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Une vie de rêve à Verdun

Lavania
Voir Réponse d'Elendra à la page précédente, Ce que c'est nul quand ça change de page comme ça!^^

Lavania était fort probablement en peine discussion avec Elisette lorsqu'elle entendit le cri de sa petite! Et une mère ne peut pas rester bien indifférente aux appels de sa progéniture. Elle se retourna donc, en souriant et vit que la petite transportait quelque chose, mais elle avait de la difficulté à voir quoi.

Alors ma puce? Qu'est-ce que t'as là? Lui demanda-t-elle en se penchant pour regarder, mais tout compte fait... Se pencher, ce n'était pas la meilleure des idées et elle se dirrigea donc vers la chaise la plus proche.

Bon aller viens ma puce, on va regarder ça de plus près toi et moi. Elle la pris sur ses genoux en souriant à la duchesse qui suivait la petite fille.

Alors... Elle écouta Elendra qui lui expliquait un tât de truc à propos des collier qu'elle tenait dans les mains, alors que Ike s'approchait discrètement, intrigué fort probablement par l'enthousiasme de sa grande soeur.

Ce dont on pouvait comprendre des paroles d'Elendra ressemblait fort à ceci;

- Uuuun pouhe Ake! Unnnnn Pouhe moi! Uuun pouhe bébé! Hose na moua! Bleu na Ake! Blaan pouhe le bébé! Ake pi le bébé vont navoir plein dents! Mais pas moua!! Mouas nui grande! Gardeuh! Et elle smontra toute sa dentition à sa maman avant de poser le blanc sur le bedon de sa maman.

- Va n'être contente le bébé! Moua nui suhe que va n'aimer le blanc! Pi nes foua, moi prêter à lui le hose pit-être... Va n'être content hen le bébé? Demanda la petite, comme pour avoir une l'approbation de sa maman.

Hoo oui ma grande! Il va être content le bébé! Et regarde... Elle attrapa le collier qui allait glisser de son bedon suites à un petit coup de pied du bébé qui fit rire Elendra.

Je vais le mettre dans mon poignet, comme ça on va pas le perdre. Elle joignit donc le geste à la parole et attacha bien solidement le petit collier à son poignet avant de poser sa main sur son ventre.

Tiens regarde comme c'est joli! Dit-elle en regardant le sourire de sa petite.

Tu veux bien m'aider à mettre celui là à Ike?

Et avec l'approbation de la fillette, elle la posa par terre en prenant le collier avec le ruban bleu.

Tu lui tiens les mains pour qu'il reste debout, pendant que je le lui met, ma grande? demanda-t-elle en posant les petites mains du petit frère dans les mains, presque aussi petite, de sa grande soeur.

Le petit bonhomme tenait sur ses petites jambes avec peine, mais cela le rendait heureux de voir le monde de haut et il pliait les genoux et les dépliait en poussant des petits cris joyeux.

- Tu va vouahe Ake! Tu vas nêtre beau avè ça!

Et leur maman finit d'attacher le noeud en regardant le résultat un petit sourire aux lèvres de voir que ses enfants si heureux. Elle se releva en essuyant une larme qui coulait au coin de son oeil en regardant ses enfants s'accorder pour une fois.

- Faut nu fasse tention au collier! N'est phécieux! N'en a un pouhe toua, un pouhe moua pi un pouhe le bébé. Le bébé n'est un fille hein, c'est vhai Ake?

Et ça continuait comme ça, le petit Ike s'écrase doucement sur le sol en essayant de mettre le collier dans sa bouche, et Elendra en grande soeur qu'elle était, prenait doucement sa main et l'éloignait du collier en lui expliquant qu'il ne devait pas le mettre dans sa bouche.

C'était un scène si mignonne que Lavania regretta que leur père ne soit pas là pour voir ça. Elle se tourna vers Sybille en lui souriant.

