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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Vanesfagg
Vanes qui était dans un coin de la salle regardait défiler les membres du conseil. Elle en profitait pour se réciter son discours.. Elle c'était déjà imaginé la scène et ça ne se passait pas très bien!! Chute.. Baffouillage... et autres... Lorsqu'elle revint à la réalité le gouverneur acceptait l'allégeance de Péné. Ne voyant personne s'approcher elle décida d'y aller. Elle s'agenouilla et prononça son serment

Moi, Vanesfagg, Dame de Pierrelatte, jure en ce jour, l'auxilium, l'obsequium et le concilium à sa Grâce Terwagne Méricourt, légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné ainsi qu' à travers elle au Dauphin de France et à sa Majesté Levan III de Normandie.
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Aliena.
Aliéna était dans la salle depuis un petit moment déjà. Elle avait regardé les conseillers ducaux prêter serment, et maintenant, c'était aux nobles de s'avancer. Quand vint son tour, elle s'approcha en souriant à Terwagne.
Elle ne savait pas trop pourquoi, mais elle éprouvait de la sympathie pour cette femme.
Elle s'inclina devant elle.


Moi, Aliéna, Dame de Lambres, fait serment d'allégeance au légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, Terwagne Mericourt et, à travers elle, sa majesté Lévan III.

Je jure aide, fidélité et conseil à mon suzerain le Lyonnais-Dauphiné. Mon soutien, ma lame et le bras qui la tient demeurent au service de notre duché et de son gouverneur, représentant du Dauphin de France, et à travers lui, à sa Majesté Levan III.

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Et Aliénor devint Aliéna ... une vraie lyonnaise
Terwagne_mericourt
Le jour des Dames d'abord, sans doute. Idée saugrenue, mais qui eut au moins le mérite de la faire garder son sourire en écoutant les deux allégeances suivantes. La première elle la connaissait pour avoir fait partie du même conseil municipal qu'elle, à Vienne.

Dame Vanesfagg, j’entends et accepte votre allégeance.
Soyez assurée de mon souhait de vous donner protection, justice et subsistance pour vos terres de Pierrelatte.


La seconde, plus le temps passait, et plus elle était certaine de l'avoir connue ailleurs, il y avait de cela tellement longtemps que les traits restaient flous. C'était étrange, parce que la seule fois où elle avait eu l'occasion de réellement échanger plus de trois mots avec elle, celle-ci n'avait absolument pas semblé se souvenir d'elle, ni de son nom. Un jour peut-être se souviendrait elle même avec plus de précision, mais pour l'heure il lui fallait se contenter d'accepter son allégeance à elle aussi, et c'est ce qu'elle fit.

Dame de Lambres, j'entends et accepte votre allégeance, et m'engage à vous donner protection, justice et subsistance pour vos terres.
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HRP : Absente du 14 juillet dans la soirée au 25 juillet.
Estalabou
Il était temps pour les nobles du duché de prester allégeance...
Le vieux Duck laissa passer les dames qui se trouvaient déjà dans la salle. N'en voyant aucune autre s'avancer, il se rendit devant le trône.

Plaçant son genoux à terre et sa main droite sur le coeur, il baissa la tête et pris la parole:


Nous, Estalabou de Vaucanson Dict le Baptisseur, Duc de Gap, Vicomte de Chandieu et de Tursan, Baron de Cauna et Seigneur de Mison jurons devant Aristote et les hommes, l'auxilium, l'obsequium, le concilium et allégeance à Nostre Duché du Lyonnais Dauphiné et par là même à son Gouverneur, sa Grâce Terwagne Mericourt, dame de Thauvenay ainsi qu'à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Nous jurons de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'accomplir nos devoirs envers nostre duché.

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[g]En Deuil[/g]

Duc de Gap, Vicomte de Chandieu, Vicomte de Tursan, Baron de Cauna, Seigneur de Mison
Aliena.
Le Gouverneur accepta son allégeance, et Aliéna se redressa.
Un dernier sourire à Terwagne, puis elle chercha des yeux son fiancé, afin de rejoindre pour attendre la fin de la cérémonie.

