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[RP ouvert] Auprès de la blonde, qu'il fait bon... courir!

Arkhanis
Un voyage interminable: partie 1

Il pleuvait encore sur l'infini de la grande route, cela n'arrangeait rien au malheur du pauvre type en loque qui marchait depuis une éternité sur cet enfer de boue et de crasse. Qu'est ce qui lui avait pris de se lancer dans ce bourbier? Quel démon lui avait soufflé de traverser tout le royaume pour une femme? Il se le demandait, car son périple n'a été jusqu'à présent qu'une succession d'emmerdes. Son moral était à zéro... D'ailleurs il n'entrait dans les villes que pour se réapprovisionner puis partait immédiatement. Il était fatigué... Fatigué de faire semblant... Fatigué de devoir supporter les gueules d'endives de ces snobinards, de ces nobles, de tous ces creuvards nés le cul dans le beurre. Autrefois pourtant il était habile pour se mêler à ces gens. Plus d'une fois il leur a soutirés de l'argent rien qu'avec son petit minois. Sans parler de toutes ces greluches tout juste bonnes à traîner dans son lit le temps d'un soir qui croyaient naïvement qu'il les aimait d'un amour véritable.

Épuisé autant par la marche que par le poids de ses pensées, Arkhanis s'affala lourdement contre le tronc d'un arbre, espérant trouver un peu de protection dans les feuillages face à la pluie qui s'intensifiait. Trop crevé pour faire attention à quoi que ce soit et regardant dans le vide, il n'entendit même pas les bruits de pas qui se rapprochaient. Ce n'est que quand il vit une belle paire de bottes se caler en face de son champ de vision qu'il comprit qu'il n'était pas seul. Levant les yeux doucement, il aperçut alors trois types, plantés là, le sourire aux lèvres. Dès le début, il comprit qu'ils avaient un truc d'étrange. Déjà les moustaches à bouclettes ridicules lui disaient quelque chose, mais ce n'est que lorsqu'il entendit parler l'un d'entre eux qu'il se rendit compte qu'il avait affaire à des Italiens. Il l'avait déjà entendu ce parler, il y a longtemps, alors qu'il servait avec les volontaires en Provence.

-Qu'est ce que vous m'voulez... J'pige rien à ce que vous racontez. Tirez vous...

Mais les trois n'avaient pas l'air de vraiment réagir... Alors il leur indiqua comme il pouvait avec les mains de passer leur chemin. Toujours pas de réaction... Puis le trou noir... les jolies bottes du monsieur venaient d'atterrir en plein dans sa figure. Même pas le temps de réagir qu'il se retrouvait l'épée sous la gorge... Ils embarquent sa bourse et son pain, puis se tirent en riant. Grand moment de solitude et de frustration...

-Qu'est ce qu'ils foutaient dans ce coin du pays ceux là... Pis... 150 écus...

Il hésitait à retourner leur botter le cul... Mais il était seul et désarmé... Et puis en loque... Les trois gaillards auraient eu vite fait de le réduire en charpie. Alors il mordit sur sa chique et continua d'avancer. Le poids de ses idées était toujours là... mais plus celui de ses pièces... C'était déjà ça de moins à porter comme fardeau. Mais voilà pas que quelques minutes plus tard, il recroise des gens... Un type et sa gonzesse... Et... Et... ENCORE DES RITALES! Il dut faire un effort pour ne pas paraître trop désagréable, surtout que les deux le dévisageaient. En même temps, un type presque à poil qui se trimballe pieds nus dans la boue... c'est pas banal... Mais à peine avait il le dos tourné qu'il sentit un gros cou contre sa tête. Il tomba face contre terre... En plein dans la bouillasse.

-Ce passe quoi là?

Il se retournait rapidement et vu que le ritale lui avait pointé son épée sur le cou pendant que sa grognasse lui faisait les poches! C'est le bouquet ça! Deux sur une journée!

-Dommage... Vos potes sont passés avant!

Rageant du maigre butin... Les salauds prirent l'herbe à pipe et le rouèrent de coups avant de continuer leur chemin comme si de rien était. Il mit cinq minutes à se relever péniblement, réajusta ce qui lui servait de vêtement, puis continua sa route, mains dans les poches...

-C'est ma journée...

Il repensait alors à Mari, qui devait l'attendre là... loin au bout de cette route infernale. Il avait beau être trempé jusqu'à l'os, cette pensée lui réchauffait le cœur. Il se ressaisit quand il se surprit à être romantique... Comment étais-ce possible... Comment lui, Arkhanis, le loup solitaire, avait il put s'éprendre pour une femme. D'habitude, les femmes, il les supportait une nuit grand maximum, puis déjà il était lassé. Mais là c'était différent, une sensation qu'il n'avait jamais ressentie auparavant... l'amour avec un grand A. Cela l'avait rendu fou... A tel point qu'il s'était lancé dans cette quête interminable. Il allait arriver dans quelques jours... Mais voudrait elle encore de lui? Cette pensée le terrifiait... Être rejeté. Une chose qui lui était déjà arrivée face à des femmes qu'il n'aimait pas vraiment... Mais comment allait-il réagir si celle qu'il désirait plus que tout ne voudrait plus de lui...
Arkhanis
Un voyage interminable: partie 2

