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[RP] "An Poitin Still" auberge au bord de la Garonne.

Caline
Point de surprise. Une reprise des sens et hop une pirate de monté dans sa chambrée et étendue sur sa couche entre deux, trois grimaces de douleurs…on parlait des joies de l’enfantement, mon œil, mes deux yeux et toute la bonne femme oui ! Les joies, les joies, ceux qui sortaient ça n’avaient jamais connu les joies en question ! Elle voudrait les y voir, les voir ressentir ce que les femmes ressentaient lorsque leur ventre se contractait sous la douleur des contractions, tiens elle voudrait les y voir et on en reparlerait après. Une douleur intense, qui plus le moment fatidique approchait plus prenait en ampleur …alors joies, joies…peut être à la fin lorsqu’elles tenaient dans leur bras celui qu’elles avaient porté, senti, aimé dès le début, mais avant non, radicalement non, pas de joies dans l’enfantement à proprement parlé.

Sourire à son amie et à Samuel avant de préparer draps, linge, matériel nécessaire, il lui faudrait de l’eau chaude, mais ça pourrait attendre ou pas selon la rapidité avec laquelle le petit ou la petite comptait montrer le bout de son nez., là pour le moment, le baquet avec de l’eau froide suffirait largement…


Il a intérêt à venir vite ... c'est pas du tout ... agréable ! bon sang !

Murmure, mais murmure entendu, mains qui plongent, se mouillent et s’essuient, la blonde se tourne à nouveau vers la rouquine allongée puis se rapproche du lit en relevant les manches de sa chemise.

Nous allons voir s’il va venir vite ou pas…

Braies retirées, doucement mais surement, et constat rapide, une poche des eaux brisées vu la légère inondation, et il faudrait encore attendre un peu, le moment n’était pas encore bon, il allait venir ce bébé, mais il fallait laisser faire la nature et la mère nature disait on attend !
Elle remonte le drap sur son amie, hésite à sourire, oui ? non ? oui ? se sera sans sourire, pas besoin de sourire pour lui annoncer que non c’est pas encore pour tout de suite…


Tu as perdu les eaux, mais ça tu as du t’en rendre compte…par contre, le petit…ou la petite ne va pas venir tout de suite, ça risque de prendre encore du temps.

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Enored
Nous allons voir s’il va venir vite ou pas… Vite ça lui allait, le "ou pas" beaucoup moins, vraiment moins. Mais il fallait se rendre à l'évidence, les contractions n'étaient pas si proches que ça. Evidence entérinée par le diagnostique de Caline. Tu as perdu les eaux, mais ça tu as du t’en rendre compte… bah bien sur qu'elle s'en était rendu compte ... et elle allait répliquer lorsque la suite autant que la contraction suivante lui cloua le bec. par contre, le petit…ou la petite ne va pas venir tout de suite, ça risque de prendre encore du temps. La c'était moins drôle tout de suite. Prendre du temps ...

L'Irlandaise soupira légèrement pour reprendre son calme, enfin tenter. Elle avait vu avec sa mère des accouchements qui avaient duré longtemps. Ce n'était jamais bon. Souvent un des deux n'y résistait pas, parfois les deux ... Elle ferma les yeux un long moment pour chasser ses idées, serrant un peu plus la main de Samuel. Rouvrant les yeux, elle le chercha du regard, desserrant un peu son étreinte, tentant un faible sourire, l'air de dire "t'as pas le droit de paniquer toi, moi d'abord, faut que tu sois fort pour deux" sourire vite transformée en grimace. Elle se laissa retomber sur son oreiller souffle court.

Ne pas céder, ni à la panique ni à l'angoisse. Comme sa mère disait, il était entré, fallait qu'il sorte ... mais l'entrée était toujours plus agréable que la sortie. Cette pensée la fit sourire à demi. Une prière muette pour que tout se passe bien, pour qu'ils s'en sortent ... et que s'ils ne devaient pas s'en sortir que son enfant au moins survive. Elle avait vécu, beaucoup de choses, beaucoup trop diraient certains. Elle pouvait s'en aller là, et puis la sensation de sa main dans la sienne et un refus ... celui de le laisser. Ca lui était impossible ... le sort ne pouvait pas, ne devait pas s'acharner. Il fallait qu'ils vivent tous deux ... les yeux clos toujours un murmure ...



C'est pas drôle Caline ... t'sais bien que je suis pas patiente ! Prendre du temps ... t'en as d'bonnes ! c'est pas toi qu'est là ...