Merci beaucoup, ce n'était pas la peine mais merci. En tout cas Elendra à l'air d'apprécier. Elle sourit de nouveau puis baissa les yeux vers le collier qu'elle avait à son poignet.

C'est vraiment très joli, finit-elle par ajouter.
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Sybille_von_frayner
Sybille regardait faire Elendra avec beaucoup d'intérêt. Sourire aux lèvres, yeux qui pétillent... La Duchesse était tout bonnement subjuguée par ce qu’une si petite demoiselle réussissait à dire et à faire.

Elle observait la scène quand elle vit toute l’émotion de Lavania. Elle laissa faire les enfants, préférant ne pas intervenir. Puis, une fois que tous deux étaient occupés à comparer leur nouvelle possession, elle se tourna vers la future maman…


- Lavania, vous semblez si émue… Je suis navrée… Je ne voudrais en aucun cas provoquer chez vous d’émotions trop fortes. Vous savez, ces petits colliers n’ont que peu de valeur. C’est une guérisseuse de mes terres qui les fabrique. Chacun de mes frères et moi-même en possédions un lorsque nous étions enfants. C’est une tradition familiale. L’ambre a des vertus thérapeutiques, mais on en trouve partout. Ce n’est là qu’un bien modeste cadeau.

Elle lui sourit, tentant de la rassurer. Puis elle s’assit auprès d’elle.

- Alors dites-moi… Comment se passe votre grossesse ? Bientôt nous ferons connaissance avec le dernier né. N’êtes-vous pas trop fatiguée ? Si cela peut vous soulager, venez passer une journée au castel avec les enfants. Ils auront moult choses à faire et vous pourriez prendre un peu de repos…
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Jeune mariée au comble du bonheur

Duchesse d'Herbéviller, Baronne de Dombasle, Dame de Bauley et de Beynac
Tophe69
la soirée avait bien commencée et l'apperetif à la mirabelle commençait à faire ressentir ces premier effet les langues ce deliaent l'ambiance voyait doucement le jour.
Quand Tophe se rendit près de la cheminée, Il attrapa une cloche qu'il fit tinter.
cling cling

Tophe était concentrer,il avait préparé son discours dans les nuits précédant cette soirée.
Et il s'adressa à ces amis de la facon suivante.

Bonjour a tous et toutes,
je vous ai acceuilli ce jour avec un petit mot pour chacun d'entre vous, car vous etes mes amis certain me connaissent depuis longtemps d'autres commence juste a voir une amitier en nous.
Je ne parlerai pas de ma famille presente elle aussi, entre autre ma fille, et de mes petits enfants qui sont parmis vous aujourd'hui.
J'ai une facilété pour faire de long dsicours ou de long courrier, car je suis un politique dans le sens noble de ce mot,
OUI, je suis un homme de conviction et de gestion de la cité; je connais bien les dossiers, la vie, la ville.
Mais ce soir devant vous tous, je suis tophe votre ami, votre pere, votre grand papy,
et j'ai beaucoup de chose à dire de cela.
Je ne pourrais pas evoquer cette vie sans avoir de penser pour une amies decedé depuis quelques semaines, celle qui m'a donné le gout de la politique, mon amie McChipie.
Depuis ce temps la de l'eau a coulé sous les ponts; des ducs et des duchesses ce sont succesder à la tete de la lorraine; mais mon envie de voir verdun et la lorraine rayonné n'a jamais été affaibli.
Aujourd'hui, Je suis membre d'un parti politique, donc, je ne venterrais pas les merite ce soir; car ce n'est ni le lieu ni le moment.
Car en effet, la politique, la vrai politique ne ce fait pas dans un parti mais sur le terrain.

Homme de terrain et de conviction; j'ai su défendre quelques projet ambicieux, qui demain seront loi; mais qu'il en soit ainsi tant mieu pour la lorraine.
La vie politique n'ai pas de tous repos, pour celui, qui veut vraiment ce donner la peine d'avancer. J'ai du essuyer des reproches, des critiques, des tentatives de coups de prise de pouvoir.Mais, grace au travail de la marechaussé, et de certain d'entre vous ont ete vain et ce sont soldé par des proces.

