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[Rp] La place de Rodez la vérité sur ce qui se passe

Lordmick
Lord, sous son arbre sourit aux nouvelles prisent de paroles.

Et ce n'est pas la volonté du conseil c'est bien mais on nous explique pas pourquoi enfin si on nous l'a explique mais en apparté et on ne va pas le rappeler...

Apres ce n'est pas faire couler le sang pour faire couler le sang mais d'ici la on va arriver aux prochaines elections et l'hydre sera toujours en tete du scrutin.

Et pour ce qui est de rire ils ont deja bien commence en jettant la comtesse dans les douves.

Puis regardant le jeune homme partir.
Desole j'avais pas vu que les parents etaient en pensé et non en parole, je vais essaye de trouver une solution adequate.


Pas besoin d'etre extralucide il me suffit de lire les rapports des douanes ou des soldats qui nous previennent des qu'un etranger foule le sol...

On parle de moment mal choisit mais qui d'autre à pris la parole pour parole au peuple du rouergue afin d'expliquer ce qui se passait? Je n'ai pas vu un conseil elu au suffrage comme on aime bien le rappeler s'exprimer en place publique aupres du peuple...

Vous pensez que mon opinion n'est point neutre? Vous avez raisons je n'aime ni les laches ni les traites.

Vous me dites que harpege a fait enormement pour le rouergue, j'attend de voir cela... Mais le pauvre paysan a fait enormement pour le Rouergue, les soldats de l'OST font enormement pour le rouergue et meme souvent a titre gratuit. Je n'ai pas reproche de se battre pour des causes louables et justes simplement de partir quand la cause n'allait pas en sa faveur mais elle n'est pas la seul dans ce cas je vous rassure...

Vous me parlez de son siege mais pourtant elle me l'a dit aisnsi cas d'autre personne de l'Ost qu'elle ne voulait pas d'un revolte par peur que quelqu'un d'autre prenne le siege et ne lui rendent pas... Et si vous ne me croyez pas je peux leur demander de venir ici meme.

Vous me parlez de venin oui je le crache quand je vois des personnes plus interessé par leur petite personne et leur petit privilege plutot que l'interet generale.

Je vous souhaite donc bonne route et aux plaisir Messir.
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La garde meurt mais ne se rend pas !!!
Linoa
Toute de blanc vêtue, couleur du deuil, robe simple, point de froufrous déplacés ou que pouvait on imaginer, La Tyx ayant entendu certains ramages, ne pu s'empêcher de s'approcher, avisant trois personnes derrière un arbre. Elle cueillit une paquerette au passage avant de s'installer de l'autre côté de l'arbre, dos contre l'écorce, quelques mots entendus venait de son propre discours la veille de la fin des élections, soupire de lassitude qui la prit sur l'instant, la voilà qui compte le nombre de pétales tout en les arrachant. Ecouter la discussion ou du moins ce qu'il en restait, pendant qu'elle pensait à tous ces pics renvoyés à quelques personnes qui se foutaient d'elle depuis bien longtemps.
Point de volontée de passer inaperçue, on avait droit à venir écouter sans parler à son sens et comme elle n'aimait plus vraiment parler depuis, le mutisme devenant un ami de plus en plus proche, elle comptait sans un mot, s'attendant à ce qu'un moment à un autre on lui demande ce qu'elle faisait là. Devra t'elle encore répondre?...

Des querelles... Elle se souvenait de Polignac, à son arrivée, le paradis terrestre comme elle l'appellait, jamais de querelles, juste quielques houles durant les municipales puis tout redevenait normal, les amis se retrouvaient, les connaissances échangeaient à nouveau des propos courtois sans chercher de guêpe ou quelques autres animal piquant. Levant le nez au ciel, elle pensa à son fils, là haut, auprès du très Haut, de sa tante et de son oncle, bientôt elle devra quitter ces terres rouergate qui ne lui avait apporté pratiquement que du malheur pour aller dignement enterrer sa chaire...

Le venin?... Ce comté en avait jusque dans les veines, une telle prolifération de poison ne pourra jamais être distillée suffisemment pour que ce comté retrouve la paix ou plutôt, la trouve...

La suite de la discussion tardait...
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Mircha
Mircha déambulait dans Rodez, le nez en l'air, admirant la capitale qu'elle ne connaissait pas très bien, entre deux gardes sur les remparts.
Après Millau qu'il avait fallu défendre chaque jour puis reprendre, c'était au tour du château ... elle ne comptait plus le nombre de nuits passées dans l'air tiède de la nuit, à surveiller les ombres et les bruits suspects ...

Visant un attroupement sur la place, elle s'approcha et se permit une petite pause, assise sur un chasse-roue en pierre non loin de celui qu'elle reconnu à son uniforme élégant. Elle écouta les propos échangés, et surtout le discours de Lordmick avec attention.

