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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Shinji
Shinji, qui passait par Lyon pour rejoindre le collège de Saint-Louis de France, s'arrêta au château pour rendre hommage au nouveau gouverneur élu. Une fois sur place, dès qu'il le pu, Shinji se dirigea vers le gouverneur et dit ces mots :


Moi, Shinji de Kiriyama, Seigneur de Bocsozel, avocat du dragon jure devant Aristote, fidélité au légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, Messire Ka Devirieux, représentant du Dauphin de France, et à travers lui, à la Couronne de France.

Je fait serment de fidélité, je jure aide et service armé, et conseil au nouveau Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné.


Puis Shinji se releva, salua le Gouverneur puis pris la route vers Paris.
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Helsinki
Helsinki arriva en salle d'allégeance.
Silencieux il se mit dans un coin , attendant que ce fut au tour des seigneurs des lance de prêter serment.
La noblesse pouvait s'avancer. Il préférait avant de s'avancer observer les allégeances.
Ka_devirieux
Voilà donc Ka avait ouvert le bal pour la noblesse. Qui serait donc le premier à s'avancer? Et bien question rapidement élucidée vu que le Baron de Bourdeaux ne perdit pas un instant.

Ka observa l'homme et écouta son serment. Son sourcil gauche se releva à entendre les dires de l'homme...la garde ducal Alynérion? Y'en avait combien des Alynérion à la fin?


Baron de Bourdeaux et Seigneur de Pusignan, j'accepte vostre serment et vous jure en retour protection, justice et subsistance. Par contre voilà encore une de nos institutions qui se voit affublée de ce nom...? N'était-ce pas les compagnies nobiliaires qui sont dites Alynérion? Enfin bref nous ne sommes là pour nous étendre sur cela, mais je pense que si cela concerne le débat en cours au conseil ducal, je vous conseillerai de le relire, il ne s'agit point de la garde ducale...

Lorsque leur échange fût terminé et que le Baron se retira, le Gouverneur observa alors la rectrice de l'université qui s'avançait à son tour.

Dame de Saint-Prigent, j'entends et j'accepte vostre serment d'allégeance en ce jour. En échange, protection, justice et subsistance vous sont promises pour vos terres!

Au tour donc du Messire Shinji qui approchait donc croisant Ulan.

Messire Shinji de Kariyama, votre allégeance est acceptée est entendue. Ben oui parfois il retournait ses phrases, comme ça ça donnait l'impression de pas répéter toujours le même. Je vous promets protection, justice et subsistance pour les terres de Bocsozel.

Petit signe de la tête alors pour lui signifier qu'allégeance était faite.
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Cecilia
Restée au fond de la salle jusqu'à présent, la jeune femme s'avança jusqu'au Gouverneur après avoir salué d'un mouvement de la tête son cousin Antoine Honoré. Effectuant une légère révérence aussi gracieusement que possible, elle trouvait l'exercice quelque peu difficile ce jour au vu de son ventre arrondit. Plus que quelques mois et l'enfant montrerait le bout de son nez.

Veuillez nous pardonner de ne point nous agenouiller Vostre Grasce mais nous craignons de ne guère pouvoir nous relever.

La jeune femme à défaut de pouvoir s'agenouiller posa ses mains sur son ventre tout en baissant les yeux en signe de respect.

Nous, Cecilia von Wittelsbach-Frayner d'Amilly, Duchesse Souveraine de Romarimont et de maintes autres terres, au nom de notre bien aimé époux, Bastien d'Amilly, reconnaissons Sa Grasce Ka Devirieux comme Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et lui prêtons serment.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) pour nos terres de Laragne Montéglin et de Montauban d'Ouvèze.


