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[RP ouvert] Auprès de la blonde, qu'il fait bon... courir!

Natasha
[A vos marques…]

Ou quand la meute quitte la mare… ‘fin, une partie seulement ; pour l’organisation, on r’passera hein !
Pour résumer : la blondasse impatiente, une affiche, un courrier, un départ précipité… résultat, la moitié du groupe restée en plan et l’autre moitié qui partait avec une recrue ; membre encore innocent qui ne tarderait pas à saisir… on quitte un marécage pour un bourbier ; Si c’est pas génial l’aventure quand même !

La chevauchée infernale était arrivée à bon port, ou plutôt dans l’bon trou… ah si, si, un vrai de vrai ; l’genre d’endroit où l’cimetière est plus peuplé qu’la cité, ce qu’on appelle ordinairement, une ville dortoir. Bon, jusque là, tout va bien… à condition d’pas être dérangé, à condition d’pas cumuler les vices, à condition d’être normal simplement.
Sauf que… ben ouais, sont bien mignonnes les amazones, mais pas franchement saines hein ! sauf qu’la platine était la seule à savoir ce qu’elles foutaient là, sauf qu’la nouvelle cherchait toujours sa place au sein du groupe et sauf que la fidèle brunette n’aspirait qu’à s’amuser… moui, pour sa défense, le poison s’emmerdait sévère tout comme la blondinette en goguette.


[Attention, illumination]

Erf… je sais, la cata ! Mais pourtant, c’est arrivé… une idée sous la chevelure –fort belle d’ailleurs- de notre blonde étrangère ; un p’tit tour en campagne, histoire d’visiter la région ? Mhm… comment ça pas crédible ?
Bref, le trio maudit… on comprendra bientôt que c’est un fait avéré… qui part en pique-nique, bivouac obligé tellement l’escapade est plaisante et ô surprise, un besoin d’action !
L’oxygénée exaltée donne les consignes ; le duo de choc qui l’accompagne, tout aussi enfiévré acquiesce… le silence, la pénombre… et la pauvre victime qui se pointe, la bouche en fleur et le pas léger… sourire carnassier qui s’affiche sur le minois angélique, coup d’œil et hochement de tête à l’attention des complices ; les gamines se ruent sur la donzelle qui cède, sans résistance :


Trop facile…

La victime est laissée là, comme deux ronds de flan et les divines de se partager le maigre butin… écarquillement des ambres comme elle aperçoit LE truc qui tue ! Une boule de neige… Déjà la caboche turbine, comment la conserver avec les températures qui s’annoncent ?

Humpf… m’a gâtée la greluche !


01-03-2011 04:06 : Vous avez racketté A... qui possédait 15,50 écus et des objets.

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Alanvega1
L'gascon avait quelques contacts avec la blonde, du genre des contacts feminins appuyés.
Jamais croisé la gueuse, et ça serait pas pour de suite, mais certains lui racontaient ses frasques...
Souvenirs si quand meme de l'avoir croisée en Bourgogne, à l'epoque l'Gascon trainait avec un bougnate, une sacrée bougnate, adepte des bottes cloutées...
S'ennuyant en plein océan, l'Gascon revisitait de prochaines recrues...
Oh pas du genre à faire l'commun du pécore, il pensait juste à s'amuser et laisser les modes groupes avec plein de propositions pour mieux leur repondre "désolé, j'suis un artisant, j'fait mon compagnonage" !!!
Du fait, il en sorti qu'il enverrait une mouskasse (mouette) à la Nat...

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Jeanne..
le butin était maigre mais la Jeannette y trouva son compte. Pioncer toute la journée, pas trop d'effort, et le plaisir de ne pas savoir qui tomber.

C'qu'ca lui plaisait ce danger potentiel. C'qu'ca lui plaisait de bondir sur des personnes innocentes, et qui surtout s'imaginaient qu's'balader au milieu d'la nuit pouvait les protéger de quoique ce soit. C'qu'ca lui plaisait de partager le butin aussi maigre soit il. c'qu'ça lui plaisait aussi de savoir que danger il y avait.

Attendre dans la pénombre sans bouger, à l'affut du moindre bruit, flairant la plus infime odeur les prévenant d'une éventuelle rencontre la bottait réellement.

