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Campement Bourguignon

Eusaias


De haute et forte stature, l’écorcheur Bourguignon s’avançait, lourdement armée, au centre d’un vaste terrain sur les terres de St Omer. Le garde du baron de Digoine était parti plus tôt afin de trouver bon terrain pour accueillir la délégation Bourguignonne. A coup de grognements il fit dresser le campement, se tenant quant à lui bien à l’ombre. Les tentes furent dressées et les bannières solidement ancrées.










C’est seulement lorsqu’il vit les premiers nobles Bourguignons qu’il, d’une voix proche du croassement, lança un tonitruant :

Oyez Oyez !

Qu’il soit su de tous, qu’en ce jour ce vaste terrain se verra investit des plus grands, des plus beaux, des plus forts et j’en passe… Des plus Bourguignons de tout le royaume de France. Bannière hautes seront dressées en ce lieu et invitons les adorateurs de madère, champagne et autre vins d’Espagne à s’incliner devant ce lieu investi.

Que tous jouteurs sachent, que nous comptons les plus hardis bretteurs et jouteurs, les plus jolies dames quoique ce second point peut-être discutable.

En attendant nous remercions, nos hôtes pour leur aimable invitation et tâcherons de leur faire honneur en nous couvrant de succès.

Pour Dieu, la Couronne, la Bourgogne, qu’il en soit ainsi.


Pas très protocolaire me direz vous ? Certes, mais il ne fallait pas envoyer un Morvandiau pour cela.

Fichtre ! Hector tu as dû travailler des heures pour nous sortir si belle et si grande déclaration !

Lança ironiquement le nouvel arrivant arborant un nez aquilin et des yeux d’oiseaux de proie. Lui c’était le Baron de Digoine et seigneur de Saint Robert. Fort en gueule, prompt à s’emporter et à tirer l’épée, Eusaias n’était pas l’un de ses bellâtres prenant soin de leur atours et encore moins quelqu’un avenant. Il mit pied à terre et donna solide tape sur l’épaule du mercenaire.

En tout cas tu as bien travaillé, sauf que ma tente n’est pas assez proche de celle de la Baronne de Cruzy-le-Chatel et bien trop de celle de sa Grace Asdrubaelvect.

Il porta son regard sur la dite tente, qui était pourtant du côté opposé à celle de Digoine, alors que celle de la baronne, n’était qu’à quelques pas.

Désolé, mais pour ça je te retiens une journée de solde, la prochaine fois tu ferras mieux.

C’est un écorcheur surpris à l’œil allumé qui regarda le baron s’éloigner.
Wolfar
La petite troupe avait voyagé ensemble et cela semblait étrange à Wolfar, qui d'habitude croisait rarement des bourguignons en joute. Le plus souvent il cotoyait la Baronne de Cruzy le Chastel. C'était même à croire si celle ci ne tenait pas à devenir une vraie jouteuse...
Toutes ces oriflammes bourguigons, ca avait quand même de la gueule.
Le Baron s'installa donc dans une des tentes et lorsque ces affaires furent prêtes, i lalla à la rencontre des autres comptariotes. Le premier qu'il apperçut fut le Baron de Digoine, trop peu présent en joute aussi.


Hé bien Digoine, voilà un bien beau campement que tes hommes ont montés là. J'espère qu'ils ont également pensé à la tambouille. Je m'e nvoudrait de faire chuter quelques adversaires le ventre vide.

_________________
AsdrubaelVect
Quelle drôle d'idée ! Il reprenait les joutes depuis un mois après une longue pause d'au moins un an et demi et il se retrouvait dans le même campement que l'affreux ex-Duc de Bourgogne. Quelle tare ! Quelle horreur ! Toutefois, malgré ce camouflet aux bonnes mœurs, il fut ravi d'apprendre que cela lui permettra de descendre encore davantage ledit Baron de Digoine dès que celui-ci chutera et mordra la poussière de la lice. Quelle belle récompense en perspective se disait-il.

