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[RP ouvert] Auprès de la blonde, qu'il fait bon... courir!

Natasha
[Ça s’en va et ça revient…]

Les deux jours passés à compter les fourmis… ah si, si ! rien d’autre à faire sur le chemin pourri d’un comté minable ; n’est pas blonde qui veut en même temps^^… les deux jours, avaient donc permis aux jumelles diaboliques de clarifier la situation sous l’arbitrage de la gamine ; la mignonne prenant fait et cause pour la blondasse comme vous l’aurez tous compris.
Le retour à la civilisation se fit dans un calme approximatif… z’avez déjà vues trois greluches silencieuses ? Ben nan, ça papote, ça pinaille, ça ricane et j’en passe... tandis que la platine songeait déjà à leur prochaine destination ; le sujet avait occupé le groupe et il était prévu de passer les frimas hivernaux dans le sud.

Sarlat… théâtre d’un revirement aussi soudain que surprenant ; un piaf, un message, un échange et l’impatiente de modifier les projets, ô combien importants –meuh nan, j’en fais pas trop… rhoo, c’est pour le suspens !
Sarlat donc et le trio infernal de débattre et non pas se battre ; ira, ira pas ? Vote à mains levées… dommage pour la sulfureuse, plutôt frileuse sur certains sujets d’ailleurs ; Tsss, l’est pas si regardante quand il s’agit de plaisirs luxurieux ou vestimentaires ! Bref, décision fut prise de partir à l’ouest… atlantique plutôt que méditerranée et les donzelles de reprendre la route.

[… pour récupérer l’Alpha]

La caboche qui turbine à plein régime, autant dire que ça fume par les oreilles… et le sourire d’éclairer le minois sous l’impulsion d’une hypothèse –houlà, ça fait peur !!! Autant d’idées en si peu de temps, elle va finir par y rester l’oxygénée-, l’occasion est trop belle de recouvrer leur blond compagnon et le volatile de porter un billet chez les curetons.

Trois nuits écoulées pour rejoindre la cité… et l’alpha qui les attendait tranquillement afin de reformer le quatuor. Nul doute que la féline devrait s’expliquer quant à la cicatrice qu’il portait maintenant à la gorge ; mais pour l’heure, profiter du plaisir des retrouvailles.

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Maribel
[La pseudo blonde en cavale…]

Plus le temps avançait et plus une évidence s'imposait… Deux sœurs se confondant? Un sang mêlé s'entrecroisant? Deux créatures dont la personnalité pouvait s'interchanger subtilement sans qu'elle ne s'en rendre vraiment compte… Sorcières machiavéliques ou simplement deux divines complètement barrées? Autant la sulfureuse pouvait être d'une douceur extrême et autant, à l'instar de sa jumelle, elle pouvait devenir carrément dingue… Mieux valait se tenir loin quand les fils se touchaient dans la brune cervelle…

Bravant le stéréotype même de la blonde pulpeuse adepte de plaisirs luxurieux et de fringues de grands tisserands, c'est plutôt la brune qui se comportait en vraie poupée… Préférant draguer outrageusement et magasiner les mini-houpelandes que de partir en guerre… Mais ne vous méprenez pas pourtant! La vraie blonde, la russe, bien que détestant les mièvreries était des plus soignée sur sa personne et ne dédaignait pas les nuits d'ivresse interminables, surtout celles en compagnie d'un beau brun…

La routine avait repris son cours… Le Maurice de retour de chez les curetons semblait avoir toujours l'esprit aussi tordu, quoique peut-être davantage… Son séjour chez les culs-bénis n'avait certainement pas altéré son côté épicurien… La gamine ronchonnant toujours autant -décidément fallait vraiment lui trouver un soldat à se mettre sous la dent… nan peut-être pas au sens propre hein… ouie!- Restait la blonde, qui après avoir changé quatre-vingt fois d'idées voulait les entraîner en Bretagne à l’approche de l’hiver… Brrr! pourquoi pas les hauts glaciers pendant qu’on y était namého!

La fêlée brunette n'y tenant plus avait décidé de prendre des vacances et de laisser ses joyeux comparses aller explorer les contrées arides du nord et c'est ainsi qu'elle s'était retrouvée seule à arpenter les ruelles sombres d'un Niort déchu… Une seule envie la tailladait (à part celle de se procurer des nouvelles bottes) son ténébreux, son italien…


Bang! bang!

