Lysithee.
[ Quand le passé rejoint le présent
]
Tempête d'image, flou, obscurité, crépuscule ou aube, l'esprit de Lysithée vole dans tout les sens. Elle reprend conscience, encore dans le monde des rêves. Les prunelles grise s'entrouvrent, une main fine se glisse dans ses longue boucles brune. Enfin jaillissement de lumière, de bruit, c'est l'aube. Lysi séveille enfin, analyse de son corps transit de froid tout va bien, de retour à la réalité, petit à petit son être reviens, qui elle est, où est-elle, où va-t-elle, quand on est...
Elle est dans une cache en forêt, oui, quand on est ?! Elle attends que le jour passe... Enfin le crépuscule arrive et les premières étoiles scintillent, elle trace quelques cercles dans la glaise et y plante quelques brindilles à des points stratégiques, les prunelles grise sélèvent pour observer la course des étoiles, sabaissent a nouveau étudier le plan qu'elle a créé dans la terre et se souvient que l'on ai en l'an de grâce mille quatre cent cinquante sept dix huit ans a présent, une enfance riche de multiple choses vues, vécues, apprises la reconnait t'on encore? Mystérieuse Lysithée Pour le mois et le jour elle repassera plus tard, les calculs sont plus fastidieux, et peut être que les hommes de la région le savent peut être avec précision, y a t'il une horloge cosmique en ces temps?! A vrai dire elle sen fou...
Boire et manger, elle regarde la forêt et me met à recueillir diverses racines, trouve quelques ufs, du pain dans sa sacoche, la sauce sans le pain, c'est comme un ciel sans oiseaux...Elle regarde dans sa besace si ses instruments ont résisté à l'aléa du long voyage une fiole d'eau pure, dautres dalcool fort, un petit moulin à vent, un morceau de glaise, et de quoi faire apparaître le feu Armé de ses quatre éléments elle part affronter les prémices du chemin de son destin .
Lentement, la haute silhouette de la jeune fille se relève, enchaine quelques pas pour rejoindre sa monture, une main fine se glisse instinctivement sur sa cuisse pour y verifier que l'une ses dagues s'y trouve bien caché dans le fourreau de sa cuissarde... Un nom entendue tout le long de son enfance au repère familiale raisonne Mémento Mori un sourire enfantin se dessine sur ses lèvres alors que des souvenirs défilent les bottes qui claques, la voix du frère de sa marraine qui se fait entendre alors quelle cest faufilé malgré linterdiction, pour aller voir les soldats dans la taverne où ils se rassemblent lorsquils rentrent .
Les prunelles grise de la jeune fille quelle est devenue a présent se referment, quelques perles salées font leur apparition aux coins de ses yeux pour venir rouler sur sa joue et rejoindre ses lèvres, que le bout de sa langue vient les cueillir ... goût amer...salé... se goutte quun étaux lui enserre la poitrine et que le revers de la manche essuie ces marques de faiblesse quelle inspire profondément pour enfermer la douleur a nouveau, quelle ne montre a personne, afficher ce visage serein, connue de la plupart de ses rencontres lapparence Lapparence nest rien cest au fond du cur quest la plaie . Les rennes de son étalon noir sont saisie, un pied est posé a létrier pour se hisser et observer les alentours un aigle noir plane au dessus deux Un léger coup de talon est donnée et le chemin qui lui reste pour rejoindre le repère de Mémento Mori est parcourue .
[Plus tard ...]
Une cavalière en approche apparait, un aigle noir plane toujours au dessus d'elle nul ne peut deviner quil sagit dune femme, elle a hérité de la haute stature et des iris gris bleu de son père, Vegoku dOlénius vêtue dun mantel aussi sombre que sa monture et dun col lui cachant la moitié du visage fin quelle tient de sa mère, Sorianne Les doigts fin abaissent légèrement le col... Trois légers sifflements son émit et laigle approche, sa main ganté se tend pour quil vienne sy poser foule de question et dinterrogation se bousculent dans lesprit de la jeune fille, le menton déterminé se relève, les prunelles grise se posent sur le repère Mémento enfin trouvé, le bras se tends a nouveau pour donner l'élan et le signal de lenvole a laigle alors que quelques mots son chuchotés
Montre moi où il est .toi il te reconnaitra
Autour des naseaux de létalon se forment un nuage de vapeur dans laube naissante, les sabots ferré élèvent de petites mottes de terre trahissant limpatience de la jeune fille quil doit ressentir Du regard la cavalière suit l'envol de l'aigle noir et lance sa monture au trop pour venir plus proche du repère Mémento où l'aigle noir plane au dessus a présent Elle est consciente quil est risqué dapprocher ce repère emplis de soldats, mais elle na pas peur, elle avisera... nest elle pas née déjà un jour de guerre ?! Et bien que sa mère lest tenue éloigné le plus possible, elle a vue, vécue souffert ... tant de choses déjà
La cavalière arrête sa monture aux portes du repère, un garde lui barrant le passage apparait Restant juché sur son étalon, les perles grise au reflets de la translucide améthyste vident de toute émotion se posent sur lui.
