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[RP] Les feux de la Saint Jean

Merwyn
Une voix d'homme sortant de l'ombre et lui demandant si elle passait une agréable soirée la prit un peu par surprise. Se retournant, Merwyn vois que sieur Shadow était revenus. elle scrute le sombre regard. Ravalant la réflexion acerbe sur son déplaisir de se faire ainsi surprendre, chose qui lui rappelais de mauvais souvenirs, elle répond:

Effectivement, la soirée est des plus plaisante. Il faut dire que comme je suis une bavarde invétérée, j'aime a avoir du monde a qui parler et ce soir il y as foule. Si vous cherchez votre amie Eanwen, il vous faudra continuer plus loin. Elle as failli renverser une bouteille en tentant de vous suivre tout a l'heure et ça ne m'étonnerais pas qu'elle courre encore. Son tempérament extraverti est des plus rafraichissant quand on connais les bourganiauds qui eux sont plutôt renfermé. Avec sa chevelure, elle me fait penser a quelque feu follet. Je l'apprécie, bien qu'elle soit totalement imprévisible.
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Gueldnard
Gueld fit de grands yeux, les même que ceux d'une chouette, c' est pour dire qu'il en faisait de grands yeux le blond.

Pis j'ai une cervelle moi! Sans moi t'aurais plus de cheveux, tout aurait cramé naaaaaaaa!! Pis jsuis propre jviens de me laver, pis c'est toi qui était sale et j'ai du te mettre un sceau d'eau sur toi et naaa et re naaa et encore re naaa! Non mais!


Gros tirage de langue dans les règles de l'art, le blond regarde la rousse mouillée.

Bon j'avoue qu'il n'y avait peut être pas de feu sur ta tête. Je pensais peut être encore aux flammes qui dansaient dans le feu et pis en voyant tes cheveux ben voilà... Pis fallait pas avoir de cheveux rouge en plus! Et pis en plus ça te fait ton baptême.

Gueld se met bien en face d'elle, prends un air sérieux et récite.

Te voilà baptisé au nom de la bière, du pastis et de tous les seins de Bourganeuf.

Petit coups d'oeil à droite et à gauche, c'est bon pas de nobliauds dans le coin. C'est que la dernière fois qu'il a sorti ça à une nobliaude il s'est fait taper sur les doigts. Et encore plus quand il a dit qu'il n'avait jamais lu le livre des verrues en étant baptisé par un vrai cureton. Lui qui croyait que son baptême était juste un jeu. Pis ce jour là il faisait chaud donc un ptit coups de flotte sur la tête ça ne lui avait fait que du bien. Bon faut dire la nobliaude qui lui avait taper sur les doigts après qu'il ait raconté tout ça c'était … hum ha oui Armoria la bras droit du roi.

Secouant la tête il regarda de nouveau la rousse.


Te voilà officiellement Bourganiaude. T'es une vraie de vraie promis.

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Eanwen
Eanwen essayais de garder son sérieux, ne pas sourire, ne pas sourire, elle ne devait pas sourire, mais trop tard elle se reteint tant que lorsqu'elle ne puis plus un rire puissant et sonore sortis d'entre ses lèvres si douce, elle ne pouvais plus s' arrêter de rire, attrapa un seau d'eau et le jeta sur le blondinet en riant...

Te voila baptisé toi aussi nah nah et re nah!

Eanwen se jeta sur lui et le serra fort dans ses bras, faut dire que le vin lui avait fait un drôle d'effet, décidément lui elle ne le rencontrait que en étant soule...
Gueldnard
Un rire à n'en plus finir et ... paf la douche froide.

Tsss j'étais déjà baptisé y'a bien longtemps. Jvais devoir aller me foutre près du feu pour me sécher. En plus t'es qu'une copiteuuuuuuse !!!!


Petit sourire et vlà qu'il voit la rousse foncer dans ses bras. Il la regarde et voit son regard un peu hagard.

T'as encore picolé toi.


Le blond la repousse légèrement en souriant.

Tu vas me faire attrapé froid à me coller mouillée comme tu es. Va te coller prêt du feu, lui c'est un bon partenaire. Sinon là bas à côté de Merwyn, j'ai cru voir un homme. Il pourra peut être te réchauffer qui sait.

Large sourire envers la rousse et un verre à la main plus tard le voilà devant le feu entrain de se sécher. Gueld se laisse à nouveau envoûter par la danse du feu pendant que les notes de musiques viennent s'égarer dans ses oreilles

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Azurea
Un grand éclat de rire d'Azu se fit à peine entendre parmi l'agitation. Mais la question était des plus incongrues.

Tu n'as pas envie de danser toi aussi Azu ?
Carpe diem.. comme disent les latinistes.


D'un ton quasi solennel, elle répondit en réprimant un large sourire.

Merwyn...Merwyn... Danser est pour moi aussi impossible que de viv...

