Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[rp] une longére en bordure de forêt

Efenwel713
La journée avait été pluvieuse, le travail à l'atelier fut donc long...quand on ne peut pas mettre le nez dehors, mieux vaux abattre du travail.
Une éclaircie attira le regard d'Efen qui laissa tomber la plane sur l'établis, les doigts engourdis.
Il sorti de l'atelier par la petite porte qui communiquait avec ce qui lui servait de salon: une pièce encombrée de vieux meubles en cours de restaurations. Une trentaine de livres était posées de façons archaïque sur une étagère branlante et un feu crépitait doucement dans la cheminé.
Efen avait bien mérité un moment de détente avant de se rendre au village pour faire un saut en taverne...juste histoire de descendre un emousse et de se noyer dans des yeux bleu. A cette simple évocation son cœur fit un léger bon. Il s'empara de l'arc et du carquois posé à coté de l'âtre et sortis en descendant le perron en granit. Il continua durant une dizaine de mètre et se retourna, regardant son œuvre...
La moitié de la longére était encore en piteux état et on voyait s'élever sinistrement dans le ciel les poutres noircies, souvenir d'un passé mouvementé. L'autre moitié de la bâtisse était pourtant de nouveau recouverte d'un toit solide et bien charpenté...il restait du travail...et cela lui plaisait...il l'avait fait plus pour Margot que pour lui et espérait intérieurement qu'elle lui pardonnerais ses absences au village quand elle verrai le fruit de son travail...de ce qui allait devenir, peut être, leur maison...

Efen disparu sous le capuchon et remonta son écharpe sur son nez, il fit le tour de la bâtisse et se plaça face à sa cible, la vieille souche d'un gros hêtre. Il planta ses douze flèche en terre et se plaça de profil. il déterra la première, l'encocha doucement, leva son arme et tira sur la corde de se beau et fière longbow. le bois et la corde chantèrent à l'unisson quand Efen décocha.
Le geste tant appris, tant répété...ce geste connu à la perfection.
La flèche heurta la souche dans un bruit de bois écalé ...là il était détendu...là il respirait...
_________________
margot_wolback
[Maison Wolback]

Une blonde sur un lit...
Des parchemins épars autour d'elle. Une gouvernante non loin, préoccupée de sa santé.
Pas de nouvelles... Trop peu de nouvelles... Il semblerait que l'éloignement de l'aimé corresponde à ses propres questionnements, à ses remords aussi.

Comment arriver à le regarder en face? Comment faire comme si de rien. Ne pas laisser la souffrance affleurer, ignorer les larmes qui inondent les joues bien plus souvent.

Elle avait pensé qu'ignorer, considérer son embarras comme une maladie, suffirait à retrouver le "comme avant"! Mais il y a un avant et un après... Il y a une pucelle puis une femme. Il y a deux corps ensemble qui font trois... Il y a... Un épisode dans les bois, quelques jours de douleur et de pleurs pour une délivrance.
Et puis ce vide sidéral. Cette sensation de n'être plus rien.


Toc Toc.

Elle relève la tête, s'efforçant comme depuis quelques jours, à un sourire convaincu à défaut de convaincant.
L'entrée de Patience, l'impression qu'elle s'adresse à elle comme à une mourante. Un parchemin au bout des doigts. Enfin!!

Le sourire se fait de plus en plus franc, les nuages quittent le front qu'ils assombrissaient. La lettre est lue rapidement, puis relue et savourée... Comme il se doit.




Je suis passé en taverne ce soir... Sans te voir...
Je commence moi aussi a compter les jours en ton absence même si je ne suis pas bien placé pour faire ce genre de remarque...
J'espère que tu passeras bientôt chez moi j'ai fait du rangement exprès pour toi... Enfin... Suffisamment pour que tu n'aies pas envie de partir en courant...
Voila je te fait un plan pour que tu puisse trouver où je vis...tu verras c'est simple a trouver et une fois qu'on y est...on n'en repart plus...

_________________
margot_wolback
[On a dit par où déjà??]

Un pas à droite, deux pas à gauche... On compte les cailloux...
Pas compliqué pourtant à lire la carte... On ne peut lui reprocher, il sait dessiner. Un sacré coup de crayon d'ailleurs.

Mais bon, il ne suffit pas de dessiner, encore faut il se repérer. Et là, Margot suppose qu'elle a loupé l'embranchement à un moment donné. Parce qu'elle marche, elle marche, et la lisière de la foret semble s'enfuir sous ses pas.
Une faiblesse lui tombe dessus... Maudite faiblesse, maudit choix, maudite vie!!
Le paysage devient flou, mouvant. Les mouches devant les yeux se font plus présentes. La blonde commence à trébucher. Se poser, se reposer...
Mais où est-elle? Pas moyen de réfléchir, les pensées s'envolent comme des papillons, s'évaporent...
Début d'un délire, début d'une folie??

