[RP]Anoblissement des feudataires du Lyonnais-Dauphiné!

Tenshikuroi

Le Gouverneur observait le vieil écossais qui semblait comme prit dans une intense réfléxion... il murmura...

Messire... vous ne souhaitez pas vous engager finallement ou...
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Maccornell

La cérémonie se terminait avec le Seigneur de la Garde. Au moment de s'engager, il sembla perdu dans ses pensées. Après un moment, Dauphiné demanda à son Poursuivant d'armes de donner un coup de pouce à Samarel. L'embrunais s'approcha de son cousin écossais et lui glissa à l'oreille.

teacht ar Sam, abair Tá

Puis, une fois que l'homme fut sorti de son hésitation, MacCornell retourna aux côtés de Dauphiné.
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Samarel

le vieil écossais faisait durer le suspense. il avait vécu tant de cérémonies d'anoblissements. pour uen fois que c'était lui qui était récompensé, il savourait l'instant. mais il était temps d'enfin conclure. aussi posa t il un genou à terre.

je jure sur ma foi et les saintes écritures conseil et promet fidélité au lyonnais dauphiné et à son gouverneur.
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Nynaeve87

Après l'intervention de son poursuivant, Sam sembla enfin retrouver ses mots...aussi suspendu à ses lèvres elle espéra qu'il avait retrouvé tous les termes du serment d'hommage...
L'encourageant du regard, elle attendit qu'il poursuive, l'auxilium était une partie importante du serment...
Par Aristote, qu'il était difficile de vieillir...
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Samarel

poursuivant, le vieux baron termina son antienne.

de par ces mots, je preste allégeance au duché du lyonnais dauphiné et renouvelle mes voeux de protection et de soutien.

ça devait etre bon là. il pensait ne rien avoir oublié.
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Tenshikuroi

L'Ecossais semblait avoir voulu prendre l'instant de la réflexion, mais c'était maintenant chose faite. Le rituel pouvait se poursuivre.

Messire Samarel Kennedy, je vous octroie la Seigneurie de Pusignan. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

D'un main souple le Gouverneur gifla le Seigneur de la Garde.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse...

Seigneur de Pusignan, vous pouvez vous relever et vous présenter devant Dauphiné qui vous remettra les armes de votre fief.

C'était le dernier... cette cérémonie qui avait été d'une longueur inhabituelle prenait maintenant fin. Le Gouverneur s'adressa pour l'ultime fois à la foule.

Merci à tout ceux qui on fait grâce de leur présence lors de cette cérémonie. Je vous invite maintenant à partager un banquet avec nos nouveaux feudataires.

Pour Tenshi aussi, il était largement temps de se restaurer...
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Terwagne_mericourt

[HRP : afin d'éviter tout mélange, je rappelle que ces faits se déroulent mi-juillet, donc bien avant les dernières élections.

]

Cette cérémonie lui semblait ne jamais vouloir prendre fin, et si ce n'avait été la convocation qu'elle avait reçue et qu'elle ne se sentait pas le droit d'ignorer, malgré l'état physique dans lequel elle était, nul doute qu'elle aurait déjà quittés les lieux, voir n'y serait pas venue.

Assise dans le fond de la salle, elle avait gardé la main posée sur sa cicatrice durant tout le temps que cela avait duré, l'ôtant parfois quelques instants lorsqu'elle sentait le regard de Kernos se poser sur elle, ne voulant point l'inquiéter davantage. La douleur pourtant devenait de plus en plus insupportable, et le teint de son visage devenu blême ne laissait aucun doute là-dessus.

Mais voila, elle avait reçu une invitation lui indiquant que sa présence était nécessaire, et il était or de question qu'elle ne respecte pas cela.

Quelle ne fut donc pas sa surprise lorsqu'elle entendit le Gouverneur annoncer que la cérémonie était terminée! Certes, elle en était soulagée en se disant qu'enfin elle allait pouvoir aller se coucher pour soulager la douleur, mais elle se demandait néanmoins pour quelle raison au juste on l'avait priée d'être présente, elle qui n'était ni conseillère ducale, ni militaire, ni rien au fond...

Elle tourna son regard perplexe et interrogateur vers le sieur Rouvray, puis vers le Gouverneur et Dauphiné, ne sachant trop que penser, ni que faire.
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Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Arwel

La Duchesse de Clérieux avait suivi la fin de la cérémonie avec attention, serrant toujours la main de son fiancé dans la sienne... Lorsque le Gouverneur annonça qu'elle était enfin achevée, la jeune femme lâcha un soupir de soulagement... Enfin... Ils allaient pouvoir rentrer chez eux... Un regard vers Mirandor, puis un sourire... Il s'était écoulé tant de temps entre le moment où elle avait reçu la terrible giffle de Laura et cet instant que c'était à peine si elle ressentait encore une légère brûlure au niveau de sa joue toujours légèrement rougie cependant... Cela lui ramena à l'esprit la raison de son malaise... Etait-il toujours là, tapi dans un recoin ? Ou avait-il préféré quitter la cérémonie sans même attendre qu'ils puissent se parler ? Etait-ce vraiment lui au moins ? Ou n'était-ce qu'un mirage ? Une image fugace qui s'effacerait aussi vite qu'elle était apparue ?

Comment avait-il pu revenir ainsi d'entre les morts ? Le regard émeraude de la damoiselle parcourait la salle dans l'espoir qu'elle apercevrait un signe de sa présence...
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Maximien

Max Sortit le dernier contreseing de son porte document.
Puis il le tendit à Samarel

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Pénélope de Barsac, Gouverneur, Dame de Mirmande et de Neuville-sur-Saône, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé Pusignan, à Messire Samarel Baron de Bourdeaux.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Pusignan est bien seigneurie du Duché

Il portera: d'azur, à la fasce haussée d'argent, accompagnée de dix losanges d'or, quatre en chef et six en pointe, ces dernières, quatre et deux. soit, après dessin :

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous certifions, avoir été le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyé.

Faict le troisième jour du mois de Mars 1458 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie.

Messire Kennedy voici votre contreseing attestant de votre seigneurie
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Anoblissement des feudataires du Lyonnais-Dauphiné!

Nynaeve87

Ce matin là la vicomtesse arpentait pensive les couloirs du château de Lyon.
Il n’était que temps de procéder à la remises des contreseings de ceux qui avait été anoblis les deux mandats précédent ainsi que de régulariser enfin le statut des seigneurs de lance du Lyonnais-Dauphiné.

D’un pas machinal donc, elle se dirigeait vers la salle d’anoblissement encore chaude de la dernière cérémonie d’allégeance.
Dauphiné avait du vague à l’âme et n’arrivait à identifier son malaise. Etait-ce le temps qui s’enfilait inexorable… d’une main énergique elle lissa son tabard… faisait bien trop chaud la dessous…elle leva les yeux vers une des fenêtres qui révélait un ciel radieux, sourit et entra dans la salle. Il fallait se secouer…

Ici et là, les serviteurs du château s’activaient et les dernières décorations aux couleurs du duché furent époussetée, secouée, raccrochée.
Un buffet aux mets multicolores avait été installé pour l’issue de la cérémonie… il faudrait surement qu’elle surveille le Capitaine.
Ah ! Enfin une pensée qui la fit sourire.

Les serviteurs s’inclinaient sur son passage alors qu’elle se dirigeait vers son pupitre.
Elle y déposa son porte document, sa plume, son encrier et héla l’un des petits pages qui tournait un peu trop autour des victuailles…

Bonjour jeune homme, tu vas être mon messager.

Alors, souriant elle lui confia plusieurs plis, lui indiquant bien à qui il devait les remettre.
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Tenshikuroi

Afin de ne pas allonger la cérémonie des allégeances plus que de raison, il avait été convenu, avec Dauphiné, de procéder aux divers anoblissements des futurs feudataires lors d'une cérémonie qui leurs serait dédiée.

Le Gouverneur se para donc de ses habites officiels, frappés aux armes du Lyonnais-Dauphiné et se rendit à l'heure prévue dans la salle qui abritait déjà la Vicomtesse de Clermont en Trièves. Tenshi la salua puis prit place en attendant que la salle se remplisse.
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Thiberian

Alors qu'il était en plein travail...les pieds sur le bureau à rêvasser, attendant qu'une idée d'amélioration du recrutement vienne poindre en son esprit et sirotant une bonne petite chartreuse de derrière les fagots, il fut soudainement sortis de sa torpeur alors que l'on frappais à sa porte.
Fronçant quelque peu les sourcils puisqu'il n'attendais personne, il se leva et ouvrit la porte pour tomber sur un gamin...

Salut gamin, que puis je pour toi ?

Le gamin resta muet, comme intimidé devant Thiberian...surement l'uniforme, où la tête de déterré qu'il se payais après son réveil brutal...toujours est il qu'il lui tendit un pli.
Thib s'en saisit alors et sourit au gosse en lui déposant une grosse pièce d'or dans la main...

Ne dépense pas tout d'un coup surtout.

Il lui ébouriffa les cheveux et le regarda partir en courant puis son regard tomba sur la missive, scellée de frai aux armes de Dauphiné.
Il referma la porte et revint s'installer derrière son bureau pour commencer à dérouler le mince vélin et à lire les quelques lignes qui lui étaient dédiée, à mesure que ses yeux parcouraient les écrits, un sourire naquit de plus en plus jouasse sur son visage puis arriva à la fin de la lecture il ne pu s'empêcher de lâcher :

Aaaaaaaaah enfin !!

Sans plus attendre il prit son manteau, son chapeau et sortit en toute hâte pour rejoindre le lieu de la remise de fiefs.
Le voyage fut bref et quand il fut arrivé il remarqué non seulement le régent de Lyonnais-Dauphiné en la personne de son cher parrain et Dauphiné mais également un buffet qui avait l'air délicieux...il s'approcha du Héraut et s'inclina devant elle, lui prenant la main pour un déposer un léger baiser et lui jeter un regard malicieux et s'écriant :

Ravi de vous voir Dauphiné, toujours aussi radieuse ! C'est un jour fort attendu, j'espère que vous nous tenez une forme olympique !

Cela étant fait il se tourna en direction du gouverneur et lui fit un salut militaire impeccable puisqu'après tout...il était son Capitaine. Ce qui ne l'empêcha pas d'agrémenté le salut du même petit sourire malicieux dont il aimais se parer ces temps ci puis il ajouta simplement :

Votre Grâce, le bonjour ! Vous m'avez l'air en bonne forme afin d'être l'exécutant privilégié d'un jour important pour le Lyonnais-Dauphiné.
Content d'être à vos côtés en ce jour.

Toujours souriant, il lorgna cependant en direction du banquet et se dit qu'il en profiterais pour s'esquiver quand le Héraut sera occupée par son devoir...

EDIT : Double post, j'avais pas vu Tenshi ^^.
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Terwagne_mericourt

La route avait été longue, depuis Dié, et sa cicatrice bien douloureuse...

Durant tout le voyage, elle avait tenté de cacher ses grimaces de douleur à celui qui l'accompagnait et qui avait veillé sur elle durant toute sa convalescence, mais elle n'avait pas réussi à empêcher sa main de se poser par instant sur son ventre, à cet endroit par lequel elle avait voulu épouser la mort. Les souvenirs de cet acte fou la hantaient depuis, en silence, et elle avait encore du mal à affronter son regard à lui. Non pas qu'elle craignait qu'il la juge, il n'était pas ce genre d'homme, et puis il la connaissait suffisamment pour savoir que si elle en était arrivée là c'était uniquement parce que son chagrin et sa peur étaient aussi forts que son amour et sa passion... Dévorants, poignants, brûlants... Mais bien parce qu'elle s'en voulait d'avoir failli l'abandonner.

Sortant du coche avec son aide, elle le remercia d'un sourire qu'elle aurait voulu plus franc, ne lâchant pas sa main tendue, s'y accrochant avec la même force que celle avec laquelle il l'avait tirée du néant où elle s'était jetée.

C'était la première fois qu'elle quittait son hôtel à lui depuis le début de sa convalescence, et si la lettre reçue n'avait été signée de la main de Dauphiné, nul doute qu'elle n'en aurait même pas eu le courage. Elle se sentait encore tellement faible, tremblante, déchirée dans sa chaire...

Mais Kernos veillerait sur elle, comme il le faisait depuis des jours, délaissant sans doute bien des choses, et surtout le repos, pour ne pas faillir à sa promesse, et sa main offerte le lui confirmait à chaque pas qu'ils firent pour rejoindre la salle des allégeances.

Pas un mot ne franchit ses lèvres à elle, mais il n'y avait pas besoin de mot entre eux. Il savait à quel point il lui donnait force et courage par sa simple présence, elle savait qu'il craignait pour elle et ne l'abandonnerait pas, l'accompagnant à chaque pas, ne serait-ce même que du regard, et surtout tous deux savaient que malgré les entraves leur sang étaient désormais mêlés, sans que rien jamais ne puisse les séparer.

Entrant dans la salle, elle adressa un salut respectueux à son Gouverneur, un autre au sieur Thiberian, puis s'avança vers Nynaeve, un sourire à la fois timide, amical, respectueux, mais aussi interrogatif sur les lèvres, se retenant de lui demander en quoi sa présence était nécessaire à cette cérémonie. Avait-on oublié qu'elle n'était plus conseillère ducale depuis trois mois déjà?
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Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Vanesfagg

Vanes avait reçu une invitation. Elle devait se rendre au château de Lyon. Au château.... cela restait assez vague surtout lorsque on connait la taille du château et la multitude de pièce et de couloir qui si trouve... Elle décida alors de partir en avance, elle pourrait ainsi avoir tout loisir de se perdre sans pour autant être en retard.

Au fur et à mesure qu'elle avançait dans ces longs couloir elle se demandait ce qu'elle venait faire ici et pourquoi cette invitation. Elle fini enfin par trouver la salle et fut heureuse de voir des visages qu'elle connaissait. Elle s'approcha du groupe de personne hésitant un instant sur la conduite à tenir "une bisouille à tenshi et à son parrain?" "un salut respectueux pour tous le monde?". Elle opta pour la deuxième solution et leur adressa un sourire peu rassuré.
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Arwel

[A Vienne]

La Vicomtesse parcourait le Lyonnais Dauphiné ces derniers temps... pour la Gazette... Le pauvre messager chargé de l'avertir qu'on requérait sa présence à une cérémonie exclusivement réservée aux anoblissements des feudataires du Lyonnais Dauphiné avait eu bien du mal à la retrouver...

Se promenant dans les rues viennoises pour afficher ses parchemins, elle s'était entendu appeler...

Dame Arwel, Dame Arwel !

La Bienveillante s'était alors retournée, pensant que c'était quelque candidat pour collaborer à la Gazette Dauphinoise... Voyant la jeunesse du messager et sa tenue, elle s'était dit sur le champ que ce devait être quelque chose de plus officiel... Elle s'était arrêtée pour voir ce que lui voulait le jeune garçon...

Que puis-je pour vous ?

Le messager l'avait saluée respectueusement et lui avait tendu un pli en ajoutant :

Dame... Il ne m'a pas été facile de vous trouver ! Je suis chargé d'un message important pour vous... Il vient de Dauphiné...

Dauphiné ? Arwel s'était demandé si elle avait manqué à ses devoirs... Elle avait décacheté rapidement la missive et l'avait parcourue... Une cérémonie spéciale d'anoblissement... La jeune femme avait soupiré... Puis elle avait rejoint son fiancé pour lui annoncer la nouvelle...

Mon cher fiancé, on requiert ma présence à Lyon pour une cérémonie d'anoblissement... Il semblerait que je vais devenir duchesse par la main du Gouverneur Tenshi...

Elle jeta un regard éperdu à Mirandor... Et continua...

Tu sais à quel point j'aurais aimé que ce fût Walan qui soit Gouverneur pour m'attribuer cet honneur... Lui au moins a l'étoffe d'un véritable Gouverneur et les qualités requises pour diriger convenablement notre Duché... Il n'a jamais remis en question les décisions d'un Conseil Ducal, se soumettant toujours à sa volonté même s'il n'était pas en accord avec les décisions prises... Pas comme Tenshi... Comment peut-on prêter serment à un homme en lequel on n'a pas confiance ? Un homme qui lorsqu'il était Vice-Chancelier a fait fi des directives du Gouverneur et du Conseil Ducal en place pour ne suivre que sa propre opinion... Peut-on être assuré que maintenant qu'il est Gouverneur, il ne fera pas de même, puisque cette position lui laisse encore plus les coudées franches que celle de Vice-Chancelier ?

La Vicomtesse soupira...

Si au moins mon anoblissement avait eu lieu lors de la cérémonie d'allégeance, j'eusse pu plonger mon regard dans celui du Porte-Parole qui reste toujours aux côtés du Gouverneur et faire comme si je m'adressais à lui... Mais là, je vais me retrouver seule face à un homme qui a dû pleurer sur l'épaule de notre tête de liste pour arracher la Gouvernance au seul homme qui la méritait... Je ne suis pas certaine de pouvoir me maîtriser jusqu'au bout... Voudrais-tu m'accompagner ? Ta présence à cette cérémonie m'empêchera certainement de faire des bêtises...

Elle accompagna sa demande d'un beau sourire... Elle répugnait à lui imposer ces cérémonies officielles qui lui incombaient, elle l'évitait toujours habituellement mais cette fois, elle ne se sentait pas la force d'affronter cette épreuve seule... Ce moment qui eût dû être un immense moment de bonheur devenait pour elle une épreuve... Par la faute des copinages qui passaient avant le bien du Duché...

[A Lyon... A Pierre-Scize...]

La Vicomtesse s'était montrée peu bavarde pendant le voyage... Vêtue d'une robe aux couleurs de Clérieux, d'un beau bleu, ornée de rubans dorés, la jeune femme arborait un air fermé... Elle se devait de se montrer respectueuse, non de l'homme qui avait perdu toute son estime, mais de la fonction qu'il représentait... Et elle ne le ferait que pour une seule raison, son amour pour le Lyonnais Dauphiné...

Arrivée à destination, elle prit la main de son fiancé et la serra fortement, cherchant dans son regard la force de parvenir à son but... Elle descendit de voiture et pénétra dans le château, sachant exactement où elle devait se rendre... Elle laissa Mirandor faire une entrée plus discrète qui lui conviendrait certainement mieux, lui qui n'appréciait guère de se retrouver le point de mire...

Elle s'arrêta un instant devant la porte avant de faire son entrée dans la salle... Une profonde inspiration... Elle entra alors, tentant de ne pas laisser son appréhension l'envahir... La première personne qu'elle vit fut Dauphiné, elle la salua de loin, ne voulant pas la troubler dans ses préparatifs... Ensuite, elle le vit, lui, le Gouverneur, perché sur son trône... Un sourire teinté d'ironie orna ses douces lèvres et elle ne s'approcha pas de lui pour esquisser sa plus belle révérence, qu'il s'estime déjà heureux qu'elle pliât devant lui pour le saluer... Par contre, elle adressa un large sourire à Thiberian en guise de salut, un léger signe de tête à Terwagne ainsi qu'à Vaness... Son sourire se fit plus doux pour cette dernière qui ne semblait guère rassurée de se trouver icelieu... Arwel avait envie de lui dire de ne pas s'inquiéter, que personne n'oserait la manger, pas en public du moins !

