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Une vie de rêve à Verdun

Tophe69
Tophe regarda s'éloigner la jeune femme;
Je demanda ce qu'il y avait bien peu dire ou faire pour la faire partir aussi vite.

Tophe resta la, planté sans rien faire quelques minutes,
Il essayait de ce re-remémorer les derniers instant à la recherche du petit mot, de la petite phrase, mais rien ne lui laissait penser avoir blesser la jeune femme.
Il ne comprenait pas,

Il venait de passer une excellente soirée, qui s'était bien vite terminé, mais, la fatigue commençait à prendre le dessus;
Pas question, de rentrer dans sa maison dans la foret, la nuit était bien trop sombre et la distance qui le separait de son lit trop grands pour partir.
Tophe ayant, vider quelques jours auparavant, ses appartements pour les laisser à sa fille, ne savait plus trop ou dormir.
Il ferma les portes et fenêtre de la taverne, il alla chercher quelques vieux drap et couverture qui trainait dans l'arriere salle

Et s'installa dans un coin pres de la cheminer, comme il avait l'habitude de le faire; avant de réaménager les appartements au dessus de la taverne.
Décidément, cette soirée le replongeait dans sa jeunesse.

La fatigue était certain bien présente, mais, Tophe, n'arrivait pas à fermer l'oeil.
Il ne savait pas vraiment, ce qui il lui arrivait,
Son cœur semblait s'être mis à battre

Tophe restait la à penser,
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--Anieta
Appuyée contre le rebord de la fenêtre, la jeune serveuse regardait pensivement la lune et les étoiles par la petite fenêtre qui était sa seule source de lumière en cette nuit noire. Elle laissait échapper quelques soupirs de temps en temps, fermant les yeux à d'autre moment, laissant couler quelques larmes ou encore souriant bêtement.

Elle ne savait pas ce qui lui avait pris de partir ainsi, elle l'avait juste fait, sur le coup cela semblait la meilleur solution, mais maintenant qu'elle y repensait, une envie folle la poussait à redescendre. Elle devait de secouer afin de voir clairement ce qui se produisait.

C'est mon patron! Je ne vais pas redescendre! Ce serait insensé! Et puis il est probablement repartie. Elle disait ça, mais pourtant elle avait surveiller le chemin qu'il empruntait habituellement et ne l'avait jamais vu sortir, il était toujours à l'intérieur de la taverne. Était-ce une bonne chose ou pas? Difficile à dire, elle essayait pourtant de se convaincre qu'il avait quitter par la cuisine par un sentier qu'elle ne pouvait observer de la fenêtre du grenier.

Lorsque les rayons du jours commencèrent à éclairé le visage endormi de la jeune serveuse, celle-ci ouvrit les yeux. Elle avait un horrible mal de tête et n'avait pratiquement pas dormi de la nuit, trop concentré à ne pas descendre en bas. Elle ne devait pas le revoir! C'était hors de question, sinon qui sait ce qui pouvait arrivé! Elle ne voulait pas avoir l'air ridicule! Et puis il allait s'exiler dans les bois. Elle l'avait entendu le mentionner au mariage de sa fille, suffisait de ne pas le croiser aujourd'hui pour ne plus jamais le recroiser. C'était assez simple.

Elle enfila une nouvelle tenue, une tenue pour travailler cette fois, plus simple encore que celle de la veille, une jupe bleu ainsi qu'une chemise blanche. Elle avait aussi mis un tablier autour de sa taille, et remonter ses cheveux dégageant complètement son visage.

Elle descendit ensuite les escaliers se dirigeant immédiatement à la cuisine afin d'enfourner les petits pains que réclamerait les clients d'ici quelques heures. Une douce odeur s'élevait de la cuisine et Anieta faisait dos à la porte préparant avec attention des petits croissant, on aurait pu vandaliser la cuisine qu'elle ne s'en serait pas rendu compte. Et pourtant, elle aurait dû entendre les bruits de pas qui approchaient.

Tophe69
Faucher par la fatigue,Tophe avait fini par trouver le sommeil sur le petit matin.
Une odeur legere et fort agréable se rependais dans la taverne, et vint chatouiller le nez de tophe.

