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[RP] Taverne ... La Caverne " Des pensées éphémères"

Sandino
…Le départ était annoncé ce qui avait éveillé dans l’esprit de Sandino le souvenir de quelques pensées improvisées sur les routes du royaume, « La Caverne » était le lieu indiqué pour y laisser un extrait utile aux voyageurs de passage.

Pensées, aphorismes et adages routiers Sandiniste. (extraits)

« Castres + Troyes = Sète… »

« à Thiers ils font pas les choses à moitié… »

« - Savoie ?

- Oui pas mal et Thouars ?… »


« Tournon la ville des virages… »

« Passé Narbonne y’a plus de limite… »

« Labrit ne fait pas le moine… »

« Menton ville du poil… »

« à Vienne que pourra… »

« Anvers et contre Tours j’irai !! Caen je ne sais pas encore… »

« Ne jamais faire court à Toulon… »

« Pas Lourdes !! je suis allergique aux coquillages… »

« à Foix on se multiplie… »

« Du Puy j’ai vu le fond…croyez moi c’est pas joli joli !.. »

« Très tôt j’ai perdu le Niort… »

« Salon ville sur canapé… »…
_________________
Cali
Cali poussa la porte de la taverne en soupirant. Cette séparation d'avec Zézé avait été éprouvante bien qu' elle s'en doutait et reculait l'échéance. Le manque terrible de la présence de sa soeur et de celle de Sandino lui avait fait déserter la " caverne" quelques jours, ne passant qu'en soirée histoire de sentir encore l' écho de leur rire ricocher sur les murs de la taverne et ça la faisait sourire parfois .
Mais Caillou était venu régulièrement la voir, faire son petit tour nocturne habituel, l'air de rien. En fait, Cali n'était pas dupe et elle savait que sous ses airs sérieux et ses froncements de sourcils, Caillou venait prendre de ses nouvelles et lui remonter le moral.
Il était patient et plein de tact. Parfois la regardant en coin, il tâtait le terrain et la taquinait un peu, histoire de la faire sourire.

Au fil des jours, Cali s'était habitué à sa présence et souriait à son arrivée, l'accueillant comme un ami. Car en somme, c'est ce qu'ils étaient devenu l'un pour l'autre. Il restait toujours à son poste de policier, fidèle à lui même, honnête et rigoureux dans son travail.
Elle avait confiance en lui et ces quelques jours sombres ou elle baignait dans la mélancolie et ou il avait répondu présent sans qu'elle le demande, était une preuve de son amitié.

Cali sourit en y repensant et se secoua les puces.


La " Caverne" ?? Tu m'entend vieille branche ?? " Cali" est de retour !!!


En souriant, elle prit un morceau de charbon de bois dans la cheminée et alla écrire quelques mots près de ceux de Sandino et continua la liste des villes qu'il avait visité en y ajoutant quelques une qu'elle ne connaissait pas, mais qu'importe !!! Un jour, elle irait traîner ses botes là bas.



" Ne s'use que si l'on Sancerre.. "

" Fécamp ? .. ben fé maintenant !! "

" Sarlat encore une fois, ne soyons pas rapia!! ..".. je verrais bien Pano dire ça ^^

" Angoulème... mais elle, l'aime t'elle ??..."

" Il me Tarbes d'arriver ! ".. ça c'est Dés sur la route .. tala tala talalala... sur la rouuuuuuute tala talalala..

" Montélimar... je monte qui je veux ! ".. mouais un peu tiré par les chevaux ça .

- Bon ben n'est pas Sandino qui veut hein!! Allez .. ça va pour cette fois mais qu'on m'y reprenne plus!


Satisfaite de ses jeux de mots aussi débiles les uns que les autres, Cali repartit d'un air joyeux en envoyant un bisou au tableau de tête de mule et de cochon de Zézé et Sandino.
Akashia
Akashia lit les différents mots et voulu en écrire un ... Mais en lisant les mots de Sandino et de Cali il rit tellement qu'il en oublia ce pourquoi il était venu.[/i]
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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Florelanne
Le temps efface
Toutes les couleurs
Toutes les grimaces
Des gamins rieurs.

Le temps efface
Toutes les douleurs ,
Enlève les traces
De nos pleurs.

Le temps efface
Toutes les rumeurs
Qui nous encrassent
De nos rancoeurs.

Le temps efface
Le chemin des heures
Qui nous lassent
Passent nos humeurs.

