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[RP ouvert] Maison des plaisirs

--Mariko
Ce RP est ouvert à tous.
Cette maison a pour but d’être un lieu de divertissement où il est possible d’admirer une danse, boire du saké ou s’adonner à des divertissements plus intimes avec sa concubine-son concubin ou simplement avec un homme ou une femme d’un soir.
Les intrigues politiques, intrigues familiales, sentimentales… tromperies en tout genre y ont leur place aussi… Les employé-e-s garderont le silence sur vos désirs les plus secrets. Laissez simplement aller votre imagination !
Si vous souhaitez avoir un personnage qui y travaille. Si vous souhaitez vendre votre jeune fils ou fille, contactez Mariko.
Merci tout de même de vous rappeler que ce forum est lu par des gens de tout âge et de, parfois, censurer ou imager vos propos !


Il était difficile de donner un âge à Mariko. Sa démarche était légère, on ne pouvait découvrir que peu de trace de vieillesses sur son visage mais pourtant ses yeux confirmaient une certaine assurance qu’une jeune fille n’était pas encore capable d’exprimer.

Elle avait fait fortune bien loin. Ancienne concubine d’un homme important, elle avait fini par devoir fuir la jalousie d’épouses ou concurrentes ainsi que la convoitise des hommes. Son petit pécule lui avait permis de continuer ailleurs à détendre chacun, connaissant à la perfection l’art de la danse, du théâtre et de la gastronomie…

Elle vendait ces menus plaisirs à tout un chacun. Les titres, les rangs, les noms restaient à la porte de son établissement. Elle s’assurait simplement que son travail serait rémunéré à la hauteur des désirs et demandes.

Mais à nouveau, elle dut tout abandonner et repartir sur les routes. Les hommes convoitent, les femmes sont jalouses et les politiciens souhaitent avoir leur part dans les bénéfices réalisés...

C’est sans regret qu’elle partit. Elle n’aimait pas s’attacher à un lieu, elle ne voulait plus créer de lien. Elle se refusait à aimer.

C’est ainsi qu’elle se retrouva à Nakatsu. Petite cité calme et paisible, mais comme tout lieu, le travail y est dure et les intrigues bien présentes. Un lieu de divertissement n’y serait donc pas de trop.

Elle dénicha une petite maison simple, à l’abri des regards… les clients devaient se sentir en sécurité… et y posa ses affaires.

Il faudrait qu’elle engage et forme des donneurs de plaisirs, qu’elle amadoue les clients potentiels… elle déposa donc une petite pancarte indiquant la direction de sa demeure :




Maison des divertissements chez Mariko.
Belsa
Course effrénée à travers bois, les branches la fouettent, déchirent ses beaux vêtements en soie fine. Essoufflée elle se laissa choir sur le sol. Paniquée elle regarda derrière elle, constata que personne n’avait eu la mauvaise idée de la suivre. Rassurée, elle essuya ses joues pleines de larmes, constata que ses cheveux voletaient derrière elle et réalisa qu’elle était dans un état pitoyable.

Un grognement : une renarde et ses petits. Belsa se releva effrayée et reprit sa course à travers bois. Où était-elle ?

Soudain elle aperçut une demeure. Elle était donc toujours dans les limites du village bien que l’endroit était reculé.

Elle réalisa qu’elle ne savait pas qui vivait là. Elle avança d’un pas sûr, persuadée qu’elle ne risquait rien. Mais, en s’approchant, elle dut bien constater que cette maison étrange cachait un commerce peut être illégale. Elle aperçut la pancarte… Maison des divertissements.. ainsi qu’une dame au kimono fort léger et peu recouvrant.

Mais Belsa n’avait aucun lieu ou aller, ou du moins n’avait-elle envie d’aller nulle part. Cette inconnue, elle en était persuadée, ne la jugerait pas et ne lui poserait pas de question.

Notre jeune innocente s’approcha de la maison. Les écrans étaient ouverts. Elle n’eut alors plus aucun doute, si elle en avait encore, sur l’activité offerte par ce lieu. Elle apercevait des estampes bien à l’opposé des sages paysages qui décoraient sa propre pension. Elle ne pouvait non plus ignorer la musique des soupirs qui emplissait la pièce.