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Et Aliénor devint Aliéna ... une vraie lyonnaise
Arwel
Cela faisait des jours voire des semaines qu'Arwel se demandait ce qu'elle ferait si ce jour maudit devait arriver... Regardant ses armes ce matin-là, repensant à sa devise, "Ne crains pas de faire ce qui est juste", celle que Phelim lui avait suggérée, la solution s'était imposée à son esprit... Oui, elle se rendrait à cette cérémonie et elle ferait ce qui lui semblerait juste... Avant de partir, elle s'apprêta avec soin... Sa dernière apparition officielle en tant que Duchesse de Clérieux... Elle serait donc inoubliable... Elle revêtit une robe bleue rappelant le blason de son futur ancien fief... Elle l'agrémenta d'une ceinture dorée légèrement soyeuse dont les reflets chatoyants jouaient avec la lumière... Elle coiffa longuement sa longue chevelure brune et l'orna de rubans bleus et or... Quelques gouttes d'essence de rose... Elle était prête, il ne restait plus qu'à se rendre à la cérémonie d'allégeances... Elle passa une cape bleue sur ses épaules, sortit de l'auberge où elle résidait depuis la veille en vue de l'événement et se rendit aux écuries où elle avait demandé à ce que sa monture soit prête dès qu'elle désirerait partir... Elle avait roulé la patente du Duché de Clérieux et l'avait placée juste à côté de son coeur... Chevauchant tranquillement vers Pierre-Scize, la Duchesse songeait à la portée de ce qu'elle s'apprêtait à faire... Les paroles de Nyna à l'Assemblée Nobiliaire tournaient dans sa tête... "Beaucoup se plaignent ici mais peu agissent selon leurs convictions..."

"Ne crains pas de faire ce qui est juste, Arwel... Courage... Tu vas y arriver..." Ainsi s'encourageait-elle alors qu'elle voyait le château s'approcher... Cela serait bientôt terminé... Toute cette histoire ne serait plus qu'un mauvais souvenir... Les sabots de son cheval claquaient sur les pavés de la cour du château... Combien de fois avait-elle déjà emprunté ce chemin alors qu'elle était gouverneur ? Un léger pincement au coeur alors qu'elle descendait de sa monture... Elle la confia à un des nombreux valets de Pierre-Scize, se dirigea vers la grande porte du château, salua d'un signe de tête les gardes et prit la direction de la salle d'allégeances, tentant de maîtriser les battements désordonnés de son coeur... Ce n'était pas le moment de flancher... Il fallait tenir bon... Et ensuite, elle serait libre d'épouser l'homme qu'elle aimait... Qu'était un Duché à côté du bonheur qu'elle vivait auprès de lui depuis deux ans ? Rien et tout... Mais elle n'aspirait plus qu'à ce mariage ces derniers temps... Elle voulait être sa légitime épouse avant que sa grossesse soit une évidence pour tous... avant qu'Aristote décide de la punir à nouveau de porter un enfant hors mariage... Rien ne trahissait encore le futur heureux événement...

Voilà, elle était devant la porte... Ses mains tremblaient légèrement, son coeur battait la chamade... Elle devait se reprendre... Il ne serait pas dit que sa dernière apparition en tant que Duchesse de Clérieux la verrait faible et tremblotante... Elle inspira profondément et se décida à pousser la porte... Il n'y avait plus aucune trace de son émotion lorsqu'elle mit les pieds dans la pièce... Le Duc de Gap se trouvait devant le trône... La vue de celle qu'elle considérait comme une usurpatrice la renforça dans sa décision... Le port altier, Arwel ôta délicatement sa cape et la posa sur le premier siège libre qu'elle trouva et attendit que Terwagne ait répondu à l'allégeance d'Estalabou et que ce dernier se soit retiré pour se diriger vers le trône...

N'ayant cure des regards qui la suivirent lors de sa progression, la Duchesse de Clérieux posa tout d'abord son regard émeraude sur Dauphiné, la gratifiant d'un doux sourire, puis se tourna vers la Dame de Thauvenay, la toisant d'un regard indifférent... D'une voix calme, elle s'adressa alors à elle, ne prenant pas la peine de s'agenouiller, vu qu'elle savait déjà qu'elle ne prêterait pas allégeance...


Sachez Dame que j'avais beaucoup de respect pour votre engagement envers le Lyonnais Dauphiné et pour votre travail jusqu'à ce qu'on m'apprenne que vous vous serviez de votre fonction de Présidente du Comité des Fêtes Ducales à des fins politiques, preuve à l'appui... jusqu'à ce que vous mentiez et au Conseil Ducal et au Comité des Fêtes au sujet de cette preuve... jusqu'à ce que pour vous défendre vous ayez tenté de mettre en doute ma bonne foi et ma probité...