L'impression de tomber dans le néant. Un liquide chaud qui s'échappe de son corps, involontairement. Non... Nonn!!
Que cela ne recommence pas... La jeune fille se raccroche à sa raison, aux bribes de raison...

Assise sur un tronc d'arbre, la tête entre les jambes, elle se force à respirer doucement... Tout va bien, tout va bien...

_________________
margot_wolback
[Inspiration, expiration...]

Le rythme cardiaque s'est calmé, les mouches devant les yeux ont disparu.
Le flux s'est arrêté. Une gigantesque pause, tout autour...
Inspiration, expiration....
Regarder de nouveau la carte sur le parchemin, ne pas se laisser envahir par la panique ou la faiblesse...

Se redresser doucement, et reprendre sa marche...
Il n'est pas loin, il ne peut être loin...
Un pas, et puis un autre...
Et au bout... La délivrance.

_________________
margot_wolback
[L'est où, le bout du tunnel?]

Un siècle qu'elle marche.
Elle est perdue... Perdue surtout dans sa tête, finissant par se demander ce qu'elle fait là. Les pensées tournent, mais aucune à saisir.
La fatigue, encore un malaise.
Margot ne sait plus.
Ce qui lui semblait une promenade de santé prend l'aspect d'une galère. Elle s'assied de nouveau sur une souche, bien pâle...
Pas facile de faire semblant, comme si tout allait bien. Heureusement que son teint n'est jamais trop coloré, son hémorragie passe inaperçue.
Patience la force à boire tous les matins un verre d'eau ferreuse, ce qu'elle fait avec une grimace, mais bien obligée si elle veut sortir.
Heureusement, les nausées ont disparu, restent seulement une sourde douleur dans le bas ventre, et ce sang qui coule, sans arrêt...

Elle est irritable en ce moment, elle culpabilise aussi. Imbuvable sans doute. Ce n'est pas une bonne idée d'aller le voir dans cet état, pas une bonne idée...
Tourner les talons, mais dans quel sens??
Le soleil a accompli une longue course dans le ciel. Il lui faut repartir, de toute façon marcher...
La jeune fille pleine d'entrain a disparu, le corps se voute un peu. Un bâton pour l'aider à marcher, et elle reprend le chemin, elle finira bien par rencontrer quelqu'un...

_________________
Efenwel713
Citation:
Non... Nonn!!


humf....léger soupire sous la capuche...décidément...ces jeunes citadins il faut tout leur mâcher de nos jours.
Efen ne dessinait pourtant pas si mal que ça. il adossa son arc au cerisier et contourna de nouveau la maison avant de se diriger vers l'entrée de la propriété (un gros trou dans une haie mal taillée )
il regarda a droite a gauche avant de s'arrêter devant une silhouette qu'il n'eus aucun mal a reconnaitre...Margot était là et elle semblait à deux doigts de la crise de nerf...Il ne put s'empêcher de sourire avant de dire d'une voix enjouée:
hé bien jolie blonde...on passe faire un tour dans le coin sans même venir me dire bonjour
il avait tant travaillé pour cet instant qu'il en jubilait presque...
_________________
margot_wolback
Citation:
Hé bien jolie blonde...on passe faire un tour dans le coin sans même venir me dire bonjour


A deux doigts de tomber à terre, épuisée. Lessivée, fragile...
Et puis cette voix, ce timbre de voix, qui arrive à la troubler, à la séduire, à l'énerver aussi.

Il a réussi, la colère lui rend l'énergie nécessaire...


Ahh ben tu tombes bien!! Une éternité que je marche là dedans!! C'est pas un plan que tu m'as fait, ou alors, tu souhaitais me perdre à tout jamais!!


S'en fiche d'être de mauvaise foi, elle a faim, elle est fatigué, déçue aussi de ne pas s'en être sortie sans dégâts.
Le sang lui tape aux tempes, ses braies sont mouillées, les cheveux collés au front par la transpiration, la fièvre est revenue. Idiote, pauvre idiote d'être venue seule ainsi.
De quoi a-t-elle l'air?


Efen...

Elle ne voit plus rien d'autre, au milieu du brouillard se dresse la silhouette aimée... Encore un effort, secouer les mouches qui emplissent son regard... Mais c'est trop...
Marcher, avancer encore vers lui...
Pourquoi s'éloigne-t-il?? Pourquoi disparait-il dans la brume??
Une main se tend, pour se saisir de lui, l'attirer...


Efen...

Trop tard, l'ombre l'attire, la réalité s'efface, les yeux grands ouverts ne voient plus rien. Margot, livide, tombe.
_________________
margot_wolback
[Ce triste matin où coulent encore les larmes...]

