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[RP] Au Bonheur des Dames!

--Felicie_aussi


Certaines histoires réglées avec la blonde, et Félicie s'en retourne à ses affaires. Où est passée la dame? Un coup d'œil jeté dans la pièce des bains, pour aussitôt pousser un cri perçant!!

La Ptiote!!!!

Puis baisser le ton, pas la peine de stresser tout le monde, du calme, de la discrétion. Mais les yeux lancent des éclairs, la gamine n'est pas prête d'oublier cette première gaffe!
Tu veux que la cliente se refroidisse et attrape une maladie??

Une calotte pour l'aider à s'activer, et elle l'envoie en courant se préoccuper de la dame qui va finir par s'enrhumer dans l'eau tiède!
Elle surveille du coin de l'œil, indiquant d'un signe de tête qu'il la faut aider à s'essuyer, et ensuite la conduire dans la pièce d'à coté.


La voix a retrouvé toute son onctuosité pour s'adresser à la cliente.

Suivez la demoiselle Dame, elle vous massera le corps avec de l'huile, pour vous détendre. N'hésitez pas à lui demander ce qu'il vous plaira.

Les onyx fixent la gamine, pas intérêt à une deuxième bourde!!
Saphyra
Après une légère attente, la tenancière du lieu rentra dans la pièce de bain.
Saphyra qui était sortie du baquet, entoura son corps d'une étoffe de lin que la petite damoiselle lui avait tendu avec timidité.

Suivez la demoiselle Dame, elle vous massera le corps avec de l'huile, pour vous détendre. N'hésitez pas à lui demander ce qu'il vous plaira.

Saphyra suivit la jeune fille qui l'aména dans une autre pièce tout aussi chaleureuse.

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margot_wolback
[Un autre jour.]

L'affaire marchait bien. Les villageoises ou de passage avaient pris quelques habitudes, de temps en temps...
Ce qui se passait dans la chambre du blond, Margot préférait ne pas savoir. Du moment que personne ne se plaignait, rien à dire...

Sauf que son imaginaire fonctionnait à plein tube. Une certaine vision imprimée sur ses paupières. Un regret lancinant??
Elle l'a tellement crié sur tous les toits, qu'elle n'essayait pas ses employés!

Discuter affaires avec Félicie, observer les modifications à effectuer, saluer les petites fourmis qui s'activent pour que tout soit parfait...
Et revoir le corps nu. Un coup d'oeil vers les escaliers, puis elle se reprend, priant que rien ne se voit ni dans ses yeux, ni dans son attitude...

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margot_wolback
[Rien de tel que le réel pour combattre l'imaginaire!]

Ira? N'ira pas??
La solitude peut être pesante parfois, malgré les dénégations de la demoiselle. Quelqu'un dans son lit à défaut de quelqu'un dans son cœur??
Le marché n'est pas équitable, mais si chacun l'admet, ça ne gène en rien...
Et le blond sait être discret, rien ne filtrera de la chambre.

Elle se souvient de certains regards, le temps du voyage, où il n'avait pas d'autres femmes à se mettre sous la dent, et qu'il cherchait à la faire rougir, peine perdue d'ailleurs.
Un petit sourire effleure les lèvres vermeilles, elle va oser, elle va choisir, inversant les rôles...

S'en fiche du regard entendu de la brune qui l'effleure. C'est un coup de poker, un coup de chance... Une marche après l'autre, regard fixé en haut des escaliers. Personne, toujours personne.
Attente devant la porte, trois coups frappés, sans hésitation, il est trop tard pour ça. Qu'il soit là, qu'il soit là et qu'il soit seul.
Elle a besoin d'attention, besoin de se sentir désirer, le reste importe peu.

Frans?
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Fransdunord
Allongé sur son lit à rêvasser et un peu étudier, Frans ressentait la chaleur de l'été, qu'il avait bien du mal à supporter, venant d'un pays plutot froid.
Or, être étendu sur des draps bien frais, avec pour tout habit, une serviette en tour de taille, était le meilleur moyen qu'il connaissait pour se raffraichir.

C'etait calme en ce moment au bonheur des dames, et c'est pourquoi il fut surpris d'entendre trois petits coups heurter la porte de sa chambre...

