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[RP] La diplomatie Bourguignone en Gascogne...

Arthanagor
L'écossais regarda son ami, incrédule.Il mit un temps a se remettre de la surprise,regardant tour a tour les hotes de la tablée. Il baissa les yeux sur les parchemins que le gueux avait amenés devant lui,fouillant ceux-ci du regard,essayant de comprendre.
Le gueux déblaterait des phrases qu'il n'entendait meme pas,plongé dans ses reflexions.

Arthanagor triait,parcourant rapidement du regard les parchemins. Des bout de phrases,des listes de noms...meme le projet de traité qu'elle avait tant espèré se voir concretiser était là.
L'écossais soupira chercha du regard le maire.


mortecouilles !!! pesta-t-il, tapant du plat de la main sur la table.

De la main il repoussa,les parchemins. Tout ce chemin...alors qu'elle était presque arrivée au but. L'ecossais savait que la situation semblait compliquer sur bien des points de vue,pour Estainoise. Un parchemin attira son attention.
Il le prit,se leva pour le lire et s'ecarta un peu.
Il lui était adressé:

Sentant sa gorge se serrer,il reconnu l'écriture d'esta.Entre les lignes,quelques ronds translucides. Impacts des larmes qu'elle avait versé en écrivant sans doute.
L'écossais pensif,serra le parchemin dans son poingt.
Il revint vers le petit groupe...Il les regarda.Tous tournait vers lui un regard interrogateur,attendant une explication qu'il ne saurait fournir.Il leur dit simplement d'une voix terne:


Esta est repartie en Bourgogne...
_________________
Membre de l'ex- fine équipe du val tordu
Bretteur, philosophe, rimeur, tetu, raleur ,de mauvaise foi et mysanthrope...
Quel aspect hétéroclite que le sien..

" delanda Britania est "
Jackeline
Jackeline le vit alors s'adresser à tous le monde. Se faufilant dans l'ombre, elle partit marcher sur le bord de plage... Elle les laisserait. Quand à elle, elle irait réfléchir, laissant ses pensées passer avec le temps...
Zigom
Zigom prit la main de son épouse et la regarda bien dans les yeux, de façon à ce qu'elle comprenne son désarroi...

Ma chérie, je crois que notre place n'est plus ici...

Qu'est-ce que t'en penses ?
On rentre tous les trois à la maison ?
Vivilolo
Vivi avait le coeur brisé.............jamais elle avait vu son amour ainsi.......

Ho oui mon chéri!.......rentrons chez nous......
prend sa ptite Mélodie dans ses bras.........sent son amour la tenir par la taille...

Tout doucement ils prennent le chemin de leur demeure........
Zigom
Un bref salut à tous les invités, un regard compatissant vers Arth et ils rentrèrent chez eux le coeur lourd.... Enfin bon, la vie c'est comme une boite de ... enfin bon, tu sais jamais sur quoi tu vas tomber...
--Rougeaud_le_garde


A l'entrée, les gardes jouaient toujours aux dés en ripaillant gaiement...

Heyyy !!! M'sieur le maire !!!!
Z'allez pas partir comme ça ?

Z'allez bien boire un coup avec nous ou vous faites le fier ? enfin je veux dire le noble quoi... enfin le notable...


Le rougeaud se sentait un peu empêtre dans ses explications, mais c'était un bon gars..

Heuuu ! vous et vot'dame, vous savez jouer aux dés ?
Arthanagor
Au milieu du campement..

L'écossais voyait tout le monde s'envoler comme une nuée de moineaux. Machinalement il relu le mot que qu'Esta avait laisser a son attention. Il prit une torche qu'il alluma et alla s'asseoir par terre preès de l'enclos aux cheveaux ou le vieux Cabochard n'était plus. Il se laissa tomber au sol et planta la torche en terre.
Son esprit était plus embrumé que les hautes terres d'ecosse un soir de Novembre. Encore une fois, il relu le mot,s'imprègnant de chacun des mots que la plume avait laisser.

il soupira,carressant doucement le pommeau de son épée. Décidément se dit il ce voyage était plein de surprises.Pour l'instant il devait etre seul. Refléchir... Poser chaque idée bien sagement a plat. Faire le point.
Il sortit un oignon qu'il pela doucement un peu a la façon dont les amoureux effeuillent la marguerite, laissant tomber les peau une a une dans le sable encore tiède de la journée.