Il est parti, pour de bon. Depuis le temps qu'elle le craignait, le pas a été franchit.
Un dernier pigeon, des mots glacés, impersonnels...





Au fait.... Je ne vend pas maison...
Elle t'appartient... Fais en ce que tu souhaites...
Efen'


Lorsqu'elle l'a reçu, la tristesse se mêlant à la colère, elle s'est jurée de ne jamais y remettre les pieds!! A quoi bon ruminer encore et encore??
Mais de le voir passer sous la porte hier soir, sans un regard, sans un mot, l'a déchiré. Elle a besoin de solitude, besoin de crier sa peine à ne plus pouvoir!!

Elle s'approche doucement de la bâtisse, regrettant de n'y être venue qu'une seule fois, mais tout s'est précipité sans qu'elle puisse rien changer.
En profitant pour admirer la charpente refaite, même si c'est inachevé. Cet inachevé, avec les morceaux de bois noircis, chante étrangement dans son cœur, elle aussi se sent moitié vivante, moitié morte. Ce serait si simple, il suffit de peu pour passer de l'autre coté.
Elle ne rentrera pas, pas maintenant. Un autre jour peut être.
Assise au pied du cerisier, elle garde le regard fixé sur la souche d'un chêne, blessée de multiples entailles. C'était lui.... Lui....

_________________
margot_wolback
Les jours passent.
La blonde a accepté. Non pas fini de ruminer, ça non...
La culpabilité, toujours là.
L'amour, enfoui bien loin pour ne plus pleurer.
La peine, à fleur de peau.

Elle se souvient de l'arbre à souhaits en Aurillac. Billevesées de jeunes filles soit disant. Mais confier ses pensées à un papier qui vole au vent, ça ne peut faire de mal...

Une plume... Un parchemin... L'encre? Le plus romantique serait d'écrire avec son sang, mais faut pas exagérer non plus!! Donc ce sera donc de l'encre noire.




Les jours de peine
Fredonnent un
Je ne sais quoi
La ritournelle
Des indécis, des quoi ?
Par habitude
J’ai pris ce chemin
D’incertitude
Où mes va sont des viens

Jours de sagesse
La voie unie et droite
Mais l’homme doute
Et court
De multiples détours
Vague mon âme
Va, prends ton chemin
L’attente est sourde
Mais la vie me retient

Les nuits sont chaudes
Mon sang chavire et tangue
Bâteau fantôme
Qui brûle
Je suis tempète et vent
Ombre et lumière
Se jouent de l’amour
Mes vagues reviennent
Mes flots sont si lourds

Prends-moi dans tes draps
Donne-moi la main,
Ne viens plus ce soir,
Dis, je m’égare

Dis-moi d’où je viens
Ne dis rien, je pars
Rejoue-moi ta mort
Je m’évapore

Des mots sur nos rêves
Déposer mes doutes
Et sur les blessures
Point de sutures

Vole mon amour
Refais-moi l’amor
Confusion des pages
Je suis naufrage *



Certes, ce n'est pas d'elle. Mais elle se retrouve dans ces mots, dans cette peine latente.
Si seulement le vent... Si seulement le vent pouvait lui amener ces mots, cette souffrance, ce regret.
Si seulement... Tout pouvait changer...


* M.Farmer, Point de Suture

_________________
margot_wolback
[Où la maison d'un autre devient la sienne.]

Besoin de respirer.
Besoin de retrouver la nature, se libérer du chahut de la ville, des bousculades, des regards, curieux, acérés, compatissants.

Les pas l'ont mené, là.
Peut être y rentrera-t-elle enfin?
La clé tourne et retourne dans les mains graciles. Le front se fronce, d'appréhension, de souvenirs... Osera-t-elle?

En fermant les yeux, elle revoit le regard énigmatique qu'il posait sur elle. Elle se souvient du gout de ses lèvres, de la chaleur des bras qui l'enlaçaient. Mémoire sélective, qui n'a gardé que le meilleur. Mais si intense...

Peu lui importe ce qu'on pense d'elle. Peu lui importe que les apparences soient trompeuses. Elle, elle sait...
Elle sait que rien n'est plus pareil. Elle sait que les hommages glissent sur elle, qu'elle ne ressent rien. Plus rien... Elle n'a pas de mérite à sourire, ironique à tout ce qui se dit, quand son cœur est parti avec lui, et que sa tête n'arrive pas à se faire à cette réalité.
Des sourires, autant qu'ils veulent. Mais ce n'est pas elle, juste une enveloppe.


