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Campement Bourguignon

Della
Sourire mielleux à la Comtesse de Lille et...Je comprends tout à fait et je vous remercie de me permettre d'achever cette affaire...Vous conviendrez également que je ne peux autoriser que ma nièce convole si je n'ai pas la certitude d'avoir rempli mon rôle de chef de famille en lui assurant un avenir décent. Que dirait-on des Renarts si je venais à faillir...jamais je ne m'en remettrais...Tiens, la Blonde verse dans le mélodramatique, maintenant...Bah, c'est amusant à voir, surtout ce petit battement de cils auréolant un regard d'une douceur extrême. Un ange sur terre...
Cela dit, je ne mets pas votre loyauté en doute...soyez-en certaine. Quoique...deux précautions valent mieux qu'une et la Volvent déteste les "tu l'auras"...on l'a déjà eue, justement.

Et d'un ton plus dégagé :

Mon notaire ne devrait pas tarder.

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Z'êtes pas sauvés, mais Della SI !
Eusaias
Bien ma foi Della, c'est avec joie que je vous offrirai une robe, mais selon mes conditions il va de soit. Je veux etre le premier à en profiter, donc vous ne la metterez que pour moi, disons à Digoine pour un souper tous les deux. Elle ne sera pas provocante, je vous laisserai meme choisir le model, par contre de grace, vous ne porterez que cette robe, ni chale, ni bijoux... rien. Juste pour que je profite pleinement.

Sourire sur le visage du Balbuzard. De bonne foi ? Non, nullement, il lui fera faire une robe, certes, mais bien trop petite pour qu'elle se glisse pleinement dedans.

Hector ! Ce tonnelet ! Oh... c'est déjà fait, ben sert tout le monde en commençant par notre hotesse puis les dames.

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Deedlitt
La charge de chef de famille était bien dur à assumée quelques fois, elle l'imaginais aisément.

Je le conçois et le comprend, les règles sont les règles et si la Noblesse n'a point d'honneur qui en aura? Je vais faire le nécessaire Dame.

Puis les laissant continuer leur conversation elle sorti de la tente. On pouvait déjà entendre de l'extérieur "Intendant ! Venez ici ! [...]".
Elle donna ordre continua sa visite des tentes. Elle pouvait pas tout faire, écrire des lettres, se présenter, se changer, se coiffer etc....

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Wolfar
Le Baron répondit poliment à Della

Merci Madame pour votre présence mais je ne dois pas être le seul à être encouragé ici. Il y en a qui en auront plus besoin que moi...

Enfin, Eusaias fit ouvrir le tonnelet et en fit servir l'assemblée. C'est à ce moemnt que Gautier fit une apparition discrète pour lu isignifier qu'il aurait à jouter en qualifications.

Je en connais pas votre adversaire, Baron, mais c'est un nom d'une famille connue:Eoghan Dongenan de Dénéré

Un Dénéré fit le Baron. Et bien je me ferai un plaisir de l'embrocher.

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Della
La Renarde Noire ne se laisserait pas faire ! Pas de contrat de mariage...pas de mariage ! Et tant pis si elle devait arrêter l'office religieux en s'opposant à cette union qu'elle désapprouvait secrètement plus ou moins.

La Comtesse s'en alla...Della la suivit du regard, énigmatique.

Puis, chassant un mauvais pressentiment, elle se tourna vers Eusaias à qui elle sourit de toutes ses jolies dents.

Très bonne idée, Baron ! Je ne connais pas Digoine, je serais très heureuse de visiter et...de savourer quelques mets de votre cuisine.
Quant à la robe...
Elle était d'humeur joyeuse à présent...Hmmm...quel piège me tendez-vous, très cher Vilain ? Je me demande...Vais-je courir le risque...Allez ! Il ne sera pas dit que Railly tremble devant Digoine ! Cela est dit ! Nous prendrons arrangement après les fêtes de saint Omer.

On servit enfin à boire...C'est qu'il faisait chaud, pardi !
Della leva son verre vers Wolfar.

Cher Baron, je vous avais promis de vous soutenir...mais nous sommes Bourguignons, n'est-ce pas ? Nous nous soutiendrons tous !
Un coup d'oeil aux alentours...pas de Nabel ni d'Apéro en vue...Ils devaient se préparer, eux aussi...