Deux mois, soixante jours, mille quatre cent quarante heures, quatre vingt six mille quatre cent minutes, cinq millions cent quatre-vingt quatre mille secondes à attendre que l’italien se pointe enfin... Ne doutait de rien lui! C’est que la brune ne possédait guère la patience comme vertu… Normal donc que le cerveau déjà siphonné ait complètement disjoncté après pareil épreuve…

Ruminant pour elle-même, notre petite furie, tragédienne de surcroit se montait d’habiles scénarios dans l’éventualité où elle réussirait à mettre la main sur l’italien… Se voyant tantôt l’engueulant, tantôt l’ignorant, tantôt lui sautant suavement au cou en lui arrachant ses vêtements ou carrément en train de lui refaire le portrait à la hâche, art qu’elle maîtrisait habilement depuis une certaine soirée dans un boisé… Elle ne savait comment elle allait réagir avant que LE moment arrive enfin…

L’envoûtée n’avait aperçut la silhouette sombre qu’à travers les carreaux sales d’une des nombreuses tavernes abandonnées… Son cœur n’avait fait qu’un bond tandis que son sang virait au rouge et que sa main venait se poser instinctivement sur le manche de sa hâche… C’est que le hâlé avait omis de répondre à ses dernières missives, sûrement qu’il s’était mis à manger du piaf en oubliant de le décharger de son vélin au préalable… Pfff devait y avoir du blond bien camouflé sous la racine!

Mais imaginons ici la scène au ralenti, tandis que la belle pousse la porte… Le regard pétillant du brun à la vue de la longiligne créature se dirigeant vers lui… Son sourire s’illuminant à chacun des pas de la sulfureuse se rapprochant toujours plus… Et la Mari de laisser tomber une à une ses envies de meurtre au fur et à mesure que ses talons claquent contre le parquet et que sa main retombe contre sa cuisse délestant nonchalemment l’arme… Sourire se dessinant sur les lèvres charnue de la brunette tandis qu’il l’attrape d’une main ferme avant de la serrer contre lui, ses lèvres explorant son cou en le mordillant, lui susurrant des paroles ennivrantes, tandis qu’elle rit aux éclats…


À suivre…
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Rouls
[Qu'il fait bon .. courir apres la meute]

Le blondinet à la mémoire vide tournait et retournait sa carte sur les chemins.

Bondiou de bondiou, par où que c'est qu'elles sont passées les fougueuses..

Il avait reçu un geon-pi qui lui indiquait un point de rendez mais le maumau comme Mari aimait l'appeler, avait réussi à se paumer.

Finalement, après avoir demandé conseil à quelques jolies demoiselles avisées, il avait fini par arriver au village sus-cité dans le geon-pi.

Il aperçut de la lumière dans une taverne et y entra.
Il vit alors 2 crinières attablées: celle de nat' et celle de caren'.
Elles ne l'avaient pas encore remarqué, il lança donc son habituel:

'Soir!

Et attendit leur réaction, un grand sourire aux lèvres
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Hecat
[Quand le destin s'en mêle]

Une rupture, un coeur brisé qui saigne abondamment, une nouvelle vie qui grandit en elle. Voilà à quoi en était réduite la nobliote. Elle qui avait tout pour être heureuse, venait de perdre l'amour de sa vie. Ne lui restait plus qu'à errer comme une âme en peine dans la Rebelle. Et puis Dun lui avait dit qu'il aurait aimé qu'elle parte avec lui. Quitter Gien. Oh, pas définitivement mais pour un long moment. Elle ne pouvait s'y résoudre, même si elle ne voulait pas le savoir loin d'elle, trop attaché à sa ville et ne voulant pas s'éloigner de Bel, même si leur histoire n'était plus.
Et puis une lettre, un frère qui avait été enlever à sa famille à l'âge de deux mois, emmené en Russie. Il se trouvait à Poitiers, malheureusement amnésique depuis son arrivée. Il fallait qu'elle ailles le chercher pour le ramener auprès des siens à Gien.
Finalement le hasard fit bien les choses. Elle savait qu'un des buts de son voyage était de la retrouver, elle, la magnifique brune qui avait mit leur sens en éveil. Elle accepta de faire le trajet avec lui, sachant que la brune ne serait qu'a une journée de marche de Poitiers et qu'elle aurait l'occasion de la revoir.
Le séjour de la meute à Gien l'avait beaucoup marqué. Elle s'était fortement attaché à la brune, devenant plus proche au fils des soirées qu'ils passèrent ensemble tous les trois. Hécat repensait souvent à ces deux merveilleuses nuits qui les rendit un peu plus intime. Elle lui manquait énormément et avait espéré la revoir.



