Une vie de rêve à Verdun

Lavania se dégagea de l'étreinte de Tophe brusquement. Elle s'éloigna de quelques pas, levant les yeux pour regarder le ciel. Elle l'écoutait parler sans trop savoir quoi dire, quoi faire, que penser.

Mais arrête de dire ça Tophe, t'arrêtes pas de le répéter! Je crois que je commence à le savoir! Elle commençait à s'impatienter et son ton le faisait sentir.

Tu veux savoir ce qui va pas! Je vais te le dire! Tu ressembles trop à Zeiss! Maintenant laisse moi tranquille!

Elle se précipita en courant plus profondément dans le bois, suivant le cour de la rivière, direction la ville, elle devait rentrer chez elle le plus rapidement possible.

Lavania se retourna plusieurs fois pour voir si Tophe la suivait. Pensant l'avoir semer, elle s'arrêta près d'une souche et s'y assis. Elle posa son visage sur ses mains et laissa libre court à ses sanglots.

Mon amour... Reviens je t'en pris! Je tiendrai plus longtemps sans toi!
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Tophe se sentit bien mal à l'aise,
Pensant, je l'aime, elle doit même pas le savoir,
levant les yeux au ciel
je ne sais plus quoi faire;

Tophe qui connaissait bien la foret savait que la densité de celle-ci couperait les moindres son.
Tophe leva les bras au ciel et cria à plein poumon .
Lavania, Je t'aime
Soulagé d'avoir dit ces quelques mots, tophe commençait à sentir la humidité de la rosée matinal envahir ses vêtements.
Tophe reprit le chemin de verdun
Tophe sentait la colere,l'amour, la rage, la passion ....., en faite, il ne savait trop quelques sentiments bizarre, l'envieillissait.

A quelques pas du chemin de Verdun, aperçu Lavania assise sur un souche un peu à l'écart du sentier;
Tophe avançais sur le sentier du bord du ruisseau
Tophe regardait la belle silhouette,
Tophe dû, ce retenir, de ne rien dire et surtout de ne pas s'approcher; c'est en se mordant les lèvre et ayant le coeur qui battait à faire vibrer tout le grand gaillard que tophe passa sur le chemin à la hauteur de lavania.

Tophe continua le sentier, jusqu'au chemin et fit quelques centaine de mettre quand prit de remords;
Il fit demi-tour, il ne lui fallu pas longtemps pour rejoindre Lavania

Tophe s'approcha de la demoiselle en trainant un peu les pieds pour faire du bruit pour ce faire remarquer.
Coucou, ca va mieux ?
tu avais besoin décharger ton cœur par les larmes ?
Moi aussi, j'ai éprouvé ce besoin que j'ai exécuté par la voix.

Tophe lui tend un mouchoir
On reprends la route ?
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Lavania laissait toujours libres court à ses sanglots lorsqu'un énorme bruit la fit sursauter. Simultanément, tous les oiseaux de la forêt s'envolèrent dans un seul battement d'aile. Il y avait de quoi vous en donner la chair de poule.

Elle gardait la tête levée, la peur qu'elle avait eu avait complètement arrêter ses larmes. Ses joues luisait encore sous la lueur de la lune, elle les essuya avec sa main regardant tout les oiseaux qui sillonnaient les cieux.

Mais qu'est-ce qui s'est passé? Tout à coup, elle se mit à avoir peur, elle était désormais seule dans la forêt et la noirceur était toujours bien présente même si le jour approchait. Quelle espèce de créature avait pu effrayer à se point les oiseaux, si elle rodait toujours dans les parages, elle aurait tôt fait de la retrouver et elle n'osait pas imaginer quel sort elle lui réserverait.

Entendant un froissement d'arbres non loin d'elle, elle se retourna vivement, mais il n'y avait rien, rien n'y personne. En partant, elle avait laisser tomber le pull de Tophe, et c'était sûrement lui qui l'avait en ce moment, elle retourna s'asseoir sur la souche. Pas pour se morfondre, mais pour continuer à réfléchir.

Quelques instant passèrent, elle avait poser son visage sur ses mains et gardait les yeux fermer, heureusement, elle ne pleurait plus. Un bruit attira de nouveau son attention.

Ça y est, la bête viens me chercher. Elle fit le vide dans son esprit, si c,était maintenant qu'elle devait mourir, elle était prête. Elle releva la tête et se tourna en direction du bruit.

Elle se sentit tout à coup vraiment idiote. Comment avait-elle pu croire qu'une bête rodait dans la forêt de Verdun, si près de la ville en plus. Les yeux toujours rougis, elle esquissa un sourire.

Devant elle, se tenait Tophe, vraisemblablement, il allait mieux et lui demandait comment elle allait. Surprise, elle lui répondit à voix basse.

Ça va un peu mieux...

- tu avais besoin décharger ton cœur par les larmes ?

Elle hocha tranquillement la tête, ne regardant que lui de peur que son imagination n'ait eu raison et qu'une bête surgisse des bois à tout instant, elle préférait ne pas la voir.


-Moi aussi, j'ai éprouvé ce besoin que j'ai exécuté par la voix.

Par la... par.... par la voix.... Elle fut rassurer immédiatement, la grosse bête ce devait être Tophe! Un sourire se dessina sur son visage et elle fut même surprise de s'entendre rire, un rire qui lui fit tellement de bien. Voyant sur le visage de Tophe un peu de surprise et pour ne pas qu'il croit qu'elle se moquait de lui, elle cessa de rire rapidement et expliqua la situation.

Je ... Je croyais qu'une grosse bête rodait dans la forêt... Tu comprends, tout les oiseaux se sont envolé en même temps, ce ne pouvait qu'être qu'une grosse bête ou alors un homme hurlant à la lune il semblerait.

Elle se leva et se dirigea vers lui.

On rentre! Elle était déjà de meilleur humeur et se sentait plus légère, elle fit tout le chemin du retour un sourire plaqué sur les lèvres. Elle ne savait pas réellement pourquoi elle souriait, peut-être simplement parce qu'elle rentrait chez elle et parce qu'elle venait d'éviter une mort qu'elle croyait certaine et atroce.

Juste avant de rentrer chez elle, elle se retourna vers Tophe.