Un sourire s'afficha sur son visage encore innocent lorsque la blondasse lui donna les directives pour la journée suivante.
Natasha
[Mêmes joueuses, jouent encore…]

Bon, bon, bon ! Petit bilan de la nuit précédente… lamentable ? Pathétique ? La super grosse honte de la mort qui tue ? Ben ouais, c’est à peu près ça ! Minablement historique de nullité ! Sure qu’elles seraient connues et reconnues dans tout l’Royaume… La blondasse voyait déjà les gros titres des torchons en tout genre : Des voleuses de boule de neige ou la meute des paumées !
L’agacement se lit aisément sur le minois tandis qu’elle réfléchit –hum, toute relativité gardée bien sur- à comment sauver la sphère blanche, après tout, une prise est une prise hein ! Surtout qu’elle se voyait déjà l’écraser sur la gueule d’un quelconque crétin ou, mieux encore, rafraichir les idées d’une grognasse en chaleur… ricanement malsain en écho à la fantaisie avant d’observer les complices de traquenard :


On atteint des sommets là… rien à cirer, j’rentre pas bredouille, on r’met ça c’soir !

La brune acquiesce en se goinfrant, toujours prompt à suivre la dérangée dans ses délires tandis que la blondinette affiche un sourire obéissant… alors la platine donne les consignes et c’est la nouvelle qui lancera les hostilités.

[On prend les mêmes…]

Autre nuit, autre cible… le trio attend, patiemment, silencieusement ; les oreilles à l’affut, le regard aiguisé… elle arrive !
Elle, c’est la proie ; plutôt maigrichonne la brunette mais à sa ceinture pend une petite bourse et ça suffit à attirer l’attention des vilaines. Jeannette en tête, faut qu’elle fasse ses armes, les trois grâces bondissent sans bruit sur la donzelle et là… le choc !

L’oxygénée regarde la victime… écarquillement des yeux, la bouche en cul d’poule ; sidérée la slave et faut en vouloir hein… mais ça, c’est du grand art ! Le temps qu’elle digère l’information et déjà l’autre qui beugle ; action-réaction et la menace qui plane :


P’tain… t’vas la fermer ! Pour une incontinente, t’as d’la voix… j’serais toi, j’ferais profil bas là.

Incroyable, théâtrale… y’en avait qu’une dans l’maudit comté et, bien sur, elles sont tombées dessus ; vla pas qu’elle se met à les supplier mais… ben ouais, la langue trop pendue hein, pour un peu, on lui couperait ! M’enfin, comme tout l’monde sait que l’angélique blondine n’use jamais –ou presque- de violence, la pauvresse s’en tire avec une belle frayeur et lestée de quelques écus.

02-03-2011 04:05 : Vous avez racketté V... qui possédait 39,15 écus.

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Vera.
[Sur la route de Limoge ]

Les gambettes qui fourmillent,
l'envie de voyager, qui lui prend, tant pis pour les risques, tant pis pour le manque de moyen, Vera. s'était ennuyée dans sa ville d'adoption : Tulle , l'envie de voir du pays, l'avait poussé jusqu'au Poitou, après avoir traversé ce comté, elle s'ennuya de son champ et de son maïs , enfin son estomac criait famine et sa bourse était plate, aucun moyen de faire fortune dans les villes visitées, les mines ou les champs c'était peut-être son destin que de creuser pour réussir dans sa vie ?

Aucune rencontre sur les routes, quelques douaniers, bien trop solitaire la brune, puis la tête dans les nuages, ou plutôt dans ses rêves, pour se distraire avec la visite de monuments, ou de tenter de découvrir les traditions de chaque petit coin traversé, remerciant le bon dieu de ne pas avoir fait de son séjour un cauchemar, il était connu que les routes étaient mal fréquentées, peut-être qu'à la base, son séjour était certainement pour s'initier à de nouvelles méthodes pour gagner plus d'écus... dans tous les cas , son destin allait bientôt prendre une autre tournure, son pire cauchemar allait devenir réalité, au lieu de gagner des écus, elle allait en perdre !