Cette bonne odeur, il la connaissait bien, c'etait celle qu'il sentait le matin quand, il descendait prendre son petit dejeuné en cuisine.
Il fini par ouvrir un oeil, voyant les rayons du jour pénétré dans la taverne par les interstices des lames des volets.
Il resta la quelques minutes allongée écoutant les bruits de la taverne et les premiers bruits de la ruelle. Il savait pertinement que ces bruits, ces odeurs, il ne les entendrait plus et ne le sentirait plus.

Et puis, il se refusait à voir celle qui l'avait laissé la veille comme ca, sans expliquation aucune.
Il ne pouvait pas rester ainsi des heurres, il fallait bien se lever la taverne allait ouvrir;
Tophe se leva, rangea son lit de fortune sans faire de bruit comme si, il avait peur de reveiller quelqu'un.
Cette peur s'était surement celle de reveiller ses propres fantomes, ceux qui hantait son coeur depuis plusieurs heures.

Tophe se dirigea vers la cuisine, il était hors de question de partir ainsi.
Il vit la jeune femme s'affairer en cuisine, elle avait attaché ses cheveux; laissant apparaitre son jolie minois;
Tophe resta la, sans bouger à la regarder; en reflechissant :
Que vais-je bien lui dire.

Il fini par s'avancer jusqu'à la porte, de peur de suprendre Anieta, il dit à haute voix
Bonjour Mademoiselle.

La jeune femme se retourna instinctivement vers la porte;
L'espace d'un instant leur regard se croiserent.

Tophe resta figé, la nuit n'avait en rien changer le regard dévastateur de la jeune femme.
Tophe ne comprenait toujours pas l'effet qu'elle avait sur lui;
Une chose était sure pour le vieux, c'est que la belle Aniéta ne le laissait pas indifférent.
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--Anieta
Anieta se retourna aussitôt qu'elle entend la vois forte de son patron la saluer de façon plutôt froide. Mademoiselle, voilà belle lurette qu'il ne l'avait pas appeler ainsi. Mademoiselle, du plus loin qu'elle se souvienne, il n'avait même jamais employé ce terme.

En se retournant, elle croisa avec malheur le regard de son patron, elle retint son souffle aussitôt, inclinant la tête dans le saluant de façon normale pour une employée envers son patron.

Bonjour Monsieur. Dit-elle d'une voix claire, mais tout à fait dépourvu de chaleur.

Elle releva ensuite la tête, puisque c'était très mal poli de parler sans regarder la personne, mais s'efforça de ne jamais croisé son regard de nouveau. Cela faisait un bon moment que la jeune femme se tortillait les doigts, attendant que Monsieur Tophe brise le silence qui se faisait de plus en plus pesant.

Au bout d'un moment, elle vit bien que celui-ci n'allait pas dire un seul mot, elle regarda donc un peu partout dans la pièce à la recherche d'un quelconque sujet de conversation. Décidément, elle pouvait vraiment sentir le malaise qui s'était glissé entre eux-deux en une seule soirée. Aurait-ce été différent si elle n'avait pas perdu courage et ne s'était pas enfuie? Peut-être, mais maintenant il était trop tard, elle devrait s'arranger avec le fait que son patron était redevenu patron et elle simple employée.

Employée, du moins pour le moment, puisqu'elle avait pris la décision de partir. He voilà, elle le tenait son sujet de conversation, ou du moins, elle avait de quoi briser le silence.

Ne vous en faites pas Monsieur, je vais partir... Je voulais juste préparer le déjeuner afin que vous n'ayez pas de soucis avec vos clients, mais après je m'en vais, vous ne me reverrez plus ici.

Elle essuya ses mains pleines de farine sur son tablier.

D'ailleurs, si vous voulez que je parte maintenant, il ne vous restera plus qu'à sortir les pain du four et y mettre les croissants. Ajouta-t-elle, en retirant son tablier, le posant sur le crochet près de la porte, n'attendant même pas la réponse de l'homme puisqu'il n'était plus son patron.

Tophe69
Tophe avait longement reflechit pendant ses longues minutes interminables de silence,
Soen coeur lui envoyait des messages que sa tete refusait d'endendre, pourtant, face a lui dans la cuisine Anieta, celle qui troublait tant son esprit venait de lui annoncer son intention de départ.

