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[RP ouvert] Auprès de la blonde, qu'il fait bon... courir!

Jeanne..
[On aurait du s'casser avant..]


La jeannette avait perdu une dent..mais l'honneur était sauf....Elle n'avait pas perdue la face...Angoulême...ville de défection, ville maudite.
Jeannette se promit de ne plus jamais y remettre les pieds..Plus jamais..

D'puis quelques jours,elle voulait partir, d'puis quelques jours, elle sentait l'agressivité monter. Elle s'retenait face aux membres de la meute..mais...elle en avait marre, n'en pouvait plus..... Pauvres passants ou voyageurs, Ils s'en prenaient plein la tronche. Cela ne plaisait pas à tout le monde..
Bien mal lui en pris....Cela ne plaisait pas à tout le monde et certains n'appréciaient guère de s'faire traiter d" débandé" ou d'" rien dans les braies"...
Faut dire que l' Lucas...L'avait en quelque peu dégoutée de sa lâcheté et elle voyait tous les hommes lâches, trouillards, poltron..Y en a un qui dès l' départ, vint à lui montrer qu'il n'en était pas un....

La Jeannette n'eut qu'à subir..gravant son visage dans sa mémoire..

La gamine attendait l' départ ....avec impatience pensant laisser tout c'la d'coté...Mais non ca marche pas comme ça...

Elle espérait que l'air du large n'pourrait qu'lui faire du bien .....
Natasha
[Réunification et… aversions]

Le quatuor, toujours encombré du dernier jouet de Mari, débarqua enfin à Angoulême… non pas que la ville mérite qu’on s’y attarde mais simplement qu’elle nichait Carrie ; laquelle pourrissait dans la cité putride depuis trop longtemps. Le plan était d’une clarté digne de l’eau de roche ; on déboule, on récupère la mignonne, on s’tire… réglé comme du papier à musique sauf que… ben sauf que l’maudit médicastre n’voulait rien savoir et qu’il fallait séjourner un petit peu… beaucoup… trop !
Le poison fulminait, la gamine trépignait, l’alpha se lamentait, la sulfureuse picolait et l’acidulée… s’instruisait ! En deux mots, c’était la mouise.

L’atmosphère devenait plus faisandée chaque jour qui passait et l’ambiance plus malsaine encore ; quelque chose ne tournait pas rond mais la blonde ne parvenait pas à mettre le doigt dessus… quand, enfin, le toubib lâcha la brunette, c’est la ténébreuse qui partit cuver chez les nonnes ; si c’est pas d’la poisse ça ! Ils en reprenaient pour quasiment une semaine, et une semaine à Angou’ c’est long… très long. L’ennui s’était mué en agressivité, ardeur pernicieuse qu’on ressentait aisément en taverne ; le moindre écart se transformait en altercation plus ou moins violente selon l’interlocuteur et les empoignades rythmaient les journées moroses… ainsi se déroula le séjour dans une ville qui ne semblait peuplée que d’étrangers.

Au retour de Mari, les piafs s’envolèrent ; les instructions reçues par les membres du groupe, ils prirent le départ une nuit sans lune. Pas un mot, pas un regard au sortir des remparts et déjà la platine savourait leur liberté retrouvée ; une idée fixe dans la caboche dérangée… garder la meute unie, solidaire et, tant que possible, à l’abri du danger !

