Couronnement de la duchesse Marjolainne

[Les matines, Basilique du Castel]

Monseigneur Artmaniak du Doubois arriva avec les matines pour préparer la liturgique de la cérémonie, sécuriser les lieux, et voir le désordre que les temporels avait pus mettre dans la basilique avec leur manie de vouloir exposer leur « noblesse »

Dans sa tenue d’évêque avec sa crosse, et sa robe verte, il fit le tour de la bâtisse, à l'extérieur, puis enfin, à l'intérieur, inspectant chaque recoin. Ce faisant :

Voyons, voyons ... disait-il en parcourant la nef de la basilique, tout me semble prêt.
Je vais pouvoir accueillir l'ensemble du clergé du diocèse et les fidèles qui auront fait le déplacement jusqu'à cette basilique!

C'est alors qu'il regarda le sol et le trouva sale à cause du travail salisant des menuisiers qui avait osaient toucher à la basilique.

Il secoua la tête, se pinça le nez et ferma les yeux, comme fatigué.

Profitant du calme du lieu, il s’amusa a penser qu’il avait privilège que de pouvoir voir la basilique de nuit, et de voir la bâtisse à la lueur des bougies.
Se dirigeant vers l'autel, il expira, voyant la fumée de son souffle se perdre dans l'atmosphère.

Arrivant devant l'autel, il remarqua à la vapeur qui sortait de sa bouche, que la température n’était pas très élevée en cet hiver puis se signa un genou à terre.

Puis s’en retourna sur ses pas.

[De bon matin, Basilique du Castel]

Don Camillo, envoyé par Artmaniak se mit à préparer l'autel et y plaça un pale en toile pur lin, un purificatoire, un manuterge, un corporal, et un coussin rouge.

Tout devait être prêt et tous devraient être placés à l’arriverait de monseigneur Artmaniak.

Enfin, tandis que la jeune Yarwelh terminait de diriger la décoration, Don Camillo alla voir Uriel qui venait de pénétrait dans l’édifice pour qu’il alla se placer sur le parvis, pour surveiller l’arrivé du carrosse épiscopal de l’évêque ou celui de la duchesse Marjolainne.


L’accolade entre les deux, fut amicale et fraternelle.

Alors quoi d’beau l’ami? Moi je viens de rentrer d'un petit voyage de cher les Grégoriens. J’vais faire ordonner là bas Bientôt !

Don camillo se ravisant à l’urgence.

Ha oui ! L’évêque veut que ça soit toi qui tiennes la main de la duchesse à la sortie du carrosse. Histoire que l’église montre sont « soutient » au pouvoir temporel !

Don Camillo avec deux doigts de chaque main dessina dans les airs les guillemets au moment ou il déclara le mot « soutient ».

Enfin t’as compris l’truc ! Veut qu’l’église soit représentée !

Tout en gardant un œil vigilant surs les personnes qui arrivaient.

Un léger bruit de jupon attira son ouïe sensible tournant la tête entendant son nom.

Quel ne fut sa surprise répondant au salut en inclinant légèrement la tête un peut intimidé par la beauté de la jeune dame qui venait de passer et dont il ne connaissait pas le nom et rougit.

Puis il alla vérrifier le travail des menuisiers.

Regardant Uriel il se pencha sur lui et déclara.

Va pas aimer ça l’évêque qu’on ait toucher à sa basilique.

Gratien était arrivé hier dans la journée avec un détachement de la Garde épiscopale. Un couronnement était sans aucun doute un acte important dans la vie d'un Duché. Et cela attirait la grande foule.

Après avoir logé dans les faubourgs de Nancy, le détachement de la Garde épiscopale vint prendre position aux abords du lieu saint dès potron-minet.

Bientôt, ils virent arriver leur capitaine, Uriel.

Mes respects, Capitaine

Dit-il en saluant militairement son officier.

Puis à mi-mots et un peu moins militairement :

Content de vous revoir, Capitaine ! Vous le savez, nous venons à peine de rentrer d'une autre mission de sécurisation qui nous a tenu éloignés de nos contrées un certain temps. Mais cette fois, la mission se déroule en notre Duché. Cela nous change.

Gratien esquissa un sourire. Le capitaine passa en revue le dispositif et donna ses dernières injonctions avant de rentrer en l'édifice.

Gratien et ses frères et soeurs d'armes restèrent de faction à l'extérieur du lieu saint. Une présence rassurante mais en définitive un dispositif relativement discret.

Les premiers badauds et invités allaient bientôt arrivés.

Niconoss au repos forcé suite a un malheureux accident dans le sud. Fut l'un des premiers a se présenter, malgré quelques douleurs, il se tenait bien droit, tel un soldat qu'il était, en son plus bel uniforme, mettant en valeur, ces décorations et ces épaulettes de gradé. Il arrivait bien en avance pour une fois, s'approchant de la basilique, il vit quelques petites animations, puis reconnu Uriel et Don Camillo, qu'il avait déjà croisé auparavant a Coussey en compagnie de Artmaniak.

Il s'approcha donc d'eux, et les salua, Uriel d'abord avec une accolade, puis Don Camillo, par un serrage de main, très fraternel.

Messieurs bonjour,
Vous êtes bien matinaux
Comment allez vous ?

Je vais si sa ne vous dérange pas me positionner a côté des portes, les autres membres de l'ost qui viendront se positionneront autours de la place pour contenir la foule.
Attendons d'autre membres de l'Etat Major pour mettre sa en place correctement. J'imagine comme a chaque fois que les membres de la GE se mettront le long des escaliers.