OUI mes amis dans une ville, on ne peut pas avoir la majorité; mais la diversité est aussi importante des lors quelle est construite et possive; mais la maturité des opposants à l'heure actuelle ne permettent pas cette construction.

Cepandant, j'ai oauvré pour verdun contre et aussi avec le conseil ducal sur certain dossier. Je prendrais pas multitude d'exemple, mais le dossier des impots entre la ville et le duché est caractéristique. Aujourd'hui sur la base de don nous pouvons réduire l"impôt à verdun.

Je vous avais promis de faire cour; mais, il va m'être difficile tant le nombre de sujet est important.Mais, je ne vous en voudrais point que vous répondiez présent à un verre.Car, je sais que la vie est faites ainsi

Cela dit, je pourrais vous parler longuement de mon bilan pour Verdun; mais je m'en arretais la car, la vie de verdun n 'est nullement de le passé mais dans l'avenir.

L'avenir pour moi, je le trace tranquillement hors de la vie politique municipale, car, ce que peu comprennent; c'est qu'un jour, il faut laisser ca place. Je suis vieux certe mais encore plein d'esprit pour detruire la carriere de jeune pandawan ^^^
Donc, pour une ville comme verdun, l'avenir ne peut se faire de supposition ou de coup de tete; mais sur un vrai et unique programme pour la ville. Et pour etablir ce vrai programme, il n'y a pas meilleur ecole que le CM.

Tophe se tourna en souriant du cote d'Ellebasi.
La vie de la cité, n'est pas seulement représenté par seul, le maire mais par un groupe; le conseil municipal qui connait la ville son histoire, ...

Je vous annonce devant vous, solennellement que je ne serait pas candidat ou prochaine élection municipale à Verdun.


Tophe avait une larme qui perlait au bout des yeux, et ajouta
La porte est clause, nous sommes entre ami; alors, je vais aller plus loin ce que je ne pourrais faire en place public malheureusement.

Aujourd'hui, je vais voter et je vous invite à faire de meme pour la seule et unique femme de ce vote, Ellebasi.
Je n'ai point à justifier cette position tant Elle à montré de compétence au seins de l'ost ou elle est médecin majeur.

Quand a moi, ma vie de politique, prend fin dans la joie et la bonnne humeur; je ne regrette rien de ce que j'ai pu faire pour verdun . Que certain ou certaine osent dénigre le passé.etJe serais la devant eu pour établir en toute seinserité la vérité.

Cepandant, je serais moins present, car, je suis appelé à d'autre d'autre fonction ou responsabilité dans d'autes lieux


Sourit à l'assemblée
Cela ne veux pas dire, non, plus que vous ne verrez plus.
j'ai passé grace vous les meilleurs années de ma humble vie, et je l'oublierai jamais.

Apres avoir patager le verre de l'amitié, je vous invite à parger le repas de la fraternité.
Bon apetit

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Lavania
Lavania avait vraiment les nerfs à fleurs de peau ces temps si et les émotions c'était encore pire. Par chance que ce soir là elle ignorait tout de la lettre qu'elle allait recevoir quelques jours plus tard... Cela lui permettait de passer une belle soirée, le coeur plein d'Espoir et un sourire venant facilement sur son visage.

Elle se retourna vers Sybille pour l'entendre s'excuser, elle aurait bien voulu l'arrêter tout de suite, mais elle avait trop peur de lui couper la parole pour le faire. Elle attendit donc qu'elle termine de parler avant d'ajouter d'une voix plutôt basse.

Ce n'est pas de votre faute... Ça va... C'est moi qui suit trop sensible ces temps-ci... Pardonnez moi...