N'étant guère au fait des us et coutume en France, la jeune femme ne savait si elle se devait de préciser que son lige allait à Sa Majesté, l'Empereur pour son Duché.
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[peu présente jusqu'à mi juillet]
Kernos
Aussi régulier que l'hiver tombant sur le monde à chacune de ses révolutions, que le jour succédant à la nuit et vice versa, voici qu'était venu le temps - non des rires et des chants (j'avoue, elle était facile celle là) - de renouveler son allégeance à la Couronne ducale et à son représentant du moment. Banalité? Habitude? Et bien non, cela n'en était pas une, car contrairement à ce que voudrait faire croire le rituel et ses sacro-saintes paroles convenues, le renouveau d'hommage n'était point monotone ni convention figée.

Premièrement, si on en croit Héraclite, on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Partant donc de ce principe, il est obligatoire que la scène qui se joue devant le trône ducal est à chaque fois différente, quand bien même vous prenez les mêmes acteurs et les remettez à la même place avec le même texte qu'à la dernière représentation, vous obtiendrez quand même des résultats différents... un bel exemple ici-même. Il y a seize mois environ, Kernos avait déjà prêté allégeance à Ka qu'on appelait alors "de Brugeliete" et qui représentait la liste du même parti politique que lui. Aujourd'hui, Ka était devenu Devirieux et avait été élu comme Gouverneur en tant que meneur d'un parti différent. De même, si c'était en tant que Seigneur de Glandage qu'il avait prêté serment, c'est en plus au titre de Baron de Mévouillon qu'il allait s'agenouiller devant le Gouverneur. Autre changement, à l'époque, le Rouvray était marié et attendait un heureux événements, maintenant il n'avait plus d'épouse - mais le coeur non point libre pour autant, puisque battant pour un nouvel amour - et portait le deuil d'un fils arraché beaucoup trop tôt à la vie... En bref, cela allait beau être les mêmes hommes qui se tiendraient face à face, tout deux avaient bien changé malgré tout.

Secondement, toujours dans le domaine des êtres et ce qui y a trait comme les sentiments et les ressentiments, depuis la première fois où il avait du faire serment en tant que Seigneur de Genay quand il occupait la charge de Seigneur des Lances de Die, Kernos s'apprêter à reconnaître comme suzerain son dix-neuvième Gouverneur. La fonction avait beau demeurer, cela en faisait des visages qui s'étaient succédés et avec eux les appréciations personnelles y étant liés... affection... amour... déception... indifférence... incompréhension... amertume... fierté... désaccord... le cortège des émotions humaines était bien fourni. On avait beau s'agenouiller et se répéter vu de l'extérieur, au fond de nous-mêmes, les choses étaient bien différentes et évoluées au fil du temps, des expériences, des rencontre et des personnes face auxquelles on se retrouvait.

Troisièmement, il y avait la conviction propre et la valeur que l'on donnait à ses gestes et aux paroles prononcées. La foi jurée... comme en matière de spiritualité, tout le monde n'a pas la même ferveur, sans compter que tous passent par des périodes de doutes, d'acédie, de renoncement ou de révolte... L'homme est ainsi fait, et comme là il s'agit de liens d'homme à homme, ceux-ci ne peuvent qu'être tourmentés et houleux au gré du temps et des circonstances.

Mais trêve de considérations philosophiques. L'important, c'était qu'il était là, à Lyon, en cette bonne vieille salle du trône du Palais ducal de Pierre-Scize, présent spirituellement et physiquement dans son costume noir au poitrail brodé du rouvre d'argent des Rouvray. La main sur le pommeau de son épée, le regard posé sur le visage pensif de la belle Porte-Parole du Lyonnais-Dauphiné. Terwagne... ô comme il aimerait être au conseil juste pour avoir la chance d'être auprès d'elle d'avantage encore, pour se tenir à ses côtés toutes cette journée cérémonieuse, au lieu de se retrouver au milieu des autres vassaux du Lyonnais-Dauphiné... Pensées bien égoïstes que celles-ci, mais que voulez-vous? les amoureux ont la fâcheuse tendance à oublier les convenances quand ils se retrouvent en présence de la source de leur passion... et la distance ne fait qu'aggraver cela.

