_yoshimasa_ashikaga_
Comme toujours tel à son habitude, bras croisés, épaule appuyée contre un quelconque mur, l'oreille au aguets. Son visage habituellement aux traits fins portait encore les marques de son dernier combat mais son expression impassible y demeurait toujours. Cependant elle ne s'ennuyait point. Pas qu'elle eut envie de rire non plus. Ses douces lèvres meurtries ne se livraient guère à un sourire. Ce qu'elle voyait ne lui donnait guère à rire. Et son féroce regard étincelait, métallique. Il n'avait lâché Saruta jusqu'à ce qu'il s'éclaire à la vu de Silimaure, car elle ne su qu'il se donnait le nom de Mejii que lorsqu'il se présenta.
Bien des choses avait-elle remarqué que peut-être les autres ne voyaient. Tokagarusan qui se devait être tête de liste semblait pourtant ne plus élever la voix et diminuer devant Saruta qui n'était rien mais influençait en se donnant des airs, que fausseté tout cela et ils se faisaient avoir. Oui, l'étranger fermait la bouche comme si Saruta lui avait intimé de se taire car ayant déjà trop aggravé leur situation. Puis Silimaure se venant tel un sauveur puis reculant sans d'autres intervention, lui aussi manipulé. Saruta l'avait du encore flatter de belles manière mais il ne voulait pas se mouiller. Et Saruta... Saruta... Le pauvre Saruta qui si esseulé s'en venait répandre sa jalousie pour se faire remarquer devant même ses ennemis.
Elle soupira devant les paroles de ce dernier. Ce n'était plus même du mensonge, mais une tentative désespérée de faire bonne figure. Scrutant son visage, elle se demandait s'il avait envie de pleurer. Yoshimasa eut soudainement pitié et un peu honte, elle devait l'avouer. Honte de venir rabaisser un homme qui pataugeait déjà bien assez dans ses propres excréments cependant c'est lui qui venait provoquer les railleries, pourquoi adoptait-il se rôle d'enflure? Il se démarquait, cela en était certain mais tout être aspire à être apprécié, non? Non, peut-être pas tous... Il était trop tard pour lui. Sa mauvaise popularité avait dépassé les frontières d'Uchi. Après avoir échoué là bas, le voilà qui venait échouer en Oda.
Se redressant puis menant ses pas avec lenteur un peu plus vers le lieux, prenant chemin dans la foule et levant son regard vers le jeune garçon qui était Mejii, elle en ressenti de la peine. Non pas de la pitié mais de la peine. Le jeune homme, n'était encore qu'un enfant et il n'avait de cesse de se faire manipuler, trop influençable, innocent. Il lui manquait des amis loyales et véritable se disait-elle au fond d'elle même. Son regard fut alors attiré par son voisin. Le poil de carotte qui cachait tant bien que mal ses mèches sous un sugegasa et surement ses taches de rousseurs derrière l'éventail. Elle s'était posté tout près et alors qu'elle abaissa son regard vers Takusi, elle souffla entre ses lèvres sans approcher son visage, des mots qui se portèrent qu'a sa seule oreille.
- 'San, Ne vous quiétez de rien. Personne ne croit à ses fadaises et il est bon que vous fassiez barrage en tenant votre position.
Elle inclina fort légèrement la tête, elle appréciait cet hurluberlu. Laissant celui-ci à ses bonnes amies, elle redressa le menton et en interpela un autre qui manipulait pantins pour uvrer à sa place dans ses actes de lâcheté.
- Silimaure! Mejii que nenni. Tu reste Silimaure, usurpateur du nom de l'Emepreur. Hai, tu me reconnais. Étonné de me voir mon gars? Te voilà encore sous l'emprise de Saruta... Hm. N'était-ce pas assez qu'il te poussa au méfait à Kokura pour qu'encore il t'utilise et que tu ne sois seul accusé?! Mon enfant, si tu souhaite uvrer et te racheter ne le fais guère à son coté de crainte que sa main traitre ne te poignarde à nouveau. Tu as fauté Silimaure, en cela le grand honneur du seppuku ne te reviens même pas. Si tu n'es capable de cela au moins devrais-tu ne pas mentir à ton propre peuple et regretter le mal que tu as fait quand bien même que tu y fus poussé.
Elle jeta un il méprisant à Tokagaru-san quelle considérait même pas digne de recevoir sa conversation craignant quil ne la souille même de par sa bizarrerie.
- Et comment te joindre à un étranger au visage si gras et si étrange? Comment cet homme venu de nul part ose prendre part à la gouvernance d'un pays qui n'est pas sien?! Laisseriez-vous faire cela? Nous n'avons besoin d'une face de poulpe à l'accent féminin dans notre régime nippon. Ses cris de fillette ont assez blessé nos oreilles!