Il appuya sa tete et se planta le nez dans les étoiles.
La nuit porte conseils disait le proverbe. Peut etre en serait il ainsi pour lui?...

_________________
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" delanda Britania est "
Jalo
elle s'occupa de la petite Maud !!! qui faut bien le dire avait du chagrin de voir Esta parti !!!!!

viens donc avec moi Maud !! nous allons faire un brin de toilette

la gamine avait du se rouler dans la boue elle n'était point habitué a vêtir de si jolies robes ( de la confiture donner a un cochon aurait dit ma grand mère hihi )

Allez viens !!! si Esta ne revient pas je te promet de la rejoindre a Cônes

elle avait du chagrin d'avoir perdu son amie et de voir cette petite si triste
--Gontrand_le_mandiant_
Le gueux que du coup la nouvelle avait désoulé,attrapa une cruche vide qui trainait sur une table. Il en renifla l'interieur,jugeant de la qualité du liquide qu'elle avait contenu,et s'approcha en trainant ses chausses débraillées jusqu'au premier toneau qu'il trouva.
Il rempli la cruche a ras bord et la vida d'un trait...comme ça pour se remettre. Puis il la re-rempli a nouveau et ramassa deux coupe d'étain avant de rejoindre son amie vers les cheveaux. Le voyant dans un étata qu'il n'avait jamais vu auparavant,il s'avança avec précautions, les réactions ecossaises pouvant parfois etre des plus destabilisantes:


Laisses moi... dit doucement l'écossais .Tiens ,en voila une de réactions imprevisibles se dit Gontrand
J's'rais point un bon copagnon si j'faisais une chose pareille repondit le gueux...Toi t'es pas comme ça !!!j'commence a t'connaitre un peu d'puis l'temps mon gars,...j'suis point né d'la dernière pluie....

Gontrand s'il te plait....laisses moi!!! insista l'écossais

Nan !!!....expliques toi dit il en servant deux coupes devin.Il en tendit une qu'Arth prit et porta a ses lèvres.allez !!...boudiou !!!

Il vit alors l'ecossais lui tendre un rouleau de parchemin. Le gueux le prit mais arth ne lacha pas l'autre bout:
Lis alors....dit l'écossais..mais j'te dispenses de tout commentaires!!!..et tu gardes ça pour toi.

Le gueux acquiesa de la tete. Il ouvrit,le parchemein et plissa les yeux afin de bien comprendre ce qui était ecrit. Il lut,et en ne put retenir un :
Ah ben défection alors .....Il retendit le parchemina l'ecossais. Celui-ci le rangeat et dit simplement:
Laisses moi maintenant... en lui faisant signe de partir. Le gueux séxecuta.
Arthanagor
PRES DE L'ENCLOS...

Les heures passaient...doucement.

L'ecossais plongé dans sa mélancolie n'arretait pas de lire et relire cette lettre.

A chaque fois la meme émotion,le meme serrement dans la poitrine.
Au dessus de lui,les étoiles cessaient de clignoter l'une après l'autre a mesure que l'aube approchait.
Maintes fois durant cette nuit,il avait relut ce parchemin taché de larmes et les mots résonnaient dans sa tete plus fort a chaque nouvelle lecture.
Arth l'avait tellement plié, déplié, roulé, froissé qu'il ne ressemblait plus a rien..mais les mots eux étaient toujours là.

Il regarda la torche qu'il avait fiché en terre près de lui se demandant s'il ne devait pas bruler cette lettre afin d'arreter sa soufrance...Il approcha la feuille doucement au dessus de la flamme, la tenant par un des coins. Un cercle noir commença à grandir, s'élargissant un peu plus a chaque instant.

Dans sa tete les mots résonnait toujours,envoutants,..obsédants ils sonnaient comme autant de cloches, tous les bourdons des cathédrales ne feraient pas autant de bruits: "devenir folle"...."avouer"..." prennes dans tes bras ".

NON !!!! cria-t-il. Il retira la feuille, jeta dessus quelques poignées de sable, afin d'eviter de perdre ses mots en lus de la perdre elle, et se frotta les yeux.
Ses yeux...ses yeux rougits par la lecture ,par les larmes,que pouvaient ils voirent encore. Cette lettre,il la connaissait par coeur à présent...dans le noir le plus complet,il aurait put la réécrire,mettant chaque mots a sa place,chaque ponctuation. Mais il ne pouvait s'empecher de la lire encore....encore...encore.

