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[RP] Les geôles du château.

Yuna.
Peu de temps auparavant, elle avait découvert que son ami Kuan était un brigand, un lézard qui volait les Sôs. Mais çà faisait rien, elle l'aimait quand même. Et la, elle venait d'apprendre qu'il était en prison! Il devait avoir faim et peur son compagnon de jeu! La décision fut prise en un instant, elle devait aller le voir et l'aider, même si Yawa et Azu ne seraient surement pas d'accord. Il valait même mieux ne pas leur demander, comme ça si elle se faisait attraper, elle pourrait toujours dire qu'elle savait pas!

Petit détour par le marché, pour rapporter quelques petites pâtisseries pour consoler Kuan, mais sans kobans sur elle, elle ne pourrait pas lui offrir grand chose. Pas grave, elle savait ce qui lui restait a faire, même si elle n'aimait pas beaucoup ça. Oncle Keniko lui avait apprit et il lui demandait régulièrement de mettre ses talents a profit, alors pour une fois, elle le ferait pour aider un ami! Passant devant une petite étale ou s'entassait des petites douceurs a vous faire saliver rien qu'en les regardant, elle s’arrêta quelques instants pour voir ou était le marchand. Occupé avec une cliente aussi grosse qu'un sumo! parfait! Ni une ni deux, la petite passa a coté du stand et fit rapidement tomber quelques gâteaux dans sa sacoche avant de filer sans demander son reste. Mission accomplie, il ne lui restait qu'a rejoindre Kuan maintenant!

Elle savait ou été les geôles et elle s'y dirigea d'un pas rapide malgré la boule qui lui bloquait la gorge. C'est qu'on lui avait dit que la bas, on enfermait que les très très méchants! Mais Kuan était la bas et elle était bien décidée a aller le voir! Pénétrant dans la prison, elle tacha de se faire discrète, se faufilant dans le dos des gardes pour éviter de se faire jeter dehors! Pratique d'être petite parfois. Inspirant a fond pour se donner du courage, elle passa la tête et scruta une a une les cellules pour y déceler la trace de son petit compagnon de jeu. Elle le trouva accroché aux barreaux de sa cage, l'air désemparé et terrifié. Ce spectacle lui serra le cœur, elle qui avait l'habitude de le voir rieur et taquin.

Oubliant toute prudence, et surtout, n'ayant pas remarqué la présence de Yawashi quelques mètres plus loin, elle entra et traversa d'un pas rapide le couloir pour rejoindre son petit camarade, ne prêtant aucune attention au autres détenus et a leurs braillements. Arrivée devant Kuan, elle lui sourit, se voulant rassurante:

Je t'ai trouvé Kuan! T'en fais pas, ils vont pas te garder longtemps, j'en suis sure! Il ont pas le droit et de toute façon tu dois m'apprendre a pécher les moules! Je t'ai ramené quelque chose pour te consoler un peu, regarde!, Joignant le geste a la parole, elle sortit les petits gâteaux de sa sacoche et les tendit a son ami a travers les barreaux. Mais qu'est ce que tu as fais pour te retrouver ici! J’espère au moins qu'ils sont gentils avec toi, pasque sinon...!

Remarquant alors sa joue étrangement rouge, la fillette se mordit la lèvre et passa son bras a travers les barreaux pour la poser sur la zone douloureuse et rassurer un peu son camarade de jeu.

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Rakloura
J'veux sortir de là ! Z'avez pas l'droit ! J'y suis toujours sage moi !

Une voix qu'elle connaissait l'aveugle et qui eut dont de la faire grogner..

Ce n'est pas vrai.. Pas kuan .. Pas le gosse

Les rats y vont pas me manger hein ?

Citation:
C'était rare que Kuan avouait ses frayeurs, mais là, enfermé dans la presque obscurité, avec des bruits de grincements, et ses barreaux si immuables... ses 10 ans s'affirmaient pleinement. Il restait collé le plus possible aux barreaux, de peur de découvrir d'autres choses au fond de la pièce.


Et les squelettes y bougeront pas ?
J'veux sortir pour aller jouer dehors...


Akane fut presque soulagée de le voir arriver là dans sa cellule..

KUAN.. Viens là .. Ne t'inquiète pas mon kuan, les rats ils deviendront tes amis je t'apprendrai à les aprivoisés et puis on leur apprendra à mordre les vilains pas beau qui t'ont mit ici mon kuan..

Se voulant rassurante elle s'était approchée de lui, et l'avait attrappée dans ses bras, l'étouffant contre sa poitrine. Quand.. Une petite voix venant de la porte..