Comme le Duc ne laissait jamais rien au hasard lorsqu'il se déplaçait, sa tente fut ornée de tous les étendards des fiefs et de sa famille. La Louveterie, Amboise, Luynes, Avallon, Montbazon, Sombernon et Vouvray. Sept comme les sept vertus ou encore les sept doigts de la main [private joke].

Après avoir fait le tour du campement, il s'approcha du petit groupe qui commençait à se former :


Bonjour Wolfar, quel plaisir de te revoir lors de joutes, mis à part celle en l'honneur du mariage de Juliette, cela faisait bien longtemps que nous n'avions point jouté ensemble.

Bonjour l'affreux, alors tu viens expérimenter la si noble joute ? Prévois donc une armure rembourrée au fondement, tu risques d'en avoir bien besoin ! Hahaha

Acheva t-il dans un rire gras. Et puis l'affreux, c'était super sexy comme nom, n'est-ce pas ?
Eusaias
Cudot allons ! Je suis connu dans tout le royaume de France pour être un ventre alors pour sûr que j’ai fait préparer, gigots pain et fromage. Mais va falloir que je fasse sortir mon écritoire afin de faire ouvrir les portes à notre Baronne. Non pas qu’elle me manque déjà, mais elle va finir par mettre en déroute les soldats de notre hôte avec ses piaillements. Apres le souci réglé, je propose d’ouvrir un de ces petits tonnelets que le Beau Cardinal m’a confié.

Voyant arriver Asdrubaelvect il se fit violence pour retenir un chapelet de jurons.

Oh je me fais moins de soucis pour le rembourrage de mon armure que pour l’ouverture de votre tente. J’ai peur que les consignes concernant le campement n’aient pas toutes été respectées et que l’ouverture de la votre se trouve face à l’inclinaison du terrain. Prions le Très Haut qu’il ne pleuve pas trop, je serai fort marri de vous savoir les pieds dans l’eau. Bon je vais user de diplomatie afin de faire passer notre baronne.

C’est un baron décidé et ricanant qui s'écarta de ses "voisins" afin de faire courrier en sa tente. Il ne le faisait non pas spécialement pour le doux minois de la baronne, mais pour vite passer à la prochaine étape : Le tonnelet !


Citation:
A notre hôte,
Bonjour !

Oui je commence à créer des ennuis, j'aime ça ! Non je ne serai pas sage ! Mais je n'écris pas pour ça, mais la baronne de cruzy le chatel n'a visiblement pas accès aux tentes et c'est auprès de moi qu'elle ronfle la marâtre !

Vos gardes ne la voyant pas inscrite sur la liste refusent de la laisser passer. De plus nous lui avions bien dit de ne pas mettre ce genre de chausses, mais la baronne n'en fait qu'à sa tête. Nous autres en règle et avec de bonnes têtes, surtout la mienne vous verrez, je suis beau, sommes passés, mais depuis elle ne cesse de me faire appeler par le premier pécore qui passe de plus ! Bon, c'est peut être vos pécores, mais je les évite ces bas gens en ganérale. Pour en revenir à notre baronne, je dirais : "bien fait" pour elle, mais ça va encore me retomber dessus alors de grâce, votre grâce laissez la passer.

Son nom ? Angélyque. Mais elle n'a rien d'un ange ! Prenez garde à ses grands yeux et ses sourires mielleux ! Cette baronne est une coureuse d'homme, il semblerait, doublée d'une bécasse, ceci est avéré !

Enfin bon, si vous pouviez lui indiquer notre campement ça serait parfait, elle arrêterait ainsi de venir me faire appeler et de faire fuir vos hommes à coups de ses jacasseries incessantes... Quoique, je doute qu'elle ne trouve pas autre chose pour faire siffler les oreilles de Cudot, de la grâce et de moi-même.

Respectueusement.

Rédigez dans sur vos terres le 1 juillet 1458. (le mois commence bien !)
L.J.D Eusaias Baron de Digoine et seigneur de Saint Robert.