La jeune Vicomtesse resta debout, un peu à l'écart, afin d'attendre le début des hostilités... euh... des festivités...
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Milyena

Mily ayant les oreilles qui trainaient toujours un peu partout, avait appris que dans une salle du château de Lyon aurait lieu ce jour une cérémonie d'anoblissement.
Elle avait également sut que sa soeur en était.

C'est dont tout naturellement qu'elle s'y rendait également, espérant pouvoir y être en tant que spectatrice.

Une fois sur place elle eut la joie de voir que Terry s'y trouvait déjà.

Mais son premier regard avait été pour le gouverneur actuel du LD, comme il était beau Tenshi perché sur son siège.

Un léger sourire aux lèvres et un salut respectueux envers lui, salut discret pour les autres personnes présentent, qui lui étaient connues et moins connues, avant de se diriger vers Dame Ninaeve, qu'elle n'avait pas encore le plaisir de connaître.

Ne sachant trop à qui demander si sa présence ne gênait en rien, c'est à elle qu'elle pensa devoir le faire.

Bonjour Dame Ninaeve, je suis Milyena Méricourt, habitante de Vienne et souhaiterais assister à cette cérémonie d'anoblissement.
Puis-je ou ma présente n'est pas autorisée?

Pas toujours simple pour elle de savoir où elle pouvait pousser son nez.
Alors résolutions prises depuis quelques jours à présent, elle entrait et demandait, on allait tout de même pas la mettre sur le buché et tout ce qu'elle risquait c'était s'entendre dire "non, vous ne pouvez".
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Mirandor

[A Vienne... Quelques jours avant la cérémonie...]

Comme promis, Mirandor aidait à l'accrochage des affiches dans les rues de Vienne... La Gazette méritait de renaître, et c'était avec plaisir qu'il apportait sa modeste contribution... Et puis cela lui permettait de passer du temps avec sa belle fiancée... Cela lui rappelait les vendanges, où ils oeuvraient tous deux à quelques mètres l'un de l'autre, se jetant de temps en temps quelques regards... Mais un jeune page interpela Arwel...

Le fiancé, à quelques distances de la scène, ne savait pas de quoi il en retournait... Aussi, il continua sa tâche, surveillant toutefois la Vicomtesse... D'ailleurs, la voilà qui revenait vers lui, une grande nouvelle à annoncer...

Mon cher fiancé, on requiert ma présence à Lyon pour une cérémonie d'anoblissement... Il semblerait que je vais devenir duchesse par la main du Gouverneur Tenshi...

Mirandor grimaça, sachant ce que cela pouvait signifier pour elle... Et le regard désespéré qu'elle lui lançait en disait long... La jeune femme poursuivit par une longue tirade, durant laquelle Mirandor lui prit les mains en signe de réconfort... Elle finit par lui demander de l'accompagner à Lyon :

Voudrais-tu m'accompagner ? Ta présence à cette cérémonie m'empêchera certainement de faire des bêtises...

Elle lui fit alors un large sourire, pour appuyer sa demande... Dans ces conditions, il ne pouvait rien refuser... Bien que de toute façon, il n'était pas question de la laisser seule en cet instant... Il lui rendit son sourire et hocha la tête :

Bien sûr que je veux t'accompagner... Tu peux compter sur moi...

[A Lyon... Quelques heures avant la cérémonie...]

Le voyage avait été calme... Trop calme même... Mirandor s'était demandé s'il n'avait pas mal compris... Se rendaient-ils à un enterrement ? Non, quand même pas... Ils allaient bien à la cérémonie qui ferait d'Arwel une Duchesse... Un grand jour, qui devait la récompenser de tout ce qu'elle a fait pour le Lyonnais-Dauphiné...

Lorsqu'ils arrivèrent devant le Château de Pierre-Scize, la jeune femme serra la main de son fiancé... Il lui sourit, se voulant rassurant... Il l'aida à descendre de voiture, puis avant qu'ils ne se séparent quelques instants, il posa son regard dans celui d'Arwel :

Tu vas très bien t'en sortir... Fais abstraction de l'homme qui sera en face, et ne pense pas à qui aurait pu être à sa place... Essaye de te concentrer sur la signification de cette cérémonie... Tu ne prête pas serment à Tenshi, mais au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné... C'est très différent...

Il marqua une pause, lui adressa un large sourire et lui releva doucement le menton...

Allez, je serai pas bien loin...

Satisfait du sourire qu'il avait pu lui décrocher, il la laissa entrer dans le château... Lui, patientait au dehors que d'autres invités arrivent, pour se mêler à la foule qui était attendue... Mais il tenait à être au premier rang, alors il était aux aguets...
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Max69lyon

Le seigneur de Mions avait entendu parler à Vienne d'une cérémonie d'annoblissement qui se tiendrait à Pierre Scize. A présent bien remis de ses années d'errance et du long voyage qui l'avait rammené à Vienne, il décida de s'y rendre. Après tout ces cérémonies étaient généralement assez agréables, et celle ci serait un bon moyen de reprendre contact avec la vie publique ducale. Non pas que le vieux seigneur en mourrait d'envie, néanmoins il se devait de se tenir au courant à présent qu'il était revenu. A vrai dire, il avait été discret depuis qu'il était revenu à Vienne. Les personnes au courant de son retour se comptaient sur les doigts d'une main...et même moins: Walan, son vieux compagnon, et Anne, la jeune vicomtesse de Culan, bourgmestre de Vienne. Il n'avait pas encore eu le loisir de retrouver son vieil ami Dédé, même s'il en mourrait d'envie, ni sa chère filleule... Quand à la personne qui avait motivé son retour, il n'avait pas encore jugé bon de la chercher...d'autant plus qu'elle ne serait certainement pas très difficile à trouver, à présent qu'elle s'était affirmée.

Le vieux capitaine épiscopal prit donc la route de Lyon au lever du jour J, profitant de la fraîcheur matinale, non encore dissipée par le soleil étincelant qui frappait déjà la terre de ses rayons ardents. Il chemina lentement, ayant tout son temps pour arriver.
Il avait revêtu son uniforme noir de jais, insignes épiscopaux à l'épaule et blason mionsois sur la poitrine. Arrivé à Lyon, il gagna une auberge sur les flancs de la colline de Fourvière, où il mangea un fromage de brebis sur de larges tranches de pain aux noix et se désaltéra d'un bon rouge des côteaux du Viennois. On ne change pas les bonnes habitudes!
Environ une demie heure avant la cérémonie, il se mit en route à pied vers Pierre Scize, qu'il atteignit rapidement. Il pénétra sans encombre jusqu'à la salle des cérémonies, non sans remarquer avec un sourire le froncement de sourcil des plus jeunes gardes qui ne connaissaient pas ce blason.
Pénétrant dans la large salle, il parcourut rapidement du regard les personnes déja présentes. Peu nombreuses étaient celles qu'il connaissait: Nynaeve, affairée à tout préparer dans son bel habit de Dauphiné, Mirandor, et ...
Le souffle coupé, le vieux viennois dut regarder à deux reprises la charmante noble en robe bleue qui se tenait quelques pas plus loin. On l'avait prévenu, mais il ne s'était pas attendu à un tel changement. Se reprenant, il gagna l'ombre d'une large colonne. Il n'avait aucune envie de retrouvailles publiques avant la cérémonie, et encore moins si celles ci devaient perturber la jeune femme. Un léger sourire aux lèvres, il continua à regarder l'assistance, et ne put retenir une grimace lorsqu'il remarqua qu'il ne connaissait même pas le Gouverneur. Bigre, il était décidément parti trop longtemps...
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Loelia

Admiratrice des cérémonies de noblesse et autres frivolités ou se pavanent les plus beaux apparats de la ville avec bien souvent des mets délicieux a grignoter, Cyanne se prépara pour se rendre à la cérémonie d'annoblissement des feudataires du Lyonnais Dauphiné.

Se hissant entre les nombreuses personne pour tenter de percevoir l'élu de son coeur, elle tomba nez à nez avec un homme vêtu de noir portant SES armes sur ses vêtements. Là! sous ses yeux! un homme portant les armes de Mions sans gêne... La douceur des traits de la jeune poupée devinrent durs et plein de repproches. Immédiatement elle se faufila jusqu'à l'oreille de Dauphiné pour lui faire part de son étonnement en lui montrant du doigt l'usurpateur en question. Certes certes, on ne montre pas du doigt mais l'indignation était telle que cette règle lui fit défaut.

Puis regardant son amour drolement bien habillé depuis qu'il était gouverneur, la jeune Vaucanson lui envoya un baiser qui hélas vu la distance passerait probablement pas inaperçut.. mais peu importe, à présent, ils étaient libres!

Mirandor

Finalement, Mirandor n'avait pas tant attendu que cela avant de rentrer... Il y a avait peu de monde, et au moins il ne perdrait pas trop de temps à saluer toutes les têtes connues... Lorsqu'il entra, il aperçut le Gouverneur Tenshi qu'il salua discrètement mais avec respect... Dame Terwagne, sa remplaçante à la tête du Comité des Festes Ducal, était présente également... Ils échangèrent quelques mots, par courtoisie, avant que Mirandor ne continue ses salutations... Le Capitaine Thiberian, un nouveau compagnon du GOLD, qui rôdait autour d'un fabuleux buffet... Et non loin de lui, une femme méritante, l'organisatrice de la cérémonie, qui avait fait l'honneur à Mirandor de devenir sa marraine... Il lui toucha légèrement le bras, pour attirer son attention, et lui fit un large sourire... Il ne voulait pas la déranger bien longtemps, déjà qu'il ne se sentait pas trop à sa place dans cette cérémonie, mais il lui promis qu'ils discuteraient plus longuement lorsqu'elle serait moins occupée... Enfin, si toutefois pareille chose était possible...

Quelques autres personnes étaient présentes, ils les salua d'un signe de tête en allant rejoindre sa charmante fiancée, qui s'était quelque peu isolée... Elle faisait une triste mine, et semblait attendre que tout cela commence enfin... Il s'avança près d'elle et s'adressa à la jeune femme d'un air distingué :

Dame, permettez-moi de vous dire que vous êtes des plus ravissantes...

Il s'inclina bien bas, avant de se redresser un grand sourire aux lèvres...

Qu'est-ce que tu fais toute seule dans ton coin ?

Il avait envie de la prendre dans ses bras pour la réconforter, mais se dit que cela n'était pas très correct icelieu... Il se retint, donc, regardant autour de lui les nouveaux arrivants... Il lui sembla reconnaître Cyanne Loelia, la fille du Duc de Gap... Mirandor se rappelait que la première fois qu'il avait rencontré la jeune fille, elle et Arwel ne s'entendaient guère... Elle semblait chercher quelqu'un, à la voir s'agiter ainsi par dessus l'épaule des personnes devant elle... Puis d'un coup, elle sembla choquée et sacrément remontée... Mirandor leva un sourcil, en voyant la possible cause de ce changement d'humeur... Un homme en noir, dont la démarche n'était pas inconnue, traversait la foule... Il perdit l'homme de vue... Il réfléchit quelques instants, les sourcils froncés, fouillant dans ses souvenirs... Un frisson lui parcourut l'échine en repensant au baptême d'Arwel... Lui ? Etait-il de retour ? Mirandor le croyait mort depuis tout ce temps... Arwel avait-elle connaissance de sa venue ? Il se tourna vers elle, s'apprêtant à le lui demander...

Finalement, il s'arrêta la bouche ouverte, se disant que ce n'était peut-être pas le moment de perturber la Vicomtesse... Après tout, c'était peut-être pour elle aussi la dernière personne qu'elle s'attendait à voir... Le visage de l'homme, figé et un peu pâle, semblait intriguer sa charmante fiancée, qui lui lançait un regard interrogateur... Il fallait trouver quelque chose, et vite !! D'autant plus que derrière eux, il semblait y avoir un peu d'agitation...

Il se décrispa finalement, faisant un large sourire... Enfin, un peu crispé le sourire quand même... Puis, pointant du doigt la décoration de la salle, à l'opposé de la foule, il dit :

Non, je me disais juste en moi-même que... euh, comment dire... Non, mais c'est très réussi, vraiment... La décoration je veux dire... Je me souviens pas avoir vu dans les malles du Comité des tentures d'aussi bonne facture... Tout aux couleurs du Duché... C'est vraiment très réussi... Hum... Humhum... Ca me rend presque nostalgique du Comité... Ouais... Hum...

Pas très concluant comme diversion...
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Arwel

Alors que la Vicomtesse patientait un peu à l'écart de la foule, elle apercut l'entrée de son doux fiancé... Lorsqu'il s'approcha d'elle pour lui parler d'un air distingué et lui faire une révérence, elle rosit et ne put retenir un sourire...

Qu'est-ce que tu fais toute seule dans ton coin ?

Une mine penaude s'afficha sur le visage de la jeune Arwel...

J'attendais le début de la cérémonie... Je n'avais pas très envie de parler à qui que ce soit... Je suis vraiment heureuse que tu aies accepté de venir avec moi... Je me sens tellement plus forte lorsque tu es à mes côtés...

Alors qu'elle parlait à Mirandor, celui-ci sembla être distrait par un événement particulier dans la salle... Arwel n'y préta pas vraiment attention, il lui sembla simplement que Cyanne semblait contrariée mais elle ne vit pas quel était l'objet de son déplaisir... Tout ce qu'elle saisit, ce fut le trouble et la pâleur soudaine du visage de son fiancé... Une vive inquiétude la parcourut... Que pouvait-il se passer qui le mît dans cet état ? Arwel vit les efforts que faisait Mirandor pour se détendre, sans pour autant vraiment y parvenir, sa curiosité était désormais piquée... D'autant plus lorsqu'il lui sembla qu'il essayait de détourner son attention... Elle eut un sursaut lorsqu'il évoqua sa nostalgie du Comité, il n'avait même jamais abordé ce sujet auparavant...

Les murmures montaient dans la salle, détournant la Vicomtesse de la direction que l'homme qui habitait son coeur lui indiquait... Elle aperçut Cyanne en grande conversation avec Dauphiné... Les regards étaient tous tournés vers l'ombre d'une large colonne... Arwel se demandait vraiment ce que cette colonne pouvait dissimuler... Prenant la main de Mirandor, elle lui dit malicieusement :

Il n'est plus besoin de faire diversion... Il se passe quelque chose... J'aimerais bien savoir ce que c'est... Viens avec moi...

S'il était un défaut que la Vicomtesse pouvait avoir et qui l'avait déjà placée dans des situations vraiment périlleuses, c'était la curiosité... Entraînant Mirandor à sa suite, elle tentait de distinguer ce que pouvait bien renfermer la pénombre du renfoncement du pilier... Elle n'aperçut qu'une vague silhouette... Elle ne pouvait s'empêcher de se murmurer que cette silhouette lui était étrangement familière... Elle s'approcha alors un peu plus du pilier, serrant soudain la main de son fiancé dans la sienne... Plus elle s'avançait et plus l'ombre devenait lumière, jusqu'à ce que la vague silhouette devint un profil distinct... La frayeur pouvait se lire sur son visage en cet instant... Un fantôme... Elle voyait un fantôme... sa main se crispa sur celle de Mirandor à l'écraser... Elle lui jeta un regard effaré et murmura :

Max ? Non... C'est impossible...

Soudain, sa vue se brouilla, ses oreilles se mirent à tinter, le sol sembla se dérober sous ses pieds... Sa main relâcha l'étreinte douloureuse qu'elle exerçait sur celle de Mirandor... La belle Vicomtesse s'écroula, inanimée, dans les bras de son beau fiancé...
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Mirandor

Ah non, vraiment pas concluant... Bien au contraire, au lieu de détourner l'attention d'Arwel, cela avait éveillé sa curiosité... Bravo Mirandor ! Après avoir trouvé le centre d'intérêt de la foule, Arwel lui prit la main en lui disant, presque amusée :

Il n'est plus besoin de faire diversion... Il se passe quelque chose... J'aimerais bien savoir ce que c'est... Viens avec moi...

Et avant même qu'il n'aie pu répondre quoi que ce soit, elle l'entraînait déjà au milieu de la foule, vers l'endroit où l'homme avait disparu... Il s'empourpra, se sentant ridicule dans sa vaine tentative de diversion... Il essayait à la fois de la ralentir, mais ne voulais pas prendre le risque de la lâcher et de la laisser partir seule... D'un pas déterminé, la jeune Vicomtesse s'avançait vers une partie plus obscure de la salle... Mirandor bafouilla quelques mots pour tenter de l'en dissuader, craignant que l'homme qui s'était retiré dans l'ombre soit celui auquel il pensait...

Non, je t'assure... Ca vaut pas la peine... Arwel, c'est pas le moment... Oups ! Pardon Dame, je n'ai pas vu où je mettais les...

A cet instant, la jeune femme commençait à serrer un peu plus fort la main de son fiancé... Elle avançait encore un peu plus, serrant davantage encore sa main... Lui, suivait péniblement, écrasant maladroitement quelques orteils au passage... Elle ralentissait enfin, mais sa main serrait de plus en plus fort celle de Mirandor... Ce dernier grimaça, demandant à sa fiancée de déserrer un peu sa prise... Ce qu'elle fit...

La Vicomtesse de Clérieux tomba ainsi à la renverse, dans les bras de Mirandor, suscitant l'émoi des personnes alentour... Il l'accompagna doucement au sol, fixant son visage blême...

De l'air, de l'air ! Ecartez-vous ! commanda-t-il à la foule...

Et c'est en relevant la tête qu'il vit l'homme en noir qu'il redoutait... Après tant de temps, il était de retour...
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Laura_di_constantini

Une petite missive du Grand Manitou demandant de se rendre au Castel de Lyon. Ni plus, ni moins. Après, pour l'endroit exact, il fallait se fier à son instinct en croisant les doigts pour qu'il soit bon. Si la brunette avait réussi à arriver jusqu'au château, ce qui n'était pas des plus compliqué même pour son sens de l'orientation urbain désastreux, ç'avait été une toute autre affaire que de parvenir jusqu'à la bonne pièce. il lui avait fallu alpaguer bon nombre de pages et de servantes avant d'obtenir la bonne information ; c'est donc sans surprise qu'elle découvrit une salle déjà bien remplie en vue de la cérémonie. Et à peine entrée qu'un couple qu'elle crut reconnaître rapidement, oui rapidement c'était bien le mot, car déjà une douleur lui lança dans le pied droit. La seule chose qu'elle put saisir entre ses propres grommèlements fut :

Oups ! Pardon Dame, je n'ai pas vu où je mettais les...