[Enfin les retrouvailles]

Après une semaine de voyage, les voilà arrivés à Poitiers, malheureusement, elle devrait patienter encore une journée avant de la voir enfin. L'Italien se faisant attendre. Mais l'armée frappa et la brune tomba. Ils quittèrent Poitiers pour Niort ou elle la retrouva au dispensaire, le visage tuméfié, les côtes cassées et une énorme cicatrice sur le ventre. La nobliote rageait de voir la belle dans cette état. Il ne lui restait plus qu'à prendre soin d'elle à présent pour la remettre sur pied. Elle s'y attela immédiatement, l'entourant de toute son affection, de ses remèdes et de ses caresses. Heureuse de retrouver enfin cette chaleur l'envahir quand elle était auprès d'elle.
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Natasha
[Destination finale… la Bretagne]

Heu finale… pour l’instant hein ! Si la russe était d’humeur changeante, les itinéraires l’étaient tout autant ; capacité de la blonde à modifier les projets aussi vite qu’elle vidait les chopines –rhooo, meuh nan elle est pas alcoolique, juste qu’elle profite quoi-… pourtant, cette fois elle garda l’cap contre vents et marées !
Saintes, La Rochelle, Niort… et la Bretagne apparue, Rieux ! Tout allait bien, voyage sans encombre pour le trio ; ben oui, la divinissime chiantissime (oui, j’invente et même pas peur !) Mari, s’était bien évidemment arrangée pour éviter le périple à grand renfort de prétextes aussi nullissimes les uns que les autres… Imaginez, elle avait même osé mettre son abandon sur le dos de la platine, comme si c’était de sa faute, namého !

Notre charmante triplette explorait donc le Grand Duché… pour être grand, c’est grand ; tellement qu’on croisait pas un péquin à des lieues à la ronde ! Tsss, elle était d’qui encore cette brillante idée de visiter la toundra… Erf, sans commentaire ; si on allait voir la mer !
Et la fine équipe posa finalement ses bagages à Saint Brieuc, espérant sans doute y croiser quelques personnages hauts en couleur… ou pas.
Malgré la désertion environnante, ils décidèrent de prolonger le séjour ; du peu d’autochtones rencontrés, l’accueil fut agréable et voyager ne nourrissait pas son homme… d’autant que l’Alpha ne manquait pas d’appétit ; à croire que son séjour monastique avait éveillé en lui quelques découvertes, ce qui n’était pas pour déplaire à l’oxygénée mais ce n’est pas le sujet.

[C’est quand qu’on va où ?]

Les jours qui passent et les interrogations qui fusent. Dis Bella, qu’est-ce qu’on fait ? Quand est-ce qu’on s’tire ? J’voudrais pas dire mais on s’emmerde ? T’as des nouvelles de la sulfureuse ?... Fait c’que tu veux. J’sais pas, bientôt surement. Ouais, merci d’me le rappeler. Ohhh, mais ouais, j’vous ai pas dit… et le poison de conter à ses compagnons les mésaventures de la brune lâcheuse ; l’attente de l’italien à Niort, l’arrivée des orléanais à Poitier, et bien sur, la rencontre de l’armée poitevine en voulant rallier les deux villes… conclusion de l’histoire, jumelle en vrac, 45jours d’convalescence !
Grimace de la féline qui en disait long sur ses pensées, coup d’œil à sa « famille » de nouveau amputée d’un membre et soupires… Dans l’esprit alcoolisé –ben ouais, rien d’autre à faire chez les pochtrons…hum, bretons pardon- trois possibilités se menaient bataille ; rester chez les briochins, rejoindre la ténébreuse ou repartir en balade… beaucoup d’hypothèses, autant de méfiance et le verre de rejoindre les lèvres purpurines, des fois que ça l’aide à réfléchir !

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Natasha
[On reste, un peu, beaucoup, pas…]

Pas trop longtemps. Les neurones imbibés –Tsss, oui elle en a plusieurs- au chouchen, elle évaluait la situation… Disons surtout qu’elle essayait, plus habituée à foncer qu’à penser… Quoique, elle devenait hésitante depuis quelques temps ; à croire que son caractère déjanté s’évanouissait dans les méandres de l’ennui… horreur et damnation ! Ah non, c’est son quotidien ça en principe ; ouch ! l’était temps d’se bouger… encore un peu et elle était contaminée par la grippe oursine –rhoo mais si, vous savez bien ; la bisounoursite aigüe et oui, j’invente et je fais ce que je veux !