Déja le ciel blanchissait,passant d'un bleu sombre où brillait des nuées d'étoiles au gris ne dévoilant que les plus brillantes. Ses paupières commençaient a se faire lourdes.

Non....ne pas dormir...lire... murmurait -il mais il était incapable de résister au sommeil,son esprit deja etait ailleurs.
Il s'endormit,alors ..adossé a ce poteau. La torche s'etait eteinte depuis quelques temps déjà,en serant contre sa poitrine,le parchemin meurtrit, mais entier...






Mon frère, mon escorteur, mon ami, mon amour inavoué, mon toujours,

Voilà, nos routes se séparent ce soir.
Je vais sceller mon cheval Cabochard, je vais prendre ma louve Dandy et je vais m'en allais, là, maintenant, tout de suite.
J'ai beaucoup pensé à ces derniers jours, à toutes ces émotions qui m'ont ébranlée. Parce que je ne suis guère fière de mon comportement, je préfère partir, afin de vous préserver, Jackeline et toi, de mes excès.
Je conviens que ce n'est guère une bien bonne façon de faire pour une ambassadrice que d'abandonner ses invités.
Mais encore tout à l'heure au banquet, lorsque tu l'as prise dans tes bras, sous mon nez,j'ai cru que j'allais devenir folle, alors je préfère m'éclipserMes pensées sont plus claires maintenant.
Pourquoi réagir avec autant de véhémence?..me demandais-je.
Alors Arth, maintenant, je peux bien t'avouer quelques uns de mes sentiments, parce que ces sentiments que je refoulais ont pris tout leur sens.

Oui Arth, tu n'es pas qu'un frère pour moi!.tu fus bien plus. Mais il m'était bien impossible de me l'avouer et de te l'avouer. Je t'aime Arth, d'un amour qui dépasse celui d'une soeur envers son frère.
Mais tu es marié à mon amie Mini et je suis moi-même l'épouse de Montmayeur. Il m'était bien impossible de me laisser aller à ce genre de sentiment. Alors, quand nous nous sommes déclarés frère et soeur, cela m'apparaissait un bon compromis car je pouvais ainsi partager ta vie sans pour autant blesser les uns et les autres.
Juste marcher à tes cotés dans nos voyages, dormir à tes cotés en supportant tes ronflements au coin d'un feu de camps, papoter en taverne avec les uns et les autres, m'apportaient chaque jour un peu plus de joie.
J'aurai du alors t'ouvrir un peu plus mon coeur.Mais le fait de partager ta vie ainsi me contentait et me donnait bonne conscience.
Combien de fois, j'aurai souhaité que tu me prennes dans tes bras alors que tu roupillais à mes cotés. J'aurai du alors me rapprocher de toi et te montrer mon envie de toi sans penser à Mini et Mont. Mais je ne savais alors que rester coucher sur le dos, les mains jointes sur mon ventre et les yeux ouverts vers l'au-delà.
Quand tu rencontrais quelques filles et tu m'en parlais, je te taquinais car je sentais bien que ce n'était pas bien sérieux. Pourquoi alors ne pas encore t'ouvrir mon coeur et te faire comprendre que tu étais plus que tout pour moi, l'indispensable?. Je ne sais pas, certainement aussi le doute, celui de penser que tu ne partageais pas ces sentiments.

Et puis, il y a eu Jackeline...Là, c'était du sérieux et pour moi, tout c'est effondré.
D'abord, toujours dans mon entêtement de ne pas m'avouer mon amour pour toi, j'ai tout essayé pour accepter son existence. Je me raisonnais chaque jour. Mais, chaque jour m'était plus difficile à supporter.
Je devins odieuse parce que ma détresse ne me permettait pas de réagir autrement. Je devins odieuse au point de me détester moi-même. Je devins odieuse à un point de non retour. Je devins odieuse afin de détruire le peu qui nous restait, maintenant que ton coeur rythmait avec celui d'une autre.
Maintenant, je vais sur les chemins, en direction de la Bourgogne, mais je puis changer de cap à chaque instant, étant mon propre capitaine et sans équipage.
Je n'ai plus envie de rien en ce moment. C'était déjà mon problème avant mais là, c'est le vide,l'abime..le néant.
Mais Arth, merci pour ces moments passés ensemble, à nos fous rires, nos voyages, nos coups de gueule, nos délires.
Je te souhaite le meilleur...arf, oui, j'aurai préféré avec moi!.mais oui, je te souhaite le meilleur.