Le temps efface
C'qu'on sait par coeur
Ca nous agace
Plus qu'ça fait peur!

Quoique l'on fasse
Quoique l'on dise
Le temps efface
Nos bêtises
Qu'on est raison ou tort
Le temps efface
Nos remords.

Mais le temps s'efface
Devant ce bonheur
Tenace qui enlace
Nos âmes soeurs!
Cali
La mine défaite, Cali entra , un parchemin roulé à la main. Elle se dirigea directement vers le mur de la taverne , déroula le rouleau de papier et le cloua.

C'est pour toi..


Peu importe le temps
Peu importe l’instant présent
Tu as toujours été à mes côtés
Par toi je me suis sentie protégée
Je t’ai aimé
Et t’aimerai
Car chaque jour que Dieu fera
Toute ma tendresse tu garderas
Même si tu ne veux plus me voir
Même si mes mots te paraissent dérisoires
C’est pour toi que je les écrie
Je ne sais pas le dire autrement
Ce n’est pas une poésie
juste des phrases , des sentiments
Il se peut que tu ne les lises jamais
Pourtant ils sont vrais
Je ne suis pas heureuse
Ma peine comme la tienne est douloureuse
Ca ne me fait pas plaisir
Je voulais seulement te le dire
Si j’ai perdu l’aimé
Si le sceau de l’amour j’ai brisé
J’espère un jour retrouver
L’ami qui s’est éloigné
Bambata
Bamba n'était pas venu en Taverne , notamment dans celle ci , depuis maintenant un bon bout de temps .
Ce matin , ce n'est pas de bonne humeur qu'il ouvrit les portes de la taverne . Voulant premièrement boire , boire et encore boire , tout seul , pour oublier toute sa peine , il oubliant vite cette idée , quand son regard fut interpeller par un mur , remplis de mots divers ...
Un l'interpela tout particulièrement ... Au fur et a mesure qu'il lisait ce poème , de long soupire lui échappait involontairement , mais aucune larmes ne coula sur ses joues ... du moins pas en public . Ce serait un signe de faiblesse de sa part .
Involontairement , il prit le bout de charbon , qui visiblement usé , devait servir au personne souhaitant écrire , de le faire , et commença a griffonner quelques formes , sans intérêt .
Puis , quelques mots vinrent , ensuite des phrases ...


Mamour , tu sais
Jusqu'a ce jour j'adorais ma vie
J't'avoue qu'la nuit mes larmes noient mes joues
Quand je repense a not' histoire qui s'est finit
A travers cette perle ,
Je voulais te prouvais que je tenais a toi et que je ne voulais pas te perdre

Mon bonheur etait un empire
Dont tu était la Reine
Où ton sourire avait imposé son règne
Mais depuis , ma couronne vire au gris
J'perd mon trône quand tu m'a dit que tout était fini

J'étais bien qu'avec toi
j'm'était promis de m'occuper de toi
Mais je n'ai pas réussi
A tenir les propos que je me suis promis
Mais maintenant que tout est fini
Plus rien ne me retiens ici ...


Il soupira , de lassitude , puis jeta le morceau de charbon a travers le pièce , et sortie de la salle , en direction de la caserne ... s'étant promis de dire aur'voir a un amis tres cher
Cali
En approchant de " La caverne des pensées éphémères", Cali chantonnait en jouant avec une pièce qu'elle lançait en l'air en la faisant tournoyer , puis la rattrapait agilement.


En passant sur le chemin
Alors que j'allais bon train
Cinq écus que j'ai trouvé
Aux pieds d'un petit rocher

Le jour vient de se pointer
Et la chance de mon côté
Ca promet une chouett' journée
.. euh...

S'arrête un instant pour trouver la suite..

... La boulasse aux " vas nus piedssssss."



Elle entre dans la taverne et ouvre les fenêtres pour aérer les pensées , puis déroule une banderole que Ness lui avait donnée les jours précédents, en se disant que finalement c'est encore ici à la caverne qu'elle trouvera le mieux sa place.

Cali la déploie et la secoue un peu, histoire de chasser les poussières d'idées préconçues qui auraient pu s'y déposer en chemin comme la poussière foulée par trop de pieds "embottés" .

Satisfaite de la trouver en bon état de ' marche à pieds", elle l'attache sur le fil d'une pensée.