Son retour au Limousin, se faisait dans le calme, elle avait apprécié son séjour à Angoulême, les mineurs étaient bien payé, 17 écus, de quoi la motiver. Grâce à son travail au Périgord, elle avait réussi à s'acheter des frusques pour peu cher, chausses et braies de quoi ne plus avoir froid aux petons et encore moins aux miches. Son départ du Perigord fut précipité pour deux raisons, un la mine était fermée, deux son laisser passé arrivait à expiration, aucune envie d'avoir des soucis avec les autorités du duché voisin, elle baissa sa tête et fonça vers Rochechouart, pressée de retourner dans sa ville Tulle pour "manger" tout son maïs de quoi se refaire une santé, c'est que se fringuer c'est bien, mais manger c'est mieux! Ainsi était la vision de la vie de Vera. " il faut vivre pour manger " et non pas "manger pour vivre", pourquoi dépenser d'avantage ses écus en achat de victuailles , quand elle avait tout un stock de nourriture chez elle?

Son estomac gargouillait, mais son excitation et sa joie de se retrouver dans son duché était grande, sa fatigue avait disparu, en apercevant de loin le donjon du château de Limoges, elle allait bientôt arriver dans la capitale, lorsque l'inéluctable arriva ....

La bourse serrée à sa ceinture, juste quelques écus, c'était pas une grosse richesse non, mais c'était la seule qu'elle avait, la vagabonde vivait au jour le jour.

Elle n'avait pas vu un chat sur la route, il faisait nuit, elle s'approchait des remparts de la capitale, quand soudain .... trois furies sortirent de nul part, brandissant épée NON hache? et bâton....

A vu d'œil, les trois brigandes étaient aussi misérables qu'elle ne l'était, mais elles avaient des armes et elle ? bien les jetons tout simplement, la peur au ventre, la brune ne sait pas quoi faire, leur jeter sa bourse et courir ?....ou bien résister ? en attendant elle fit la seule chose que la nature lui permettait de faire : se pisser dessus! .... pis chialer , bien sur que si elle en avait la force elle aurait bien vider les fouilles des trois femmes devant elle , mais leur nombre faisait que ..... à part mouiller ses braies , pis trembler comme une feuille, rien ....d'autre.... n'était possible.

Au loin, elle remarqua un autre groupe de voyageur, bien trop loin pour pouvoir l'assister .... puis le doute et si ces hommes au loin était aussi des bandits de chemin? non non elle ne voulait pas mourir ici, pas sur cette route, elle était encore trop jeune pour mourir !


Elle se laissa faire, une brune la menaçait d'un bâton, une blonde d'une hache, leur accent à chacune était différent, une autre avait également un bâton en main, Vera. ne voyait plus que les armes de ces femmes, le souffle coupé, le cœur qui va lâcher, ..... puis un cri :





AU SECOURS !!!!!AU SECOURS !!!!!!!!!!!!
AUX VOLEUSES !!! AUX VOLEUSES !!!!


Se rendant compte, qu'elle risquait plus en faisant appel, elle se mit à genoux, puis se mit à les supplier :




pitié , pitié .... je n'ai rien du tout .... pas un sous ... rien !!!
je suis comme VOUS! en plus pauvre ..... vous avez vos armes j'ai rien !


Comme si les suppliques de Vera. n'étaient que du vent, l'une des trois montra son agacement, tandis qu'une autre la menaçait de son bâton, la troisième s'occupa de lui ordonner de se relever, visant de la pointe de son arme la bourse qui était visible, la brune n'a pas d'autre choix que de la détacher, les larmes qui coulent à flot, elle la tend à ses trois "bourrelles" ... et ferme les yeux attendant de sentir que sa tête se détache de son corps, ou de recevoir quelques coups de bâtons, s'imaginant d'entrée la douleur qu'elle allait avoir, puis se maudissant d'avoir eu un jour le courage de se retirer de Tulle seule en voyage, désarmée...

adieu écus, adieu belle vie ou bien ?....



