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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Nathiavel
Le
Commissaire aux mines, vêtu de son uniforme de circonstance, entra dans la Grande Salle d'allégeances et s'avança
vers le trône.
Arrivé devant le Gouverneur,il le regarda droit dans les yeux, et mit un genou à terre.

D’une voix assurée et forte il déclama

Moi Nathiavel,
en ma qualité de Commissaire aux Mines du Lyonnais Dauphiné, jure devant
Aristote et les hommes aide, conseil, fidélité et allégeance au Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné
et à travers lui
au Dauphin du Royaume de France Marc-Philippe et à sa Royale et Très Aristotélicienne Majesté Levan III.


Une fois son serment accepté, Nathiavel se releva et rejoint le rang des Conseillers.



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--Gueusounette
La gueuse, moqueuse et rieuse, sans être envieuse suivait la cérémonie avec attention. Quand elle vit l'ancien maire de Valence, celui qui était satisfait de lui même bien plus que tout autre, était en train de s'avancer, elle eut du mal a retenir un rire.
Ne se rendait-il pas compte qu'il n'était qu'un jouet dont s'amusait la catin noble? Les mines, un poste dont personne ne voulait. Voila sa récompense
Serait-il plus fort que tous les autres comme il aimait à le prétendre? Ou une simple marionnette?
Et s'te foutue goutte qui ne cessait ne couler, elle renifla une fois encore
_geoffroy_
Et un de parti, un qui revenait... Non pas que ça devenait une certaine habitude, mais il trouvait cela presque amusant. Il regarda les deux hommes prendre place, se croisant au passage, puis écouta Nathiavel prêter serment... Ah ça il en avait entendu des choses sur lui, mais soit, il était au Conseil et il fallait bien faire fit de ces rumeurs pour se consacrer au vrai de la chose.

Messire, j'accepte vostre allégeance. Puissiez vous vous montrer aussi aimable et disponible que vous l'estes aujourd'hui tout au long du mandat.

Il le salua d'un signe de tête puis attendit le suivant.
_________________
--Gueusounette
Elle en avait marre de renifler , s'irritant le nez sur sa manche durcit par la morve. Elle attendait cependant avec une impatience juvénile, l'allégeance hypocrite de la catin noble. Qu'attendait-elle? Elle, si présente en d'autres circonstances? Elle, qui avait cru bon de se decharger de son mandat sur un clown arrogant, qu'aattendait-elle? Que son mariage soit dissolu, afin de se racheter une conduite? Assurement les De Virieux prenait une sacré claque en l'acceptant parmi eux, et ça.... Ca avait tendance à la faire hurler de rire.

Le gouverneur avait été élu... Elle devinait la soupe à la grimace, chez les gones, Ca la ravissait... "Concorde" que disait les nobles des montagnes, "taisez vous" leur répondaient les votes. Et le bonheur de les voir obliger de prêter allégerance. Le vieil Argael semblait vouloir se faire désirer.

Un véritable bonheur !!! Se rendaient-ils compte de leur ridicule? Les urnes avaient parlé, fierté de coté il fallait mettre, et preter allégeance, ils étaient obligés
Plumedange
*Le suivant fut Léo.
Plume le regarda s'agenouiller et prêter serment qui aurait pu prédire de nombreux mois plus tôt qu'aujourd'hui les choses seraient ainsi, sûrement pas eux.
Mariée à Geoffroy, vivant à Lyon, le temps jadis semblait loin, emprunt de blessures qui la ferait toujours garder de la distance avec cet homme qu'elle avait à l'époque profondément aimé.
L'amour qu'elle avait éprouvé c'était définitivement perdu, mais une chose la chagrinait encore, les amis qu'elle avait perdu suite à cela.
Perdue dans ses pensées elle n'entendit guère la réponse que fit son époux au prévôt et elle le regarda s'éloigner.
La jeune fille avait été contente qu'il soit prévôt, mais elle commençait doucement à douter de cela, elle se promit d'aller mettre les choses au clair avec lui à la fin de cette cérémonie.

Son regard se porta alors sur une forme connue, très connue même.
Vaness...
Plume lui fit un franc sourire, ravie de la voir en ces lieux.