PS : Si vous ne comprenez pas le diminutif « L.J.D » je vous livre le secret : Le Jénial et Délicieux Eusaias


Il donna le courrier scellé à Hector.

Porte ceci prestement et ensuite occupe-toi de faire préparer le vin, j’ai grand soif et Cudot me semblait avoir les lèvres sèches.
Della
Trop de bousculades à l'entrée, dans la cour, toussa...Trop de monde, trop de blabla pour se présenter...Pas envie de palabrer et de faire la queue devant le guichet d'entrée...
Déjà que le mariage ne lui plaisait pas de trop, que les deux parties n'étaient même pas encore tombées d'accord sur les modalités du contrat, que les Apéros, c'était définitif, elle ne les aimait qu'avec un bon vin de chez elle, qu'elle allait de déconfiture en désillusion, alors si en plus, il fallait faire patte blanche pour entrer : non !

Elle était arrivée seule et à cheval, vêtue comme la dernière des paysannes avec des braies et une vieille chemise trop large qui avait l'avantage de ne pas serrer sa blessure tout en cachant merveilleusement le bandage encore nécessaire autour de son ventre ainsi que sa désormais perpétuelle compagne, une dague effilée.
Epée en ceinture et hautes bottes, chapeau plutôt que coiffe, Railly avait abandonné l'élégance au profit de sa sécurité...Au moins, les Angevins lui auraient appris cette leçon.

Elle s'était glissée dans un groupe portant un ravitaillement et personne ne l'avait interpelée...génial !
Le sac qui pendait à sa selle pouvait très bien contenir de la nourriture et pas une robe faite de soie et de dentelle qui n'aurait pas très bel effet à la noce vu la façon dont elle avait été boulée pour le voyage.
Bah, elle la ferait pendre une nuit dehors...la rosée ferait effet, du moins l'espérait-elle.

Della savait que des Bourguignons viendraient jouter, elle l'avait appris par un des organisateurs.
C'est donc vers le camp bourguignon qu'elle cherchait à se diriger.

L'étendard familier fut repéré !
Hourra !!!

D'un pas décidé, la Volvant entraîna son cheval vers les tentes amies - sisi, amies.
Les oriflammes qui volaient présageaient de fabuleux moments.
C'est qu'en Bourgogne, tous les Nobles se tapent sur l'épaule, mais parfois, d'une façon un peu plus costaude qu'il ne faudrait.

La barrière du campement fut franchie, accompagnée d'un :

Bonjour la Noblesse !
Lancé à tous.

_________________

Z'êtes pas sauvés, mais Della SI !
angelyque
La Baronne arriva enfin devant les tentes bourguignonnes, dire qu'elle était de mauvaise humeur était loin d'être un euphémisme

Déjà, quand elle vit les étendards dressés elle eut un mouvement d'humeur, le sien était mis en tout dernier, et était bien plus petit que les autres, à croire qu'il avait été découpé pour pas qu'on le voit, et mis en dernier pour être plus facilement rangé si de mésaventure elle ne passait pas les éliminatoires...comme à son habitude...

Derechef , avant d'aller saluer ses compatriotes, elle commença à planter son étendard devant sa tente, parce qu'elle le valait bien, elle aussi....



La seule chose qui lui remonta un peu le moral etait de voir que sa tente était apparemment toute proche de celle du Vicomte de Sombernon.


Après avoir inspecté les lieux et après avoir fait un peu de place pour ses malles qui n'alalient pas tarder à arriver, elle se rafraichit un peu, se recoiffa, et après un dernier coup d'oeil dans son miroir, satisfaite et un grand sourire aux lèvres elle se dirigea vers la tente principale, d'où elle entendait un brouhaha pas possible.