Premièrement, mettre à profit le séjour ; bien beau d’visiter la terre du bout du monde mais l’tourisme n’était pas l’objectif initial… preuve d’ailleurs qu’elle fonçait plus qu’elle ne réfléchissait, au grand désespoir de ses compagnons, qu’elle embarquait dans les galères… et repartir comme ils étaient arrivés, plaisait moyennement à l’orgueilleuse. Non mais franchement, traverser une partie de Royaume pour… rien ! Fallait pas être futée hein ; bienvenue dans l’existence d’une dégénérée dont la connerie n’avait d’égal que la démesure… autant dire qu’elle en tenait une sacrée couche !
Attention, ne croyez pas qu’elle ne possède que des qualités ; non, non, elle a aussi ses défauts… les plus assidus en auront retenus quelques uns, pour les autres nous dirons que la perfection du pire n’est pas donnée à tout le monde.

[Destins croisés]

Le Grand Duché a pour particularité son atmosphère toute personnelle ; contes et légendes, rumeurs et croyances en tout genre… korrigans, loups garou, elfes et autres chimères y ont la part belle ; la nature protectrice ajoutant à l’ambiance fabuleuse.
De fait, la blonde assiégeait les tavernes plus régulièrement ; le climat n’invitant pas aux balades intrépides et, comme le hasard peut être favorable…

Une jeune femme entra, conversation lancée et la caboche de turbiner ; potentiel de la donzelle à rendre l’escale profitable. Affaire entendue, de prédateurs à protecteurs, la frontière est mince et la meute de devenir escorte. Voyez bien, sont pas si mauvais ; meuh nan, savent être charitables aussi…quand ça rapporte ! Premièrement plié, sourire affiché et date de départ arrêtée mais, comme le hasard peut être malicieux…

Il entra ; l’œil vif, la truffe affutée, le poil soyeux… oups, je m’égare… Il, c’est un brun ; un regard à tomber, un sourire à se damner, de l’esprit et ô démoniaque magnificence –ouais, croit pas aux miracles Blondie-, une bonne dose de connerie aussi.
Il, a réussi à la charmer ; Il, est parvenue à la toucher… et l’organe qu’elle muselait jusque là s’est révolté ; Il ou l’art d’éveiller aux sentiments sauf, que le hasard est parfois cruel…

La platine est sauvage ; la féline est indomptable… et déjà le cœur est censuré ; et déjà le signal est donné. Un mot, un baiser, un ultime regard parce qu’il faut partir, parce qu’il faut vivre…

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Natasha
[Mais où sont donc passés les fêlés du vice ?]

… ils sont partis et ils ont chevauché… longtemps, sans escale, sans temps mort ; le Grand Duché derrière eux, proche passé et déjà si loin… projets inabouti, rencontres et de poursuivre la route sans se retourner. Le martellement des sabots sur le sol gelé et le sifflement du vent, seuls audacieux à briser le silence enveloppant le trio –ben oui, souvenez-vous, la sulfureuse s’était esquivée pour finalement se faire poutrer en Poitou- ; visage fermé de la détestable, regard sombre et mâchoires contractées… autant de signaux qui n’engageaient pas à la conversation et, cette fois, l’alpha ne s’y laissa pas pendre.
Le danger avait différentes formes et la blonde en connaissait un brin mais là, elle était passée près ; là, elle avait sentie la peur et c’était la sienne. Sans doute la gamine avait perçu le risque, qu’elle paraissait plus nerveuse et pour cause ; l’arrogante platine s’égarait, à se perdre peut-être face à lui ; quand la menace porte un joli nom… Saturne

Mais les affaires n’attendaient pas et l’équipée d’avoir une escorte à mener ; les lieues furent parcourues jusqu’en Bourbonnais, sans embûche et la jouvencelle retrouva ses proches alors que le groupe garnissait ses poches. Court séjour afin de préparer le retour sur le littoral ; la séparation n’avait que trop duré et l’impatiente trépignait de récupérer sa semblable… Déjà, la caboche moulinait quant à différents projets mais l’essentiel résidait dans le rassemblement de la troupe.
Les desseins ne concernaient, néanmoins, que le futur proche ; hormis son élucubration de diriger l’armée des ombres* puisque l’orgueilleuse était persuadée de son imminent trépas.

Ils reprirent donc la route dans le calme… trop surement et le besoin d’action de s’intensifier à chaque nouveau jour ; concertation, décision et le bivouaque fut installé en deux temps, trois mouvements… comme quoi le blond pouvait être expéditif ! Et l’attente de commencer, et d’aiguiser les lames, et de s’occuper comme on peut sous des trombes de flotte… ou quand les illuminations d’une russe deviennent pur plaisir ! Mouais, faudra l’dire vite hein ; toujours aussi instinctive quant à la chasse aux pigeons, elle avait choisi LE nœud désertique encore une fois… résultat… ben, un malheureux poulet et trois dindons de la farce… ouais, s’sont farcis la pluie, le froid, la nuit pour –roulement de tambour- tadammmm, rien !
Sur qu’il faut avoir le gout du risque hein… mais pour l’heure, l’impertinente n’aspirait qu’à rejoindre Mari… ce qu’ils firent bien sur, pour perdre aussitôt l’acidulée et Roulsy ; l’improbable duo prenant une direction, les maléfiques frangines en prenant une autre… Maudite la meute ? y’a des chances, compte tenues de leurs frasques.