La pluie avait cessée, enfin, un petit rayon de soleil transperçait difficilement les nuages gris qui surplombaient le paysage campagnard. Arkhanis ne c’était arrêter que pour prendre un frugale repas avant de partir. De toute façon, toutes ses provisions avaient été volées, il dut se contenter de peu. La faim était en fait devenue une habitude, cela faisait mal au début, mais ensuite, on ne la sentait plus. Et ce n’était pas plus mal, car , sans un rond en poche, il était difficile payer quoi que ce soit. Oh, il ne s’inquiétait pas, il arriverait bien à voler une poule quelque part. Il détrousserait bien un pauvre passant, mais la force et le cœur n’y était pas, surtout après le fâcheux événement en Champagne qui lui avait valut un « B » marqué au fer rouge sur la paume de sa main droite… Mais plus il y pensait, plus il se rendit compte qu’en fait, même si il avait cru le contraire quelques minutes plus tôt… il avait faim…

-Bon arrête de penser à la bouffe… tu te fais du mal…

Difficile de ne pas y penser en fait, comme tout besoin primaire, il nous obnubile tant qu’on ne l’a pas assouvis. D’ailleurs, en parlant de besoin primaire… Y en a un autre qu’il n’avait plus assouvis depuis longtemps. Pas que les femmes manquaient mais juste qu’il ne les trouvait plus à son goût. Lui il pensait à sa petite Mari, la douceur de sa peau, sa démarche aguicheuse, la tendresse de ses baisers, la sensualité de ses caresses… Plongé dans ses rêvasseries, il se remémorait les moments qu’il avait passé à ses côtés, dans le fond d’une taverne lugubre de Genève. Malgré le cadre miteux, il ne pouvait s’empêcher de penser que ces instants privilégiés étaient magnifiques, et qu’il donnerait n’importe quoi pour le revivre ne serait-ce qu’une fois. Il se mit une baffe.

-Arrêtes de penser à ça… Tu es Arkhanis, une fripouille, un fourbe, un salaud sans cœur et sans scrupule. Tu es solitaire… Tu rejoins cette femme juste parce qu’elle était pas mal au pieu…

Il s’arrêta un instant, pensif. Puis repris sa marche en soupirant.

-Non… En fait… Tu es tombé amoureux imbécile que tu es…

Soudain, il s’arrêta net. La bouche grande ouverte. Si il avait pu se voir à ce moment là, il se serait rendu compte à quel point il avait l’air stupide. Puis un petit sourire se dessina sur ses lèvres déshydratées. Devant lui se tenait un vieux panneau en bois moussu rongé par le temps et les intempéries. Il y était inscrit « Laval », son voyage interminable le sera pourtant dans pas longtemps. Et oui, à force de cogiter en marchant, les pieds peuvent vous amener loin, très loin. Il se redressa fièrement, puis repris sa route en sifflotant de plaisir.

Il ne lui fallut pas plus d’une demi-heure pour arriver à Laval. Une bourgade sympathique, pas mal de tavernes. Mais ça il s’en foutait éperdument, ce qu’il voulait, c’est sa Mari, là, de suite, il n’en pouvait plus d’attendre. Il surprit un gosse en train de jouer dans une rue adjacente et se dirigea vers lui.

-Et! Le merdeux! Tu connaîtrais pas une femme aux cheveux sombres plutôt mignonne qui s’appelle Maribel.
-Pourquoi vous m’insultez m’sieur?
-Ferme là et répond.

Il avait beau se montrer menaçant… Le sale gosse avait pas l’air d’être impressionné. Il le regardait avec ses petits yeux pleins de malice.

-Savez m’sieur, d’nos jours tous s’paye.


Arkhanis resta là estomaqué. Sale merdeux, il osait lui demander ça. Elle est où la charité dans ce monde pourrit. Tous des voleurs! D’abords les ritales, et v’là pas qu’il se faisait dévaliser par un môme de 10 ans! Il avait pas le choix, trop impatient de chercher de lui-même et trop crasseux pour s’adresser à l’un de ces snobinards richement vêtus qui refuseraient surement de parler à un pouilleux en loque comme lui. Il était tombé bien bas le loup solitaire, la terreur du nord…

-Tiens vla mon dernier écus sale mioche, maintenant dis moi!

-Suivez moi m’sieur

Le gamin commença à arpenter la ville. Plus il avançait, plus Arkhanis avait l’impression de s’enfoncer dans les bas-fonds de la cité, des tripots un peu partout, des poivrots qui font la manche pour se payer un peu de bibine. Mais qu’est ce qu’elle était venu faire dans ce quartier malfamé.

-Vous puez m’sieur!

-Et le morveux, j’te paye pas pour faire des commentaires.