Bien à toi

Esta

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" delanda Britania est "
Estainoise
Jackeline était venue lui ramener la petite Maud.

Esta n’y comprenait plus rien, Jackemine semblait avoir voulu partir, puis là elle revenait….que faisait-elle, au juste ? Est-ce pour cela qu’Arth se disait malheureux ?

Certes, Esta ne la ménageait pas, ça….même qu’elle avait été un peu trop loin avec elle, elle en convenait bien. C’était plus fort qu’elle, elle ne parvenait pas à la supporter, alors elle avait toujours une réflexion piquante à son égard. Quand Jackeline lui déclara alors son amour pour Arth….elle faillit encore exploser ! Mais cette fois, elle ne pipa mots. Son visage se crispa mais il fallait bien essayer de se contenir, dans ce banquet où l’ambiance se dégradait à chaque instant.

Et voilà qu’ Arth court vers sa belle et la prend dans
ses bras…..

Esta sent son cœur chavirer encore. Elle tremble de rage….mais non, elle ne va pas faire esclandre devant tous ses invités.

Alors, très discrètement, elle se leva….prétexta une excuse pour s’absenter quelques instants….et elle se dirigea dans sa tente. Elle prit sa besace, la remplit de quelques effets, puis elle s’installe à son bureau où trainent des parchemins.
Elle prend sa plume, la trempe dans l’encrier et commence à écrire. Les mots s’alignent facilement….tant ils semblent avoir été trop longtemps muselés.
Enfin, elle laisse la lettre parmi les parchemins, se lève, ramasse sa besace. Dandy couchée dans la tente se redresse et la suit tout simplement.
Esta se dirige vers l’enclos, scelle en silence son cabochard, l’enfourche et s’en va dans la nuit.

Ils allaient au pas. Esta continuait de pleurer. Elle ressassait encore et toujours. Des sentiments de colère et d’abattement la tenaillaient encore. Mais peu à peu, elle se calma. Et elle se dit que ce n’était pas possible de quitter son escorteur, qu’il ne pouvait pas la laisser partir, qu’il ne pouvait pas aimer son espagnol, qu’il n’aimait qu’elle, c’est sure. Il lui avait déjà dit qu’il l’escorterait jusqu’au bout de la terre.

Non, Arth…je ne te laisserai pas me laisser, je ne te laisserai pas en aimer une autre…..

Et Esta fit demi-tour alors qu’elle avait déjà fait un bon petit bout de chemin. Elle taquina les flancs de son Cabochard qui partit aussitôt au galop. Le vent rafraichissait son visage et elle retrouvait son calme. Elle était certaine maintenant de récupérer son Arth. Elle pressa Cabochard d’aller encore plus vite et, comme s’il sentait que cela était d’importance, son allure redoublait.

Enfin, ils approchaient du campement quand l’aube naissait. Quelques torches éparses brulaient pourtant encore. Le campement semblait désert. Tout semblait bien calme….

C’est au pas qu’ils entrèrent dans le campement par un chemin détourné. Esta fit le tour en se demandant où pouvait bien se trouver Arth. Elle espérait qu’il ne soit pas dans les bras de Jackeline, même s’il y avait de fortes chances que cela soit le cas. Elle se dit qu’elle resterait là, assise au coin du feu, pour l’attendre.

Elle se dirigea alors vers l’enclos pout y emmener Cabochard….et c’est là qu’elle le trouva.
Il était assis contre un poteau, avachi, les yeux fermés, une lettre, sa lettre toute chiffonée, dans sa main, posée sur son coeur.

Esta sauta de cheval et s’approcha de son amour inavoué.
Elle s’agenouilla à ses cotés et le regarda dormir un instant. Puis elle lui prit la main doucement et dit…

Arth….Arth….c’est moi….