Elle entra, un grand sourire aux lèvres et lança à la cantonnade


Bonjour!!! je suis là, la seule, l'unique! celle qui est capable d'inverser le résultat final d'une équipe...j'ai eu un mal fou à convaincre les gardes que j'étais une jouteuse émérite, ils ne cessaient tous de ricaner bêtement, Baron Eusaias, je suis certaine que c'est de votre faute!!Dame Della, comme je suis heureuse de vous voir!! vous m'êtes devenue très sympathique depuis quelques temps, Baron Wolfar, j'espère que vous ne me porterez pas malheur comme d'habitude....Vicomte Asdrubaelvect...rassurez-moi...vous ne ronflez pas la nuit j'espère? il me semble que nos tentes sont à côté...

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Maximien
Max, accompagner de la comtesse arriva devant la grande tente bourguignonne, il aurait voulu s'installer a coté, enfin c'est que ça maman avait pas du le voir, m'enfin tempi, il demanderai a Izidor de déplacer ça tente, de toute façon, tous son matériel était avec sa maman.
M'enfin, il avait déjà fait quelque pas depuis sa tente, il allait quand même parler pour faire plus ample connaissance, m'enfin il ne savait pas non plus par quoi commencer... car bon, toute la haute noblesse qu'il avait déjà rencontrer était des amis de maman, qui l'avait connu tous petit donc il ne savait pas trop quoi demander... et puis bé... il se lança


Dites moi comtesse, c'est peu être indiscret, si c'est le cas je m'en excuse, vous occupez des fonctions, si je ne suis pas trop ignorant non plus

Max laissa échapper un petit sourire

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Deedlitt
La Comtesse sourit, que faire d'autre la Bourgogne était loin c'était bien normal de se renseigner qui plus est.

Oui quelques unes en effet.

Une révérence digne des actrices des théâtres de Paris.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Comtesse de Lille et de Sainct-Omer, Vicomtesse de Brunelles, Baronne d'Aire-sur-la Lys et Arques, Dame de Dammarie-les-Lys, actuellement procureur à la Cour d'Appel, participante au Conseil du Domaine Royal, entant que précédente Duchesse d'Alençon, et accessoirement, arbitre de ce tournoi en ma qualité d'arbitre de la ligue de joutes.

Puis un petit rire dissimuler.

Et je vous ferai grâce de mes précédentes fonctions et vous messire êtes vous conseiller bourguignon en déplacement? Capitaine d'armée? Economiste de renom?Bourgmestre émérite?

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Cuche
de Fronsac dormait tranquillement dans les bras de sa douce lorsqu'ils furent tout deux réveillés par des coups sur la porte de la chaumière. Une chemise et ses braies une fois enfilées il s'avança voir qui osait le venir le réveiller à une heure si matinale un vendredi midi.
A l'entrée il reconnu cet abruti de serviteur espagnol de Riccardo qui servait d'homme à tôt faire à la Baronne de Cruzy. Le joinvillois afficha une mine représentant bien la mauvaise humeur que lui procurait cette visite, le latino lui rendit un grand sourire, surement trop heureux de pouvoir l'embêter.

Un long soupir et il du bien lui adresser la parole.


Qu'est ce que tu fais là toi ? T'as pas de la vaisselle à faire ailleurs ?

Riccardo ne sembla pas comprendre et lui tendit un message avant de lui tourner le dos et s'en aller vers ... un cheval ? Depuis quand ce bougre avait-il un cheval ?

Attends.. ! Bah ...

Cuche déroula le parchemin et lu la missive que lui adressait sa marraine... En gros elle voulait qu'il joue l'écuyer pour des joutes... ça lui ferait terriblement plaisir... Elle laisse un cheval pour le voyage... Faut passer à Cruzy chercher une liste de matériel..blablabla.

Des joutes ? Jouer l'écuyer ? des journées de voyage ?
Elle allait le regretter de l'avoir laissé en plan et de le rappeler si tard ! Il allait s'amuser le joinvillois s'il devait jouer l'écuyer... non mais !