Je suis toujours invité ce soir? Je veux dire... T'es pas tanné de me voir?
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Predant les quelques centaines de mètres les sépérant du village, tophe s'amusa à taquiner lavania :
Alors comme ca tu me prends pour une bête des forets?
Une grosse bete qui voulait de tuer; Wouhou, Wouhaou
Éclatant de rire, suivit de peu par les éclat de rire de Lavania
He, arrêtons de rire , on va réveiller tout Verdun .

Tophe souriant à Lavania
Faut pas qu'on nous voit ensemble à cette heure et dans cette tenu, ca va faire jaser dans les chaumières verdunoise, et
je vois pas comment expliquer notre promenade nocturne

[Devant la Maison de Lavania]
Ouf, on ne sais pas fait remarqué,

T'as la plus grande chieuse que je connais, mais j'aime ta compagnie
Souriant
MaisOui, tu es toujours inviter
et je compte bien sur ta présence ce soir, mais, ...
la regardant de la tete au pied
Habille toi bien, cette fois

Bon je vais te laisser à moins que
s'approche pour l"embrasser, en terminant sa phrase
que tu n'invites à boire une tisane bien chaude
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Lavania avait passer tout le trajet du retour à rigoler avec Tophe.

Ouais une grosse bête pleine de muscles qui démolie tout ce qui bouge!!

Elle s'éloigna en éclatant de rire lorsqu'il lui fit le coup du Wouhou Wouhaou, je suis une grosse brute!

Elle avait peut-être laisser échapper le dernier cri un peu trop fort et Tophe la ramena à l'ordre immédiatement. En essayant d'étouffer son rire, elle se rapprocha de lui, marchant à ses côtés dans les rues endormies de Verdun.

Lavania baissa les yeux pour remarquer qu'elle était toujours dans sa robe de nuit. Elle se mit à rire en bougeant ses orteils dans ses chausses.

Bah, j,ai des chausses... Et puis on aura qu'à dire qu'une grosse brute épaisse est venu m'enlever dans mon sommeil et que toi, assis fidèlement dans ta taverne, tu l'as vu passer et tu es venu me secourir avec une paire de chausses sans les poches. C'est tout à fait plausible comme histoire tu crois pas?

Lavania s'amusait beaucoup trop sur le chemin du retour, pour avoir une quelconque notion du temps s'était écoulé ou de la distance qu'elle avait parcouru, pourtant, lorsqu'elle leva les yeux, elle aperçu sa maison.

Elle écouta les paroles de Tophe suite à sa question et ne put s'empêcher de rire une nouvelle fois. En souriant, elle monta les marche qui la menèrent sur le perron, en posant sa main sur la poignée, elle sentit une présence derrière elle et se retourna pour retrouver le visage du Tophe à quelques centimètres du siens.

Il venait tout juste de lui dire qu'il allait la laisser, mais les yeux qui était plongé dans les siens, lui montrait qu'il n'en avait pas le moindre envie. Lavania recula d'un pas, se retrouvant adossé à la porte bien fermer.

Elle avait tenté de s'éloigner un peu de Tophe, se répétant le nom de son mari sans arrêt dans sa tête, mais Tophe semblait profiter du fait qu'elle n'ait plus de possibilité de bouger pour faire une autre enjambée.

Lavania avait la main sur la poignée et tentait désespérément de l'ouvrir, mais cette vilaine porte refusait de s'ouvrir, elle gardait un oeil sur Tophe au cas où, lui aussi ait la maladie des mains baladeuses, mais il semblait tout à fait calme.

Sans crier gare, il approcha son visage de celui de Lavania. Le coeur de la pauvre femme commençait à battre à tout rompre, s'acharnant davantage sur la poignée de porte qui refusait toujours de s'ouvrir.

Il approchait ses lèvres des siennes, la panique était prise dans le corps de la jeune femme, pourquoi cette foutu poignée refusait-elle de s'ouvrir!

Elle sentait le souffle chaud de l'homme qui n'était pas son mari sur son visage, ses lèvres s'approchait davantage des siennes. Poussant un dernier soupire, elle ferma les yeux, tout en détournant doucement la tête.

L'homme lui posa un doux baiser sur la joue. Au même instant, la poignée céda enfin et Lavania se retrouva propulsé à l'intérieur de la maison, elle qui s'était adossé sur la porte de tout son poids, espérant pouvoir se fondre dedans.

Elle laissa échapper un dernier cri lorsque L'homme s'écrasa sur elle, dans l'enceinte même de sa maison.

HAAAAAAAAAAA!!

Se remettant tranquillement de ses émotions, elle regardait le visage de Tophe au dessus d'elle. C'est à cet instant que quelque chose la frappa de plein fouet. Quelque chose qu'elle ne pouvait pas laisser comme ça.

Appuyant sa tête sur le sol, se sentant complètement écraser sous le poids de Tophe, elle réussit à articuler tout bas.

C'est d'accord pour la tisane, je crois qu'on a des choses à se dire...
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Surpris par l'ouverture brutale de la porte,
Tophe sentit ses points de stabilité se deroulé devant lui;
il essaya bien de ce retenir, mais l'attraction de ..... était trop fortes .
Il s'écrasa lamentablement sur le sol, du moins, c'est se qu'il pensa.

Ouvrant les yeux, il d'aperçu très vite, qu'il était tombé sur Lavania.
Ca première, réaction fut d'éclater de rire;
Pensant tout, bas, moins qui avait peur qu'on nous voit dehors ensemble; la c'est dedans, mais dans une situation beaucoup moins explicable.
Puis lui demanda;
Ca va ? Pas trop lourd ?

Tophe repoussa la porte du bout de pied, jusqu'à ce que celle-ci, se ferme complètement.

Tophe amuser par la situation, plus que burlesque !
Commença à chatouiller la belle;
Des rires, Des petits cris , se faisait entendre dans le hall d'entré
malgré les demandes d'arrêt de Lavania,
Tophe continuait de plus belle et sans interruption.

Les deux fous Verdunois gesticulaient, essayant mutuellement d'éviter les ripostes chatouilleuses de l'autre.
Quand, au détour d'une attaque, suivit d'une contre attaque : les deux visages furent face à face, leurs 2 lèvres se touchèrent !

La surprise fut de taille; et quelques secondes s'écoulaire avant que Lavania ne prononce ces quelques mots.