02-03- 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de C. de J. et de N.
Verso
routard depuis plus d un an et demi il n'avait jamais etait inquiete par qui que se soit dans le royaume. certain diront qu'il avait les graces du tous puissant, les plus mauvaise langue diront que l'odeur de ses pied y est pour beaucoup. enfin quoiqu il en soit d odeur ou de sainteté il avait un immunité qui devais bien prendre fin un jour...
pourtant la soirèe avait bien commencer arrivant a acheter avant sont depart plusieur chopine de pinard ou plutot de tord-bide, un grand cru aussi connu pour decaper les fer des cheveaux, a un prix ridicule.
les nuit etant fraiche donc il se rechauffe comme il peut en picollant le jaja, enfin c'est surtout une bonne excuse pour s'en mettre plein le cornet. .... d'humeur joyeuse, il se mis a chanter avec sa voix douce et melodieuse qui brise non pas le cristal mais les oreilles de tous etre vivant.... sur qu'il n'a pas du etre dur a repere vu le bruit meme un sourd l aurait entendu arrive... de plus allant de gauche a droite ou de droite a gauche ou de tribord .... enfin elle est pas droite la route, sa bourse claque contre sa ceinture.
puis .....s'arretant pour faire de la place, et oui toute barrique pour etre remplit doit etre vider, pose sa tete contre le tronc de l'arbre. moment intense de reflexion ou il se mets a reflechir a une chose des plus importante...combien de bouteille lui reste t il a vider.
Natasha
Maigre butin encore… et les mots de la donzelle qui résonnent dans l’esprit de l’impatiente :
Vera. a écrit:
je suis comme VOUS! en plus pauvre ..... vous avez vos armes j'ai rien !

La grimace qui s’affiche en y songeant, cette malheureuse phrase aurait pu couter la vie de la greluche… une fois n’est pas coutume, c’est la blondasse qui ronchonne :

Namého ! Comme nous… l’est dingue elle, j’suis comme personne moi ! Ben tu m’étonnes ! Rien qu’la tenue, c’est déjà un dossier hein ; faut pas être futée pour porter des frusques roses bonbons et espérer passer inaperçu… Moui, quoique là, ça s’discute quand même ou pas… doit avoir ses raisons, pis ça lui va tellement bien au teint, pis ça dénature pas sa tignasse lumineuse, pis… Heu oui ; suffit d’la regarder pour constater un gout de la provocation prononcé, pire quand elle l’ouvre bien sur !
Et pauvres ? Pis quoi encore ! J’suis pas pauvre… juste que j’suis pas économe, c’est différent… non mais franchement ! Inutile de revenir sur le raisonnement de la belle qui, rappelons-le, n’est pas connue pour son discernement ; d’ailleurs, parmi ses nombreuses qualités, il est clair que la modestie et l’altruisme l’habitent totalement hein. C’est beau la perfection !

Bref, la nuit approchant, le trio se prépare ; nouvelle pénombre, nouveau silence et l’attente… longue, qui n’en finit pas ; déjà la slave fulmine et s’apprête à replier le bivouac quand…
Les yeux se plissent comme ils croisent les regards interrogatifs des complices ; une moue consternée apparait sur le minois à mesure que la voix s’approche du groupe… p’tain, c’est pas humain d’chanter comme ça ! Pire que l’acidulée… et bientôt la silhouette de l’homme se dessine. On observe, pas de précipitation ça pourrait être un piège ; ouais, l’est pas bien fine mais quand même… un type qui s’balade tout seul en beuglant comme un cerf en rut, c’est pas courant, alors on s’méfie jusqu’à ce qu’il s’arrête. Le sourire étire alors les lèvres purpurines de la prédatrice qui lance un petit caillou sur la tête posée contre son tronc :


Lèves les yeux mon mignon… Surprise !
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Jeanne..
[Jamais deux sans trois..]

Deux nuits à s'planquer, et à attendre les victimes..Et on repart pour un tour, pour une troisième nuit.

Et c'reparti.....La pénombre revient, le temps du silence et d'être à l'affut ..'fin là pas besoin faire grand chose, l'gars v'nait tout seul s'jetait dans la gueule du loup

Rires retenus..La jeannette s'préparait à bondir une nouvelle fois. Les choses seraient faciles, l'guss marchait même pas droit. L'oeil vif, les réflexes en alerte, la gamine attendit le moment propice afin d'lui sauter d'ssus. Mais la blonde ne bougeait pas, pire elle l'épiait, et observait attentivement l'gaillard. La Jeannette , qui avait encore beaucoup à apprendre, s' planqua à nouveau dans la pénombre.

Un caillou lancé sur la tête du gaillard, la gamine qui relève la tête pour zieuter la réaction du guss..