Je t'ai trouvé Kuan! T'en fais pas, ils vont pas te garder longtemps, j'en suis sure! Il ont pas le droit et de toute façon tu dois m'apprendre a pécher les moules! Je t'ai ramené quelque chose pour te consoler un peu, regarde!,


Citation:
Joignant le geste a la parole, elle sortit les petits gâteaux de sa sacoche et les tendit a son ami a travers les barreaux.


Mais qu'est ce que tu as fais pour te retrouver ici! J’espère au moins qu'ils sont gentils avec toi, pasque sinon...!

Akane eut un grand sourire dans la pénombre et poussant Kuan vers la porte lui souffla..

Tu vois Kuan, peut être que finalement .. Tu vas l'avoir ton vrai bisou..
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Zaitochi
Zaitochi extirpa une flèche de son fourreau, une flèche magnifique, ornée à son extrémité de plumes du cul du faucon qu’il avait terrassé quelques jours auparavant.

Le projectile s’éleva magistralement dans les airs, fendant le ciel étoilé de son sifflement strident. Au summum de sa courbe, il scintilla puis s’embrasa, déchirant l’obscurité de mille feux, avant de redescendre pour se ficher directement dans le cœur d’un milicien.
D’un pas digne du plus agile des félins, Zaitochi s’élançait déjà vers le Sô, éliminant rapidement le deuxième puis le troisième milicien d’un seul mais puissant coup de canne. La lame de son aikuchi eut ensuite facilement raison du dernier des gardes.
L’instant d’après, à l’intérieur du bâtiment, surgissant de l’ombre, il surprenait l’administratrice et l’égorgeait de cette même lame, sans l’ombre d’une hésitation.

Voilà, cela n’avait été qu’un jeu d’enfant et le lézard était à nouveau maitre du Sô.

Il passa le reste de la nuit dans la salle du trésor à jouer avec les joyaux, les bijoux, les armes et autres kobans qui constituaient sa récompense amplement méritée.

Au petit matin, il daigna se présenter devant la foule qui, à l’extérieur, depuis des heures déjà, ne cessait de scander son nom.


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


Du haut du balcon, le dos droit, le torse bombé, il leva les bras au ciel en signe de victoire pour saluer ses si nombreux admirateurs. Sa longue chevelure et sa longue barbe d’un noir ébène flottaient au vent tel une prestigieuse bannière. Les cris de la foule décuplèrent …


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


D’un geste du katana au manche et à la lame en or massif qu’il venait de s’approprier, il les fit rugir encore plus fort.


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


Baissant les yeux sur l’assemblée, il reconnut Akire, Esculo, Geminus et Axouni, au coté des Tokugawa au grand complet, le genou au sol, s’inclinant à l’unisson pour affirmer leur respect et leur admiration. Le loup était là lui aussi, mais sous forme de loup, harcelant la pauvre Berthe avec sa truffe qu’il refusait de décoller de son postérieur. Observant avec un peu plus d’attention, le héros aperçu même ce bon vieux Ryokai qui, au fond la foule, nu comme un ver, applaudissait à tue tête, ce qui offrait une vue imprenable sur les deux cerises qui s’agitaient au rythme de ses paumes entre ces cuisses …


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


Lassé de cette représentation, il retourna à l’intérieur où s’était amassé toute un groupe de jeunes femmes à demi-nues scandant elles aussi, mais de manières plus sensuelle, le nom qui aujourd’hui était sur toutes les lèvres …


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


Dans un coin de la pièce principale, il vit ce petit morveux de Kuan, entravé comme il se doit par de lourdes chaines métalliques.
C’est que, de tous ces complices racluro-reptiliens, l’horrible gamin avec sa langue de vipère était le seul capable d’effrayer le vieux singe. Ce petit démon pouvait, par une phrase anodine ou une question idiote, vous terrasser aussi efficacement que le ferait la foudre. Et oui, des remarques comme « T’es tout vieux, t’es tout vieux … » assenées à longueur de journée pouvaient miner le moral du plus valeureux des guerriers et tout ça, c’était quand il était sage et qu’il ne vous forçait pas à boire sa pisse dégueulasse ...

Bref, le brigand préféra reporter son attention sur la cohorte de demoiselle déchainées.


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


Akane était au premier rang bien sûr, comme toutes à demi-nue, admirant de ses yeux neufs la musculature de son héros, tout comme le faisaient Nakayama et YingYang qui en restaient bouche bée.


Zaitochi ! Zaitochi ! Papy Zai !


Tiens ! Nee était là elle aussi, applaudissant énergiquement en compagnie de Sakura, l’ex shomin, qui décidément s’était rétablie bien vite.


D’un mouvement de l’index, il fit signe à Akane de le suivre dans la chambre à coucher. C’est avec le plus radieux des sourires qu’elle se leva pour s’exécuter. Ils disparurent tout deux sous les acclamations encore décuplées.


Zaitochi ! Zaitochi ! Zaitochi !