Tophe n'ecoutais mais n'entendait rien. Toujours plongé dans ces reflexions aux fond de son coeur.

Tophe regardait la jeune femme dégrapher son tablier et le pendre ;
dans sa tete ces quelques mots : je vais partir raisonnaient, à lui faire mal.
Ceci fit l'effet d'un choc à tophe, qui passa non loin de la crise cardiaque ! (pauvre vieux,va )

Il s'ecria : Anieta, Je t'aime
Tophe en avait fini avec son mal qui le rongeais; Il s'était enfin délivré du poids qu'il avait sur le coeur et que ni datait pas hier.

En s'avancant, vers la jeune femme :
Je ne te pas dit ça, comme ca; j'ai longuement reflechit cette nuit et jusqu'a quelques minutes encore.
Je ne savais trop que faire, j'ai choisi la sincerité

Ces derniers mots seront peut-etre nos derniers mots, ou la preface d'une longue histoire.

Simplement, je voulais que tu saches ce que j'éprouve pour toi.


Tophe se trouvait maintenant à quelques dizaines de centimetre, (distance reglementaire pour eviter une gifle au cas ou mais assez pret pour embrasser si besoin; prevoyant le vieux )

D'Anieta qui n'avait rien dit, ni meme fait aucun geste, ecoutant
Tophe la regardait essayant de deviner un trait, un froncement de sourcil, un sourir, une larme;
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--Anieta
C'est fou comme trois seuls mots peuvent changer le cours d'une journée...

Anieta venait d'entendre trois petits mots, elle avait un peu de difficulté à admettre qu'elle les avait entendu d'ailleurs. Elle regardait Monsieur Tophe qui se trouvait maintenant très près d'elle. Elle cligna deux ou trois fois des yeux, afin d'être certaine que Tophe n'allait pas disparaitre et qu'elle n'était pas en train de rêver. Elle aurait bien aimé qu'on la pince afin d'être encore plus convaincu qu'elle en dormait pas.

Tout se bousculait dans sa tête, elle avait résolument décidée de démissionner peut importe ce qui arriverait, elle était bien prise là... Ou... Une pensée lui traversa l'esprit, et s'il lui disait tout ça pour tout simplement la garder? Pour ne pas qu'elle parte... Serait-il assez mesquin pour faire ça? Elle avait toujours vu en lui un homme bon, mais elle ne pouvait dire avec certitude si c'était vraiment le cas.

En s'avançant vers elle, il lui avait pourtant affirmé avoir réfléchit... Et qu'il était sincère, restait à savoir si elle lui faisait confiance ou non, car en l'entendant prononcer son nom suivit de la courte phrase "Je t'aime", elle avait senti son coeur battre plus vite et ses yeux se remplir de larmes qu'elle refoula aussitôt, se redressant davantage. Elle était pauvre, mais fière! La fierté c'était tout ce qu'elle possédait de précieux, elle ne laisserait jamais un homme la lui enlever.

Elle était donc parvenu, au prix d'un grand effort à garder un visage tout à fait impassible, aucun sourire, aucune larmes malgré tout... Elle avait le regard fixé sur l'homme en face d'elle, se demandant ce qu'elle devait répondre à cela. Elle savait très bien que si elle demandait "pourquoi?" elle obtiendrait une réponse aussi bête que la question. Elle ne pouvait cependant pas se résigner à lui avouer quoi que ce soit, il n'était pas du même statut. Une érudit n'aimait pas une serveuse, c'était aussi simple que ça.

Elle cherchait toujours désespérément, lorsque l'odeur qui lui vint au nez lui sauva la mise.

Ho mon dieu! Elle mit sa main sur sa bouche qui allait sûrement croire qu'elle réagissait enfin, avec un retard incroyable, à sa déclaration, mais pourtant ce n'était pas le cas. En moins de deux, elle était devant le four à retirer chacun des petits pains noircit.

Mes pains! Mais quelle incapable je fais! Elle mis ses deux mains sur son visage sentant les larmes couler, la pression accumulé s'échappant tout à coup.

Je ne pourrai jamais rien faire de bon! Deux jours, deux catastrophes! Et les clients! Hooo noooon Monsieur!!! Les larmes coulaient davantage sur ses joues, elle savait qu'elle allait sûrement regretter ce qu'elle allait faire, mais elle le fit quand même.