Ce fut Sam qui s'avança ensuite, ils avaient le droit à un vrai défilé de la prévôté finalement.
Léger sourire sur le visage du lieutenant alors qu'elle le regardait.
Un drôle de personnage que le Sénéchal, pour sur, mais elle l'appréciait même si ces derniers temps n'avaient pas été évident pour eux deux.
Elle inclina doucement la tête en sa direction tandis qu'il se relevait, le tout livré avec un sourire dans l'espoir de passer de partager des moments de rire dans un avenir proche.

Le suivant eut le don de lui faire perdre son sourire.
Elle préféra ne pas penser sur cette personne qu'elle ne connaissait qu'à la prévôté mais dont elle n'avait guère apprécié les paroles la seule fois ou il c'était adressé directement à elle.
Mais, comme elle n'aimait pas vraiment penser des choses négatives mais préférait les dires en face, elle attendrait qu'il daigne s'entretenir avec elle et pour cela il lui faudrait pousser ses pas jusqu'à son bureau.

La Dame de la Chambre réprima un bâillement.
Voilà la fatigue qui la gagnait déjà, ces affreux coups de barre qu'elle avait très régulièrement en ce moment.
De sa main libre elle frotta ses yeux et l'autre se resserra doucement sur le bras de son aimé alors qu'elle tentait de se replonger dans la cérémonie.*

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Hardryan
Le Montagnard était sur son promontoir derrière le Gouverneur à suivre le défilé d'un oeil attentif -faut dire que la vue était bonne de cet endroit même si en début de cérémonie, il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la pupille jusqu'à ce que Ooooooohhhh... Pénélope. Allez savoir pourquoi, alors qu'elle entrait dans la salle le temps prit une toute autre vitesse, le coeur du Montagnard se mit à faire "boum boum" dans une pétarade de feux d'artifices intérieurs. Sans en échapper aucun, il remarqua chacun des détails de sa tenue et de sa coiffure, de ses bouclettes et de leurs reflets, de ses clins de chaque oeil couleur noisette dans lesquels il plongeait pour y lire... une histoire qu'ils avaient maintenant tous les deux, pour son plus grand bonheur bien qu'il en déplaise à quelques uns. Pénélope... Et tout reprenait un sens. Il ne la quitta pas des yeux tout du long jusqu'à ce qu'elle prête allégeance et qu'elle retourne dans l'assemblée, après quoi des regards, tantôt furtifs, tantôt appuyés se frayèrent un chemin jusqu'à elle.

La cérémonie se poursuivait, les conseillers se succédaient sans que celle-ci ne soit perturbée par quoi que ce soit ou presque. Un reniflement agaçant. Quelqu'un avait sans doute oublié d'apporter un mouchoir. Un reniflement persistant et au-delà de la bienséance. Cherchant du regard un agent de la Prévôté, le Montagnard aperçu le Commissaire viennois Vanesfagg qui semblait avoir une bonne vue d'ensemble de l'assemblée. Captant son regard, il lui fit un signe afin qu'elle aille trouver la personne, une paysanne à ce qu'il semblait, et fasse le nécessaire pour que le bruit cesse.
Loelia
Les allegences s'enchainerent, mais elle arriva en retard... ou plutot pile a l'heure. Passant en 4 eme vitesse les doubles portes battante de la salle en question elle compris au vu du grand silence qui pesait et au fait que personne n'avançait que cela devait etre son tour.
Garcieusement malgré un pas a vive allure, elle s'approcha du couple ducal pour preter allegence, commençant par reverancer la dame elle resta yeux ecarquiller a la fixer en la voyant bailler...
Insistante du regard... voyons Plume.... qu'elle image donnait elle la...
Petit sourire amusé pour finallement, poser un genoux a terre malgré la ardesse de la tache eu vu des robes toujours volumineuses et pleines de volant qu'elle arborait, finit par baisser la tete pour preter serment.

