Lastree
[ Et dans le silence, rentrer ... ]
Elle la raccompagna, serrant son bras de temps à autre pour tenter de lui insuffler un peu de sa force ... pauvre petite ...
Elle pouvait lire dans le regard d'azur le dur combat qui se livrait entre sa conscience pétrie de religion culpabilisante, son envie de croire qu'elle avait fait la seule chose possible, sa peur des conséquences de son acte sur sa vie, et ses questions concernant celle qu'elle venait d'étouffer dans l'uf ...
La marche accélérait le passage du poison dans son organisme et elles devaient faire vite afin de trouver un refuge où la jeune fille pourrait se reposer.
*********************************************************
[ A son chevet ]
A peine Margot eut-elle passé le seuil de la porte qu'elle grimpa jusqu'à sa chambre. Lastree laissa de rapides instructions afin qu'on lui monte une cuvette emplie d'eau fraîche, un linge et d'une paire de draps propres ainsi qu'une bonne quantité d'eau chaude. Elle monta péniblement les escaliers à la suite de la jeune fille et sassit au bord du lit sur lequel elle sétait laissée tombée.
« Je navais pas le choix »
La vannetaise caressa la chevelure dor qui sétalait sur les oreillers, trouver les mots justes qui ne la blesseraient pas plus quelle ne létait déjà nétait pas chose facile :
« Je sais ne tinquiètes pas de cela pas maintenant »
On frappait à la porte et elle se leva pour aller chercher ce quelle avait demandé. Elle jeta quelques feuilles dans leau chaude afin de préparer une tisane qui calmerait ses nerfs tout en diminuant la douleur à venir. Dans la cuvette deau fraîche, elle versa un peu deau de rose et mit le linge à tremper.
Elle revint auprès de Margot et commença doucement à lui laver les mains et bras avec le linge humide, La jeune fille nétait évidemment pas sale, mais elle pressentait quelle devait se le croire à lintérieur.
Leau de rose, par son odeur et ses propriétés calmantes, aurait un effet bénéfique sur ses sens et laiderait à sapaiser.
Tout en faisant cela, elle lui chantonnait une berceuse, comme elle laurait fait pour un enfant, ponctuant le chant de paroles réconfortantes.
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Elle la raccompagna, serrant son bras de temps à autre pour tenter de lui insuffler un peu de sa force ... pauvre petite ...
Elle pouvait lire dans le regard d'azur le dur combat qui se livrait entre sa conscience pétrie de religion culpabilisante, son envie de croire qu'elle avait fait la seule chose possible, sa peur des conséquences de son acte sur sa vie, et ses questions concernant celle qu'elle venait d'étouffer dans l'uf ...
La marche accélérait le passage du poison dans son organisme et elles devaient faire vite afin de trouver un refuge où la jeune fille pourrait se reposer.
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[ A son chevet ]
A peine Margot eut-elle passé le seuil de la porte qu'elle grimpa jusqu'à sa chambre. Lastree laissa de rapides instructions afin qu'on lui monte une cuvette emplie d'eau fraîche, un linge et d'une paire de draps propres ainsi qu'une bonne quantité d'eau chaude. Elle monta péniblement les escaliers à la suite de la jeune fille et sassit au bord du lit sur lequel elle sétait laissée tombée.
« Je navais pas le choix »
La vannetaise caressa la chevelure dor qui sétalait sur les oreillers, trouver les mots justes qui ne la blesseraient pas plus quelle ne létait déjà nétait pas chose facile :
« Je sais ne tinquiètes pas de cela pas maintenant »
On frappait à la porte et elle se leva pour aller chercher ce quelle avait demandé. Elle jeta quelques feuilles dans leau chaude afin de préparer une tisane qui calmerait ses nerfs tout en diminuant la douleur à venir. Dans la cuvette deau fraîche, elle versa un peu deau de rose et mit le linge à tremper.
Elle revint auprès de Margot et commença doucement à lui laver les mains et bras avec le linge humide, La jeune fille nétait évidemment pas sale, mais elle pressentait quelle devait se le croire à lintérieur.
Leau de rose, par son odeur et ses propriétés calmantes, aurait un effet bénéfique sur ses sens et laiderait à sapaiser.
Tout en faisant cela, elle lui chantonnait une berceuse, comme elle laurait fait pour un enfant, ponctuant le chant de paroles réconfortantes.
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