Elle était déroutée par les révélations qu'il faisait ainsi en public. Cela ne lui paraissait pas la meilleure chose à faire en ce moment, avec toutes les oreilles qui trainaient alentour. La suite la laissa interloquée et elle, qui ne connaissait pas grand chose à la stratégie militaire et laissait d'habitude parler les spécialistes en la matière, ne put s'empêcher d'intervenir.

Pourquoi parles tu ainsi du conseil ? Comment peux tu savoir ce que veulent réellement les personnes qui le composent ? Tu n'y es pas !
Et permets moi l'expression, tu dérailles mon cher Lord !

Pourquoi te focaliser ainsi sur notre comtesse ? Dame Harpège n'est pas seule à prendre les décisions et si son seul but était de récupérer son trône de comtesse, tu crois que je la suivrais comme je le fais à présent ?
Tu penses vraiment que tous les membres du conseil élus par les rouegats n'ont que leur poste en tête ?
Tu en as vu beaucoup se pavaner dernièrement d'être réélus ?

Je ne peux parler que pour moi, mais je peux te dire que la seule chose qui me préoccupe en ce moment, ce n'est pas si je serai encore bailli dans quelques jours ! Ce qui me préoccupe, c'est la fermeture des mines et l'impact sur les nouveaux nés, l'impossibilité pour les vagabonds d'évoluer, c'est l'absence de bêtes qui va se faire sentir cruellement bientôt chez les éleveurs, c'est toute l'économie patiemment mise en place, les finances qu'on essayait de remonter depuis la dernière guerre ... tout ça va être à refaire ... Ce patient travail de deux mois, qui commençait à porter ses fruits et qui a été mis en pièce en quelques heures, c'est ça qui m'importe ...

Alors maintenant, imagine une révolte générale, avec tout un tas de gens qui assaillent le château en même temps. Si la révolte aboutit, que va-t-il se passer ?
Les douze personnes les plus charismatiques et les plus vieilles constitueront le nouveau conseil.
Qui peut donc se retrouver propulsé ainsi à la tête du comté ?
Une personne qui voulait juste donner un coup de main mais qui n'y connait rien ou qui n'a absolument pas envie ou pas le temps de s'occuper des affaires du comté, ou un brigand qui se serait révolté en même temps que les rouergats ? Génial !

Soyons réaliste, il est bien évident que n'importe qui ne s'invente pas comte ou bailli ou procureur (voit ce que ça donne quand les manettes sont laissées au mains d'enfants chahuteurs ... "toi t'as une sale tête !", clic clic, "allez zou, au gnouf ! ").

Le conseil élu, formé avec les meilleurs spécialistes des deux listes sera bien plus efficace pour redresser la barre, ça ne me paraît pas difficile à comprendre !
Et je t'assure que le travail ne manquera pas !
Pour la gloriole, on verra ça plus tard quand on aura réussi hein ...

Bref, je pense que c'est ce qu'avait à l'esprit notre comtesse lorsqu'elle t'a parlé de ce problème.
En ce qui concerne les décisions prises dorénavant, défense, révolte, armée, ... enfin tout ce qui pourrait sortir des cerveaux fumants de nos fins stratèges, j'espère que tu arriveras à la boucler et qu'on pourra enfin travailler tous ensemble pour la même idée, la seule qui vaille le coup, le Rouergue !

Et arrêtons de nous chamailler entre rouergats, pas la peine de donner matière à rigolade aux vautours niaiseux qui se croient chez eux ici ...
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Mircha, bailli du Rouergue, garde-pêche de Millau
Lordmick
Lord bvit Mircha arrive sur la place publique et s'adressa à lui. Il sourit et la salua.

Bien el Bonjour Mircha, je vais te repondre. Pourquoi je parle comme ca simplement parce que se son les mots de ta comtesse qui quand elle vient à l'EM nous explique clairement elle a dit clairement et devant temoins que L’avis du conseil est de défendre. Cet avis est sage, car une révolte aboutira à quoi ? Si elle réussit, le plus charismatique sera au pouvoir, conseil de régence. Et il faudra bien une armée pour remettre en place le conseil élu, puisque je suis comtessa élue et que donà Liona, qui préconise la révolte, est plus âgée que moi.

Je n'invente rien et ne modifie rien je dis juste la verite. Tu me parles des autres membres du conseil, je ne les ai pas beaucoup entendu ses derniers quand la Comtesse viens et parle aux noms du conseil tu n'es pas d'accord avec?

Toi au moins es descendu nous dire un peu ou tu en es et ce que tu en penses.

Je vais te repondre sur ta revolte une fois les personnes mise en place qu'elle qu'elle soit d'ailleur elle peuve gerer les affaier urgente avec l'aide des conseillers mise en place par la voie des votes le temps qu'une armee avec les conseillers elu recupere le chateau mais aumoins on aurai peut etre pu sauver les mines graces à cela...

