_yoshimasa_ashikaga_
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Menant ses pas au dehors, elle ne se retourna pas pour vérifier si Akire la suivait ou pas sachant qu'il répondrait à son défit. Il était connu que les Lézards étaient de gros vilains sans honneur mais pas qu'ils étaient couard, sauf peut-être quelques uns... Ce qu'il venait de faire au bureau des doléances, il le payera. Yoshimasa n'était pas une de ses lézardes, ni de ses gouges ou de ses demoiselles papillonnant niaisement.
Elle était Ashikaga et cela ôtait déjà à beaucoup l'envie de se frotter à elle. Son statue de femme lui donnait du fil à retordre, à ton déjà vu telle autorité de ce sexe ?! Et les hommes avaient grand mal à réaliser qu'en vérité depuis qu'elle avait endossé cet étrange héritage pour une femelle, elle ne l'était plus vraiment. Plus froide que la glace, plus dure que la pierre, plus orgueilleuse que l'un de ces chefs, elle était Seii Taishogun. Elle en avait non seulement le nom mais lâme et laura.
C'est donc dans un silence sacré qu'elle se plaça au milieu de l'étendue, un peu plus au dehors des bâtiments, Là ou les herbes hautes dansaient sous le vent, là ou la foule se faisait plus rare mais ce n'était pas dit que le chant de leurs armes s'entrechoquant et de leurs poings se rencontrant n'attireraient personne.
- Wattashi wa Yoshimasa Ashikaga to môshimasu, se présenta-t-elle comme de coutume et sabaissant légèrement comme si elle avait à faire à un nobliau. Je te laisse encore loccasion de te mettre à genoux et me mander pardon pour ton geste.
Attendant la réponse quelle devinait déjà, son regard restait de ce même ébène impénétrable que tous connaissaient. Sa voix navait trahit aucune colère. Elle demeurait douce froideur et pleine de cette retenue quon lui avait inculqué et quelle avait eut du mal à tenir dans sa prime jeunesse. Encore à ce jour un léger bouillonnement se faisait ressentir au creux de son ventre mais elle sétait promit de le contenir à des fin les plus juste. Ce jour en était loccasion.
Et alors quelle simprégnait de son environnement, du vent qui de sa mélodie venait effleurer leur habit et du soleil qui faisait flamboyer leurs chevelures ténèbres, la femme guerrière étudiait aussi lapparence de celui qui lui faisait face. Il navait rien de famélique, un homme de ce quil y a de plus homme, un rustre, un homme darme et un vaurien qui se pouvait des plus violents. Elle le devinait et sentait son aura malsaine.
Lenvie de sortir son Tsurugi était là, envie la plus attirante qui lui était donné depuis bien longtemps. Sentir son arme à son coté, pouvoir la sentir dans sa main, en épouser la forme, la manier finement, délicatement Elle nattendait quune chose, linsulte suprême que le gars à la main baladeuse se pouvait lui donner avant quelle ne lui fonde dessus.
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