Le gosse s’arrêta enfin devant une de ces tavernes lugubre, aux murs de bois pourrit. Sans même regarder le gosse ni l’aspect répugnant des lieux, Arkhanis se précipita à l’intérieur. Là, des soiffards étaient déjà en train de se remplir le gosier. Tous se retournèrent en voyant le pouilleux qui venait d’entrer. Sans faire attention aux regards, n’ayant même pas pris conscience de l’état lamentable dans lequel il était, Arkhanis se dirigea vers le tenancier.

-Je cherche une jolie femme aux cheveux sombre, qui se déhanche en marchant, parait qu’elle est dans votre rad… établissement.

Le gros bonhomme rit grassement avant de répondre.

-Pour sûre qu’je la connais vot’ p’tite dame, elle est à l’étage. C’est qu’elle offre de jolis spectacles. Plaisants seulement pour les oreilles malheureusement, si ça serait pour les yeux ou encore pour la...

-Quelle chambre!
-La première, mais attendez j’crois qu’elle est occupée…

Arkhanis ne le laissa même pas finir sa phrase, il grimpait déjà dans les escaliers. Il arriva en face d’une vieille porte moisie sans verrou. Il respira profondément, puis ouvrit la porte d’un coup, ne pouvant plus patienter. Elle lui manquait trop… Là, ce fut le choc… Il la reconnut dans la pénombre de la pièce, il tressaillit comme si il venait de voir un fantôme… Elle était exactement comme il l’avait laissée un an plus tôt. Mais… un détail le dérangeait, elle est… quoi? AVEC UN AUTRE!
Maribel
Le retour du fourbe…

Ou quand l’absence fait place à la résilience…


Une pénombre grandissante s’était installée dans la chambrette de ce quartier malfamé de Laval... Passage clair-obscur ondoyant sur les murs maculés de l’alcôve délabrée… Autre bourg, autre auberge, même désarroi et même lassitude dans le cœur de la ténébreuse… Souvenirs en vrac se remuant dans la caboche de la dissipée créature… Souvenirs d’un homme ayant fait ombrage à sa vie, en lui faisant miroiter l’éphémère… De quelles chimères avait-il rempli ses rêves… Avec quelle utopie malsaine avait-il entretenu ses espérances…

Dans la mémoire embourbée de pages s’entremêlant les unes aux autres, c’est à St-Claude que s’arrêtait le manuscrit, comme si les derniers mois passés n’étaient que l’immaculé d’un vélin sans la moindre calligraphie… La brunette ayant chassé méticuleusement les restes de ces instants dans un coin reculé de son cerveau envasé… Son apparente force teintée parfois de froideur et dont le mépris parfois apparent qui n’était en fait, que sa capacité à se détacher ou à ingurgiter quantité impressionnante de calva, ce qui n’était pas négligeable…

Regards vers la table basse à son chevet ou le restant d’une bouteille entamée trône parmi un tas de parchemins… L’un d’entre eux parcourut d’une écriture fine et droite est transpercé de la pointe d’une dague ornée de petites pierres rouges… cet enfer ce termine bientôt car je suis actuellement à 5 jours de marche de… mots calligraphiés avec soin dont elle voit le tracé irrégulier à travers la translucide bouteille de vinasse… Puis, soupirs de la belle se tournant vers la proie s’étant échouée dans son lit l’espace d’une nuitée…

L’homme sans doute marié puisque légèrement replet dort du sommeil du juste, ne se doutant point que la déesse à ses côtés pourrait lui trancher la gorge si l'idée quoique farfelue traversait simplement son esprit déluré… Le mâle apaisé de ses instincts primaires ne se doute pas non plus à quel point la belle a déjà oublié ses piètres qualités d’amant de passage pour se concentrer sur la façon la plus efficace de se débarrasser de lui… Rêvant de la vision improbable de l’homme s’évaporant de sa vue d’un simple claquement de doigts…

Avachie sur la couche de fortune, la belle d’attraper la bouteille et de porter le goulot à ses lèvres pulpeuses, laissant échapper une goutte du liquide carmin coulant jusqu’à la délicieuse courbe de sa poitrine… Perdue dans ses pensées, elle n’a donc le temps que d’empoigner vivement la hache à ses côtés quand elle entend la porte s’ouvrir à toute volée…

La petite furie, maintenant debout sur le lit, splendide dans sa nudité presque parfaite, écarquille les yeux tout en levant l’arme quand elle reconnait l’homme venant d’ouvrir la porte… Malgré sa maigreur, ses vêtements en loque et ses cheveux en bataille, elle le reconnaîtrait parmi une armée et un sourire tremblant de se dessiner sur les lèvres charnues…


Arkhanis...
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Arkhanis
Une plaisante créature

Ses jambes tremblaient, il ne maîtrisait plus rien. Ce devait être un rêve éveillé. Elle se trouvait là, juste devant, l’objet de toutes ses convoitises, splendide dans sa nudité. Il ne savait pas comment réagir. Devait-il tenir compte de l’homme qui partageait sa couche? Devait-il courir la prendre dans ses bras? A défaut de réaction, il restait planté là, la bouche entrouverte, les yeux écarquillés, sans un mot. Son esprit, assaillit par des milliers de pensées à cet instant, mit quelques temps avant de se reprendre.