*(ndlr : tout rapport avec une dénomination existante serait réellement fortuite)
22-12-2010 04:06 : Vous avez racketté M... qui possédait 4,93 écus et des objets.

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Carensa


Tu verras à Poitiers tu vas t'éclater ?

Ah pour s'éclater ils s'étaient éclatés.....dans la boue, clair.... la panse aussi mais pas plus, on pouvait même dire qu'ils s'étaient fait "gravement" chier.

Faut dire que le contact s'était fait un peu désirer, elle aimait pas les blonds et encore moins les barbus et là elle avait su, une fois de plus, pourquoi !!

Il pouvait se vanter de vouloir lui tenir compagnie en taverne, tu parles Charles ! elle n'avait pas vu l'ombre d'un poils de barbe ni d'autre chose d'ailleurs.

Bref, autant dire qu'elle savait aujourd'hui pourquoi il ne fallait compter que sur soi même ! et surtout pas sur la gente masculine !!

Direction Craon avec le poisson rouge, sauf que..sauf que..la veille du départ la soirée s'était bien passée, peut être trop bien et l'acidulée d'oublier de partir, vautrée dans les bras d'un brun à l'odeur de bouc, oueh elle raffole que voulez vous, alors la route elle l'avait prise mais seule et le lendemain.

A présent il fallait retrouver le blondinet qui avait du prendre une chambre dans une des auberges du village. Elle comptait bien s'amuser un peu et d'ailleurs elle allait commencer tout de suite en entrant dans l'une des tavernes au nom prometteur "Au tableau de chasse". Comme aurait dit sa blondasse préférée

- y'a quoi comme gibier au menu ??

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Rouls
(sur un ton triste et lourd)
Mais qu'allait il devenir...
Qu'allait il finir par faire avec cette meute qui se découd et se recoud au fil des noeuds parcourus...

(sur un ton enjoué et musical)
Peu importe, le poisson rouge ne se prenait jamais la tete, (ou le bocal c'est selon) et il suivait tant bien que mal le mouvement.

Un coup avec la blonde, un coup avec la gosse, un coup avec la brune,.... que demande le peuple après tout...

Bref, c'est un peu seul qu'il se retrouva une soirée à Saumur. L'acidulée était encore partie batifoler on ne sait zou et les 2 diablesses étaient loin..

C'est alors qu'il rencontra un drole de spécimen. Celui-ci lui parlait de liberté, de coeur enfermé, de voyage, bref il lui volait son discours.
Fort heureusement ce spécimen était plutôt du genre féminin et, peu importe la couleur de cheveux, fort interessée et intéressante.

Elle se fit comprendre, lui de même... C'est pourquoi ils finirent tous deux par ...hum..comment dire... égayer cette soirée qui aurait pu se terminer plus solitaire.

C'est ainsi qu'il aimait les rencontre l'alpha... efficace, sans prise de tête et empli de plaisir..

Il se quittèrent et il reprit la route, informant tant bien que mal sa compagnonne qu'ils iraient à Craon..

Pas de nouvelle, bonne nouvelle.. cette derniere aura surement trouvé un cheval plus rapide qu'un poisson rouge...

Il arriva donc seul dans ce village et se mit en tete d'attendre ici de pied ferme que la meute se reforme, et cette fois-ci il ne bougera pas sans elle!

et comme il dit souvent: Maoowwwwww

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Tulys
Parce qu'elle était seule, parce que sa semaine d'esclavage avait été plus que morne et triste, (elle allait se faire fort de donner mauvaise réputation à son maitre d'ailleurs), et parce que la blondinette était calme.

Ce soir là, rien d'inhabituelle, juste un sourire légèrement plus coquin que d'habitude avait attiré son attention. Elle avait été... foudroyé par son regard, tétanisée, fascinée... Un sourire, un coup d'oeil complice... Ils étaient les même, ne cherchant rien de précis, juste quelques instants de plaisir partagé.

Soirée douce et agréable, sans complications... Peut être se reverraient ils un jour au détour d'un sentier tortueux...