Notre jeune femme, resta prostrée et ne réussit à se présenter à la Dame qui semblait diriger la dite maison. Elle pénétrait dans un monde secret offrant des plaisirs qui jusqu’à ce jour restait inconnu à la jeune Belsa. Elle qui rougissait en échangeant des baisers bien sages, était devenu bien pâle devant un tel spectacle.
--Mariko
Son commerce était florissant. Elle n’en avait jamais douté. Chaque lieu était différent par les paysages et les coutumes mais certains plaisirs étaient toujours recherchés.

Mais ce jour-là, elle ne put cacher son étonnement à voir cette Dame. Malgré sa tenue déchirée et les quelques griffures qui marbraient son visage, la demoiselle semblait porter un kimono couteux, sa démarche confirmait une bonne éducation.

Mariko redouta que cette Dame soit envoyée par la ville pour prélever un impôt sur son activité.

Elle plissa le nez : dans ces situations là, elle espérait recevoir des hommes qui parfois oubliaient les raisons de leur venue en se laissant aller aux caresses de ses employées expertes.

Peut-être étais-ce une épouse jalouse ? Il était rare que cela arrive. Les femmes préférant ignorer les activités nocturnes de leur mari, au déshonneur dans lequel ça les jetteraient. Mais parfois une amoureuse ne supportait pas ces concubines du soir et espérait obtenir vengeance.

Elle observa la jeune femme… elle avait pleuré mais on ne lisait pas la colère sur son visage.

Arrivée à sa hauteur, celle-ci devint pâle et resta prostrée devant les spectacles qui s’offraient à elle et Mariko comprit que la jeune fille était arrivée ici par hasard. Elle ne la questionna pourtant pas, laissant la jeune innocente s’imprégner de l’ambiance de la maison et Mariko s’interrogeait sur les raisons de sa venue et de son état : kimono recouvert de terre, yeux rougis.

Son invitée du jour semblait bien incapable de prononcer un mot. Mais cela n’étonna pas la maitresse des lieux. Les jeunes filles ne connaissaient souvent rien aux plaisirs et encore moins aux moyens d’y parvenir. Ce qui d’ailleurs enchantait Mariko et rendait son commerce florissant ! Celle-ci ne devait pas différer des autres et n’avait sûrement jamais partagé la couche d’un homme.

Elle sourit et caressa délicatement l’épaule de la jeune femme afin de la faire sortir de sa rêverie.


Que puis-je faire pour vous Noble Dame.
Belsa
Que puis-je faire pour vous Noble Dame.

Belsa, interrompue dans sa silencieuse contemplation des estampes, sursauta lorsque le doigt de la maîtresse des lieux la frôla.

Elle réalisa avec anxiété qu’une bien étrange chaleur émanait de son corps et que sa peau s’était électrisée durant cette légère caresse.

La jeune femme leva ses deux yeux, où on y lisait l’innocence voir l’ignorance, et observa la Dame. Belsa aurait été incapable de lui donner un âge, les yeux de Mariko exprimaient une certaine maturité, une intelligence et une expérience de la vie mais, excepté quelques traces dans le coin des yeux, sa peau était lisse.

La jeune fille réalisa qu’elle restait silencieuse et n’avait osé répondre à la dame qui souriait. Se moquerait-elle de son ignorance ?

Elle s’inclina, tentant ainsi de cacher son trouble. Car Belsa était troublée et déchirée entre la curiosité de découvrir les secrets enfermés dans cette maison et son éducation qui l’intimait de partir vite.

Relevant le buste, elle afficha un visage impassible et d’une voix sûre répondit :

Je m’occupe durant mon temps libre du plan de la ville. En me promenant, j’ai découvert cette maison et réalisant qu’elle n’était pas encore répertoriée je me suis permise d’approcher.

Elle savait que son état démentait ses propos.

Mais, étant donné votre activité, j’imagine que vous préférez garder le secret de votre emplacement.


Elle montrait ainsi qu’elle n’était pas dupe et savait très bien ce que refermait les mûrs et écrans de la maison ! Ce qui évidemment était faux.

Elle observa la Dame ! Elle souriait toujours ! Elle se moquait de Belsa !


Je vous laisse donc à…. vos occupations.

Elle s’inclina à nouveau.
--Mariko
Mais qu’elle était drôle cette jeune fille ! Elle avait entendu de tout comme excuse, qui bien souvent venait surtout des jeunes puceaux qui n’osaient encore franchir le pas ! Mais le cadastre… répertorier et recenser son activité ! Quelle bonne idée, cela attirait de nouveaux clients ! Les rares qui ne connaissaient pas encore l’existence de ce lieu de plaisir.