Citation:
Lèves les yeux mon mignon… Surprise !
Verso
hummmm c est quoi qui a atteri sur sont crane..surment un gland se dit il!!! en cette saison le gland etait bien la... mais appuyer par l'arbre! puis les...non le neurone surviant , entendit un

Natasha a écrit:
Lèves les yeux mon mignon… Surprise !


dans un mouvement tres "aerien" , il leve la tete voyant se qui ressemblerai a une femme... enfin vu les formes que ses yeux peuvent distinguer!! mais la il se rendit compte qu'il devais ranger sont service 3 piece car il a fini de vider le fut sur ses bottes!!! quand on a la classe c est pour la vie!! et sans se demonter

"RHOOOOOOOOOOOO pouaaa il viens de loin celui la... oui c'est pourquoi??? "

ne perdant pas le nord se remet un bonne rincer de tord bide!!! puis gonflant le torse... enfin essayant que celui si depasse sont bide, chose pas evidente! c'est sur elle est tomber sous sont charme!!! lui lance un

"alors blondinette on se promene?"
Natasha
Et ledit mignon qui lève la tête… difficilement quand même ; le sourire qui se fait carnassier sur les lèvres de la blonde, comme elle observe les gestes maladroits de la cible. Le temps se fige, une fraction de seconde… heu, p’tête un peu plus, mais dans l’esprit dérangé, c’était court hein !... lui sauter dessus et l’assommer ou se laisser glisser et lui faire face ?
Et vla pas qu’il parle en plus… bon, pourrait faire mieux mais il l’a d’jà pas confondue avec un écureuil, toujours ça d’prit !
Un signe de tête et, tandis qu’elle saute de sa branche, les complices sortent des bosquets… la platine toise l’ivrogne de la tête aux pieds maculés et grimace :

Ouaip, j’me promenais avec mes amies et… votre voix nous a ensorcelées ; à tel point qu’va falloir payer maintenant !

Elle désigne la bourse de sa dague pointée et affiche un minois angélique :


Beau brun, donnes ta bourse et on t’laisse tes boutanches !
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Jeanne..
Sourire en coin...ça allait être encore plus facile que les autres fois. Jeannette sortit d'sa cachette, menaçant l'homme ivre avec son bâton


VA falloir payer, et l'payer cher...J'en ai encore mal aux oreilles...La gamine, les yeux pétillants de malice, pouffe de rire.

Elle ne quittait pas des yeux la bourse qui paraissait plus remplie qu'les autres victimes..

Jeanne avança d'un pas vers l'guss...

Donne nous ça rapidement, ou j'te fous un coup sur la gueule ....Si t'y arrive, on y arrivera bien nous...faudrait pas qu'tu froisses un muscle en voulant la r'tirer
Rouls
[et pendant ce temps, dans le Maine..]

Rouls avait failli y passer. Les curetons et l'ennui global qui régnait à Craon avaient failli avoir sa peau. Dans un sursaut de survie, le blond avati décidé de rejoindre la brune à Laval.

Ahhhhh mais quel soulagement! Des piliers de comptoir à toute heure, des donzelles en veux tu en voilà, des dialogues, des monologues, le blond était servi. plus question de dormir en taverne ou d'aller subir l'"éducation" des moinillons. Il était désormais l'heure de la chasse. Chasse à la coquine, chasse aux cons, chasse à l'ennui et au gniangniantisme qui peuvent surgir à tout instant. Bref c'est le REVEIL.

En discutant avec la brune en taverne, il apprit qu'elle attendait la venue d'un géant.. d'un colosse même. Hâte de voir à quoi il ressemble celui-là et de comprendre pourquoi Mari n'arrête pas d'en parler.

Et les autres dans toussa? La meute on le reforme quand? c'est qu'elles manquent au blond la blonde et la tiote. Il avait hâte d'avoir de leurs nouvelles.

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Natasha
Muet… il en restait muet ! La blonde n’en revient pas avant de se conforter dans le jugement précédent ; il est imbibé… et pas qu’un peu !
Elle s’approche légèrement et sitôt la grimace d’apparaitre ; rien qu’à l’odeur qu’il dégage, sure qu’il transpire de l’alcool. La méfiance tombée dans les bottes, elle lui tourne le dos afin d’observer ses complices ; le regard parle de lui-même « erf… un ivrogne, j’vous l’laisse » et la méprisante d’hausser les épaules, agacée :


P’tain, on pourrait pas tomber sur un nobliau, bien propre sur lui, qui pue pas les latrines et pleins aux as…

Le dédaigneux monologue reste en suspend comme la platine trébuche sous le poids dudit poivrot… surprise, elle en a perdu l’équilibre et se dégage non sans mal de l’étreinte avinée. Comme elle se recule rapidement, mue par le dégout que reflète aisément son minois, elle voit les gamines qui chargent aussitôt ; tandis que la victime tente de se débattre sous l’assaut, l’oxygénée récupère bourse et besaces. Elle se poste non loin et observe l’homme se prendre une méchante raclée avant de rappeler les troupes :

Bon les charmantes, on s’casse… il a son compte !