Le lendemain, il avait disparu... la blonde pensa un peu à lui, et reprit également sa route, l'oubliant à son tour. La vie d'une blonde voyageuse libre et insouciante, des rencontres, des au revoir...

Mais pour l'heure, il est temps de reprendre une activité saine, et surtout enrichissante, dans les deux sens du terme...La route serait longue, une fois de plus, les temps difficiles, mais qui sait... peut être lui sera t il épargné les affres de la vies et des routes hasardeuses... ?
Natasha
A force de détours, crochets, virages, impasses et autres rallongements ; les frangines cruchissimes parvinrent à rejoindre leurs complices... La dernière trouvaille de la blonde, prendre ses quartiers à Craon ; ville attrayante selon les rumeurs mais plus chiante qu’attachante… Faut avouer qu’après deux jours dans une ville, la féline s’emmerdait ou emmerdait –au choix- sévère mais là… Erf, sans la vinasse, on s’croirait en Limousin, c’est pour dire !!

Le quatuor réunit donc, l’impatiente décida rapidement de reprendre la route ; quelques jours de chasse leur feraient l’plus grand bien selon elle et d’autant aux bourses trop pleines sauf que… son flamboiement avait ses limites et les lieux visités, tout aussi désertés que son encéphale ; ben ouais, ça s’invente pas une telle nullité hein !
Et vas-y qu’on monte le campement ; et vas-y qu’on patiente comme des glands ; et vas-y qu’on… Gné ! un piaf ? Nan mais un vrai, un pigeon bien dodu avec des plumes et porteur d’un message en plus ; vous l’croyez ça ! Etre en planque sur un nœud et recevoir un courrier… Pfff, y’a plus d’respect franchement !
Bref… missive lue, réponse rendue, membre supplémentaire trouvu ! –ouais, ça s’dit pas mais j’aime bien la rime- et vas-y qu’ils ont attendu… ça chuchote, ça ronchonne, ça gargouille ; ah ouais, devinez qui a oublié d’bouffer ? and the winner isssssss… l’Alpha ! P’tain, le blond dans toute sa splendeur, j’vous jure… ‘fin nan, j’jure pas mais on comprend l’idée.

Le poison fulminait en silence quand un type apparu dans son champ de vision ; sifflement à l’attention des autres… ouais, pleine de talent la gueuse ; en bonne chasseresse, elle imite les volatiles… ça vous la coupe hein ! Ils tombèrent sur le pauvre solitaire* qui donna sa bourse sans piper ; pour l’action on repassera, et pas que d’ailleurs… fauché ! Le pigeon était plumé, moissonné, lessivé… des plombes à poireauter et même pas d’quoi boucher une dent creuse !
Mêmes joueurs jouent encore… et l’équipée sauvage de poursuivre le braconnage, brigandage ? Ah bon ?

Tsss, équipée ouais, sauvage heu… joker ! Alors là, accrochez-vous à vos braies… du lamentable, du déplorable, du pitoyable ; en deux mots, pathétique et, finalement, comique…
Deuxième jour à bivouaquer, deuxième nuit à chasser et la proie qui approcha sans grande discrétion ; quelques instants plus tard, ce sont deux silhouettes** qui se dessinèrent et le groupe de se frotter les mains en zieutant les sacoches plus épaisses que la bourse précédente. Chacun à son poste ; le nouveau d’appâter les victimes et le trio de les encercler afin de les soulager de leurs biens… heu, ça, c’est la partie théorique, parce qu’en pratique… y’a eu comme un os !
Le couple s’était arrêté en voyant l’appât, comme prévu ; la meute les avait cernés, comme prévu ; l’oxygénée avait lancé une de ses fameuses conneries, comme prévu… sauf qu’ils n’avaient pas obtempéré… le choc ! Pas le temps d’ourdir une parade que les cibles devenaient assaillantes en collant la raclée du siècle à la formation médusée… avant de les laisser s’enfuir en boitillant, pour ne pas dire rampant… nan mais c’te honte ! Décidément, auprès de la blonde, il fait bon… SEULEMENT courir !


**31-01-2011 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de S... et de E... , qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.
*30-01-2011 04:05 : Vous avez racketté K... qui possédait 2,25 écus.

