclaire... du moins presque... Karyl est au Mans... triple buse. Pas de nouvelles de la rouquine mais sans doute est elle avec Karyl. Soupire de soulagement bien vite remplacer par un soupire de lassitude. Mais grand Dieu pourquoi tout le monde part en vadrouille sans prévenir? bon... plus question de trainer. Autant que Alycianne soit au couvent avant la nuit. Gaspard se sent responsable de la sécurité de Cass et de sa sur alors il est temps de prendre les choses en mains. Sans terminer sa chope (si si c'est possible) il monte et ouvre la porte sans soucis de réveiller la petite blessée, qui de toute façon doit l'être étant donné que le départ approche.
Cass, prépare vos affaires on va pas tarder. Je préfère pas attendre la nuit. Les routes ne sont jamais sures une fois le soleil couché. Je vais regarder si je peux encore faire quelque chose pour ta sur et on va filer.
Et Gaspard, rituel immuable depuis son arrivé deux jours auparavant, fouille sa besace de premier soin et ressort les instructions laissés par Cerrid. Coup d'il vers la petite table de chevet ou trône encore une tasse d'infusion de thym...
Cianne tu devrais tout boire même si tu en a marre... Enfin c'est pas grave. Au couvent ils te feront boire croit moi
Petit sourire avant de commencer a examiner les plaies. La plupart sont fermés bien que très fraichement mais l'état ne semble pas des plus préoccupant. Après une hésitation le jeune écuyer remballe le fiole ou trempent son achillée millefeuille. Tant que les blessures ne saignent plus autant ne rien toucher. Il est novice dans les premiers soins aussi se borne t-il a exécuter a la lettre les ordres de son chevalier. Et si ça saigne pas on utilise pas l'achillée... ou alors si... bon... les bonnes surs sauront ça très bien... Du moment que le sang de Cianne reste en elle c'est déjà bon signe.
Puis délicatement, aidé de Cassian, il transfère le petit corps sur une litière avec mille précautions et une tendresse toute maternelle plutôt étonnante de la part du Paon et de l'Ours. Et doucement, minutieusement, amoureusement même, ils descendent les escaliers, jetant des regards froids a ceux qui ont l'audace de vouloir monter.
Et enfin ils arrivent au chariot ou ils peuvent déposer la litière et son occupante qui n'a pas gémi une seule fois durant le trajet. Signe de son courage ou de l'attention des porteurs? Un peu des deux sans doute. Lentement la charrette se met enfin en route, les sabots du cheval claquant régulièrement sur le sol et les rapprochant chaque pas un peu plus du couvent ou elle pourrait être au calme et ou les surs la soigneraient, la protégeraient et lui offriraient un endroit idéal pour sa convalescence.
Trajet sans encombre en direction du couvent qu'ils atteignent en fin d'après midi et après un court conciliabule avec les surs ils abandonnent la petite patiente au bon soins et a la charité aristotélicienne des religieuses qui s'affèrent déjà autour de Cianne, qui ne tardera sans doute pas a se mettre toute les femmes dans sa poche. Quelques battements de cils bien placés et elle règnerait en maitresse absolue sur la petite communauté autarcique.
Puis vinrent les adieux, brefs mais chaleureux avec son compagnon bourguignon qui prenait déjà la route pour son duché natal et le fief de son paternel, la légende de Bourgogne. Et le tant attendu retour se fait vers Leard, sa maison, sa famille, son éden autant que son enfer. D'un trot allègre qui permet de dévorer les lieux sans épuiser son cheval le jeune écuyer retourne donc chez lui.
Sur place, aucun signe du chef... Quelques informations glanées auprès des palefrenier lui apprennent qu'elle est sur le terrain, gérant la démobilisation des troupes licorneuses du Maine. Qu'a cela ne tienne il attendrait le lendemain. Fouillant dans sa besace il récupère son rapport de mission a Montmirail et prend la direction du bureau de Cerrid afin de l'y déposer. Cela aurait sans doute pu attendre mais il avait vite apprit que ce qui semblait pouvoir attendre ne souffrait en réalité aucun retard auprès de son chevalier. Aussi fouilla t-il dans sa bourse pour en sortir la petite clef du bureau de la Vergy.
Mais une fois dans le couloir il fit une rencontre a laquelle il ne s'attendait pas... Une petite tignasse d'un noir de jais était accroupi devant la porte et furetait dans la serrure a l'aide d'instruments que Gaspard ne maitrisait pas mais qu'il reconnut sans peine comme un nécessaire pour forcer les portes.
S'éclaircissant la gorge bruyamment il présenta la petite clef dans main ouverte
Besoin d'aide Damoiselle Lais? Je pense qu'avec ceci ça serait bien plus simple qu'en pensez vous?
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