Et si tu as un brigand sur 11 gens bien il ne tiendra pas longtemps. La formation du conseil s'est bien que se soit que des specialistes a ton gout apres les gout et les couleurs.... Si je me permet de l'ouvrir s'est que personne la fait dans ton conseil pour expliquer au gens se qui se passe pour expliquer pourquoi ils sont dans le chateau tranquillement et tout le monde a l'air de trouver cela normal.

Apres je n'ai pas la pretention de te donner des ordres sur ce que tu dois faire ou pas donc je te demanderai de faire de meme si cela pause un soucis trouve d'autre moyen mais pour ma part quand on me dit on ne bouge pas juste parce que je veux pas me faire piquer mon siege ca a le dont de m'irriter car je pensais que seul le peuple comptais et comme je t'ai dis je n'ai rien inventer je n'ai pas pour habitude de mentir ou manipuler moi.

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La garde meurt mais ne se rend pas !!!
Undoadegalo
Galovert en avait vu des paniers de crabes...
Mais rarement avec autant de homards dedans.

Les larves grouillantes de prétentions se gaveront toujours sur le dos du petit Peuple et pleurent toujours sur les malheurs du Peuple quand le talon salvateur de l'Hydre écrase leurs appétits.

Et aujourd'hui grande est leur chance, leur supplice en sera d'autant plus écourté que le talon du Jargor harmonise notre compassion à faire œuvre de salubrité publique.

Nous remercions les uns et les autres pour leur ardeur à se placer, se justifier, à ressasser les vieilles histoires politiquement crapuleuses ... Comme toujours, le monde des nobliaux féodaux est frivole et d'une puanteur qui surpasse celle de mes pieds la veille de mon bain annuel.
La défense fut exemplaire et les contres-attaques forts redoutables.

Nous en avons jeté quelques uns dans les douves.
Quand nous aurons quitté la région, ce sera au Peuple de ne pas faire l'erreur de continuer à élire de tels pathétiques bouffons, candidat éternels à la gloire et aux écus vite gagnés, que la dorure des blasons intéresse plus que le devenir d'un Duché.

Un exemple parmi tant d'autres...

Mircha a écrit:
Je ne peux parler que pour moi, mais je peux te dire que la seule chose qui me préoccupe en ce moment, ce n'est pas si je serai encore bailli dans quelques jours ! Ce qui me préoccupe, c'est la fermeture des mines et l'impact sur les nouveaux nés, l'impossibilité pour les vagabonds d'évoluer, c'est l'absence de bêtes qui va se faire sentir cruellement bientôt chez les éleveurs, c'est toute l'économie patiemment mise en place, les finances qu'on essayait de remonter depuis la dernière guerre ... tout ça va être à refaire ... Ce patient travail de deux mois, qui commençait à porter ses fruits et qui a été mis en pièce en quelques heures, c'est ça qui m'importe ...


En voilà une qui ne manque pas d'air, normal pour une langouste.

Le fruit qui "commençait à être porté" pesait...
-63454,90 écus
lors de la prise du château.

Ce fut d'ailleurs épuisant, nous nous en doutons, ce patient travail de deux mois.... qui a surtout servis à se servir grassement dans des actes de bravoures et d'audaces économiques étonnamment rares.

A moins que persuadés de leurs compétences et amour du Peuple,
ils ne soient que de fats idiots congénitaux...
Ce qui n'est pas à exclure pour quelques-uns d'entre eux.

Peuple du Rouergue, je le prédis sans risque aucun.
Tu vas les entendre se pavaner et prétendre nous avoir chassé.
Se disputant cette gloire guerrière et se distribuant peut-être, encore, quelques autres titres bien ronflants dont cette engeance est friande.

Curés et Évêques viendront bénir leur épée.

Dans quelques heures nous aurons franchis la frontière, tranquillement et avec sérénité.
Nous ne laissons pas derrière nous un Rouergue ravagé, il l'était déjà.
Et par la pire des engeances... celle des féodaux fornicateurs et consanguins.

Si vous ne savez pas profiter de nos actions pour vous débarrasser de vos sangsues...

Alors nous reviendrons vous faire gouter aux joies de l'Apocalypse.

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Rix
Rix venait de finir les préparatifs du départ, mais avant de décoller, il se pointa sur la place publique pour participer joyeusement à cette discussion de haute tenue quand il vit Le Galo s'avançait goguenard et leur dire ses quatres vérités.

Alors, il écouta, avec délectation, puis quand il eut fini, il le regarda avec un sourire accroché aux lobes de ses oreilles.

-Putain, Galo, j'sais plus quoi dire, pour un peu, je t'embrasserais de la manière la plus jargohydrique qui soit!
Mircha
Mircha sourit de l'éloquence douteuse du triste sire et de son acolyte alcoolique qui se contente d'applaudir bêtement les élucubrations du premier.