En sentant un petit coup, elle posa sa main sur son ventre et s'appuya sur le dossier de la chaise en faisant un grimace avant de s'y asseoir. Elle ferma les yeux quelques secondes, puis les rouvrit pour retrouver la duchesse assise près d'elle.

Elle porta attention à ce que celle-ci disait et sourit à l'invitation.

Hoo la grossesse... C'est... fatiguant... Pour tout vous dire j'ai hâte que ce soit finit... Elle baissa les yeux disant cela, faisant tourner l'une des perles du collier qu'elle avait au poignet.

Je prend bonne note pour l'invitation, vous me direz quand vous voudrez qu'on vienne. Je suis certaine qu'Elendra en sera ravie. Au moment où elle finissait sa phrase elle entendit un tintement et tourna la tête vers son père qui allait prendre la parole.

Elle s'appuya de nouveau sur le dossier de la chaise pour se lever et ainsi pouvoir le voir alors qu'il parlait. Elle sourit plusieurs fois en entendant son discours. Et lorsque ce fut terminé, elle applaudit, tout bonnement comme c'était coutume de le faire à la fin d'un looong discours! Il fallait s'en dire que tous avaient l'expérience de ses longs courriers!

Elle tenta donc de se frayer un chemin pour aller voir son père. Réussissant à lui donner un baiser sur chacune de ses joues pour le félicité.

Félicitations. Je suis vraiment très fière de toi papa! Elle lui sourit, ne pouvant s'empêcher de poser un autre bisou sur sa joue.

Et tu sais quoi? Je pense que ton futur petit enfant a beaucoup aimé aussi, je l'ai jamais sentit donner autant de coup que pendant ton discours! Elle lui sourit, bien qu'elle n'avait pas trouver ça bien bien drôle rendu vers la fin...
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Tophe69
Lavania était la permiere à venir lui faire un petit bisous et le féliciter, Cette attention, accompagnée des quelques mots qu'elles avait ajouté sufire a remplir les yeux de tophe de larme, tant l'emotion était importante.

Il avait consacré toute sa vie à la chose publique, et ce soir, en quelques mot, il annoncait qu'il arretait tout ce qui lui aait donné tant de plaisir.

Tophe serra sa fille dans ces bras, et lui murmura moi aussi, je suis fiere de toi ma puce ou madame la presidente du CCL devrait je direen souriant;
Je vais voir les invités,
Tu peux aller d'allonger quelques minutes dans la chambre si tu veux.
Je jetterais un oeil sur les enfants, d'inquietes donc pas.


S'essuyant rapidement les yeux, d'un revers de manche discret, il s'éloigna un peu de sa fille pour aller voir les autres invités et remplir less verres vides,
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Lavania
Lavania sourit à son vieux père, le serrant dans ses bras. Elle était si fière de lui. Il y avait de quoi admirer le travail que son père avait fait. Et elle était contente d'être ici ce soir avec tout ces gens. c'est pourquoi lorsque son père lui proposa d'aller s'allonger, elle posa ses mains sur ses hanches, mais simplement pour rigoler, car elle n'était pas vraiment en colère.

Ha non! C'est rare qu'il y des fêtes à Verdun, je ne vais pas aller m'allonger pour manquer ça! Je reste ici! Mais si tu veux jeter un oeil sur les enfants quand même, ne te gêne pas! Elle lui sourit, se disant qu'elle allait pouvoir boire un peu plus de mirabelle si son père s'occupait des enfants.

Elle sourit de nouveau, en le voyant s'essuyer les yeux. Ce qu'il était fier son papounet! C,était incroyable à quel point elle pouvait l'admirer!

Je t'aime papa, finit-elle par dire, mais il était déjà loin et ne l'entendit sûrement pas...
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Sybille_von_frayner
A écouter Tophe prononcer son discours, Sybille avait l'impression de se revoir quelques années plus tôt. Il lui ressemblait tant !

Il était visiblement ému, et cela remua beaucoup de souvenirs que la jeune femme pensait avoir oubliés.