Elle recule un peu et penche la tête la trouvant un peu de traviole et avance pour la redresser... puis se ravise en souriant, trouvant que finalement... moui.... cette banderole trouvera son équilibre toute seule^^.

Puis en sifflotant , elle vaque à ses occupations au sein de la "caverne"...



Cali lève la tête et s'arrête de siffler en voyant le poème de Bamba. Son coeur se serre et elle relit une fois de plus ses mots.... comme il est beau ton poème...
La jeune femme prend le morceau de charbon de bois qu'elle voit traîner à terre pour écrire cette phrase qui lui traverse l'esprit.



On a beau dire, on a beau faire, le coeur est une parenthèse qui ne se referme pas facilement.

Cali finalement décide de repasser une autre fois mais laisse la porte entrouverte pour ceux qui voudraient venir dans la caverne.
Florelanne
raté!!
_________________
Florelanne de Rohy
Secrétaire d'Etat



Florelanne
Oh désolée!!
Florelanne prend sa vieille et se met à chanter .

Du haut de la jetée, je regarde la mer
Avec ses mouvements d'avant en arrière,
J'ai souvent l'impression d'y contempler mes jours
Marqués par tous les flux et les reflux d'amour.

Flux et reflux d'amour
Font battre mon coeur
Chacun leur tour
Un jour sur un nuage
L'autre échouée sur le rivage
Les yeux au bord de l'âme
Les larmes au bord des flots

Parfois , j'aimerais m'échapper de ce décor
Et oublier ce que je ne sais pas encore
Mais je préfère attendre là ,le beau capitaine
Qui me sauvera d'ici et de toutes mes peines

Flux et reflux d'amour
Font battre mon coeur
Chacun leur tour
Un jour sans nuage
L'autre échouée sur le rivage
Les yeux au bord de l'âme
Les larmes au bord des flots.

_________________
Florelanne de Rohy
Secrétaire d'Etat



Cali
Cali venait de recevoir non seulement des nouvelles de Zézé et Sandino, mais aussi une surprise que ce pauvre pigeon eut bien du mal à lui amener. Après s'être installée tranquillement sur la première marche de sa maison, devant sa porte entrouverte, la jeune femme lut en souriant les dernières nouvelles de sa soeur.

Aussitôt, elle fonça à la caverne pour que tout le monde puisse profiter de .... la surprise !
Au moment d'ouvrir la porte, elle entendit de façon ténue une voix qui chantait accompagnée d'une vielle.

Cali s'installa sur une chaise pour écouter Florelanne chanter, émue malgré elle par les paroles. A la fin de la chanson, elle la rejoignit .


C'est très beau et émouvant ce que tu viens de chanter , Flore .
Euh.. j'étais passée pour afficher quelque chose. Tu vas être une des premières à pouvoir la lire.
Cali sourit en regardant ce qu'elle tenait dans sa main.

Aller zou! Tataaaammmmmmm !


Elle déroula le parchemin et le mit sur le mur à la suite des autres textes et poèmes déjà affichés.




Bordaag
Bordaag, voyant La Caverne se faire décorer de la sorte décida d'apporter son petit grain de sel:

Et voilà une petite citation amusante pour nos soldats:

Les petites filles aiment les poupées.
Les petits garçons aiment les soldats.
Les grandes filles aiment les soldats.
Les grands garçons aiment les poupées.
[Anonyme]
Florelanne
Florelanne entra apres Bordaag , elle lut sa citation, sourit...

Elle prit sa vieille et se mit à chanter ce qu'un soldat lui avait raconté .

" J'ai le coeur au rez de chaussée
J'arrive plus à remonter
C'est rien qu'un chagrin d'amour
Ca arrive tous les jours

J'suis allé voir dans les bars
Où l'on allait certains soirs
C'est pas parce que j'veux la voir
C'est just' que j'aime boire

Salle des pas perdus,
Je l'ai attendue,
Soldat d'amour inconnu
Salle des pas perdus
J'ai attendu
Je n'en peux plus ,
T'es pas venue
Suis comm' un chien dans la rue

Jai le coeur en plein hiver ,
J'suis jamais assez couvert,
C'est rien qu'une p'tit misère ,
Une fièvre passagère.

Salle des pas perdus,
Je l'ai attendue,
Soldat d'amour inconnu
Salle des pas perdus,
J'ai fait des pas tant que j'ai pu,
Est ce que vous l'avez vue?...
Pas vue ... pas vue...
Bon ,merci, n'en parlons plus!"