Un coup d'oeil à droite puis à gauche et la brunette reprend à voix basse : "aussi impossible que de vivre sans Gueld..."

Après tout, elle pouvait bien le dire, qui dans cette bourgade ignorait ses sentiments ? Les sourds et les cloitrés, c'est tout.
La brunette fit tournoyer légèrement le liquoreux dans son verre, et regardait au fond, l'air soudainement pensive.
Elle voyait un vague reflet assez triste à voir, elle laissait passer le temps ça oui... Mais elle tentait de l'écourter en se laissant enivrer de doux breuvages. Elle avait parfois du mal à se reconnaitre. Azu avait le sentiment que quoiqu'il arrive, l'insouciance d'il y a sept longs mois était révolue. Elle s'était arrêtée de vivre, et être parfois comme inexistante à ses yeux... c'était plus qu'elle n'acceptait.

Elle adressa un sourire reconnaissant à Merwyn, un merci et pour le vin, et d'être venue près d'elle. Il ne la verrait pas, le destin l'avait décidé apparemment. Quoi de mieux pour laisser le temps au temps, en fait.
La brunette avait fait son effort. Elle était venue, avait laisser les flammes se mouvoir dans le reflet proposé par ses mirettes... Elle avait passé la soirée avec du monde, c’était fait.
Elle l’avait vu au loin, l’envie insidieuse d’aller le voir, mais il demandait du temps, encore…
Azu se leva et salua tout le monde encore à proximité. Elle était sortie de sa bulle ce jour. Aurait-il vu l’effort qu’elle avait fait ? L’avait-il seulement vue ?

Un sourire reconnaissant au ptit groupe et la brunette traverse la petite place en contournant le feu. Elle pouvait rentrer à présent. Il ne viendrait pas la voir, même s’il l’avait vue, et elle ne pouvait décemment pas aller vers lui… elle ne pouvait pas aller se faire mal, pas volontairement… Lentement elle regagnerait une ruelle qui finirait par la faire arriver en taverne, chez elle, léger sourire de désarroi et de plaisir aux lèvres, encore les deux à la fois…

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Eanwen
Ean se mit à rire de plus belle, surtout lorsqu'il lui dit d'aller se réchauffer auprès de Shadow, jamais elle n'avais entendue pareille idiotie...
Elle lui souria puis le vis prendre un verre et partir près du feu, elle se faufila derrière lui à pas de loup, fit mine de le pousser dans le feu puis le ramena vers elle en riant...


Oh désolé j'ai voulut que tu sèche plus vite blondinet hahahaha
Gueldnard
Toujours à contempler le spectacle qui s'offre devant ses yeux, le blond se laisse encore une fois surprendre par la rousse.

Heeeeyyyyy! Mais non c'est pas comme ça qu'on sèche les gens, on les attaches sur une proche avec de la corde et on les fait rôtir comme un cochon. Avec de la chance tu pourras même roussir un peu.

Gueld lança un sourire à Enawen en omettant de lui parler de la corde qui risquait bien entendu de brûler sous la chaleur. C'était bien une méthode Gueldnardienne. Il fallait qu'il y'ai toujours une petite surprise dans ses idées farfelues.

Gueldnard balaya du regard les personnes présente et fût attiré par une silhouette qui commençait à s'en aller. Brune, les yeux bleus, y'a pas de doute, c'est elle. Il salua rapidement la rousse en lui souhaitant une bonne fin de soirée et se mit à avancer d'un pas rapide pour rattraper Azu dans les rues de Bourganeuf.

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--Ducan_le_garde
Une bouche grasse qui se referme sur la chaire molle d'une pomme au teint rougeâtre. Un jus sucré qui se répand en une éclaboussure fine pour finir ruisselante sur un plastron rouillé. L'oeil irrité par le battement de la paupière qui se fait attendre et une mine joyeuse sur la face déformée. Ducan commence doucement a trouver le temps assez long sur la fête d'ou il n'a visiblement rien à faire. Seul distraction plaisante pour lui est la douceur chaudes d'un cuissot qui se pétrit sous sa main calleuse ou encore l'étreinte qui suit la reconnaissance.
Depuis un moment il toise sa proie, réputé veuve dans la bourgade depuis longtemps déjà. Fille de joie pour porter si peu de reconnaissance à la croyance et au deuil, bref une fille à lui plaire. Il veut la faire s'émouvoir dans le coin sale d'une taverne ou la paillasse un peu crade mais au combien suffisante pour sa besogne. Une femelle de se genre ne doit que faire plaisir et ne pas en demander.
Des sales mioches qui l'accompagne, quel répugnance que cette marmaille gênante qui n'as de cesse que de déformer les rondeurs gracieuses. De même que la mise bas, laissant sur le col quelques marques déplaisantes au touché. Seul avantage étant le large passage offert pour la besogneuse.
Un air moins amicale sur le visage, il laisse s'échapper un large crachin sur le sol. Le mollard est un racloir du tréfonds de sa gorge, il s'écrase mollement sur la terre sèche, immondice gluant d'un jaune tirant sur le vert. Sa proie semble enfin s'éloigner vers ses ruelles sombres ou elle cherche rencontre en toute vraisemblance. l est d'un évidence que celle qu'elle fera sera la sienne, nul raison de la laisser à des mains moins expertes et désireuses que les siennes.