Je vois, beau mélange d’autosatisfaction débile et de suffisance pompeuse ...

Nous avons ici un bon exemple de philosophie à 3 écus 6 deniers propre aux fainéants et autres pillards pour justifier leurs actes. Elle ne leur sert qu’à masquer le fait avéré qu’ils ne sont que des parasites, des sangsues putrides et gluantes qui se gorgent du sang et de la sueur du petit peuple.

Ne vous inquiétez pas, le peuple sait qui il doit pendre par les pieds pour s’amuser à son tour et bouter ensuite hors de son comté ! Il vous le fera savoir bien assez tôt !

Je ne vous souhaite pas bon voyage, votre lâche fuite ne sera pas de tout repos !

Et si vos trognes avinées pointent de nouveau leur gros nez boursouflé aux frontières du Rouergue, vous serez bien reçus, n’en doutez pas, le peuple rouergat a la mémoire longue et la rancune tenace !

Mircha se détourne et part vers l'armurerie où elle pourra fourbir son épée ... pour se faire comprendre des faibles d'esprit, mieux vaut toujours une bonne démonstration pratique qu'un long discours.
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Mircha, bailli du Rouergue, garde-pêche de Millau
Ledoadahla
Ahla, jamais à plus de trois pas du corps qu'elle garde, écoute attentivement les paroles de galo. Pas à dire, il sait parler, c'est juste magnifique.... Elle adore. Les yeux humides, elle s'apprête à applaudir à tout rompre lorsque le comte consort fait son apparition et intervient... étonnée de le voir vêtu, elle remarque cependant que lui aussi à l'air d'apprécier les paroles plus que sensées de l'homme au couteau.

Elle s'approche pour lui glisser une félicitation à l'oreille, elle n'a cependant pas le temps de faire un pas qu'une donzelle s'approche du groupe. L'esprit en alerte, ahla se prépare à exiger une distance de sécurité. Les courreuses de rempart sont monnaies courantes dans l'entourage de galo, puis, avec son age, faut qu'il se préserve. Tout ceci pensé bien sur, sans arrières pensées aucunes....

La femme commence à parler.... Ahla sent l'odeur fétide de l'aigreur poindre dans son discours. Aucun doute possible leur popularité n'est pas à son sommun chez elle...
Une envie de rire la secoue, mais voyant le regard sérieux de galo, elle s'abstient...

La femme continue de parler, encore... Et ahla se sent poussée par un immense sentiment de gratitude envers l'hydre. Elle ne sera jamais comme elle, tout ce mal etre... Le visage de la femme se transforme sous l'effet de la haine, elle en devient hydeuse... et pas hydreuse, car tout le monde sait que les hydres sont particulièrement... fin bref...



Permettez jeune fille, les sangsues sont des vers a ventouse qui peuvent s'avérer extrémement utile dans le cas de saignée, et aucun de nous n'aurait l'idée pour le moins saugrenue d'aller se coller à un habitant du rouergue, encore moins de lui sucer le sang... D'ailleurs, du sang nous n'en consommons pas, sauf peut être quand le boeuf est au menu... Mais quoiqu'il en soit, jamais frais....
De plus il me paraît incompatible d'être pendu par les pieds et bouté hors du comté en meme temps, comment pourrions nous nous courir, si j'en crois ce que vous dites, avec les pieds attachés. Je vous déconseille cette méthode, d'autant que certains de nos hommes ont tendance a avoir les pieds qui refoulent, la torture serait donc pour vous....

Et pour finir, apprenez que le sieur rix a effectivement un nez assez conséquent, il n'en va pas de même pour galo qui a, lui un nez quasiment parfait... Comme le reste de sa personne d'ailleurs.... Si je puis me permettre...

Sur ce, je vous souhaite le bonsoir....




Ayant terminée sa plaidoirie, elle s'en retourne sagement surveiller le fessier sur lequel elle veille....
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--O_berta
La grosse Berta, domestique lettrée d'un notable rouergat qui la joignait à toutes ses discussions et réflexions. Une proximité qui lui avait permise de connaître l'histoire du Rouergue et surtout, sa valeur la plus ancrée "L'omerta". Une loi du silence qui commençait à la peser, elle simple domestique alors que son patron s'y soumettait pour ne pas perdre ses acquis.

Même si son esprit fut révolté, elle s'était interdite toute intervention publique jusqu'à ce que le château soit repris. Et quand ça a été chose faite, il ne fallait qu'un élément déclencheur pour qu'elle commence à déverser sa propre vérité et cet élément ne fut qu'un Lordmick parlant de vérité et de passé.

Et c'était ainsi que Berta cassa l'omerta.