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Z'êtes pas sauvés, mais Della SI !
angelyque
La Baronne eut la honte de sa vie en entendant les paroles de Cuche...s'empourprant violemment elle n'eut d'autre reflexe immédiat que de se cacher derrières Eusaias qui faisait le joli coeur auprès de Della...ça tombait bien...celle-ci, comme à son habitude ne cessait de parler chiffons et contrats, Angelyque lui fit un coup d'oeil et remercia du regard son fils adoré d'avoir envoyé Cuche voir si elle était ailleurs....

Elle se déplaça légerement, levant les yeux en l'air en entendant Eusaias se présenter...il avait une très haute idée de lui-même..il ferait moins son sagouin après sa première joute..

Souriant elle s'approcha de son hotesse, après avoir embrassé son fils.


Enchantée de vous rencontrer Comtesse, je suis Angelyque de la Mirandole, et maman de ce cher Maximien, je suis très honorée de participer aux joutes se déroulant chez vous. Vous avez une bien belle demeure...très bien gardée en plus...

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Maximien
Max avait été quelque peu interrompu avec son début de conversation avec la comtesse.
Bon, elle était bien gentille cette comtesse, il espérait bien revoir de nouvelle joutes à Saint-Omer, car on y était bien accueilli quand même.
Max sourit à sa maman qui arriva.
Il attendit qu'elle finisse de parler à la comtesse pour se rapprocher et lui faire un p'tit bisou sur la joue


Bonjour maman

Max lui fit un p'tit sourire quand il vu Izidor passer à coté.
Il partit vite le voir


Tien, Izidor, bonjour, dit moi, peux tu déplacer ma tente qui est la bas

Max la pointa du doigts

Et si tu pouvais la placer a coté de celle de maman ? et y mettre mon armure, le caparaçon et tout le fatras dedans s'il te plait

Max lui sourit et lui fit une tape sur l'épaule pour repartit voir sa maman et la comtesse

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Eusaias
Allons Della, tout le monde sait que Railly ne tremble pas devant Digoine, elle est bien trop occupée à l'admirer.

Il réprima un rire et leva son verre quand il fut certain que tous en avaient un.

Amis, santé, a Dieu, La Bourgogne, La couronne.

Ce fut à ce moment qu'il apprit que Sombernon serait son adversaire. Dommage... pensa-t-il... la prochaine fois j'assaisonne son vin avec un vide-entrailles.

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gnia
[Après le tour éliminatoire - La grenouille, par l'odeur du vin alléchée... ]


La fin du tour avait été décevante. Melina avait chuté, le petit protégé de Deedlitt, le jeune Dénéré, de même. Et les deux, blessés.
Et le dernier duel qui opposait celui qui lui avait fait si étrange invitation à un autre noble bourguignon avait trouvé issue navrante. Surtout pour le baron.

A la fin du tour, La Saint Just, après décoffrage en règle de sa lourde armure par son écuyer, avait filé aux bains de Saint Omer. A bien y réfléchir elle avait apprécié de s'y trouver seule, savourant un silence simplement parfois brisé par le clapotement de l'eau et le doux ronflement des feux qui gardaient l'eau chaude.
Le Bourguignon ne s'y était pas présenté. Bien lui en avait pris.
D'une part cela dénotait que ses intentions ne semblaient pas aussi limpides qu'il n'y paraissait et de l'autre cela lui avait probablement évité l'humiliation de voir les espoirs que laissaient présager telle invitation déçus.

Les longues boucles de jais libres de toute entrave cascadant sur ses épaules pour tenter de masquer sans succès la fine balafre qui ourlait sa joue et traversait son cou, Agnès traversait le champ qui accueillait les tentes nobles d'un pas assuré, cherchant des yeux les oriflammes bourguignons.

Elle avait conservé tenue masculine pour évoluer dans le camp. Souliers délicats et longues robes ne seyaient pas vraiment à une circulation aisée dans un lieu où le sol était miné de cordes, pouvant se transformer en champ de boue à la moindre averse.
C'est donc parée comme pour mener Etat Major de campagne que la brune artésienne se présenta à l'orée du coin dédié aux descendants des Burgondes.

Infime hésitation devant la fourmilière qui tenait lieu de campement et le nombre d'oriflammes flottant au vent avant de se décider à alpaguer le premier cul terreux qui passait à sa portée.


Fait dire au Baron de Digoine que la Dame de Saint Just est là.

Elle prit le parti d'attendre là, à l'entrée du campement, et s'absorba dans la contemplation d'un maître forgeron qui peinait à redresser les plates d'une armure qui semblait avoir souffert rude rencontre avec le sol.