Faisant maintenant silence, restant droite, avant bras posé négligemment sur le pommeau de son Tsurugi et sa dextre tenant sa ceinture de cuir, 'Shima était parfaitement à l'aise au milieu de tous et face à ces hommes. Elle n'avait crainte d'eux et avait déjà prouvé qu'elle parlait peu, parlant que pour mettre les hypocrites au devant de la vérité et ne se perdant en paroles inutiles, elle était une des seules à oser mettre sa vie en danger. Elle, femme au milieu de ces couards qui se donnaient des figures nobliotte mais ils ne maîtrisaient que la langue menteuse. A ses yeux Akire du Clan des Lézards était plus francs dans vux fasse au peuple.
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Bien des choses avait-elle remarqué que peut-être les autres ne voyaient. Tokagarusan qui se devait être tête de liste semblait pourtant ne plus élever la voix et diminuer devant Saruta qui n'était rien mais influençait en se donnant des airs, que fausseté tout cela et ils se faisaient avoir. Oui, l'étranger fermait la bouche comme si Saruta lui avait intimé de se taire car ayant déjà trop aggravé leur situation. Puis Silimaure se venant tel un sauveur puis reculant sans d'autres intervention, lui aussi manipulé. Saruta l'avait du encore flatter de belles manière mais il ne voulait pas se mouiller. Et Saruta... Saruta... Le pauvre Saruta qui si esseulé s'en venait répandre sa jalousie pour se faire remarquer devant même ses ennemis.
Elle soupira devant les paroles de ce dernier. Ce n'était plus même du mensonge, mais une tentative désespérée de faire bonne figure. Scrutant son visage, elle se demandait s'il avait envie de pleurer. Yoshimasa eut soudainement pitié et un peu honte, elle devait l'avouer. Honte de venir rabaisser un homme qui pataugeait déjà bien assez dans ses propres excréments cependant c'est lui qui venait provoquer les railleries, pourquoi adoptait-il se rôle d'enflure? Il se démarquait, cela en était certain mais tout être aspire à être apprécié, non? Non, peut-être pas tous... Il était trop tard pour lui. Sa mauvaise popularité avait dépassé les frontières d'Uchi. Après avoir échoué là bas, le voilà qui venait échouer en Oda.
Se redressant puis menant ses pas avec lenteur un peu plus vers le lieux, prenant chemin dans la foule et levant son regard vers le jeune garçon qui était Mejii, elle en ressenti de la peine. Non pas de la pitié mais de la peine. Le jeune homme, n'était encore qu'un enfant et il n'avait de cesse de se faire manipuler, trop influençable, innocent. Il lui manquait des amis loyales et véritable se disait-elle au fond d'elle même. Son regard fut alors attiré par son voisin. Le poil de carotte qui cachait tant bien que mal ses mèches sous un sugegasa et surement ses taches de rousseurs derrière l'éventail. Elle s'était posté tout près et alors qu'elle abaissa son regard vers Takusi, elle souffla entre ses lèvres sans approcher son visage, des mots qui se portèrent qu'a sa seule oreille.
- 'San, Ne vous quiétez de rien. Personne ne croit à ses fadaises et il est bon que vous fassiez barrage en tenant votre position.
Elle inclina fort légèrement la tête, elle appréciait cet hurluberlu. Laissant celui-ci à ses bonnes amies, elle redressa le menton et en interpela un autre qui manipulait pantins pour uvrer à sa place dans ses actes de lâcheté.
- Silimaure! Mejii que nenni. Tu reste Silimaure, usurpateur du nom de l'Emepreur. Hai, tu me reconnais. Étonné de me voir mon gars? Te voilà encore sous l'emprise de Saruta... Hm. N'était-ce pas assez qu'il te poussa au méfait à Kokura pour qu'encore il t'utilise et que tu ne sois seul accusé?! Mon enfant, si tu souhaite uvrer et te racheter ne le fais guère à son coté de crainte que sa main traitre ne te poignarde à nouveau. Tu as fauté Silimaure, en cela le grand honneur du seppuku ne te reviens même pas. Si tu n'es capable de cela au moins devrais-tu ne pas mentir à ton propre peuple et regretter le mal que tu as fait quand bien même que tu y fus poussé.
Elle jeta un il méprisant à Tokagaru-san quelle considérait même pas digne de recevoir sa conversation craignant quil ne la souille même de par sa bizarrerie.
- Et comment te joindre à un étranger au visage si gras et si étrange? Comment cet homme venu de nul part ose prendre part à la gouvernance d'un pays qui n'est pas sien?! Laisseriez-vous faire cela? Nous n'avons besoin d'une face de poulpe à l'accent féminin dans notre régime nippon. Ses cris de fillette ont assez blessé nos oreilles!
Faisant maintenant silence, restant droite, avant bras posé négligemment sur le pommeau de son Tsurugi et sa dextre tenant sa ceinture de cuir, 'Shima était parfaitement à l'aise au milieu de tous et face à ces hommes. Elle n'avait crainte d'eux et avait déjà prouvé qu'elle parlait peu, parlant que pour mettre les hypocrites au devant de la vérité et ne se perdant en paroles inutiles, elle était une des seules à oser mettre sa vie en danger. Elle, femme au milieu de ces couards qui se donnaient des figures nobliotte mais ils ne maîtrisaient que la langue menteuse. A ses yeux Akire du Clan des Lézards était plus francs dans vux fasse au peuple.
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