Laura leva les yeux au ciel en passant la porte. Déjà qu'on la tirait de ses montagnes Vercoriennes pour venir se faire annoblir, chose dont elle se serait bien passée compte tenu des pertes de temps que cela vous faisait encourrir à devoir galoper à droite à gauche pour les serments, allégeances, vassalités et autres réjouissances féodales ; et des circonstances pour lesquelles elle se retrouvait là.

De l'air, de l'air ! Ecartez-vous !

En plus de ça, la cérémonie semblait devoir débuter sous des signes de mauvaise augure puisqu'un évanouissement était déjà à déplorer, en plus d'un pied écrasé. Mais le pied, on s'en moquait bien. Grande inspiration de la brunette, puis elle tâcha de repérer quelles étaient les personnes présentes. Dauphiné, le Gouveneur, le Capitaine lorgnant sur le buffet, des visages croisés en taverne sur lesquels on arrive pas à mettre un nom.

Les bonnes convenances militaires obligent, il fallait aller saluer le Gouverneur, Dauphiné et le Capitaine. La trentenaire contourna donc l'amas de personnes et se dirigea droit vers le Gouverneur, avant de le saluer d'un garde-à-vous impeccable, dans son nouvel uniforme aux couleurs d'amertume.

Mes respects Gouverneur Tenshikuroi. Petit mouvement de bassin vers le hérault. Bonjour à vous Dauphiné. Et léger quart de tour vers le buffet. Mes respect mon Capitaine. Elle passa au "repos", puis s'avança vers ce dernier pour aller lui chuchotter dans un sourire mi-figue, mi-raisin.

Ya trop de nobles ici. Ca va encore finir en règlements de compte... Petit silence. Ya un truc à boire ?

Spacewolf

Space avait reçu une missive lui demandant de venir pour recevoir une patante...
Il etait mitigé, d'un coté, ca faisait près de 3 mandats ducales qu'il attendait ca, d'un autre, il se posait de plus en plus de question quant'a son avenir dans cette organisation...

Il entra dans la pièce et salua d'un signe de tete les personnes qu'il connaissait.
Puis se dirigeant vers le gouverneur et le capitaine les salua militairement

Mes Respects Gouverneur, mes respects Capitaine.

Il se mit au repos et alla se placer a cote de Laura.
Il sortie une flasque de sa poche, bu une gorgée et la tendit a laura

Tiens ca fait du bien...
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

_geoffroy_

Une invitation... A peine sorti de son petit tour chez les moines, Geoffroy avait croulé sous les courriers et demandes diverses... D'abord le plus urgent, ou pas... Il se dépécha de rentrer, chez lui profitant un long moment de sa femme et de la retrouver, puis se prépara pour se rendre à la cérémonie organisée. Il se fit discret pour une fois, accompagné de sa femme, puis arriva tranquillement sur le lieu de la cérémonie, saluant les différentes personnes présentes d'un signe de tête.
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Tenshikuroi

Les différents convives se pressaient dans la salle richement décorée pour l'occasion. Mais un mouvement de foule attira l'intention du Gouverneur. Il avait vu entrer la Vicomtesse de Clérieux et voilà qu'un groupe se resserrait autour d'elle. Tenshi observa et se rendit compte qu'Arwel, pour une raison inconnue, semblait avoir un malaise. Elle chut, inconsciente dans les bras de son cher et tendre.

C'est à ce moment que Tenshi reçu les salutation de Spacewolf, le Seigneur des Lances de Vienne, mais aussi de Laura, Seigneur des Lances de Dié. Elle tombait pour le coup plutôt bien. Tenshi rendit leurs saluts aux deux soldats et s'adressa à la dieoise.

Dame Laura, je connais vos talents de médecin... Pourriez vous allez vous enquérir de la santé de la Vicomtesse de Clérieux et me tenir informé s'il vous plait ?

Tenshi devait ouvrir la cérémonie en demandant à Arwel de s'approcher... Mais en attendant qu'elle soit rétablie, et pour ne pas retarder encore un peu plus les évènements, il décida de passer au second nom sur sa liste.

Dame Vanesfagg, veuillez vous approcher s'il vous plait.
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Nynaeve87

Il allait être temps de commencer la cérémonie. Dauphiné, le nez dans ses papiers n’avait pas manqué l’arrivée des différents protagonistes concernés par la cérémonie, même s’il en manquait encore quelques uns. Elle s’amusait des regards étonnés de certains et se disait que pour une fois le secret avait été bien gardé…
Il faisait assez chaud dans la salle malgré les fenêtres grandes ouvertes sur l’azur. Aussi espérait-elle que tout ceci serait rondement mené…
Un coup d’œil au gouverneur déjà à sa place… bon il était temps…
Une jeune femme qui portait les armes de Méricourt vint lui murmurer quelques mots auxquels elle répondit avec un sourire…

Vous pouvez bien sur rester. Il tenait à chacun d’inviter qui bon lui semblait, j’ai du omettre de le dire, pardonnez moi…

Puis, alors qu’elle se levait pour s’avancer vers l’assemblée, son regard fut attiré comme un aimant vers une silhouette familière… impossible…
C’est juste à ce moment qu’elle vit Cyanne se diriger vers elle… alors ouvrant de grands yeux elle resta là sans même pouvoir ouvrir la bouche tant la situation était tirée par les cheveux.
L’apaisant d’un geste, elle lui fit comprendre qu’elle règlerait ça plus tard…

Un mouvement encore au fond de la salle, la voix de Mir… mais que ce passait-il encore…

Cependant le gouverneur, sans rien laisser paraitre, appela la jeune femme que Nyna ne connaissait encore que de nom.
Elle n’avait en effet jamais rencontré celle qu’Arwel avait décidé d’anoblir. Attentive, elle la regarda s’avancer. Le contreseing était prêt et n’était plus qu’à sceller.
Maximien, comme à son habitude lui avait préparé les parchemins. Ouvrant son porte document, elle en vérifia les termes et attendit que le Gouverneur l’invite à prêter serment.

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Vanesfagg

Vanes s'était mise à l'écart et regardait les personnes entrer. Son attention fut porter sur un groupement de personne qui s'était formé. Intriguée elle décida de s'approcher lorsqu'elle entendit le gouverneur lui demander de s'approcher. Elle se figea. Moi? Il y a plein de monde ici! Pourquoi moi? Elle regarda le gouverneur et s'approcha doucement pas plu rassurée qu'à son arrivé et de plus en plus stressée.
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Laura_di_constantini

Tiens ca fait du bien... Une voix bien connue, un ton baissé, la fit se retourner pour découvrir son homologue Viennois, une flasque à la main. Léger sourire qui s'étire et main droite qui s'empare du petit contenant clapotant. Merci Space. Elle avala une petite gorgée de liquide, lui brûlant le gosier au passage, puis lui rendit la flasque avec le même sourire. C'est bon de voir qu'on peut toujours compter sur les vieux... Petite tape amicale sur l'épaule quand la voix du Gouverneur résonna. Ah ! Ca va commencer...

Dame Laura, je connais vos talents de médecin... Pourriez vous allez vous enquérir de la santé de la Vicomtesse de Clérieux et me tenir informé s'il vous plait ?

Ah non... Elle se tourna vers Tenshikuroi en levant la main. M'en charge, Gouverneur.

Aussitôt dit, aussitôt fait. D'abord se frayer un petit chemin parmi les quelques badauds rassemblés, avant d'atteindre le centre d'intérêt. Elle s'agenouilla auprès de la Bienveillante, belle évanouie au teint pâle dans les bras de son tendre. Léger regard sur la poitrine qui se soulève. Elle respire, c'est déjà ça. Son regard se pose sur l'époux, dont les yeux fixent un point particulier. Laura tourne la tête et aperçoit un homme tout de noir vêtu dans un coin. Léger froncement de sourcils. *Tiens ? On dirait le gars de la Bourgogne...* Retour à nos moutons. Elle attrapa un page assistant à la scène du regard, avant de s'adresser à lui. Va nous trouver des sels, mon brave.

La Florentine pose une main sur l'épaule de la Vicomtesse et la secoue fermement. 'Wel ? Tu m'entends 'Wel ? Pas de réaction. La Dioise poussa un léger soupir en remontant sa manche droite. Voilà une chose qui ne manquerait pas de faire du bruit. Elle attrapa le regard de Mirandor. Désolée d'avance...

CLAC

Réveille-toi, Nom de Dieu 'Wel !! Elle resta quelques secondes à regarder la Vicomtesse, espérant que la grande calque assenée aurait l'effet escompté, sans quoi il faudrait attendre l'arrivée des sels apportés par le page.

Tenshikuroi

Alors que Laura était parti prendre soin de la Vicomtesse, Vanes s'était approché de Tenshi. Un regard inquiet s'était définitivement ancré sur son visage alors qu'elle n'osait prononcer une parole. Tenshi lui sourit puis repris la parole pour la rassurer.

Dame Vanesfagg, j'ai le plaisir de vous annoncer que Dame Arwel, Vicomtesse de Clérieux, a demandé pour vous l'octroie de la Seigneurie de Pierrelatte. L'acceptez vous ?
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Vanesfagg

Vanes failli tomber en entendant la question de Tenshi elle chercha Arwel du regard se demandant toujours pourquoi elle se trouvait ici. Ne la trouvant pas elle s'adressa au gouverneur avec une voix à peine audible

tu.. euh pardon.. vous êtes sur qu'il n'y a pas d'erreur? vous ne vous êtes pas trompé?

Voyant qu'il avait l'air sur de lui elle reprit la parole

Je l'accepte en espèrent être à la hauteur
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Tenshikuroi

Le gouverneur sourit à nouveau et fit signe à Vanes de poser genoux à terre pour prononcer son serment.

Dame Vanesfagg, vous engagez-vous sur votre foi à servir le Lyonnais Dauphiné et promettez-vous fidélité, aide et conseil à son Gouverneur ?
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Vanesfagg

Vanes toujours sous le choque posa son genoux maladroitement à terre afin de prester serment.

Moi Vanesfagg, m'engage sur ma foi à servir le Lyonnais Dauphiné et promets fidélité, aide et conseil à son Gouverneur
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Akula

Akula avait reçu une missive lui donnant des nouvelles d'un évènement attendu depuis longtemps. Il enfila sa tenue d'apparat et se dirigea donc vers le lieu mentionné.
Une fois arrivé il constata qu'il avait une peu de retard. Il salua le Gouverneur et le Capitaine. Puis se place à coté de Laura et de Space.[/i]
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Helsinki

Helsinki avait reçu une convocation à se présenter pour recevoir la patente de son fief le matin même.
Il se prépara, mit son plus bel uniforme , sella son cheval et lui fit parcourir les quelques mètres qui le séparaient de la salle.
Helsinki arriva, il croyait pourtant être en retard mais il constata que peu de personnes emplissaient cette salle. Il salua d'un bref signe de tête
il se cala contre un pilier et attendit la suite des événements.
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Code:

Tenshikuroi

Dame Vanesfagg, je vous octroie donc la Seigneurie de Pierrelatte et au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, je m'engage à vous fournir protection et justice.

Tenshi avait réfléchit à la suite... deux solutions s'offraient à lui selon la coutume. Le baiser vassalique d'une part, qui en la matière pouvait s'envisager, ou la gifle. Tenshi aimait la symbolique de ce geste fort. Il opta donc pour cela. D'un geste souple et ample, mais sans réelle violence, il déposa une petite gifle sur la joue de Vanes.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse.

Vous pouvez maintenant vous lever, Vanesfagg, Dame de Pierrelatte et vous approchez de Dauphiné pour qu'elle vous remettent vos armes.
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Mirandor

Mirandor regardait fixement vers l'ombre, mais il fut interrompu par la venue de Laura... Celle-ci s'agenouilla auprès d'Arwel, et la secoua vivement... Le fiancé la regardait faire, un peu absent... Il était encore sous le choc, et de nombreuses pensées traversaient son esprit... Que faisait Max ici, après tant de temps ? Etait-il revenu pour Arwel ? Que lui voulait-il ?

Mirandor s'en voulait de ne pas avoir pu la "protéger" de cette rencontre inattendue... Ce n'était vraiment pas le moment pour la Vicomtesse de Clérieux de s'évanouir, alors que la cérémonie était sur le point de débuter... Mais qu'est-ce qui lui est passé par la tête ?! Quand elle avait l'occasion de se mettre dans une mauvaise situation, elle ne la manquait rarement...

Désolée d'avance... entendit-il vaguement...

Hein ? Désolé de quoi ? Il eut la réponse sans plus attendre... Laura frappa violemment Arwel au visage avant même que Mirandor ne comprenne ce qu'il se passait... Le bruit glaça le sang de l'homme, et sursauta comme s'il avait lui même reçu la claque...

Réveille-toi, Nom de Dieu 'Wel !! cria la femme médecin...

Son homologue, qui tenait dans ses bras la belle évanouie, retrouvait ses esprits, et finit par hurler après quelques secondes, en lançant un regard plein de reproches à Laura :

Hey ! Mais ça va pas ?!?!?!?!

Il couvrit les joues d'Arwel, dont l'une qui commençait à chauffer sérieusement... A ne pas en douter, on devait voir les cinq doigts du Seigneur des Lances imprimés sur la joue... Bon, en fait, dans une situation similaire, avec quelqu'un d'autre, il aurait agi de la même façon... Mais pas question de l'admettre, maintenant qu'il avait commencé à râler ! Enfin, pas pour l'instant du moins...

Bien sûr, tout ceci n'avait pas dispersé les badauds... Bien au contraire ! Il était clair qu'ils ne pouvaient pas rester ici, avec la cérémonie qui commençait derrière eux... Et comme la méthode de Laura n'apportait pas de résultat concluant, Mirandor décida de l'emmener ailleurs... Il la prit dans ses bras, se redressa puis s'adressa à Laura :

Allons ailleurs, je vous prie... Nous perturbons la cérémonie...

[Quelques instants plus tard, dans les couloirs]

Escortés d'un garde, ils traversaient en silence les couloirs à la recherche d'une salle plus calme... Mirandor regardait fixement le visage d'Arwel, toujours aussi pâle... A l'exception bien sûr d'une de ses joues ! Finalement, il brisa le silence :

Je m'excuse pour tout à l'heure, je n'aurai pas du vous parler ainsi... C'était sans doute quelque chose à essayer...

L'homme se tourna vers Laura et lui adressa un petit sourire désolé... Et en étudiant sa réaction, il se demanda si ce n'était à elle qu'il avait écrasé le pied un peu plus tôt... Décidément...
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Vanesfagg

Vanes écoutait les paroles du Gouverneur puis ressentit une gifle. Elle allait porter sa main sur sa joue, pas que cela fût douloureux mais plutôt par reflex, néanmoins elle n'en fit rien et resta immobile. Elle avait déjà assistait à des anoblissement mais ce passage lui était sorti de la tête. Puis le Gouverneur reprit la parole

Tenshikuroi a écrit:

[b]Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse.

Vous pouvez maintenant vous lever, Vanesfagg, Dame de Pierrelatte et vous approchez de Dauphiné pour qu'elle vous remettent vos armes.

Elle lui adressa un sourire avant de se diriger vers Dauphiné
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Milyena

Mily eut réponse de Dame Ninaeve et lui sourit la remerciant.

Merci à vous.

Rejoignant Terry elle remarqua quelques peu d'agitation, se retournant elle vit Dame Arwel qu'elle ne connaissait que de nom s'évanouir.
Et voilà encore un endroit où la cérémonie se voyait perturbée, décidément cela devait-être coutume ici dans le Lyonnais-Dauphiné.

Replaçant son regard sur le gouverneur, elle espéra bien qu'il eut la réaction qui pour elle fut la meilleur, débuter malgré tout l'anoblissement de Vanes.
Vanes à la demande de Tenshi s'avança donc et enfin la cérémonie put débuter.

Léger sourire sur le visage de Mily se demandant ce qu'il allait ou avait choisit. La gifle ou le baiser. Elle s'en était bien faite une idée.

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Arwel

Le noir... le blanc... la Vicomtesse n'a plus conscience de ce qui se passe à l'endroit où elle se trouve... Les images se bousculent dans son esprit inconscient... Son arrivée en Lyonnais Dauphiné... Sa rencontre avec Max... Leurs instants de bonheur fugitifs... Leur rupture... L'amour incontrôlable qu'elle a éprouvé dès le premier instant pour Mirandor...

Impression d'une douleur cuisante... Mais elle n'arrive pas à rouvrir les yeux... D'autres pensées, beaucoup plus sombres, viennent prendre possession d'elle... Cette douleur, celle qu'on ressent quand on vous frappe, ne lui est pas inconnue... Elle entrevoit un homme répugnant... Son corps qui pèse sur elle alors que son ventre abrite une toute petite vie... Cette toute petite vie la quitte... Elle sait qu'elle ne connaîtra jamais l'enfant qu'elle a accueilli en son sein quelques mois... Une douleur fulgurante traverse son ventre... Des larmes coulent sur son visage alors qu'elle ne veut pas reprendre conscience... Elle mourra de douleur si elle revient à elle maintenant...

Elle entend les pleurs d'un bébé qu'elle ne pourra jamais prendre dans ses bras, d'un enfant qui n'a même jamais pu pousser son premier cri... Elle perçoit les gazouillements d'un enfançon... Elle voudrait le voir, sentir sa chaleur contre elle... Mais elle sait maintenant que ce sera impossible...

Dans la lueur blanche de ses idées s'installe un adorable bambin, le visage ressemblant à celui de Mirandor, avec les yeux émeraude de sa mère... Un beau petit garçon... Arwel voudrait le toucher mais il s'évertue à s'éloigner dès qu'elle tente de s'approcher de lui... Soudain, de petites mains se tendent vers son visage... Elle les sent toucher ses joues... Puis l'enfant s'estompe en lui faisant un signe d'au revoir...

La jeune Vicomtesse a la sensation de flotter... Elle se sent revenir au monde des vivants... Elle sait qu'elle devra tout supporter en reprenant connaissance... Son agression... La perte de son enfant... Le retour de Max... Et bien d'autres choses qui ont perdu toute leur importance à la lueur des ces événements qui ont refait surface dans son esprit...

Ses paupières cillent doucement... Ses yeux s'ouvrent lentement... Et c'est son visage qu'elle entrevoit en premier... Quelques instants à le regarder fixement, essayant de se souvenir de ce qu'elle fait là... Une salle du château... La cérémonie... Max... Et... Le bébé...

Arwel ressent toujours la cuisante douleur sur sa joue... Si les larmes s'échappent de ses yeux, elle pourra toujours prétexter qu'elle a mal... Même si sa douleur n'est en réalité pas physique, mais vrillée au fond de son coeur... Ne pas inquiéter Mirandor plus qu'il ne doit déjà l'être vu l'expression de son visage...