C’était sans compter les autres…

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Maribel
[Quand l’âme s’éteint naît l’apathie... ]

Le crevard… Le capon…

Les bottes noires enserrant les jambes longilignes tambourinaient sur le sol argileux au rythme du reste de la meute… Certes, la démarche de la brune était nettement moins ponctuée que le reste de la tribu, sûrement dû à la quantité impressionnante de calva qu’elle avait ingurgitée durant les derniers jours… Mais la belle de soutenir tout de même la cadence, mue par cette acrimonie intérieure masquée d'une apparente indolence…

L’abject… Le couard…

Ils avaient donc quitté la ville des turpitudes morales et de la connerie contagieuse… Au bon moment en fait, juste avant que la Mari ne tranche la tête d’une matrone tavernière qui devait avoir connu ses heures de gloire il y a de cela quelques années déjà… Mais bon restait que la brune était en reste tout de même et que son âpreté qui sommeillait candidement ne demandait qu’à s’extérioriser de la plus sournoise façon…

La raclure… Le félon…

Elle ne ressentait plus rien d’autre que le sang affluant dans ses veines et cette rage exsudant par tous ses pores et se propageant tel un venin dans chaque recoin de son corps… L’œil malsain de la féline balaya le chemin à la recherche d’une proie à étreindre… Tel était maintenant sa fatalité ou douce létalité… Se nourrir des plus infâmes, boire la coupe du mal jusqu’à la lie, jusqu’à ce que même le vent n’arrive à faire frissonner sa peau…

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Natasha
[De l’énergie… à évacuer]

Ahhhh, le bonheur des folles chevauchées, libérée de toute entrave… pas d’blaireau, pas d’dinde et surtout plus d’boulet ! Tout ça après avoir quitté Périgueux qui, en digne capitale, ne présentait pas le moindre intérêt bien sur ; elle avait d’ailleurs profité de la courte halte pour écrire une dernière missive dont le messager s’envola au sortir de la ville.
Les ambres avaient suivi le volatile un instant avant de se porter sur la route et l’angélique équipe de disparaitre.

Ils parcouraient les lieues comme le sablier égrainait le temps. Au hasard d’un arrêt, les chevaux méritant qu’on les préserve malgré l’impatience générale, elle mesura la nécessité d’agir rapidement… si la mignonne aspirait à se dérouiller les guiboles, la gamine manifestait de l’irritation et la brune exsudait carrément la haine ; le blond, constant, subissait les humeurs avec désinvolture et la platine de se modérer afin d’atténuer les tensions. Comme elle vérifiait l’itinéraire, un oiseau suicidaire se posa sur sa carte… si, si, faut l’être pour venir l’emmerder quand elle réfléchit ! Quoiqu’il en soit, l’emplumé survécut à la rencontre et l’indocile d’en faire une mascotte ; le courrier dont elle l’avait libéré, soigneusement rangé dans sa sacoche… sourire carnassier à l’attention des complices et les instructions de résonner :


On s’calme, on respire et on m’écoute ! Encore quelques heures et on s’ra arrivé… on monte *sourire enjôleur directement destiné à l’alpha* ‘fin, tu montes le bivouac. Pour les autres, quartier libre jusqu’au crépuscule *le regard se pose sur l’enragée* t’sens pas obligée d’te noyer dans les bouteilles Mari, t’pourrais être utile. EN ROUTE !

Aussitôt dit, aussitôt fait et le groupe de se remettre en mouvement… Bien plus tard, le campement installé, les canassons planqués et les compagnons à vaquer ; elle aiguisait sa dague distraitement, songeant aux mots inattendus de la lettre reçue et les lèvres de s’étirer doucement. Elle ne prêta guère d’attention à Jeannette quand elle passa près d’elle, si ce n’est que le signal serait bientôt donné ; on siffle le rassemblement et chacun se met en place : ouverture de la chasse !
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Jeanne..
[Quand on s'ennuie...on ennuie les autres ...]

Quartier libre, quartier libre.....La gamine soupira..Qu'est ce qu'elle pouvait bien faire ici...Pioncer ? ouais c'est bien, mais ça va un moment...S'balader ? elle avait fait qu'ça d'la journée ..L'reste, aider l' blond à monter l' camp, nan, ça la motiver pas des masses..L'regarder faire, la fatiguait d'avance.. Par dépit, la voilà partie, un peu plus loin, découvrant une mare

....Passer l' temps ...Faut bien passer l' temps ....elle commença à attraper une grenouille, puis deux, les fourrant dans sa besace..Ne sachant pas trop quoi en faire..puis elle en attrapa encore et encore..La besace bientôt pleine , les coassements s'faisant entendre..Elle s' demanda à c'moment là c'qu'elle allait en faire ...