Domi avait appris que ce jour était le courronnement de Dame Marjolaine.
De retour depuis peu du Béarn et de ses tumultes, il avait juste eu le temps de poser sa sacoche, se changer et repartir vers d'autres appels.
Avant son départ, il se dirigea donc vers le Castel afin de remettre ses hommages et de féliciter la nouvelle duchesse.
Il fut accueilli par le cadet Gratien , puis, il se rendit vers son supérieur, le Capiatine Uriel.
Il y avait déjà foule et Domi eut du mal trouver place.
Il arriva enfi, jusqu'au Capitaine, il le salua respectueusement et une fois les mondanités terminées, il se dirigea vers le cadet Gbe afin de l'aider dans la gestion de l'accueil.

Jewak avait reçu une missive de son capitaine et ami Uriel l'invitant à assister à un grand évènement... le couronnement de la Duchesse Marjolainne.

Cela fesait à peine 2 ou 3 jour qu'il était rentré de mission et était encore un peu fatigué mais il ne pouvait manquer ça pour rien au monde !!!

Il se prépara et se mit en route vers la Basilique du Castel de Nancy, en espérant ne pas être trop en retard.
Après des jours de marche il arriva devant la basilique. Beaucoup de personne étaient déjà là, il essaya de se freyer un chemin pour entrer.

Il repéra le Capitaine Uriel parmi la foule et alla le saluer.

- Bonjour Capitaine, je suis ravi que vous m'ayez invité. J'espère que je ne suis pas trop en retard ? Puis-je aider pour quoi que ce soit ?

Gratien vit arriver l'Ost. Il reconnut au loin Adelphe qu'il salua.

Puis ses supérieurs apparurent, le Lieutenant Domi ainsi que le sergent Jewak. Il venait à peine de les quitter il y a de cela quelques jours. Il leur fit rapport, reçut les ordres et vaqua à ses occupations. Il était possible qu'une dernière escouade de la GE les rejoigne encore.

Niconoss sourit a Uriel et lui répondit.

Très bien, comme d'habitude l'ost se mettra sur la place devant la basilique donc. Si vous avez le moindre soucis, je serait la au niveau de la porte, je pourrais faire quérir des soldats pour vous suppléez.

Puis voyant arrivé le sergent Adelphe, il se salua avec un bon garde a vous militaire.

Bien sur que vous pouvez rester a une porte avec moi, enfin sauf si on a besoin de vous autre part.

Majoie arriva vêtue de sa houppelande aux couleurs de Verdun elle n'aimait pas particulièrement ce vêtement qu'elle considérait comme une nuisance lorsqu'elle galopait sur sa fidèle jument Atore...mais les circonstances voulaient qu'elle se vêtit convenablement pour assister à un couronnement elle ne pouvait décemment se laisser aller...

Elle arriva devant le shéma de la salle et arrêta se posant un dilemne...

Devrais-je m'asseoir à la Chancellerie...ou plutôt avec mes collègues JAP...ou bien encore suivrais-je mon coeur???

Interrogatrice et songeuse elle décida d'attendre de voir qui serait ces amis(es) et connaissances qui viendrait à la cérémonie...elle s'appuya sur un mur non loin et porta son attention sur les préparatifs qui allaient bon train

Regardant l'horizon - enfin, l'autre bout de la place - Uriel vit arriver encore de nombreuses personnes.

Un uniforme caractéristique, un écusson rouge, les cheveux au vent, c'était Margie. En service, il ne pouvait pas lui donner l'accoldae amicalem, il se contenta donc de la saluer de la manière des plus correctes et l'invita à rejoindre son ami Gratien, pour sécuriser les lieux.
Puis il revint sur Nico.

Parfait, Nico. Cette disposition me paraît des plus appropriées.
Mais il faut par contre que tu te ménages, n'en fais pas trop. Il y aura bien d'autres membres de l'EM.

Un géant toulois fit son apparition et grimpa les marches trois à la fois. Il le salua.

Bonjour messire Crc57, je vais fort bien merci, j'espère qu'il en va de même pour vous. Les gens commencent à arriver, mais jusqu'à présente il n'y pas de problème à déplorer.

Il sourit alors qu'une chevelure de feu venait à leur rencontre, contrastant avec le gris des marches de la basilique.
Il salua donc la belle Cléo avec déférence.

C'est vrai que Toul était bien représentée !
Cléo alla embrasser Armael et serrer la main de Pm en rejoignant les bancs désignés pour les membres de la maréchaussée lorraine.

Elle félicita l'élégance de sa collègue et concitoyenne et fit compliment à Pm de sa prestance en retirant une petite branche qui était restée accrochée dans sa cape ...
Messire ! vous nous ramenez quelques cueillettes des bois que vous avez traversez pour venir jusqu'ici ..dit-elle en riant ...

Elle aimait retrouver des amis qui venaient de toutes les villes de Lorraine et que leurs taches retenaient dans leurs maréchaussées, dans leurs casernes ou dans leurs mairies et ces réunions permettaient de prendre de leur nouvelles ...
Elle passa la main sur sa taille et se pencha vers Dame Armael qu'elle n'avait pas vu depuis quelques jours et lui chuchota la grande nouvelle :
tu sais, depuis 2 jours, j'en suis certaine .. HK et moi on va devoir agrandir la maison ... je vais être maman !

Sirjohncina Arriva comme souvent au dernier momment.

Espère ne pas être en retard pour voir le couronnement de sa soeur Marjolainne.