Messire Lordmick, permettez moi de vous répondre, sans me présenter ni me saluer.

Lettrée, certes, mais loin d'être idiote. Le messire fut la seule chose que le Lord méritait comme signe de respect inexistant et les présentations n'auraient eu que des ennuis sur son maître. Alors, elle poursuivit.

Vous parlez du passé ! Ô ! Passé combien glorieux pour le taire ainsi à nos compatriotes. Comme vous le dites, le passé explique bien la situation actuelle et Ô combien vous avez raison. Alors, narrons le passé !

Suite à la conquête du Rouergue par notre bon Roi, un parti politique naquit en Rouergue. Un parti politique qui prônait ouvertement que le Rouergue devienne une terre d'exil pour les brigands de tout poils, du moment que ces brigands ne touchent pas au Rouergue. Ils avançaient l'argument qu'une population brigande serait toute bénéfique pour le comté. Une main d'œuvre pour les champs et les mines, des marchandises volées à bas prix et la tranquillité sécuritaire.

Évidemment, cette position ne fut jamais retenue officiellement puisqu'elle était intenable, mais officieusement, Nilas avait bien ravagé la Guyenne en attaquant de Ville Franche et les pilleurs de Montpellier ont bien débarqué du Rouergue sans y être inquiétés et ils y sont même retournés après même si là, un comte qui ne l'entendait pas de cette oreille venu juste d'être élu. Mais les comtes qui ont une ouïe défaillante, on y reviendra.

La grocom, dont le créateur fut un pilleur et un des membres, votre ami et ancien comte du Rouergue, Toni Montana était officiellement une guilde marchande et officieusement, l'application du programme cité un peu plus haut. Fourniture du Rouergue des deniers issus des pillages. Ce qui a été reconnu par les politiques de l'époque de façon détournée en disant que la grocom fournissait le Rouergue avec des marchandises à des prix imbattables, ce qui est fort improbable si la provenance de ces produits était licite. Simple logique.

On fait avancer la roue de l'histoire jusqu'à la guerre de l'été dernier où le Rouergue a fait appel à des mercenaires, mercenaires sans loi ni foi dont une personne que vous connaissez aujourd'hui parfaitement, j'ai nommé Sofio. Une guerre où vous avez sans cesse menti au peuple du Rouergue en indiquant que la reprise des hostilités a été sur initiative languedocienne alors que vous avez attaqué Lodève.

Comme capitaine et meneur de l'armée qui avait mené l'assaut sur les murailles de Lodève, vous avez cautionné un mensonge et aujourd'hui, vous parlez de vérité au peuple. Honte ! Honte ! Honte à vous !

Dommage que les lois divines [censeurs] m'interdisent de publier les rapports d'évènements réunis aux locaux de l'armée et où il était clairement indiqué que le combat avait eu lieu sous les murs de Lodève. Mais si vous avez un soupçon insoupçonné d'honnêteté, vous mettrez vous même ces rapports à la vue de tous pour démolir la communication officielle de votre comte à l'époque.

Revenons à notre histoire, Sofio et ses acolytes avaient quitté le Rouergue pour aller attaquer Albi alors qu'elle était censée être au service du Rouergue, attaque qui aurait pu vous mettre Toulouse à dos après que le Bourbonnais Auvergne & la Guyenne, nos alliés traditionnels nous ont lâché à notre propre sort et que vous avez contribué à un isolement sans précédent du Rouergue, diplomatiquement.

Maintenant, faisons encore tourner la roue du temps pour arriver il y a deux mois environ. Sofio; Encore elle, Votre compagne, parait il mais laissons le privé au privé, organisait une attaque massive sur le Languedoc, une attaque où l'hydre était partie prenante et qui échoua, ces brigands se retranchèrent à Millau où ils ont trouvé le soutien de votre cher ami, le comte Toni Montana qui leur a fourni ses compétences pour gérer les armées qu'ils avaient levé.

Entre votre compagne qui organise les attaques sur Languedoc, votre ost qui laisse des armées qui prennent normalement une semaine pour être levées; selon vos propres dires, se constituer, votre ami qui leur fournit même ses compétences stratégiques, une fermeture des frontières décrétée après que toutes les armées soient créées et en route, il n'y a qu'un pas à franchir pour croire à une entente entre le Rouergue et ces groupes de brigands.

Un pas que je laisserai chaque rouergat le choix de franchir ou pas, mais pour ma part, c'est déjà fait.

Le comble de l'histoire, c'est quand les élus du Rouergue, les élus NAR font pression pour qu'un traître, tel Toni Montana ne subisse aucun procès pour avoir aider ces brigands à monter leurs armées. Qu'il soit viré discrètement du conseil comtal, sans aucun communiqué officiel ni explications. Comment peut on qualifier l'aide apportée par cet individu aux brigands qu'autre que de la complicité et de la haute trahison?