Après plusieurs journées de voyage dont un beau détour par la baronnerie pour embarquer deux énormes malles qu'il soupçonnait être des tenues diverses, il arriva finalement dans le bourg indiqué. Après s'être fait indiqué la direction du chateau il mit pied à terre et fit les derniers mètres en direction des gardes à pied.
De bonne humeur, il décida de jouer son rôle immédiatement... Sans trop pousser histoire qu'on le laisse quand même rentrer !


Salut à vous !
J'suis l'écuyer de la gr...Baronne de Cruzy le Chastel. Vous savez, celle qui a une énorme paire de lo.. Mouais, z'avez pas du la manquer quand elle est arrivée j'en suis certain !
Bon les gars, je me trimbale les tenues de l'aut' depuis lle fin fond de la Bourgogne et on peut pas dire que le voyage ait été des plus passionnant ! Alors j'espère que vous pouvez me dire où se trouve ma patronne histoire que je puisse me débarrasser de son bordel et filer me rafraichir dans la taverne la plus proche !


Il avait pointé les malles du doigts et mimer le contour de la poitrine généreuse de sa marraine, s'assurant que les gardes comprendraient.

Les deux soldats se regardèrent, sourirent et l'invitèrent à le suivre vers l'intérieur. Après avoir traversé la cour du chateau on lui indiqua la prairie des campements et il retrouva rapidement les étendards de la fier Bourgogne.

Il attacha sa monture, laissa violemment tomber les malles au sol et les laissa là pour rentrer dans la tente.
Le joinvillois poussa le pan qui masquait l'entrée et passa la tête dans la tente voir s'il y trouverait Angelyque.
A sa grande surprise il reconnut Maximien, son futur beau-frère comme celui-i aimait l'appeler, Della, Wolfar et Asdrubaelvect et finalement celui qu'il reconnu comme Eusaias. Presque cachée, effacée, derrière se trouvait la Baronne, mais il ne pouvait pas la voir depuis l'entrée. Il s'avança un peu plus, toujours sans rentrer et se racla la gorge.


Bien le bonjour mes seigneurs, Dame Della, Max...
Je cherche la Baronne de Cruzy, vous ne l'auriez pas vue quelque part ?
J'imagine qu'elle doit se trouver près d'une taverne ou je ne sais où... mais j'ai ici ses malles et j'aimerais m'en débarrasser rapidement !
Merci...


Maximien
Un leger sourire passa sur le visage de Max, il comprit qu'il ne marchais avec n'importe qui hihi

Hé bien, vous ne devez pas vous ennuyer

Un sourire un peu plus prononcé s'échappa de son visage

Et bien, pour ma part, j'espere bien devenir capitaine d'armée un jours, je suis actuellement soldat à l'Ost du Lyonnais-Dauphiné, dans la belle garnison de Lyon, je suis aussi au conseil municipale lyonnais, en temps que chef de port et échevin de la filière outils, et je travail aussi au prêt de Dauphiné à la Hérauderie.

Et bien, ce n'est pas encore aussi prestigieux que vous mais qui sais un jours


Max esquissa un nouveau sourire, puis les voici en vu du campement bourguignon, à les oriflamme était déjà sortit.
Puis voici venir Cuche, bé, qu'es qu'il faisait là lui ?


Tien bonjour Cuche, bé, que fait tu ici ? Agapée est avec toi ?
Bé maman est dans la grande tente je crois.
Et ces malles tu peu les posé dans sa tente, là ou il y a son oriflamme

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Deedlitt
Un peu gênée d'avoir fait l'amalgame entre la tente Bourguignonne et le Seigneur. Elle n'avait pas su décelé qu'il était du Dauphiné!

Je vous le souhaite messire, puisse votre nom être connu dans tout le royaume.

Puis un homme arriva et la conversation s'engagea. Elle resta discrète, ne sachant pas de quoi il s'agissait.