Jeune Dame attendez ! C’est volontiers que j’accepte que vous répertoriez ma maison….

Elle n’osait encore rire ! Elle irait voir si la jeune fille oserait le faire ! Et ça lui fera toujours une histoire à raconter à ses clients… Une jeune pucelle qui propose de montrer l’activité de Mariko aux yeux de tous !

Elle observa la jeune inconnue et eut pitié de temps d’innocence. Elle avait remarqué le trouble, la respiration qui s’accélérait. Etais-ce de sa faute si le monde des plaisirs restait un sujet volontairement évité lors de l’éducation des jeunes filles ! Certaine avait parfois la chance d’épouser un homme tendre qui leur faisait découvrir de maigre aspect… mais les jeunes filles avec leur geste maladroit ne le leur rendaient pas.

Elle posa les yeux sur un petit livret contenant quelques illustrations, cadeau d’un riche client.

Mariko l’attrapa et le tendit à la jeune fille.


Tenez ! ça pourra toujours servir à votre Shômin s’il veut en savoir plus sur mon activité.

Elle lut dans le regard de la fille de la curiosité. Et se dit que ce livre n’atteindrait jamais les mains du Shômin. Elle ria franchement.

Rentrez chez vous… il vaudrait mieux pour vous que mes clients ne vous surprennent pas.


Tout en se détournant de Belsa, elle pénétra dans la maison des plaisirs.
Guyhom


Une maison des plaisirs à Nakatsu...amusant et tellement étonnant...Guyhom souriait ironiquement devant le fronton de la bâtisse...plaisirs...au pluriel, il préférait! mais lesquels? ceux autorisés? ou les plus secret enfoui dans l'âme sombre de chaque humain? il secoua la tête et se décida à y entrer...après tout, il devrait y avoir à boire, ce qui consistait pour lui un plaisir.

A l'intérieur...ambiance douce et intimiste...il vit un serviteur s'approcher de lui pour le conduire à une place...Guyhom se laissa guider et avisa un endroit parfait pour lui, dans un coin un peu plus sombre que le reste, quelques bâtons d'encens brûlaient, des coussins moelleux et une table basse. il s'installa, commanda du saké et observa la salle...discrètement...un endroit pratique pour tout finalement..se dit il, assouvir ses désirs et pourquoi pas en faire son QG pour ses affaires...
--Mariko
Un nouveau client... et pas n'importe qui! Elle en avait entendu parler. Guyhom le riche marchand...

Mariko rejoignit deux de ses filles:


- l'homme là-bas, va falloir le combler mes belles.

Les deux jumelles rirent gaiment.

- tous ses désirs..
- seront des ordres!


Mariko sourit. Elle prit un bol de saké chaud et se rendit vers le nouveau venu.


Bienvenue chez Mariko..


Elle se glissa au côté de l'homme, laissant volontairement l'encolure de son Kimono dévoiler son épaule à la peau blanche... Elle lui tendit le bol de saké et fit signe aux jumelles d'approcher.

Que puis-je faire pour vous?

lui chuchota-t-elle dans le creux de l'oreille, observant du coin de l'œil les deux filles qui commencèrent une danse pour ce riche client.
Guyhom


Une femme s'approcha de lui...

Bienvenue chez Mariko..

Ainsi, elle était la tenancière de l'endroit...il la détailla de la tête aux pieds, prenant le bol de saké pour le porter à ses lèvres et en but une gorgée.

Merci Mariko...puis je vous tutoyer? je pense que nous allons devenir bons amis si vous continuez sur cette voie...

Guyhom la regardait, un léger sourire amusé en remarquant son épaule nue...

Que puis-je faire pour vous?


lui chuchota t'elle à l'oreille. Guyhom souriait franchement et son regard fut attiré par deux jeunes filles qui se ressemblaient comme deux gouttes de saké. elles dansaient de manière à mettre en appétit les désirs charnels masculins qu'il ressentait...mais après tout, ce lieu ne s'appelait il pas la maison des plaisirs...donc de tous les plaisirs que la vie pouvait offrir?

il répondit en chuchotant à la femme:

si tous les plaisirs sont de mise en cet endroit, j'ai pour l'instant la chance d'en voir certains assouvis...du bon saké, une belle femme à mes côtés et deux jolies danseuses...le plaisir de mes sens se voit comblé!