Elle se précipita dans les bras de son patron, fermant les yeux une fois au creux de ceux-ci. Était-ce ça qu'on appelait se jeter dans la gueule du loup? Elle répondit à sa question tout haut, sans que cela n'ait aucun sens, un petit sourire aux lèvres venant chasser ses larmes.

Probablement pas...

Tophe69
Décidement, la cuisine va vraiment avoir une odeur de brulé; pensa Tophe, qui n'avait pas eu le temps de bouger un doigt qu'Anieta avait arrangé tout ca.

La jeune femme revint en pleurant, ce traitant d'incapable. Tophe essaya bien de lui dire que tout ce qui arrivait n"était pas de ca faut et que depuis qu'elle était ici, elle n'avait jamais commis la moindre petite bétise; Pas une assiette, pas une choppe de cassé pendant ces presque 10ans.

Anieta ne voulait pas entendre et se refermait sur elle meme; ces larmes coulait de plus en plus sur joues.
Au moment, Tophe ne s y attendait le moins, elle se jeta dans ces bras, Mais que venait-elle y chercher l'amour, le réconfort ?
Tophe la serra contre son torse, Jamais, il n'avait été aussi propre.
Anieta sanglotait,
Tophe posa ses mains dans le dos de la jeune femme, et par moment, il lui caressait la nuque,d'autre temps il passait ces mains dans la chevelure.

La jeune femme reprenait son calme et déclara :Probablement pas...

Tophe ne comprennait pas la raison d'une telle affirmation.
Tophe déposa un baiser sur le front de la jeune, et baissa a tête à la recherche de des levres d'Anieta.
il déposa un baiser furtif sur la bouche de la jeune femme
Houps, je suis confus
Je ne sais pas ce qui m'a prit, j'avais je n'aurais du faire ca.
Aimer, ne donne pas le droit d'abuser.

Je pars, je vais me retirer dans ma maison de lla foret;


Tophe se retourna; et s'avanca vers la porte
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--Anieta
Anieta sanglotait dans les bras de Tophe, elle le sentait la serrer dans ses bras, caresser doucement ses cheveux, ses doigts courir dans son cou. Elle ne savait toujours pas pourquoi elle avait fait ça, mais lorsque les lèvres de Tophe se posèrent furtivement sur les siennes et que son tout son corps le ressentit tel un petit choc, à ce moment, elle comprit le geste qu'elle venait de poser.

Elle allait lui avouer lorsqu'il s'éloigna d'elle' la laissant seule au milieu de la pièce, se dirigeant vers la porte. Ainsi donc c,était à son tour...

Pour la première fois de sa vie, la jeune femme fit quelque chose de spontané, oubliant totalement ce que les autres pourraient penser y compris Tophe.

Elle se précipita de nouveau vers Tophe, l'attrapant par le poignet afin de le retenir. Celui-ci se retourna alors pour voir qui le retenait de la sorte. Lorsqu'elle vit le visage de celui-ci, elle se hissa sur la pointe des pieds et posa de nouveau ses lèvres sur celle de Monsieur Tophe.

Aimer, c'est aussi profiter Monsieur.... Ajouta-t-elle tout bas après avoir éloigné ses lèvres de celle de son patron, un petit sourire aux lèvres.

Tophe69
Tophe se sentit accrocher, agripper, par une main qui le retenait; nt
Il se retourna et se retrouva face à Anieta;
Tophe n'eu pas le temps de dire un seul mot, ni meme d'ouvrir la bouche que la jeune femme lui déposait un doux baiser sur ses levres

Tophe se pinsa le bras; pensa être dans un doux reve
Aie,
Tophe était bien reveillé et concient, non, il ne revait pas,

il se trouva bien bete devant Anieta, qui le regardait
et Il eclata de rire
J'ai cru que revait, je me m'attendais pas à ca
J'ai pensait que tu me detestais


Tophe s'avanca et prit la jeune femme dans ces bras, la soulevant un peu du sol, et commencais à tourner.
Tophe etait surement le plus heureux des hommes de Verdun a cet instant.
Il sussurait des "Je t'aime" à l'oreille d'Anieta; lui deposant des baisers dans le cou.