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Lavania avait eu le souffle coupé en tombant sur le sol, elle était parvenu de peine et de misère à ne pas se cogner la tête par terre et au moment même ou elle parvenait à reprendre une bouffé d'air, Tophe s'écrasa sur elle, lui coupant le souffle une nouvelle fois. Elle avait gardé les yeux fermés et avait serrer les dents afin de contenir la douleur des deux chocs et lorsqu'elle les ouvris, ce fut pour voir le visage de Tophe au-dessus d'elle.

- Ca va ? Pas trop lourd ? Lui demanda-t-il.

Elle reprenait son souffle, afin de lui répondre, lorsqu'il se mit à la chatouiller. Il semblait réellement profiter de la situation pour la torturer une fois de plus, sachant qu'elle était sûrement la personne la plus chatouilleuse en ville.

Lavania tentait par tout les moyens de le repousser, ne pouvant lui crier d'arrêter tellement elle riait.

Toooo... TOOOOOFFFFFF..... HAAAAAAAAAaaaaaaaa Elle ne cessait de rire, et pourtant, dans sa tête la panique était bien installée. Ils étaient dans sa maison, et elle ne pouvait imaginer le portrait qu'il devait faire, il suffisait que quelqu'un entre à cet instant pour en tirer de mauvaises conclusions. Tophe était son grand ami, mais avec l'incident de tout à l'heure, elle commençait à croire, qu'ils ne jouaient plus au même jeu tout les deux.

Se rendant compte que de le repousser ne changeait rien, elle tenta de le chatouiller en retour, afin de le faire bouger un peu, c'est qu'il était lourd pour être coucher sur une femme aussi petite que Lavania, qui venait tout juste de se remettre d'un duel à l'épée, qui plus est.

Le chatouillant sans relâche, elle ne vit pas venir ce qui se passa par la suite, elle l'avait chatouiller et il avait riposter, un peu trop fort peut-être. Sentant une douleur au ventre, à cause de l'attaque de monsieur, elle avait relever le tête, comme on a tous le réflexe de faire, afin de se mettre ne petite boule pour faire passer la douleur, le seul ennuie était que Lavania avait Tophe au-dessus d'elle. Les chatouilles cessèrent aussitôt, comme si le temps venait de s'arrêter, il allait se passer quelque chose, qui ne présageait pas du tout la même chose pour chacun des deux Verdunois.

Sans l'avoir prévu, leur visage se retrouvèrent plus près qu'ils ne l'avaient jamais été. Elle était toujours dans son élan, et l'homme au dessus d'elle fut attiré, comme un aimant vers les lèvres de la jeune femme.

L'espace d'un instant, leurs lèvres se touchèrent.

Elle avait une fraction de seconde pour prendre une décision. La décision la plus dure qu'elle n'avait jamais eu à prendre de toute sa vie. Elle avait passé tout le trajet du retour à y réfléchir, ayant remarqué quelque chose dans les yeux de Tophe lorsqu'il la regardait, elle savait, que tout n'était plus qu'un question de temps et elle devait être prête à prendre sa décision, afin de ne pas faire de bêtises sous le coup de la pression.

Une pression énorme qui pesait sur son coeur, elle était dans sa maison, la maison où elle avait vécu avec son mari, mais ce n'était pas les lèvres de son mari qui venait de se poser sur les siennes. C'était les lèvres tendre d'un ami, un ami à qui elle tenait beaucoup et à qui elle ne voudrait jamais faire de peine.

Elle sentait la bague à son doigt se faire de plus en plus lourde, pour le meilleur et pour le pire... Elle avait promis de l'aimer pour le meilleur et pour le pire... Mais lui, voudrait-il toujours d'elle quand il reviendrait? Son coeur lui criait que oui! Mais sa raison lui disait qu'il fallait prendre le risque que le temps ait fait son oeuvre. Une oeuvre dévastatrice...

Tout se déroulait à toute allure dans sa tête, elle n'arrivait pas à y voir clair, de plus, elle sentait les lèvres de Tophe sur les siennes, de quoi vous rendre complètement folle! Elle ne pouvait pas le repousser, sous peur de le blesser et ne pouvait pas répondre à son baiser sans lui avoir parlé d'abord.

C'est ça! C'est ça! On doit mettre les choses au clair!

Éloignant tranquillement ses lèvres de celle de l'homme, elle posa sa tête sur le sol, sentant le poids de Tophe l'écraser plus que jamais. Tout était à présent entre ses mains, il n'y avait plus de retour en arrière, elle devait simplement lui faire avouer une chose et après... Après, après après...

Tophe se leva, lui tendant la main pour l'aider à se relever. Son ventre la faisait toujours souffrir, mais il attendrait, elle avait quelque chose de plus important à régler. Lâchant doucement la main de Tophe une fois de retour sur ses pieds, Lavania se dirigea vers le salon. Une petite pièce occupé par un sofa, une petite table ainsi qu'un foyer.

Tu peux t'asseoir Tophe, je vais aller préparer les tisanes d'accord, si t'as besoin de quoi que ce soit, fait comme chez toi.

Elle se dirigea donc à pas rapide vers la cuisine, c'était le seul moment qu'elle aurait avec elle même pour réfléchir avant de devoir prendre sa décision, si bien sûr, Tophe avait des sentiments pour elle plus fort qu'il n'osait lui dire.

Elle était assise sur le comptoir, le visage poser sur ses mains, pendant que l'eau bouillait sur le feu. Elle tentait de prendre des grandes respirations afin de pouvoir y voir plus clair, car elle savait que la soirée se terminerai probablement en crise de larmes.

Ok Lava, respire... Ça va bien se passer. Il suffit simplement de trouver les bons mots et de ne pas agir sur un coup de tête.

En versant la tisane dans les tasses, elle faisait tourner la bague à son doigt, jamais cette bague ne lui avait démanger autant et pourtant, elle ne pouvait se voir sans elle.

C'est en apportant les tasses au salon et en voyant Tophe assis sur le sofa, qu'elle compris que deux partie d'elle s'affrontait férocement, c'était la guerre la plus sanglante qui soit. Et comme dans chacune des guerres, il y avait toujours un gagnant et un perdant, deux ennemis ne pouvaient vivre en harmonie l'un avec l'autre...

Prenant une grande respiration, elle tendit une des deux tasses à Tophe, posant la sienne sur la table, elle tremblait tellement qu'elle risquait de s'ébouillanter en échappant le liquide chaud sur ses genoux. Elle regarda Tophe assis en face d'elle et s'adressa à lui d'une voix tremblante.