Etrangement, il voyageait à nouveau afin d'honorer une invitation..Un regard sur les gardes de son escorte le précédant, pensées furtives quand à ce voyage qui le menait d’Aix en Lorraine.
Il ne connaissait que très peu la nouvelle Duchesse de Lorraine mais le peu qu’il avait eu à échanger avec elle ne lui avait déplu d’autant que feu son frère semblait avoir eu de très bonnes relations avec la Duchesse lors de leur fonctions passées respectives.

Et pourquoi aurait il refuser de répondre positivement a cette invitation, la politique ne l’intéressait que très peu, et donc les soucis qui s’y trouvaient si souvent en grand nombre encore moins.
Il aimait à se trouver au plus loin de ceux-ci et bien que respectant les nobles qui se lançaient dans celle-ci, il ne pouvait se résoudre à faire de même mais gardait grand respect pour certain qui si souvent et si facilement se faisait salir.

Le groupe enfin pénétra dans le château de Nancy, se dirigea vers sa basilique et ce n’est qu’au plus prés que le duc fit stopper son escorte et mis prestement pieds à terre.
Il craignait d’être quelque peu en retard et d’un geste fit comprendre à ses gens de l’attendre et s’occuper des chevaux..il gravit les marches rapidement..pas détonant d’avec la fausse nonchalance qui était sienne si souvent..et se dirigea vers les grandes portes de la basilique.

Basilique.

Il pénétra discrètement dans la basilique, déjà nombres d’invités se trouvaient présent pour cette grand événement qu’était le couronnement d’une Duchesse.
Le duc se signa puis comme si souvent, discrètement attendit le début de la cérémonie après avoir salué les personnes proches de lui..

A l'hotel

Après la nuit passée sur la route, Barberine s'était endormie. Réveillée en sursaut par le soleil déjà haut, elle est un insrtant désorientée par le décor inconnu de la pièce où elle se trouve. La place dans le lit était vide à côté d'elle, son homme surement parti rejoindre l'ost.

C'est vrai que la raison de leur venue à Nancy était double, une tournée d'inspection et le couronnement de la Duchesse Marjolaine.

Un passage rapide à la fenêtre lui indique que l'air est doux. Elle se prépare soigneusement, choisissant une tenue claire très seyante, légèrement décolletée mettant ses formes en valeur.

Enfin prête elle fait amener le carosse aux armes de Sancy et se rend à la cérémonie.

Sur le Parvis

Le carosse se frayait difficilement un chemin aux abords de la Basilique tant la foule commençait à arriver.

Après avoir mis pied à terre, elle regarde autour d'elle cherchant amis et connaissances et s'avance sur le parvis . Elle connaissait d'avance le plan de la Basilique et savait qu'elle devrait fouler toute la t'allée centrale avant de trouver place parmi les conseillers.

Une des premières qu'elle vit était son amie Bambou, qu'elle va embrasser affectueusement.
hum ma chère tu es particulièrement en beauté, et ça fait longtemps que je ne t'ai plus vu cet oeil brillant. Se pourrait il que..?

Elle lui fait un clin d'oeil complice :

Tu attends peut être quelqu'un ? Les autres conseillers son arrivés ?

Elle se retourne pour voir passer Elisette et Yarwelh , leur fait signe de les rejoindre, salue d'un sourire Josephine qui arrive accompagnée de sa famille.

Remarquant Uriel en grande conversation elle s'approche de lui et l'embrasse amicalement.

Comment vas tu ? ton voyage s'est bien passé ? Tu es arrivé quand ?
Tu n'es pas à l'intérieur avec notre Evèque ?

Après l'avoir écouté et répondu à ses questions, elle retourne auprès des Conseillers attendant le moment d'entrer dans la Basilique, saluant d'un sourire gracieux les personnes qu'elle appréciait.

Tophe n'ayant plus de grande responsabilité depuis, son retrait de la vie, local,il etait plus venu voir quelques anciens et anciennes collègues avec qui il avait u le plaisir de travailler pendant ces 3 derniers mois.

Tophe arriva pour une fois pas trop en retard à la basilique; il salua les nombreux amis présent qui attendait à l'extérieur, profitant sans doute des rayons de soleil qui illuminait le parvis.

Il finit par rentrer, éclata de rire en voyant un sapin posé contre un mur à proximité.
Il s'approcha de Yarwelh et lui demanda discrètement
c'est nouveau de mettre des sapins contre les pilier; c'est une touche de décoration personnelle ?
Ce retournant pour désigner, Tophe dont les yeux s'était adapté à la pénombre de la basilique, s'aperçut qu'il ne s'agissait point d'un sapin ; mais d'une personne ayant le mauvais gout de venir tout de vert vertu.
Excuse moi, Yarwelh ma vue me joue de tours; j'ai prit la personne mal habillé en vert pour un sapin,
Tophe regarda en direction des bancs réserves aux conseillers ducaux,
Toutes les femmes, ne peuvent pas avoir autant de classe et de gout que Picsounette, Eli, Barbi, et
matant la jolie femme se tenant devant lui
toi, je doit avouer, ma chère que vous êtes resplendissante.
Je te laisse retourner à tes taches

Le carrosse de l’évêque vint à s’approcher du parvis, des crieurs au loin avait fait le signe. Il arrivait.

Enfin, l’évêque vit de loin les marches de la basilique. Artmaniak sourit alors à sa droite où Bourrike était assise.