Il reposa la jeune femme sur le sol, baissa sa tete, jusqu'a celle de la jeune femme, il l'embrassa délicatement sur la bouche.

Verdun, commencait à se reveiller, et les premiers clients matinaux arrivaient; ce qui mis fin à l'intimité des tourteraux.
Tavernier, Tavernier;
TAC, TAC, TAC ;
Ho doucement s'ecria Tophe
he, ho, 5minutes, J'ai perdu la clef,

S'adressa à Anieta doucement,
pfff, ces clients toujours préssé, il pense pas qu'on peut avoir une vie aussi; et qu'on aimerait bien la vivre

Tu comprens pourquoi, je veux partir vivre dans la foret.
Et tu sais ma maison dans les bois, elle est assez grande pour y vivre à deux alors, si tu veux ....


Les premiers client tapaient à laporte, comme une horde de sauvage
BOUM, BOUM, TAC
Et doucement j'arrive;
faut vraiment que j'aille ouvrir avant qu'il defonce la porte

Tophe deposa un baiser sur les levres d'Anieta et s'en alla ouvrir la porte
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--Anieta
Anieta était plus qu'heureuse, elle avait passer ses bras autour du cou de Monsieur Tophe qui la soulevait de terre pour tournoyer avec elle. La jeune serveuse laissa échapper un rire léger, elle était vraiment heureuse, pourtant ses yeux restaient rougis par les larmes qu'elle venait de verser.

Je peux vous assurer que si vous êtes en train de rêver, je fais exactement le même rêve! lui murmura-t-elle une fois qu'il l'eut reposer au sol. Et je ne vous déteste pas du tout Monsieur! Bien au contraire!

Décidément, soit le patron n'aimait pas qu'on l'appelle Monsieur, soit il voulait arrêter de l'entendre parler, mais quelle qu'en soit la raison, il embrassa délicatement la jeune serveuse, l'empêchant d'ajouter quoi que ce soit.

Cependant, tout ça était trop beau pour être vrai, les coups dans la porte la firent sursauter, la rapprochant un peu plus de Monsieur Tophe. Levant les yeux pour écouter les paroles de son patron, elle lui sourit.

Si je veux.... lui murmura-t-elle tout bas, le poussant à terminer sa phrase, mais déjà il était partie, la laissant seule au milieu de la cuisine et des petits pains brûlés. Elle soupire, attachant de nouveau son tablier autour de sa taille, prête à se remettre au fourneau.

Durant tout le temps qu'elle préparait de nouveaux petits pains, elle pensait à Monsieur Tophe... Allait-il revenir la voir un moment? Probablement! Et si c'était elle qui devait aller le voir pour apporter les pains dans la taverne, comment devrait-elle agir?

Et voilà que quelque minutes plus tard, un peu de farine sur la joue et dans le front, un plateau de croissants fraîchement sortie du four, elle entra dans la taverne afin de les servir aux clients affamés. Comme à chaque fois qu'elle passait la porte, elle se faisait silencieuse et discrète, ne parlant que pour dire le stricte minimum.

Le matin était le moment qu'elle préférait, pas d'ivrognes qui se croient tout permis, pas de boisson partout sur le parquet... Elle repassa, serrant le plateau contre elle, croisant le regard de Tophe, ses joues s'empourprant et une léger sourire se dessinant sur son visage. Elle baissa très vite les yeux, accélérant le pas, afin de se retrouver dans la cuisine à l'abri des regards le plus rapidement possible. Mais elle ne manqua pas d'entendre les remarque de certains clients qui n'avait pas la langue dans leur poche.

- Hoooo Alors Tophe c'est ta nouvelle conquête?! demandait- un homme qui décidément en s'était pas lavé depuis un bon moment.

- T'l'as dénicher où celle là Patron?! Ajoutait un autre la bouche pleine.

- J'parie que c'tait tout c'qui restait! R'marque! Elle sait vachement bien cuisiner la souillon! Lança le plus jeune, gobant son croissant en une seule bouché.

- Hého les gars! Vous l'avez pas r'garder! Un si joli petit cul! On laisse pas passer ça! Termina un autre avant que tous n'éclate de rire.

Dans la cuisine, Anieta n'avait pas manqué une seule de leur remarque, elle avait toujours su prendre les critiques, mais cette fois, ce n'était pas de simple critique, elle enleva son tablier, le laissant tomber sur le sol, quittant la cuisine.