Je crois que t'as quelque chose à me dire Tophe, n'est-ce pas?
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Tophe s'était installé dans le sofa, attendant le retour de la belle Lavania,
Encore tout secoué par ce bref contact lèvre à lèvre; il s'était re-plongé dans les pensées qui lui faisant tant tournée la tête depuis ces derniers jours.

Tophe fut sorti de ses rêves rapidement, quand, il entendit la jeune femme revenir.
Il attrapa la tasse qu'elle lui tendait.
Merci,
aie, c'est chaud.
ceci va nous faire grand bien, pour nous réchauffer
Sachant, bien que la chaleur qui brulait son cœur suffisait à réchauffer tout son corps.
Ayant peine, fini sa phrase, une question timidement posé vains lui coupé le souffle.

euh,
essayant, de cacher ces émotions,
Tophe fixa Lavania dans les yeux, mais, ce ne fut que quelque instant, la jeune femme détourna rapidement le regard.
Tophe pris sa respiration et commença
Oui,
hésitant à continuez,
Mais, je crois que ce n'est pas le bon moment de parler de tout ça !
Nous avons passé des moments très riche en émotion Toi et Moi.
Regardant Lavania pour essayer de déceler des réactions sur son visage, en vaint
Reprenant sa respiration Tophe enchaina :
J'ai très envie de te dire 2-3 mots, je ne suis pas sure que tu sois prête à les recevoir ni même à vouloir réellement les entendre.
Alors, le mieux que j'ai à faire, est de partir!

Tophe la regardant, la gorge noués; il enchaina sans qu'elle n'est le temps de réagir à ces dernières paroles
Tu veux vraiment, franchement que je te parles;
Avalant, une gorgé de tisane pour ce donner un once de courage, même, si il aurait bien préféré un bon verre de mirabelle à cet instant.
J'ai déjà pas mal gâché ma vie à mon age.Je suis un vieux célibataire endurcie; un peu ours, une bête des forets, je n'ai plus rien de bon à attendre de la vie.
Toi, tu est jeune, tu es belle, tu as toute la vie devant toi;
La voix de Tophe,se faisant fébrile
J'ai beaucoup de respect pour toi; Je ne veux pas gâcher ta vie,avoir loupé la mienne ne suffit amplement.
Alors, je te dis simplement profite à fond de la vie

Tophe se leva et pris la direction de la porte;
se retournant une dernière fois vers celle qu'il aimait et qu'il continuerait à aimer secrètement au fond de son cœur.

Mais, arriver devant la porte, Tophe essaya de l''ouvrir;
Mais cette Satané porte refusait de lui obéir.
Après quelques instant, la porte fini par céder devant un Tophe excéder.
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Lavania écoutait les paroles de Tophe, il s'adressait à elle sans lui laisser le temps de répliquer entre chaque rafales d'émotions. Lavania le regardait, elle n'aimait pas le voir dans cet état et aurait aimé faire quelque chose pour l'aider...

- Nous avons passé des moments très riche en émotion Toi et Moi.

À cet instant, il reprit sa respiration, en la regardant attentivement, avant de poursuivre.

- J'ai très envie de te dire 2-3 mots, je ne suis pas sure que tu sois prête à les recevoir ni même à vouloir réellement les entendre.
Alors, le mieux que j'ai à faire, est de partir!

Lavania écarquilla les yeux en entendant ces mots. Elle n'avait pas du tout envie de le voir partir! Elle allait ouvrir la bouche pour le retenir lorsqu'il enchaîna sans lui en laisser l'occasion.

- Tu veux vraiment, franchement que je te parles?

Elle garda le silence en hochant la tête, attendant qu'il est finit de boire sa tisane, se disant que peut-être, elle aurait dû servir quelque chose d'un peu plus fort, car elle même ressentait le besoin de boire quelque chose d'un peu moins doux que la tisane.

- J'ai déjà pas mal gâché ma vie à mon age.Je suis un vieux célibataire endurcie; un peu ours, une bête des forets, je n'ai plus rien de bon à attendre de la vie.
Toi, tu est jeune, tu es belle, tu as toute la vie devant toi!

La jeune femme le regardait, il semblait fébrile, et tout dans son corps, même sa voix le laissait transparaître lorsqu'il repris.

- J'ai beaucoup de respect pour toi. Je ne veux pas gâcher ta vie, avoir loupé la mienne me suffit amplement.
Alors, je te dis simplement profite à fond de la vie.

Une nouvelle, fois, elle ouvrit la bouche pour lui répondre, totalement en désaccord avec ce qu'il venait de dire, mais à sa grande surprise, Tophe se leva d'un bond, déposant sa tasse sur la table, sans lui jeter un seul coup d'oeil.

Une fois arrivée à la porte, il se retourna pour jeter un dernier regard à la pauvre Lavania qui le regardait ébahis. Toujours assise sur le sofa, elle n'arrivait pas à faire quoi que ce soit, ni un seul geste, ni prononcer une seule parole.

Tophe essayait d'ouvrir la porte, mais en vain, il se retrouvait exactement dans le même situation que Lavania quelques instant auparavant. Tout deux, avait essayer de fuir quelque chose. Lavania pour sa part, avait essayer de repousser le moment ou elle devrait renoncer à quelque chose d'énorme. Et Tophe semblait essayer d'éviter Lavania, ou du moins, éviter ce qu'il avait à lui dire.

Cela aurait été le moment idéal pour Lavania de reprendre la parole, mais son corps était toujours figé, elle repensait aux paroles que Tophe venait de lui dire.

Je ne veux pas gâcher ta vie... Profite à fond de la vie... Tu as toute la vie devant toi...

Elle se rendit compte, tout à coup, que sa vie n'avait plus aucun sens sans la personne que son coeur avait choisis.

Sortant aussitôt de ses réflexions, elle releva les yeux vers Tophe au moment même ou la porte s'ouvrait. Se levant d'un seul coup, elle s'écria, sans avoir conscience que sa voix se faisait forte.

TOPHE! ATTEND!

Voyant que Tophe ne semblait pas l'entendre, elle se précipita vers la porte pour le rattraper. Durant la distance qui la séparait du sofa, elle s'acharna a retirer la bague à son doigt, la laissant tomber sur la table. On entendit l'alliance rouler et tomber sur le sol.