Il se demandait ce que cela pouvait être... Oh, surement pas la brune, ses coups auraient été bien plus forts, voire accompagnés de quelques paroles pour le remuer sans doutes.

Toujours est il qu'il se leva doucement, posa son livre sur une petite table qui se trouvait là, et entreprit d'aller ouvrir, lorsqu'il entendit une petite voix, à peine audible qui l'appelait...

Il n'avait pas vraiment reconnu cette oix qui aparemment essayait d'être la plus discrete possible, il tourna la clé et ouvrit lentement, entrebaillant juste la porte.
Un regard croisa le sien puis se baissa, comme un regard de petite fille en faute


Margot?! Le prenom de la belle blonde lui était sorti de la bouche un peu trop fort, et il esperait ne pas avoir ameuté toute la maisonnée...

Il ouvrit la porte un peu plus grand, jeta un coup d'oeil d'un coté puis de l'autre, attrapa Margot par le bras et l'attira dans sa chambre. Elle semblait être un peu surprise, ne s'attendait pas a cela.
Puis, il referma la porté à clé.


Et bien, je suis content que tu viennes me voir... hemmm désolé pour la tenue, c'est juste que... il fait chaud, enfin tu comprends

Il était un peu embarassé de la recevoir comme cela, mais apres tout, c'etait un peu plus habillé que sa "tenue de travail"

Je peux te rendre service? Tu sais bien que je suis ... que tu peux tout me demander

Il sourit et l'invita à s'asseoir
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margot_wolback
La porte s'ouvre discrètement, les azurs se croisent. A peine le temps d'ouvrir la bouche pour se justifier de l'injustifiable, que la voilà attirée dans la chambre, la clé qui tourne dans la serrure, bruit discret mais qui lui fait la sensation d'une lourde porte qui claque.

Citation:
Et bien, je suis content que tu viennes me voir... hemmm désolé pour la tenue, c'est juste que... il fait chaud, enfin tu comprends


La blonde a les yeux qui papillonnent, ne sachant trop où s'arrêter, où se poser. C'est une chose de se trouver face à un homme peu vêtu, s'en est une autre de faire la même chose avec un inconnu.
Mais bon, faut arrêter de se poser des questions existentielles, arrêter de faire la prude!! Elle est là, un bel homme face à ses mirettes, rien à prouver ni justifier. Le regard retrouve le corps entr'aperçu, mais prend son temps cette fois ci. Le torse, le ventre plat, les muscles qui bougent sous la peau blanche.


Citation:
Je peux te rendre service? Tu sais bien que je suis ... que tu peux tout me demander


Une rougeur qui monte à ses joues translucides. Lui rendre service?
Si elle s'assoit ainsi qu'il lui indique, jamais, jamais elle ne pourra se justifier, expliquer....
Muette, Margot est muette. Venue ici comme une somnambule, elle ne sait que lui dire... Ses yeux parlent pour elle, elle veut, mais ne le dira pas.

Alors mieux vaut se taire, encore. Elle s'approche de lui jusqu'à l'effleurer, une vêtue l'autre non. Posant un doigt tremblant sur ses lèvres, l'empêchant de parler. Seuls les azurs parlent, crient son besoin, son envie.
Ils sont debout l'un contre l'autre, un rien les ferait se toucher.

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Fransdunord
Frans était de plus en plus surpris, ce doigt posé sur sa bouche l'empechait de dire quoique ce soit, mais même s'il n'y était pas, il n'aurait pas su quoi dire... Il espérait qu'elle, elle allait dire quelque chose...

Il la regardait, les yeux dans les yeux, ses yeux ou se perdait son regard, ces yeux si profonds, aussi profonds que la mer qu'il n'avait pas vu depuis si longtemps... Mais cette "mer" là, remplaçait bien l'autre : il était comme paralysé, mais ressentait en même temps une sensation de bonheur.

Les corps se forlaient, il ne savait pas s'il devait...

Ses mains remontèrent le long du dos de Margot, mais ce, sans la toucher, arrivés au cou, elles s'arrêterent, puis continuèrent leur chemin jusqu'à effleurer les jolis cheveux blonds de la belle...

Il ne savait pas vraiment pourquoi, mais son coeur battait lentement, comme si tout ce passait au ralenti...

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