Ouais , pensez vous elle allait les libérer ces p'tites bestioles ..mais pas n'importe où...Une idée germa dans sa caboche de blonde...Faut pas demander non plus qu'elle soit lumineuse, mais ça reste une idée...

Retour au camp, la nuit commençait à tomber et tout le monde faisait son petit bonhomme de chemin. L'camp était monté, la meute occupait, et la Jeannette de s'approcher d'la sacoche de Nat.

Coup d'oeil en arrière, sourire en coin, la gamine déposa quelques batraciens au fond du sac d'la platine...Elle repartit comme si de rien n'était gardant les autres amphibiens pour l' réveil des autres membres de la meute.

S'allongeant dans l'herbe, faignant de dormir, chose aussi habituelle chez elle que de manger....Attendant avec impatience l' moment où Nat ouvrirait sa besace...
Natasha
[Ô la brillante idée !]

L’ouverture de la chasse… agaçante attente qui précède la traque ; exaltants instants quand le piège se referme ; excitante découverte de la prise…
L’ouverture de la chasse… tout un poème, un bonheur partagé avec ses compagnons ; sont pas si mauvais, ils font acte de vertu…
L’ouverture de la chasse… pure perte de temps d’un ennui mortel quand on ne prend rien dans ses filets ; et je vous le donne en mil ! Le gibier ne semblait pas informé !

Quand l’aube pointa, l’humeur de la platine n’était plus vraiment au beau fixe. Le manque de sommeil ajouté à l’échec nocturne et la donzelle devenait irascible ; tout était matière à déclencher sa colère… la gamine qui jacassait, la ténébreuse qui picolait, la mignonne qui faisait la gueule, le blond qui souriait ; un rien, un grain de sable dans sa botte et l’orage grondait.
Afin d’éviter un malencontreux accident –cf., la retraite de l’alpha au monastère-, elle avait pris l’habitude de s’isoler jusqu’à retrouver un semblant de calme ; les autres le savaient et cette fois ne dérogeait pas à la règle.
De retour au bivouac, elle attrapa sa sacoche et partit se balader ; ladite besace lui parue sensiblement plus lourde mais elle n’en fit pas cas… aux abords d’une mare, située non loin du campement, elle s’installa et observa la faune qui s’éveillait. Bientôt, les coassements des batraciens résonnèrent dans le matin et la blonde, adossée à un arbre, de farfouiller dans son sac à l’aveuglette… Ecarquillement des yeux, moue écœurée qui ourla les lèvres avant qu’elle regarde ce que contenait le cuir ; le minois s’assombrit tandis qu’elle éparpillait ses effets souillés sur le sol. Ignorant la surprise de Jeannette, en l’occurrence de charmantes bestioles gluantes, elle chercha avec fébrilité un vélin dont elle ne retrouva qu’une malheureuse chute ; le reste étant vraisemblablement gloutonné par les maudites grenouilles.

[Avis de tempête]

Le sang ne fit qu’un tour quand elle ramassa ses affaires ; d’un coup de pied rageur, elle renvoya un animal à la flotte, et rejoignit le groupe en vociférant… Comme elle approchait, l’oxygénée donna le ton ; tous aux abris, la furieuse débarque :


JEANNEEEEE !!

Elle se planta devant la blondinette qui n’avait pas eu le temps de fuir et la scruta, une lueur assassine dans le regard ; la jeunette l’observait, sans trop comprendre la cause de la fureur sans doute… comment l’aurait-elle pu d’ailleurs, nul autre qu’elle ne connaissait le contenu du si précieux courrier.
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Jeanne..
[Une tempête...Ca s'calme ? ]

Allongée dans l'herbe, la gamine se marrait d'avance. Elle imaginait la tronche de Nat et ça, ça la mettait de bonne humeur. Faut bien trouver l'moyen d'passer le temps.