Arrivé sur le parvis il laissa Bourrike sortir en première puis la suivant de près. Avant que Monseigneur Armaniak Du Doubois ne descende de son carrosse, il s'assura que les lieux étaient bien sécurisés et que les gardes épiscopaux étaient à leur poste.

Des fideles l’accueillit tous, certain acclamait l’évêque D’autre s’occupait plus de la duchesse. Celà le distrailla de son inspection et se penchant sur Bourrike.

Pourquoi tant de fascination pour l’appart temporel, Mère Bourrike ? Je ne comprendrais jamais Que les temporels nobles aimassent tant leur pouvoir au point d’en devenir outrageusement fier.

Il lui fit un sourire puis avancèrent vers Uriel.

Il s'était avancé jusqu'au bas des escaliers de la basilique avec Bourrike à sa gauche et Uriel à sa droite.

Une fine neige avait commencé à tomber, garnissant les toits de la basilique et commençait a rendre le parvis glissant.

Il pensa un instant à la Duchesse. Et bien qu'il eût aimé la voir avant ce jour, il ne douta point que les occupations de ses terres puissent la maintenir éloignée des bureaux de l’évêché, ce qu’il regrettait mais comprenait.

Puis se pencha sur l’épaule d’Uriel.

Comme la garde épiscopale est elle déployée mon ami ? Où est ce une armé de croisés? Il y a tant de Gens D'armes que tu as déployé. tu es très efficace comme toujours Don Camillo était rentré à l'intérieur de la Basilique, et les attendait en haut des marches pour les conduire à l’autel.

De nombreux cierges avaient été allumés et avaient pour effet d'illuminer complètement la basilique ; ils apportaient la chaleur de leur flammes.

Souriant, repensant aux matines qu’il avait passé dans la basilique. Il était tous de même heureux de voir qu’il faisait bien meilleur.

Avant de laisser tous ce petit groupe rejoindre leurs places, voyant la duchesse il s’approcha doucement accompagné de Uriel, de Bourrike et de Don Camillo à ses coté, il glissa quelques mots.

Bonjour Votre Grâce Marjolainne de Réaumont Kado'Ch , puisse cette journée se passer dans la félicité et dans l’amour d’Aristote. Avez-vous préparé un petit discours aristotélicien pour la fin de la cérémonie ?

Êtes-vous prête votre Grâce?

D’un petit sourire taquin à Uriel, le frère de la duchesse, il se demandait s’il n’avait pas plutôt fait monter la pression pour la duchesse.

Puis vit derrière la duchesse que Yarwelh et lui adressa un petit sourire d’encouragement.

Tout est prêt pour la cérémonie?

Barberine avait à peine eu le temps de répondre à Uriel

Je vais bien, et, non Fiha n'est pas avec moi, il sera là peut être avec un détachement de l'ost, que le carosse qui amenait la Duchesse arrivait.

Elle s'écarte et s'incline lorsque celle ci met pied à terre.

En rejoignant ses amis , elle aperçoit Tophe en grande discussion avec Yarwelh, lui sourit, avant de s'incliner de nouveau mais sur le pasage de l'Evèque cette fois.

Le cortège était prêt à pénétrer dans la basilique, la cérémonie allait commencer.

Avec le groupe des conseillers elle se dirige vers la place qui lui est allouée.

Yarwelh salua Tophe lorsqu'il s'approcha d'elle.
Son sourire disparut lorsqu'il parla de sapins.

Un sapin? Mais elle n'avait pas mis de sapin! Il fallait que tout se passe au mieux, et un sapin se retrouvait dans la basilique?
Elle se tourna vivement dans la direction indiquée mais ne vit pas de sapin. Le cherchant des yeux, elle se demandait qui aurait pu faire cette mauvaise farce.
Tophe la rassura. Elle soupira.

Tu m'a fait peur...

Puis elle suivit son regard vers les conseillers ducaux, en profita pour voir si chacun s'asseyait tranquillement à sa place.
Elle se retourna lorsqu'il la complimenta. Il est toujours plaisant pour une femme d'en recevoir n'en déplaisent à certain.

Je te remercie; Cela me touche beaucoup. A moins que cela ne soit ta vue qui ne te fasse un nouveau mauvais tour?

Ce n'était pas une remarque méchante, plus taquine qu'autre chose. Après tout, il était bien connu que Yarwelh était coquine et aimait taquiner. Reprenant son rosle d'hostesse avec un franc sourire, elle lui indiqua la nef.

Je vous laisse prendre place pour la cérémonie.

Puis peu après, le carosse aux armes de la Lorraine apparut sur la place.
Elle salua d'un geste discret son ami Crusader qui escortait la duchesse.
L'esveque apparut aussi.

Oui Monseigneur, tout est en place. Il ne manque plus que vous.

Enfin elle gagna rapidement sa place.
La suite de la cérémonie n'etait plus de son ressort.

En s'asseyant, elle se rendit compte qu'elle avait oublier de prévenir l'esveque pour l'estrade qu'elle avait ajouter afin que la population lorraine au fond de la basilique puisse voir.
Esperons que celui ci ne se prendra pas les pieds dedans...

Arrivant en retard encore une fois ,je vis mon frère nico et tous ses frères d'armes devant la basilique et sourit à chacun de loin...

En plus c'est ma faute j'ai recu la la houppelande que maintenant pfff,j'aurais du m'y prendre plus tot ..

Accélérant le pas à la hauteur de son frère elle ajoute à son intention en lui faisant la bise .