Elle pose une main sur son ventre, comme pour s'assurer que toutes ces images ne sont pas le fruit de son imagination... Comment a-t-elle pu croire pendant si longtemps qu'elle était toujours enceinte ?

Elle referme les yeux un instant, tentant vainement d'empêcher ses pleurs de s'épancher... Elle les rouvre, porte sa main à sa joue rougie et fixe Mirandor en lui murmurant :

Est-ce ton oeuvre ?

Tournant légèrement la tête, elle s'aperçoit de la présence de Laura... Connaissant les manières parfois expéditives mais efficaces de la jeune femme, Arwel comprend alors que ce doit être elle qui lui a administré ce remède salvateur à bien des égards... Un pâle sourire à son encontre avant de la remercier doucement :

Merci Laura, je reconnais bien là ta manière d'opérer !

La Vicomtesse s'empare du bras de son fiancé afin de se redresser... Elle se sent encore faible mais désire retourner dans la salle de cérémonie... Elle se lève en s'accrochant à lui et lui explique :

Je veux retourner à la cérémonie : d'une part, j'aimerais assister à l'anoblissement de Vanes... d'autre part, je désirerais pouvoir parler à Max... Lorsque tout sera fini...

Elle porte à nouveau sa main à son visage et ajoute :

J'espère que le Gouverneur me gifflera l'autre joue... Je crois que celle-ci a suffisamment pris pour aujourd'hui...

Elle jette un regard craintif vers Laura :

Allons-y... Je ne voudrais pas que tu sois privée de cérémonie par ma faute... Je vous promets de ne plus m'évanouir avant la fin...

Escortée par Mirandor et par Laura, la jeune femme sait qu'elle n'a rien à craindre...
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Plumedange

*Discrète, ce qui n'était pas dans ses habitudes, Plume était venue contre son gré, suivant son époux qui à peine rentré de retraite était venu ici, sans guère s'étendre.
Quelques mots à peine d'échanger, une légère attente alors qu'il s'habillait bien, tandis qu'elle rêvassait.
Pourquoi se changer?
Pourquoi soigner sa tenue alors que son mari lui lançait sans cesse à la figure qu'il n'aimait pas la noblesse.
Voir son époux se prendre une gifle pour une chose dont il n'avait, d'après ses dires, rien à faire, sa ne l'enchantait pas, tout comme voir des personnes à peine arrivée dans le Duché déjà reconnues comme vassaux du lyonnais-dauphiné, alors que d'autres avaient été oublié pendant 3 années avant de recevoir reconnaissance.
Légère pensée pour Anas, avant de soupirer.
Son mari saluait la cantonnade sommairement et Plume s'enferma dans un silence plus profond encore.
Une légère grimace apparu sur son visage lorsque Vaness reçu la claque et elle pensa au fond d'elle que si Tenshi levait la main sur son époux elle n'était pas sure de se contenir.
Ce n'est pas qu'il était fragile mais vu les sacrifices qu'elle faisait pour lui elle supporterait difficilement qu'on touche à son précieux trésor.
Arwel avait eut un malaise, elle l'avait vu, de loin, mais elle n'aurait rien pu faire en l'état actuel des choses et elle laissa Mimi et Frutass s'occuper d'elle, chose qu'ils firent bien puisque celle-ci revint peu après, consciente.
La blondinette était éteinte, appuyée contre un des piliers elle attendait, de pouvoir rentrer chez elle, de ne plus faire la poupée baladée de place en place tandis que son époux vaque à ses occupations, mais aussi d'arrêter de souffrir tout ces anoblissements qui ne lui imposait que l'image d'une vie qui n'avait guère beaucoup de réussites à son actif.
Léger soupir, une main posée sur son ventre, ses espoirs de bonheur et de joie résidaient ici, mais qui savait si cela durerait vu la position qu'elle et son tendre avaient sur l'éducation des enfants...
Enfin, le temps n'était guère à toutes ses pensées et en apercevant Cyanne qui semblait scandalisée par quelque chose que Plume ne percevait pas, elle réussit à sourire.
Son rayon de lune la faisait toujours sourire, peut être parce qu'elle y entrevoyait un petit quelque chose qui lui rappelait des souvenirs sur lesquels elle ne mettait pas de nom.
En tout les cas ou qu'elle soit, ou qu'elle se rende elle était toujours un ravissement pour l'œil plumien.*
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Blanche

Ayant reçu la missive du GML, Blanche s'était préparé avant de se rendre au Castel de Lyon, où se déroulait la cérémonie. Trouver la salle n'avait pas été une mince affaire. Mais, elle était arrivé au bon endroit d'après ce qu'elle pouvait voir. Etait-elle en retard? Ben, on dirait bien. En tout cas, la cérémonie avait commencé. Cela lui évitait au moins d'avoir à attendre de longues minutes, seule dans son coin, en ne sachant pas à qui parler parce que faut dire qu'elle ne connaissait pas grand monde en dehors des Valentinois dont aucun n'était présent dans cette salle.

Elle regarda autour d'elle, repéra les différents SDL présents qu'elle salua d'un signe de tête. Les autres visages, elle ne les connaissait pas mis à part le Gouverneur, le Capitaine et Dauphiné. Elle s'appuya sur un pilier, ne voulant pas se faire remarquer, et regarda le déroulement de la cérémonie.

Laura_di_constantini

Bien sûr, la réaction ne se fit guère attendre, mais pas de la part d'Arwel.

Hey ! Mais ça va pas ?!?!?!?!

Premier dommage collatéral. C'était bien normal que l'époux soit inquiet, et furax qu'on vienne rougir les joues de sa femme sans sa permission. Dans la situation inverse, elle aurait réagi de la même façon, voire répliqué d'une beigne, juste pour la forme, quitte à regretter son geste juste après. Elle guetta une réaction de la Bienveillante, sans succès, avant de répondre à Mirandor. En effet, je viens de m'éclater la main... Léger froncement de sourcils, avant qu'elle ne se rende compte que sa réplique était très franchement déplacée. Pardon... Regard alentours sur les badauds, et le page n'était toujours pas revenu de sa course.

Allons ailleurs, je vous prie... Nous perturbons la cérémonie...

La trentenaire écarquilla les yeux à la remarque de Mirandor, et rétorqua entre ses dents avec une pointe d'ironie. C'est sûr qu'il faudrait pas gêner les noble-sang avec nos petites contrariétés... Néanmois, elle suivit Mirandor en dehors de la pièce, loin de la foule, escortés par un garde jusqu'à un endroit plus paisible, où l'on ne dérangerait pas.

Je m'excuse pour tout à l'heure, je n'aurai pas du vous parler ainsi... C'était sans doute quelque chose à essayer...

Léger haussement d'épaules dédaigneux de la Florentine. Passons... Je suis plus inquiète pour Arwel que pour mon amour-propre, t'en fais pas. Léger sourire qui se veut bien pâle pour masquer son inquiétude alors que le garde joue de ses clés pour leur ouvrir une salle. Atmosphère d'inquiètude planant sur le petit groupe, quand enfin une faible voix résonne doucement, apportant une caresse de soulagement dans les entrailles de la brunette.

Est-ce ton oeuvre ? demanda-t-elle en regardant son époux.

Léger sourire en coin de Laura qui regarde la scène, avant que la Vicomtesse de Clérieux ne la remarque. Grillée... Merci Laura, je reconnais bien là ta manière d'opérer ! Sourire plus franc. Je prends ça pour un compliment.

Quelques échanges de paroles entre les deux époux, où elle commence à se sentir de trop, avant que l'attention d'Arwel ne se tourne à nouveau vers elle. Allons-y... Je ne voudrais pas que tu sois privée de cérémonie par ma faute... Je vous promets de ne plus m'évanouir avant la fin... Laura manqua d'éclater de rire. Oulà, t'en fais pas pour ça. Ca m'empêcherait pas de dormir de la manquer... A vrai dire, même si elle ne le dirai pas, c'était même l'inverse qui venait perturber son sommeil.

Genay... L'ancien fief de fonction de Kernos, dont elle avait porté les couleurs ; fief de fonction de Lotus que la Mort est venue lui enlever trop tôt. Fief de fonction de bien des Seigneurs des Lances Diois, qui ont tous, sauf deux à sa connaissance, fini par rendre l'âme. La Florentine n'était pas superstitieuse un brin, mais quand même, ça commençait à faire pas mal pour un fief. C'est donc en ruminant ses inquiétudes que la trentenaire regagna la salle du trône où se tenait la cérémonie.

Tenshikuroi

Alors que Vanes se rendait auprès de Dauphiné, Tenshi vit réapparaitre Laura, Arwel et son fiancé, dans la salle. Le Vicomtesse semblait revenue à ses esprits et même si elle avait l'air d'être encore très faible, Tenshi du bien se résoudre à lui demander de venir près de lui.

Vicomtesse de Clérieux, si votre état vous le permet, regard discret vers Laura pour guetter une éventuelle contre indication je vous demande de vous approcher devant moi.
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Arwel

Oulà, t'en fais pas pour ça. Ca m'empêcherait pas de dormir de la manquer... Les paroles de Laura trottaient dans la tête de la Vicomtesse alors qu'ils entraient à nouveau dans la salle du trône... L'air soucieux du Seigneur des Lances de Dié l'inquiétait... La Bienveillante se dit qu'elle devait penser à Lotus en cet instant... Elle posa une main sur le bras de Laura...

Laura... Tu penses à elle, n'est-ce pas ?... Je suis certaine que d'où elle est, Lotus doit être très fière de toi... Et tous les Diois le sont également... Tu porteras avec honneur les couleurs de Genay... pour elle... en sa mémoire... Tu es forte Laura, tu peux le faire...

La Vicomtesse s'entendit alors appeler par le Gouverneur... Le moment était arrivé... Un sourire penaud à l'attention de Laura...

Désolée... Il semblerait que je doive y aller...

Son regard d'émeraude plongea ensuite dans les yeux de Mirandor... Ce n'était plus le désarroi qui pouvait se lire dans ses émeraudes mais une certaine détermination, voilée cependant de tristesse contenue... Elle lui murmura d'une voix seulement audible de lui :

Je t'aime... et je le fais pour toi... pour nous...

La Vicomtesse se dirigea ensuite vers le Gouverneur, se morigénant au passage d'avoir raté l'anoblissement de Vanes qui se trouvait déjà près de Dauphiné... Arwel lui sourit au passage...

Essayant de ne pas toucher la brûlure cuisante de sa joue - on devait voir l'empreinte de la main de Laura imprimée dessus - la Vicomtesse se présenta alors devant Tenshi...
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Tenshikuroi

Arwel s’était finalement approchée de Tenshi. Un moment il avait cru que, la concernant, la cérémonie serait reportée. Mais visiblement, elle allait mieux, même si elle semblait encore faible.

Dame Arwel, Vicomtesse de Clérieux, vous avez accomplit au service de notre noble Duché, deux mandats de Gouverneur pleins et entiers. Conformément à l’usage et aux règles héraldiques, j’ai l’honneur de vous proposer l’élévation au rang de Duché de votre fief de Clérieux. L’acceptez-vous ?
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Arwel

Essayant de ne plus penser à la présence de celui qui avait causé son malaise par sa présence icelieu, la Vicomtesse planta son regard vert dans celui du Gouverneur et acquiesça :

Oui, votre Grâce, je l'accepte...

La jeune femme esquissa un léger sourire en constatant dans les yeux du Gouverneur qu'il ne semblait guère rassuré sur sa vaillance... Certes, elle se sentait encore un peu faible et ses joues, à part l'endroit où la main de Laura avait malencontreusement atterri, devaient encore être bien pâles... Mais la Bienveillante en avait vu d'autres dans sa courte vie et ce n'était pas un petit évanouissement, même prolongé, qui allait l'arrêter...
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_geoffroy_

Il s'était placé à l'écart dans la salle, préférant ne pas s'étendre cette fois et se mêler à la foule.. Il avait aperçu Arwel à quelques pas qui semblait avoir un malaise... il attrapa alors sa douce dans ses bras, se glissant dans son dos, entourant sa taille délicatement en caressant son ventre.

Ces derniers jours, ils passaient beaucoup de temps à se quereller ces deux là... Il avait l'impression de lui demander la lune. N'avait il pas fait tous les efforts pour elle, d'avant le mariage à après le mariage. Il avait l'impression qu'elle n'était pas capable de faire ces mêmes efforts, et pourtant il savait que c'était faux. Elle connaissait les efforts qu'il avait fait, elle savait que l'éducation de l'enfant était une chose importante pour lui. Un homme ne passant pas par la période de soldat était tout sauf un homme pour lui. Qu'importe.. il la serra doucement contre lui, posant son menton sur son épaule en regardant la suite des évènements, voyant Tenshi baffer ces dames... Il se demandait s'il allait embrasser les hommes pour changer.
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Tenshikuroi

Oui, votre Grâce, je l'accepte...

Les yeux alertes et bien accrochés dans ceux de Tenshi, la future Duchesse avait prononcé ces mots avec un aplomb rassurant. Tenshi pu donc poursuivre sans inquiétude.

Dame Arwel, vous engagez-vous sur votre foi et devant tous, à servir le Lyonnais Dauphiné et promettez-vous fidélité, aide et conseil à son Gouverneur ?
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Arwel

Le moment de prêter serment arrivait, Arwel eut un doute, ne devait-elle pas s'agenouiller à ce moment-là ? La jeune Vicomtesse s'agenouilla donc, priant Aristote pour ne pas tomber à nouveau en pâmoison lorsqu'il faudrait qu'elle se relève... Sa voix douce s'éleva pour dire les paroles rituelles :

Moi, Arwel, Vicomtesse de Clérieux, je m'engage sur ma foi et devant tous à servir le Lyonnais Dauphiné et promets fidélité, aide et conseil à son Gouverneur.
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Tenshikuroi

Moi, Arwel, Vicomtesse de Clérieux, je m'engage sur ma foi et devant tous à servir le Lyonnais Dauphiné et promets fidélité, aide et conseil à son Gouverneur.

Tenshi écouta le serment prononcé par Arwel puis repris la parole.

Je vous octroie donc l’élévation de votre fief de Clérieux au rang de Duché et, au nom de votre suzerain le grand Duché du Lyonnais-Dauphiné, vous offre protection et justice.

Arwel étant déjà une feudataire du Duché, le protocole n’exigeait pas de sceller à nouveau le lien vassalique. Il n’avait donc pas besoin de gifler, le plus doucement soit-il, une jeune femme qui venait déjà de faire un malaise.

Votre Grasce, vous pouvez vous relever et rejoindre Dauphiné qui vous remettra les armes de votre fief.

Tenshi attendit qu’Arwel se relève, lui offrant discretement sa main pour s’appuyer si elle en avait besoin, mais suffisamment en retrait pour qu’elle la refuse sans que cela ne se remarque si elle le décidait. Puis, une fois la Duchesse partie auprès de Dauphiné, il s’adressa à nouveau à la foule.

Je demande maintenant à Messire Geoffroy de la Chambre, Seigneur de Divajeu, de s’approcher.
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_geoffroy_

Et bien finalement l'attente ne fut pas bien longue... Lorsqu'il entendit son nom, il déposa un baiser dans le cou de sa femme puis la quitta un instant pour s'avancer jusqu'au Gouverneur, il croisa au passage la dite Bienveillante et sa jolie marque de main sur sa joue... Il ne put s'empêcher de regarder Laura en avançant, un court instant... Ce n'était plus des mains qu'elle avait celle là mais de vraies pattes d'ours ! Il esquissa un sourire amusé puis s'arrêta à un pas du Gouverneur, le saluant d'un signe de tête, attendant qu'il reprenne la parole.
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Arwel

Arwel soupira discrètement de soulagement, lorsqu'elle vit que le Gouverneur ne lui appliquerait pas la seconde giffle de la journée, ainsi qu'elle le craignait. Elle mit un instant à réaliser que c'était à elle qu'il s'adressait en disant ces mots :

Votre Grasce, vous pouvez vous relever et rejoindre Dauphiné qui vous remettra les armes de votre fief.

Votre Grâce ? Ah mais oui, c'est moi ! La toute nouvelle Duchesse n'hésita pas une seconde à prendre la main qui s'offrait à elle pour se relever. Elle avait échappé à la seconde giffle, elle n'avait aucune envie d'offrir l'occasion à Laura de la lui administrer en voulant se relever sans aide ! Discrètement, elle chuchota au Gouverneur :

Je vous remercie votre Grâce.

Une fois relevée, Arwel se dirigea donc vers Dauphiné, afin de se voir remettre ses nouvelles armes... Au passage elle croisa Geoffroy qui devait se voir remettre son Vicomté, elle vit son regard s'attarder sur sa joue et eut envie de lui tirer la langue et de lui faire remarquer que la sienne ne serait peut-être pas dans un meilleur état d'ici quelques minutes... Mais elle se retint, on n'aurait pas fini de lui dire qu'une Duchesse ne devait pas tirer la langue et encore moins en public... Enfin, la petite demoiselle arriva devant Dauphiné...
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Tenshikuroi

Arwel choisit de prendre la main tendue et se releva en glissant quelques mots de remerciements à voix basse. Tenshi esquissa un petit sourire puis reporta son attention sur le Seigneur de Divajeu qui était maintenant planté devant lui.

Messire Geoffroy de la Chambre, Seigneur de Divajeu. Vous avez effectué un mandat plein et entier à la charge suprême de ce Duché. Pour cela, j’ai l’honneur de vous proposer la remise d’un fief de retraite. Le Vicomté de Rochechinard. L’acceptez-vous ?
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_geoffroy_

Arrivé face au Gouverneur, il inclina légèrement la tête en guise de respect, puis écouta ses paroles. Il avait mis du temps à trouver un fief de retraite qui lui convenait... Son choix s'étant porté sur le Vicomté de Rochechinard, il sourit en l'écoutant puis attendit que le silence se fasse pour répondre calmement.

Je l'accepte oui vostre Grasce.

Il se redressa légèrement, attendant la suite, reculant imperceptiblement son visage du Gouverneur, pensant à ce moment là qu'il allait finalement subir un mauvais moment quoi qu'il choisirait..
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Nynaeve87

Nyna regarda s’approcher la jeune femme et apposa son scel sur le contreseing que lui avait préparé Maximien, qui travaillait sans relâche à l’hérauderie depuis plusieurs mois déjà.
Puis se levant, lui remit en main le velin et les armes qu’Arwel avait choisies pour elle.

Voici Dame de Pierrelate le contreseing officiel de votre anoblissement. Veillez à respecter votre serment et à vivre noble désormais….

Citation:

A tous présent et advenir salut.

Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Héraut d'Armes Royal, après consultation des édicts de l'Hérauderie de France, validons et contresignons la procédure suivante:

Anoblissement de Dame Vanesfagg au rang de Dame et l'octroi du fief de Pierrelatte proposé par la Vicomtesse Arwel, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné.

Elle portera désormais : « D'azur à l'arbalète d'or posée en pal accostée des lettres P et L capitales du même» soit, après dessin :

Faict en l'enceinte de la Chapelle Saincte Antoyne, le treizième jour du mois de juillet de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Huit.

La brune sourit à la jeune femme qui semblait encore étonnée par ce qui lui arrivait et alla vite se rassoir pour se concentrer sur le serment d’Arwel qui voyait sa vicomté s’élever en duché.
L’acte était lui signé par le Roy d’arme lui-même et n’avait pas quitté le porte document depuis un moment déjà. Il était plus que temps qu’il rejoigne les mains de sa propriétaire légitime.
Celle-ci semblait avoir retrouvé ses couleurs heureusement.

Voici ton contreseing Arwel, ainsi que ta nouvelle couronne. Toutes mes félicitations…

Citation:

A tous présent et advenir salut.

Par la présente, en vertu des pouvoirs afférant à notre charge, nous LLyr di Maggio et d'Astralgan, dict MontJoy, Roy d'Armes de France, après consultation du collège héraldique, faisons acte de la demande de Dame Arwel , quant à élévation de sa vicomté de retraite en Duché pour elle-mesme comme les lois Héraldiques l'y autorisent Sis au fief nommé Clérieu en Lyonnais-Dauphiné.

Apres recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Clérieu est bien Fief du Duché du Lyonnais-Dauphiné.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dicte fief est " D'azur aux deux clés d'or adossées " , soit, après dessin

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques .

Faict le vingtième jour du mois de Mai de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Huit, sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie

Il semblait que le gouverneur avait décidé de ne pas trainer et que la cérémonie s’enchainait maintenant avec fluidité. C’était présentement à Geoffroy de s’avancer.
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Tenshikuroi

Pendant que Dauphiné confiait les contreseings à la Dame de Pierrelatte et à la Duchesse de Clérieux, Tenshi pouvait continuer avec Geoffroy.

Vous engagez-vous sur votre foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous fidélité, aide et conseil à son Gouverneur ?
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_geoffroy_

La cérémonie semblait continuer, le Dauphiné non loin d'eux distribuait les contreseings aux nouveaux nobles... ou anciens nobles titrés de nouveau.. Léger coup d'oeil avant de redresser son regard vers celui du Gouverneur.

Moi, Geoffroy de la Chambre, Seigneur de Divajeu et de Sauzet, je m'engage sur ma foi et devant tous à servir le Lyonnais Dauphiné et promets fidélité, aide et conseil à son Gouverneur.

Il s'était redressé un peu plus, parlant d'une voix posée et sûre, ne quittant pas les yeux du Gouverneur.
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Vanesfagg

Vanes récupéra le vélin et adressa un sourire de remerciement a Dauphiné. Elle écouta ses paroles avant de répondre.

Je ferais mon possible pour me montrer digne de ce qui m'est offert aujourd'hui

Elle la salua respectueusement. Puis, alors qu'elle s'apprêtait à rejoindre sa place, elle croisa Arwel, elle lui adressa un large sourire. Il faudra la remercier!!
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Mirandor

Lorqu'Arwel rouvrit les yeux, Mirandor lui sourit, rassuré... Mais il décela dans ses beaux yeux verts une profonde détresse... Probablement liée à ces retrouvailles inattendues... Elle referma ses yeux, laissant échapper quelques larmes... Elle s'adressa ensuite à lui, d'une voix faible, lui demandant s'il était responsable de la ravissante marque rouge qui ornait sa joue... Il se contenta de lui sourire, et d'ailleurs elle comprit rapidement qui en était le véritable auteur...

Après s'être remise sur pieds, elle exprima son désir de retourner à la cérémonie... et de parler à Max... Cette volonté ne rendit pas Mirandor très à l'aise, car il devrait sans doute la laisser seule avec l'homme en noir... Mais ils retournèrent tous trois dans la salle de cérémonie...

A peine étaient-ils réapparus aux yeux du Gouverneur qu'Arwel fut appelée... Elle lui murmura quelques mots réconfortants, avant de se présenter devant Sa Grâce d'un pas déterminé... A l'origine, c'était Mirandor qui devait la rassurer, pas l'inverse !! D'un autre côté, il était plutôt rassurant de la voir ainsi...

Arwel accepta l'élévation au rang de Duché son fief de Clérieux... Elle s'agenouilla, puis s'engagea à servir le Lyonnais-Dauphiné... Dans l'assistance, son fiancé tressaillait... La jeune femme méritait tant cet honneur... Mais la gifle était attendue avec appréhension... La nouvelle Duchesse de Clérieux se releva puis se dirigea vers Dauphiné pour la remise des nouvelles armes... Et la gifle ? Pas de gifle ? Ah bon... Ce n'était pas plus mal ainsi après tout... Mirandor sourit alors, rassuré...

Alors que sa fiancée revenait vers lui, il éprouva une grande fierté... Tellement fier qu'il en rougit ! Pas très étonnant, le connaissant... Un large sourire, il se pencha vers son oreille et lui murmura quelques mots, de façon à ne pas déranger ceux qui écoutaient l'attribution d'un Vicomté à Geoffroy...

Et bien, finalement cela s'est plutôt bien passé, non ?

Mais en voyant la joue qui peinait à dérougir, il se dit que cela aurait pu être mieux...
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Jacochere

il avait reçu une missive par pigeon, mais ne se trouvant pas en LD il ne pouvait pas se présenté a cette cérémonie
sans savoir ce que cela voulait dire
il y vit beaucoup de SdL il les connaissait tous 1 seul manqué
respectueusement il salua les personnes présentes

mes respects Gouverneur
mes respects Capitaine

regardant Nyna gardant son sérieux
Dame Ninaeve *s'inclinant légèrement* bonjour

il se mit le plus près possible d'une belle table bien garni qui lui réveilla son envie de manger ,

Tenshikuroi

Moi, Geoffroy de la Chambre, Seigneur de Divajeu et de Sauzet, je m'engage sur ma foi et devant tous à servir le Lyonnais Dauphiné et promets fidélité, aide et conseil à son Gouverneur

Le serment prononcé, le Gouverneur pouvait remettre le fief au nouveau Vicomte.

Messire Geoffroy de la Chambre, conformément à vos souhaits, je vous octroie le fief de Rochechinard. Fief tenant rang de Vicomté. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir protection et justice.

Geoffroy, depuis la disparition et la destitution de sa mère, était devenu vassal du Duché. Nul besoin de confirmer le lien vassalique.

Vous pouvez maintenant vous relevez, Vicomte de Rochechinard, et vous présentez devant Dauphiné pour recevoir les armes de votre fief.

Tenshi sourit à Geoffroy puis, lorsque le nouveau Vicomte se fut éloigné, repris la parole.

Avant que la cérémonie de ne poursuive, je vais ceder un instant la parole à Dauphiné.

EDIT hrp : Edit car je pensais que Geoff n’était pas encore vassal du Duché
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_geoffroy_

Pas de gifle, pas de baiser... Ah mais oui, les terres de Divajeu étaient revenues au Duché depuis la fin de son mandat... Il esquissa alors un sourire, écoutant plus attentionné les paroles du Gouverneur... Voilà qu'il allait devenir Vicomte de Rochechinard.. Il haussa légèrement les épaules puis se redressa aux paroles de celui qui lui faisait face. Il le salua comme il se devait puis lui lança un regard plus ou moins complice, sachant maintenant pertinemment ce qu'il pouvait vivre en ce moment.

Il s'éloigna par la suite doucement, jetant un oeil sur Arwel, voir si elle allait mieux, par pure curiosité, puis se dirigea vers le Dauphiné, ne sachant trop si elle allait s'occuper de lui avant ou après qu'elle ait pris la parole. Il lui sourit en arrivant face à elle, il avait appris à la connaitre un peu plus lors de son mandat, et c'était plutot une bonne chose au final.
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Arwel

La jeune femme rencontra Vanes qui venait de recevoir son vélin, elle répondit à son sourire, sachant qu'elle saurait se montrer digne de la seigneurie qu'elle lui avait octroyée.

Arwel prit le contreseing que lui tendait Nyna et la remercia :

Merci Nyna... j'en prendrai grand soin...

Un sourire, puis elle vint reprendre place auprès de son fiancé, croisant à nouveau Geoffroy qui semblait curieux de son état. Afin de le rassurer, elle tira discrètement la langue lorsqu'elle se trouva juste à sa hauteur, personne ne pouvait le voir à part lui.

Lorsqu'elle se retrouva près de Mirandor, elle sourit tendrement en le voyant rouge de fierté. Elle hocha la tête doucement lorsqu'il lui dit que cela s'était bien passé et elle ajouta doucement :

Oui, j'ai eu de la chance, pas de seconde giffle pour aujourd'hui ! Nous allons rester encore un peu... Les Seigneurs des lances vont recevoir officiellement leur fief... Laura n'a pas hésité à venir s'occuper de moi... Je ne veux pas rater cela !

La petite Arwel mit alors discrètement sa main dans celle de Mirandor pour suivre la fin de la cérémonie...
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Nynaeve87

C’était maintenant le tour de Geoffroy. Elle l’observa avec attention pendant qu’il prêtait l’habituel serment. C’est songeurs que ses yeux se posaient sur lui. Elle avait en mémoire leurs multiples conversations les sereines, les orageuses…
Elle avait vu cet enfant grandir, elle l’avait vu murir ensuite sur ce mandat difficile… elle sourit…
Se levant, elle vint vers lui contreseing en main cherchant son regard…

Voilà vos armes Geoffroy et l’acte officiel. J’espère que vous aimerez ces terres comme j’aime les miennes. Vous avez eu la chance de naitre noble, puissiez-vous garder votre droiture et ne jamais vous compromettre…

Citation:

A tous présent et advenir salut.

Par la présente, nous, Martymcfly de Montfort-Balmyr, dict Auvergne, Maréchal d'Armes de France, ayant blancseing du Roy d'Armes de France Montjoye, Roy d'Armes de France, après consultation du collège héraldique, faisons acte de la demande de Messire Geoffroy de la Chambre, quant à l'octroi d'un fief de retraite de qualité Vicomtale pour lui-mesme comme les lois Héraldiques l'y autorisent Sis au fief nommé Rochechinard en Lyonnais-Dauphiné.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Rochechinard est bien Fief du Duché du Lyonnais-Dauphiné.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est « D'argent, au chef d'azur et au lion de gueules, couronné, lampassé, armé et vilené d'or, brochant sur le tout », soit, après dessin :

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques.

Faict le XVIe du mois de Juillet de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Huit, sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie.

Puis, se tournant vers la salle elle prit publiquement la parole…

Chefs militaires du Lyonnais-Dauphiné !
C’est à vous que je m’adresse maintenant afin de vous expliquer les implications de votre anoblissement.
Ce qui était hier fief de fonction n’était qu’une irrégularité sans nom. Il n’existe pas au royaume de France de tâche anoblissante, vous ne pouviez donc devenir titulaire d’un fief du duché de cette façon là…
Cette cérémonie n’est que l’aboutissement de maintes discussions, presque un an pour en arriver là.
Vous allez recevoir aujourd’hui les fiefs qui se rattachaient à vos garnisons en bien propre.
Vous devenez par là même feudataire du duché comme tous les autres avec les mêmes droits et devoirs. Vous allez devoir vivre noblement, vous marier noblement.
Ce fief, vous n’aurez pas à le rendre à votre démission mais le gouverneur aura le pouvoir de vous destituer, comme il l’a pour tous les seigneurs de ce duché. Donc seul compte votre travail et votre investissement.
Si l’un d’entre vous a une question il n’est que temps de la poser !

Face à ces hommes là, Nyna sentait son sang s’accélérer dans ses veines. Que de fois avaient-elle travaillé avec eux… l’ost qui avait été si longtemps sa vie et qu’elle n’avait quitté que lassée par étroitesse d’esprit de certains conseillers militaires.
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Spacewolf

Space écouta attentivement Nyna, il acquiesça d'un signe de tête a ses paroles...

n'aurez pas a le rendre se dit'il...

Il s'avança d'un pas et prit la parole

Donc, le jour ou l'un de nous démissionne de son poste de Seigneur Des Lances, il gardera son fief? Et le Seigneurs Des Lances suivant quel fief aura t'il?
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

Nefertianne

Nefer s'était dépêchée pour assister à l'anoblissement de Vanes et Space. Malgré cela elle avait raté celui de Vanes, ce qu'elle regrettait au plus haut point. Elle arrivait à temps pour celui de son aimé. Elle se met dans un coin et attend. Elle regarde les personnes présentes, aperçoit Mily qu'elle salue d'un sourire. Son regard se pose ensuite sur Vanes qui a l'air toute perdue. Nef sourit en pensant aux révérences qu'elle va être obligée de faire^^
Son regard se pose à nouveau sur Space et elle lui sourit ne sachant s'il la voit.
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Tenshikuroi

Dauphiné expliqua à tous l'implication de ce changement. Ce qui était une tradition depuis des lustres, devait être modifiée pour perdurer sous une forme différente. Les fiefs de fonctions étaient une anomalie héraldique et il était temps d'y remédier.

Spontanément, le Seigneur des Lances de Vienne posa une question somme toute naturelle. Tenshi s'employa donc à clarifier le situation.

Seigneur des Lances, ce que veut dire Dauphiné, c'est qu'une fois la cérémonie terminée, vous serez des feudataires au même titre que les autres. Votre fief, vous appartiendra. L'assemblée nobiliaire vous sera ouverte et vous devrez prêter allégeance à chaque changement de Gouverneur. Le retrait éventuel, lorsque vous quitterai vos fonctions, ne saurait être automatique. Il faudra, pour cela, qu'un de mes successeurs vous destitue officiellement de votre titre, afin de le rendre vacant à nouveau.

J'espère que ma réponse vous éclaire...

Mais Tenshi voulait que la cérémonie continue. Il aurait bien appelé les différents Seigneurs des Lances par l'ordre alphabétique de leur garnison, ainsi qu'il est coutume de faire, pour finir par le Grand Maitre des Lances et le Seigneur de la Garde, mais le chef de la garnison Briançonnaise ne semblait pas être présent... Tant pis, la suivante était...

Puisque les choses sont maintenant posées, je demande à Dame Laura di Constantini, Seigneur des Lances de Dié, de s'avancer devant moi.
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Flyerstyle

flyerstyle avait reçu une missive d'un messager qu'il connaissait bien, toujours le même. Un petit mais vif, discret avec l'insigne du Dauphiné sur l'épaule. Son regard semblait vide, sa voix haletant parvint jusqu'aux oreilles de fly, occupé à forger encore et toujours de nouvelles armes pour son arsenal personnel.

Seigneur Flyerstyle, une mi....ssive pour vous!

Le seigneur des Lances donna quelques pièces au messager avant de s'isoler pour lire le papier. Lyon la rugissante l'attendait pour des contraintes administratives. N'aimant guère la capitale et ses fastes habitudes, ses nobles tirés à quatre épingles, il décida de finir son travail de la journée avant d'entamer le voyage. Il partirait le lendemain à l'aube.

Le métal lui brulait les mains. Les braises incandescentes, la chaleur de la lame, du fer, peu lui importait dans ces moments. Le soleil était au zénith. La place San marcko quasi déserte. Le marché fini, celle ci se vidait et chaque villageois rejoignait sa chaumière. Au loin, Flyerstyle perçut le bruit d'enfants jouant, criant l'un après l'autre. Les heures passèrent et le labeur pénible, qui en réalité, n'était que plaisir pour le souleur brianconnais, passa vite.

A l'aube il prit le chemin de la rugissante et reconnu au loin l'attroupement familier de ce lieu, de remise de fiefs, de cérémonials en tout genre. Il se fit très discret étant donné la situation. La cérémonie avait commencé et le seigneur des Lances de Dié de s'avancer. Il salua discrètement les nobles autour de lui, s'attardant pour les Seigneur des Lances.

Geronimo2751

Le GML qui s'était fait discret jusqu'alors appréciant le bonheur de vanes sous son regard bienveillant. Il savait le travail qu'elle fournissait et tous l'ignoraient, tous ? Apparemment non, mais c'était pour une fois une bonne chose.

Il écouta dauphiné, la belle dauphiné, il leva la main quand elle demanda si ils avaient des questions.

Puis je embrasser le héraut plutôt que le gouverneur lors de l'anoblissement ?

Il sourit connaissant déjà la réponse.
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Pour ma patate

Kernos

Une main... toujours ouverte, toujours offerte, que cela soit pour la soutenir, la rassurer, l'aider, à chaque instant sa main était tendue pour la Demoiselle, et si parfois elle se refermait, ce n'était que pour raffermir, renforcer cette promesse, sa présence à ses côtés, et uniquement autour de sa main délicate.

Un regard... ouvert lui aussi, seulement pour elle. Un regard qu'elle évitait pour l'instant, mais qui serait toujours là quand elle déciderait de s'y poser à nouveau, offert comme sa main, chaleureux et aimant.

Sa main, son regard, voilà des jours qu'ils ne l'avait quitté, veillant sur sa convalescence sans faillir, même lorsque le sommeil et les rêves finissaient par emporter la jeune femme, même quand la fatigue ou la faim se faisaient sentir en lui, pas un instant sa main n'avait lâché la sienne, ni ses yeux son visage. A l'abri dans l'une des chambres de sa demeure dioise, il s'était occupé de ses soins et gardé sa faiblesse, assis à son chevet jour et nuit, dédaignant le confort de son lit ou le plaisir de sa table, pour ne pas faillir à son poste, jusqu'à ce que sa Lune retrouve assez de force pour quitter sa couche.

Sa main et son regard, même si à présent elle était suffisamment remise pour affronter le monde, voyager, que ses jours n'étaient plus en danger, il ne les lui avait pas retiré pour autant, car de son soutien et de sa présence, elle avait toujours besoin, tout autant que lui-même avait besoin de la sienne à ses côtés, pour prolonger cette union spirituelle qui était leur par cette étreinte physique, aussi légère que le battement d'aile d'un papillon, mais plus chaleureuse qu'un millier de brasier... Union, devenue plus intime et plus symbolique encore, maintenant qu'elle partageait son sang, cette petite trace de lui, ce petit morceau de sa propre vie qui s'était mêlé à la sienne, coulant à présent dans ses veines et qui parcourait chaque parcelle de son être à tout jamais... En elle battait sa propre vie à présent, et ça personne ne pourrait rien faire pour le renier ou l'empêcher, elle était une part de lui, et lui était devenu une part d'elle-même.