Nous, Cyanne Loelia de Vaucanson, Dame de Mions et actuelle Bailli du Lyonnais Dauphiné pretons serment, devant le Tres Haut, de fidélité, de conseil et d'allégence au Gouverneur du Lyonnais Dauphiné, Geoffroy de la Chambre ainsi qu'a sa femme, Gouverneur Consort, Plume de la Chambre, et par la même à sa serenissime Majesté Levan III.

Relevant un visage preux, elle sourit les yeux brillants a Geoffroy l'air de dire... profite bien de ce moment parce que le jour ou je me reprosternerait devant toi est pas arrivé . Puis se relevant en finesse, elle salua a nouveau la dame du Dauphiné d'une reverance et disposa rejoindre les autres conseillés.
Tenshikuroi
La cérémonie avançait bien. Tenshi avait encore en mémoire la précédente qui s'était étirée jusqu'au couché du soleil. Cette fois, la valse de conseillers se déroulait correctement. L'ambiance était au beau fixe et les grands noms du Duché étaient là. Le jeune Gouverneur accompagné de sa charmante épouse semblait dans un jour radieux, même si cette dernière le fit sourire en réprimant un bâillement. Tenshi pensa qu'elle ne devait finalement pas trouver le temps si court que ça, à rester là, à accompagner son époux. Comment lui en vouloir après tout. Mais c'était la Loi, il fallait bien que les serments soient prononcés.

A force de regarder partout, d'observer les lieux et les gens, Le Seigneur de Saint-Firmin n'avait pas vraiment compté les intervenants. Il lui semblait que la majorité des conseillers s'était agenouillés devant Geoffroy. Son regard se fixa néanmoins sur la jeune fille qui était en ce moment, genoux pliés devant le Gouverneur. Une attitude qu'il risquait de ne pas voir très souvent. La jeune de Vaucanson faisait son devoir d'allégeance. Un voile de tendresse, que Tenshi arborait de moins en moins, se peignit sur son visage. Presque hypnotisé, son regard ne se détachera que lorsqu'elle se sera sagement repliée dans les rangs des conseillers.

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Argael
[Un retour, après des mois d’absence]

Ira, ira pas, viendra, viendra pas. Voici quelques temps qu’il n’avait pas décidé de venir à cette cérémonie tournant de plus en plus à une mascarade sans aucun respect du protocole. Combien de noble voyez cela, comme une corvée fastidieuse et s’acquitté de ce devoir sans aucune envie. Les Seigneur, avant les Duc, les Vicomte après les Baron, des fonctions méprisées, un joyeux mélange que « dauphine » avait la faiblesse de laisser passer ce manquement à l’étiquette. Parfois, il s’imaginait de nouveau Gouverneur, il serait une chose certaine, s’il ne serait pas meilleur qu’un autre, il ne serait certainement pas pire, et restaurerai une certaine rigidité au laxisme, et à la nonchalance présente en ce duché ; peut être un jour…

On le disait fier, pour sur il l’était, aimant se voir le gardien d’une certaine indépendance d’esprit, gardien d’une certaine tradition, et identité. Certes modestement, il pensait y arriver, si cher cela lui coûtait, mais l’on ne refaisait point sa nature.

Arrivant à cheval, depuis son hôtel sur Lyon, il était sur son chemin dévisagé, les commentaires des badaux fusant plus ou moins discrets.

C’est lui que j’te dis… c’est l’fier….Pair de France… j’ai bu en taverne avec lui moi…menteur… il est plus p’tit que je pensai…il est né roturier en plus…

Souriant à chacun, il continua ainsi jusqu’au château. La noblesse suscité l’envie, le pouvoir la jalousie, si seulement il savait combien parfois les choses simples venaient à lui manquer.

Jetant le manteau azuré, sur l’épaule, il descendit de cheval non loin du perron menant à la salle d’allégeance. En tenue d’apparat, portant les attributs des ses fonctions, et ses armoirie, il avait également son épée au coté de la sa jambe gauche. Combien de fois avait il fait le chemin, jusqu’en ce bâtiment, combien d’heure passé à travailler pour le bien de ce duché, combien de joutes verbales, de débats enflammées. Combien, ici ne franchiront plus jamais ces portes, ne marcheront sur ces dalles, n’empliront plus ces lieux de leur voix… Aujourd’hui la jeunesse avait t’elle moins de mérites, moins de fougue, il ne le pensait pas. Moins de respects pour les « anciens », l’impression de tout savoir par contre bien plus. Chaque jour ou presque, et pas qu’en ce duché, il pouvait le constater, des erreurs encore et encore commissent par simple vanité, et manque d’humilité de venir trouver quelques personnes pour demander avis, opinions….