Elle ne savait pas où elle allait, ni jusqu'où elle continuerait à courir ainsi, mais elle n'était pas près de s'arrêter. Ils avaient tous raison! Tophe ne l'aimait pas réellement, elle l'avait toujours su et voilà qu'elle avait laisser son coeur s'emballer trop vite. Toute la fierté qu'elle possédait, envolée!

Elle essuya rageusement ses larmes, détachant ses cheveux, laissant tomber sur le sol le ruban qui les retenait, jamais plus elle n'aimerait un homme! C'était décider, on ne l'y prendrait plus jamais.

Tophe69
Tophe fit un sourire a Anieta, lorsque leur regard ne fit plus qu'un

Certain soulard, n'avait pas encore du finir de cuvé ce matin la; les remarques, commentaires fusaient de la part des clients.

Tophe commença par rougir de colère, Ca ne pouvait pas durer,
Qu'on lui demande, si Anieta etait sa nouvelle conquête passait encore mais pour le reste, NON de NON
il remonta ces manches, posa ces 2 mains sur le comptoir, le regard noir,
il passa en revenu chacun des clients; bien décider à en découdre.


Tophe s'adressa d'une voix ferme et charismatique aux ivrognes
Je ne peux pas toléré de telle parole en ma taverne
D'abord, un peu de respect de vous prie pour Madame
On ne parle pas ainsi d'une femme et encore moins quand il s'agit de celle qui est mienne.


Tophe fixait méchamment les hommes en face de lui
L'un d'eux souriait bêtement, se foutant manifestement de ce que tophe venait lui dire.
Tophe s'ennerva , il était pret à bondir par dessus le comptoir pour le sortir...
Ici tu es dans ma taverne, je fais ce que je veux avec qui je veux.
Je n'ai que faire d'individu de ton genre; i tu n'es pas content.
la porte, c'est par la


Tophe montra la porte
Le vieux ce leva et partit en insultant le patron
Z'veux plus voir ta tronche te c**; Je mettrais plus les pieds dans ta taverne de M****** ;
Tophe de repondre,
Aurevoir à jamais,et bon desbarra

Je n'ai aucun d'état d'ame; si d'autres veulent le suivre se sera avec grand plaisir !

Mais heu, Tophe, on ne voulait pas te blesser, on voulais juste plaisanter un peu
Oui, Tophe excuse nous

Non, je ne vous excuse pas comme ca, c'est bien trop simple comme ça;
C'est aupres d'Anieta que vous devez vous excuser.
Compris ?

Oui
bein Oui, tophe

Bon je vais chercher Anieta, preparer vos excuses
Tophe se dirigea en cuisine,
en ouvrant la porte, il découvra le tablier en boule au sol, il ne voyait pas la jeune femme.
Tophe s'inquietait, quand, il fut attirer par un bruit à l'exterieur; il se diriga dans la cours et un recoin sous l'escallier
Et trouva Anieta recrovillé sur elle meme; Elle pleurait et sanglotait,
Tophe s'assit à coté, d"elle; et pris sa main.

La journée avait bien commencé; pourtant.
Pas la peine de de mettre dans cette état,
Je viens de remettre les choses au points avec ces trois abrutis,

Et, ils ont quelques choses à te dire

Il prit sortit son mouchoir et essuya les larmes de la jeune femme.

Ai je droit à un sourire ?
Lui demanda t-il en souriant à Anieta

Et, puis tu m'a pas répondu; tu veux bien venir t'installer dans ma maison; comme ca fini les ivrognes, place à la nature, au oiseau, animaux,
Si tu veux, on part de suite

_________________
--Anieta
Anieta avait trouvé comme seul refuge, le dessous de escaliers, elle s'était caché là, dans l'espoir de ne pas être déranger, mais à peine quelques minutes après être arriver, déjà elle pouvait entendre des bruits de pas. Au son de la démarche c'était probablement Monsieur Tophe. Elle posa sa tête sur ses genoux.

Allez-vous en Monsieur! Laissez moi tranquille! Marmonna-t-elle la voix entrecouper de sanglot. Cependant, Monsieur Tophe semblait ignorer ses paroles, s'approchant tout de même d'elle, prenant doucement sa main dans la sienne. Ce que ça pouvait être énervant quelqu'un qui réussit à vous faire sentir mieux quand on en a pas envie!