Arrivée tout près de Tophe, elle le retint par le bras, au moment même où il faisait un pas à l'extérieur. Elle le retenait de toute ses forces, essayant de le convaincre de rester avec une voix faible, elle savait qu'elle n'avait aucun argument pour le convaincre de rester.

Tophe... Reste... Je veux te parler...

L'homme qu'elle retenait de peine et de misère tourna la tête vers elle. Elle ne pouvait lire l'expression sur son visage, mais il s'agissait bien de son visage. Sentant les larmes qu'elle avait déjà laisser aller refaire surface, elle lâcha son emprise sur l'homme. Mettant ses deux mains sur sa bouche afin de camoufler le son de ses sanglots. Sur l'une de ces deux mains, on aurait du voir la lumière refléter sur l'objet argenter qu'elle portait depuis déjà un bon moment et qu'elle ne retirait jamais, sous aucun prétexte. Et pourtant, l'alliance brillait de son absence.

Oh Tophe....

Oubliant complètement ce que les autres pourrait penser, elle se dirigea tranquillement vers lui. Se blottissant au creux de ses bras. Les larmes coulaient toujours tranquillement sur ses joues, son corps assaillit de soubresaut. Elle s'était diriger vers lui espérant qu'il la serrerait dans ses bras, afin de la consoler, de lui prouver qu'elle n'avait pas tort de s'accrocher ainsi.

Toooophe.... Dit moi... Je veux savoir... J'ai enlever sa bague... Je vais réfléchir... Laisse moi du temps... Je veux seulement savoir... savoir si.... savoir si je suis pas en train de faire une folle de moi... Ou si tu...

Elle releva sa tête afin de regarder le visage de Tophe. Si elle avait bien perçu ses sentiments, elle se devait d'ajouter autre chose afin de le convaincre de rester. Et si elle s'était tromper, elle aimait mieux ne pas imaginer... Tentant le tout pour le tout, sans savoir ce qui se passerait par la suite, elle parvint à prononcer ses quelques mots avec difficulté.

Je... C'est si difficile Tophe... Je.... Je fais toujours les mauvais choix... Je... Je ne sais plus quoi penser... J'ai besoin d'aide... de ton aide... Et de temps... Laisse moi un peu de temps... Et qui sait, on aura peut-être toute la vie devant nous... Je... Tophe... Je...

Les larmes recommencèrent à couler sur les joues de la jeune femme, elle n'avait jamais été confronté à quelque chose d'aussi difficile. Tout en elle se déchirait. Refusant d'en terminer là, elle essaya tant bien que mal, de s,adresser à Tophe une nouvelle fois. Essayant de s'exprimer mieux cette fois.

Tophe... Je t'apprécie beaucoup... *snif* J,ai peur de te faire du mal *snif* sans compter que... *snif* J'arrive pas à expliquer tout ça... *snif*

Commençant à avoir l'esprit plus qu'embrumer par les pleures et la boisson qu'elle avait consommé durant la journée, elle n'arrivait plus à penser correctement, elle avait besoin de temps, et de beaucoup de repos. Se dégageant tranquillement des bras de Tophe, et essuyant les dernières larmes qui roulait sur ses joues elle s'adressa à lui.

J'aimerais que tu restes ce soir. Encore un peu du moins...
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Tophe avec sa force par un seul petit geste, aurait bien pu repousser la jeune femme.
Mais, la peur de lui faire mal ? L'envie de rester ? il n'en fit rien et n'essaya pas d'empêcher Lavania de le retenir.

Tophe était dans un autre monde, ils ne comprenait plus, sa tête et son cœur menait une bataille enragée en son corps.
Pourtant, Il était bien la; droit devant la belle jeune femme à l'écouter buvant chacune de ces paroles.
Il écoutait mais n'entendait rien à ces mots.
Une seul chose avait frappé sont esprit, il n'avait point sentit le contact froid de cette bague quand elle l'avait retenue.

Tophe pensait, pensait, pensait ; Quand, une voix traversa ca tête : c'est la dernière chance de ta vie ; essaye de pas de louper cette fois; dit lui que tu l'aimes
Tophe ne comprenait pas d'ou venait cette, voix, Mais, il avait envie de croire qu'elle avait raison.

D'un coup, alors que la jeune femme venais de lui demander de rester, Tophe s'adressa Franchement sans la moindre hésitation dans la voix à Lavania.
Je t'aime, mais je pars.
N'essaye pas de me retenir, je t"en pris
Si je ne pars pas, jamais, je reviens pas,
Tophe part comme un fou, criant
si je ne reviens pas on ne se retrouve pas
Je t'aime

Tophe se dit, houp's j'ai oublié un petit détail
Tophe revenant en courant sur ces pas jusqu'au perron au Lavania était
N'oublie pas : on a un rendez vous ce soir,et habille toi bien surtout,
Je viens te chercher à 19h
Tophe parlait gaiment, le cœur soulagé, oubliant que verdun c'était éveillé et qu'il n'était pas les seuls ici.

Laissant Lavania sur le perron, il reprit hâtivement sa route, je retournant pour la regarder et lui lança :
Je t'aime

Sur la route, il passe devant grand nombre de verdunois, mais sans réellement les voirs, il poursuit sa route avec son idée en tête.

[AU MILKSHAKES]
tophe met le milkshake sans dessus de dessous.
Mais, ou, j'ai bien pu mettre cette haches;
La colere montant, montant à l'intérieur, tophe lâcha quelque injures à répétition.
Tophe continuait à fouiller les coins et recoin quand un objet, s'écrasa non loin de ces pieds.
ha, la voila,
et oui, je l'avais caché la haut, pour éviter que nos bambins ce fasse mal.

Tophe prit l'objet tant convoité et sorti comme une furie de chez lui.
traversant la taverne la hache sur l'épaule.

On l'interpelait, mais les injonctions restait sans réponse.
Tophe avançait avec une idée en tête;


[A Travers Verdun]
Tophe pris la ruelle à droite jusqu'à la forge de Garner.
la porte était grande ouverte., Il s'exclama ;
he Garner, t'es la ?
restant sans réponce, il en déduit le propriétaire n'était pas la,
Tophe entra, soupira
faut bien que je l'aiguise cette foutu Hache.
Ayant vu son amis, accomplir cette tache à mainte et mainte reprise
Tophe se lanca dans l'exercice; apres, une bonne heure de labeur,
tophe arriva à ces fins.
bon c'est pas le top, mais pour ce que j'ai à faire.
ca ira bien, je repasserai voir Garner de demain.

