Sylvine
[Au manoir dYtres, le matin]
Arrivée à la hauteur de la grille, Sylvine vit un damoiseau faire de grands gestes et déguerpir à toutes jambes. Cette silhouette lui était parfaitement inconnue. Quelque chose avait été laissée entre les barreaux forgés. Un parchemin
La jeune femme le prit hésitant entre la direction à prendre : courir après ce gueux ou revenir au manoir. Cette missive pouvait être d'importance. Quelle négligence de le laisser à tout va !!
Lhomme courrait fort vite comme sil avait le feu aux trousses, le rattraper eut été inutile.
Ombeline était partie, il ne restait plus grand monde au domaine.
SI Il devait au moins rester la cuisinière..Comment déjà Killian lappelait Marie.
Sylvine rebroussa chemin, fit le tour du manoir essayant de trouver les cuisines n'arrêtant sa course que pour vérifier les pièces par les fenêtres.
Jespère au moins quils nont pas lâché les chiens !!
Marie !! Où êtes-vous ?
Elle trouva une porte entrouverte et pénétra dans une vaste pièce qui devait être un cellier.
Des jambons pendaient....Une odeur de feu de bois et de brouet flottait dans l'air.
Elle vit se détacher de l'ombre une cohorte femme armée d'un bâton à pâtisserie.
Bonjour...Dame Marie? Je suppose. J'ai trouvé ceci au portail..
Elle lui tendit le parchemin se méfiant des réactions de la dite dame.
Une fois qu'elle l'eut en main, la meunière la salua.
Au revoir Dame, je ne peux rester plus longtemps . Killian a trop besoin de nous.
Elle tourna les talons, traversa le cellier, puis le parc, puis entama la descente à vive allure de la sente menant à Bertincourt.
[La matinée passe .à Bertincourt]
Sylvine était passée par le marché interroger chaque camelot, paysan, ou client présent mais point navait vu un petit bonhomme brun haut de trois pieds portant un culotte marron et une chemisette blanche. Elle était entrée dans la taverne « Au plaisir de se retrouver » mais Chou était déjà partie.
Elle était donc en désespoir de cause revenue chez elle harnacher Giroflée qui à son habitude avait brai de désagrément. Elle avait ajouté des paniers contenant légumes pour la têtue, pains et gourdes deau pour le petit fugueur et au cas où elle devrait passer la nuit, couverture et sa bourse aux herbes médicinales. Elle avait revêtue sa cape de voyage et prit son bâton.
Elle allait descendre vers Dieppe, évitant de franchir la frontière, elle ferait les à-côtés du chemin puis se dirigerait vers les falaises afin déviter les malandrins ou du moins pour les voir venir.
Elle afficha un parchemin sur sa porte au cas où on la chercherait.
Je suis partie à la recherche du petit Killian. Je prends la direction de Dieppe. Jespère être de retour au plus tard demain en matinée.
Sylvine, éleveuse de gorets et meunière.
Elle prit la longe de Giroflée qui se mit à déposer un sabot devant lautre. Elles dépassèrent le port et commencèrent la descente vers Dieppe.
Arrivée à la hauteur de la grille, Sylvine vit un damoiseau faire de grands gestes et déguerpir à toutes jambes. Cette silhouette lui était parfaitement inconnue. Quelque chose avait été laissée entre les barreaux forgés. Un parchemin
La jeune femme le prit hésitant entre la direction à prendre : courir après ce gueux ou revenir au manoir. Cette missive pouvait être d'importance. Quelle négligence de le laisser à tout va !!
Lhomme courrait fort vite comme sil avait le feu aux trousses, le rattraper eut été inutile.
Ombeline était partie, il ne restait plus grand monde au domaine.
SI Il devait au moins rester la cuisinière..Comment déjà Killian lappelait Marie.
Sylvine rebroussa chemin, fit le tour du manoir essayant de trouver les cuisines n'arrêtant sa course que pour vérifier les pièces par les fenêtres.
Jespère au moins quils nont pas lâché les chiens !!
Marie !! Où êtes-vous ?
Elle trouva une porte entrouverte et pénétra dans une vaste pièce qui devait être un cellier.
Des jambons pendaient....Une odeur de feu de bois et de brouet flottait dans l'air.
Elle vit se détacher de l'ombre une cohorte femme armée d'un bâton à pâtisserie.
Bonjour...Dame Marie? Je suppose. J'ai trouvé ceci au portail..
Elle lui tendit le parchemin se méfiant des réactions de la dite dame.
Une fois qu'elle l'eut en main, la meunière la salua.
Au revoir Dame, je ne peux rester plus longtemps . Killian a trop besoin de nous.
Elle tourna les talons, traversa le cellier, puis le parc, puis entama la descente à vive allure de la sente menant à Bertincourt.
[La matinée passe .à Bertincourt]
Sylvine était passée par le marché interroger chaque camelot, paysan, ou client présent mais point navait vu un petit bonhomme brun haut de trois pieds portant un culotte marron et une chemisette blanche. Elle était entrée dans la taverne « Au plaisir de se retrouver » mais Chou était déjà partie.
Elle était donc en désespoir de cause revenue chez elle harnacher Giroflée qui à son habitude avait brai de désagrément. Elle avait ajouté des paniers contenant légumes pour la têtue, pains et gourdes deau pour le petit fugueur et au cas où elle devrait passer la nuit, couverture et sa bourse aux herbes médicinales. Elle avait revêtue sa cape de voyage et prit son bâton.
Elle allait descendre vers Dieppe, évitant de franchir la frontière, elle ferait les à-côtés du chemin puis se dirigerait vers les falaises afin déviter les malandrins ou du moins pour les voir venir.
Elle afficha un parchemin sur sa porte au cas où on la chercherait.
Je suis partie à la recherche du petit Killian. Je prends la direction de Dieppe. Jespère être de retour au plus tard demain en matinée.
Sylvine, éleveuse de gorets et meunière.
Elle prit la longe de Giroflée qui se mit à déposer un sabot devant lautre. Elles dépassèrent le port et commencèrent la descente vers Dieppe.