Doucement, mécaniquement, il se mit à avancer vers elle. Un pas après l’autre, sans qu’un seul son n’émane de sa bouche. Le type sur le lit, le décors, tout semblait s’obscurcir, seul restait au milieu du néant la belle créature qu’il désirait désormais plus que tout. Arrivé à sa hauteur, il se laissa tomber lourdement sur les genoux dans un bruit grinçant de vieux bois. Il brûlait de pouvoir la toucher, la caresser, l’étreindre dans ses bras, mais conscient de ce qu’il lui avait fait subir, il restait là, accroupis, comme pour se soumettre à sa beauté angélique.

Il essayait de soutenir son regard perçant qui filtrait à travers la pénombre de la pièce, mais, incapable de résister plus longtemps, il finit pas baisser les yeux. Il était alors sous son charme, elle le surpassait totalement et tenait son destin entre les mains. Il voyait sa hache, qu’elle serrait encore dans ses petits poings, il priait pour que cette main inquisitrice lui défonce le crâne si la belle décidait qu‘elle pourrait se passer de son amour. Car mieux valait mourir que mener une existence fade et dépourvue de toute joie.

Dans sa position, il était lamentable, en loque et totalement à la merci de la douce mais non moins dangereuse beauté qui le dominait de haut. Conscient de cela, il tenta tout de même un geste qui sur le moment lui parut plus qu’audacieux. Il avança ses mains hésitantes, puis les posa sur les épaules de la brune. Il releva sa tête, et fixa son regard intense droit dans les yeux qu’il n’avait plus contemplés depuis si longtemps.

-Mari…

Il s’arrêta quelques secondes, cherchant ses mots, qui seraient peut être les derniers.

-Je… Je t’aime… Si tu veux de mon amour, alors je t’offre mon cœur tout entier, si tu n’en veux pas, abat cette hache sur ma nuque, mais je t‘en prie… Fait ça vite…
Natasha
[Voyages, voyages !]

Nat’, je m’ennuie ! Je sais gamine, moi aussi…
Nat’, c’est quand qu’on arrive ? Bientôt, ma belle, bientôt…
Nat’, on s’arrête en ville cette fois ? Oui, Jeannette !


Et patati, et patata… jamais voyage ne fut plus ennuyeux, lassant, agaçant ; la gamine ronchonnait, râlait à qui mieux mieux et l’irascible s’attachait à garder un semblant de calme. Non pas que Jeannette l’irritait, le caractère de l’angevine l’amusait plutôt, mais la blonde supportait difficilement l’oisiveté et, par tous les démons, que n’aurait-elle pas donné pour un minimum d’action à cet instant !
Quand elles arrivèrent à Saumur, la platine était au bord de la dépression… nan, nan, je n’exagère pas ; pour un peu, elle aurait sauté au cou ou à la gueule –selon le cas- du premier venu. Sauf que le premier venu, ben… c’était le colosse ; les envies, quelles qu’elles soient furent refoulées aussitôt et le retour à la civilisation se fit tranquillement. Deux jours plus tard, elles retrouvaient le duo laissé quelques semaines auparavant…

[Quand 2+2 font… ?]

... à Laval. Qu’en dire si ce n’est rien… nid de cancrelats en tout genre ; l’éternel interrogatoire qui, d’entrée, donnait le ton ; les jalousies, rivalités, insultes habituelles des gueux s’ignorant ou, pire encore, se pensant supérieurs à la masse silencieuse… Fidèles clébards d’une grotesque clique, aussi puants que méprisables ; pythonisses et présomptueux pour préjugés et prédictions !
Quelques séduisants néanmoins et la platine de prolonger l’escale d’une journée malgré son inclinaison agressive ; pugnacité qui s’amplifia davantage lorsque, dans la soirée, elle poussa la porte d’un bouge… un sourire, une voix ; le fourbe était de retour et, avec lui, l’animosité blondesque. Lui, qu’elle aurait voulu torturer à l’épuisement ; lui, qu’elle aurait offert aux charognards ; lui, qu’elle aurait contemplé jusqu’au dernier souffle. La cruauté empoisonnait son sang, comme elle l’avait fait plusieurs mois auparavant, en terres helvètes ; le mépris assombrit les prunelles de la slave quand elles se posèrent sur… Arkhanis !

[…5 ! ah nan, 7… Gné ? j’ai loupé l’cours de math’ !]