Pour cette raison et parce que votre élection au poste de Gouverneur du Lyonnais Dauphiné est la conséquence de l'odieuse tentative d'assassinat qui a été perpétrée à l'encontre du Capitaine Thiberian,

moi, Arwel, Duchesse de Clérieux, dicte La Bienveillante, en mon âme et conscience, refuse de vous reconnaître comme légitime Gouverneur du Lyonnais Dauphiné... Mon allégeance au Lyonnais Dauphiné reste la même, c'est donc à lui que je jure fidélité, aide et conseil et à travers lui, à sa Majesté, le Roy Levan III... Qu'Aristote soit témoin que mon soutien indéfectible reste acquis au Duché du Lyonnais Dauphiné, ainsi qu'à ses habitants...


La jeune femme resta un instant devant la Dame de Thauvenay, imperturbable, alors qu'elle venait de balayer d'un revers de la main la moitié de sa vie en Lyonnais Dauphiné... Elle porta alors la main à son coeur pour prendre la patente dans le décolleté de sa robe, afin de pouvoir la remettre ensuite entre les mains de Dauphiné... Mais avant de le faire, elle attendit la réaction de Terwagne... Il eût été inconvenant de sa part de ne pas écouter ce qu'elle avait à lui répondre... Si tant était qu'elle eût quelque chose à répondre...

[Edit des paroles de Wel...]
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Maccornell
Pour la deuxième fois de son histoire en moins d'un an, le Lyonnais-Dauphiné venait d'être marqué par le refus d'un vassal de reconnaître le Gouverneur. La première fois, c'était le doyen des Seigneurs des lances de l'époque qui avait refusé de reconnaître Pénélope comme gouverneur, mettant ainsi fin à une parodie qui se perpétuait depuis plusieurs mois: des seigneurs reconnus dans le Duché mais pas au-dehors.

Cette fois, lorsque le Dame de Clérieux passa à l'action, on accédait à un stade supérieur d'affront. La duchesse qui semblait savoir ce qu'elle faisait ne reconnaissait pas la Gouverneur. Le poursuivant d'armes ne pût s'empêcher de sourire au fond de lui en repensant aux cris et devises des deux dames: "Tout sauf subir" et "Y a bien pire que mourir" contre "Ne crains pas de faire ce qui est juste"... Cela était révélateur des personnalités des protagonistes qui animaient la cérémonie des allégeances.

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Coppensbe
Nous, Coppensbe, Duc d'Albon, jurons devant Aristote et les hommes, l'auxilium, l'obsequium, le concilium et allégeance à Nostre Duché du Lyonnais Dauphiné et par là même à son Gouverneur, sa Grâce Terwagne Mericourt, dame de Thauvenay ainsi qu'à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Nous jurons de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'accomplir nos devoirs envers nostre duché.
Pathan
Encore une fois, Pathan arrive avec un peu de retard a la cérémonie, il se presse donc pour ne pas la raté. C'est donc avec un soulagement qu'il vit son ami devant le gouverneur.

Ouf il n'est donc pas trop tard, et puis il y a pire que de passer après un Duc.

Il s'avance a son tour et mets un genoux au sol.


Moi, Pathan, Vicomte de Montluel, Major des Compagnies nobiliaires, renouvelle mon serment d'allégeance au Grand Duché du Lyonnais-Dauphiné et à son gouverneur, élu par et pour le Peuple, sa Grâce Terwagne Mericourt, dame de Thauvenay , et cela au nom du fief de Montluel qui nous a été octroyé en qualité de Vicomté.
A nouveau, je jure aide, fidélité et conseil à mon suzerain le Lyonnais-Dauphiné. Plus que jamais, mon soutien, ma lame et le bras qui la tient demeurent au service de notre Grand-Duché et de son gouverneur-régent, représentant du Dauphin de France, et à travers lui, à sa Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Terwagne_mericourt
Après avoir suivi un instant des yeux la demoiselle Aliena qui s'éloignait, la Gouverneur posa ceux-ci sur le Duc de Gap tout en écoutant son discours. Lorsqu'il eut terminé, elle prit à nouveau la parole, pour lui répondre.

Votre Grâce, j'accepte votre allégeance et m'engage à vous fournir protection, justice et subsistance pour vos terres vassales de la Couronne du Lyonnais-Dauphiné.