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Keridil
Après avoir joué un peu de luth avec Lexhor sur le campement Orléanais, Keridil eut l'envie d'aller faire un tour des tentes, c'est là qu'il vit l'oriflamme bourguignon. En tant qu'ambassadeur il le connaissait bien, peut-être y verrait-il aussi des visages familiers.
En dehors de certains vus de loin lors des joutes d'Evreux, il put apercevoir Sa Blondeur !
La gracieuse Della.
Que faire...elle avait l'air de chercher quelqu'un. Pas lui évidemment, elle ne savait pas plus qu'il était là que lui ne connaissait sa présence un instant plus tôt.
il hésita à aller la saluer puisque finalement, il ne connaissait qu'elle dans l'assemblée, et en plus, il en mourait d'envie.
Il décida d'entrer plus loin pour jeter un œil plus avant aux présents. Il espérait ne pas se faire trop remarquer sur les lieux, d'autant qu'entre Orléans et la Bourgogne, son cœur avait tendance à beaucoup balancer.
Della
Alors qu'elle allait rétorquer à Eusaias, une réplique bien sentie, elle aperçut son ami Kéridil à l'entrée du campement des fiers Bourguignons.

Un sourire illumina son visage et elle alla à sa rencontre.

Hé bien, Kéridil...quelle bonne surprise !

Della et Kéridil...c'était une longue histoire de diplomatie qui tourne à l'amitié, une belle histoire d'ailleurs.

Vous participez aux joutes ? J'irai vous soutenir, dans ce cas !

Un page fit son apparition, porteur d'un message frappé d'une croix noire. On avait du lui dire où se trouvait Della car il vint vers elle, sans hésiter et lui tendit le vélin scellé.

Della le remercia et après s'être excusée auprès de son ami, elle décacheta la lettre. C'était un ordre de mission de l'Ordre Teutonique, un état d'urgence auquel il fallait répondre aussitôt.
Sa blessure au ventre l'aurait bien retenue mais son honneur prit le pas.

La Blonde sourit encore un fois à Kéridil.

Pardonnez-moi, mais je dois...Elle indiqua le vélin...répondre à ça.
Je vous laisse aux mains des Bourguignons. Ils prendront soin de vous.


Le coeur en deux, elle tourna les talons et alla ramasser ses quelques affaires...Elle ne serait pas de la noce...

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Z'êtes pas sauvés, mais Della SI !
Eusaias
Si les Blanc-Combaz avaient un don, c’était bien celui qui leur permettait d’attirer les filles à eux. Du moins c’était ce qui traversa l’esprit d’Eusaias quand un pécore vint le trouver pour le prévenir de l’arrivée de la Vicomtesse. Les coins des lèvres remontèrent légèrement, la nuit allait elle être moins morne que prévue ? Le Balbuzard se leva de la malle sur laquelle il s’était assis, trônant ainsi parmi ses hommes et sorti de sa tente. Son regard se porta d’abord sur les yeux bleus et durs, puis parcourut l’ensemble du visage remarquant la cicatrice.

Cette fois ci c’est un sourire franc qui marqua son visage. Certains hommes cherchaient le raffinement chez la femme, Eusaias lui était attiré par le caractère, par ce que le visage transpirait. Il se lança d’un pas franc en direction de la vicomtesse la saluant bas à quelques pas d’elle.

Madame la Vicomtesse c’est un plaisir pour moi de vous rencontrer. Je disais justement à mes hommes de mains, je ferai fouetter ce qui diront le contraire, que vous m’aviez époustouflé par votre prestance lors de votre « duel ». Je sais que vous ne pouvez pas me retourner le compliment, mais je vous rassure, j’ai perdu par bonté, ne voulant pas vexer un vieil ami. Mais de grâce ne l’ébruitez pas, le vieil Asdrubaelvect ne s’en remettrait pas.

Il mentait ? Non, il donnait une version plus honorable pour lui. Il l’invita d’un bras tendu à rejoindre le campement.

Venez Dame de Saint Just, en passant c’est un joli nom qui vous va à ravir, que je vous présente à mes compères et à un fameux tonnelet de vin que mon ami le duc de Beaujeu et Baron des Nuits-Saint-Georges m’a confié.

Il salua Della de la tête et porta son attention sur « l’ami » de cette dernière, tendant toujours son bras.

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Keridil
Keridil avait été remarqué par Della et il fit un sourire aussi grand que le sien.
Il lui fit un baise main des plus doux et lui répondit.


Moi jouter ? Je n'en ai pas le talent, je suis ici en tant qu'écuyer de Sa Grasce Lexhor, mais peut-être un jour, je vous le ferais savoir.
Et vous même joutez vous ?