Alors, messire, ne venez pas parler de vérité, ni de passé ici !
Ne venez pas cracher votre venin, ici.
Vous avez ruiné le Rouergue.
Vous avez dégouté ses plus honnêtes et fidèles serviteurs.
Je ne compte même plus les hommes politiques qui se sont opposés à vous que vous avez sali, dégoûté et poussé à l'exil.
Si vous ne voyez pas de quoi je parle, vous n'avez qu'à regarder la dernière campagne électorale de NAR qui était plus un lynchage de personnes d'opposition qu'une présentation d'idées.

Oui, le Rouergue est gangrené et il le restera.
Parce que au lieu d'amputer la gangrène, c'est la gangrène qui avance dans le corps sain.
J'espère juste que la gangrène sera arrêtée, parce que après, quand le corps est trop gangrené, c'est la mort qui guette et le Rouergue ne sera plus.

Et aujourd'hui, le Rouergue est à l'agonie de part ses propres actes et sa propre histoire.
Si vous n'êtes pas d'accord sur la moindre information divulguée ici, je vous mets au défi de prouver le contraire. En jouant la transparence sur la guerre ou encore sur la démission de Toni.

La grosse avait fini, elle se sentit la plus légère désormais, malgré son poids.

Elle savait qu'au comté de l'omerta, elle avait dit l'interdit et que désormais, il fallait subir le lynchage voir même l'exil forcé comme nombreux avant elle. Elle n'avait rien, donc, elle n'avait rien à perdre aussi mais sa seule crainte était pour son maître qui risque désormais aussi quelques soucis.
Lordmick
Lord ecouta la dame envoye et sourit sur certains point. Par contre en appris d'autre sur l'histoire du Rouergue au moins il se coucherait moins idiot se soir.

Quand elle lui finit il la regarda puis pris la parole.

Bonjour Dame je vois que vous et votre maitre savez beaucoup de chose ou pensez savoir vu que vous ne pouvez pas affirmer vos dires.

Je comprend que votre maitre est peur de venir en public vu que apparament des tetes tomberont apres et il se murmure que beaucoup de gens veulent la mienne à l'heure actuelle.

Alors j'ai un marché à vous proposez. Dites à votre maitre de venir me rejoindre ici et je lui dirais ce que je sais ou se que j'ai entendu comme ca il aurait les reponses à ses attentes. Je pense pas qu'il soit un lache pour ne pas accepter ma proposition.

Si malheureusement il la decline, dites lui bien que s'ess regrettable car il aurait su ce que je sais.
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La garde meurt mais ne se rend pas !!!
--Dyogene


Dyogene se demandait bien qui était cette matrone...
Il hésitait à demander sa main.
Lui qui cherchait un Homme, finirait peut être par trouve LA Femme!

Il regarda le placardeur de vérité.
S'il disait la vérité concernant la Comtesse Cul-nu qui parlait au nom de tous ses conseillers fidèles caniches, il fallait avouer qu'il ne remontait pas aussi loin dans l'histoire du Rouergue.
Montana, la Grocom, Lodève, autant de taches indélébiles dont le Rouergue mettrait bien du temps à se laver.

Dyogene sans un mot, prit le bras de la grosse Berta et la convia sur son tonneau, hommage suprême s'il en était.
--O_berta
Berta fut surprise par deux choses, la première c'était que le Lord savait pour son maître et croyait qu'elle en était l'envoyée tandis que la seconde était l'homme qui lui avait pris la main et qui la conduit, sans poser trop de résistance jusqu'au tonneau.

Essayant de remettre ses idées en tête dans l'ordre, pour exempter son maître de toutes représailles.

Messire, la seule chose qui est une conclusion personnelle c'est que l'attaque du Languedoc a été faite avec une complicité rouergate et ce n'est que cela que je ne peux prouver de manière directe mais uniquement d'éléments indirects bien éloquents, à mon sens.

Le plus drôle dans l'histoire, c'est que je suis persuadé que Sofio ne voulait pas attaquer le Rouergue, mais vu que personne ne peut contrôler des groupes de brigands et des mercenaires, trois des quatre villes du Rouergue sont tombées et elle n'en est pas moins responsable, ainsi que toute la clique autour.

Mon maître? Même s'il existe, s'il ne l'a pas ouverte avant, cela veut dire qu'il soit un lâche ou qu'il ne veut pas se mêler à cette histoire, contrairement à moi même qui suis là et je n'ai pas peur de discuter avec vous. Vous semblez avoir des informations, vous n'avez qu'à les dévoiler ici. La présence de mon maître n'est point requise pour que la vérité soit connue, votre vérité puisqu'il parait que vous avez des informations à partager et que les rouergats méritent la franchise et la vérité. Si vous n'êtes pas d'accord avec ce que j'ai dit, vous n'avez qu'à l'indiquer. Il y a des témoins, il y a des conseillers comtaux qui étaient en exercice, il y a des soldats; vos soldats, qui ont bien connu la guerre.