Quand, Jeanne entendit :



JEANNEEEEE !!

Son sourire se figea sur son visage. Le ton donné ne présageait rien de bon. Les yeux s'ouvrirent et elle voulut se lever pour détaler à grande vitesse mais , une fois, la vision bien claire, quelle fut sa surprise en découvrant Nat devant elle.

Oh ..oh....M' v'là dans d'beaux draps....pensa t-elle...C'est quand même pas ces malheureuses petites grenouilles ridicules qui la mettent dans c't' état. Elle reluqua Nat, et lui fit un sourire de circonstance, on n' sait jamais, sur un malentendu, ca peut marcher.

Coup d'œil à droite, coup d'œil à gauche rapide. Dans la caboche de la blondinette, ca turbine..

S'barrer ou non ? nan pas une bonne idée ..et puis par où ? Nat aurait vite fait d'la rattraper..La jeannette court vite mais là..Elle avait moyennement confiance en sa capacité de larguer Nat.Et puis...ca n' f'rait qu'attiser la colère de La blonde. Faire sa blondinette ? mouais, moyen aussi ça..La platine savait c'qu'elle valait, pas question d'l'avoir là dessus non plus. La défier ? déjà, faudrait savoir c'qui la mettait dans c't'état là..et puis mauvaise idée aussi....rester à p't'être apaiser les choses...et ça c'était pas gagné....ou alors changer d'sujet même si elle y croyait pas.


La gamine se redressa sur ses bras et scruta Nat.



Ouais ouais, j'm' lève...j'vais donner un coup d'main à Roulsy...J'vais pas tout lui laisser faire.Il sait pas s' débrouiller tout seul...????? j'pensais pas qu'il lui fallait une nounou ...
Rouls
[Et si on faisait charette?]

Non seulement l'Alpha avait dû monter le campement tout seul...

bon d'facons avec deux blondes, une à-peine-remise-de-ses-blessures et une brune à moitié cuvée, ca aurait été pire que mieux... mais bon .. tout de même...

Mais en plus pour le remercier, il avait eu le droit aux grenouilles...et pas dans son sac mais sous ses couvertures! Pis le réveil en fanfare chansonnée qui va avec....

Quelle vie tout de même... mais bon ptete qu'il aurait des remerciements par la suite...on peut toujours rêver, lui dirait la platine..

Ils prirent donc place pour attendre une éventuelle proie, vous savez, le même genre que celle qui devait passer la veille et qui est jamais venue...

Fin bref, ils se préparèrent et se cachèrent comme il fallait. Rouls vit trois ombres se présenter.

Il jeta un oeil à Nat qui semblait passablement enervé et qui avait besoin de passer ses nerfs sur quelqu'un.. bon je vais lui laisser le premier...
Il regarda Caren' et elle était à moitié endormie moitié boudée..bon...
Il donna ensuite un coup de coude à Mari mais celle-ci s'endormait..
Il ne restait que lui et Jeannette...

On va être juste mais ca va le faire lui murmura-t-il, tu t'occupes du second et moi du dernier d'acc?

Pas une ni deux mais trois minutes plus tard, ils sautèrent sur les ombres..

Epée sortie et sourire méchant sur le visage ayaaaaaah!!!!!

Et c'est ainsi que Rouls rencontra sa première charette...

Pendant que les blondes terminèrent de récupérer la monnaie des 2 victimes, Rouls sourit et commenca à regarder ce qu'il pourrait bien faire de cette charette... un lit d'appoint pensa-t-il en soupirant...

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Natasha
[Un tour de bocal ?]