Oui, bon pas très futé ... peut être qu'à cet instant elle était pardonnable. Une demi grimace qui aurait du ressembler à un sourire pour s'excuser de sa maladresse. Elles en avaient parlé il y a peu et ... allez une nouvelle contraction ... rien à y faire ... elles se rapprochaient pas ... ou alors c'était parce qu'à peine commencé ça ressemblait déjà à une éternité ... Elle avait envie de pousser, de l'expulser le môme de tout faire pour que ça aille vite et pourtant ... tête posée en arrière, regard fixé au plafond, l'Irlandaise se tut. Attendant, résignée, la prochaine contraction, puis la suivante ... espérant que ... tout se passe bien. Priant pour que tout se passe bien ...

Un instant plus tard, du moins ce qui semblait un instant, son regard passa de Caline à Samuel, ils étaient là tout deux, cela ne pouvait que bien se passer.

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Samuel_de_treviere
Samuel serrait la mains de sa rouquine qui s'averait en ce jour avoir un poigne de fer... il tenait bon mais avait sur son visage cette expression d'inutilité... Le regard d'Enored le rassura un peu a ce sujet mais il s’inquiétait durement pour elle...
elle souffrait et lui... bah lui etait la a ne rien faire...
Alors il s'occupa de lui eponger le front et le cou... Et il garda sa main dans la sienne...
Il observait Caline qui semblait gerer tout ca et etre sur d'elle au niveau du delais...
Il se sentait venue d'un autre monde. Un homme au millieu d'un monde que seules les femmes peuvent vraiment comprendre. Sa position etait inconfortable mais chaque grimace d'Enored lui rappelait qu'il n'avait pas de raison de se plaindre...

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Caline
Figée, le regard fixée sur Enored…quelques mots à peine prononcés par son amie, quelques mots qui se plantent en plein cœur, quelques mots qui font mouche, quelques mots qui font mal…demi sourire demi grimace entre les contractions comme une excuse, elle sait son amie ne l’a pas fait exprès….larmes contenues… non pas possible…et si pourtant, elle les sent venir…alors, elle se détourne, fait semblant de s’activer un instant…la fatigue, c’est la fatigue qui met ses nerfs à fleur de peau…un enfant, l’amour, une famille, des choses que la rouquine avait, allait avoir et qu’elle-même n’aurait sans doute jamais, ou plutôt avait perdu et n'aurait plus…de toute façon, même si elle passait outre sa peur de souffrir, il faudrait encore trouvé un homme intéressant et là…faut se faire une raison, ils sont soit morts soit déjà pris, autant se faire une raison tout de suite…
Blonde qui se retourne après avoir sortir des linges d’un placard pour les poser sur une table, petit sourire à la rouquine, petit sourire qui vaut un « pas grave, je te pardonne ta maladresse »…


Je vais en bas, faire chauffer de l’eau, on en aura besoin tout à l’heure. Je n’en ai pas pour trop longtemps, tu devrais arriver à gérer notre rouquine tout seul Samuel...

Léger sourire, azurs posés sur une main broyée. Elle appréciait… nulle panique, un peu perdu, n’en menant pas très large certes mais il faisait tout de même son possible pour aider …et il n’était pas au bout des surprises…

Pense peut être à changer de main de temps en temps, sinon quand ton fils ou ta fille sera là tu seras incapable de la ou le tenir dans tes bras.

Et hop sur ces mots, une Caline qui sort de la chambre, descend les escaliers, va chercher et faire chauffer de l’eau…
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Samuel_de_treviere
gérer .... tout seul....
... quand ton fils ou ta fille sera là tu seras ...

Oula le pauvre homme qui déjà avait du mal a suivre ce qui se passait réellement , a ces mots eu une révélation... tout ceci était bien vrai... les douleur ,les grimaces , les mots crus... comme si depuis quelques minutes Samuel s’était enfermé dans un monde ou tout ce qu'il pouvait percevoir n’était point réel. un rêve tout au plus... mais si la douleur de sa main se fit enfin sentir... du coup le sens des mot de la blonde qui le laissait la seul... certes avec Enored qui était celle sans qui il ne pouvais vivre... mais là seul.... La sueur perla assurément sur son front a cet instant... que faire ?

Il regarda Enored qui allait surement reposer son regard sur lui plus longuement... il ne trouva rien d'autre que des mots pour la rassurer... Lui qui n'aimait pas mentir la devait faire avec ce risque...

Un sourire aussi confiant que possible...


Ca va bien se passer. il te faut ton tempérament de guerrier.

Des mots qui soudain lui paraissaient si ...... nuls

Il espérait qu'au moins le fait de lui parler passerait un peu le temps de souffrance.