_________________
Florelanne de Rohy
Secrétaire d'Etat



--Julien.le.livreur
Un jeune gamin d'une dizaine d'années entra en titubant en taverne. Pas plus haut que trois pommes et ce qui frappait le plus chez lui était sa chevelure de couleur rousse et sa seule dent restante en avant que l'on ne voyait que lorsqu'il souriait. Il venait livrer un paquet spécial. Il regarda partout et ne vit personne. Il se mit alors à crier:

-Bonzour, y'a quelqu'un, ze cherche Mame Cali, zé un paquet pour elle.

Il tapotta du pied pendant quelques instants sans que personne ne se présente. Il perdit patience et cria a nouveau:

-Ze repete, ze cherche Mame Cali, zé un cadeau pour elle. Zé pas zuste ca a faire auzourd'hui

Ne voyant toujours personne il commenca a fouiller un peu dans l'espoir de trouver des bonbons.

-Bon il dois bien avoir des bonbons ici, mais où...oh et puis zut de rezut et flute de reflute...z'attendrai pas ici toute le zournée. Ze vais laisser le paquet ici et qu'elle s'arrange cette Mame Cali.

Il regarda une choppe de biere a moitié vide et la vida d'un seul coup ce qui lui donna le hocquet.

-*Hips*, c'est que ca donne *hips* soif de travailler *hips* aussi fort,*hips*!!!! Bon allez un dernier *hips* coup. Mame Cali ze m'en vait *hips*, z'ai un paquet qui pue *hips* pour vous, ze crois que ce sont *hips* des fleurs. Du moins *hips* *hips* ca pue comme des fleurs *hips*

Il déposa le paquet sur une table et se dirigea vers la porte en titubant un peu. Il se tenait sur tout ce qu'il trouvait sur son chemin, chaise, table et autre.

-Ouep, cette choppe était de trop...
Cali
Cali était heureuse. Elle venait d'avoir des nouvelles de Sandino qui lui avait fait parvenir une histoire qu'elle comptait mettre à la caverne . Le rouleau de parchemin sous le bras, elle entra et découvrit un petit rouquin déambulant entre les tables et les chaises avec un air hébété .

Le temps de poser son rouleau sur le comptoir, le gamin arriva vers elle.... ou plutôt... rejeta vers elle ce qui avait du être son dernier repas... une soupe à l'ail sans doute vu l'odeur.
Heureusement, entraînement à la légion oblige, Cali très agile échappa au retour du Jet d'ail^^ mais rattrapa l'enfant avant que sa tête ne vienne cogner le sol.


holà ! Ou comptes tu aller comme ça toi? Regardez moi cette mine!! Petit, tes yeux roulent comme des billes.

Tiens, viens t'asseoir ici, tu ne tiens pas sur tes guibolles .

Et si tu me racontais ce que tu fais ici et ce qui t'a mis dans un tel état?
--Julien.le.livreur
Le gamin regardait la dame qui se tenait devant lui, il ne la connaissait pas mais lui fit confiance et alla s’asseoir pres d’elle. Il regarda la dame et se mit a se frotter les yeux.

Et si tu me racontais ce que tu fais ici et ce qui t'a mis dans un tel état?

-*hips* Merci Mame, ze suis Zulien, pas *hips* Zulien avec un Z mais Zulien avec un *hips* J. *hips* *hips* Ze suis livreur et on m’a demandé *hips* de venir porter ce paquet a Mame Cali.

Il reprit son souffle et continua de regarder la dame qui se tenait a ces côtés.

-Zut vous n’auriez *hips* pas un fond de choppe a me donner *hips*, z’ai encore soif. Au moins *hips* ze ne serai pas venu pour *hips* rien, z’attends *hips* depuis longtemps et pas de Mame *hips* Cali. Ze me suis donner *hips* un pourboire en finissant la choppe *hips* là-bas, ca porte *hips* bien son nom, un pourboire.

Il éclata de son rire d’enfant en prenant la peine de montrer la seule dent qu’il avait en bouche. Par la suite il se frotta les yeux et manqua tomber de son tabouret mais se ressaisit a temps.

-*hips* Dites ze ne sais pas qui *hips* vous êtes mais dites a votre sœur zumelle d’arreter de bouzer *hips* car ze crois que mon petit dézeuner pourrait vouloir *hips* revenir par ou il est entré *hips* *hips*.
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