C'est donc main dans la main, et son regard posé sur elle, qu'ils avaient pénétré dans la grande salle de Pierre-Scize où elle avait été conviée par Dauphiné. Cette missive avait suscité sa surprise et son interrogation, mais bien que le Rouvray en connaissait la raison, il ne lui dit mot, afin de ne pas gâcher la surprise qui serait sienne lorsque le rideau tomberait des mains de Tenshi et de Nyna... et puis lui avait une autre raison d'être présent, non pas en tant que Conseiller Ducal, mais en tant qu'ancien Seigneur des Lances et Sire de Genay, mais surtout entant que suzerain... Enfin, la génération de Seigneurs des Lances qui avait suivi la sienne allait pouvoir prétendre à la noblesse, et bien que lui-même aurait préféré que la tradition dauphinoise perdure face aux volontés parisiennes, il était tout de même heureux que l'on reconnaisse leur qualité de vassaux du Lyonnais-Dauphiné.

En entrant, il avait salué de concert son suzerain, Dauphiné et le Capitaine qui étaient déjà présent dans la salle, puis en avait fait de même envers les personnes qui les suivirent, en particulier la Damoiselle Vanesfagg - dont il reconnaissait l'investissement, et se demandait bien comment faire pour accéder à sa vieille demande de libération - et à la jeune soeur de sa compagne, qu'il n'avait pas encore eu le loisir de rencontrer, mais surtout à son écuyère qui fit une très belle entrée en giflant la Vicomtesse défaillante, espérant qu'elle est frappé assez fort pour lui faire regagner ses esprits.

Puis, une fois les principaux acteurs en place, la cérémonie avait commencé... que dire? Pas grand chose hélas, car le Sire Rouvray avait toute son attention tournée vers la Demoiselle Méricourt - l'aînée bien entendu, pas la cadette - dont la santé le préoccupait encore, à moins que cela soit l'éclat discret de son visage qui lui faisait perdre le fil des évènements, enfin quoi qu'il en soit, il ne releva la tête qu'à l'appel des Seigneurs des Lances devant le Gouverneur et le Héraut.
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Nynaeve87

Nyna allait répondre quand le gouverneur prit la parole… interloquée elle le regarda bouche ouverte puis se reprit écoutant son explication.
Elle n’était pas très sûre que les termes fussent vraiment bien choisis mais elle était lasse et choisit de se taire, les nouveau nobles sauraient bien venir la trouver s'ils se posaient des questions...

Elle alla reprendre sa place derrière son pupitre le regard voilé, tant et si bien qu’elle ne vit même pas son époux qui venait d’arriver… peut-être n’était-elle plus de ce monde là…
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Laura_di_constantini

Quelques mots réconfortants de la part de la Vicomtesse de Clérieux, léger sourire de la part de la trentenaire ; cacher le mal-être, c'était primordial. Retour dans la salle, et Dauphiné annonça le début de la cérémonie pour les chefs militaires. Questions ; réponses ; avant le début des festivités. La Dioise se cala dans un coin, puisque selon la coutume, les garnisons passaient dans l'ordre alphabétique, et comme elle avait la chance de ne pas être totalement inculte, elle se savait devoir passer derrière Fly. Petite zieutage à gauche, petit zieutage à droite.

*Beh mince... Il est planqué où ce con ?* Léger grattement de la tempe gauche,symbole d'intense réflexion de la brunette, quand retentit la voix du gouverneur.

Puisque les choses sont maintenant posées, je demande à Dame Laura di Constantini, Seigneur des Lances de Dié, de s'avancer devant moi.

Léger haussement de sourcils. *Et le montagnard alors ?* Enfin, guère le temps de tergiverser ; l'attention allait être sur elle, la tension aussi. Elle s'avança au-devant du trône, inclina légèrement la tête en guise de respect et de salut ; puis planta son regard azur dans celui du gouverneur en attente de ses paroles.

Tenshikuroi

La Seigneur de Lance de Dié s'approcha à l'appel de Tenshi. Les yeux plantés dans les siens elle attendait que le Gouverneur prenne la parole. Tenshi devait surveiller ses termes, il n'était plus question de parler de fief de fonction mais bien de mérite.

Dame Laura di Constantini, en raison de votre investissement constant dans l'Ost de ce Duché, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de Genay. L'acceptez-vous ?

Elle était la première à recevoir cette Seigneurie en accord avec les lois héraldiques, même si cela n'enlevait en rien à la qualité de ceux et celles qui en avait arboré les couleurs avant elle.
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Jacochere

~ j'ai du loupé quelque que chose~

Mais Tenshi voulait que la cérémonie continue. Il aurait bien appelé les différents Seigneurs des Lances par l'ordre alphabétique de leur garnison, ainsi qu'il est coutume de faire, pour finir par le Grand Maitre des Lances et le Seigneur de la Garde, mais le chef de la garnison Briançonnaise ne semblait pas être présent... Tant pis, la suivante était..

~il me semblais que c'était par ordre alphabétique| , Blanche est bien avant Laura, Hels après Blanche ~

il demandera à un plus érudit que lui ce que sa veux dire ordre alphabétique

Max69lyon

De l'ombre de sa colonne, Max n'avait pas perçu l'agitation de Cyanne. En revanche, il avait l'espace d'un instant capté le regard de Mirandor, et perçut aussitôt son trouble, qui n'avait pas tardé à interpeller Arwel. Le vieux capitaine Episcopal s'était alors tassé un peu plus contre le pilier, reculant imperceptiblement pour se tenir hors de son regard. Peine perdue, la jeune vicomtesse avait avancé, et elle avait finit par le voir, plantant une seconde son regard dans celui du vieil homme. Le résultat avait dépassé toutes les craintes du viennois: il avait eu peur de la troubler, voilà qu'elle s'était évanouie... Profitant de ce que toute l'attention se porte sur la Dieoise, il changea de place, gagnant un autre coin sombre, alors que Mirandor sortait de la salle en portant son aimée, une militaire sur ses talons. Les pensées troublées, Max faillit partir, néanmoins il resta là, il était venu voir une cérémonie d'annoblissement, et il y resterait. Le temps qu'une jeune viennoise recoive un fief, ce qui procura à Max une fierté certaine, malgré l'angoisse qu'il éprouvait, et les trois qui étaient sortis revinrent dans la salle, tous debouts cette fois ci. Sitôt entrée, le Gouverneur appella la vicomtesse de Clérieux, et ses terres furent élevées en Duché, procurant une nouvelle fois un grand plaisir à Max. Avant de partir pour l'Italie, il avait promis à la jeune femme un bel avenir dans ce duché, et il était heureux de ne pas s'être trompé. Il suivit la suite de la cérémonie distraitement, apprenant que le statut des fiefs des Seigneurs des Lance avait changé. Il appréhendait la fin de la cérémonie: Arwel voudrait-elle le revoir? Lui pardonnerait-elle la frayeur qu'il lui avait faite?
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Laura_di_constantini

Dame Laura di Constantini, en raison de votre investissement constant dans l'Ost de ce Duché, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de Genay. L'acceptez-vous ?

Demoiselle... maugréa-t-elle entre ses dents. Question fatidique, dont la réponse n'était pas des plus simple à formuler, si tant est qu'elle la possède. Accepter, c'était renier pas mal de ses convictions, une modification de sa façon vivre. Vivre noblement, agir noblement. Rien que d'y penser, ça la gonflait déjà. Les droits, les devoirs, elle en avait bien assez dans l'Ost, et à côté. Le serment de protéger le Duché, ça faisait belle lurette qu'elle l'avait prononcé, répété, et fait répéter.

Mais refuser, c'était comme cracher sur le travail des gens de ce même Duché qui s'étaient démenés avec Paris pour obtenir gain de cause ; ou à défaut de gain de cause, certaines concessions. Non, ce n'était pas décent de refuser, mais c'était pas réjouissant d'accepter pour autant. Elle leva les yeux aux ciel, en pleine reflexion, pleins doutes. *Et dire que certains se pissent à la gueule pour obtenir des titres... Doivent avoir un grain...*

Grande inspiration qui va venir mettre fin à ces quelques secondes de silence. Son menton se relève légèrement avant de prononcer de sa voix grave, distinctement, les paroles qui vont bouleverser son quotidien.

Je l'accepte.

Tenshikuroi

La jeune femme semblait hésiter un instant, comme si elle jaugeait l'implication de ces quelques mots qu'elle allait prononcer. Au moins, elle semblait bien comprendre qu'il ne s'agissait définitivement pas de mots, mais bien de quelque chose de beaucoup plus profond... Elle finit néanmoins par accepter.

Vous engagez-vous sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Laura_di_constantini

Vous engagez-vous sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?

S'engager sur sa Foi ? Autant dire que la Dioise ne s'engagerait pas sur grand chose à ce niveau-là... C'est vrai que les nobles étaient censés être de fervents Aristotéliciens. Nouvel élément qui venait renforcer le sentiment de non-appartenance à la noblesse de la trentenaire. Bizzarement, c'était une question de forme, pas de fond. Quant à la fidélité et le reste, c'était le cas de tous les soldats de ce Duché, nobles ou pas, et elle ne faisait pas exception à la règle. Au fianl, cela ressemblait à ce qu'elle s'imaginait : une mascarade théâtralement mise en scène. L'hésitation ne dura pas une seconde avant qu'elle ne réponde au Gouverneur.

Je m'engage sur mon Honneur et devant tous à continuer à servir le Lyonnais-Dauphiné ; et promets Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur et ses sujets.

Tenshikuroi

Point d'hésitation cette fois. La dioise répondit du tac au tac, s'appropriant les mots du serment.

Dame Laura di Constantini, je vous octroie donc la Seigneurie de Genay. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

D'un revers de la main, Tenshi vint gifler la soldate, scellant ainsi le lien vassalique entre elle et le Duché. Puis, il l'invita à se relever.

Laura di Constantini, Dame de Genay, vous pouvez vous relever et vous présenter devant Dauphiné afin de recevoir les armes de votre fief.

Alors que Tenshi sourit à la jeune femme et la laissait s'écarter, il balaya la salle du regard et repéra enfin le briançonnais qu'il n'avait pas vu en premier lieu.

J'appelle maintenant Messire Flyerstyle, Seigneur des Lances de Briançon à se présenter devant moi.
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Flyerstyle

Tapi dans un coin de la grande salle, fly entendit le gouverneur l'appeler. IL regarda out autour de lui, mal à son aise en ces endroits, il avance tout de même s'excusant chaque fois qu'il passa devant quelqu'un. Il salua les personnes qu'il connaissait d'un regard et d'un signe de tête discret. Les regards se tournaient doucement sur lui, qu'importe, il devait accomplir cette formalité administrative. L'uniforme impeccable, l'épée à la ceinture, le voila à présent devant le gouverneur à distance respectable.

Quelque peu intimidé mais Fier, le montagnard regardait à présent le gouverneur dans les yeux, droit comme tout soldat digne de ce duché se devait de se présenter devant son gouverneur.

Tenshikuroi

Le soldat s'approcha du Gouverneur, droit comme "i" comme il se doit, la fierté propre à sa condition solidement ancré dans son regard.

Messire Flyerstyle. Votre mérite et votre investissement dans la défense de notre Duché est connu de tous. Pour saluer cela, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de Châteauneuf-de-Galaure. L'acceptez-vous ?
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Flyerstyle

Flyerstyle écouta attentivement les paroles du gouverneur. Durant un quart de seconde, il vit sa vie défilé devant lui, son engagement dans l'Ost, ses débuts, ses frères d'armes. Puis toujours la meme question , que fais je ici. Des tetes lui venaient plus que d'autres, les faits marquants, les batailles dans la neige, les exercices de haute montagne, les tournois, les engagements, l'engagement en,core et toujours. La détermination devant l'épreuve, il en fallait; mais avec l'age, malgré tous les remèdes, elles s'amenuisaient au meme rythme que les forces d'nu mourant, lentement, mais surement.

Ce cours instant paraissait avoir duré longtemps au seigneur des lances bien que celui ci fut traduit par une simple hésitation.

Je l'accepte!

LA voix claire et forte résonna dans la salle, plus aucun bruit à ce moment. Les chuchotements perceptibles entre deux remises s'arrêtaient net, comme hypnotisé par la voix du gouverneur.

Tenshikuroi

Après la réponse du soldat, le Gouverneur pouvait poursuivre le rituel.

Vous engagez-vous sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Flyerstyle

Vous engagez-vous sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?

Cela faisait bien trop longtemps à son gout que le Seigneur des Lances n'avait pas foulé la demeure d'Aristote pour s'y receuillir. Et pourtant, il en avait des choses à se faire pardonner ces temps ci, bien trop peut etre...sans doute. Le gouverneur lui, enchainait le rituel, calmement.

Je m'engage sur mon Honneur et devant tous à continuer à servir le Lyonnais-Dauphiné ; et promets Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur et ses sujets.

Tenshikuroi

Le serment entendu, le Gouverneur poursuivit.

Messire Flyerstyle, je vous octroie la Seigneurie de Châteauneuf-de-Galaure. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

D'un revers de main, le Gouverneur scella le lien vassalique en donnant une gifle au soldat.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse...

Messire Flyerstyle, Seigneur de Châteauneuf-de-Galaure, vous pouvez vous relever et vous présenter devant Dauphiné qui vous remettra les armes de votre fief.

Tenshi le guida donc d'un geste vers Daupiné, puis repris la parole en direction de la salle.

Je demande maintenant à Messire Jacochere, Seigneur des Lances d'Embrun, de se présenter devant moi.
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Jacochere

son tour arriva ,
il avait regardé ces frères et sœurs défilé avant lui ,afin de ne pas être trop gauche
mais malgré cela il en été impressionné ,il avait chaud , c'était un grand moment dans sa vie ,non pas que le titre avait grande importance à ces yeux
sa lui rappela il y a....deux ans quand le Maistre instructeur Zoyas lui avait remis l'uniforme de Coutilier ,et que l'instructeur Frutass dans un coin de la place d'Armes regardé la remise des uniformes
il savait qu'il n'était pas le plus beau,le plus grand ,mais il était là
son moment été venu le Gouverneur l'appela ,sortant de ces pensées ,il pris une grande bouffée d'air ,machinalement enleva quelques poussières sur sa veste et s'avança jusque devant le siège du Gouverneur

il se mit droit comme un T (sa change du I ,et en plus je suis large d'épaule) devant le Gouverneur

mes respects Gouverneur Tenshikuroi

Tenshikuroi

Le Seigneur des Lances suivant s'approcha de Tenshi. Le Gouverneur attendit quelques instant, le salua, puis reprit.

Messire Jacochere. Au vue de votre investissement dans la défense de notre Duché et plus particulièrement à la tête de la garnison d'Embrun, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de Bathernay. L'acceptez-vous ?
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Jacochere

Messire Jacochere. Au vue de votre investissement dans la défense de notre Duché et plus particulièrement à la tête de la garnison d'Embrun, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de Bathernay. L'acceptez-vous
il ne savait pas ce que cela voulais dire ,mais il savait que pour le bien de la garnison et du Duché il devait accepté
c'est d'une voix claire et calme qu'il répondit
oui votre grasce ,je l'accepte

Tenshikuroi

Comme pour les autres, le Gouverneur l'invita donc à poser genoux à terre pour prêter serment d'allégeance.

Vous engagez-vous sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Jacochere

*il se mit à genoux *

je m'engage devant tous le monde à servir le Lyonnais-Dauphiné et promet Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur

Tenshikuroi

Messire Jacochere, je vous octroie la Seigneurie de Bathernay. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

Le Gouverneur, d'un geste souple de la main, scella le lien vassalique en giflant le soldat.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse !

Messire Jacochere, Seigneur de Bathernay, vous pouvez vous relever et vous présenter devant Dauphiné qui vous remettra les armes de votre fief.

J'appelle maintenant Messire Helsinki, Seigneur des Lances de Lyon à se présenter devant moi.
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Helsinki

Le gouverneur l'avait appelé , c'était lui que l'on avait appelé . Il regarda l'assemblée et vu que personne d'autre bougeait il se dit que c'était bien lui que l'on avait appelé.
il s'avança donc devant le gouverneur dans son uniforme impeccable, épée à la ceinture .
Il pensait à la vie tranquille , enfin pas si tranquille qu'il avait mené jusqu'à présent , il pensait à ses autres prestations de serment devant les gouverneurs précédents mais celle - ci revêtait un caractère particulier très particulier.
Perdu dans ses pensées il faillit heurter la petite estrade où était le gouverneur mais se reprit à temps.
Se mettant droit , dans un salut impeccable il dit

Mes respects gouverneur
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Code:

Tenshikuroi

Un Seigneur des Lances qu’il connaissait bien s’approcha ensuite. Helsinki. En tant que viennois, Tenshi avait de nombreuse fois servi sous ses ordres en partant renforcer la garnison de la Rugissante. Il connaissait les lieux presque aussi bien que sa propre garnison. De plus, Helsinki est un des tout premiers soldats qu’il ait rencontré car il fut son instructeur à l’école militaire.

Le Gouverneur observa donc son ancien professeur s’approcher avec un regard tout particulier et esquissa un sourire discret lorsque celui-ci manqua de heurter l’estrade. Reprit juste à temps, le soldat se présentait maintenant impeccablement droit devant son Gouverneur.

Messire Helsinki. Votre investissement constant au sein de l’Ost de notre beau Duché ainsi que votre diligence à assurer fièrement la charge de Seigneur des Lances de Lyon, m’encourage à vous proposer l'octroie de la Seigneurie d'Ecully. L'acceptez-vous ?
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Helsinki

Helsinki d'Ecully ça faisait bien et puis sa rimait.
il n'y a pas de raison de refuser.
Je l' accepte Vostre grasce
s'entendit-il dire .
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Code:

Tenshikuroi

D'un geste, le Gouverneur invite le futur Seigneur à poser genou à terre pour preter serment d'allégeance au Duché.

Vous engagez-vous sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Helsinki

Le seigneur des lances met un pied à terre.
Puis solennellement dit :
Je m'engage comme je l'ai toujours fait à servir le lyonnais-Dauphiné et je promets
Fidélité, aide, et conseil à son gouverneur.
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Code:

Tenshikuroi

Messire Helsinki, je vous octroie la Seigneurie d'Ecully. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

Le Gouverneur exécuta ensuite un geste qu'il ne pensait jamais faire et gifla son ancien instructeur, scellant ainsi le lien vassalique, puis ajouta d'un ton solennel.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse.

Messire Helsinki, Seigneur d'Ecully, vous pouvez maintenant vous relever. Je vous pris de vous approchez de Dauphiné qui vous remettra les armes de votre fief.

Tenshi pouvait maintenant continuer en appelant un autre Seigneur des Lances qu'il avait bien connu.