Tophe repris la route
Tophe avançait d'un pas déterminer, en direction de la maison de Lavania.

Devant la maison de son amour, il ralentit, espérant voir une silhouette.Mais, rien,
Déçu de ne l'avoir aperçu, il continu sa route
une fois la maison, passer, il tourne sur la grande rue, croisant son tavernier
Ad, t'es encore en retard !
dépéche-toi!
tu va y aller en courant, ou, je te pousse à coup de hache.
dit-il en brandissant la hache .

Tophe continua sa route, se retournant, en entendant claquer les sabots de Ad.
ha, ca à fait son effet, il, c'est mis à courir !

le soleil commençait à apparaitre derrière la colline,
c'est une bonne journée qui s'annonce;
ceci égaye un peu le vieux ronchon;
Tophe prit alors le petit sentier le long de la riviere,
tiens on dirait mon pull, ca .
il le ramasse, le secoue un peu, laissant tombe les quelques insectes ayant pris logement à l'intérieur.
puis, le jette sur son épaule.
la douce odeur laissé par la douce Lavania à l'intérieur, lui rappela, le bon moment passé en sa compagnie en se lieu


[Au coin de Paradis]
Tophe commençais à faire les cents pas, il regardait à droite à gauche; le ciel la terre.
et Tophe, s'exclame
c'est la ! oui, c'est ici que je vais construire ma maison pour finir mes jours

Tophe s'enfonce dans la foret, choisit quelques grands chênes bien droit, et commence à les abattre un par un.
Bon je dois en avoir abattu assez;
Tophe rassembla les bouts d'arbres qui venait de couper; en se rappelant le temps ou avec son père charpentier, il montait des petits cabanons pour les chasseurs; des charpentes, et l'hivers fabriquais des sceaus, des manches, ....

Tophe avait grand cœur, à l'ouvrage, il ne perdait pas une minute, il travaillais, travaillais sans répit, sans relache
En oubliant me de manger, (pas grave, avec ces réserves)

Et, Apres, une bonne journée de travail de forca,
tophe ayant accompli son travail, regardait le resultat quand, il fut attirer par un rayon de soleil se refletant dans le ruisseau.
il leva les yeux en direction du le soleil et le déclinant,
c'est déjà 18h30,
aie ! aie ! je vais être en retard

Tophe plonge la tete et les bras dans le ruisseau;
bah, ca ira comme ça le brin de toilette.
Tophe ce mis à courir, courir à en perdre haleine
les questions ce bousculait dans sa tete :
Va t'elle venir ? de poison ou de passion ? As-t-elle pris la mesure de mon amour ? d'amour ou d'amitié ? va t'elle m'en vouloir de l'avoir laisser ?;sais-t-elle veut vivre avec elle ? m'aime t-elle ? encore et encore ces meme question qui tournait dans ça tête.
jusqu'à ce qu'une autre question viennent perturber le cycle :
et si, et si; j'avais tout fait ça pour rien ?
Tophe se répète cette question à haute voix :
et si; j'avais fait tout ça pour rien ?
Tophe réfléchit et dit gaiement
Pas grave, je viendrais vivre ici tout seul, C'est la vie,
Le célibat, la vie d"Hermite c'est mon destin, je dois d'accepter ainsi

A peine avait-il proposer ces derniers mot qu'il était devant la maison de la belle Lavania. Tophe, l'esprit bien occuper, n'avait pas vu à quelle vitesse, il avait avaler les kilomètres.

Il reprit son souffle pendant quelques instants,
Puis frappa à la porte.
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Lavania se tenait toujours dans le chambranle de la porte. Il y avait déjà un bon moment qu'elle avait regarder Tophe partir. Elle n'avait pas bouger, n'avait pas tenter de le retenir, ni de prononcer une seule parole.

Maintenant qu'il était partie, elle repensait aux paroles qu'il avait prononcé.

Je t'aime, mais je pars. N'essaye pas de me retenir, je t"en pris. Si je ne pars pas, jamais, je reviens pas, si je ne reviens pas on ne se retrouve pas... Je t'aime

Il m'aime... Et moi... Et moi je... J'arrive pas à y voir clair... Se dit-elle, en ayant le réflexe de jouer avec son alliance, mais cette fois, pas d'alliance... Cette constations lui fit un pincement au coeur. Ho mon amour... Je m'excuse... C'est pas pour longtemps... Je vais y réfléchir et peut-être que je la remettrai... mais peut-être pas aussi... J'ai tellement les idées embrouillées... Une fois ses mots prononcé, elle referma la porte et se dirigea vers sa chambre.

Retirant ses chausses, elle se glissa sous les couvertures, les serrant contre elle. Elle regardait fixement la place vide à côté d'elle, laissant couler, en silence, les larmes sur ses joues.

Oh Tophe... Se fut le dernier mot qu'elle murmura avant de s'endormir, morte de fatigue, l'âme ravagée par le choix qui se dressait devant elle.

Durant son sommeil, elle se vit confronter à une intersection, la rencontre de deux chemins, qui se poursuivait en deux directions totalement opposé, elle savait que si elle empruntait l'un des deux, elle ne recroiserait jamais l'autre... Elle ne savait pas ce qui se trouvait au bout de chacun des deux chemin, bien que l'un d'eux était un peu plus brumeux que l'autre. L'un d'eux, lui semblait aussi étrangement familier, comme si elle avait emprunter se chemin des dizaines de fois.

Elle avait donc le choix entre, sauter dans l'inconnu, sans savoir si elle allait se retrouver sur une impasse et se casser la figure en regrettant de ne pas avoir pris l'autre voie. Ou alors, découvrir que derrière la brume se trouvait un merveilleux sentier ensoleillé.

L'autre choix, était d'emprunter le sentier qui lui était familier, celui où elle savait à quoi s'attendre, celui sur lequel elle avait marché depuis les derniers miles. Un sentier qui ne cessait de la surprendre et elle le savait. Mais était-ce vraiment ce qu'elle voulait? Continuer sur la même voie?

Elle savait que de choisir un chemin signifiait que la possibilité de revenir en arrière était totalement exclu. Bien que le choix d'un chemin était, pour sa part des plus banale habituellement, cette fois, elle se sentait déchirer, seul l'un des deux pouvait lui apporter ce qu'elle cherchait.