Traversant le couloir en familier des lieux, il déboucha bientôt dans la grande salle, la cérémonie allait commencé, et déjà la noblesse sincère ou opportuniste prenait place. Avisant la garce de Barsac et son cousin, il afficha un regard neutre. L’enfer aurait raison d’eux et de leur folie, en son cœur il ne pardonnerait jamais ni n’accepterai telle chose. Non loin « Dauphine » déjà présente au côté du nouveau Gouverneur du duché, et puis les conseillers ducaux… Par le Très Haut qu’ils étaient jeunes, il n’en connaissait pas la moitié, et pourtant n’avait il pas que 37 ans….Que savaient ils du travail de leurs aînés, des noms illustres qui avaient prit place avant eux en ces lieux, que savaient ils de cette mémoire, ce devoir de souvenir. Que savaient il ? En avaient ils seulement le soucis… bien leur ferai.

Saluant le peu de personnes qui avait seulement envie de dire bonjour au Pair de France, il prit ensuite place, afin de suivre la cérémonie, curieux du déroulement de celle-ci. Le temps sera juge de cela.

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Loelia
Avant de retourner dans le rang des conseillers, son regard croisa le sien... une lueur de rancune.. quelque chose avait été détruit, il doutait, elle pas une seconde, s'étant battu vis a vis de ses parents, ayant pleuré chaque jour a attendre la fin de cet enfer, mais lui semblait s'eloigner, l'etincelle dans ses yeux se ternissait avec le temps, elle n'avait plus la force de se battre pour deux.
Elle continuerait de confier a Thib ses peines et ses reves déchus, la vie continuera.. un tournant se profilera, ou pas, l'avenir etait entre les main de celui a qui elle avait tout donné... sans se mefier, sans mettre de barrière, chose qu'elle aurait surement du faire au vu de la tournure qu'il donnait aux chose, trouvant moult pretextes pour ombrager leur destin.

Soupire de tristesse, détournant les yeux avant de voir Argael arriver. Petit sourire avant de repenser aux commentaires qu'elle devait supporter sur lui, meme calmement dans ses bras.. nouveau soupire. Elle irait le saluer apres quand il sera seul, loin des regards mechants ou des hystériques voyant un paire de france.
Puis elle se hatera d'aller chez sa belle plume aussi, nouveau sourire, doux cette fois ci en observant sa petite princesse au devant de la scene, elle était drolement belle avec sa couronne, un vrai petit rayon de soleil. Voila elle avait trouvé son "objet" de contemplation pour oublier ses tracas, la lumiere de sa vie, sa Plume d'amour. Sourire d'affection, elle ne quittait plus des yeux la femme du gouverneur, elle au moins, elle la faisait toujours sourire... sans restriction. Un espoir renaquit dans son coeur... peut etre que lui aussi arriverait a ça un jour mais... pour ça il faudrait qu'il l'aime sans retenu tout comme sa Plume et qu'il cesse de douter.
Vanesfagg
Vanes continuait de surveiller le défilé des personnes venu prêter allégeance. Lorsque son attention fut attirer par un bruit des plus dérangeant et des moins approprié au lieu. Elle croisa le regard d'Hardryan qui lui indiqua la source du bruit. Elle se dirigea alors vers la dame et lui tendit un mouchoir espérant que cela suffirait à la faire cesser.
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--Gueusounette
Le jeune fille sursauta quand elle vit un mouchoir se tendre vers elle, elle le prit tout en observant la personne qui lui tendait

Z'êtes bien bonne

Elle souffla bruyamment dans le bout de tissu avec un plaisir qu'elle avait du mal a dissimuler tant c'était doux à son nez malmené, et c'est contre cœur qu'elle tenta de le rendre à sa propriétaire

Bah ! Ch'suis pas une voleuse !!!
Dites?