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Enored
Regard qui croise celui de la Bretonne, yeux bleus un peu trop humides pour être honnêtes ... et puis regard qui pardonne, Bretonne qui les quitte pour préparer la suite. La suite, par la Grande Déesse, la suite lui foutait une trouille de tous les démons des abysses à la pirate ... Regard fixé sur le dos de Caline qui s'en va et mots qui reviennent frapper son esprit.

Regard qui se pose sur la main broyée par la sienne et étreinte qui se desserre doucement, tout doucement, jointures blanchies par la force qu'elle y avait mit reprenant un peu de couleur. Emeraudes qui quittent la main dans la sienne pour se poser sur celui qui vient de parler. Celui sans qui ... à cette heure elle ne serait rien ... sans qui à cet instant elle ne saurait vivre.

Ca va bien se passer. il te faut ton tempérament de guerrier.

A ses mots l'Irlandaise sourit ... sourire qui se transforma en rire léger avant une nouvelle grimace. Souffle coupé par une nouvelle contraction, effort pour ne pas broyer la main qu'elle refuse de lacher, main qu'elle porte à ses lèvres doucement. Murmure ...


Il me faudra au moins ça Mo Run ... ça ... et toi à mes côtés ... tu n'es pas ... inutile ... bien au contraire ...

Que lui dire de plus ? qu'elle crevait de trouille ? non ... il le savait sans doute ...
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Caline
Descendue, elle n’a vu personne, pas même les deux petits assis dans un coin, toute occupée qu’elle est à faire chauffer l’eau et à repenser dans sa tête à ne rien oublier…

Mince ! Imbécile, andouille !

Les mots sont sortis d’un trait, accompagnés d’une petite tape sur le front, elle n’a pas sa sacoche avec elle, celle ou elle met ses herbes, ses décoctions, et tout ce qui est nécessaire à une bonne infirmière ! Pas qu’elle en ait besoin, l’accouchement devrait se passer bien, il fallait qu’il se passe bien ! Mais bon il valait mieux être préparé à tout et dans sa précipitation à venir jusqu’ici, elle n’avait pas pensé à la prendre. Regard qui passe de la porte, à l’eau qui chauffe en passant par l’étage, pour y revenir dans un cercle presque sans fin… a-t-elle le temps d’aller la chercher ? A première vue, oui et puis elle ne vit pas si loin, heureusement qu'elle ne vit pas loin! Mais bon…non , elle ne peut pas laisser Enored...et puis pour le coup Samuel... s'il sait qu'elle quitte la taverne même pour un court instant…panique , panique... panique général mon Général ! Regard vers l'étage...oui mais il le sait pas, oui mais s'ils avaient besoin d'elle, ils sauraient....dilemme.

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--_pipo_
Je suis dans mon coin à tenter de calmer celui qui s'appelle comme moi quand j'entends des pas qui viennent d'en haut. Dame Caline qui descend. Je la regarde, elle a l'air inquiète. J'ai peur d'un coup, est-ce que dame Enored va bien ? Mince ! Imbécile, andouille ! Oh ben ça ! si j'avais cru un jour l'entendre dire ça ! Je m'approche doucement sur la pointe des pieds, laissant la pomme près de Pipo.

Dame Caline ? Est-ce qu'elle va bien ? Qu'est ce qui se passe ? vous me faites peur !

C'est que j'y tiens moi à ma patronne, je l'aime bien et elle me paye bien, je ne veux pas redevenir un enfant des rues.

Vous avez regardé dehors, vous avez besoin de quelque chose Dame Caline ?
Caline
Dame Caline ? Est-ce qu'elle va bien ? Qu'est ce qui se passe ? vous me faites peur !

Sursaut involontaire, ce n’est que Pipo qu’elle n’a pas entendu se rapprocher toute inquiète et prise dans ses pensées qu’elle est. On passe le sursaut, on l’évacue d’un geste de la main, on oublie et on passe à l’essentiel : le petit en face d’elle.

Oui, elle va aussi bien qu’elle peut aller dans son état Pipo hum...pas dit que ça ne l’inquiète pas plus de dire un truc pareil... bon reformuler le tout et vite pour rassurer le petit avant qu’il ne s’inquiète de trop, et surtout pour rien Tu n’as pas à avoir peur tout va bien, elle va bien.

Vous avez regardé dehors, vous avez besoin de quelque chose Dame Caline ?

Ha ben oui, mais voilà une bonne idée, brave petit qui tombe à point nommé, la voilà sa solution pour ne pas quitter la taverne.