Alors qu'il se dirigeait dans sa direction, elle alla à sa rencontre et lui sourit. Le voir si ému l'attendrissait au point de lui mettre la larme à l'oeil. Doucement, elle prit sa main et vint déposer un amical baiser sur sa joue.


- Une page se tourne... Une nouvelle histoire débute Tophe... Tu verras comme la vie a encore à te donner ! Merci pour tout ce que tu nous as apporté...
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Jeune mariée au comble du bonheur

Duchesse d'Herbéviller, Baronne de Dombasle, Dame de Bauley et de Beynac
Uriel
Dans l'encadrement de la porte une silhouette apparût.

Un pâle rayon de soleil vint frapper la blondeur des ses cheveux et il salua les personnes présentes d'un signe de tête. S'avançant discrètement, il vint placer ses bras autour des épaules de la Duchesse d'Herbéviller.

Lui glissant quelques mots à l'oreille, il lui sourit, puis se sépara et donna l'accolade à messire Tophe.


Et bien me voici, le vil voleur est venu vous l'enlever.
Oh, il ne vous la rendra pas de si tôt, soyez en sûr, mais sachez et n'oubliez pas que vous serez toujours les bienvenus en notre chaumière.

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Tophe69
Tophe approcha d'Uriel pour le saluer,
Bonjour,
Alors comme ca, tu viens envelenez notre amie, Je ne sais pas si je dois la laisser partir avec un inconnu.

Tophe sourit
Mais bon, comme, c'est ta promise, je ne peux qu' approuver ta demande.
je sais tout l'amour qu'elle te porte et que tu lui rends comme il se doit dans un couple.
Meme, si j'ai un pincement au cœur, je sais que c'est pour vivre un nouvelle vie dans le pur bonheur à tes cotés

Et j'espère bien que tu vas la garder longtemps, non pas que je ne veuilles pas la revoir bien au contraire, nous serons ou ne retrouver, et ma porte vous est ouverte à tout les deux quand vous passerez par Verdun.

Tophe s'écarta légèrement,
rentre donc au salon,
Vient rejoindre Sybille,
tu as bien le temps de prendre, un petit verre de mirabelle avant de prendre la route.


Tophe sert un verre de mirabelle Verdunoise.
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Uriel
Uriel sourit à Tophe

Et oui, je lui avais dit qu'elle pouvait rester ici, mais tu la connais, elle n'en fait qu'à se tête.

Il rit alors, car il était certain que Sybille allait lui lancer un regard noir.
Il la connaissait trop bien et forcément, il aimait la taquine.


Et puis tu sais ... hum j'ai du mal à rester en place, donc c'est sûr on bougera en Lorraine.
Merci pour ton accueil, en tout cas.


Il passa alors au salon et ses yeux tombèrent sur la mirabelle.
Soudainement, sa langue devint pâteuse et un peu de salive naquit sur ses papilles gustatives ... et dire qu'il pensait en être dégoûté après le concours, ... et bien non, pardi !!


Merci Tophe, santé donc ! A toi, à vous, à nous, à la Lorraine !

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Sybille_von_frayner
Sourire lumineux ! Il était arrivé ! Elle savoura l'étreinte, se délecta des mots doux susurrés à son oreille. Le seul son de sa voix suffisait à lui faire oublier le reste du monde ! Soudain, ils n'étaient plus que deux...

Regards complices, sourires tendres... Douce caresse dans la paume de sa main...

Bientôt il faudrait partir. Elle ne le savait que trop bien. Partagée entre excitation, crainte et nostalgie, la jeune femme haussa un sourcil aux propos d'Uriel.


- Bien entendu que je n'en fais qu'à ma tête ! Tu croyais quoi !

Elle sourit et décida de profiter des derniers instants en compagnie de ses plus chers amis.

Carpe Diem...

Et quand viendrait le moment de partir, elle saurait qu'elle avait profité de leur présence jusqu'à la dernière minute...