Guyhom rit doucement et murmura encore plus doucement:

est il possible de réserver un endroit discret chez vous? un endroit intime et confortable, afin que je puisse passer une soirée, délicieuse, avec ces danseuses magnifiques?

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marchand indépendant de Nakatsu

adorateur de la langue française.
le RP c'est le pied.
n'aime pas les bisounours!
--Soeurs_jumelles
Des regards mystérieux derrières des éventails aux couleurs pourpres. Des sourires mutins qui parfois se laissent deviner sur des visages de jeunes filles. Quatre mains qui s’entrecroisent dans un ballet envoutant, des bras faisant des vagues sur une musique douce. Kimonos qui parfois laissent deviner une jambe blanche lors d’un pas un peu plus osé. Les sœurs jumelles connaissaient l’art de la danse et de la séduction…

Mariko les avait invitées à emmener l’homme dans une pièce privée. Des soieries et teintures aux couleurs rouges recouvraient les murs. Une tapisserie d’une finesse étonnante séparait la chambre des pièces communes.

Les jumelles avaient carte blanche pour satisfaire ce client particulier qui assurerait, Mariko l’espérait, un revenu important dans le futur. Client qui allongé dans des coussins moelleux admirait le spectacle.

Rien n’était laissé au hasard… jusqu’aux plus petites bougies qui laissaient, dans un jeu de lumière calculé, deviner les corps des danseuses sous leur Kimono des plus fins.

La danse terminées, elles entourèrent l’homme de leurs atouts et de leurs éventails fermés s’amusèrent à caresser le client écartant légèrement la veste du Kimono avant d’y glisser un doigt curieux.


-Vous croquerez bien…
-Dans une de ces délicieuses prunes


Une des jumelles présenta le fruit juteux devant les deux lèvres de l’homme qui semblait affamé.

-Juteuses à souhait…


Pendant que l’autre d’une main experte défaisait le obi de cet invité d’honneur… quant une voix de femme raisonna à l’entrée.
Belsa
Quel ours mal luné !

Elle mit sur sa peau blanche un kimono en soie verte.

Vieux râleur !

Puis dégagea ses fins cheveux de sa nuque.

Mal éduqué.


Avant de frotter quelques fleurs de jasmins séchées dans son cou.

La maison des plaisirs !

Elle mit un masque du personnage Kozura 1.

Il manquerait plus qu’on me reconnaisse.


Avant de prendre le chemin en forêt, plus discret que la ville.

Pourquoi y allait-elle d’ailleurs ! Satisfaire une curiosité à peine éveillée quelques jours auparavant !

Oui mais… Il n’y avait pas que ça…

Elle avait tout préparé ! Elle lui dirait que… qu’elle trouvait le moment idéal pour comploter ! Qu’elle avait une chose importante à lui dire.

Oui… elle avait raison d’aller le trouver maintenant… elle n’allait sûrement pas le déranger !

Ah ! enfin cette maison des interdits.

Cette fois c’est d’un pas décidé et assuré qu’elle y entra.

Ses yeux firent le tour de la pièce… rapidement ! Sa respiration s’accélérait, elle triturait ses mains nerveusement. Consciente qu’elle n’aurait jamais du se trouver là-bas.

Elle ne le vit pas. Il n’était pas là ! Les choses ne se passaient pas comme prévu et une femme se dirigeait vers elle. La fameuse Mariko.

Elle ne lui laissa pas le temps de s’adresser à elle :


Menez-moi à Guyhom.


La maitresse des lieux affirma qu’il n’était pas là. Le secret était une règle d’or ici…


Il m’a demandé de le retrouver ici… je dois le voir.


Ce n’était après tout qu’un petit mensonge… il ne l’avait pas vraiment invitée… aujourd’hui !

Pourquoi était-elle nerveuse ! Ce n’était qu’un pervers qui n’avait aucun intérêt à ses yeux de toute façon. Alors pourquoi avait-elle crié ces mots ?

On affirma à nouveau qu’il n’était pas là…

Elle se mordit la lèvre et fit le tour de la pièce, les images se mêlaient dans son esprit, l’encens lui faisait tourner la tête… un client l’invita à s’asseoir à ses côtés. La jeune fille apeurée s’écarta brusquement de l’inconnu…


Menez-moi à Guyhom murmura-t-elle apeurée.





1 dans le théâtre japonais, jeune fille vierge
--Mariko
Je vous ai dit qu’il n’est pas là !