Oui Pipo, j’ai besoin de toi. J’ai oublié ma sacoche chez moi, celle ou j’ai mon nécessaire d’infirmière légère pause, se souvenir ou elle l’a laissé exactement afin d’éviter qu’il ne perde de temps à la chercher… "non pas là...pas là non plus....ha oui là !" - je l’ai laissé sur le meuble dans ma chambre à l’étage…la première porte à droite. Tu veux bien aller me la chercher ?

Elle avait la solution à son dilemme, maintenant restait plus qu’à attendre qu’il revienne avec la sacoche, car elle le savait ce petit adorait Eno, il irait donc lui chercher sans aucun doute la sacoche…du moins en était-elle quasi certaine. On ne peut jamais etre sur de rien…
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--_pipo_
Houlalalalala ! aussi bien qu'elle peut aller ... mais ça veut dire quoi ? Au moins, elle me cache pas la vérité pour me rassurer. Ah ... je n'ai pas à avoir peur bon. Bien. Mais j'ai un peu peur quand même. Je me tortille les mains doucement, il faut bien les occuper ses mains quand on sait pas quoi faire avec. Et j'écoute Dame Caline qui m'explique où elle a mis sa sacoche. Je hoche la tête j'ai retenu et bien sur que je vais y aller. Puis je désigne une sacoche de cuir derrière le comptoir.

Je vais vous la chercher Dame Caline. Mais regardez là, cette sacoche là, elle ne s'en séparait pas ces derniers temps, elle m'a dit qu'elle aurait dedans tout ce qu'il fallait le moment venu. Vous trouverez peut être ce qu'il vous faut en attendant. Je file vite vite !

Me voilà dans la rue, je cours avant de m'arrêter net. Je suis parti dans le mauvais sens. Zut de zut ! je cours dans l'autre sens, je m'arrête encore, je fais demi tour. Puis je reviens en trombe dans la taverne.

Dites, m'dame ... vous avez laissé votre porte ouverte ? parce que sinon je vais devoir casser un carreau pour rentrer.
Caline
Pipo file…« Regardez… la sacoche… » Oui elle regarde, elle regarde même bien en s’approchant de ladite sacoche…serait ce celle de… elle ressemble…elle l’a prend l’ouvre et…

Dites, m'dame ... vous avez laissé votre porte ouverte ? parce que sinon je vais devoir casser un carreau pour rentrer.

Pas le temps de se poser plus que cela la question, un Pipo revenait sur les chapeaux de roues, intelligent ce petit gars, le sens pratique surtout ! La bretonne farfouille dans sa poche et lui tend une clé.

Tiens Pipo, voilà la clé. Tu as bien fait de revenir ça m‘évitera de faire réparer un carreau – léger sourire un carreau de plus ou de moins de toute manière vu les travaux qu’elle avait à faire pour rendre le tout un peu plus habitable…- tant que j’y pense la porte est un peu dur à ouvrir, tu devras forcer un peu sûrement.
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--_pipo_
Bah il lui arrive quoi à m'dame Caline pourquoi elle regarde la besace comme ça. Je prend la clé qu'elle me tend et je lui sourit en l'entendant parler du carreau, j'ai vu sa maison ... tiens d'ailleurs peut être qu'elle voudra mon aide pour la réparer. Faudra que je lui demande. J'écoute ce qu'elle me dit et je hoche la tête.

Vous en faites pas m'dame Caline ! Je suis fort moi je vais y arriver heu dite ... je lui fais un joli sourire en espérant pas me prendre une déculottée pour ce que je vais dire ensuite Enored m'a dit qu'il s'agissait de la sacoche d'un doc' qu'il y avait ce qu'il fallait et qu'elle y rajoutait les plantes qu'elle cueillait comme sa maman lui a appris ça va pas vous mordre hein !

houlalalala je file vite moi, comme ça elle n'aura pas le m'imprimer la semelle de ses bottes sur le fond de mes braies. Me voilà dans la rue ... la maison vite ... pousser la porte arf ! vi elle avait raison. Un tour de clé, un grand coup d'épaule et hop le tour est joué. Grimper à l'étage plus vite encore, s'arrêter sur le pas de la porte, c'est tout de même la chambre de la jolie bretonne. Je rougis en passant la porte et je pense à Enored je fonce, je prend la besace de l'infirmière et hop chemin dans l'autre sens stoppé au milieu de la rue ... la clé ... la porte zuuut !