Ils s’étendirent tout deux, dans le plus simple appareil, sur le douillet matelas municipal. Zaitochi, d’un geste tendre et attentionné, dégagea la mèche de cheveux rebelles qui l’empêchait de voir ses si jolis yeux. Elle posa délicatement sa douce main sur son épaule, ouvrit lentement la bouche pour lui dire … D’une voix … étrangement grave …




- Eh, l’vieux !
- Hein ? Quoi ?
- Eh, l’vieux !



Le vieux singe en pleine panique ouvrit les paupières …
--Wasabi



- Eh, l’vieux !


Wasabi lui secouait énergiquement l’épaule. L’vieux finit par se réveiller mais ne semblait pas enchanté par le spectacle qui s’offrait à lui, à seulement quelques pouces de son visage, la sale face de Wasabi avec ses petits yeux vicieux et sa bouche de rat édenté.

Devant son regard dépité, il s’inquiéta de sa santé.


- Eh, l’vieux ! Ca va ? Ya pu d’place ici … Vous avez pris toutes les bonnes piaules. M’ont foutu avec toi du coup … T’as pas l’air en grande forme …

- Arff, non … Enfin si. J’étais en plein cauchemar …



Wasabi éclata de rire en pointant du doigt la bosse suspecte sous le hakama du vieux singe …


- L’avait pas l’air si terrible ton cauchemar l’vieux !!!!


Les yeux du vieux exprimèrent comme un « Ouch » ou un « Oups » ou quelque chose comme ça, puis il se retourna un peu honteux …


- Bon l’vieux, j’te réveille pas pour vérifier ta virilité … Suis du Cloaque moi aussi, vous connais tous … Toi aussi, tu m’reconnais non ? J’veux en être ! Un lézard ! Faut m’intégrer à vot’clan …


Zaitochi ne répondit pas. Vu ce qu’il venait de lui faire, pouvait toujours rêver ce c** …
Kuan
Kuan apprécia le réconfort des bras de Akane, au moins elle allait pas le manger elle.

Les rats ça va être mes copains ?

Soudain, Yuna surgit devant la cage et le morveux se dégagea d'Akane rapidement, pour faire "homme fort qu'a jamais peur" aux yeux de la p'tite.

Yuna ! T'es viendue ! T'es une chouette copine toi !

Un large sourire venait de balayer les frayeurs du mioche en un clin d'oeil. La prison tout ça, on s'en fout, y'a une fille qui lui apporte des gâteaux et ça c'bien mieux ! Il prit les dites pâtisseries et remercia son amie.

Y sont méchants, m'ont tapés et tout ! Mais moi j'suis fort, pis j'ai pas eu mal et j'pas peur ! Et quand j'y sortirai j't'apprendrai à y pêcher les meilleurs moules !

Il prit la main de Yuna pour qu'elle arrête de frotter sa joue, et se rappelant ce que lui avait glissé Akane :

Yuna t'veux bien m'y faire un vrai bisou maintenant que j'y suis un homme fort et que j'battu les méchants qui voulaient m'tuer ?

Il en rajoutait un paquet, mais si ça pouvait l'impressionner hein. Les yeux brillant de malice il rajouta, instruit par les meilleurs dragueurs d'Oda :

J'y veux bien être ton namoureux pour l'instant si t'y veux y faire qu'à ton namoureux !
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Bunka
[Sô de Kiyosu]

Après la libération du Sô et la mise en cage des Lézards dans la prison du Château, je restai dans le Sô pour aider les ouvrier a remettre tout en place après une telle attaque. Quoi que les Lézards ont du bien tout retourner avant notre intervention avec la milice, le combat fut court, j'aurais penser qu'ils étaient plus nombreux en me rappelant le message du messager complétement affoler qui n'arriver pas a articuler.

Des vases cassé, des tables basse retourner avec des morceaux de poterie éparpiller partout dans pièce. En regardant les servants nettoyer la pièce je me demander ou était mon utilité ici, les Lézards qui n'avaient pas fuit se trouver en cage avec les rats dans le Château en attendant le verdict de leur procès. Je regardai une dernière fois autour de moi afin de voir si personne n'avais besoin d'un coup de mains, personne visiblement. J'approchai d'une demoiselle à genoux qui ramassait des morceaux d'éclats de poterie, puis je lui demandai.


Vous n'avez besoin d'aide ?

Elle me regardait avec de grand yeux, comme si je venais de lui demander si elle voulait m'épousai, elle me répondu en fessant non de la tête puis elle tourna le regard vers le sol en cherchant à nouveau. En voyant enfin que mon aide était inutile ici, je quittai le Sô pour rejoindre le centre du village.