Toujours aussi magnifique en lui souriant avec tendresse

Bonjour Nico un peu soucieuse de sa blessure et de sa mine fatigué ,ca va ?
tu va devoir te reposer après la cérémonie en lui chuchotant pour lui meme .

Je te laisse je vais allez voir qui la et de connue aussi en souriant ..

Vêtit d'une robe rouge et jaune doré avec une tresse le long du coté gauche. Ici

Entrant dans la basilique admirant la décoration elle regarde un peu partout pour voir si elle voyer ses amies(s)

Zut il est pas arrivé en soupirant ne le voyant nulle part mais vit Tophe en conversation avec Dame Yarwelh et plus loin Elisette .

Restant en retrait et regardant les personnes arrivées en leur souriant et se placa à c'est endroit qui lui ést attribué et attendit le déroulement de la cérémonie en voyant la duchesse arrivé ...

Il jeta un regard à sa droite et à sa gauche et fit un signe de tête à Shillia puis étant encore à l’entrée de la basilique, il fit signe de main à l’ensemble des ses fideles de manière très polis et gracieuse.

Il remarqua que certain de sa dizaine de futur Diacre était là et se fit un plaisir de les savoir là.

Il se tourna vers l’organiste et d'un signe de tête il fit démarrer la musique.

L'évêque Artmaniak remonta lentement l'allée centrale, précédée d'un enfant de cœur portant une lourde croix processionnelle. Le son de la crosse était comme un métronome, il donnait la cadence à la marche du groupe accompagnant l’évêque à l’autel.

Il attendait que Marjolainne s’approcha.

Mais aux coté de Artmaniak, Don Camillo monta en premier les petites marche et testa la nouvelle estrade que les temporels lui avait affublé. Il parait qu’on le verrait mieux de loin. Bizarrement ses processeurs n’avaient jamais eu ce genre de problème.

Il en prit un coup dans son moral se disant qu’il paraissait peut être vraiment petit.

Artmaniak soupira en voyant Don Camillo monter sur l’estrade.

Puis quand l'évêque tourna la tête vers Marjolainne pour l'acceuillir, un grand CRAAAAAAAAAAC!!!!!!!!!! se fit entendre

Des lors tous les regards se tournèrent vers Don Camillo.

L’aide de camps de l’évêque semblait n’avoir plus que jambe, mais en regardant mieux il avait en fait juste traversé l’estrade. La masse de gras de Don Camillo avait eu raison de la petite estrade. Sa jambe droite avait fait craquer le bois et à présent il se retrouvait avec une jambe dans le trou, coincé.

Artmaniak retint un petit rire mais il remarqua que l’ambiance ne s’y prêta pas. Il fit signe alors aux enfants de cœur, mais du haut de leurs jeunes âges les petit angelots n’arrivèrent pas à soulever le massif Don Camillo.

Ayant remonté la nef aux côtés de l'évêque et étant allée prendre place dans la choeur, parmi les sièges réservés au clergé, la curette continuait à tenter de deviner qui était quoi parmi les visages les plus proches d'elle lorsque, après que la musique ait retenti, un autre bruit, plus...que dire, on ne peut pas affirmer qu'il fut sourd ce bruit. Non, plutôt qu'il eut pu rendre sourd quiconque l'entendrait. Et la vue qui allait avec avait tout pour faire perdre sa contenance à une curette somme toute bonne vivante. Elle prit donc une grande inspiration pour étouffer le rire qui arrivait, puis hésita mais vit Frère Uriel aller tirer la balourd de son trou.
Elle tapota discrètement la chaise encore vide à côté d'elle, invitant Don Camillo à la rejoindre, priant intérieurement pour qu'il ne souffre pas trop, et reporta son attention sur le déroulement de la cérémonie.

[Le Matin - Salle d'audiences]


Comme tous les matins, Ecaterina recevait les doléances ou les demandes des gens qui souhaitaient la voir.
Les gens se sentaient plus proche d'elle car elle les recevait simplement, loin des artifices des habits cardinalices ou des pompes nobiliaires.

C'était le moment de sa journée qu'elle préférait, être ainsi au milieu de ses peuples, de pouvoir écouter battre leur cœurs et leurs espoirs. Pour rien au monde elle ne manquerait ces moments où elle se sentait réellement utile.

On venait la voir, qui pour un problème de pain, qui pour une question religieuse, qui pour demander une faveur, ou simplement pour parler quelques minutes avec elle.

Entre deux visites, Ecaterina pouvait se détendre en papotant avec ses dames de compagnie qui ne la laissaient jamais sortir ou rester seule dans une pièce. En effet, il était inconvenant de laisser une Dame, et d'un rang aussi haut, seule avec des hommes.

Alors qu'elle était en grande discussion, Margot, sa première dame de compagnie, la Cardinal se pencha vers elle:




N'oubliez Eminence que vous devez vous rendre au couronnement de votre mère la Duchesse de Lorraine.

La Cardinal fit une grimace.....elle avait oublié. Puis se pencha pour demander à sa dame de compagnie d'aller faire apprêter le coche.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Après plusieurs heures de route, le coche de la Cardinal s'arrêta dans la cour devant la grande Basilique du Castel de nancy.

Ma Cardinal en descendit et se dirigea vers l'entrée puis vers la nef de la basilique. Elle était vêtue de sa robe de cérémonie et de sa célèbre coiffe.





Elle sourit aux personnes qu'elle connaissait.

Arrivée à hauteur de sa mère, elle sourit puis lui fit une bise et se place derrière elle à sa gauche pour la soutenir et prier pour elle.