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Erraa
Un petit tour au marché pour acheter du bois. C' est fou ce que la forge consomme! Une charette attelée à Patenfer et c' est parti pour un aller - retour à la mairie. Arf vraiment le bois devient inabordable. De retour à la maison la décision est prise ce soir elle ira à Mayenne couper ce qu' il lui faut.
Une petite malle vite prête une apparition en taverne pour trouver un compagnon de route et les voila parti.
Squal est vraiment adorable. Il n' a pas hésité une seconde. Bon d' accord il devait s'y rendre aussi mais il n' était pas obligé. Sur la route Il l' a couverte de compliments. Et plus elle rougissait plus il semblait s' amuser. Il fit même une halte à l' orée de la foret pour lui faire un bouquet des rare fleurs qui perçaient en ce mois de janvier.
Le voyage se passait superbement entre flatteries et rigolade quand au loin ils apperçurent une silhouette sur le chemin. Ils s' arretèrent au cas ou la personne aurait besoin d' aide. En moins d' une minute ils se retrouvèrent encerclé par 4 brigands. Oui des brigands parce que 4 personnes qui vous encerlent dont un qui hurle "la bourse ou la vie" ou un truc approchant d' une banalité affligeante ne peuvent être que mal intentionnées.
Arf faut que ça tombe sur nous... En même temps que le sursaut de peur bien normal la fifille a le cerveau en ébullition.
Elle va faire d' une pierre 2 non 3 coups...Enfin on verra on est jamais sûr du nombre de rebonds quand on lance un cailloux dans une marre. La main sur le garrot de son épée en une fraction de seconde elle se ravise et se planque derrière le connétable en faisant mine de trembler. Et oui que voulez vous les mecs sont tous pareils. Dés qu' il peuvent faire la preuve qu' ils sont le mâle dominant on les tient plus. Forcément la ruse marche à merveille et Squal gonfle le torse sort son épée et fait de son mieux pour protéger son amie. Dés qu' il a le dos tourné elle dégaine le plus vite possible et s' attaque discretement aux deux qui étaient derrière. Visiblement pas habitué à de la résistance le petit groupe se retrouve vite le ventre à terre à essayer de filer à l' angloise. Pfffff même pô drole ça a été trop vite. Si seulement pouvait y avoir un breton ou un anjevin dans le tas la petite elle serait ravie.
Pendant que Squalow coure un peu derrière les michants qui boitent en criant des truc bateaux pour leur faire un peu plus peur Erraa remet en place une mèche qui s' était éprise de liberté pendant la bagarre. Elle range son épée et reprend un peu la comédie de la tremblotte.

Ho squal comme j' ai eu peur! Tu m' a sauvé la vie tu es mon héros!
Pour parfaire le tout elle se jete à son coup et lui fait un gros bisous sur la joue. C' est niais, c'est gros comme une maison mais ça marche. Les mecs je vous jure... Un dernier petit coup de fifille en detresse et elle aura gagné sur toute la ligne.
Ho non! Regarde ils ont abîmé mes jolies fleurs...
.finn.
Un.. Deux.. Trois... Plus un ça fait quatre. Et quatre contre un, c'est ce qu'on aurait appelé un guet-apens dans les règles, sauf que voilà.

Un cul-nu croisé à Alençon, une demande d'escorte de la part du malheureux, Finn sauta sur l'occasion. Surtout lorsqu'il apprit que le mal vêtu transportait dans ses malles le fruit de la vente de son lopin de terre. Classique.

Une opportunité pareille ne se rate pas pour tout malandrin qui se respecte. Mais la bonne fortune servant parfois d'antichambre à la pire des poisses, l'Irlandais sous couvert d'escorte avait atterri, accompagné de son pigeon, dans un bourbier sans nom. Mauvais endroit, mauvais timing. Le coin isolé prévu par ses soins à la dépouille de son candide volatile servait déjà de terrain de chasse à la racaille locale. Compromis s'en suivirent, l'alliance faisant la force, l'Irlandais glissa vers le trio partageant la zone. A eux quatres, sa proie n'avait plus qu'à numéroter ses abattis au cartilage près.

30-01-2011 09:14 : Vous avez été accepté au sein du groupe de la Blonde pas commode.

Etranger parmi les trois délesteurs chevronnés, Finn s'en remit aux directives de celle qui se faisait nommer la Blonde durant leur échange épistolaire d'un feu de camp à l'autre, un peu plus tôt dans la soirée. La chasse était lancée, et bien sûr, lui servait d'appât.

Moi?? Mais.. mais.. Fock!

Pas le temps de tergiverser, la proie était en vue. Fallait avouer que l'Irlandais était surement le moins effrayant du quatuor, passant ses journées à user ses chausses sur des routes poussiéreuses depuis qu'il avait posé le prime orteil sur cette terre d'asile. C'est pas le genre d'exercice qui vous charpente un homme.
L'Etranger s'élança à cloche pied, un bras en écharpe avec l'art et la manière des piètres et autres mendiants faussement éclopés de la Cour des miracles. La main tendue vers le duo en goguette, plaintive...