La scène qui s'en suivit, avec l'arrivée de celle que l'on appelait la bienveillante, resterait sans doute longtemps gravée dans certaines mémoires n'ayant rien de plus important à garder, mais rien n'était moins sûr concernant les souvenirs que Terwagne garderait de ce jour. Un regard indifférent de part et d'autre, tout comme l'était ses pensées à l'égard de la Duchesse dont elle avait connu le meilleur lors de son premier mandat de Gouverneur, et le pire lors de son second mandat sur le même trône. Souvenir de la réflexion qu'elle s'était faite lors du second mandat au sujet des changements profonds que pouvaient avoir sur l'être humain et son caractère l'illusion de pouvoir et la fierté imbécile. Elle avait eu bien du mal à reconnaitre dans ses attitudes et ses propos celle qu'elle-même avait respectée et admirée quelques mois plus tôt...

Regard indifférent, oui, tout comme l'aurait sans doute été son état d'esprit en écoutant ses propos, si d'aventure elle n'avait soudain pensé à celui qui faisait battre le coeur de la Duchesse, enfin l'un des deux si l'on en croyait les rumeurs. Mais qu'importaient les rumeurs? En les écoutant trop, on en arrivait rapidement à croire que le Vicomte d'Ancelle était l'amant de sa nièce, et peut-être même le géniteur du futur descendant des Cornedrue, qu'elle-même ne quittait son bureau le soir qu'après en avoir éprouvé la résistance en compagnie du Porte-Parole, ou encore que le Procureur et le Juge jouaient au tarot pour décider d'un verdict lorsque leurs avis divergeaient. Il paraissait même que le sieur Kernos avait été jusqu'à ôter des cartes hors du jeu pour être sur d'avoir le dessus, à défaut de voir les dessous. C'était bien pour ça que dans les rangs des Gones se trouvait l'Evêque de Dié, afin de permettre aux deux monstres de luxure qu'étaient le Gouverneur et leJuge, sans oublier l'ancienne Capitaine Pénélope, de pouvoir se confesser.

Mais trêve de ragots en tous genres, la Gouverneur eut donc une pensée aussi subite qu'hors propos pour le sieur Mirandor. Hors propos? Pas tant que cela, au fond... Tout le Duché savait depuis des lustres et des cierges - cierges qui disparaissaient étrangement depuis plusieurs jours des réserves du Castel de Pierre-Scize justement, peut-être parce que certains tentaient de tenir la chandelle - que la Bienveillante se lamentait d'être noble quand son éternel fiancé ne l'était pas, à moins que ça soit l'inverse qui la fasse se lamenter.

Dans un cas comme dans l'autre, elle ne pouvait pas épouser Mirandor, et il apparut alors à Terwagne que l'explication de la scène qui se déroulait devant elle était des plus limpides... Arwel venait donc de trouver la solution pour avoir l'air de renoncer à sa noblesse par conviction politique plutôt que par envie de sauver son âme du pêché. Apparence quand tu nous tient!

Sourire de compassion qu'elle eut bien du mal à retenir, au fond, elle la laissa terminer son discours qui respirait quelque peu le monologue répété devant une glace avant de monter sur les planches. Second sourire, un peu moins retenu celui-là, ému même, en se disant qu'au fond si elle n'admirait pas la façon dont sa vis à vis avait décidé de trouver excuse de façade à son renoncement à la noblesse, elle admirait en tous cas son choix entre l'amour autorisé et les titres de noblesse. Oui, sur ce coup-là, la Duchesse lui en bouchait un coin, il faut bien l'avouer. Elle ne l'aurait pas pensée aussi sentimentale et amoureuse, femme de coeur avant femme de titres. Comme quoi, on est parfois bien surpris par ce qui se cache derrière la façade des autres.

Lorsque celle-ci eut terminé, sans la quitter des yeux, elle lui répondit, d'une voix neutre.


Dame Arwel, une fois de plus vous mélangez mes propos, j'ai affirmé au Conseil Ducal que la preuve que vous exibiez était un faux qui vous avait été fourni par une personne mal intentionnée, sauf si la "transformation" de mon courrier privé - que soit dit en passant vous n'aviez aucun droit d'exhiber - était survenue après que l'intriguant vous l'aie fourni sans aucun droit de le faire. Cela je ne suis pas en mesure de le dire. Concernant mes dires au sein du Comité des fêtes, je vous avoue que je serais bien curieuse de savoir comment ils sont revenus à vos oreilles, puisqu'il ne me semble pas que vous en ayez fait partie un jour, et que ces lieux ne sont pas ouverts aux externes, quand bien même ils sont conseillers ducaux. Quoi qu'il en soit, vous me prouvez que j'avais raison en vous disant que vous mélangiez politique et festivités qui sont apolitiques... Puisque vos poursuivants ont quitté conseil ducal et comité des fêtes ducales le même jour.