Un peu de mirabelle, mais pas trop. Il fallait être sérieux.
Des bisous doux à Elendra et Ike... Parce que se gaver de ces friandises rend plus heureux que malade !
Des plaisanteries, des gentilllesses, des rires échangés parce que ça regonfle les coeurs qui se séparent.

Et au fond un seul désir: celui de le suivre... son amour... son tout...

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Jeune mariée au comble du bonheur

Duchesse d'Herbéviller, Baronne de Dombasle, Dame de Bauley et de Beynac
Tophe69
La fete de fin de mandat de Tophe s'était terminé depuis, quelques jours,

il avait donné les clefs de la mairie à son amie Ellebasi et essayait de l'accompagner du mieux qu'il pouvait dans ces nouvelles taches.

Sans compté sur la naissance de la petite derniere, evenement pour lequelle, tophe s'était fait un soucis monstre. La santé de sa fille avant l'acouchement le preoccupait grandement, mais, grace a dieu et à Ellebasi, Prunille a pu voir le jour sans encombre et Lavania se remet de l'accouchement.

Un debut de retraite fort actif, pour l'exmaire qui n'avait pas tarder à reagir à la publication de la composition du CD pas facile de coupé cours avec la politique dans on es tombe dedans jeune et qu'on aime ca, et surout, quand on ne veut pas que son duché replonge dans une periode de crise

et pour finir, il devait maintenaint faire face à une décaration de gueure froide.

Meme pas le temps, pour le vieux dictateur retraité de repondre au courrier des membres de son fan club
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Tophe69
N'ayant pas u grande vie depuis quelques temps,
Je rappelle qu'il s'agit d"un RP privée ou seul les personnes ayant été invitées peuvent participer

Si vous souhaitez venir, me contacter par MP
merci de le respecter



Le CAC et le conseillé aux mairies avait retrouvés le chemin de Verdun plus tôt que prévu certes, mais il était quand même heureux d'être de retour.
C'est en homme nouveau, que Tophe foulait les pavés de Verdun, car pendant, son absence de son village, il était devenu le vassal de la duchesse d'Herbeviller, son ami Sybille l'avait fait seigneur de Bénaménil. C'est donc sur ces terres confiés par sa suzeraine ; à leurs surveillances et à leur gestion que Tophe allait aller se reposer désormais mais son coeur resterait à jamais à dans son village de Verdun.

En homme galant, il était allé déposé chez elle, sa charmante compagne;
(ne me faites pas dire ce que j'ai pas envie de dire; faut bien comprendre sa charmante compagne de voyage, bien entendu :p ).
Le voyage de retour ayant été quelques peu precipité, il n'avait pas franchement u le temps de se reposer; C'est donc fatiguée que la demoiselle regagna son domicile, aidée par son ami pour porter ces nombreux bagages; vu le nombre de boutique visitée par la demoiselle, ils était plus nombreux et plus lourd qu'aux départs. c'est fou les ravages que peu faire une femme dans une échoppe de tisserand en quelques heures (1)
C'est sans boire un dernier verre que Tophe lui déposa un doux baisé sur la joue,lui murmurant discrètement à l'oreille

bonne nuit zolie rose, je t; s'arrêtant nette de parler,mais son regard resta fixé encore quelques instant dans ses yeux, ils étaient à Verdun et ici les murs ont des oreilles; et ca l'ex maire dictateur le savait bien .
Il s'éloigna en lui souriant, avant de remonté dans la charrette, se retournant dans sa direction une dernière fois espérant croiser son regard, il se mis en route pour rentrer à son tour chez lui


Arrivé à la maison, il déchargea la charrette des ces affaires personnels ; un seul et unique sac, et oui, les homme savent prendre que le stricte nécessaire ( :p ) laissant la commande de fruit pour la mairie, il s'occuperait de cela plus tard.
Il se servit un verre de mirabelle, et s'installa dans son fauteuil fétiche face à l'âtre de la cheminée.