Réfléchissant au fait que s'il allait s'agenouiller devant le Gouverneur il se retrouverait un peu plus près d'elle, au moins quelques instants, et que la journée passerait peut être un peu plus vite en prenant les devants sur l'action, il se résolue à avancer. Et c'est ainsi que Kernos Rouvray se retrouva aux pieds, non de sa dulcinée, mais du Fier-Barbe, le genoux ployé et le poing sur le coeur, pour faire entendre sa voix à l'assemblée.


Moi, Kernos Rouvray, Conseiller Militaire du Lyonnais-Dauphiné, Officier et Croix de l'Ordre de Sainct Georges par la volonté de mes pairs, reconnaît sa Grâce Ka Devirieux comme légitime Gouverneur du Duché du Lyonnais-Dauphiné et comme mon suzerain pour les terres de la Baronnie de Mévouillon et de la Seigneurie de Glandage qui me furent baillés en fief par ses prédécesseurs.

Je lui jure de ne point nuire à ses intérêts et à ses biens, de lui accorder mon aide et soutien par les armes, ainsi que de lui donner mon conseil et avis. Je jure de le servir et de lui garder ma foi et ma fidélité, et à travers lui à la Couronne ducale du Lyonnais-Dauphiné dont il est le représentant, gardien et défenseur.

Que le Très-Haut et saint Georges de Lydda m'en soient témoins! Mea robur est!


Puis, toujours à genoux, il attendit que son seigneur lui rende son serment sans quitter son regard du sien.
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Vanesfagg
Vanes se présenta devant le gouverneur et posa un genoux a terre.

Moi, Vanesfagg, Dame de Pierrelatte, jure en ce jour, l'auxilium, l'obsequium et le concilium à sa Grâce Ka Devirieux, légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, et à travers lui, à la Couronne de France.

Elle resta là un instant le temps que le gouverneur accepte son serment puis repris sa place dans la salle
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Ka_devirieux
Le seigneur de Bockozel venait donc de sortir de la salle d'allégeance que s'avança vers Ka une dame qu'il ne reconnaissait pas. Tiens donc, y avait-il encore un de nos feudataires exilé qui seraient décédé et dont l'enfant aurait hérité sans que l'on en prenne connaissance? Ka l'observa, curieux, et attendit d'entendre ses dires avant de s'exprimer.

Lorsque la dame s'excusa de ne pouvoir s'agenouiller, Ka acquiesça du regard pour lui signifier que ce n'était en rien grave. Suite donc à l'allégeance de la Dame, le Ka percuta qu'il s'agissait donc de la fameuse Cecilia qu'avait épousé son Chancelier mais dont il n'avait encore eu l'occasion de faire connaissance.


Dame, Nous entendons et acceptons en ce jour l'allégeance que vous me portez au titre des terres de vostre époux. En échange, nous jurons justice, protection et subsistance pour ces terres, et nous espérons que le Chancelier vous reviendra vite, victorieux, de la campagne en Savoie. Et avant que la Dame se retire, il se permit d'ajouter en lorgnant son ventre; Nous vous souhaitons toutes nos félicitations pour la progéniture Amilly à venir.

Peu de temps après s'avançait alors un des plus dignes représentant de la noblesse de la Province aux yeux de Ka. Kernos Rouvray. Force de réfléxion d'ailleurs il n'avait jamais pu s'expliquer pourquoi cet homme n'avait jamais engagé ses services en un ordre de Chevalerie au vu de la grande abnégation dont il faisait preuve en son "vivre noblement". Quoiqu'il en soit en fait s'était pas plus mal sinon le Duché aurait dû se passer de lui...Et les Devirieux aussi, Ka n'était pas sans oublier que c'était en partie grâce à Kernos qu'ils avaient pu retrouver le Duc de Chasteau-Queyras dans les geôles de l'inquisition.

Baron Kernos de Rouvray, en ce jour nous acceptons vostre allégeance, et renouvelons la promesse de protection, de justice, et de subsistance pour les terres de Mévouillon et de Glandage. Nous sommes certains que vous continuerez d'œuvrer avec autant de ferveur pour nostre Duché et que vous continuerez d'être un modèle du vivre noblement.