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Wolfar
Wolfar salua le Duc d'Amboise ainsi que les autre bourguignons qui arrivaient petit à petit. Il s'impatientait déjà de connaitre son futur adversaire. mais en attendant l'heure était aux réjouissances. Il ne manquait plus qu'on iouvre ce fameux tonnelet.
En attendant ce moment, le Baron salua leur hôte, qui d'après ce qu'il entendit ferait aussi office d'arbitre. Il la salua d'un signe de tête pour ne pas interrompresa conversation.

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Eusaias
Claquant des mains. Il coupa la conversation, chose que visiblement personne n’avait voulu faire.

Et voilà donc notre attentionnée hôtesse ! Je disais justement que j'étais certain que vous étiez ravissante, ravi de voir que mon flair ne me trompe pas

Il dû retenir un rire alors que son nez "bec" se tortillait sous la maitrise du rire. Puis il repondit d’abord au salut théâtrale par un de même valeur avant d’inviter la comtesse à s’approcher un peu plus.

Ravi je suis de vous accueillir sur nos,vos, terres. N’est ce point beau tous ces triomphants oriflammes bourguignons groupés chez vous ?

Marquant une courte pause afin de mimer la réflexion.

Justement sa Grace Asdrubaelvect se demandait s’il devait pas rester après les joutes et croyez moi ou non, mais j’allais justement lui dire que c’était une merveilleuse idée. Lui ici pour quelques années, je suis certain que ça lui irait au teint.

Tournant la tête vers Della puis vers Angélyque.

Della, le bonjour vous va ? Ravi de vous revoir… malgré votre accoutrement fort…. Fort… Je préfère votre houppelande opale, celle qui met en valeur vos s… bijoux. Baronne Angélyque, douce enfant, vous avez fini de faire cosette avec les gardes de madame la comtesse ?

Marquant la surprise sur son visage il regarde une nouvelle fois la maitresse des lieux.

Voilà bien la première que je me comporte comme un sot ! Je me présente : le beau, l’inoubliable, le subtil, le doux, le délicat, le fort, l’exquise, le modeste Eusaias de Blanc Combaz, Baron de Digoine et seigneur de Saint Robert. Vous avez entendu parler de moi c’est certain, les bretons tremblent devant moi, les angevins se terrent quand je passe et les parisiens enferment leurs épouses quand ils savent que je me rends en capitale. Mais, bien que le sujet de discussion peut être long et fort intéressant, nous n’allons pas que parler de moi. Je vous présente, oui ma mère m’a donné bonne éducation, Della de Volvent Dame de Railly et que la délicieuse Angélyque de la Mirandolle Baronne de Cruzy le Chatel. Pour les hommes ? Et bien nous avons le vaillant Rolland de Wallère, connu sous le nom de Wolfar Baron de Cudot. Le voisin et ami de la Baronne n’est autre que le joinvillois Cuche et je crois que c’est tout pour les non-présentés… le reste n’étant que du personnel… Ah non il y a aussi sa Grace Asdrubaelvect.

Masquant sa bouche comme s’il grattait sa barbe d’une semaine il souffla a l’intention de la comtesse.

Sa grâce je l’oublie toujours, preuve qu’il n’est pas remarquable et encore moins intéressant.

Odieux direz vous ? Mais non Eusaiesque on dit !

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Della
A Eusaias : Vous n'aimez pas ma tenue ? Quel dommage...Oh, je sais...vous m'en offrirez une nouvelle, qu'en pensez-vous ? Vous la choisirez si vous voulez...mais pas trop...provocante n'est-ce pas, je tiens à ma réputation. Petit sourire malicieux qui en disait long sur la taquinerie.

A Angélyque :
Tout le bonheur est pour moi, Baronne...Vous resplendissez très chère, l'on vous croirait rajeunie de...3 ans...Et on se mord les joues pour ne pas rire...L'était gentille, la baronne, c'est vrai que Della l'aimait bien aussi...

A Wolfar :
Le bonjour Baron, voyez finalement, je serais venue vous supporter lors de joutes...tout arrive.