Le tour était joué, des années de pratique à arpenter les rues de sa cité natale venaient d'attirer les naïfs dans un piège dont ils ne sortiraient qu'en plusieurs temps. Du moins ce qu'il espérait, car l'imprévu ne tarda pas lui soutirer ses dernières illusions quant à l'issue de la confrontation. Si tant est qu'il y ait eu réponse aux coups généreusement distribués par l'homme du duo mainois. Le brave, il les gâtait, fallait vraiment pas... Quelle débâcle!

Rapidement, et encore pas assez, l'Irlandais et ses quatres comparses d'une nuit firent dos aux chassés devenus chasseurs, et se carapatèrent à travers les bois en boitant pour de bon cette fois.

Haletant et suant à grosses gouttes.


Croyez qu'on les a semé? Ca doit être c'qu'on appelle un repli stratégique chez vous.

Une déroute amère, doublée d'une dernière déception, comble de tout, son pigeon initial s'était envolé les poches pleines...

31-01-2011 04:05 : Vous vous êtes fait proprement marave par deux cinglés qui essayaient de vous résister. Par chance, ils vous ont laissé vous enfuir en boitillant.
Natasha
Comme tout le monde l’aura compris, la petite virée s’était conclue par un échec, pour le moins cuisant ; petit bilan en rentrant au bercail, pas plus glorieux que l’excursion d’ailleurs.
L’Alpha en vrac… ouais, j’vous rappelle qu’en plus d’ la raclée, môssieu « j’dévore toutes les femelles à portée d’crocs » avait oublié d’bouffer ; le comble pour un affamé !
L’Irlandais braillard… ouais, fallait l’voir s’carapater à travers bois en beuglant aussi fort qu’il galopait ; note pour plus tard : pas d’intérimaire sauf pourvu d’un bâillon !
L’Acidulée embrasée… ouais, la gamine est pire qu’une bête quand on la blesse, elle charge et malheurs à ceux qui s’trouvent sur son chemin ; inutile de préciser qu’une barge s’en est chargée !
Le Poison dérangé… ouais, comme si la volée suffisait pas, l’a fallu qu’elle calme les ardeurs guerrières de la brunette ; une cuisse en rade et quelques bleus, blondeur quand tu nous tiens !

Tout ce p’tit monde débarqua donc à Craon… s’refaire une santé, analyser la débâcle et, prioritairement, vider quelques chopines… d’accord, quelques fûts… quand ils n’arpentaient pas les quartiers en quête d’animation.
C’est un soir comme tant d’autres qu’une nouvelle fois, la caboche turbina à plein régime ; le regard s’était posé sur un mur banal, couvert d’affiches quelconques jusqu’à apercevoir le message, succinct mais explicite… aux mots parcourus, les ambres s’assombrirent comme le minois se durcit et, bien sur, le départ annoncé...

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Jeanne..
[Parce qu'il faut bien une première fois..]

Sur les routes..
La gamine suivit la meute sans dire un mot, impatiente de vivre cette nouvelle aventure.
La blonde dirigeait, scrutait les lieux, inspectait chaque fourré, chaque recoin. L'endroit fut enfin trouvé.
La Jeannette en profita pour s'mettrequelque chose sous la dent. Elle aurait bien bouffé d'la bidoche, mais bon on fait avec c'qu'on a.
L'obscurité vint à tomber..Dernières consignes, dernières recommandations de la part de la blonde. Vous auriez pensé qu'la Jeannette aurait ronchonné. Eh bien non, elle ouvrit grands ses oreilles, et resta attentive aux moindres conseils de la blondasse.
Pas un bruit, pas un mouvement.

La gamine commença à trouver le temps long..Elle aurait voulu parler, pour ne rien dire évidemment, ou s'entrainer à lancer les couteaux..Mais là, rester là, sans bouger d'un poil...Nan, la patience n'était pas son fort.
Elle allait bouger quand quelques bruits discrets se firent entendre.
Elle observa ses compagnes de voyage, attendant le moment propice pour bondir.

Elle n'aurait pas voulu se lancer ni trop tôt, ni trop tard. S'prendre une raclée ne lui faisait pas peur. Ah ça nan...Elle en avait vu d'autres, et les coups n'étaient pas dans ses craintes.
Nan, tout faire foirer, ça elle ne le souhaitait pas surtout pour une première fois.

Mais la proie s'avança, et tout se déroula de façon très naturelle. La Jeannette émit un grognement , et bondit sur celle ci en même temps que les deux autres
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Citation:
01-03-2011 04:06 : Vous avez racketté A......... qui possédait 15,50 écus
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