--Anieta
Anieta écoutait les flatteries de Monsieur Tophe, rougissant de plus en plus à chaque phrase que celui-ci prononçait. Elle n'était pas habituer d'entendre de telles phrases, sa mère lui avait souvent répéter, avant d'aller rejoindre ce bon Aristote, que son regard briserait bien des coeurs... Mais jusqu'à ce jour, il n'avait réussit qu'à briser le sien. La jeune femme se renfermant davantage à chaque blessure.
Bien entendu elle était employé ici, elle était l'employée de Monsieur Tophe certes, mais qu'est-ce qui lui donnait le droit de la regarder ainsi de la tête au pied?! Car il venait de la faire, encore! Un petit coup d'oeil. Vite vite, arrêtant son regard quelques secondes de plus que le nécessaire. Ce geste aurait pu paraître flatteur, mais la pauvre Anieta en avait trop vu de ces hommes. Trop d'années à servir dans ce bar, mais assez longtemps pour comprendre que les hommes ne changerait jamais, un spectacle pour les yeux des hommes, c'est tout ce qu'elle représentait.
Et c'était quoi encore cette phrase?! Certaines choses ont changés depuis ton arrivé ici. Une manière polie et détournée de dire je te trouve vachement mignonne maintenant?! Décidément, elle n'avait pas cru le patron ainsi, mais à quoi s'attendait-elle? C'était un homme après tout! Comme tous les autres!
Sans prononcer un mot, elle vida d'une traite son verre que Monsieur Tophe avait eu l'amabilité de lui re-remplir, le posant solidement sur la table, le serrant fort entre ses doigts, peut-être un peu plus fort que nécessaire.
La bruit fort de la chope contre le comptoir eurent pour effet de faire sursauter le patron le sortant de ses rêveries... Pfff rêveries... de ses fantasmes sûrement, Les hommes tous pareilles!
La haine des hommes qu'elle avait commencer à entretenir depuis son plus jeune âge et qu'elle était parvenu à contenir grâce à Monsieur Tophe justement commençait à refaire surface, à cause de Monsieur Tophe cette fois. Si c'était un objet pour la soirée qu'il voulait ce ne serait sûrement pas elle!
Mais même si en elle son sang bouillonnait, prête à lui sauter au cou à la moindre remarque déplacer, elle n'en fit rien, son visage toujours impassible, son patron n'en saurait rien. Au lieu de cela, elle s'éclaircit la gorge, et sur un coup de tête s'exclama.
Vous savez danser Monsieur Tophe? Je ne crois pas *hips* vous avoir vu danser avec votre fille comme le veut la coutume... *hips*
Bien entendu elle était employé ici, elle était l'employée de Monsieur Tophe certes, mais qu'est-ce qui lui donnait le droit de la regarder ainsi de la tête au pied?! Car il venait de la faire, encore! Un petit coup d'oeil. Vite vite, arrêtant son regard quelques secondes de plus que le nécessaire. Ce geste aurait pu paraître flatteur, mais la pauvre Anieta en avait trop vu de ces hommes. Trop d'années à servir dans ce bar, mais assez longtemps pour comprendre que les hommes ne changerait jamais, un spectacle pour les yeux des hommes, c'est tout ce qu'elle représentait.
Et c'était quoi encore cette phrase?! Certaines choses ont changés depuis ton arrivé ici. Une manière polie et détournée de dire je te trouve vachement mignonne maintenant?! Décidément, elle n'avait pas cru le patron ainsi, mais à quoi s'attendait-elle? C'était un homme après tout! Comme tous les autres!
Sans prononcer un mot, elle vida d'une traite son verre que Monsieur Tophe avait eu l'amabilité de lui re-remplir, le posant solidement sur la table, le serrant fort entre ses doigts, peut-être un peu plus fort que nécessaire.
La bruit fort de la chope contre le comptoir eurent pour effet de faire sursauter le patron le sortant de ses rêveries... Pfff rêveries... de ses fantasmes sûrement, Les hommes tous pareilles!
La haine des hommes qu'elle avait commencer à entretenir depuis son plus jeune âge et qu'elle était parvenu à contenir grâce à Monsieur Tophe justement commençait à refaire surface, à cause de Monsieur Tophe cette fois. Si c'était un objet pour la soirée qu'il voulait ce ne serait sûrement pas elle!
Mais même si en elle son sang bouillonnait, prête à lui sauter au cou à la moindre remarque déplacer, elle n'en fit rien, son visage toujours impassible, son patron n'en saurait rien. Au lieu de cela, elle s'éclaircit la gorge, et sur un coup de tête s'exclama.
Vous savez danser Monsieur Tophe? Je ne crois pas *hips* vous avoir vu danser avec votre fille comme le veut la coutume... *hips*