Les jalouses… ça fait un de ces cinémas pour quelques choses d’habituelle et de commun.

Oui il prend un peu de bon temps et alors !


Ecoutez… je peux vous proposer quelques divertissements aussi si vous le souhaitez…


Après tout pourquoi pas ? Certaine parfois…
Belsa
Quelques divertissements ? Mais elle n’en veut pas ! Elle veut comploter elle.

Elle recula encore un peu.


Non merci… Vous avez raison… il n’est sûrement pas là.

Des rires venaient d’une pièce séparée uniquement pas une tapisserie… Le regard de Belsa devint sombre.

Et là-bas ? Pourquoi elles rient ? En faite oui je veux bien un peu de divertissement !

Elle s’engouffra dans la pièce pour se retrouver nez à nez avec…. Un inconnu dans une posture bien étrange… pendant qu’un ou… une… Ils font quoi ? Elle observa l’enchevêtrement de jambes quand ses yeux tombèrent sur une partie d’anatomie qu’elle ne connaissait pas encore et.. et..

Je… excusez moi.. je me suis.. trompée de porte.

Très joli… euh enfin profitez bien de votre soirée…

Elle s’inclina et ressortit aussi vite qu’entrée. La tenancière était bouche bée et tenta d’attraper la jeune femme pour la faire sortir !

Mais Belsa rapide s’engouffra dans une.. deux… trois… quatre pièces avant de tomber sur la personne qu’elle cherchait !

Inutile de dire qu’elle était déjà choquée et qu’elle prédisait une nuit cauchemardesque mais ce qui s’offrit à sa vue fut encore pire !


Guyhom !

Elle resta la bouche bée : deux femmes dans des tenues indécentes entourant Guyhom bien peu habillé lui aussi…
Et y avait une des filles qui.. Enfin sa main était dans un endroit qui aurait du lui rester interdit. Et l’autre.. non elle ne voulait pas savoir ! Et Guyhom ! ce sourire niais ! ce.. ce.. mais il semblait bien le bougre !

Elle s’attendait à quoi Belsa ? Qu’il partage un thé sagement avec de gentilles et sages jeunes filles ? Franchement elle espérait quoi en venant le surprendre ici ! Mais ça, ça lui effleura pas l’esprit… ni le fait qu’elle n’avait pas à l’espionner !

Elle était juste tétanisée de peur, angoissée, triste, choquée… Elle avisa une jarre de saké qu’elle prit et envoya le liquide à la tête de Guyhom ! Puis enleva son masque.


Ça te rafraichira les idées, vieux pervers !


Elle tourna les talons et partit en courant.
Guyhom


Guyhom se détendait de ses voyages en agréable compagnie...les jumelles tenaient leurs promesses et étaient douées...très...enfin un peu de plaisir mérité pour ses efforts...les jeunes demoiselles lui apprenaient de nouveaux jeux intéressants...alors qu'il était en total harmonie avec lui même et en osmose avec ces jeunes filles il entendit la douce voix mélodieuse de....Belsa!

Guyhom!

il regarda la nouvelle venue en se demandant si elle venait pour regarder ou pour participer aux jeux...en fait non...

Ça te rafraichira les idées, vieux pervers !



et le saké coula à flot sur le corps du marchand...les filles au début apeurées, se mirent à rire et regardèrent leur client trempé de saké...l'une d'elle lui murmura des trucs du genre nettoyer elle même...une sorte de jeu quoi...mais Guyhom était trop gêné et un peu préoccupé...ou troublé...il repoussa les filles, s'essuya dans les draps, se rhabilla, paya Mariko pour les filles et le saké et sortit en courant derrière Belsa...

moi vieux pervers...tsss...j'ai bien le droit de m'amuser et de me détendre non? toutes les mêmes les bonnes femmes....comment il fait Oni pour supporter Iyo? doit avoir un secret tiens...je devrais peut être lui demander des cours...on sait jamais...ça pourrait me servir pour Belsa...


et le marchand continua à se parler lui même jusqu'à la Gargote du Nippon...il entra et vit Belsa en colère qui l'accueillit avec un:

Espèce de vieux pervers croûton! Ne m'approche pas, tu pues le parfum des deux bécasses!


Guyhom soupira et entra quand même...c'est qu'il avait un voyage en vue et il comptait bien s'occuper du chignon de belsa en route...si elle voulait bien l'accompagner.

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