Ce voyage avait été des plus riches;
Tant sur le plan du travail, les deux voyageurs verdunois avaient pu rencontrer quasiment tout les maires de lorraines, et commencer à poser les bases de la reconstruction économique de St Die. Meme, Si ceux qui ne font rien; comme à leur habitudes dénigrait son travaille, il pouvait dormir la tete haute et la conscience tranquille.

Tant amicalement, de part les rencontres et les retrouvailles de certain amis parti de Verdun, Cao, Sybille, Shen,Isis, Urieln et d'autres amis encore Barbi, Rosa,Jo, Spec, Mais, il en avait aussi, loupé certain, comme Fiha, Sab, bien que pour Sab la malchance se transforme en chance, sinon, le don de Verdun à St Die aurait fini dans les poches des brigands,

Tant humainement, la richesse des rencontres et des discutions auquel il avait pu participer, au fils des jours et des villes, pendant le trajet. au
Rha les discutions du voyage allant des sujets professionnels aux sujets personnels, de l'utile au futile, de l'agréable au désagréable, des rires aux pleurs, mais toujours avec la même complicités.

Tant sur le plan émotif, cette rencontre avec un homme, un baron de grand classe et fort cultivé avec qui Tophe avait souhaité s'entretenir de vive voix car, l'importance de cette discutions au yeux de Tophe ne pouvait se tenir autrement que face à face, d'homme à homme, car aucune lettre soit -elle bien rédigée ne valait la richesse du sujet. Et depuis, ce jours, l'émotion et l'impatience grandissait dans le cœur du vieux autant que .....

Tant sur le plan spirituel, avec la pastorale qu'il avait terminé apres presque 2ans, ce qui lui vallait surement le record de la durée pour un lorrain, avec le bapteme qui se profilait des les premiers jours d'avril.


C'est heureux d'être de retour, de voir ces amis, de voir son village que l'impatient finit par succombé à l'appel du sommeil








(1) : petite remarque privée en souvenir, de chamaillerie de voyage.
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Tophe69
Le vieux, jeune d'esprit rentre dans son bureau verdunois, fermant la porte derrière lui, il avait besoin de réfléchir au calme,...
Il se sert un grand verre de mirabelle, avale une gorgée et pose ses coudes sur le bureau et prends sa tête entre ces mains.

Mais qu'ai je fais pour mériter ca ?
il secoue la tête de haut en bas, fini par la relever et tape le poing sur la table,avant de vider d'un trait le verre et de le remplir a nouveau.

Il est vrai que l'esprit du seigneur de Bénaménil était préoccupé depuis quelques temps entre l'aide au mairie principalement celle en grande difficulté, l'attente d'une réponse, la vie verdunoise qui reprenait, et l'état duché.
Malgré cela, il essayait d'avoir le sourire, mais, cela devait de plus en plus difficile;
Seul son rayon de soleil, sa Zolie Rose comme, il aimait l'appeler; lui redonnait cette envie de vivre, l'envie d'aller toujours et encore plus loin.

Il s'enfonça doucement dans son fauteuil, levant la tête, il fixa le plafonds; et fermant les yeux, défila devant lui les moments de joie, de bonheur de tendresse qu'ils avaient partager avec élues de son cœur....
C''est tout ces instants qui l'avait pousser à ecrire une courte lettre a son pere pour demander sa main.
Soudain, un grand bruit le fit sortir de son doux rêve, il se leva d'un coup pour ce rendre à la fenêtre pour voir, ce qu'il se passait.
Il sourit en voyant deux gamins construire une petite cabane dans le vieux chêne, il retourna à s'assoir a son bureau.