Devant les portes du Sô je fis un signe de tête général à tout les miliciens volontaires qu'y ont répondu a l'appel pour reprendre le Sô des Lézard, un signe de remerciement surtout, les saluer ne rimerai à rien. Je rejoignis le centre du village en remarquant l'ambiance beaucoup plus calme, voir comme si il ne c'était rien passer.. mise à part le pillage du Sô et les zéro Kobans retrouver.

Je continuai ma marche vers le centre lorsque je remarquai un des membres des Lézards fraîchement attraper qui se fessait traîner jusqu'au Château, je les suivais en fessant attention au alentour si aucune troupe des reptiles leur tendaient une embuscade pour récupérer leur compagnons.


[Château, les prisons]

Toujours en suivant les miliciens qui entraient dans la prison du Château je m'arrêtai aux portes en voyant les gardes de la prison prêt a sortir leur sabre en me regardant. Sans dire leur dire un mot je regardait à l'intérieur en apercevant la Daikan un peu plus loin. Je lui fit des grands signe pour qu'elle s'approche.
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Amaterasu
L'occasion était trop belle. Des gardes entraient a présent dans le château en trainant un pauvre vieux boursoufflé par les coups. Pas besoin de beaucoup d'effort pour que les idiots mal payé montre un zèle énorme devant Ama qui d'un pas léger assortie d'un sourire aguicheur les suivit nonchalamment.

Oh comme c'est beau de vous voir faire ainsi votre honorable travail... et comme vous êtes musclés, c'est magnifique de vous regarder....

Comme ils était crétins, s'en était pitoyable. Elle les suivit descendant l'escalier qui menait aux cachots. Si vraiment ils pensaient qu'elle venait pour eux...
Continuant son manège et une fois en bas elle fût reçu par le chef des gardes qui cuvait son saké et a sa vue sourit niaisement... Après un silence pesant, des sifflements commencèrent a affluer. Son regard venait enfin de croiser la haute stature pour laquelle elle s'était réellement déplacée. Son rustre était là, les cheveux emmêlés et sales, le visage tuméfié... Elle cachât sa colère contre la terre entière et surtout contre les pourritures qui avaient osé jeter l'homme qu'elle aimait dans ce trou à rat. Elle continua à servir des longues rasades de saké aux gardes qui a présent l'entouraient la regardant l'œil vitreux et la langue pendante dans un état de plus en plus lamentable au fur et a mesure qu'elle versait le saké.

Pourtant, une seule pensée l'animait, les clefs et le faire sortir de là. Calculant le nombre de gardes, leur état et la façon dont elle devait s'y prendre.

Au moment où enfin ils commençaient à s'endormir , des pas dans l'escalier, Ama fila sur le coté l'air de rien, un nouveau bruit de bottes et voilà qu'une femme se présente suivit par deux hommes...

Prenant un air totalement innocent, Ama ne se dégonfla pas lorsque la femme s'adressa à elle. Elle répondit à la jeune Daikan d'une voix mielleuse..


Oh mais je venais rencontrer notre vénéré Daymio-Dono nouvellement nommé, mais en voyant toute ces forces vives, symboles de notre sécurité, agir, vous comprenez bien que je n'ai pu m'empêcher de venir les saluer et les encourager dans leur difficile emploi.
Elle recommença a poser un regard aguicheur et encourageant aux gardiens

Quelle bravoure...


Elle sourit à la jeune femme, et étouffa un rire lorsque l'alcoolique chef gardien fût jeté au cachot. Elle ne manqua pas de constater que le rustre avait déjà subtilisé les clefs en venant le frapper avant de se prendre lui même une raclée monumentale par les deux autres. Les coups qu'il reçut la fit terriblement souffrir à l'intérieur d'elle même mais elle ne montra rien. *Ses chiens de gardes n'avaient donc que cela comme récompense....*

Malgré tout elle garda son calme, et s'approchant des gardes déchainés dans leurs coups contre son homme affalé au sol elle s'adressa à eux.


Et bien si vous préférez la compagnie d'une raclure à la mienne... Son seul objectif étant bien entendu de les faire cesser, avant qu'il ne le tue.

Se tournant vers la jeune femme, elle rajouta, désignant du menton l'homme qui faisait des signes en haut de l'escalier


Je crois qu'on vous appel à l'entrée du château, si vous le permettez je vais rester un instant ici pour prendre des notes sur le bon fonctionnement de la sécurité en Oda. J'aimerai interroger certains de ces splendides gardiens...


Les cris et hurlements redoublèrent dans les cellules voisines. J'en profiterais pour surveiller cet enfant dis t-elle en montrant la petite Yuna de bout du doigt. Ce lieu doit l'inquiéter... Pauvre petite...