Elle salua de la tête l'Evêque de Toul.

Hathor arriva en retard à la cérémonie.
Heureusement celle-ci venait de commencer.
Du regard elle chercha une place libre et s'y installa discrétement.
Elle présenterait ses hommages à sa cousine plus tard

L'évêque sourit à la Duchesse et à Son éminence puis tout en montrant sa place, de la main droite, à la Duchesse, cette dernière finisait de remonter l'allée centrale afin de se mettre derrière l'autel.

Don Camillo était resté, le mal avait passé, et au final rien de grave n'était arrivé.

Tous furent soulager, et Artmaniak aussi bien sûr

Comme à sont habitude Artmaniak avait un peu préparé son début de sacrement de la même manière.

Artmaniak fit un grand sourire à la duchesse et un signe de tête comme pour l'accompagner dans un si grand moment.

Il ouvrit son carnet, où il avait écrit sa prêche.



Mes enfants, bien venus pour cette cérémonie de couronnement. Je suis heureux de vous voir pour cet office un peut inhabituelle. Cela me réchauffe le cœur de voir que malgré beaucoup de tensions créer par le passé par certain hérétique. Vous êtes toujours plus nombreux à venir nous voir pour devenir fideles ou même diacre. Depuis que je suis arrivé ici nous avont reçu plus d'une dizaine de personnes qui souhaitent devenir diacre. Cela est un signe fort envoyé à tous !
Avant de démarrer cette célébration, je vous invite à faire repentance de nos fautes et à en demander le pardon au Divin.

Mes bien cher frères et sœurs, mes enfants, mes amis !
Je souhaite vous remercier d’être venu aujourd’hui dans ce lieu saint et consacré, dans cette basilique.
En effet, il n’est pas difficile pour moi, homme de dieu et évêque, de faire un sacrement qui vous réunira tous autour de Dieu. Cela fait maintenant longtemps que je vous accompagne sur la voix de la vérité et pour cela j’ai suivit plusieurs séminaire qui m’ont apprit à faire ce genre de sacrement. D’ailleurs je suis en train de suivre celui de TRÊVES, c'est-à-dire le votre. Il est riche d’information et me permet de faire aujourd’hui mon mea-culpa.
Mais il est bien plus dur pour vous, fidèles, d’être croyant par ces temps si troublé.

En ces temps troublés où beaucoup de monde oublie leur époque, il est important d'affirmer clairement notre Foy et de resserrer les rangs, de façon à mieux résister aux appels de la Bête sans Nom qui cherche toujours à démontrer, depuis la Création, que le sens de la vie est la domination du faible sur le fort....

Je vous invite donc tous à faire la prière du pardon, pour vos péchés mais aussi pour les péchés des autres. Prions pour les égarés de la Vraie Foy Aristotélicienne.




Les épais murs de la basilique faisaient résonner son Amen

la duchesse qui s etait approché de monseigneur Artmaniak écouta et puis récita à son tour le crédo

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Amen !

De sa place auprès des autre conseillers, Elisette écoutait attentivement les mots de l'évêque de Toul, portant en même temps une réflexion sur le lieu où pourrait bien se trouver celui de Metz, dont elle avait plus l'habitude des cérémonies. Vint le moment du Crédo, qu'elle répéta le cœur serré.

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous
aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles,
en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier
le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Amen !

Bambou récita le crédo

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier
le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Ellebasi après avoir vu Don camillo en restant à proximité ,récita le credo ..
La gorge nouer:


Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Barberine récite avec les autres assistants la première prière

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier
le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Amen

Elle relève la tête en entendant le vacarme, retient un rire nerveux en voyant l'estrade par terre et le pauvre aide camp étalé cul par dessus tête sur le sol de la basilique.

de nombreux assistants s'étant précipités pour l'assister, elle ne bouge pas, d'ailleurs il semblait qu'il y ai eu plus de peur que de mal.

Elle continue sa conversation entamée à mi voix avec bambou quand celle ci regagne sa place.

Non je n’attends personne en particulier.

Elle ne dit rien, mais sourit en la voyant se tourner souvent vers un point précis de la basilique.

Elle aussi tournait fréquemment la tête vers l'entrée de la basilique. Bambou avait mis le doigt sur ce qui la chagrinait.

il manque ton cher et tendre, mais il n’est pas le seul
à être en retard

Elle savait qu'il n'aimait pas particulièrement ces cérémonies, et se doutait que sa nouvelle charge l'absorbait beaucoup.

Hélas Bambou, oui il est en retard. Tu sais combien il déteste toutes ces cérémonies. Il a du se plonger dans une affaire délicate et complètement oublié le couronnement.

Elle sourit à son amie puis essaye de se reconcentrer, attentive à la suite de la cérémonie.

Monseigneur Artmaniak voyant que la duchesse était ému par sa propre déclaration s'approcha d'elle pour s’arrêter à ses coté.

La foule n’avait pas l’air de bouger à la fin de ce discourt. Aucune intervention. On aurait pus entendre Don Camillo chouiner au fond. Pour briser le silence l’évêque de Toul prit la parole.

Votre grâce, hier vous étiez duchesse de lorraine devant les hommes. Aujourd’hui vous êtes duchesse de lorraine devant le très haut.
Louer le votre grâce, et jamais le jugement portez sur vous ne sera mauvais. Ecoutez le vous guider à travers toutes vos décisions, et ne trahissez jamais sa parole.