Pourtant, elle devait avouer que Monsieur Tophe avait le tour pour la consoler, cependant, il n'eut droit à aucun sourire lorsqu'il le lui en demanda un, personne n'y aurait eu droit d'ailleurs.

Elle soupira, continuant de fixer son patron qui essuyant ses joues avec son mouchoir, elle ne comprenait pas encore pourquoi il lui portait autant d'attention. Et voilà qu'il lui reposait la même question... Comment refuser sans le blesser? Comment lui expliquer qu'une simple serveuse n'avait rien à faire avec un érudits tel que lui! Elle savait tout ce qu'il avait réaliser, en ayant entendu parler de la bouche de d'autres clients de la taverne, elle ne pourrait jamais vivre avec lui! Même s'il la suppliait, ce serait toujours non, sa place était ici, au milieu des ivrognes et de la mirabelle, mais comment lui expliquer tout ça? Il semblait si convaincu que tout était possible. Mais Anieta, bien que jeune avait pu expérimenter tous ces aspects de la vie...

Pour simple réponse, elle secoua la tête, sachant que cette réponse pourrait blesser son patron qui ne s'attendait sûrement pas à ce qu'elle le repousse ainsi.

C'est terminé Monsieur... Je ne mets plus les pieds dans cette taverne... Et pour nous deux... c'est impossible... Je me suis laisser emporter, mais plus j'y pense, plus je crois que c'est mieux que ça n'aille pas plus loin... Je ne suis même as fille de paysan... Vous avez tout pour vous, je ne pourrai jamais vous rendre heureuse, vous méritez bien plus...

Tophe69
Il comprenait bien qu'elle ne veuille plus travailler en taverne, c'était bien la proposition qu'il venait de lui faire .
Tophe fut surpris par la réponse de la jeune femme;
Mais, heu, bein , heu
reprenant son souffle, la gorge serré Tophe s'adressa à Anieta

Tu sais je n'ai que faire des us et coutumes, ni le regard que l'on pose sur moi;
non, je mérites pas mieux d'abord, tu es bien mieux que certaine nobles.L'amour ne connait pas les classes.

Tu es né comme moi, avec un sourire sur tes lèvres, de la joie, de l'envie de vivre et du bonheur
C 'est pas parce que on n'est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche; qu'on n'a pas droit à l'amour.

M'enfin, puisqu'il en est ainsi; tu as pris une décision, je n'irais pas contre.
Simplement, je viens de passer un immense moment bonheur avec toi, je t'en remercie grandement.


Tophe se releva; traversa la cours plus vite qu'un liévre l'aurait fait
et rentra dans la taverne comme une furie

Il s'apercu que la tavernier était enfin arriver;
T'es en retard,
Excusé moi patron, mais;
Tophe ne le laissa pas finir
Mais y a pas de mais, assez discuté, au boulot;

Je dois partir.

Tophe ramassa ces affaires qui trainait un peu de partout entre la cave, le comptoir, la cuisine;
salua, les clients et sorti de la taverne.


Il se diriga vers l'ecurie; jetant sauvagement ces affaires dans la charrette;
Il détacha l'âne, pour l'atteler à la charrette.
Il se hissa sur la charrette et fit claquer une fine baguette de bois sur le flanc du bourriquot; qui refusait d'avancer à la voix.

Tophe passa devant la taverne, jeta un coup d'œil pour voir si celle qu'il aimait était encore la, sous l'escalier; il aurait tant aimer voir son jolie sourire une dernière fois; mais la vie était ainsi faite.

Sur la route, il croisa des bucherons qui partait en foret, des cultivateurs qui se rendait aux champs,
Le jours était désormais bien, levée, la brume s'était disipé ce qui présageait d'une belle journée.

Tophe avançait doucement sur le petit chemin du long de la rivière. Plus personne, pas un bruit hormis les sabots du bouriquot qui marquais la cadence.
Tophe arrivait à la maison;
Pfff; que de boulot
Cela faisait bien quinze bon jour que tophe avait fermé la maison et quitter le coin; la végétation avait repris sur la vie.