{P} : Suppression du double post
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Tokugawa_takezo


Takezo avait été nommé Daimyo. Lorsque les Lézards s'en étaient pris à Kiyosu, celui-ci était entre la vie et la mort, dans une campagne environnante de Nagoya, la ville des Tokugawa.
Depuis qu'il avait été nommé, il n'avait eu de cesse d'agir pour le bien d'Oda, gardant à l'esprit les valeurs des Tokugawa inculquées depuis son enfance par nombre de ses percepteurs, et de son père Tokugawa Takeshi.

C'est en gardant à l'esprit deux de ses valeurs qu'il décida de se rendre dans les geôles;
la Justice
l'Equité.

Il devait aller voir Axouni concernant son affaire. Et tant qu'à faire, voir comment ça se passer avec les Lézards capturés. Rencontrer les râclures lui-même.

Lorsque Takezo s'approcha des gardes à l'entrée, accompagné de Tatsuki, ces idiots lachèrent leur lance et se prosternèrent au sol devant le Daimyo.
Le jeune Daimyo lança un regard consterné en direction de sa jeune servante Tatsuki pour lui faire comprendre que ces gardes étaient des idiots.
Des idiots disciplinés.
Mais discipline sans compétence n'est que ruine de l'institution.

Alors que les écrits de Confucius fusaient dans l'esprit de Takezo, celui-ci parcourait les couloirs dans son kimono sombre, les mains calés entre son ventre blessé et les manches de son katana et de son wakizachi.

Ils entendirent rapidement du vacarme et des voix au fond du couloir.
Arrivés sur place, il comprit très vite ce qu'il se passait.

Un des lézards se trouvant dans une cellule était en train de se faire battre par plusieurs gardes. Takezo n'avait pas encore reconnu l'ensemble des personnes présentes, mais il ne supportait pas ce qu'il était en train de se passer.
D'une voix forte et autoritaire, il ordonna:

"Yamero!* Laissez cet homme en paix. Il est en prison, il a déjà ce qu'il mérite!"

Les hommes s'arrêtèrent immédiatement tandis qu'ils reconnaissaient leur nouveau Daimyo. Certains avaient pour lui un respect indéniable tandis que d'autres le détestaient. Cependant aucun d'entre eux ne pouvait désobéir.
Takezo jeta un oeil aux autres cellules et vit une jeune femme et un gamin en prison. Cette vision le choqua, mais il garda un air impassible.
Se retournant vers les gardes il leur dit:

"Sortez! Et allez cherchez de la nourriture pour les prisonniers!"

Les gardes ne se firent pas prier. Ils sortirent laissant Akire bien ammochés et refermèrent les barreaux à clé derrière eux avant de disparaitre dans les couloirs.

Retournant son regard vers le gamin, il vit une jeune fille en liberté qui lui tenait la main.

"Qui es-tu jeune fille?"

Tandis que Takezo s'approchait de Yuna, il n'avait qu'à peine remarqué la présence d'Amaterasu et celle de Yawasshi.
Les enfants, c'était le plus important.



Non loin de là, une femme était en train de se faire torturer alors que le Seigneur n'en savait toujours rien. Que le bourreau prie les Kami pour qu'il n'en apprenne rien.




*Arrêtez!
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Neelahne
Trimballée comme un bout de viande dans la gueule d’un chien .Sans ménagement ,elle fut amenée dans la cellule voisine ,trainée à même le sol son dos la brûlait ;écorchée ,éraflée .
Elle ramassait tout sur son passage .Prés de son visage elle sentait l’air que dégageaient les pas du garde ,lourds, pesant. La poussière qui se soulevait venait se déposer sur sa peau transpirante,s’engouffrant par son nez, finissant de donner ce goût pâteux à sa bouche.

Elle ne se rendit pas compte de la présence de certain...dans le corridor,ici ou pas rien ne changerait son sort.Elle perçut juste des voix....elle ne savait plus,peut être les connaissait elle....

L’obscurité de la cellule précédente avait eue raison d’elle ,durant les quelques minutes de ce transfert elle garda les yeux clos, la clarté du couloir filtrait a travers la peau de ses paupiéres ,lui brûlant les prunelle.Elle sentit ses yeux s’innondaient de larmes…..

Ils s’arrèterent ,lui procurant un court instant de répis,le temps de se demander ce qui allait lui arriver .L’inconnu la guettait ,la projetant dans cette peur si rarement ressentie…..
Encore des tours de clefs ,des chaînes qui glissent provoquant un boucan qui résonnait ,faisant presque trembles les murs….

La promenade continua ,et derrière elle la lourde porte s’abbatît. Engouffrée dans cette piéce elle savait que son calvaire avait déjà commencé.
Elle le sentait prés d’elle ,son souffle l’atteignait presque ,elle entrouvrit enfin les yeux ,il faisait noir ,chaud.
Les relents étaient pire qu’à côté .Son nez piquait ,lui remontant l’estomac, elle aurait voulu vomir, vider ses tripes sur lui…

Balancée comme un sac ,elle sentit des échardes s’enfonçaient dans sa peau ,des points de sang éparses apparaîssaient….La surface plane était dure ,pleine d’aspérités qui épousaient les formes de son dos,lui donnant un mal de chien.