Artmaniak regarda Uriel qui avait un papier à préparer en parlant de ça et lui sourit.

Avant de nous séparer, ceux qui le veulent peuvent venir partager le pain de l'Amitié qui nous uni tous.



Je finirais pour aujourd'hui ce sacrement en vous demandant de prier pour les malheureux à travers le monde.
Comme le Saint Étienne de Harding nous l'a montrer, la charité est une des vertus qui n'est pas difficile à pratiquer





Allez en paix mes enfants en ce jour.[/quote]

Les fideles peuvent venir féliciter la duchesse.

Palogar qui avait écouté avec attention jusque là se présenta devant la Duchesse à l'invite de l'évêque de Toul.

Uriel l'avait devancé. Il lui fit un signe discret en passant à ses côtés puis arriva devant la Duchesse.

Votre Grâce, je vous souhaite pleine réussite pour votre mandat.
Qu'Aristote vous aide et vous guide dans votre tâche !

Puis ayant salué comme il se doit la Duchesse de Lorraine, il se mit de côté en attendant que d'autres lui présentent leurs hommages.

Hathor s'approcha de la Duchesse avec un grans sourire

- Mes félicitations Cousine pour votre couronnement.
Qu'Aristote nous garde et nous guide sur ce chemin.

Hathor s'inclina devant la Duchesse et se retira pour laisser la place aux autres convives.

marjolainne sourit au dire de Olivier .
nous ferons au mieux pour notre lorraine.
,elle remercia son frere et ceux deja qui etait venue la féliciter

Ellebasi fit comme les autres et felicita sa grâce en allant vers elle ..

Félicitation votre grâce , qu'Aristote vous guide ,en courbant la tête en signe de respect ..

Puis se déplaça et attendit un peu plus loin vers la sorti de la basilique près de ses frères et soeur d'armes et surtout son frère qui se trouver près de la porte ..

Sa va pas trop fatigué de rester debout ?en le regardant soucieuse

Toujours aussi sèche celle là… une chance l’artésienne ne lui tapa la conversation… sa voix de crécelle l’insupportait, du moins lors de la fameuse rencontre afin de réconcilier leurs deux provinces…

Alors qu’elle ne bronchait pas, elle finit tout de même par jeter un regard en coin à sa voisine… elle se retint de ne pas rire en voyant celle-ci en pleine admiration du mantel de l’homme se tenant face à elles… elles n’étaient pas si différentes l’une de l’autre après tout.

Alors qu’elle écoutait distraitement la cérémonie, elle pensa soudain à sa réputation si on la voyait côtes à côtes avec la comtesse de… et bien de nulle part, impossible pour la blonde briennoise de s’en souvenir… mais l’avait elle su un jour ?
À tous les coups on verrait dans les gros titres de l’AAP un truc du genre : « rencontre secrète en Lorraine ; les deux ennemies d’hier, se font une virée » ou encore : « deux blondes en voyage ; à elles les petits lorrains »

La duchesse sourit se disant qu’après tout, les ennemis de la Champagne, actuellement, était des …champenois et non des artésiens. Ironie du sort pour certains, continuité pour d’autres… Maltea commençait à ne plus s’en faire.

Alors que la cérémonie prenait fin et que les personnes présentes allaient féliciter sa cousine, Maltea se pencha sur sa voisine, et lui murmura…

Très joli mantel, je trouve aussi, mais la cérémonie est finie, et je pense que votre mantel va finir par quitter les lieux avec son propriétaire.

Elle lui fit un clin d’œil et quitta sa place non sans retenir un petit rire amusé tout en saluant la comtesse qui méritait bien, il fallait le dire son respect, pour lui avoir toujours tenu tête.
Elle faisait partie de ces femmes de caractère qui avaient du répondant, ce qu’avait toujours apprécié la duchesse de Brienne qui ne se laissait jamais marcher sur les pieds non plus.

Alors qu’elle quittait la salle elle se retrouva face à Uriel qui la saluait. Elle lui offrit un sourire, contente de le revoir.

Tout le plaisir est pour moi Uriel, cela faisait un moment qu’on ne s’était tous deux croisés, c’est maintenant chose faite… et concernant le printemps champenois je pense que c’est plutôt la lueur blafarde hivernale que j’apporte avec moi.

Elle lui fit un clin d’œil.

Quelques jours, oui pourquoi pas. Bien que je doive reprendre la route pour regagner la Champagne, je ne serais point contre deux ou trois jours de repos en votre duché.

le moment était venu pour les conseillers de preter serment.

Barberine s'avance et à voix claire prend la parole

moi Barberine Dame de mont les neuf chateaux

Je jure devant Dieu, le saint Empire, la Lorraine et son peuple de servir avec loyauté le duché et son Duc élu pendant toute la durée de ce mandat.

Je jure de faire passer le bien du duché avant mon bien personnel.

Je jure de participer régulièrement aux discussions du conseil avec la pondération et la dignité dues à mon rang de conseiller.

Je jure de pratiquer avec discernement un devoir de réserve sur les discussions du conseil.

Je jure de ne pas critiquer publiquement le travail de mes collègues,de les aider dans la mesure de mes moyens ainsi qu’à leur communiquer toute décision que je serais amené à prendre qui affecterait leur travail au sein du conseil.

Qu’Aristote m’aide et me guide dans ma tâche.

Après avoir félicité sa Mère, Bambou prêta serment derrière Elisette


Moi, Bambou de Réaumont kado'ch.