Le lendemain, le groupe levait le camp sans regret ; bien que peuplée, la ville n’en était pas pour autant évoluée… de l’avis de la blondasse bien sur, qui imaginait les réactions du clan lavallois s’il avait pu lire dans ses pensées… elle s’prend pour qui la pétasse ? Bon débarras raclure ! Sale catin… et j’en passe et des meilleures, le cerveau de la narratrice n’étant pas aussi dérangé que celui de sa poupée.
La meute se voyait donc gonflée de trois membres ou plutôt, trois cinglés suivaient la singulière troupe… comment ça se fait-il me direz-vous, ou pas d’ailleurs mais qu’importe… simplement, la sulfureuse n’avait pas perdu son temps en l’absence du poison et, fidèle à son naturel luxurieux, avait débauché deux autochtones auxquels s’ajoutait le perfide brun.

[La mare… sans canard]

Ou quand on baigne dans l’merdier !

Craon et ses tavernes désertées, Craon et sa halle délaissée, Craon l’indisciplinée… sauf que la petite angevine était assiégée par l’armée ! C’était déjà pas Byzance avec les piques, mais force était de constater que c’était pire en leur absence… L’avantage, on viendrait pas les emmerder avec la moralité, la bonté et autres duplicités du même genre qui n’ont pour objectif que donner bonne conscience aux mythomanes.
Repos prévu avant de repartir en vadrouille ; une semaine, dix jours… les proches desseins se préparaient sereinement et, pour une fois, tout semblait couler tranquillement. C’était sans compter la teigneuse et la chicaneuse ; résultat, une balade en rase campagne qui s’esquissait pour le trio blondin et l’oxygénée qui part en reconnaissance…

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Jeanne..
[Quand le naturel revient.....]

La gamine ronchonne à qui mieux mieux. Faut dire qu'elle ne sait faire que ça avec aisance


Nat, c'est quand qu'on arrive ? Nat j'ai faim.Nat j'suis fatiguée, Nat, j'veux bouffer d'la bidoche...Nat, c'est long, Nat j'mennuie. Nat tu m'avais dit qu'cétait beau? Nat, .....J'mennuie.Nat, on arrive quand ? Nat, on va où aprés, ..Nat on fait quoi aprés....Nat, pourquoi on va là ....NAT...


Une fois, une seule fois, Natasha a râlé..la gamine l'a écouté du mieux qu'elle pouvait..

Jeanne na rien dit pendant deux jours...mais là trop c'est trop...La jeannette ouvrit à nouveau la bouche et dit

Nat...On r'tourne quand voir carrie..Nat, t'y crois au poéme. Nat... J'sais j'dois rien dire, Nat...L'blond, J'peux lui faire confiance.Nat...J'ai faim....Nat....On peut r'tourner à Laval...nat...la mer c'est dangereux ? ...Nat...c'est vrai qu'il ya des bêtes monstrueuses? ...Nat, On r'trouve carrie Quand ?
Nat..Nat..nat...Nat...

Tant de questions que la Jeannette posait à Nat. Et nat, essayait d'y répondre...avec toute la patiente du monde...

Mais dans l'autre sens, Nat donnait les ordres, la gamine suivait. Elle râlait mais suivait...et obéissait ..

La gamin e retrouva Craon, et sa propriété où dormait son argent Elle en profita pour s'acheter d'la bidoche et des bottes.
Une fois les achats effectués, elle était préte à suivre Nat, une fois de plus, juste calmé pour .......quelques heures


Nat, on va ller voir Carrie ? ..et la mer ?
NAt, j'veux voir la mer, mais j'mets pas les pieds d'dans....
Nat ? toi t'as mis les pieds dans la mer ?
Nat ?Nat NA t ? NAt ? .....


[.....Il revient au galop]
Natasha
[Reconnaissance ou éveil de la prédatrice…]

Quoiqu’on puisse en penser, elle était douée la blonde ; chevronnée à esquiver les questions, talentueuse à lever les lièvres, exercée à emmerder le monde… autant dire qu’elle ne manquait pas d’habileté quant aux exactions en tous genres. Nombreux penseront qu’elle était partie en éclaireuse afin d’échapper à la gamine et son pépiement incessant ; nenni ! bien que les instructions fussent données, bien que les acolytes se préparaient, elle avait croisé, dans une rue craonnaise, une donzelle à la bourse sonnante… il n’en fallu pas davantage pour animer la cupidité et la belle de bouleverser ses projets.
Observation, constat, rapport et le dressage de la chasseresse réapparu comme une seconde nature ; elle pista la cible, spécula sur son itinéraire et finalement, s’embusqua entre deux villes choisies… Bien avisée et pourtant… la proie lui échappa ; comment, pourquoi ? Nulle réponse mais celle-là était bénie des dieux puisqu’elle échappa à la féline.

[Piafs dociles et proie facile]

Le duo blondin, Jeannette et Roulsy, devait s’en tenir au dessein original ; la blondinette, bien que râleuse, n’en était pas moins attentionnée et l’emplumé docile fit nombre d’allers-retours entre la teigneuse et le poison.
Cette dernière ne digérait pas l’échec de sa traque… humiliée, dépitée, fauchée, esseulée ; déjà l’ennui pointait, ennemi premier de la platine qui ne supportait pas la solitude et d’autant, la caboche turbinait en sombres pensées. C’était sans compter l’angevine qui, à défaut de jacasser, épuisait son ramier en courriers divers ; lesdites missives tinrent l’arrogante en alerte et, bientôt, le naturel corrompu écarta les idées noires… telle était la divine, changeante !
Alors qu’elle savait la paire dorée en chemin, elle attendit une éventuelle victime ; il arriva enfin, candide brun qui céda sans résistance à l’angélique étrangère.