Aspergée de liquide semi visqueux elle sentit ce dégout monter,il s’infiltrait par ses narrines ,et malgré ses lèvres scellées,elle le sentait forcer le passage .Elle détournait la tete,essayant de s’en débarrassait,se doutant de ce qu’il y avait dedans .Ses cheveux en étaient innondés. Un jour elle le retrouverait et le lui ferait boire…….

Le coup porté ne la fit pas broncher…..il ne savait faire que ça ?.....qu’il ne se gêne pas..profites en…..

Soulevant lentement ses paupières ,elle ne voyait pas grand-chose, mais ne voulait pas les ouvrir d’avantage…du coin de l’œil elle le voyait ,il semblait de dos, occupé à mettre en place sûrement ses accessoires. Il voulait jouer……..elle déglutit……..
Dans un mouvement lent il se retourn a,elle le voyait au dessus d’elle,la déshabillant des yeux encore plus qu’elle ne l’était.La violant presque du regard.Il jouait le temps décomptait il les secondes ?....profitant de sa position de supèriorité,la faible lueur de la piéce lui donnait cet air menaçant,dangereux.Il avait cet éclat dans l’œil,celui des fous……

Dans un geste sur il lui bloqua la machoire,elle aurait voulu le mordre,enfonçant ses dents dans sa chair,mais rien…..pourtant elle n’était pas résigné….Ses doigts fourrés dans sa bouche farfouillaient,cherchant à agriper sa molaire a l’aide de pince.A ce moment là elle pria……..en vain.Une puis deux dents....….il était expert et il ne manquant pas de lui faire sentir….

Un bruit sec, un cri sorti de son corps, elle hurlait,tout son corps se contracta sous cette douleur insoutenable, elle puisa en elle ,pour essayer de se débattre ,tirant sur les liens qui la retenaient prisonnières, se blessant d’avantage, arrachant des morceaux de peau,elle serra ses poings et enfonçait ses ongles dans sa propre peau.
Sa tête résonnait,elle sentait ce liquide couler a l intérieur de sa bouche ,lentement s’écoulait dans sa gorge,elle pouvait sentir chaque centimètre parcouru par son sang…sa bouche la brulait….

Elle tourna la tête et le vit.Il la regardait ,admirant son œuvre ,plissant les yeux sous cette vision presque jouissive.Il se régalait,il aimait ce qu’il voyait ,la contemplant avec délice,son regard trahissait de cette excitation qu’il ressentait…….A cet instant elle ne maîtrisait plus rien…

Elle sentait ses yeux liberaient des riviéres de larmes,perles salées roulant sur ses joues allant s’échouer sur la table .La bouche ouverte des filets de bave s’en échappaient mélés de sang ,s’aidant de sa langue elle évacua ce qui stagnait dans sa bouche.Laissant des trainées noires,mélées à la crasse .Bientot larmes et salive se réunirent pour ne faire qu’un flaque….

Le souffle court,la douleur c’était répandu dans son crane,lancinante,s’insinuant dans tous son corps,lui tordant les viscères.
Elle palit et des cernes noirâtres vîrent le jour sous ses yeux,sueurs mélées de larmes,ses yeux rougis gonflaient sous ces tensions.Ses oreilles bourdonnaient.

Son cœur battait à tout rompre……

Pa dam,pa dam, pa dam,pa dam,pa dam, pa dam…….


tout semblait si long………

l’éclat de ses yeux disparut,laissant place à ce regard vide d’expression,elle subissait…
Malgré tout elle le fixait,ne baissait pas les yeux,elle ne le fera jamais,elle n’arrivait pas à esquisser un mouvement de ses lèvres,elle ne sentait plus son visage.Son esprit était emprisonné dans ce corps,dont elle n’avait plus le contrôle.

Il pensait peut la briser,il voulait la saccager.Jamais il ne pourra,il aura son corps,lui infligera mille supplices,mais jamais n’aura son âme.
Dans un ultime effort,elle articula difficilement en sa direction juste un murmure a peine audible…...
Crève…..fils de chien….

La douleur l’emporta,terrassant sa volonté de rester éveillée,une brume vint voiler ses perles ébènes,son cœur ralentissait reprenant un rythme presque serein.

Les coups pleuvaient,rendant sa peau brûlante,elle ne sentait plus rien,son visage gonflait.....elle continuait de cracher au fur et à mesure qu'il balancait sa tête sous l impulsion des gifles...