A nous deux ma pouliche!


Il lui emboîte le pas dans un bruit de métal entrechoqué. Pas de trop prés avant qu'elle ne soit à l'endroit qu'elle aurait choisit avant de racoler le mâle qui finira dans sa couche. Bien sur la bourse pleine serait bien mieux accueillie et donc celle-ci pend bien visible le long de son ceinturon.
Il suit la fille de joie entre les ruelles étroites jusqu'à une porte, qui s'ouvre rapidement avant de se refermer sur sa proie et les deux extrait d'humains qui l'accompagne.
Les minutes sont longues et pénibles à attendre, la putain en fera les frais c'est certain.

Enfin la porte s'ouvre et se découvre la femelle en rut. Il se mit en mouvement sur la jeune femme. Elle lui tourne le dos avant que celui-ci ne tente d'empoigner l'épaule tendre de sa proie. Enfin un moment de plaisir après cette rude journée en perspective.....
Merwyn
Azu s'éloigne après un sourire. Vas t elle rejoindre le blond? Apparemment non puisqu'elle prend une autre direction. La suivant des yeux, le regard de Merwyn retombe sur un garde, quelque peu débraillé, qui semblait veiller sur la fête un moment plus tôt et qui s'engage discrètement dans l'une de ruelles. Aurais t il décelé une menace ? "Ah non pas encore une attaque sur la mairie" pense la jeune femme et, s'excusant auprès de sieur Shadow, lui emboite le pas. Pas d'autre soldat en vue et les habitants, tout a la fête, ne paraissent s'être rendus compte de rien. Le temps de traverser la foule et le milicien as disparu. Qu'a cela ne tienne. La jeune femme se coule dans l'obscurité a la recherche de ce qui avait attiré l'attention de l'homme. La ville avait suffisamment connus de problèmes. Vérifiant la présence a sa ceinture de la dague offerte par Kathelle, elle s'avance avec prudence a l'affut d'ombres parmi les ombres. De loin en loin un cliquetis ou un reflet métallique la guide.
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Gladriel
[Dans les ruelles]

La nuit est d’un calme presque reposant. Sa démarche discrète accompagnée du bruissement feutrée de ses jupons lui semble d’une mélodie languide à laquelle il manquerait la note majeure… Un rythme rassurant, un guide apaisant pour orchestrer l’aria de ses pas. Ce qu’il manque, c’est l’échos cliquetant d’un fourreau garni battant régulièrement sa hanche.

Il est curieux de se rendre compte à qu’elle point il nous est possible de s’habituer à une arme, à t’elle point qu’à sa moindre absence, elle nous manque cruellement… Un jour on lui a dit «  Même nue, tu dois être capable de cacher une lame ». Si l’on passe outre les pensées étranges qui peuvent traverser l’esprit tortueux de certain, le conseil est étonnement avisé et il est devenue une règle que cette femme a sut appliquer. Ainsi, quand l’épée rassurante n’accompagne pas ses pas, le stylet, lui, est précieusement garder dans le creux de son décolleter, et le poignard reste savamment accroché à son mollet.

Une clameur s’élève au dessus de la ville, incitant la Bourganiaude à redresser la tête. Un sourire glisse sur son visage, étirant légèrement ses lèvres pâles. La fête doit battre son plein! Les pas se pressent alors et la vigilance décroit.

Un contact, on presse son épaule, un arrêt, un sursaut vient répondre à ce geste. Elle tourne casaque subitement pour se retrouver face… seconde d’étonnement… face au garde des remparts. Un regard quelque peu surpris se ballade sur l’armure rongée par des tâches rougeâtre. La faible lueur d’une torche dont le souffle expire vient jouer des ces couleurs vermeil sur le métal sans éclat qui pare la carrure de l’homme.

Les saphirs de Gladriel viennent se plonger rapidement dans le regarde du garde qui l’observe d’un œil gras. Un frisson désagréable lui hérisse le cheveux de sa nuque.

_ Puis-je faire quelque chose pour vous? Je ne suis pas de patrouille aujourd’hui…

Le ton est posé, mais dénote une raideur commune aux officier de la maréchaussée. La phrase veut tout dire… si la situation n’est pas grave, elle ne veut pas être déranger; cette fête est important pour la païenne qu’elle est, de plus, le Lieutenant ne lui à pas donner de jours de patrouille, alors autant en profiter.
D’un mouvement sinueux et habile de l’épaule, elle se dégage poliment de la main qui l’empoigne. Son regard ne quitte pas le visage adipeux de l’homme dans l’attente d’une quelconque réaction.
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