Et lorsque l'échange de serment venait de se terminer entre les deux hommes, Vanesfagg s'avança à son tour et fît à son tour son serment.

Dame de Pierrelatte, Nous entendons et acceptons vostre serment d'allégeance, et en échange vous promettons justice, protection et subsistance pour vostre Seigneurie.
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Guidel
La femme et l'enfant l'attendaient devant la salle des anoblissements et allégeances, accompagnés par le fidèle serviteur, ramené dans son sillage depuis l'Italie et la recherche de François de Macquart et d'Alienor d'Avencourt... Qu'il était déjà loin ce temps où de vassal de la vicomtesse il était devenu uniquement vassal de son duché qu'il affectionnait tant, malgré tous les visages fallacieux que l'on tentait parfois de lui donner...

Elle lui sourit et ne put réprimer à son tour un sourire... Puis son regard se posa sur Tristan... Tristan de Hoegaarden, son fils, bâtard comme il l'avait été dans son enfance... Les fils reproduisent les erreurs de leurs pères disait-on et lui imposait à son fils la même épreuve que celle qu'il avait lui-même subie étant enfant... La bâtardise. Mais peut-être était-il encore temps de réparer l'erreur.


Bonjour, baronne...

Tandis qu'il prenait la main de Tristan et donnait le bras à Antlia, après avoir simplement hoché la tête à l'attention d'Aouan, il lui répondit.

Bien... Allons-y, nous n'avons que trop tardé jusqu'à présent et le conseil semble s'être montré plus réactif qu'à son habitude...
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Lady_antlia
Bonjour Guy.

Elle inclina son port de tête légèrement, gardant ce léger sourire à sa vue. Apaisée, sentant un peu moins les douleurs de son corps.

Ses doigts se glissèrent sur son avant-bras délicatement, rappelant le temps où ils vivaient encore ensemble, et partageaient bien plus qu'un amour pour leur fils. Mais leur avenir s'était brisé un soir sur Lyon et depuis l'Etoile était devenue maîtresse d'un certain Vicomte. Elle avait tiré un trait sur cette vie qu'elle pensait possible: un mari, des enfants courant dans un chateau animé et gai. NOn l'Etoile avait ce voile terne de la résolution, une tristesse latente depuis son enlevement
Elle s'appuya peut être un peu plus qu'il n'aurait fallu sur son bras, mais elle ne se sentait pas bien sûre encore sur ses jambes.
Le "couple" et leur enfant s'avancèrent vers le pas de la porte d'allégeance puis entrèrent dans cette salle qu'elle n'avait vu depuis un an et demi: première allégeance en personne depuis un an et demi d'errance dans le Royaume de France avec la Licorne , ses frères et soeurs ...
Son visage se masqua en ce qu'il avait de résigné mais de doux, et ils s'avancèrent vers le nouveau Gouverneur de leur Duché.
Elle ne pu mettre genou à terre, mais s'inclina respectueusement devant lui, réprimant mentalement toute douleur ...



Moi, Antlia Kennedy, Chevalier Errant de l'Ordre Royal de la Licorne, Baronne de Grignan et Seigneur de Urre, renouvelle mon serment d'allégeance envers le Lyonnais et Dauphiné et envers son nouveau Gouverneur, sa Grasce Ka Devirieux,légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, et à travers lui, à la Couronne de France, devant Aristote et ses Hommes.

Son regard alors se planta dans celui de Ka, direct, franc, sans sourcillement et sa voix claire et forte continua alors:

Une fois encore, je jure conseil, aide et fidélité à mon suzerain en mon nom, au nom des terres de Grignan et de Urre, et au nom des serfs vivants sur ces terres et mets mon bras armé à son service et à celui du Lyonnais-Dauphiné.