Arth ne bougea pas d’un pouce…..
Esta s’approcha de son oreille et lui murmura…


Je suis venue enlever mon bel au bois dormant….

et elle déposa un baiser sur ses lèvres.
Arthanagor
mgnmgmngmgnmgnmg..mant…. entendit -il un peu lointain.
Puis une sensation douce sur ses lèvres.
Il ouvrit un oeil difficilement voyant une forme a ses cotés.

Gontrand...j't'ais dit de me f.....Il réalisa soudain qui était là.Il en recula de surprise puis se redressa le coeur battant. Ce baiser sur ses lèvre...

Esta? ...il croyait rever...Esta c'est bien toi? ..mais..ce mot,il montra le parchemin froissé, tu disais que tu partais?!

Arth ne dit plus rien regardant Esta,ses yeux lui brulait,mais cette fois -ci ce n'etait d'avoir trop lut,ni les grains de sables. Et ce n'etait pas la seule partie de lui meme qui s'enflammait. Il s'avança vers elle, les jambes flageolantes, le souffle court. Elle toujours accroupie,la fatigue du voyage sans doute. Il l'aida a se relever et la serra dans ses bras.
Il sentait chaque mouvement de sa poitrine, leur respiration se faisant à l'unisson. Il passa sa main dans ses cheveux, collant sa tete dans le creux de son épaule.

Ce baiser qu'elle lui avait donner avait attiser le feu qui couvait en lui. Car il y a deux sortes d'amours,comme les feux,Il y a l'amour feu de paille qui s'enflamme vite, degage beaucoup de fumée et se consume en un rien de temps,...puis il y a le feu de braises, celui qui couve longtemps, qui semble eteind en surface mais qui est rouge incandescent en dessous et qui attend qu'un souffle de vent pour se raviver.
Il venait de le comprendre...c'était elle.
Et toutes ses années passées a se taire...

Il la serra encore plus contre lui ne voulant pas relacher cette etreinte trop vite.

Il lui murmura doucement a l'oreille:

Je t'ai toujours aimé..
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" delanda Britania est "
Jalo
elle avait resté la nuit auprès de Maud !!
se demandant comment elle allait faire sans son amie Esta et cette petite qui avait l'air de 's'être attaché si vite !!!
remarque la pôve gamine d'où venait 'elle ???


elle crut entendre des sabots de chevaux !!!!
elle passa la tête hors de la tente !!!!!! elle ouvrit grand les yeux!!!!! son cœur battait très vite !!!! son amie était revenue


merci Aristote des fois tu fais des miracles

elle avait envie de réveiller "la Maud " mais elle préféra attendre qu'ils s'expliquent tous les deux !!!! elle ne savait pas trop ce qui se passait mais elle avait une p'tite idée !!!!!!
Estainoise
Elle ne s’était pas trompée, il n’aimait qu’elle et depuis toujours…..
Il venait de lui dire doucement à l’oreille alors qu’il la tenait pour la première fois dans ses bras.
Esta se blottissait tremblante dans le creux de son épaule et Arth caressait ses cheveux tendrement de sa grosse paluche.

Des larmes commencèrent à couler de ses yeux, des larmes de joie, soulagée de ne pas avoir perdu cet amour….
Elle releva son visage inondé et ne réussi à dire que…


oh Arth, j’ai eu si peur…..

Puis encore un long sanglot de délivrance…..

Elle reposa sa tête contre son poitrail, s’essuya ses larmes au passage sur sa chemise, le respira longuement….puis enfin, elle sourit.


Maintenant, je ne te lâche plus d’une semelle.
Arthanagor
Citation:
oh Arth, j’ai eu si peur…..


Et lui donc...peur de la perdre pour toujours, peur de parler, peur de se reveler. Un jour quelqu'un dira que l'essentiel est invisible aux yeux qu'on en voit bien qu'avec le coeur...et il aura bien raison

Les émotions prenaient le dessus. Esta partie dans un sanglot nerveux qu'elle controla au bout d'un moment.Elle essuya discretement ses larmes dans sa chemise,Arth se promit d'en faire une relique.


Maintenant, je ne te lâche plus d’une semelle lui dit elle avec un sourire.
Ho oui...plus d'une semelle. Lui non plus ne voulait pas, plus, jamais etre éloigné d'elle.Il déposa un baiser sur son front.


Moi non plus sois en sure !!! dit il
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