Vous ne ferez qu'engagez votre parole, sur des points qui peuvent être contredits avec la preuve, si ce sont des mensonges ou loués si c'est la vérité.
Lordmick
Lord sourit au propos de la femme. Decidement elle avait entendu beaucoup de chose mais comment faire la part entre le vrai et les on dit la etait la veritable question.

Dame je ne doute pas de votre bonne foi et de votre presence ici, d'ailleur ne voyez aucune insulte de ma part mais comme je me doute qu'il ou elle est plus interesse par les renseigneemnt que vous je preferai en discuter directement ... Un peu de courage ne lui fera pas de mal...
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La garde meurt mais ne se rend pas !!!
Indifred
Il fait chaud ! Et les nuits sont longues sur les remparts d'Espalion.... Pour un retour au civil le berger était gaté, des volontaires avaient rejoins son groupe, Espalion ne tomberait pas parole d'Indi... Mais vu que les abords du village étaient calmes, que la nouvelle de la reprise du castel lui était parvenu aux oreilles, il se dit qu'un petit tour à Rodez serait sans doute instructif.

De loin sur la grand place il reconnait la silhouette de Lord, le blondinet, le fort en ramponneau, une de ses plus vieilles connaissances à Espalion, un gars droit même s'il était pas toujours d'accord avec lui et sa grande gueule.
S'approchant furtivement, un oeuil sur les possibles provisions planquées ici ou là, le berger entend les dernières paroles d'une femme à l'allure de paysanne un peu brusque.

Hein trois villes tombées ? Il en était à une et le castel, donc une autre mairie avait dut être prise, vu que c'était pas Espalion et que Millau s'était déjà fait.... restait Villefranche... argg cette fois ci le comté aurait vraiment du mal à remonter la pente... il semblait que la discussion était franche. Le berger sourit à la réponse de Lord, du courage a venir parler en place publique, oui ça ferait pas de mal... Mais lui... élu depuis un bail, membre de pleins de conseils, membre de l'opposition au PUR, puis du PUR, puis du PUR nouveaux contre le canal historique.... il en aurait à dire mais qui ça intéresserait...et puis dans ces histoires personne n'a jamais vraiment de preuves.... avec un sourire il pris quand même la parole:

Hey salut Lord ! Dame, messer ! Content de vous rencontrer chuis Indi, berger à Espalion !
De quelles attaques on parle sur le Languedoc ? Celles de brigands plutôt pas gérables ? Celles pendant la guerre ? Parce que pendant une guerre tout les coups sont bons, et toutes les vérités pas bonnes à dire ! Vous me suivez ?

Ahhh et puis j'ai cru comprendre que les zozios qui ont pris le castel étaient très décus par l'état de notre trésorerie ! Je le connais bien ce trou... il a commencé avec le pillage de l'intérieur en juillet 1457, ouaip il y a un an...puis on est descendu avec la guerre contre le languedoc... moins dix mille, moins vingt mille, après il a y a eu un mandat ou deux ou j'étais pas là....et ça a continué à descendre...jusqu'à moins 80 ou 90 mille écus faut dire que ça empéché pas d'acheter d'être en négatif, comme si un banquier nous prétais de quoi passer un moment difficile...et puis ya plus eu de banquier....et puis grâce à un grand bailli comme Drob on a commencé à se donner des règles et à remonter. Frédérine, Mircha et d'autres se sont battus patiemment pour remonter la pente que Boulasse leur soit rendu ! Bref ce qui m'inquiète c'est que si les apprentis conseillers ont vendu le stock pour se faire quelques écus et que les mairies de Millau et Villefranche sont à sec, je vois pas comment la machine se remettra en route, la mairie d'Espalion y suffira pas...

Marrant quand même il y a trois semaines tout le monde se moquait de Linoa et de son armée inutile, bein voilà a quoi elle devait servir cette armée à Rodez... même vide elle permettait de gagner du temps...
Enfin on apprend de nos erreurs, faut l'espérer en tout cas...

Ca fait du bien de l'ouvrir un peu de temps à autres, Indi se demandait s'il allait rameuter du monde sur cette place ou si comme Harpège l'avait une fois remarqué son calme allait anesthésier l'assemblée.
--O_berta
La Berta riait aux dires du Lord, il faut dire que son repli ne l'étonnait guerre, même si pour quelqu'un qui venait crier la vérité, le silence est vite survenu.

Partez, partez, si vous estimez que les rouergats ne sont pas dignes de votre vérité. Et n'ayez crainte, je n'y vois aucune insulte. Je vous avouerai même que le contraire m'aurait étonné. Vous êtes le premier à crier sur la comtesse par un soit-disant devoir de vérité mais quand on veut creuser un peu plus, il n'y a plus personne.