Elle baissa légèrement la voix

Ch'suis arrivée un peu en retard, z'avez vu si la ca... si la dame de Mireumandeu a déjà prêté allégeance?

Un sourire édenté complice envers sa nouvelle copine, elle insista en agitant le mouchoir pour que celle-ci reprenne son bien. Puis elle aperçu l'ancêtre, le bougon, le ronchon, le pair qui avait tendance à vouloir devenir un père. Elle connaissait son visage sans pour autant ne jamais lui avoir parlé, mais sa réputation de râleur n'était plus à faire et c'est probablement pour cette raison que dans le fond... Il ne lui était pas si antipathique
Vanesfagg
La dame prit le mouchoir et se moucha de façon peu discrète il fallait s'en douter.. Lorsque celle si voulu lui rendre le mouchoir vanes ne pu s'empêcher de grimacer.

Non non gardez le!!

Alors que Vanes s'apprêtait à reprendre sa place la dame s'adressa à nouveau à elle
Citation:
Ch'suis arrivée un peu en retard, z'avez vu si la ca... si la dame de Mireumandeu a déjà prêté allégeance?


Vanes lui répondit alors sur le même ton

Oui Pénélope a déjà prêté allégeance
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Akmer
Le visage de marbre, se tenant droit comme un piquet et les mains dans le dos, le connétable attendait, réprimant avec force les quelques soupires qui tentaient de percer après le début des allégeances. Heureusement il avait subit un entraînement intense à Briançon, et aujourd’hui celui-ci portait enfin ses fruits.
Haussant par moment les sourcils quand les conseillers passèrent les uns après les autres, le connétable détournait par moment le regard pour balayer la salle des yeux, apercevant quelques têtes connues.

Les conseillers s’enchaînèrent, alors qu’un bruit étrange se fit entendre dans la salle et brisa le petit silence qui y régnait. Tournant de suite la tête, il fronça les sourcils. Le problème semblait être réglé, alors que Cyanne venait de prêter serment.
C’était maintenant son tour, et il attendit que le gouverneur ne prononce les quelques mots de coutume pour s’avancer à son tour.

Légèrement anxieux, mais ne laissant rien paraître, il se plaça devant le gouverneur et sa femme, posa un genou à terre avant de prendre une grande inspiration.


Moi, Akmer, actuel connétable du Lyonnais Dauphiné, reconnaît Geoffroy De La Chambre comme légitime Gouverneur du Lyonnais Dauphiné. Je lui jure aide, fidélité, conseil et allégeance, et à travers lui au Dauphiné et à sa très Royale et Aristotélicienne Majesté Levan troisième de Normandie.

Prêtant allégeance la tête baissée, fixant le sol, il la redressa quelque peu. Ca y est, une bonne chose de faite.
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Quand Akmer parle en Oc, la traduction n'est QUE pour le joueur.
--Gueusounette
Elle la regardait, elle était jolie, mais cette épaule nue était on ne peut plus déplacée en ce lieu. Elle rangea le mouchoir si gentiment offert dans la poche de son jupon et hésitait quand à la façon de rhabiller sa nouvelle amie.

Mince, je l'ai raté !

Elle regrettait d'avoir loupé le spectacle de voir la "grasse" prêter allégeance. Ça devait être quelque chose de la voir ravaler sa fierté pour mieux faire briller son hypocrisie. Elle avait du être comme à son habitude, parfaite... mais assurément, ca devait lui couter de courber l'échine face à celui qui lui avait prit la place, élu par les Dauphinois. La catin noble était loin de faire l'unanimité, et ça, il allait falloir qu'elle l'admette, si parfaite soit-elle. La gueuse regarda de nouveau sa voisine et opta pour la discrétion. Tout en regardant la foule avec attention, elle se permit d'essayer de remonter la manche de sa voisine avant de sentir une goutte se pointer sur le bout de son nez. Hésitant entre la manche et le mouchoir... elle choisit le tissu le plus proche et se moucha dans la manche de la dame avant de la remettre en place avec un sourire plus qu'amical

J'vous aime bien vous !
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