Vite vite fermer la porte et revenir, clé dans une main, sacoche dans l'autre. Je suis tout rouge d'avoir couru ou alors d'être entré dans la chambre de la jolie Caline qui est devant moi. Je la regarde tout sourire. Mission accomplie.
Caline
Ca va pas me mordre…

Comme souvent cela commence par une esquisse de sourire qui s’étend, s’étend à n’en plus finir sur le visage, esquisse associée à une imagination débordante : imaginer une sacoche ouvrir grande sa besace et crac vous mordre tel un chien défendant son os … rajouter une pointe de fatigue, qui fait que vous avez les réactions que vous avez et hop hop hop on mélange et ça termine en fou rire ! Et voila une Bretonne prise d’un fou rire en regardant une porte fermée par lequel vient de partir en quatrième vitesse un Pipo qui semblait craindre pour son arrière train.

…me mordre… ha ha ha …me mordre…il en a de bonne ce p’tit ! dernier sourire, fin du fou rire et la blonde s’empare de la sacoche…a non sourire encore -…me mordre…- non non ne pas repartir à rire, souffler un peu, voila encore un peu bon y a quoi dans cette sacoche inoffensive…mouhahaha …
Pioufff fou rire quant tu nous tiens ! C’est terrible, elle est vraiment horrible de rire ainsi alors que son amie là haut est allongée sur son lit à subir ses horribles contractions et à prier tous les Dieux que ce petit ou petite arrive au plus vite ! Reprise de sérieux, avec une petite pensée pour l’ancien propriétaire farfouillage dans une besace pour inventaire des herbes, potions et autres matériels qui s’y trouvent…

Elle a vraiment anticipée …bon reste à attendre Pipo et ma besace regard vers l’eau qui chauffe ça c’est bientôt chaud…

Blonde qui espère qu’une rouquine ne l’a pas entendu rire, blonde qui craint une réaction quelque peut excessive sinon lorsqu’elle remontera avec tout le nécessaire…bah, elle supporterait, pas tous les jours qu’on accouche…ho ho non ne pas rire à la pensée qui vient de lui traverserl'esprit...pas drole et pourtant.."non non ne pas rire"...c'est ...c'est la rouquine qui risquait de mordre si elle l'avait entendu...pas la sacoche...fou rire qui revient et bretonne qui s'assoit sur le banc en se tenant les côtes...
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--_pipo_
Etonné, oui c'est le mot, je regarde Caline étonné ... c'est la première fois que je la vois rire comme ça. Elle est belle quand elle rit. Tiens elle m'a pas vu entrer. C'est quoi qui l'a fait rire ?

Elle s'assoit sur un banc et rit à nouveau, doucement je m'approche et je lui mets sa sacoche presque sous le nez.


Voilà, j'ai trouvé. Je peux faire autre chose ?
Caline
Voilà, j'ai trouvé. Je peux faire autre chose ?

Ben mince alors sa sacoche qui se ballade devant son nez, elle n’a pas vu rentrer le petit ! Fou rire qui s’arrête d’un trait, avalé, gobé par la sacoche et les mots du petit...finalement une sacoche ça mordrait presque, sourire qui s’étire, et éclat intense de malice dans les azurs… " non non ne pas rire …voilà, regarder le petit…ne plus penser à la sacoche…le remercier…" …fou rire qui ne reprend pas, qui s’arrête doucement.

Merci Pipo… - Bretonne qui se lève, attrape d’une main sa sacoche et qui de l’autre le temps du passage d’un ange, pose l’autre sur la tête de Pipo, geste spontané, totalement irréfléchi et qu’elle ne saurait analyser elle même … reste là à t’occuper de la taverne, si j’ai encore besoin de toi, je te dirais.

Dernier sourire et la blonde s’empare de l’autre sacoche qui ne l’a pas mordu au passage, avant de monter jusque dans la chambre de la rouquine, dépôt des sacoches sur la commode et un rapide "je reviens dans une minute ", prise d’une cuvette et descente quatre à quatre des marches, remplissage d’eau chaude de la cuvette, et cette fois si remontée plus douce des marches....milieu de l’escalier atteint et révélation à la blonde : elle a oublié de dire à Pipo de laisser le feu sous l’eau pour la garder chaude…demi tour, descente d’une marche et eau qui se renverse un peu, humm pas idéal…elle va rester ici, bien mieux que de se risquer à se casser une patte dans l’escalier, c’est franchement pas le moment, pas du tout d’ailleurs !

Pipo ? – normalement il devrait l’entendre vu qu’il n’y a pas âme qui vive en bas – Pipo ?.... Tu peux faire en sorte de garder le feu allumer pour garder l’eau chaude ?

Reste à savoir s’il l’a vraiment entendu…

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