Se tournant vers le berger, elle lui adresse un léger sourire avant de lui répondre.

C'est les brigands pas gérables dont je parle quand il s'agit d'une complicité du Rouergue, parce qu'il ne faut pas être devin pour voir que Sofio commandait les attaques sur le Languedoc à partir de Millau.

Quand je parle de vérité, c'est de la guerre contre le Languedoc dont je parle et vous venez, sans aucun problème de conscience, de cautionner le mensonge au peuple du Rouergue, sur un sujet aussi important qu'une guerre. Excellent. Je ne m'attendais pas à autant.

Je ne partage absolument pas cet avis, on ne parle pas ici de dévoiler une stratégie militaire, je parle des raisons de cette guerre, de celui qui prend l'initiative. Fallait-il mentir pour justifier la reprise des hostilités, en perdant toute crédibilité diplomatique, alors que le Languedoc était agresseur? Vous qui êtes diplomate. N'est-ce-pas après cet épisode que la Guyenne et le Bourbonnais Auvergne nous ont retiré leurs armées et leur soutien?

Ici, c'était une guerre, même si je crois que le Languedoc avait largement raison à déclarer la guerre, il n'en reste pas moins qu'il était agresseur et que nous avions le droit de se défendre et de contre-attaquer. Désinformer l'ennemi, pourquoi pas. Désinformer les rouergats, alors que c'est justement le peuple et non les militaires notre force majeure en cas de guerre, c'est juste de la connerie surtout que logiquement, le Languedoc ne va pas nous croire parce qu'il sait où se trouvait ses armées et où s'est passé le combat.

Déjà que je ne cautionne pas le mensonge, quand il est grossier et facilement démontable. C'est faire du néfaste avec du mauvais. Et uniquement pour l'usage interne rouergat. On voit bien là le respect qu'a le comte de l'époque à tout les rouergats qui ont passé des semaines sur les remparts.

Vous me parlez aussi d'économie, mais il parait que le Rouergue n'est pas encore rassasié de manger d'une main pillarde, parce que durant la compagne électorale, notre chère et estimée comtesse avouait qu'elle pouvait faire parvenir de la pierre pas chère de sa patrie de cœur; ou d'âme, j'en sais plu. Personne n'a bronché aussi et pourtant, c'est pas un secret que la guerre sévit avec sévérité en Irlande et que le pillage monnaie courante.

Comme quoi, l'histoire n'a vraiment servi à rien, même si cette fois, la victime du larcin est assez loin, ça devrait passer un peu moins amèrement, mais le principe reste le même. Le Rouergue mangera d'un fruit pourri.

Est-ce-qu'on a besoin au Rouergue que le stock déborde et qu'un trésor conséquent soit entreposé aux coffres du castel, sous les trente jours?

Personnellement, non, ce n'est pas ce qui ferait mon bonheur.

J'aimerai voir le Rouergue avec des valeurs qui font de nous les fiers bouseux occitans du sud au sang chaud. L'honnêteté, le travail, la franchise, l'amour de sa terre, ...

J'aimerai voir un comté qui peut tourner en rond économiquement. Même si le positif n'est pas de retour, du moment qu'on est sur une pente ascendante. Oui, je sais qu'un travail de longue haleine a été détruit, je sais que des mines risquent d'être trouvées effondrées, je sais que la remontée va être longue et que ce n'est point facile mais voyez vous, je suis prête à passer mes journées à la mine si ça peut aider.

J'aimerai voir un comté où les dirigeants ne débattent pas à coups de noms d'oiseaux et d'insultes. Parce que ça ne donne ni envie de s'investir et encore moins envie de vivre en Rouergue et quand on voit ce que ça a donné avec "les sauveurs", il vaut mieux ne faire aucun commentaire.

Que ceux qui ne cautionnent pas cette politique de basse cour s'en désolidarisent. Combien de comte a été renversé ici, pour moins qu'une prise de château? Combien de comte a été poussé à la démission? Combien de comte sortant s'est exilé ailleurs ou dans la tombe? S'ils ne venaient pas du cercle de ceux qui critiquent tout et à tout-va?

Combien a-t-on entendu maintenant de voix s'élever contre la carence sécuritaire actuelle? Combien de personnes a demandé la démission de la comtesse qui cherche par tout les moyens de reprendre son trône?

Deux poids, deux mesures?

Non, juste une politique de "suis ou crève" qui sévit depuis bien longtemps à laquelle, parait que tout le monde est résigner.

La grosse soupira, la conclusion était toujours la même et elle n'aimait pas cette conclusion même si son envie n'était que la changer. Mais servante et aussi grosse, elle n'avait pas toutes les cartes en main pour le faire.
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