Il vida un verre de mirabelle et commença à écrire,


Citation:
Messire Baron de R

Il y a quelques temps déjà je vous m'avez accordé un rendez-vous, je vous en remercie,

Pendant se rendez vous, nous avons longuement parlé d'une personnes que nous portons tous deux dans nos cœurs.
Mais, depuis, ce jour, certaine chose importante ont changé mon amie la Duchesse d'Herbéviller m'a anoblie et par amour, j'ai franchis le pas pour rentrer dans la grande famille aristotélicienne

Cet amour profond et sincère n'a fait que grandir en même temps que l'impatience qui me fait vous écrire ces quelques mots pour vous demander si vous avez pris votre décision.

Tres respectueusement
Celui qui espère vous appelez beau père prochainement

Tophe


Il lacha la plume et relu la lettre a plusieurs reprise, mais peu satisfait de celle-ci, comme il l'avait écrit au baron, Il n'est pas de courrier tout aussi bien tourné qu'il soit qui ne vaille autant que la main de cette qu'il aime à ses yeux.

Il se résigna à recommencer ou même à l'envoyer, il recommencerait surement demain, il finit son verre de mirabelle avant d'aller se coucher pour une nouvelle nuit sans sommeil

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Tophe69
Tophe était rentré d"une tournée de MA fort intéressante le matin même, il était hors de question pour lui de garde sa grande maison vide, rien que pour lui, Alors pendant, son voyage, il avait décider loin de tous, loin de sa famille, loin de ses amis de se séparer de cette maison.

En rentrant dans la batisse, ce jour la, le vieux revenait une dernière fois dans cette maison ou il avait travailler, aimer, étudier, vieilli, En quelques mots, ou il avait vécu.
Cette maison était la maison de son bonheur, celle de ca mémoire.

Mais, il devait partir, la quitter pour partir s'installer ailleurs, C'est donc, le cœur lourd d'émotion de souvenir, qu'il la vidait seul tranquillement, jetant à la chemine quelques vieux souvenir sans important, quelques affaire dont, il n'aurait plus besoin.

Il commença par rassembler les reste de son échoppe dans laquelle, il ne travaillait plus guerre ces temps si, il rassembla dans une mâle en bois, ces couteaux, ses crocs , ses planches, quelques vieux plat et marmite qui lui servait à faire ces pâtés et ces autres spécialités.

Au bout, d'une bonne paire d'heure, il en avait fini avec l'échoppe, il s'attaqua à son atelier bien que boucher, ayant bien vécu, il avait un atelier plus que garni d'outils divers et varié lui permettant de réaliser seul beaucoup de travaux, il rentra dans l'atelier, regarda la pièce quasiment, vide, seule, quelques outils étaient la; les plus gros; et au milieu de la pièce une dizaine de caisse, prête à être chargées l"attendait,
Il avait failli partir Verdun, il y a quelques mois de cela sur un coup de tête, et avait déjà organisé le départ de la ville.

Il finissait juste que chargé les derniers outils quand les douze coups de midi sonnèrent. Il passa se rafraichir au lavoir avant de ce diriger vers la taverne espérant y croiser un amis; et dans le pire des cas manger un bon pain de son amie.

De retour, a la maison en fin d'après midi, il vida ces affaires personnelles qu'il rangea méticuleusement dans dans mâles les une apres les autres se remplissait en même temps que sa vie se déroulait devant ces yeux au rythmes des souvenir que chacune des choses évoquait.
La nuit venait juste dans tombé quand, il u fini que tout mettre dans les malles, il alluma alors quelques torches et commença à descendre les lourdes mâles une a une jusqu'à la charrette.

La nuit était déjà bien avancé quand, il finit le chargement; les pauvres charrettes était bien plein, si l'on peut dire cela, pourtant, il n'avait ni vider ces puits secrets, ni son grenier à céréale, ni sa grange, mais qu'importe pour le moment, il n'avait pas besoin.

Seul le bâtiment principal devait être vider pour les premiers jours. Il s'en alla porter un courrier à ses amis de longues dates pour leur annoncer de venir le dimanche 09 après la messe...

Fatigué, le dos en bouilli, mais satisfait du devoir accomplit,
Tophe s'en alla ce coucher sur une paillasse.

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