Lysithée D'Olénius... Fait moi appeler le Capitaine de Mémento Mori
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Tempête d'image, flou, obscurité, crépuscule ou aube, l'esprit de Lysithée vole dans tout les sens. Elle reprend conscience, encore dans le monde des rêves. Les prunelles grise s'entrouvrent, une main fine se glisse dans ses longue boucles brune. Enfin jaillissement de lumière, de bruit, c'est l'aube. Lysi séveille enfin, analyse de son corps transit de froid tout va bien, de retour à la réalité, petit à petit son être reviens, qui elle est, où est-elle, où va-t-elle, quand on est...
Elle est dans une cache en forêt, oui, quand on est ?! Elle attends que le jour passe... Enfin le crépuscule arrive et les premières étoiles scintillent, elle trace quelques cercles dans la glaise et y plante quelques brindilles à des points stratégiques, les prunelles grise sélèvent pour observer la course des étoiles, sabaissent a nouveau étudier le plan qu'elle a créé dans la terre et se souvient que l'on ai en l'an de grâce mille quatre cent cinquante sept dix huit ans a présent, une enfance riche de multiple choses vues, vécues, apprises la reconnait t'on encore? Mystérieuse Lysithée Pour le mois et le jour elle repassera plus tard, les calculs sont plus fastidieux, et peut être que les hommes de la région le savent peut être avec précision, y a t'il une horloge cosmique en ces temps?! A vrai dire elle sen fou...
Boire et manger, elle regarde la forêt et me met à recueillir diverses racines, trouve quelques ufs, du pain dans sa sacoche, la sauce sans le pain, c'est comme un ciel sans oiseaux...Elle regarde dans sa besace si ses instruments ont résisté à l'aléa du long voyage une fiole d'eau pure, dautres dalcool fort, un petit moulin à vent, un morceau de glaise, et de quoi faire apparaître le feu Armé de ses quatre éléments elle part affronter les prémices du chemin de son destin .
Lentement, la haute silhouette de la jeune fille se relève, enchaine quelques pas pour rejoindre sa monture, une main fine se glisse instinctivement sur sa cuisse pour y verifier que l'une ses dagues s'y trouve bien caché dans le fourreau de sa cuissarde... Un nom entendue tout le long de son enfance au repère familiale raisonne Mémento Mori un sourire enfantin se dessine sur ses lèvres alors que des souvenirs défilent les bottes qui claques, la voix du frère de sa marraine qui se fait entendre alors quelle cest faufilé malgré linterdiction, pour aller voir les soldats dans la taverne où ils se rassemblent lorsquils rentrent .
Les prunelles grise de la jeune fille quelle est devenue a présent se referment, quelques perles salées font leur apparition aux coins de ses yeux pour venir rouler sur sa joue et rejoindre ses lèvres, que le bout de sa langue vient les cueillir ... goût amer...salé... se goutte quun étaux lui enserre la poitrine et que le revers de la manche essuie ces marques de faiblesse quelle inspire profondément pour enfermer la douleur a nouveau, quelle ne montre a personne, afficher ce visage serein, connue de la plupart de ses rencontres lapparence Lapparence nest rien cest au fond du cur quest la plaie . Les rennes de son étalon noir sont saisie, un pied est posé a létrier pour se hisser et observer les alentours un aigle noir plane au dessus deux Un léger coup de talon est donnée et le chemin qui lui reste pour rejoindre le repère de Mémento Mori est parcourue .
[Plus tard ...]
Une cavalière en approche apparait, un aigle noir plane toujours au dessus d'elle nul ne peut deviner quil sagit dune femme, elle a hérité de la haute stature et des iris gris bleu de son père, Vegoku dOlénius vêtue dun mantel aussi sombre que sa monture et dun col lui cachant la moitié du visage fin quelle tient de sa mère, Sorianne Les doigts fin abaissent légèrement le col... Trois légers sifflements son émit et laigle approche, sa main ganté se tend pour quil vienne sy poser foule de question et dinterrogation se bousculent dans lesprit de la jeune fille, le menton déterminé se relève, les prunelles grise se posent sur le repère Mémento enfin trouvé, le bras se tends a nouveau pour donner l'élan et le signal de lenvole a laigle alors que quelques mots son chuchotés
Montre moi où il est .toi il te reconnaitra
Autour des naseaux de létalon se forment un nuage de vapeur dans laube naissante, les sabots ferré élèvent de petites mottes de terre trahissant limpatience de la jeune fille quil doit ressentir Du regard la cavalière suit l'envol de l'aigle noir et lance sa monture au trop pour venir plus proche du repère Mémento où l'aigle noir plane au dessus a présent Elle est consciente quil est risqué dapprocher ce repère emplis de soldats, mais elle na pas peur, elle avisera... nest elle pas née déjà un jour de guerre ?! Et bien que sa mère lest tenue éloigné le plus possible, elle a vue, vécue souffert ... tant de choses déjà
La cavalière arrête sa monture aux portes du repère, un garde lui barrant le passage apparait Restant juché sur son étalon, les perles grise au reflets de la translucide améthyste vident de toute émotion se posent sur lui.
Lysithée D'Olénius... Fait moi appeler le Capitaine de Mémento Mori
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