26-03-2011 04:05 : Vous avez racketté T... qui possédait 14,56 écus et des objets.


La colère du revers passa aussitôt ; la bourse dénuée d’intérêt mais la sacoche, odorante, regorgeait de victuailles et l’oxygénée y trouva son compte. L’individu devait être un fin pêcheur mais la poiscaille humait bon la fraicheur… autant de jours à glander ; la vaniteuse exécrant de suer à la besogne, sauf plaisir consenti.

[Un, deux, trois… t’as la poisse avec toi !]

Quatre, cinq, six… pas l’choix, t’es soumise ; sept, huit, neuf… cesse d’beugler comme un bœuf ; dix, onze, douze… tu pleures, t’es toute rouge !
Et un trio infernal, un ! Jeanne, sentinelle préposée, surveillait la route et la licencieuse fit un accueil luxurieux à l’Alpha… débauche de dépravations voluptueuses qui intensifièrent l’appétit de la slave. La râleuse les avertit qu’on venait et la blondasse de bondir sur la demoiselle comme une furie ; le désir charnel suspendu accentuant d’autant l’animosité…

27-03-2011 04:05 : Vous avez racketté P... qui possédait 711,09 écus et des objets.
27-03-2011 04:05 : Vous vous êtes battu avec P..., qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Jeanne..
[La vie est trop courte pour qu'on perde du temps à râler]

La gamine avait bien cru s'être planté d'chemin, elle n'avait pas vu Nat qui était bien planquée. Moment d'panique qu'elle dissimula bien vite lorsque la blonde fit son apparition.
V'la qu'elle aurait pu s'gourrer d'route, ou avoir mal lue les messages.

La honte!!!!!

elle savait qu'si c'la s'rait arrivé, elle en aurait entendu pendant des lustres.

Mais bon, le trio était complet. La gamine ne broncha pas quand on lui d'manda surveiller. Elle prit même c'la avec l'plus grand sérieux...

Des bruits d'pas s'firent entendre, discrets mais ils étaient là. Elle reconnut l'bruit des roues glissant sur l'sol..Une charette, y d'vrait avoir d'quoi. Sourire aux lévres, Jeanne s'déplaça à pas d'loup et vint à en informer les deux compéres. Qu'importe c'qu'ils faisaient, la proie était là et c'est c'qui importait..

A peine les avoir prévenu que la victime s'faisait voir, Pas d'hésitations, On lui saute dessus, elle résiste; mais l'trio a l'dessus.


Citation:
27-03-2011 04:05 : Vous avez racketté P... qui possédait 711,09 écus et des objets.
27-03-2011 04:05 : Vous vous êtes battu avec P..., qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.



La jeannette prit sa part, et découvrit avec joie : une charrette. Elle s'imaginait déjà vautrée dans la charrette et l'blond qui la conduisait. Sourire aux lévres, La gamine ne pensait même plus à râler
Maribel
Retrouvailles funestes

La journée avait été interminable... Le mistral avait soufflé durant tout le trajet, sa ventosité accompagnée d’une pluie fine qui achevait d’emmerder la brune qui était d’humeur maussade… La marche avait été fastidieuse et les soirées en taverne plutôt mornes en l’absence du fourbe qui, se remettant d’une cuite mémorable à Craon, avait pieuté durant des jours… Quelques passages de la voluptueuse fille du tisserand qui n’appréciait guère le départ de son père et qui s’évertuait à convaincre Mari du non-fondement de cette nouvelle probité à laquelle elle se soumettait avec ferveur et qui mettait un terme à des années de libertinage…

Ne vous y méprenez pas, la sulfureuse, allergique aux curetons et aux ensoutanés en tout genre, n’allait certainement pas devenir un cul béni… La belle, ayant connu les frasques de l’amour partagé à deux ou même à trois ou même à quatre (bon à un moment donné on cesse de compter), voulait explorer les sphères d’une toute nouvelle terre d’exile, la fidélité… Bon je vous imagine d’avance crier au scandale devant ce choix de la pulpeuse de réserver ses charmes à un seul homme… Mais la belle n’ayant connu que déceptions devant l’ivresse passagère avait envie de connaître les bienfaits d’une complicité baignée de plaisirs luxurieux…

Retour en arrière en cette nuit fraiche tombant sur Saumur… La belle retrouvant avec délice le moment fatidique où les prunelles émeraude avaient entrevu le regard du fourbe, voyant son destin tracé de sinueuse façon… Position quoique légèrement inhabituelle pour des retrouvailles que la belle nue dans toute sa splendeur, hache à la main… et un homme à ses côtés! Cela n’avait point été un obstacle pour le fougueux couple qui sachant d’instinct que rien ne pouvait mettre un frein à leur élan, s’était retrouvé dans les bras l’un de l’autre, sous le regard ahuri du spectateur de circonstance… Le pauvre homme ayant voulu signaler sa désapprobation avait d’ailleurs fini de bien lugubre façon, se vidant de son sang dans le fond d’un caniveau...