Large sourire de satisfaction à l’attention des donzelles et le gracieux trio de rejoindre le bivouac gaiment, sans plus d’intérêt pour la proie.


03-03-2011 04:05 : Vous avez racketté V... qui possédait 61,37 écus et des objets.
03-03-2011 04:05 : Vous vous êtes battu avec V..., qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Maribel
Au purgatoire... entre Laval et Craon…

Pendant que la blonde guerroie, la sulfureuse brûle…


Ciel gris nacré de l’immaculé vaporeux des nuages s'effrangeant et devenant d'une pâleur livide dans cet espace déserté d’astres… Lumière blafarde s’insinuant dans les interstices des volets de cette auberge sans âme… Faible vacillement d’un bougeoir, dernier vestige d’une nuit sans fin et sans pudeur… La ténébreuse est vautrée sur la couche, respirant les effluves de leurs torrides échanges, son corps vibrant encore des assauts du géant la couvrant de sa fureur et de l’insatiable concupiscence de sa chair…

La chambre est insipide, d’une teinte crasseuse et le mobilier rudimentaire pratiquement inexistant… L'air embaumé d’un douteux parfum floral voir méphitique rendrait l’atmosphère pratiquement irrespirable, si ce n’était de la lucarne ouverte laissant entrer un peu de la fraîcheur du matin… On peut déjà entendre le doux ramage des oiseaux se confondant aux bruits des bouteilles s’entrechoquant dans la taverne plus bas… Bientôt les premiers soudards viendront envahir la salle de leurs rires bedonnants parsemés de commentaires orduriers sur les gaupes de passage…

La Mari fixe le mur jauni par la fumée qui n’est plus que remugle et chancissure… La belle détonnant dans ce décor délabré… Créature enivrante et apathique prostrée dans le lit de fortune, les cuisses légèrement écartées laissant entrevoir les effluences de leur plaisir… Des hanches fines surmontées à ses flancs d’une poitrine insolente dont la peau mate est auréolée de fines pointes dessinées… Visage de porcelaine à la bouche vermeille et dont les yeux de jade enchâssés s’éclairent de nuances fraîches de l’ondée… Bouclettes noirs encadrant le faciès faussement angélique…

Regard vers le colosse, dont la poitrine se soulève en ronflement saccadé, la bête momentanément apaisée des charmes de la divine… Une main tendue contre la peau rêche de l’homme grognant légèrement… Caresse qui éveille sa salacité, lorsque ses doigts effleurent la turgescente ramification… Regard aigue-marine dont le transparent écrin s’assombrit devant l’insondable… Rêve pugnace chassé d’un battement de cils devant l’abyssal amant aux desseins licencieux…

Baiser sur le front de la brute, douce trêve où la brunette sent son cœur s’étreindre d’une fugace tendresse... avant de revêtir de nouveau son impassible masque…

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Natasha
[Surprise !]

Pour le retour héroïque, on r’passera mais le trio féminin rallia Angoulême tranquillement… sauf qu’aux abords des remparts, surprise ! Une armée… p’tain, des soldats tout partout… incroyable, inespéré, fantasmagorique ! Ben ouais, quand on séjourne dans l’trou du cul du monde, un rien exalte hein !
Pour parfaire l’tableau, lesdits militaires étaient carrément détestables ; hautains, méprisants tant que méprisables, égocentriques, narcissiques… en deux mots, juste insignifiants ! M’enfin, de l’avis blondesque seulement puisque la brunette trouva ingénieux de défendre la ville… et hop ! 45 jours dans la dentine ; conséquence directe, une platine en rogne et le résultat ne se fit pas attendre… la slave qui rallie les nains, trois jours à guerroyer, deux haches en miettes et l’encéphale qui s’éveille.

Retour à la case départ. On bisouille la blessée et on se tire avant d’embraser la ville et les culs terreux qui la peuple… non pas qu’elle aurait des remords, au contraire ; se concentrer sur le reste de la meute et les rejoindre au plus vite. Ensemble, ils récupéreront l’acidulée… sauf nouvelle illumination de l’oxygénée bien sur.

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