La platine observait la gamine souriante… elle hésitait encore ; déclencher un déluge de coups ou gueuler à pleins poumons… l’un comme l’autre ne changeraient rien à la situation mais, peut-être, que ça lui passerait l’envie de réitérer ! Comme elle toisait la blondinette, elle récupèra le lambeau de vélin et s’apprêtait à lui coller sous le nez en beuglant ; c’était sans compter la vivacité de son interlocutrice… haussement de sourcils, courte réflexion et la tête qui se secoua doucement, amusée malgré la colère :


Donner un coup d’main à Roulsy ? Non mais tu t’fous de moi !!! l’bivouac est monté d’puis hier…

Les ambres balayèrent rapidement le camp et la frondeuse de surprendre les regards consternés de ses compagnons ; le courroux faiblit comme la slave crispa les doigts sur l’ultime témoignage d’un échange épistolaire… dans un soupire, elle afficha un sourire :

Mouais, vas aider l’blond, à quoi faire j’sais pas mais bon… J’vais récupérer un peu !

[Organisation… Kesako ?]

Plongée dans le mutisme depuis l’incident du matin, elle était maintenant perchée sur une branche ; les amandes scrutèrent le chemin jusqu’à percevoir les ombres… une, deux ! Les lèvres découvrirent les canines dans un sourire carnassier et l’attention se posa sur les complices ; belle brochette que voilà et sans plus réfléchir, elle sauta sur le chemin et barra la route au couple, avant d’éclater de rire en voyant Rouls se battre avec… une charrette !!


29-04-2011 04:05 : Vous avez racketté un groupe composé de A... et de A... qui possédait 21,84 écus et des objets.

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Attia.
[ touche pas ma charette! ]

La main dans celle du Blond la gitane goutait au plaisir de la route.
Loins la bourgogne, loins les froufrous, loins les tissus meme s'ils lui manquaient. Juste eux et le calme de la campagne, et bientot le roulis des vagues, les plages de sable clair leché d'ecume, l'eau tiede entre les orteils et la mains toujours dans celle du blond.
Elle était belle la vie.

Voyager de nuit n'etait pas son activité favorite, d'autant qu'il n'y avait aucune place pour le tourisme quand il passaient les matinées a dormir, mais le blond dirigeait et plus vite on avancait, plus vite on serait au bord de la mer.

La veille ils avaient eu une discussion agréable sur ce qui serait leur futur. Futur qui se permettait a present de pointer le bout de son nez par un joli petit profil qu'elle était bien contente d'exhiber loin de la bourgogne et des remontrances de ses amies, et mieux, en province, ou personne ne les connaissait, ils pouvaient aisément passer pour mari et femme sans qu'aucune question curieuse ne vienne ternir l'humeur du blond.

Bref la vie est rose, mais les routes sont sombres.
Est tu bien sur que c'est prudent lui avait elle demandé alors qu'ils recuperaient leurs affaires apres une apres midi mouvementée dans la grange dans laquelle ils avaient élu domicile pour quelques heures.

La nuit était tombée et le chemin se faisait de plus en plus sombre, la gitane fatiguée ne distingua pas les ombres... Juste un feulement qui attira son attention, aussi tira t'elle la manche du blond.


- Tu as entendu ?

Les yeux aux pupilles dilatées cherchent a distinguer dans le noir d'ou peut venir ce bruit, le bras du blond est serré davantage alors qu'elle vérifie de l'autre que sa dague est bien attachée a sa cuisse .

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© Yolanda n'est pas une boite à idées. C'est un personnage original et copyrighté ! ©
Jeanne..
[mieux vaut faire profil bas..]

Regard et sourire vers Nat, qui sait ça peut marcher...

Citation:
Mouais, vas aider l’blond, à quoi faire j’sais pas mais bon… J’vais récupérer un peu !