La belle ravagée constamment de pulsions les plus sauvages les unes que les autres pouvait devenir pourtant aussi douce qu’un agneau quand on savait s’y prendre… L’amant éploré de Laval n’avait pas eu cette chance et c’est une Mari exaspérée devant ses vaines revendications qui s’était laissé aller à un tel carnage… Revoyant les images troubles se rembobiner sous son regard effacé, elle ferma les yeux, voulant les camoufler très loin au fond de sa tête jusqu’à la prochaine fois où la haine allait rejaillir en elle… Jusqu’à une autre soirée auprès de la voluptueuse, soirée qui avait pourtant bien commencé et qui étonnement allait plutôt finir d’une façon tragique… - À suivre

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Rouls
[et encore une tchotte, une!]

Le Roulsy avait retrouvé sa meute. Toute? Non , pas vraiment car la Caren' faisait la sieste au soleil dans un village paumé pour je ne sais quelles raisons..
Et la Mari alors? Ben a ce qui paraît elle serait en train de tomber n'amoureuse, mais sûrement que j'ai encore une fois mal compris ou que j'interprète mal..façon boulet quoi..

Bon, toujours est-il que le blond était prêt à repartir s'amuser dans les prés (oue ca rime roo). Sauf que le jour J, le jour où il fallait décoller, ben le boulet il était parti cueillir des fruits avec son panier d'osier... pas entendu le coup de sifflet... hum...

Du coup il partit avec la nouvelle, celle qui se faisait appeler Jeannette et qui était plus jeune que Caren'..
Il en profita pour papoter avec et essayer de faire sa connaissance ....approfondie.. en la portant sur son dos... mais il n'y gagna qu'un mal qu'il essaya de de dissimuler par fierté.

Puis ils rejoignirent la licencieuse, la chef, la blonde quoi et préparèrent leur embuscade.
Ils virent la proie arriver et....


Citation:

27-03-2011 04:05 : Vous avez racketté P. qui possédait 711,09 écus et des objets.
27-03-2011 04:05 : Vous vous êtes battu avec P. (coefficient de combat 5), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.


Paf! Jackpot!
Il prit sa part du butin et ricana, en se tenant le dos tout de même.

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Carensa


Petite vie tranquille, à la lueur Périgourdine

Bon bein..elle avait eu du mal mais elle s'y était faite. La mine, le marché et...son pieu..Elle avait des journées très remplies waaouhh..

Les douleurs avaient presque disparu pour peu qu'elle ne fasse pas d'effort ce qu'elle s'appliquait à faire chaque jour à la mine, planquée. Elle passait sa journée à dormir dans le bruit des "tics, tics" des pioches contre le mur, rythmés au son des souffles des candidats à la mort. Finalement on ne devait pas être bien loin de l''enfer dans ce gourbi mais elle n'avait pas eu encore la chance de voir le "grand patron".

Et c'est en fin de journée, après une longue et fatiiiguante journée qu'elle regagnait la chambre de son auberge désespérément ...vide.

Nat..Rouls et même Jeannette commençaient à lui manquer sérieusement, même que...même qu'elle commençait aussi de se lasser d'acheter des fringues..bientôt faudrait une charriote juste pour elle pour transporter tout ça.

Ce soir là elle était rentrée à l'auberge et comme à son habitude avait sortir la dague pour faire une petite coche dans le bord de la table.

- 4, 5 plus 5, plus 5 et encore 5


Et la brune à faire rouler les chiffres dans sa tête et d'afficher une moue encore plus dépitée

- encore 21 jours ici...

Pour la peine après sa toilette de chatte, elle irait dépenser ses sous au marché pour s'acheter une énième paire de bottes..

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Jeanne..
[L'excès de sommeil fatigue ( Homère ) ]


Et les voilà repartis sur les routes. Jeanne suivait tout en maugréant et en pestant comme à son habitude. Mais cette fois ci, elle pensait qu'elle avait de bonnes raisons de le faire. L'brun l'vait quelques peu mise hors d'elle.

Rien n'avait réussi à la remettre de bon poil. L'blondasse voulait du repos !!!! Eh bien qu'on se repose...Jeannette ne broncha pas, d'façon, elle n'avait que ça à faire. L'blondasse voulut chasser un peu...la gamine leva un sourcil, vlà p'tete quelque chose qui la remettra d'bonne humeur.

Au cours d'la journée, Rouls élabora quelques stratégies. Celle qui retint l'attention d'la gamine fut d'grimper sur son dos, l'soir venu, d'mettre un grand mantel et d'apparaitre comme un géant d'vant l'gibier. Rires en imaginant la frousse et la tronche des proies.

