Yarwelh
Yarwelh était rentrée dans la cathédrale avec tout le monde. Car oui,il y en avait du monde. La jeune mère choisit deux places non loin de la lourde porte, sur l'allée.
Non pas qu'elle n'osait s'approcher, mais elle c'était bien rendue compte cette fois ci, qu'un nouveau né risquait de perturber le mariage. Ce qu'elle ne voulait point faire. Alors elle organisait une potentielle retraite stratégique.
Elle s'assit donc, Enguerrand dans ses bras, la nourrice à coté.
Son ange dormait. Il était si adorable ainsi. Sans le savoir, il donnait un sens à la vie de sa mère.
Le mouvement de foule fit comprendre à tout le monde que Bambou allait faire son apparition. Elle était splendide. Et rien qu'à son attitude, on devinait le sourire sous son voile. Quoi de plus normal?
Le mariage allait pouvoir commencer.
En bon acte aristolicien, celui ci commença pas le crédo. Yarwelh le récita avec tout le monde.
Là où cela se gata pour la connétable, ce fut lorsque les discours divers commencèrent.
Les paroles étaient magnifiques. Et un poison pour la femme qui attendait un retour incertain de l'estre aimé qu'elle était. Chaque mot, aussi vrai, aussi beau soit-il passait dans le coeur de Yarwelh et l'étraignait.
Pour éviter de se laisser aller, et se réconforter un peu, elle baissa ses yeux vers sa merveille emmaillotée. Elle s'aperçut alors qu'il s'était réveillé. Il regardait sa mère. Elle lui sourit tendrement en retour. Il commençait à s'agiter, aussi le tendit-elle avec regret à la nourrice qui s'éclipsa discrètement pour ne pas troubler la cérémonie.
Yarwelh put donc continuer d'écouter la cérémonie, mesme si elle n'était guère aussi joyeuse que la plupart des invités.
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Non pas qu'elle n'osait s'approcher, mais elle c'était bien rendue compte cette fois ci, qu'un nouveau né risquait de perturber le mariage. Ce qu'elle ne voulait point faire. Alors elle organisait une potentielle retraite stratégique.
Elle s'assit donc, Enguerrand dans ses bras, la nourrice à coté.
Son ange dormait. Il était si adorable ainsi. Sans le savoir, il donnait un sens à la vie de sa mère.
Le mouvement de foule fit comprendre à tout le monde que Bambou allait faire son apparition. Elle était splendide. Et rien qu'à son attitude, on devinait le sourire sous son voile. Quoi de plus normal?
Le mariage allait pouvoir commencer.
En bon acte aristolicien, celui ci commença pas le crédo. Yarwelh le récita avec tout le monde.
Là où cela se gata pour la connétable, ce fut lorsque les discours divers commencèrent.
Les paroles étaient magnifiques. Et un poison pour la femme qui attendait un retour incertain de l'estre aimé qu'elle était. Chaque mot, aussi vrai, aussi beau soit-il passait dans le coeur de Yarwelh et l'étraignait.
Pour éviter de se laisser aller, et se réconforter un peu, elle baissa ses yeux vers sa merveille emmaillotée. Elle s'aperçut alors qu'il s'était réveillé. Il regardait sa mère. Elle lui sourit tendrement en retour. Il commençait à s'agiter, aussi le tendit-elle avec regret à la nourrice qui s'éclipsa discrètement pour ne pas troubler la cérémonie.
Yarwelh put donc continuer d'écouter la cérémonie, mesme si elle n'était guère aussi joyeuse que la plupart des invités.
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