Elle ne se le fit pas dire deux fois. Aussitôt dit, la Jeannette se leva d'un bond et rejoignit le blond, tout à fait consciente d'avoir échappé de peu à une colère de Nat. Elle ne pipa pas un mot du reste de la journée, ne chantonna même pas. Nan la meilleure idée était de se faire oublier quelques temps.
Elle lui demanderait à l'occasion..puis non, mieux vaut ne rien savoir..


[Quand le blond s'fait vieux...]

Citation:
tu t'occupes du second et moi du dernier d'acc?


La gamine hocha la tête. Les victimes eurent à peine le temps de se rendre compte que la meute les attendait et en deux temps trois mouvements, elle se rua sur la deuxième victime.
Elle souriat en le voyant s'emparer d'une charette.


V'là qui perdait la vue..Comment on pouvait confondre une charette et un homme. C'est qu'il s'faisait vieux l ' blondinet.



29-04-2011 04:05 : Vous avez racketté un groupe composé de A... et de A... qui possédait 21,84 écus et des objets
Azkaban
D’une promesse faite il y a bien longtemps, il s’était fait un devoir de la réaliser rapidement, avant que le ventre de sa belle ne puisse plus leur permettre de voyager, avant qu’ils disent un au revoir d’un temps aux chemins…Leur destination devait être une plage chaude de méditerranée mais en attendant il fallait marcher, une charrette chacun pour ne pas porter tout le bardas que le blond avait enlevé de sa propriété de Sarlat…Maison d’ailleurs qu’il venait d’abandonner à jamais pour aller vivre autre part.

La promenade débutait joyeusement, ils avaient rêvé à deux, sa main posé sur son ventre, ils avaient pensé aux prénoms…Espoirs de lendemains heureux, d’éclats de rires et de chaleur. Une vie atypique aux yeux des gens « biens » ou l’attente d’un bâtard n’était que mépris…Lui ne voyait que l’amour, l’envie de devenir père, d’avoir une famille, enfin…Construire ensemble sans se préoccuper des autres. Oui, ces deux amants là n’étaient pas mariés, le blond n’y était pas prêt mais il l’aimait à ne plus vouloir quitter des yeux sa silhouette qui évoluait au gré des semaines…Lorsque la vie devient Bonheur…

Cette nuit là, les étoiles jouaient à cache cache avec les nuages mais il essayait comme à son habitude d’en distinguer une ou deux afin de les raconter à sa belle gitane. Le regard vers le ciel, il sentit un léger tiraillement de son mantel et une certaine crispation dans sa voix.


- Tu as entendu ?

Il fit une moue presque imperceptible, nan il n’avait rien remarqué mais instinctivement il serra le plus précieux de ses trésors contre lui en lui murmurant :

Chut ne dis rien, ne bouge pas

Alors qu’elle cherche l’arme qu’il connait bien, celle sur laquelle il s’était piqué un nombre incalculable de fois, il enveloppa cette main inquisitrice dans la sienne pour ajouter :

Attia, on ne tente rien…Attendons de voir combien et qui ils sont...

Simples voyageurs ou petits voleurs de chemins ? Même s’il avait déjà en tête sa propre idée car les murmures en disaent long, il était pour lui inimaginable de faire courir le moindre danger à sa famille en devenir au risque de passer pour un pleutre…Il ne bougera pas et gardera ses amours contre lui, sous sa protection. Ces hommes pouvaient tout prendre, jamais ils n’auraient sa raison de vivre, ce bonheur qui les animait tous deux…Leur bien le plus précieux. Dans cette obscurité la plus totale, il ne distinguait pas les visages des apparitions soudaines devant et autour d’eux…Un léger soupire de déception, ce n’était visiblement pas de gentils promeneurs….

29-04-2011 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de C.... de J.... de M.... de N... de R...

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© Yolanda n'est pas une boite à idées. C'est un personnage original et copyrighté ! ©
Jeanne..
[restons méfiants....]