Pour le reste... Conséquence, sans doute oui. La théorie de l'effet papillon... Peut-être un jour comprendrez-vous que "conséquence" ne veut pas dire "cause", dans tous les cas, et ce en tous domaines.

Pour ma part, ce que je retiendrai de vos propos de ce jour, et de votre décision de rennoncer à vos titres, puisque vous faites bien le choix, qui me semble réfléchi, de ne pas faire serment d'allégeance et d'hommage complet, ne me donnant par là-même pas la possibilité d'accepter un hommage non fait et donc pas celle de vous reconnaître dans vos titres, c'est que vous allez fort probablement pouvoir bientôt épouser l'élu de votre coeur. J'en suis heureuse pour vous, malgré tout, et vous souhaite à l'avance beaucoup de bonheur et nombreuse progéniture.


Regard un peu moins indifférent qui la suit lorsqu'elle s'éloigne, la Dame de Thauvenay ne pouvant s'empêcher de porter la main à son ventre déchiré et meurtri après avoir prononcé le mot "progéniture"...

Pas le temps de s'attarder plus sur cette douleur, puisque la personne suivante s'approche rapidement, et qu'il lui faut lui répondre, en reprenant un ton dégagé de tout sentiment personnel.


Duc d'Albon, j'entends et accepte votre allégeance, et vous octroie en retour protection, justice et subsistance pour vos terres.

Le ballet continuait, et elle répondit du même ton neutre, ses pensées honteusement tournées vers sa condition de femme et non de Gouverneur.

Vicomte de Montluel, j'entends et accepte votre allégeance, et vous promets à mon tour protection, justice et subsistance.
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HRP : Absente du 14 juillet dans la soirée au 25 juillet.
_aramis_
Jusque là adossé au fond de la salle, Aramis s'en détache, et s'avance vers Terwagne.

Parvenu à sa hauteur, il pose un genou au sol, et prononce les phrases consacrées..


"Moi, Aramis, Vicomte de Saint Priest, jure devant Aristote et les hommes, l'auxilium, l'obsequium, le concilium et allégeance à Nostre Duché du Lyonnais Dauphiné et par là même à son Gouverneur, sa Grâce Terwagne Mericourt, dame de Thauvenay ainsi qu'à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Je jure de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'accomplir mes devoirs envers notre duché."


Il se relève, et avant de céder la place, lui murmure..

"Courage !"
Ka_devirieux
Juste avant la cérémonie, Ka avait eu une discussion rapide avec Hardryan au sujet de ce qui le tracassait. Il fût un peu rassuré, mais nombreux furent les doutes qui subsistaient en son esprit. Il se dit qu'après tout, l'on verrait bien à l'autopsie. Et en attendant il continuerait de faire des bonds à s'en cogner la tête au plafond.

De sa chaise il avait observé le déroulement de la cérémonie. Les conseillers ducaux ouéé comme d'hab, puis les nobles et seigneurs des lances confondus. C'était souvent lors de ce long moment que survenait parfois des évènements. Tout se déroulait pour le mieux, c'est alors que la Duchesse de Clérieux traversa la pièce pour à son tour s'accomplir et refusa alors de preter son allégeance. Fier-Barbe leva alors les yeux au ciel. Si au moins c'était pour une raison juste, il en aurait presque pu être admiratif. Mais n'habitait ici qu'encore que cet esprit rancunier et stupide, ce même esprit se plaisant à accoler étiquettes et procès d'intention à tir lariguette dont nombreux devenaient ceux à se mettre malheureusement..."à la mode".

Las de ces couillonades redondantes, et ne sachant plus vraiment en cette pièce à qui il pouvait encore faire confiance ou quand bien même admirer le caractère, à l'exception de quelques uns, il se leva dès qu'il y eut un créneau pour lui, s'avança vers le trône du Gouverneur et posa le genou au sol. Nul fioriture verbale, nul blabla inutile, il se contenta de prester son serment, le regard las et fatigué sur celui du Gouverneur.