Pour ce qui était du bras armé, c'était fait, et elle en portait les stigmates et clouée sur une couche d'Hospital durant un long moment. Ces blessures qu'elle portait et lesquelles la faisaient souffrir: c'était pour le Lyonnais Dauphiné. Entrée fracassante dans la vie militaire du Duché l'on pouvait dire... Non, juste son devoir.
L'Etoile inclina alors son buste à nouveau puis se recula, tendant la main à Tristan afin de laisser libre son père de faire allégeance.
Son regard alors se porta sur Guidel .... ils se côtoyaient tous les jours il était vrai, ou presque, que ce soit en l'ordre, en leurs châteaux autour de Tristan. Deux êtres au caractère fort et droit, à l'allure parfois froide, mais avec tant en leur âme. Quel gâchis .....


[Edit : correction orthographique ]
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Guidel
Un léger sourire pour Tristan... Comprenait-il le sens de tout cela? Pourquoi donc ses parents s'inclinaient-ils devant cet homme assis sur son grand fauteuil? Quel était le sens de leurs paroles? Etait-ce un nouveau jeu inventé par les grands?
Un jour, il prendrait le temps de lui expliquer tout cela, quand il serait plus grand... Un jour... Un regard échangé avec Antlia qui reprenait la main de l'enfançon, et celui que l'on appelait Guidel se tourna vers le Devirieux trônant dans la salle.

Le genoux craqua sinistrement, une fois de plus, alors qu'il s'agenouillait, immuable témoin d'une querelle, conséquence de ses principes moraux à une époque où il officiait dans tous les couloirs des infrastructures ducales... Comme cette époque était loin, et combien étaient encore là pour s'en souvenir?


Moi, Guy de Hoegaarden, baron de La Salle et seigneur de Mont-Dauphin, renouvelle mon serment d'allégeance envers le grand duché du Lyonnais et Dauphiné, en mon nom propre, en celui des terres qui m'ont été confiées et enfin au nom des serfs confiés à ma bienveillance.
Je reconnais Ka Devirieux comme son légitime gouverneur, élu par la volonté du peuple en tant que digne représentant des intérêts du Dauphin légitime en l'absence de celui-ci, et lui jure par conséquent aide, conseil et fidélité, tant qu'Aristote me prêtera vie et raison.


Il resta agenouillé, attendant de recevoir la réponse du gouverneur.
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Aliena.
Les membres du conseil ducal avaient prêté allégeance, c'était maintenant au tour des nobles de s'avancer devant le gouverneur.
Aliéna attendit qu'il y ait un moment où personne ne s'avançait pour s'avancer à son tour.
Elle s'agenouilla devant Ka et prit la parole:


Moi, Aliéna de Montestier, Dame de Lambres et de Cusy, fait serment d'allégeance au légitime Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, Messire Ka Devirieux et, à travers lui, à la couronne de France.

Je jure aide, fidélité et conseil à mon suzerain le Lyonnais-Dauphiné. Mon soutien, ma lame et le bras qui la tient demeurent au service de notre duché et de son gouverneur.

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Et Aliénor devint Aliéna ... une vraie lyonnaise
Ka_devirieux
Suite donc au retrait de la dame de Pierrelatte, ce bon vieux Guidel ainsi que son épouse actuelle se préparèrent à leurs allégeances. Antlia fût donc la première à s'avancer, elle ne semblait pas au mieux de sa forme. Mais Ka se dit que là était sans doute la punition du Très-Haut pour vouloir agir sur tous les plans. Bref il ne désirait pas penser plus au sujet et voulait en avoir vite fini. Il ne sourcilla aucunement durant l'allégeance et répondit d'un ton monocorde;

Nous entendons et acceptons en ce jour vostre serment d'allégeance. En retour nous vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres.