J'appelle maintenant Messire Akula, Seigneur des Lances de Montélimar à se présenter devant moi.
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Akula

C'était au tour d'Akula de s'avancer. Cela lui fit un drôle d'effet de se retrouver devant un gouverneur qu'il avait connu nouvelle recrue dans sa garnison. Le temps passait vite, trop vite à son goût, le blanc qui commençait à strier sa chevelure ne le rajeunissait pas.
Il mit un genou à terre.

Mes respects Gouverneur.
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Tenshikuroi

Akula… Le Seigneur des Lances de ses débuts. Né à Montélimar, Tenshi se souvient de ce matin de janvier 1457 où, fraichement sorti de l’école militaire il poussait la porte du chef de la garnison Montilienne. Cette époque semblait lointaine alors qu’elle n'était finalement pas si ancienne… mais que de chemin parcouru depuis.

Messire Akula. Cela fait maintenant bien longtemps que vous dirigez la garnison de Montélimar. Un poste exigeant et oh combien vital. C’est en raison de cet engagement que je vous propose l'octroie de la Seigneurie de La Rochette. L'acceptez-vous ?
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Arwel

Arwel assistait à l'octroi des fiefs des Seigneurs des Lances, bien heureuse d'avoir échappé à la giffle du Gouverneur, c'est qu'il avait la main leste et la jeune femme grimaçait à chaque giffle donnée... Sa propre joue était un peu moins cuisante mais pas encore suffisamment pour pouvoir regarder d'autres personnes se faire giffler sans compatir...

Son regard vagabondait parfois dans la salle, vers l'endroit où elle avait aperçu Max... Enfin, l'avait-elle vraiment vu ou était-ce illusion de sa part ? Elle n'osait interroger Mirandor à ce sujet... Le trouble qu'elle avait lu sur son visage avant son évanouissement ne lui donnait pas envie de perturber son fiancé plus qu'il ne l'avait déjà été... Et puis, il faudrait qu'elle parle à son compagnon des souvenirs qui l'avaient envahie lors de son malaise... Leur enfant... Un voile de tristesse obscurcit un moment son regard émeraude... Elle posa un instant les yeux sur Mirandor, tâchant de ravaler sa tristesse et accentuant imperceptiblement la pression de sa main sur la sienne...

Ses pensées la ramenèrent ensuite vers Max... Si c'était vraiment lui qu'elle avait entr'aperçu, pourquoi lui avait-il laissé croire pendant tout ce temps qu'il était mort ? Moult questions envahissaient son esprit... Serait-il encore là à la fin de la cérémonie ou avait-il profité de sa pâmoison pour s'évanouir à son tour. La jeune demoiselle espérait qu'il ne la laisserait pas ainsi, sans explication...
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Thiberian

Le Capitaine ne put s'empêcher un sourire mauvais en voyant chacun de ses Seigneurs des Lances se manger une bonne baffe dans les dents, non pas qu'il n'était pas fier de commander ces hommes, bien sur qu'il était fier d'eux, immensément fier d'eux mais la vie d'un soldat était pleine de baffe dans la gueule et il ne pouvait être que bon pour ces grands soldats de le constater à nouveau aujourd'hui comme quand lui même avait pris une baffe en voyant qu'il n'aurais pratiquement pas de budget pour l'Ost pendant ce mandat.

Il les regardais passer les uns après les autres et restait silencieux selon la bienséance mais pas une fois, pas une fois il ne put s'empêcher de leur lancer un regard confiant, encourageant...ils faisaient ce qu'on attendait d'eux, comme toujours et personne ne viendrais, personne n'oserait se mettre en travers de ça ni renier ce simple fait.

Il avait été inquiet de la chute d'Arwel dans l'inconscience mais ne pouvait pas vraiment bouger de sa place pour l'instant et puis...Laura était là, il n'aurait sans doutes servis à rien.
Elle semblait remise sur pied mais pas forcement remise de ses émotions, était ce à cause de l'homme en noir portant les armes de Mions ? Thiberian l'avais regardé, il avais déjà vu ce visage...il y a longtemps, peu après son arrivée en Lyonnais-Dauphiné, mais qui était il ? pourquoi avait il mis la Duchesse dans cet état ? quelles étaient ses intentions de se pointer en usurpant les armes de la Dame de Mions, fille du Duc Estalabou et de la Duchesse Valerianne...

L'esprit empli de questions, Bois d'Oingt se concentra alors de nouveau sur les gifles que mangeaient ses officiers, leur montrant que leur Capitaine était là et les soutenait comme toujours.
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Maximien

Max arriva avec son tabard d'Apprenti de Dauphiné, porte document sous le bras.
C'était un grand jour pour lui, le voici qui allait remettre des contreseing sous l'œil bienveillant de Dauphiné, m'enfin il était déjà un peu gêner de par son retard, il avait du chercher les contreseing qui avait était fait depuis quelque temps dans les réserves, il était bien cacher, il ne pensait pas que cela aurai mit au temps de temps pour les retrouver mais bon... il allait juste en remettre un partit en un coup...
Il passa donc la porte, et observa, Le gouverneur était en train d'anoblir le Sdl de Montélimar, qu'il avait rencontrer lors d'une visite en temps qu'armurier à la garnison de Montélimar...
M'enfin il était déjà un peu a la traine, il ne devait pas s'éternise non plus, il contourna donc pour ne pas déranger et il partit voir Dauphiné.
Il déposa le porte document en l'ouvrant et en s'excusant du retard qu'il a prit pour ramener les contreseings.
Il l'ouvra alors, et Dauphiné lui montra ce qui était déjà à remettre.
Il regarda en suite Dauphiné, savoir si il devait les remettre tout de suite ou attendre de les remettre avec celui d'Akula
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Akula

Messire Akula. Cela fait maintenant bien longtemps que vous dirigez la garnison de Montélimar. Un poste exigeant et oh combien vital. C’est en raison de cet engagement que je vous propose l'octroie de la Seigneurie de La Rochette. L'acceptez-vous ?

Oui, je l'accepte.
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Tenshikuroi

Après l'acceptation prononcée, nulle besoin de demander au soldat de s'agenouiller car il l'avait déjà fait. Le Gouverneur se contenta donc de continuer.

Vous engagez-vous, sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Akula

Akula pris une profonde inspiration et dit:

Je m'engage sur ma Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et je promets Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur.
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Tenshikuroi

Messire Akula, je vous octroie la Seigneurie de La Rochette. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

Et, geste qu'il ne pensait jamais accomplir, le Gouverneur scella le lien vassalique en giflant le Seigneur des Lances qui l'avait vu débuter.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse...

Tenshi avait remarqué que Maximien était venu pour seconder Dauphiné. C'est vrai que ça faisait beaucoup de contreseings à rendre.

Messire Akula, Seigneur de La Rochette, vous pouvez vous relever et vous présenter devant messire Maximien qui vous remettra les armes de votre fief.

Il sourit au soldat puis l'accompagna du regard lorsqu'il se rendit vers ... un autre soldat. Puis il reprit la parole pour appeler le Seigneur des Lances suivant.

Je demande maintenant à Dame Blanche, Seigneur des Lances de Valence de s'approcher de moi.
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Maximien

Max entendit le signale du gouverneur, oh, ça allait être à lui...
Bon, première cérémonie officielle, Dauphiné était à coté tous devrais bien se passer...
Il réuni les Contreseing qu'il devait transmettre, puis il allait appeler les SDL.

Je demanderais au SDL Laura_di_constantini, Flyerstyle, Jacochere, Helsinki et Akula de bien vouloir se rapprocher pour que leur contreseing, attestant leur noblesse leur sois remis
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Akula

Akula reçut la gifle de bon coeur.
La jeune recrue toute maigrichonne, qu'il avait vu arriver à Montélimar, avait fait un beau parcours et pris pas mal de force.
C'est la mâchoire encore résonnante du soufflet qu'il se dirigea vers Maximien.
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Maximien

Ah le premier Sdl a venir recevoir son contreseing.
Max sortit celui d'Akula

Sdl Akula, Recevez en ce jour votre contreseing qui atteste votre noblesse, Seigneur de La Rochette

Puis il lui tendit le Contreseing

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Pénélope de Barsac, Gouverneur, Dame de Mirmande et de Neuville-sur-Saône, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé La Rochette, à Messire Akula.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de La Rochette est bien seigneurie du Duché

Il portera: D’azur à une fasce d’or chargée de trois étoiles cousues d’argent soit, après dessin :

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Akula

Akula reçu donc le contreseing des mains de Maximilien.

Je vous remercie Seigneur de Cusy.

Puis il regagna sa place en attendant la fin de la cérémonie et la fin du bourdonnement qu'il ressentait dans la mâchoire.
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Laura_di_constantini

Et une tarte dans la gueule... Enfin, une petite tarte... Sourire furtif au Gouverneur alors qu'elle se redresse. Voilà qui était fait. une dernière inclinaison du buste avant qu'elle ne cède la place au suivant et ne s'avance doucement vers Dauphiné afin d'aller recevoir ses armes. Ainsi donc elle retrouvait les couleurs de Genay. Son regard glissa dans la salle vers l'homme au chêne d'argent. Que de souvenirs cela réveillait-il.

Elle ne manqua d'ailleurs pas de remarquer le sourire du Capichef en titre à ce moment-là. *Sadique que t'y es...* pensa-t-elle, se marrant intérieurement ; même si le regard de Thib semblait plein d'encouragement.

Je demanderais au SDL Laura_di_constantini, Flyerstyle, Jacochere, Helsinki et Akula de bien vouloir se rapprocher pour que leur contreseing, attestant leur noblesse leur sois remis

Reprise de conscience face à la cérémonie. Fallait pas que ça traine de trop, aussi se rapprocha-t-elle de Nyna et Maximien et attendit son tour.

Maximien

Et hop, un de donné, encore un pile hihi
Le second Sdl s'avança, premier demoiselle a recevoir son contreseing.
Il sorti donc celui de Genay

Sdl Laura di Constantini, recevez par ce contreseing l'attestation de votre noblesse en temps que dame de Genay

Max lui tendit le contreseing

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Tenshikuroi Deschenaux, Gouverneur, Seigneur de Saint-Firmin, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé Genay, à Dame Laura_di_constantini.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Genay est bien seigneurie du Duché

Il portera: De gueules aux deux chevronnels jumelés d'or, accompagnés de trois annelets du même soit, après dessin :

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous certifions, avoir été le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyé.

Faict le douzième jour du mois de juillet 1458 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie.

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Laura_di_constantini

Sdl Laura di Constantini, recevez par ce contreseing l'attestation de votre noblesse en temps que dame de Genay.

M'en réjouis tiens... marmonna-t-elle ironiquement en attrapant le document scellé des mains du jeune Lyonnais. Nouvel hochement pour remercier le jeune homme, puis elle lut le document joliment décoré du dessin de ses armes. Elle tiqua légèrement en voyant le nom du Gouverneur. Elle n'avait rien contre Péné, mais c'était encore Tenshi qui s'était exposé aux risques de morsures en lui collant la baffe vassalique. Et puis c'te date... Le 3 Mars pour le 12 Juillet. Elle espéra qu'on viendrait pas lui réclamer une seconde fois les impôts entre les deux dates.

Elle se gratta la tête en s'éloignant à travers la foule, document en main et yeux rivés dessus. A cette époque, c'était encore le fief de sa Lolote. *Bah... Un coup d'encre et ça fera mieux...* se promit-elle en roulant le vélin avant de le coincer à sa ceinture, puis de se mettre dans un coin pour assister à la suite de la cérémonie.

Helsinki

Helsinki s'approcha de Max, la joue encore tuméfiée par la gifle du gouverneur. Si c'était ça le lien vasalique se disait-il , si gouverneur était donner des gifles à des personnes voulant être nobles cela devait être agréable,
Bref il arriva devant Max , d'habitude en garnison c'est lui, Hels, qui remettait promotion ou citation.
Il lui espérait bien que son blason était le plus joli possible car dorénavant il devrait aller chez le tisserand de la ville se faire un tabard aux armes de sa seigneurie.
Bon diou pensait-il cela va en traîner des frais
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Code:

Maximien

Max vit hels s'approcher cela lui faisait bizarre que pour une fois c'était lui le chef hihi.
Il sortit le contreseing d'Eculy.
Puis il le tendit à hels

Sdl Helsinki, voici votre contreseing attestant de nouveau rang, seigneur d'Eculy

Puis il lui tendit le papier

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Pénélope de Barsac, Gouverneur, Dame de Mirmande et de Neuville-sur-Saône, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé Ecully, à Messire Helsinki.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief d'Ecully est bien seigneurie du Duché

Il portera: Parti : au premier d'argent au chêne de sinople posé sur un mont du même, au second de gueules au griffon d'argent soit, après dessin :

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Spacewolf

Space était toujours dans le fond de la salle en attendant son tour.
Il sortie sa gourde de sa poche pour boire une goutte. il la porta discrètement a ses lèvres.
Mais malheurs vide!!!

Aiie pas de carburant pour tenir se dit'il...

Puis il replongea dans ses pensées en attendant son tour se demandant pourquoi Vienne passait toujours en dernier...
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

Blanche

Blanche, toujours appuyée contre un des piliers, observait les remises des fiefs par le gouverneur. La gifle qu'il donnait à tous ceux qui recevaient un, la fit sourciller.
Dauphine expliqua ce qui allait se passer pour les SDL. Donc, il lui faudrait se marrier noblement ce qui lui tira une grimace. Après, vivre et se comporter noblement, voilà qui posait un autre problème car elle se demandait bien ce que cela pouvait impliquer. M'enfin, si elle posait sa question ici, elle se dit qu'elle semblera ridicule.

Les SDL se virent remettre leur fief, assorti d'une baffe à chacun. Elle les observait afin de savoir comment qu'elle devrait se comporter face au gouverneur.
Son tour vint et il l'appela.

Comme toujours lorsqu'elle sortait de la garnison et de Valence, sa timidité revenait au galop. Elle prit plusieurs petites inspirations - c'est que d'un coup, elle se sentait mal dans cette pièce - avant de décider ses jambes à bouger - ce qui lui prit quelques minutes tant elles semblaient avoir pris racine dans le sol - pour s'avancer jusqu'au trône. Là, elle se demanda quoi faire. C'est que les autres SDL avaient tous, ou presque, fait un truc différent. Elle prit discrètement une légère inspiration et se mit droite.

Mes respects Gouverneur!

Désolée pour le retard de la réponse.

Tenshikuroi

Les contreseings étaient remis un par un à leur propriétaire, la cérémonie avançait et le tout gardait l'aspect solennel que le Gouverneur tenait à imprimer. Parfait. Dame Blanche s'approcha alors de lui. Il lui sourit et s'adressa à elle.

Dame Blanche. Pour saluer votre engagement constant au sein de l'Ost Dauphinois, ainsi que votre travail à la tête de la Garnison de Valence, je vous propose l'octroie de la Seigneurie d'Antonaves. L'acceptez-vous ?
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Jacochere

ayant eu une affaire urgente chez les moines, il revint vit a la demande du Seigneur de Cusy
il s'approcha et tendit l'autre joue dés fois que.....

Blanche

"Dame Blanche", cela semblait bizarre de s'entendre appeler comme ça. Quelques mots seulement à prononcer mais qui l'engagerait pendant le temps qu'elle resterait SDL de Valence, du moins c'est ce qu'elle avait cru comprendre. Blanche regarda le Gouverneur.

Je l'accepte.

De toute façon, l'un d'eux pouvait-il refuser? Cette question de l'anoblissement des SDL durait depuis un moment et certains s'étaient donnés du mal pour que cela se réalise.

Tenshikuroi

Blanche accepta de s'engager, comme ceux qui l'avaient précédé aujourd'hui, sur cette nouvelle voie qu'ouvrait cette cérémonie. Le Gouverneur l'invita à s'agenouiller comme les autres puis poursuivit.

Vous engagez-vous, sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Maccornell

Pour la cérémonie qui avait été tant attendue, MacCornell n'avait pas reçu d'invitation officielle. C'était normal. Ne devait-il pas en sa qualité de soldat, et surtout de poursuivant d'armes, être au courant de ce qui se passe concernant les anoblissements et l'armée en particulier ? Il faut dire que ses recherches livresques, ses déplacements dans les contrées lointaines et ses obligations militaires lui prenaient beaucoup de temps. Et du temps, il en avait fallu pour que les Seigneurs de lance soit enfin reconnus à leur statut d'antan. L'embrunais avait été le premier à dénoncer la situation d'une noblesse à deux vitesses en Lyonnais-Dauphiné: certains ayant accès à l'assemblée nobiliaire, d'autre pas malgré ce que disaient les statuts de la dite assemblée. Ensuite, il avait été le premier à être refusé par un arbitre alors qu'il souhaitait s'adonner à ce plaisir noble qu'il affectionnait. Finalement, il avait marqué l'histoire du Lyonnais-Dauphiné en refusant de s'agenouiller devant un gouverneur alors qu'il était "seigneur de Bathernay". Depuis lors, il avait intégré la héraulderie dauphinoise et transmit ses responsabilités de chef de garnison à celui qu'il avait formé. N'ayant plus d'intérêt personnel dans la situation tortueuse des statuts des Seigneurs des lances, il avait continué son travail de l'ombre comme bien d'autres pour rendre à l'ost ses lettres de noblesse.

C'était donc un jour spécial pour lui. Il revêtit pour la première fois son nouvel uniforme de poursuivant d'armes: le même tabard que celui de Dauphiné tourné du quart. Il connaissait tous les hommes et femmes présents et lorsque le Gouverneur commença la cérémonie, il ne put qu'afficher un sourire serein du devoir accompli. Ces soldats méritaient le titre qui leur était attribué. Une pensée émue à l'idée que Jacochère allait pouvoir porter le titre de Seigneur de Bathernay et surtout vivre dans cette demeure qui avait été la sienne depuis près de deux ans. Sa succession était enfin accomplie. Il lui faudrait juste lui transmettre les clefs....

Perdu dans ses pensées nostalgiques des moments passés à Bathernay, MacCornell qui se tenait comme à son habitude en retrait de Dauphiné, ne vit pas de suite qu'elle lui faisait signe d'amener les patentes. Lorsque le jeune chevaucheur se précipita sur la pile de patentes tel un jeune loup sur une proie sans défense et qu'il appela les nouveaux seigneurs et dames alors que tous n'avaient pas encore été anoblis, ce n'est qu'alors qu'il revint à la réalité du moment. Cela le fit sourire d'avantage, mais il n'osa pas trop afficher sa bonne humeur de peur qu'on se dise qu'il se moquait de la maladresse du jeune Maximien qui cherchait à bien faire et à bien se faire voir. Le travail sur les patentes et au sein de l'hérauderie dauphinoise était un travail collégiale sous la responsabilité de Dauphiné. Il fit donc signe à sa marraine pour lui faire comprendre que cette fois-ci il n'en prendrait pas ombrage, pas plus qu'à son habitude.