Nous, Ka Devirieux, Vicomte de Savines et Seigneur de Saint-Véran, jurons devant Aristote et les hommes, l'auxilium, l'obsequium, le concilium et allégeance à Nostre Duché du Lyonnais Dauphiné et par là même à son Gouverneur, sa Grâce Terwagne Mericourt, dame de Thauvenay ainsi qu'à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Nous jurons de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'accomplir nos devoirs envers nostre duché.

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Helsinki
Helsinki était depuis un moment dans la salle observant ceux qui se disaient nobles, enfin ils en faisaient partie. mais que penser d'eux si ne n'était que des faux C. qui adoraient les faux semblants.
Ils voulaient tous briller plus haut que le firmament et se seraient battus entre eux pour avoir l ameilleure place mais la politique est dure à comprendre pour un pauvre villageois de Lyon.


Il vit messire Ka de Virieux s'avancer et il se dit que son tour était venu.


Nous, Helsinki saigneur des lances de Lyon, seigneur d'Ecully jurons devant Aristote et les hommes, l'auxilium, l'obsequium, le concilium et allégeance à Nostre Duché du Lyonnais Dauphiné et par là même à son Gouverneur, sa Grâce Terwagne Mericourt, dame de Thauvenay ainsi qu'à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Nous jurons de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'accomplir nos devoirs envers nostre duché.
Terwagne_mericourt
Si toute trace de sourire semblait avoir disparu de son visage depuis un certain temps à présent, son regard lui se fit légèrement souriant, ou en tous cas chaleureux, au moment où la personne suivante s'approcha et fit son allégeance... Aramis! Aramis sur qui LaVoyageuse lui avait demandé de veiller avant son grand départ. Sa voix se fit émue, lorsqu'elle lui répondit.

Vicomte de Saint-Priest, j'entends et accepte votre allégeance, et m'engage à vous fournir protection, justice et subsistance pour vos terres.

Son murmure à lui, elle y répondit par un regard quelque peu complice, que sans doute Kernos n'aurait pas apprécié, mais elle fut incapable de s'en empêcher, avant de laisser échapper un inaudible "merci" qu'il dut se contenter de lire sur ses lèvres.

Ensuite? Ensuite le Vicomte de Savines... Regard las de son côté à lui, regard rempli de regrets silencieux de son côté à elle. Elle se doutait qu'il ne comprenait pas certaines de ses positions, mais avait-elle réellement eu le choix? Chassant plus loin cette pensée, elle lui répondit, d'une voix soudain lasse elle aussi.


Vicomte de Savines, j'accepte votre allégeance et vous octroie protection, justice et subsistance pour vos terres.

Arriva ensuite un Seigneur des Lances, qu'elle ne connaissait que de nom au fond, auquel elle répondit sur le même ton, la main toujours posée sur son ventre, sa tête prenant un peu plus appui sur le dossier du siège qu'elle occupait.

Seigneur des Lances Helsinki, j'entends et accepte votre allégeance, et vous baille en retour protection, justice et subsistance pour vos terres.
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HRP : Absente du 14 juillet dans la soirée au 25 juillet.
Feanaro56
Florian avait fait un long chemin pour venir jusqu'ici. Il avait juste eu le temps de faire un rapide passage vers le castel de Neuville pour se changer et se sustenter.
Il revenait donc tout juste de Rome ... Il préféra mettre toute cette affaire de coté lorsqu'il entra dans la salle ou le conseil ducal et les nobles de ce duché s'étaient réuni pour les allégeances. Les nobles s'agenouillaient encore les uns après les autres, il attendit un peu et s'avança à son tour.
Si il était là aujourd'hui, c'était bien sur pour prêter allégeance mais aussi pour débuter une nouvelle vie si on pouvait dire ça ainsi.

Il poussa légèrement de coté son épée avant de s'agenouiller devant le trone.


Nous, Florian de Barsac, Seigneur de Neuville de Saone, jurons devant Aristote, l'auxilium, l'obsequium, le concilium et allégeance à Nostre Duché du Lyonnais Dauphiné et par là même à son Gouverneur, sa Grâce Terwagne Mericourt, ainsi qu'à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.
Nous jurons de servir au mieux les intérêts du Lyonnais-Dauphiné et d'accomplir nos devoirs envers nostre duché.
Nous tenons notre épée à disposition de notre duché.


Il releva légèrement la tête en attendant que le gouverneur accepte son allégeance.
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Florian de Barsac
Seigneur de Neuville sur Saone.
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