Encore une hésitation... Puis une force la pousse, curiosité peut être, beaucoup plus, sans doute...
Elle ouvre la porte, découvrant ou redécouvrant l'antre. Le regard azur se pose avec curiosité sur l'agencement de la pièce, sur les outils laissés là, comme pour un court voyage. Une pincée de regrets...
Elle tourne les talons, il est encore trop tôt...

_________________
margot_wolback
[Dire au revoir, tourner la page...]

Margot s'approche de la maison.
Les pas ne sont plus hésitants, elle a un but, et comme à son habitude, fonce droit devant.
La porte qu'elle laisse ouverte sous le soleil, l'unique fenêtre poussée elle aussi.
La poussière danse dans les rayons lumineux.
La blonde prend un tabouret, se perdant dans la contemplation du dehors, tout en se laissant envouter par l'ambiance qui lui rappelle tellement...
L'Efen sombre, l'Efen souriant... Il l'avait laissé repousser les barrières.
Rien que de penser à lui, l'imaginer ici, en train de travailler le bois comme il a su découvrir son corps, les larmes coulent, mais sans douleur. Des remords, oui...

Son doigt dessine des signes indéchiffrables dans la sciure. Trace éphémère, mais qui l'attendra, s'il revient...
En attendant, c'est elle qui part. Elle se demande où il est, et surtout s'il comprendrait...

Un morceau de son cœur est parti avec lui, et elle refuse de souffrir encore. Elle s'est entouré de hautes murailles de cynisme et d'indifférence. Les hommages la font sourire, mais elle n'a plus de frémissement. Rien qui ne résonne dans ses profondeurs.
Elle est là, elle sourit, elle écoute, elle apprécie parfois. Mais incapable de rendre...

Le soleil qui descend vers l'horizon la rend à la réalité. Il lui faut partir ce soir. On l'attend déjà, sans doute.
La porte est refermée doucement, verrou tiré, pendant que sur la table à l'intérieur, les dessins finissent par avoir un sens.
Un M et un E liés, mélangés, mais barrés.
Le rayon du soleil s'y arrête, puis se prolonge sur le mur, l'ombre finit par tout confondre...

_________________
margot_wolback
[De retour, rien n'a changé...]

Un pas, puis un autre...
La maison est toujours là... A quoi d'autre s'attendait-elle? Les volets fermés, le toit à moitié détruit.
Rien n'a changé, et elle non plus.
Un voyage de trois semaines, pour se retrouver là, seule, à chercher, attendre.

Ce n'est pas faute d'avoir essayé, elle aurait pu se laisser aller avec un autre... Mais rien n'y fait, elle ne peut pas.
Efen lui a volé un morceau de cœur, mais surtout, elle le cherche dans chaque homme rencontré.

Mais il lui faut se reconstruire, ça prendra du temps. Un jour, elle trouvera un homme qui la fera vibrer, mais toujours, toujours lui restera une ombre dans le coeur.

_________________
margot_wolback
Qui disait que la vie est un long fleuve tranquille?
Il suffit parfois d'un détail, un pas en avant, un pas de trop... Et les certitudes s'évaporent!!
Margot marche à pas décidés en direction de la maison, cherchant un moyen de calmer sa... colère, déception, tristesse??? Tout ça mélangé, plus surement!!
Elle revoit l'annonce en lettres d'or gravées sur le noir de ses yeux fermés. Il vend son champ!! Il ne reviendra pas!!
Et pourtant, elle avait espéré, encore et encore, malgré les faits, malgré la souffrance, les regrets... Espéré qu'un jour sa silhouette aimée apparaisse au coin d'une rue, s'encadre dans la porte...
Elle a pourtant essayé, essayé de vivre sans lui... Essayé de croire ailleurs... Mais il lui manque toujours quelque chose...

La porte est poussée, laissant la lumière pénétrer dans la pièce.
Les azurs se posent sur la table, sur les lettres qu'elle a laissé dans la poussière... Elles n'ont pas bougé, ces lettres.
De rage, Margot efface le M et le E d'un revers de la main.
A plus!! Plus rien, plus trace...

S'il était si facile de se l'enlever du cœur!! La blonde se blottit dans un fauteuil, qu'importe le nuage de poussière lorsqu'elle y pose ses fesses... Efenwel.... Où es tu???


Dire qu'ils auraient pu en faire des choses ensemble... Cette maison aurait été leur, les enfants... La gorge se serre en pensant à ça. Elle paiera le reste de sa vie pour sa faute. Puisque adieu veau, vache, cochons, couvées, la blonde ne vivra que pour elle.
Elle gardera la maison habitable, en souvenir de lui, viendra lui confier ses détresses...
Sur ces bonnes résolutions, elle se dit qu'elle demandera à Patience d'envoyer un ou deux serviteurs pour nettoyer, voire la rendre de nouveau habitable, avec bois rentré pour faire le feu, garde manger rempli en prévision...

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)