Fermant les yeux, elle s'avança vers l'un des deux sentiers. Totalement au hasard. Dès qu'elle fut sur celui qu'elle avait choisis, un énorme bruit lui fit ouvrir les yeux, le deuxième chemin, venait de se briser en mille éclat, tombant dans le vide. Un horrible hurlement se fit entendre, au même moment où, une douce chaleur réchauffait la jeune femme. Elle jeta un dernier regard au chemin qui venait de sombrer, elle ne saurait jamais ce qu'il y avait au bout...

Se réveillant en sursaut, elle eu comme premier réflexe de tendre les bras, en hurlant.

MON AMOUR!!!!!!!!!

Ce cauchemar avait été horrible! En temps normal, elle aurait qualifié cette vision nocturne de rêve, mais vu les choix qui déchirait tout son être, ce ne pouvait qu'être le pire cauchemar de son existante.

Ses bras ne croisèrent que du vide, il n'y avait personne à ses côtés, personne pour la réconforter. Sans pouvoir rien y faire, elle éclata en sanglot.

Mon amour.... revient...

Plongeant son visage dans son oreiller, elle finit par s'endormir lorsqu'elle eut complètement épuisé toutes les larmes de son corps. Le reste de la nuit, se déroula sans rêve, même si son sommeil restait agité.

Ce n'est que vers midi qu'elle ouvrit de nouveau les yeux. Cette courte nuit de sommeil, lui avait fait le plus grand bien. En ouvrant les yeux, elle vit le visage de celui qu'elle devait choisir, celui qu'elle allait choisir, même si c'était la mauvaise décision, il ne pouvait en être autrement.

Passant au salon, elle ramassa la bague qui traînait sur le sol et alla la poser sur la table de chevet dans sa chambre. Elle sortit dehors un petit instant, s'asseyant au bord de la rivière, pour y tremper les pieds. Après quelques minutes, elle descendit tranquillement dans les eaux froides. Elle avait de l'eau par dessus la tête, et cela lui permettait de se détendre. La journée s'annonçait difficile, elle allait devoir, d'une façon ou d'une autre, décevoir quelqu'un. Et cette idée ne l'enchantait guerre.

La journée se déroula plutôt lentement, elle redoutait le moment où elle devrait annoncer sa décision.

Comment va-t-il réagir? Qu'est-ce que ça va changer? Sûrement beaucoup de choses... Est-ce que on va toujours rester ami.... Est-ce que....

Elle ne parvenait pas à s'imaginer comment la journée allait se terminer, rien n'était encore écrit. Et le pire restait à faire.

Peu avant 19h, Lavania avait commencé à enfiler ses braies et sa chemise, laissant tomber ses cheveux sur ses épaules. Elle sentait quelque chose dans son ventre, une douleur qui s'étendait dans tout son corps.

Sûrement le stress. se dit-elle...

Au moment ou elle posait ses mains sur son ventre pour diminuer la douleur, on frappa à la porte. Sentant la douleur se faire plus aigu, elle se dirigea vers la porte en essayant de paraître détendue.

Prenant une grande respiration, elle ouvrit la porte et vit le visage de Tophe. Elle lui fit signe d'entrer. Prenant son courage à deux mains, elle le regarda s'adressant à lui.

Tophe, je... Est-ce que je peux te parler avant qu'on y aille? Où alors tu préfères là bas... Je...

Elle soupira, sachant qu'elle devrait le lui dire tôt ou tard, mais n'en ayant pas le courage.

C'est comme tu veux...
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tu aurais pas une bouteille de mirabelle ?
je crois qu'on va en avoir besoin l'un comme l'autre.
j'ai travaillé très dur aujourd'hui pour ,...

Tophe regardais lavania, se retourner pour aller à la cave, ces long cheveux volaient dans le vent
Tophe sentis son visage rajeunir, son cœur rebattre normalement.
En l'espace d'une fraction de seconde, il venait de revenir quasiment 18ans en arrière;

il interpella la jeune femme
Lavania, si te plait revient ;
Tout, ce que j'ai pu de dire, jusqu'à aujourd'hui, j'aimerai que tu l'oublies.
Et te retournant, je viens de comprendre, j'ai u un déclic.

je ne pourrais jamais être ton amant.
Je suis ton père.

Tophe ne retenais plus son émotion,pour la première fois des larmes de joie, de bonheur, envahir ces yeux; la bête avait un cœur et il avait retrouver sa fille.
Il était enfin soulagé;
il allait pouvoir se retirer pour finir sa vie paisiblement.

Allez, vient dans mes bras,
Tophe lui tends ces bras

On se boit se petit verre de mirabelle pour fêter nos retrouvailles.;
mais, j'aimerai que la bouteille que tu viens d'aller chercher tu la gardes bien précieusement et que tu la ressortes juste pour les grandes occasions car, c'est elle la clef de notre histoire.

Tophe était souriant, heureux comme j'avais il ne l'avait été aupravant
Je n'étais pas la par hazard, je t'avais inviter, il me semble;
ma proposition tiens toujours
Alors, si tu veux bien accompagner ton vieux père ?

En route, je te expliquerais, il y a plein de chose que tu dois savoir
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Lavania s'était retourné et diriger vers la cave pour aller chercher une bonne bouteille de mirabelle. Peut-être même qu'elle en ramènerait deux, elle aurait besoin d'une bonne dose de courage, et la mirabelle vous aide toujours dans les moments difficiles.

Oh ma lava, comment tu vas faire pour lui annoncer que c'est Zeiss que t'as choisis? Et comment est-ce qu'il va réagir?

Elle ferma les yeux, elle était sur le point de changer de direction, se dirigeant maintenant vers sa chambre, elle aurait besoin de sa bague pour se donner du courage.

Si seulement t'étais là mon coeur... Si seulement...

Au moment où elle faisait un pas pour changer de direction, Tophe l'interpella. Elle se retourna en le regardant, le visage en miette, elle avait de la difficulté à le regarder en face, lui qui allait apprendre la mauvaise nouvelle d'ici peu.

-Lavania, si te plait revient ;
Tout, ce que j'ai pu de dire, jusqu'à aujourd'hui, j'aimerai que tu l'oublies.
Et te retournant, je viens de comprendre, j'ai eu un déclic.