Les traits tirés,une brume voila ses yeux,elle était à bout de force,elle ferma les yeux et sombra dans les abysses……parfois secouée de soubressauts…il lui semblait l 'entendre parler,qu'il déblatère autant qu'il veut,même dans la mort nous resteront les même,un Lézard peut courber,mais jamais ne se rendra....

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Yuna.
Comme toujours, Kuan faisait le malin, même dans cette situation plus qu'inconfortable. Et toutes les occasions étaient bonnes pour réclamer des bisous! Décidément, les garçons ça pense qu'a ça! Mais d'un autre coté, c'est qu'il devait avoir peur, enfermé dans cette endroit qui puait et ou les gens le frappaient. Si un bisou pouvait le consoler... Baissant la voix, elle s'approcha un peu plus de barreaux et lui souffla:

Bon, d'accord je te fais un vrai bisou pour te consoler. Mais un seul, hein! Et t'as pas besoin d'être mon namoureux, je le fais pour te faire plaisir.

Approchant encore son visage du sien, aux travers des barreaux, Yuna finit par arrêter son geste a quelques centimètres des lèvres de son jeune compagnon. On parlait d'elle?
Se retournant, elle vit une femme la designer du doigt et qui semblait vouloir veiller sur elle. Quelle drôle d'idée, elle avait besoin de personne pour se surveiller et elle avait pas peur du tout! La fillette se retourna pour voir a qui pouvait bien s'adresser cette dame, et pour leur faire remarquer a toutes les deux qu'elle n'avait absolument pas besoin d'elles. Mais en découvrant la seconde interlocutrice, ses yeux s’agrandirent de surprise et elle laissa échapper un " oh oh". Yawasshi se tenait a quelques mètres d'elle, et elle ne l'avait même pas remarqué en entrant. Paniquée a l'idée de se faire disputer par sa récente protectrice, elle glissa sa main a travers les barreaux et attrapa celle de Kuan.

Tétanisée, cherchant un moyen de se tirer de ce mauvais pas, elle n’entendit même pas l'arrivée du daimyo et ne se retourna vers lui que quand ce dernier s'adressa a elle. Immédiatement, elle reconnu le kâmon qu'il arborait, le même que celui de Yawa. Un Tokugawa. Sans lâcher la main de Kuan, la serrant même un peu plus fort, la petite s'inclina aussi respectueusement que possible pendant un moment avant de relever la tête de répondre d'une petite voix:

Je m'appelle Yuna. Je suis venue voir mon ami Kuan.

Il lui fallu faire un gros effort pour ne pas reculer quand Takezo s'approcha d'elle. A cet instant, elle aurait voulu disparaitre dans un trou de souris, affolée a l'idée qu'on la jette dans une cellule elle aussi.

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Bunka
[Devant la prison]

En fessant des signes en vain à la Daikan pour qu'elle se rapproche, je jetai un œil vers le garde qui me regarder d'un regard assez froid. Je laissai tomber mes grands signe en essayant de me rapprocher pour voir ça réaction, après tout faudrait être bête pour me prendre pour un Lézard, comme si je venais rejoindre mes compagnons pour les accompagnée fièrement dans une cage pleine de rat pollué par la sueur et la saleté. Le garde me regardait approcher en tenant son sabre pour le sortir, je le regardai d'un mauvaise œil lassé par son imbécillité.

En l'ignorant j'allais vers les portes de la prison tout en gardant un œil sur lui, plus je me rapprochai et plus ça son visage grimacer. D'un geste rapide le garde prit son sabre en mains en le pointant vers moi, surpris je m'arrêtai en reculant d'un pas en prenant mon Katana en mains aussi. Je le regardai d'un air vraiment fatigué.


….

Il ne bougeait pas, comme si il attendait que j'avance encore pour m'attaquai. Je le regardais en lui disant.

Voilà que maintenant je vais devoir battre contre un garde parce qu'il est tellement stupide au point de ne pas pouvoir faire la différence entre un Lézard capturer et un volontaire pour aider …

Je le regardai toujours avec le regard un peu énervé, encore un pour gâcher ma journée..
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--Le_garde
L'individu regardai le Garde puis il sortit son sabre devant lui.
Avec nervosité il lui dit.


T'es qui toi ?

Il le regardait comme pour le dévisager.
Jamais il avait croiser cette homme avant et voilà que maintenant il se montrait menaçant.
Le Garde avançai vers lui prêt à attaquer.


Personne ne rentre a part ceux qu'ils sont autorisé !
Maintenant du balai ou je te charge !!!
--Samourai
Deux dents et quelques coups ... la voila déjà endormie .... couverte de crasse et de bave gluantes et rougeâtre, nue ...

Le sadique se demander ce qu'il se passerai si elle était jetée ainsi aux milieux de tout ces prisonniers

Il aller le savoir très vite, mais avant !