Fallait attendre l'soir..L'blond doit s'reposer, bah ouais, il est plus si jeune, hein...La nuit tombe, et la gamine tenta malgré tous ses efforts d'réveiller l'blond. Mais il dormait bel et bien, encore heureux qu'il ronflait pas l'bougre....V'là à trop dormir, on en est fatigué....

Jeannette se résigna à s'tapir dans les buisssons en attendant la victime qui ne tarda pas à s'présenter..


Citation:
05-04-2011 04:06 : Vous avez racketté E..... qui possédait 14,88 écus et des objets.
Natasha
[C’est quand qu’on va où ?]

La petite excursion terminée, le trio blondin était retourné à Craon ; le quatuor brunâtre, dans le même temps, avait quitté la ville… grumph ! A peine arrivés que les caboches aux reflets dorés reprenaient la route afin de rejoindre les têtes brunes –erf, manquent plus qu’des roux et ça sera totalement incompréhensible.

A Saumur, retrouvailles et surprise de taille… des quatre, ne subsistait que le couple infernal ; l’un rentrant au bercail, l’autre emménageant dans la cité angevine, les deux ayant subit les foudres de la ténébreuse. Si Mari pouvait débaucher facilement, elle avait une capacité, tout autant développée, à évincer.
Le séjour se passa… paisiblement ? Ouais, pour peu qu’on omette les coups de gueule et autres colères flavescentes ; si la sulfureuse était acquise au fourbe, il était loin de faire l’unanimité chez les blonds et l’ambiance n’en était que plus tendue.

Enfin, le départ annoncé ! Les piafs de partir aux quatre coins de la ville afin de transmettre les instructions et tous de se rejoindre aux pieds de remparts dés la nuit venue ; chevaux harnachés, charrette attelée, sacoches bourrées pour quitter l’enceinte dans un calme approximatif.
Plusieurs lieues parcourues, cadencées par le martèlement des sabots ; les bavardages incessants de la gamine ou les ricanements libidineux de Maribel finissaient de rythmer les journées… jusqu’aux limites de la patience atteintes !

Halte prévue, bivouac monté et la blondasse d’informer le groupe ; quartier libre dans la journée et ralliement dans la soirée… la chasse était ouverte ! Chacun de vaquer à ses occupations, la platine d’éloigner les chevaux et de parcourir alentours avant la nuit ; dans la pénombre, juchée sur une branche, elle épiait en silence et bientôt le bruit des pas se fit entendre… Jeannette, tapie non loin d’elle, semblait piaffer d’impatience et l’oxygénée d’attendre tranquillement qu’elle fasse le boulot.


05-04-2011 04:06 : Vous avez racketté E... qui possédait 14,88 écus et des objets.

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Rouls
Comme à son habitude, l'alpha attendait les instructions.

"On s'arrete la" "on repart, prendre de quoi grailler X jours" "oublie pas de suivre ta meneuse" patati patata.. ils collectionnaient les pigeons de sa blonde et ca le faisait marrer.

Oui, c'est pas faux, il lui en faut peu...

Bref, cette fois on lui disait qu'on ferait un peu de chasse cette nuit. Il eut donc la superbe idée machiavélique hahahahah (sisi un peu quand meme) de dire à jeannette que la nuit tombée, elle pourrait grimper sur son dos et enfiler son mantel pour faire croire à l'attaque d'un géant.
Il en riait d'avance, rien qu'à l'idée de voir la tete de la victime lorsque "jeannette" apparaîtra du haut de ses 2m.

Sur ce, il partit dans son coin et se balader un peu et flâner en se demandant si ils allaient bientot refaire surface dans un village animé. C'est que ca commençait presque à lui démanger, sous les braies qu'il ne portaient pas. Il s'allongea sous un arbre et s'endormit paisiblement, le sourire aux lèvres et la bosse "des maths" entre les jambes.


Citation:
05-04-2011 04:06 : Vous avez racketté E*** qui possédait 14,88 écus et des objets.

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Rouls
[Qu'il fait bon de se...casser..]

Angoulème....Quel drole de nom pour un village si pathétique...
Caren' s'y était faite poutrée, déjà, c'n'était point bon signe...

Faux culs, boniments, plans sur la comète, boulets, voilà ce que l'on pouvait y trouver..
Et à la meute de s'en rendre compte rapidement et d'avoir envie de s'casser..

En plus, même pas une donzelle intéressante à se mettre sous la dent... heureusement que la blonde est toujours disposée pour donner quelques cours de Géographie.. Il n'en pourrait plus sinon son Alpha... Maintenant, grâce à elle, il connaît très bien ses ...cartes.

Pas de bol pour la Jeanette, elle a croisé le seul mec capable de frapper UNIQUEMENT les plus faibles que lui...
Et il ne l'avait pas raté.... vraiment sympa ce village...y'a pas à dire....

et la meute de se demander à l'unisson quand ils pourront s'casser d'c'trou...

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