Voilà ça, c'était fait. Ka ne préféra rien ajouter et se contenter de cela, autant mieux éviter toute réflexion sur ce qui le taraudait à son sujet; son implication dans le nouvel organe de copinage de l'ost qu'était l'école de formation. Mais de toute façon qui écoutait encore un Devirieux lorsqu'il parlait de l'ost? Fust-il Gouverneur ou vendeur de choux... Non, chacun avait toujours préféré s'arrêter à la forme plutôt que sur le fond de ce qu'ils voulaient exprimer. L'art de la facilité. Les gens changeaient, quoiqu'il espérait bien pouvoir un jour discuter de cela avec elle au détour d'une taverne.

Lorsque la Baronne de Grignan se retira, ce fût donc Guidel qui s'avança et presta son allégeance. Ka ne manqua pas d'entendre le craquement de son genou et grimaça brièvement. Didjou qu'avaient-ils été faire si longtemps et si loin du Duché les Hoegaarden-Kennedy pour revenir tout rouillé comme ça?

Ka n'était pas non plus un "grand" ami du Baron, néanmoins il avait toujours accordé une grande valeur à sa parole et avait un profond respect pour celui qui était autrefois le frère d'arme d'Argael. Et puis son absence s'était faite ressentir à quelques niveaux. Nottament à l'assemblée des nobles où l'homme était autrefois en quelque sortes l' "hommes des joutes" entre autres lieux.


Guy de Hoegaarden, j'entends et accepte votre allégeance en ce jour. En retour, je vous promets Justice, protection et subsistance pour vos terres! Nous ne doutons que votre retour dans la Province ne peut que nous être bénéfique.

Il salua alors le Baron en opinant du chef, un peu plus expressif de sa nostalgie à le revoir.

S'avança alors Aliena. Tiens certes...l'allégeance pour la terre de Lambres qui était toujours vassale de Crest faisant partie des quelques vavassaux pour lesquelles Ka se devait de décider si ils conserveraient leurs titres ou non en l'absence de suzerain pour Crest.


Dame Aliena, J'entends et j'accepte votre allégeance ! Je vous promets justice, protection et subsistance pour vos terres.
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Helsinki
Helsinki ne voyant personne s'avançer , se dit qu'il devait se décider à pêter serment .

Nous, Helsinki Saigneur des Lances de Lyon , Seigneur d'Ecully . renouvelons notre serment d'allégeance envers le duché du Lyonnais-Dauphiné et envers son gouverneur messire Ka de Virieux et à travers lui au suzerain de France .
Nous jurons en ce jour l'auxilium, l'obsequim et le concilium


Il en avait fini; Avant de retourner à sa place il attendait que son allégeance soit accepté puis viendrait un autre noble et encore un.
Dameisabeau
Petit sursaut depuis son siège. Un œil qui s’ouvre péniblement, puis enfin l’autre.
Bien cachée derrière un nobliau à la carrure imposante, elle s’était quelque peu assoupie pendant la cérémonie pourtant si solennelle mais aussi si longue…
Un peu honteuse, elle remit bon ordre à sa tenue et s’avança à son tour jusqu’au trône où elle exécuta une gracieuse révérence à faire pâlir d’envie tout bon maitre de maintien avant de poser un genou à terre, balayant ainsi le sol, de sa houppelande
.


Nous, Isabeau, Dame De Hauterives, maître de camp des compagnies nobiliaires et procureur adjoint, reconnaissons comme gouverneur légitime , sa grasce Ka Devirieux et renouvelons notre serment d’ allégeance à sa personne , au Lyonnais Dauphiné ainsi qu’à la couronne de France
Nous jurons de nouveau fidélité sans faille, assistance armée et conseil et plaçons nos terres, notre vie et notre honneur au service de notre suzerain.

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Akula
La cérémonie d'allégeance connaissait un creux et Akula ne pu réprimé un bâillement. Une fois la bouche refermée il s'avança.

Nous, Akula, Seigneur de la Rochette, renouvelons notre serment d'allégeance au Grand Duché du Lyonnais-Dauphiné et à son gouverneur, élu par et pour le Peuple, messire Ka Devirieux , et à travers lui, à la Couronne de France.
A nouveau, nous jurons aide, fidélité et conseil à notre suzerain le Lyonnais-Dauphiné.
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