Lavania leva un regard intriguer vers lui, il semblait un peu trop... de bonne humeur à son goût. Peut-être était-il convaincu qu'elle allait le choisir, alors que c'était tout à fait le contraire. La douleur dans son ventre se fit plus intense, l'homme allait tomber de haut et tout ça par sa faute. Elle baissa les yeux, incapable de le regarder en face.

- Je ne pourrais jamais être ton amant.

Aussitôt, elle relava les yeux, mais qu'est-ce qu'il voulait dire par là? Il l'avait confronté au choix le plus difficile de son existence et maintenant il venait lui dire qu'elle n'était pas assez bien pour lui?! La culpabilité fut alors remplacer par un brin de colère, qui fut vite remplacer lorsque Tophe se remit à parler.

- Je suis ton père.

Elle écarquilla les yeux. Manquant tomber à la renverse.

Elle regardait l'homme en face d'elle qui se disait son père, des larmes coulaient sur ses joues, mais il ne semblait pas triste... Au contraire, il avait l'air serein. Il lui tendait les bras

- Allez, viens dans mes bras.

C'est fou, on dirait presque qu'il est sérieux. se dit-elle.

Elle le regardait méfiante, se tenant toujours au même endroit.

- Je n'étais pas la par hazard, je t'avais inviter, il me semble; ma proposition tiens toujours. Alors, si tu veux bien accompagner ton vieux père ?

Cela faisait étrange d'entendre de tel paroles, son vieux père... Elle n'avait pas eu de père depuis... Depuis... Elle ne se souvenait pas d'avoir jamais eu un père en fait...

- En route, je te expliquerais, il y a plein de chose que tu dois savoir

Franchement, pour une soirée imprévue, c'était une soirée imprévue! Elle avait de la difficulté a démêlée tout ça...

Euh... je... oui d'accord, je dois juste...

Elle lui indiqua sa chambre et s'y précipita en courant. Elle n'avait pas remis la bague à la suite de sa décision pour ne pas que celle-ci la trahisse et lui empêche de d'expliquer son choix.

Elle sauta sur le lit, attrapant la bague, en posant un baiser dessus avant de la reglisser à son doigt.

Serrant ses mains contre son coeur, elle prit le temps d'adresser une courte prière pour son mari, avant de retourner voir Tophe.

Je suis prête... Euh... et j'aimerais bien que tu m'expliques... Je suis sérieusement un peu perdu... J'étais certaine que tu partirais en claquant la porte ce soir et là... Je suis un peu prise au dépourvue...
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Tophe passa le premier, dans le couloir, sans un mot, il avançait.
Arriver devant la porte, tophe tourne la poignée et tire la porte d'un coup sec.
Celle-ci ouvre sans encombre, comme si, tout avait été débloqué comme par magie ce soir.

Tophe fit signe à Lavania de passer devant, ce que la jeune femme fit,
Tophe tira la porte derrière lui et passa devant pour descendre les marches du perron.

Nous commencions à peine à marché, quand Tophe dit :
La première fois que je t'ai croisé, j'ai ressenti comme un point dans mon cœur, sans comprendre pourquoi,
et ce phénomène, n'apparaissait que en ta présence.
Alors, j'ai commencé à m'intéresser à toi,
les jours, les mois passait et une complicité naissait entre nous.

Mais, au fils, des jours, non esprit a commencer à délirer; et, j'ai fini par me mettre dans la tête que je t'aimais.

Et la tout à l'heure, te regardant, j'ai u une sorte de flash,
j'avais la même silhouette, la même chevelure; les même geste, devant moi que ceux d'une femme que j'ai connue 18ans plus tot.

j'ai de suite compris que tu étais la fille de cette femme, j'ai aimé passionnément et avec qui j'ai u un enfant.
Sachant qu'a ta naissance, les choses se sont tres mal passé, j'ai failli vous perdre tout les deux ce 27 septembre, et que ta mère ne pourrait jamais avoir d'autre enfant.

Tu es bien ma fille, mon unique fille, laisse moi te serrer dans mes bras, je tends prie.

Voila, tu sais tout,

Mais, tu te souviens quand tu n'etais qu'une jeune et frele fillette dans notre deumeure?
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Lavania marchait tranquillement à côté de son... père... Elle écoutait avec attention ce qu'il lui racontait.

Super, il a finit par se mettre dans la tête qu'il m'aimait, c'est super flatteur ça vraiment!

Elle doutait encore un peu de ses paroles, mais plus il racontait son histoire, plus les évidence était frappante.

18 ans... Heum... ça ressemble pas mal à mon âge ça... Haa et puis, je suis pas la seul personne à avoir 18 ans! Ça compte pas ça! Bon la silhouette, les cheveux... là j'avoue il frappe fort mais quand même!

Même si elle essayait de trouver 12 millions de raisons, qui ferait que peut-être Tophe avait tort, elle était passionné par cette histoire. Une histoire qui se terminait sûrement, fort mal... Compte tenu du fait qu'elle n'avait jamais connu son père.

- j'ai de suite compris que tu étais la fille de cette femme, j'ai aimé passionnément et avec qui j'ai u un enfant.
Sachant qu'a ta naissance, les choses se sont tres mal passé, j'ai failli vous perdre tout les deux ce 27 septembres, et que ta mère ne pourrait jamais avoir d'autre enfant.
Tu es bien ma fille, mon unique fille, laisse moi te serrer dans mes bras, je tends prie.

27 septembre!! Ok... peut-être qu'il a pas tort... Elle se retourna et regarda Tophe sous un oeil nouveau. L'oeil d'une fille qui rencontre son père pour la première fois... Timidement, elle s'adressa à lui.

Tu as failli nous...perdre? Elle était intriguer par certain détail manquant. Qu'est-ce qui est arrivé?

Elle regardait son père, décidément, cela allait lui prendre du temps à se faire à l'idée... Elle s'approcha tranquillement de l'homme, et se blottit au creux de ses bras. Elle connaissait Tophe depuis longtemps, mais à ce moment, elle avait l'impression de parler à un homme inconnu, comme quoi, l'amour peut changer quelqu'un...

- Mais, tu te souviens quand tu n'etais qu'une jeune et frele fillette dans notre deumeure?

Lavania secoua la tête, en levant les yeux vers son père.

Je... Non... Je me souviens même pas d'avoir eu un père... Je... Juste le type qui a marié ma mère, mais... Je... s'il te plait... dit-moi ce qui s'est passé... c'était comment??
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