La gamine se planta d'vant l'homme. Un léger rire lui échappa. Ca n's'rait pas difficile apparemment. L'homme ne présentait aucun danger, et aucune menace. Mais méfions nous...on n' sait jamais....

Vide tes poches...et n'tente rien si tu veux la vie sauve
grogna Jeanne

Elle releva son baton et le menaça...


Si tu n'veux pas tâter d'mon arme...t'as plutôt intérêt à t 'grouiller. J'vais pas y passer la nuit.
Attia.
Ne rien tenter... Voui.
C'pas parce qu’elle s'accroche a son bras qu'elle est incapable de se défendre.
Elle s'est depuis rangée de sa vie sur les routes et dans des groupes peu recommandables, mais tout de même, elle a encore les réflexes nécessaires a la survie et elle ne tremblerait certainement pas devant le premier brigand venu, sa propre cousine était brigande et plus d'une armée lui était déjà passée dessus au sens sanglant du terme.

Cependant, elle ne tergiversa pas et essaya d'en voir plus sur la situation.
Il faisait noir et elle ne distinguait que des silhouettes fines dont l'une se rapprocha très près d'Az lui intimant l'ordre de vider les poches.
Cette fois ça ne laissait pas de doute, c'etait une attaque. Combien étaient ils ? elle ne voyait pas. Il lui sembla voir une ombre de plus. Deux ? Trois ?

Elle revint a leur interlocutrice qui au son de sa voix devait etre une jeune femme.
Quand elle vit l'arme don s'arguait l'assaillante, elle aurait pu pouffer.
Ils en avaient aussi des bâtons, des épées elle aurait pas eu envie de la ramener, mais des bâtons franchement..
.

- Passez votre chemin ! osa la gitane. Nous n'avons rien pour vous!

Ouais grande gueule, c'est qu'elle a pas peur.
Elle en oublie même qu'elle ne porte plus sa seule responsabilité mais celle de la vie du bébé, si fragile. Mais essayez de menacer une italienne orgueilleuse, c'est utopie que de s'attendre a la voir se rendre sans broncher.
Alors qu'elle tente l'intimidation ( si si c'en est une ) elle essaie de faire l'inventaire de ce qu'ils perdraient a laisser les brigands les détrousser.
Avec le blond ils avaient confié leurs marchandises a un coursier inter villages , on appelle ça les mandats il parait. Ainsi il les récupéraient toujours intacts a chaque village qu'ils traversaient, moyennant une prime honnête. Système ingénieux s'il en est. Ainsi, dans la besace n'y avait il guère qu'un peu de nourriture et quelques ecus... rien de reluisant pour eux, cousine de brigand, elle voyageait légér, forcement!


- oh et puis si c'est des pepettes que vous voulez allez y!


Oui ce n'est certainement pas une brigande de la trempe de Sadnezz qui se satisferait d'un butin de 7 écus et de 4 epis de maïs. Ouais faut choisir ses victimes dans la vie.

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Natasha
Attia. a écrit:
- Passez votre chemin ! Nous n'avons rien pour vous!


La blonde reporte son attention sur le couple dont l'homme ne semble pas d'humeur querelleuse... Coup d'oeil à la gamine qui prend de l'assurance et léger sourire avant de répondre à l'inconnue :

Mouais... disent tous ça ! On va vérifier nous même...

Attia. a écrit:
- oh et puis si c'est des pepettes que vous voulez allez y!


Elle incline légèrement la tête, suspicieuse tandis que Jeanne les débarrasse... ça turbine dans le citron et la platine de rejoindre son assaillant de charrette en marmonnant :


Erf, t'vas voir qu'à tous les coups, sont fauchés... Laisses donc c'bout d'bois, on y va! *à l'attention de Jeanne* T'récupère les deux autres au passage !

Sans plus d'intérêt pour les victimes, elle quitte les lieux en songeant que rien ne valait une bonne traque... faut rien espérer de la chance!
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