Je jure devant Dieu, le saint Empire, la Lorraine et son peuple de servir avec loyauté le duché et son Duc élu pendant toute la durée de ce mandat.

Je jure de faire passer le bien du duché avant mon bien personnel.

Je jure de participer régulièrement aux discussions du conseil avec la pondération et la dignité dues à mon rang de conseiller.

Je jure de pratiquer avec discernement un devoir de réserve sur les discussions
du conseil.

Je jure de ne pas critiquer publiquement le travail
de mes collègues,de les aider dans la mesure de mes moyens ainsi qu’à leur communiquer toute décision que je serais amené à prendre qui affecterait leur travail au sein du conseil.

Qu’Aristote m’aide et me guide dans ma tâche.

Nicolas prêta serment à son tour à la duchesse Marjolainne :



Moi, Nicolas

Je jure devant Dieu, le saint Empire, la Lorraine et son peuple de servir avec loyauté le duché et son Duc élu pendant toute la durée de ce mandat.

Je jure de faire passer le bien du duché avant mon bien personnel.

Je jure de participer régulièrement aux discussions du conseil avec la pondération et la dignité dues à mon rang de conseiller.

Je jure de pratiquer avec discernement un devoir de réserve sur les discussions
du conseil.

Je jure de ne pas critiquer publiquement le travail
de mes collègues,de les aider dans la mesure de mes moyens ainsi qu’à leur communiquer toute décision que je serais amené à prendre qui affecterait leur travail au sein du conseil.

Qu’Aristote m’aide et me guide dans ma tâche.

De son siège, Cléo ne perdait pas une miette de toute la cérémonie... un peu plus elle allait faire un imper en s'avançant vers l'estrade pour faire sa révérence à la duchesse ... ce bébé qu'elle attendait est un ange qui déjà veille sur son impulsive de maman pensa-t-elle en souriant ...
En effet, la file des gens qui défilait devant Majolaine était composée en majorité des conseillers ducaux ... elle aurait du le remarquer !! ^^ Enfin, chacune et chacun venait de prêter serment ... manquait-il quelqu'un à l'appel ?

La rousse se sentait mieux et discrètement sortit de son aumônière de cuir de Cordoue finement gaufrée de petites étoiles...un petit flacon de remontant ... faut ce qu'il faut ... elle prit une lampée du "médicament" et ses joues retrouvèrent leur jolie couleur rouge.

Enfin, la rouquine se leva enfin, et arriva devant la Duchesse

Elle ne sut que dire tellement elle avait répété, alors elle fit une révérence et de son plus beau sourire souhaita que les fées de la bonté, de l'intelligence et de la paix restent aux cotés de Marjolainne pour veiller sur la Lorraine.


Il y avait tellement de gens qu'elle se poussa bien vite.
Ce n'était pas le moment de se faire bousculer par quelques courtisans et Cléo avait besoin de prendre l'air et de retrouver Querido pour rejoindre son village chéri, Toul, la Magnifique...... et ceux qu'elle aimait

L'abbé, à qui on avait remis les clefs, entra dans le cloître et vit qu'il semblait y avoir du monde, et sûrement des notables à en juger par la qualité de leurs habits. Il avait troqué au palais archiépiscopal sa soutane noire pour une violette, et trouvé une barrette violette. C'est qu'il avait du fouiller toute la garde-robe avec un clerc qui passait à ce moment par là et qui ne lui avait rien demandé ! Il avait finalement réussi à mettre la main en plus sur une croix pectorale et une ceinture violette.
De ce fait, la croix inquisitoriale habituelle de l'abbé semblait vraiment ternie à côté de celle toute astiquée d'évêque.

Il alla rejoindre Uriel qui était la seule personne qu'il connaissait pour le moment dans son nouveau diocèse. Il le salua discrètement, tout en lui glissant à voix basse.

Peut-être pourrions-nous nous servir de cette cérémonie de jenesaisquoi pour faire les présentations ?

La Duchesse était félicitée de toute part ; silencieusement, elle priait pour que son mandat se passe dans la paix pour les Lorrains.
Soudain, elle vit son frère se lever et demander l'attention de chacun pour présenter le nouvel Evêque.

Elle se dirigea alors vers lui.

Soyez le bienvenu en Lorraine, Monseigneur,
puisse Dieu vous accorder longue vie.
J'espère que vous vous plairez dans le Duché.


Marjolainne invita les autres membres du Conseil à venir saluer l'Evêque de Metz.

Hathor s'approcha et s'inclina devant l'Evêque

- Monseigneur permettez-moi de renouveler mes voeux de bienvenue.
J'espère avoir la joie de pouvoir participer à un de vos offices et de recevoir votre bénédiction.

Hathor se recula pour laisser la place aux autres conseillers

Palogar avait suivi la fin de la cérémonie puis les serments des conseillers ducaux avant de sortir prendre l'air.
Il était sur le parvis de la basilique lorsque le nouvel évêque de Metz arriva.


Bonjour Monseigneur, ravi de vous revoir ici.


Il s'inclina respectueusement.

Une fois que les gens eurent cessé de s'agglutiner autour du nouvel évêque, Elisette eut l'occasion d'aller saluer à son tour le nouvel évêque de Metz, devant lequel elle s'inclina légèrement.

Monseigneur, je vous adresse toutes mes félicitations, en espérant que vous saurez vous plaire parmi nous. C'est un grand plaisir de savoir qu'on ne nous laisse pas longtemps sans évêque, suite au départ regrettable de Huet...Mais je ne doute pas que vous saurez exercer vos fonctions avec qualité.