A la Comtesse de Lille, un peu en aparté lorsque Eusaias eut fini de parader : Nous avons un souci, votre Grandeur...à propos du contrat, de la dot...tout ça...Nous ne sommes toujours pas tombées d'accord...je m'en voudrais de devoir intervenir lors du mariage. Il est urgent que cela se signe. Si vous pouviez en toucher un mot à la Duchesse de Saint Florentin...Et un petit sourire pour appuyer ses dires qui n'avaient rien de menace en l'air.


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Z'êtes pas sauvés, mais Della SI !
Deedlitt
Elle qui adorait la mise en scène la voilà servit ! Elle ne connaissait aucun de ces noms mis à part cela du Duc Asdrubaelvect justement et de Dame Della. Ceci eut pour effet de la faire rire doucement à la réflexion du baron.

Oui en effet! c'est une excellente chose de voir autant de couleur et de noble gens venus de si loin pour ce tournoi.

Puis elle salua un peu tout le monde en commencent par Della.

Contente de vous revoir Dame! J'espère que la voyage s'est bien passé depuis Paris.

Elle l'avait un peu brusqué la dernière fois qu'elle c'étaient rencontrés, alors elle essaya d'être plus délicate à son égard. Puis la Baronne Angelyque, Eusaias l'avait décrite comme une horrible harpie mangeuse d'homme, son visage était doux et elle ne semblait aussi dépravée qu'il avait bien voulu le dire. Elle la salua poliment d'un signe de la tête. Car finalement pour lui dire qu'elle avait l'air moins garce que ce qu'Eusaias lui avait dit... Il valait mieux se taire en effet. Messire Roland Wallère à qui elle adressa un sourire de salut, car le signe de la tête à force, on aurait pu croire qu'elle dodelinait en permanence. Hors elle n'était pas bécasse, donc autant ne pas y jouer, elle n'en avait pas besoin à ce moment là en plus. Messire Cuche, habitant de Joinville, un ami de la Baronne qui n'était pas l'air aussi garce que le décrivait Eusaias. Il semblait un peu contrarié, cela se lisait sur son visage. Autant ne pas essayé d'en savoir plus....
Et le duc Asdrubaelvect, c'était la seconde fois qu'il joutait à Sainct-Omer, tous deux ne se connaissaient pas, mais elle aimait organiser des joutes et lui aimait jouter, ce qui leur valait de se rencontrer au moins une fois l'an aux abords de la Lice.


Baron de Blanc Combez, ravie de vous rencontrer, comme tous ceux que je ne connaissais pas ici. Je tenais à vous saluer et à vous adresser un grand merci d'avoir fait le voyage pour ces épousailles. J'espère que ces journées vous plairont.

Puis s'adressant à Asdrubaelvect.

Votre grâce contente de vous revoir en bonne forme ! J'espère que vous ferez aussi bien, si ce n'est mieux que l'an passé !

Puis à tous.

Je vous souhaite un bon tournoi nobles maisonnées Bourguignonnes !

Et enfin à Maximien.

Je vous remercie messire de m'avoir offert l'opportunité de saluer tout le monde. Je suis fort aise de voir autant de gens de la grande noblesse de Bourgogne sur mes terres. Bonne chance pour la suite messire.

En aparté à Della après salutations. Lancée une telle menace chez elle, fallait peut-être pas être plus royaliste que le roy, ce dit-elle. Et si elle était une femme plutôt aimable et compréhensive, elle se permit de répondre.

Il va de soit que moi aussi je vous en voudrais si vous deviez intervenir durant la cérémonie, surtout sous le regard du très haut et sur mes terres.

Puis reprenant sur le problème de fond.

Du reste, j'ai du m'absenter de Paris avant la fin des négociations comme vous l'aviez vu pour organiser tout cela. Je ne sais donc pas ou vous en êtes, Dotch ne devrait plus tarder. Je pense que dès qu'elle sera ici, il faudrait finir de régler cela en effet. Je mettrai mon bureau à votre disposition, et excusez mon absence, mais je crains d'être grandement occupé avec le tournoi. Votre notaire est-il là?

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