Ils furent interrompus et la mine de la Dame se renfrogna, puis elle parti en hâte.

Euh bah oui faites faites, ça m'a l'air important.

Au moment où il allait tourner les talons, il croisa le regard d'un brun qu'il ne connaissait pas, regard presque gênant. Il fit un signe de tête par politesse avant de faire demi tour pour rentrer au camp Orléanais. Il serait en effet bien resté "entre les mains des Bourguignons" que par ailleurs il adorait, mais n'en connaissant en l'occurrence aucun, il se voyait mal faire pot de fleur.
Bah oui il était toujours plutôt difficile de faire son entrée dans un groupe, seul et sans bonne raison. Un coucou c'est moi et il aurait eut l'air d'un importun.
gnia
[Au bras d'un oiseau de proie plutôt qu'entre ses griffes. ]


Elle était absorbée par le travail du maître forgeron. Bon sang ne saurait mentir à défaut d'être noble de naissance, elle avait été fille de forgeron réputé dans tout le Nord de la France pour la qualité de son travail, son père passant par ce biais de réputé artisan à riche notable de la ville d'Arras. Aussi la forge, le travail du métal et même celui plus délicat de l'orfèvrerie attirait l'attention de celle qui savait de quoi il en retournait.

Toutefois, elle sentit à son tour qu'on l'observait et elle détourna les yeux pour les poser sur un sourire qui zébrait un visage en lame de couteau auréolé d'une sombre chevelure. Elle se demandait encore ce que pouvait signifier le sourire lorsqu'il la salua.
Concéder un sourire aux compliments et aux fanfaronnades ? Agnès se contenta d'un regard à peine amène et d'un léger hochement de tête, conservant là toute sa bêcheuse attitude. Sur un lit de fierté et de moue boudeuse, une pointe de dédain agrémenté d'une pincée de distance hautaine accompagné de son regard qui semblait glisser sur le monde, telle était la recette d'un mets de choix.

Posant une main légère sur le bras offert, elle releva sans avoir l'air d'y paraitre la mention de Nuits Saint Georges, cru réputé depuis au moins l'an mil. Si d'aventure la compagnie se révélait ennuyeuse, au moins, l'accompagnement saurait le faire quelque peu oublier.


Messire de Blanc-Combaz, je vous remercie de l'invitation et du bon accueil que vous me faites. La réputation des vins de Bourgogne n'est plus à faire et je vous avoue en priser la légèreté et leurs délicates nuances.
Je vous laisse me guider.


Ses azurs sombres croisèrent un instant le regard perçant du Baron de Digoine lui signifiant qu'elle le laissait pour l'heure mener la danse.


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Eusaias
La réputation des vins ? Oh je croyais que ce fut la mienne qui suscita votre intérêt, j’en suis peiné.

Mine désolée affichée avant que ne s’élève un rire franc. Rire qui fit sautiller son nez digne d’un bec de balbuzard. La tente était bien le lieu ou se déroulerait la fin de son idée, mais l’inviter à y séjourner de suite aurait était fort mauvais. Ce fut donc dans l’espoir de susciter la curiosité de la sauterelle qu’il l’entraina au milieu du camp, là ou les nobles avaient fait dresser tente pour les repas et les discussions.

Vous savez, le vin je l’aime comme, pardonnez la comparaison, les femmes. De grand cru avec du caractère et en de faibles occasions afin de garder le meilleur souvenir.

Ridicule ? Oui il l’était et le savait. Mais pensant qu’il est toujours préférable de commencer bas dans l’estime de quelqu’un afin de vite « remonter », plutôt que de commencer fort et décevoir, il avait opté pour l’auto dérision. Son regard d’oiseau de proie balayait le camp, visiblement personne ne se trouvait dans la « tente-tambouille » mis à part Hector et le tonnelet pas encore fini. D’un geste courtois il écarta un siège de la table et la présenta à la vicomtesse.

Navré si je me montre peu élégant, ma mère cette triste femme m’a fort mal éduqué, mais prenez place je vous pris.

Tournant la tête de trois quart en direction du morvandiau.

Hector remplit et sers les hanapes je te prie.

Le balbuzard regardait faire le mercenaire pendant qu’il rejoignait lui-même un siège.

Madame la vicomtesse étant connaisseuse en vin, elle devrait aimer cette cuvée de Nuit-Saint-Georges. Peut être que vous connaissez aussi le domaine des « Nuits », ou alors la Bourgogne ?

Conversation enclenchée, étape suivante, l’enivrer légèrement.

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