L'important était que les seigneurs militaires soient enfin reconnus à leur juste rang.
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Spacewolf

allez encore un petit coup pour tenir...
Aieee plus une goutte, comment faire pour tenir...

et le soleil qui devenait très bas dans le ciel, la nuit commençait a tomber et lui il était toujours la a attendre.

Comment allez t'il faire pour passer les consignes de défense aux affreux si il etait bloqué ici...
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

Jacochere

a cette vitesse il ne restera plus rien de ce joli buffet, mais bon ont vas quand même pas mourir de faim,
je suis en train de me demandé si il ne nous ont pas oublié ce serai un comble

Tenshikuroi

Le Gouverneur observa Blanche... de longues, de très longues secondes s'écoulèrent sans que la jeune femme ne réagisse. Tenshi commençait plissa légèrement les yeux, se demandant s'il devait répéter son geste, répéter sa phrase rituelle...

Et puis cela le frappa, le teint de Blanche était de plus en plus livide. La soldate semblait comme... bloquée. Son regard était devenu inexpressif tendit que quelques gouttes de sueur perlaient sur son front. Elle... elle... Les genoux de Blanche cédèrent tout à coup etn comme au ralentit, la Seigneur des Lances de Valence perdit connaissance juste là... au milieu de son anoblissement.

Sans réfléchir, Tenshi glissa ses bras autour d'elle avant qu'elle ne chute de tout son long... le Gouverneur l'accompagna doucement au sol puis releva la tête...

De l'aide ! Qu'on emmène cette femme à l'Hospital ! Maintenant !

Deux gardes se précipitèrent et entreprirent de porter Blanche avec douceur vers des lieux plus cléments. Incroyable. Une cérémonie, deux malaises... incroyable.... Le Gouverneur se redressa et après avoir suivi du regard la sortie de Blanche, tenta de reprendre contenance et balaya la salle du regard. La suite... il fallait continuer... où il en était déjà.. ah oui Valence... donc... Vienne... Sa propre garnison, son propre SDL... Tenshi reprit un ton solennel et appela donc...

Je demande à Messire Spacewolf, Seigneur des Lances de Vienne de s'approcher de moi.

HRP : Alors que j'allais envoyer un MP à LJD Blanche, je me suis rendu compte que sa fiche l'indique comme MORT... en attendant que la situation soit clarifiée et pour ne pas bloquer tout le monde, j'ai préféré avancer le RP.

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Spacewolf

Space fut sortie de sa longue torpeur en entendant son nom.

Il lanca un regard au gouverneur, puis au Capitaine.

Il s'avanca d'un pas tranquille jusque devant le Gouverneur.
Habituellement, c'etait Tenshi qui devait presenter ses respects, mais la les roles etaient inversé.

Mes respects Tenshi.... Heuuu Gouverneur Tenshi.
Spacewolf Seigneur Des Lances de Vienne
A vos ordres.

Space regarda tenshi dans les yeux, posa sa main sur la garde de son epée puis se mit a genoux devant lui.
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
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Tenshikuroi

Tenshi reconnut la démarche sure et tranquille du soldat. Il esquissa un sourire lorsqu'il raccrocha légèrement le salut... Les habitudes ont la vie dures. Space ne se fit pas prier et posa genoux à terre immédiatement.

Messire Spacewolf. Vous dirigez avec succès la garnison de Vienne depuis un long moment maintenant, une fonction venant s'ajouter à votre longue carrière au sein de l'Ost Dauphinois. En raison de cet engagement, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de La Terrasse. L'acceptez-vous ?
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Spacewolf

En raison de cet engagement, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de La Terrasse. L'acceptez-vous ?

Cela faisait longtemps qu'il attendait ce moment, mais dans le fond est ce que broder un blason sur ses habits aller changer quelque chose... a son avis, non.

Space regarda le gouverneur dans les yeux.

Oui je l'accepte
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

Tenshikuroi

L'acceptation prononcée, venait le serment...

Vous engagez-vous, sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Spacewolf

Vint le serment a prononcer.
Space savait qu'il donnerait sa vie sans hesiter pour defendre son duché, le serment etait donc facile a prononcer

Je m'engages sur ma Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et je promet Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur
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~Fidelitate et Honore~

Nefertianne

Nef avait su au fond de son couvent, que Space allait prononcer son serment aujourd'hui. Elle réussit à s'en échapper et se dépêche de venir pour l'écouter.
Elle arrive juste à temps pour l'entendre. Elle se met dans le fond de la pièce et ne le quitte pas des yeux.
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Tenshikuroi

Messire Spacewolf, je vous octroie la Seigneurie de La Terrasse. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

Le lien vassalique... Un geste symbolique mais oh combien fort. D'autant plus fort que Tenshi gifla son propre Seigneur des Lances...

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse...

Messire Spacewolf, Seigneur de La Terrasse, vous pouvez vous relever et vous présenter devant messire Maccornell qui vous remettra les armes de votre fief.

Un sourire pour son chef de garnison et ami et le Gouverneur s'adressa à nouveau à la foule.

Je demande maintenant à Messire Gérault de Gaudemar, Grand Maitre des Lances de s'approcher de moi.
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Spacewolf

Space s'etait preparé a recevoir la fameuse gifle et sera donc tres fort sa machoire.

Il n'est pas allé de main morte se dit'il...

Messire Spacewolf, Seigneur de La Terrasse, vous pouvez vous relever et vous présenter devant messire Maccornell qui vous remettra les armes de votre fief.

Space souriat au gouverneur se frottant doucement la joue et se releva.

Merci gouverneur

Space lui fit un petit signe de tete avant de se retourner et d'aller voir Mac.
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

Maccornell

Que d'événements lors de cette cérémonie ! Certes, l'émotion devait être pour quelque chose. Voir des soldats expérimentés s'évanouir et nécessiter des soins alors qu'ils ne sont pas sur un champ de bataille avait quelque chose d'incongru. Le Gouverneur qui venait de remarquer la présence du poursuivant d'armes affichant un sourire de circonstances continua de remettre les fiefs aux militaires et leur indiqua d'aller chercher leur patente auprès de lui.

Le sourire de circonstance de MacCornell se changea en sourire embarrassé, lorsque son ami Spacewolf le Seigneur des lances de Vienne s'approcha de lui pour recevoir sa patente. C'était le chevaucheur Maximien qui avait la pile de documents signés par Dauphiné.... Aussi discrètement que possible, il envoya le nouveau Seigneur de La Terrasse vers le jeune homme de sang noble.

C'est Maximien qui a ta patente ! dit-il en pointant du pouce vers le cadet de l'héraulderie dauphinoise.
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Spacewolf

Space ecouta mac, il suiva du regard son signe et alla voir maximien

il se placa devant lui et attendit
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Vétéran de Mont-Aiguille et de Vae Victis
~Fidelitate et Honore~

Jacochere

sa n'a pas l'air de bougé ,je suis attendu par Maximien et je le vois nul part , en plus j'ai une envie pressante

Geronimo2751

Gérault était resté en retrait laissant les nouveaux seigneurs recevoir leur patente et par la même leur terre. C'est que ça mange un sdl !!!
Il s'avança donc devant le gouverneur.
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Pour ma patate

Jacochere

le malaise de Blanche l'inquiéta , elle n'avait pas beaucoup mangé ces derniers jours , les jours suivant seront critiques

Maximien

Apres avoir farfouillé quelque temps dans ses dossiers, Max ressortit les deux contreseing demander, car bon, à présent c'était lui qui était en retard...

Il sortit le contreseing Bathernay, puis il regarda le Sdl puis il lui tendit.

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Tenshikuroi Deschenaux, Gouverneur, Seigneur de Saint-Firmin, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé Bathernay, à Messire Jacochere.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Bathernay est bien seigneurie du Duché

Il portera: Écartelé d'or et d'azur. soit, après dessin :

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous certifions, avoir été le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyé.

Faict le douzième jour du mois de juillet 1458 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie.

Voici pour vous, seigneur de Bathernay

Puis il sortit le contreseing de la Terrasse, il regarda le Sdl de Vienne

Sdl de Vienne, vous voici seigneur de la Terrasse, et ceci pour le confirmé

Max lui tendit son contreseing

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Pénélope de Barsac, Gouverneur, Dame de Mirmande et de Neuville-sur-Saône, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé La Terrasse, à Messire Spacewolf.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de La Terrasse est bien seigneurie du Duché

Il portera: D'argent au filet en croix de gueules, à la rose de même tigée et feuillée de sinople sur un cœur d'or posé sur le tout soit, après dessin :

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Tenshikuroi

Saluant d'un petit signe de tête le GML, Tenshi recommença pour la énième fois aujourd'hui le rituel d'anoblissement.

Messire Gérault de Gaudemar, votre charge pour l'Ost et pour le Duché vous place en haut de la hiérarchie militaire. Officier le plus haut gradé, vous conseillez directement le Capitaine élu. Vous assumez cette tâche avec efficacité depuis un certain temps maintenant. C'est pourquoi, je vous propose l'octroie de la Seigneurie d'Anthon.
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Jacochere

il remercia le Seigneur de Cusy puis retourna à ces dossiers

Tenshikuroi

Le Gouverneur observa la réaction du GML puis, lui posa la question.

L'acceptez-vous ?
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Geronimo2751

Gérault eu un sourire, un peu fatigué, quand le gouverneur évoqua sa longévité ... un peu plus d'un an maintenant et pas un jour d'ennui.
Il hocha la tête quand le gouverneur posa la question.

Je l'accepte avec humilité et je m'efforcerai d'en être digne tous les jours.
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Pour ma patate

Tenshikuroi

Le Gouverneur fit signe au Grand Maitre des Lances de poser genou à terre pour prêter serment.

Vous engagez-vous, sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Geronimo2751

Le GML posa un genou à terre pour renouveler son serment,

Je m'engage à servir ce duché avec fidélité, à lui porter aide par mon bras armé et conseils avisés je l'espère.
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Pour ma patate

Tenshikuroi

Messire Gérault de Gaudemar, je vous octroie la Seigneurie d'Anthon. Je m’engage, au nom de votre Suzerain, le noble Duché du Lyonnais-Dauphiné, à vous fournir Protection et Justice.

D'un main souple mais ferme, le Gouverneur gifla le Grand Maitre des Lances.

Que ceci soit la dernière offense qui reste sans réponse...

Seigneur d'Anthon, vous pouvez vous relever et vous présenter devant messire Maximien qui vous remettra les armes de votre fief.

Plus qu'un et tout les chefs militaires du Duché aurait défilés un à un devant le Gouverneur.

Je demande maintenant à Messire Samarel Kennedy, Seigneur de la Garde de s'approcher de moi.
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Geronimo2751

Gérault se releva après la traditionnelle claque, qui semblait-il remplaçait de plus en plus le baiser vassalique ... les temps changeaient.
Il fit un signe de la tête au gouverneur et se tourna vers le chevaucheur.

Je crois que tu as quelque chose pour moi jeune loup !

Il tendit la main.
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Pour ma patate

Maximien

Un p'tit sourire un Gml, puis il lui tendit son contreseing

Es de cela dont fous faisiez allusions ?
Dans tous les cas, voici ce qui atteste de votre nobl... heu de votre obtention de Seigneurie

Max venais de sa rappeler, que...bé il était déjà Vicomte hihi

Citation:

Par la présente, Nous, Nynaève de Gaudemar, Vicomtesse de Clermont en Trièves, dict « Dauphiné » Heraut d'Armes Royal faisons acte de la demande de Pénélope de Barsac, Gouverneur, Dame de Mirmande et de Neuville-sur-Saône, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Duché du Lyonnais-Dauphiné sise au fief nommé Anthon, à Messire Geronimo2751, dict Gérault de Gaudemar, Vicomtes du Monestier de Clermont, Seigneurs de Mornant et du Glaizil.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Anthon est bien seigneurie du Duché

Il portera: De gueules au dragon d'or à tête humaine soit, après dessin :

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Samarel

le vieux baron avait observé la cérémonie en silence, debout à l'arrière de la salle, adossé à un pillier. il attendit la suite.
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Thiberian

La cérémonie avançait petit à petit, certains Seigneurs des Lances étaient en retards, le Seigneur des Lances Valentinois eu pour sa part un malencontreux malaise mais la cérémonie ne pouvais pas être suspendue pour autant...
Thib espérait seulement que l'officier subalterne n'avait rien de grave et qu'elle se remettrais rapidement de son mal afin de recevoir ses armes.

Évidemment la réception de leur contre seing signifiait autre chose pour les SdL, ils allaient devoir porter leur armes sur leur uniforme et il aurait été défaut d'organisation de ne pas penser à la chose pour un Capitaine...aussi, alors que le Gouverneur anoblissait les deux officiers supérieurs qu'était le Seigneur de la Garde et le Grand Maistre des Lances, Thiberian prit la pile de tissu posée sur le bureau ou Maximien donnait les contre seign et étala alors les nouveaux uniformes sur celui ci afin que chaque Seigneur des Lances puisse prendre le siens...

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img827/6066/bannirefly.png[/IMG][/url]

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img835/3426/bannirelaura.png[/IMG][/url]

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img840/8717/bannirejaco.png[/IMG][/url]

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img840/7394/bannirehels.png[/IMG][/url]

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img835/9397/bannireakula.png[/IMG][/url]

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img842/9926/bannireblanche.png[/IMG][/url]

Code:

[url=http://www.heraldique-europeenne.org/Accueil.htm][IMG]http://a.imageshack.us/img841/7355/bannirespace.png[/IMG][/url]

On aurait pu se demander pourquoi il n'avais pas fait faire les uniformes du GML et du SDG mais la réponse était évidente puisque les deux étaient déjà nobles et devaient donc avant tout faire composer leur blason avant de pouvoir le porter...même si le GML avait déjà le dit blason.

Thiberian sourit alors aux officiers subalternes et leur dit à voix basse :

Bon normalement vos uniformes sont bons et vos décorations à jour...si quoi que ce soit à été oublié n'hésitez pas à me le dire surtout !
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Laura_di_constantini

La toute nouvelle Dame de Genay s'approcha du Capitaine qui s'était rapproché des hérauts. Apparemment, il avait déjà apporté les nouveaux uniformes fraîchement cousus et teintés. Rien n'avait été oublié pour cette cérémonie. Laura se posta face au Capitaine, le salua à nouveau de manière militaire puis attrapa son nouvel uniforme. Rien n'avait été oublié, ou presque...

Bon normalement vos uniformes sont bons et vos décorations à jour...si quoi que ce soit à été oublié n'hésitez pas à me le dire surtout !

*A coup sûr, il veut me faire passer pour la chieuse de service...* ronchonna-t-elle intérieurement. Elle se pencha donc vers le Seigneur de Bois d'Oingt. T'as envie de me faire râler en fait... Elle pointa du doigt la citation à l'ordre de la garnison. Manque la grande soeur là... La citation à l'ordre de l'Ost. Elle secoua doucement la tête. Tu picoles vraiment trop Mon Capitaine.

Akula

Akula reçu donc son nouvel uniforme des mais du capitaine. Puis il alla vers Samarel qui semblait un peu rêveur et qui manifestement n'avait pas entendu le Gouverneur l'appeler devant lui.

Sam réveilles toi. En plus de t'avoir mis au régime pain sec et à l'eau, les moines t'auraient t'il fait perdre l'ouïe par leurs cantiques? Le Gouverneur t'as appelé devant lui.
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Samarel

le regard dans le vague, le vieil écossais écopa d'un coup de coude du seigneur de la rochette, fief qui lui tenait à coeur car c'était le premier domaine qu'il avait administré. son ami akula, visiblement amusé par l'absence du vieux soldat le rappelait à la réalité.

hum. effectivement, je crois qu'il est temps de souscrire à mon devoir.

le seigneur de la garde avança dignement, calmement, vers le gouverneur. bien que sympathique, celui ci n'était pas son genre. aussi espérait il écoper d'une bonne mandale. il se demandait si par reflexe, il n'allait pas coller une beigne en retour. mais c'etait en tout cas moins risqué que s'il tentait de l'embrasser. la pour sur, il l'embrocherait devant toute l'assemblée réunie.

souriant à cette situation, qu'il n'avait nullement envie de voir se produire, il arriva en face du plus haut représentant du duché.

me voici votre grace.
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Tenshikuroi

Le Seigneur de la Garde s'y était prit à deux fois, mais l'écossais se présenta maintenant devant le Gouverneur. Tenshi lui sourit. Il connaissait un peu l'homme, même si ce n'était pas un proche et avait même festoyé en son domaine à une époque qui lui semble presque une autre vie maintenant.

Messire Samarel Kennedy. Vous assumez avec sagesse et fermeté la tâche ô combien délicate de Seigneur de la Garde Ducale. Une fonction à part, méconnue du grand nombre mais que je sais cruciale. C'est pourquoi, je vous propose l'octroie de la Seigneurie de Pusignan. L'acceptez-vous ?
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Samarel

votre grace, c'est une proposition qui ne peut se décliner. et je promets d'entretenir ce domaine et de le faire fructifier pour le plus grand bien des habitants dont j'aurais la charge.
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Tenshikuroi

Puisqu'il acceptait, le Gouverneur fit signe au Seigneur de la Garde de poser genou à terre pour prêter serment.

Vous engagez-vous, sur votre Foi et devant tous, à servir le Lyonnais-Dauphiné et promettez-vous Fidélité, Aide et Conseil à son Gouverneur ?
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Jacochere

devant cette pile d'uniformes ,il pris celui qui lui était destiner
il remercia le Capitaine
je suis moins râleur que certaine *regarde Laura*
le mien est du sur mesure regarde comme je le porte bien
à part les fonctions légèrement décalées

Nynaeve87

Le vieux grigou semblait sans voix… fronçant les sourcils, Dauphiné se demandait si la cérémonie allait enfin se terminer. Le gouverneur n’intervenait pas et aucun de ses conseillers ne lui soufflaient quoi faire… toujours est-il que Sam était là, la bouche ouverte, coi et immobile, les yeux ronds suspendant le temps et que tous, aussi cois et aussi immobiles attendait son serment… une scène digne d’un tableau antique…

Se penchant vers son poursuivant…

Tu devrais peut-être allez lui souffler sa réponse…
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Tenshikuroi

Le Gouverneur observait le vieil écossais qui semblait comme prit dans une intense réfléxion... il murmura...

Messire... vous ne souhaitez pas vous engager finallement ou...
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Maccornell

Samarel

Nynaeve87

Samarel

Tenshikuroi

Terwagne_mericourt

[HRP : afin d'éviter tout mélange, je rappelle que ces faits se déroulent mi-juillet, donc bien avant les dernières élections.

Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Arwel

Maximien

Max Sortit le dernier contreseing de son porte document.
Puis il le tendit à Samarel

Citation:

Messire Kennedy voici votre contreseing attestant de votre seigneurie
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[RP]Anoblissement des feudataires du Lyonnais-Dauphiné!