Tophe démonta l'attelage; attacha l'ane à un arbre et poussa la charrette jusqu'a l'arrière de la maison.
Il récupéra son pactage, et s'en alla le déposé à l'intérieur.

Tophe avait un besoin de dépensé de l'énergie pour faire passer la haine contre ces soulards qui venait de lui faire perdre celle avec qu'il voulait partager le restant de ce jour.

Tophe récupéra la veille faux; l'aiguisa avec à la pierre;
et commença le travaille par le devant de la maison.

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--Anieta
Anieta écouta les paroles de Monsieur Tophe sans prononcer un seul mot. Elle aurait bien aimé y croire, cependant elle savait que dans la réalité, tout ce qu'il lui disait était faux. Elle avait été témoin de plusieurs avis de mariage, les deux époux était toujours nobles ou non noble, mais jamais on ne voyait le mélange des deux, la preuve, Lavania, la fille du patron ne s'était pas marié avec un noble et si elle avait voulu, elle n'aurait jamais pu. Ainsi va la vie.

Elle le regarda se lever, cela lui faisait un peu de peine de le voir partir ainsi. Elle resta sous les escaliers, le regardant partir jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus le voir. Une fois qu'il fut disparu, elle sortie de sa cachette et monta les escaliers, ceux ci menant sur un petit toit en haut de la taverne. Elle se posta là, attendant qu'il sorte.

D'où elle se trouvait, elle pouvait entendre les bruits de la taverne, le chant de la nature. La jeune serveuse de demandait, si elle avait vraiment fait le bon choix en refusant sa demande, elle se doutait qu'elle l'avait blesser, mais en même temps pouvait-elle vraiment accepter?

Bien sûr que si! Elle avait entendu la fille du patron une fois qu'elle servait les chopes, elle ne voulait pas que la copine de son père soit plus jeune qu'elle, et c'était tout à fait compréhensible! La jeune serveuse ne pouvait donc pas accepter et elle le savait trop bien.

Elle soupira et fut sortie rapidement de ses pensées lorsque les bruits de pas l'informèrent que quelqu'un approchait, elle aperçu Tophe et le regarda jeter un coup d'oeil sous l'escalier. Il semblait déçu qu'elle ne s'y trouve plus, mais Anieta ne manifesta pas sa présence pour autant. Un jour il comprendrait pourquoi elle avait prit cette décision.

Elle le regarda charger sa charrette, il semblait en colère, mais la jeune femme ne fit rien, elle le regarda s'éloigner, restant assise sur le petit toit longtemps après l'avoir vu disparaître.

Elle soupira... prononçant pour elle même les mots qu'elle avait en tête.

Prenez soin de vous Tophe... Je vous aime...

Tophe69
Tophe travaillait très dure pour reprendre un peu sur la nature afin de refaire de son petit coin, un lieu de vie agréable.

Ni chaleur, ni la fatigue, n'empêchait Tophe de chanter un petit air qu'il avait entendu par le passé :
S'il y a des mots
Qui t'ont fait pleurer mon ange
Et d'autres qui t'ont révoltée
S'il y a des idées quelquefois qui dérangent
J'en ai qui font danser

Te souviens-tu d'un slow
Dix ans plus tôt
Déjà dix ans
Tu voulais m'épouser
Quelle drôle d'idée
Tu n'avais pas quinze ans


Tophe avait deja dégagé tout le devant de la maison, quand, sa faux, buta sur un objet dure;
prononçant quelques jurons;
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il s'avança pour voir de quoi il s'agissait.
C'était le petit banc qu'il avait fait pour sa petite fille, qui venait de perdre un pied.
Tophe Sourit en voyant l'objet.

il pensa au bon moment qu'il avait passé ici même avec sa fille et ca petite fille;
Pensant tient faudrait que je les invites à passer un weekend-end, ici; avec quelques amis
il reprit la faux l'aiguisa et se remit au boulot
Avant d'inviter du monde ici, il faudrait que je finisse de remettre de l'ordre dans le jardin.
et puis, finit l'interieur;
et le barbecue,
et la décoration,


pff que cette liste de travaux était longue; mais, le travail n'effrayait pas tophe, tout serait fait d'ici peu.









Sources : Dix ans plus tôt / Michel Sardou

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