Il saisie le fer blanc avec la marque d'Oda ainsi que la notion de ;Reidāzu hanzai: (Criminel et Pillard)

Il lui saisie la jambe, tirant dessus avant de la plaquer sur la table, fermement maintenu, il caresse l'intérieur de la cuisse avant d'y faire lentement arriver le marqueur

Le métal luminescents et chaud vint s'écraser avec une précision et une rapidités qui n'ont d'égal que la douleurs infliger : la peau fut d'abords brulée avant de se craqueler, et enfin le fer transperce littéralement, la chair devient carboniser, des cloques apparurent autour de la plaie, l'estampillage quant a lui : était parfait, une marque distinct du blason, et des kanjis plus ou moins lisible,

Une odeur de brulée emplis la pièce, sans aérations et couverte de sang et autres fluides corporel, l'endroit était devenu encore plus insalubre qu'il ne l'était déjà,


Bien bien bien .... désormais tu retourne faire connaissance avec les mâles d'à cotée, Ils vont être ravie, au plus grands dégouts des gardes et pendant ce temps je vais m'occuper de la grande gueule, le chef présumée de la petite partie qui 'réside' ici


Il la détacha, la porta sur le dos, puis demanda au garde de la jetée a terre au milieu de la cellule et de lui apporter 'le Rustre' enchainée et un tissu dans la bouche pour le muselé

Il retourna dans la petite pièces re-préparer le fer, et chercher d'avantage d'instrument, notamment des chaines, des fouets, des crocs de boucher et scies de bucherons ...


Mhhh je me demande si il ne faudrait pas d'abords s'occuper du gamin ....
Akire
... C'était fini.

Un ordre, et les deux gredins s'écartèrent pour laisser respirer le brigand. Il était recroquevillé entre sa paillasse et le mur, sa peau plaquée contre la pierre glacée. Lorsque l'un des captifs se permit une remarque en le voyant, il lui lança un regard noir, furieux. L'autre se tut, sachant qu'il n'y aurait pas toujours de barreaux pour les séparer d'une éventuelle conversation musclée. Même le geôlier, qui commençait à reprendre connaissance, retint un sourire en voyant la face du rustaud. Les coquards et les bleus lui donnaient une gueule de panda.

"
On risque de s'revoir, les gars ! Vos têtes de rats, foi de Lézard, j'les oublierai pas ! "

Sous sa mine courroucée, le Rustre dissimulait parfaitement sa joie. Les idiots, en balançant l'un des leurs dans la cellule, avaient oublié de lui retirer la clé qui pendouillait à son obi. De sa main encore intacte, il tenait l'objet bien contre lui, attendant patiemment la meilleure occasion pour s'en servir. Un instant, il décida de le fourrer sous son hakama crasseux. Plus sûr. Là-bas, Amaterasu faisait mine d'être venue pour bien d'autres choses... Il adressa un mince sourire à sa Belle - qu'elle ne vit peut-être pas d'ailleurs - avant de se racler la gorge, et cracha un sublime caillot de sang sur le sol. La déjection s'écrasa à quelques centimètres de son compagnon de "chambrée", qui n'osa protester de peur d'être à nouveau roué de coups. Le misérable se pissait dessus, priant silencieusement pour qu'on le sorte de là...

"
Je m'appelle Yuna. Je suis venue voir mon ami Kuan.
- Parole, petite gueuse, t'as la même bouille que... "

Le malfrat se tut. Après tout, les mioches ressemblaient à bien des choses, à commencer par de frêles chimpanzés. Mais celle-là lui rappelait bien quelques amis des temps passés. Peu importe. L'heure n'était pas aux souvenirs, mais à la boustifaille. Sur ordre du grand manitou en personne, on leur apporta deux coupelles. Avant même que le geôlier eut esquissé un geste, le Rustre lui marchait sur le dos et s'emparait de sa ration, emportant son repas dans un coin pour l'avaler avec avidité...

"
Hé ! Z'ont oublié la flotte, tes mignons ! " Hurla-t-il à l'adresse de Takezo.
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Axouni
Putain!

Axouni marqua d'une huitième barre le mur de sa cellule en faisant crisser la pierre qu'il lui servait de marqueur.

hiiiiiiiiiiiihiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Putain!


Il se gratta la tete. Il ne voyait pas grand chose, mais il savait qu'une part de ses collègues étaient présents. Il n'était assez pret pour comprendre tout ce qu'il se passait.

Il poussa un soupire.

Il tournait en rond... Apparement, les visiteurs s'enchainaient dans la prison....


Bordel!


Et le pire de tout, c'est que depuis qu'il s'était fait abattre ses attributs masculins, le Juge n'était pas réapparu.

Saloperie!


Et ses pieds, il aurait bien besoin d'une bonne dizaine de donzelle à lui masser ses petons!

Encore une journée...


Résidu de viscères!

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