[RP] Latin n'est pas le thym, ni le teint, ni là tiens.

Evvela

C'est quoi Titpoc !? Un juron a vous ? Ca vaut largemment mes fichtres et bidouilles...

Tartinant à nouveau sa manche de larmes, entre autre :

Pis d'abord... J'pleure pas... Et que oui je rirais devant l'entrainement, c'est pas pire...

Snurf...

Je dois faire quoi maintenant ??? hesita t-elle a Llyr, le cul entre deux chaises et la frimousse mi figue mi raisin.

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Llyr

Une Poque c'est une fillette en Berrichon.
Pour le reste, je crois que tu as du travail qui t'attends du coté des devises et cris d'armes.
Commences déjà par allez voir les hérauts qui ont besoin de ton savoir là bas ; écoute, regardes, apprends.
Cela fait tu participeras au repas avec nous et nous discuterons de ton installation au Lavardin et de ton apprentissage héraldique en prenant appui sur la Touraine comme province héraldique.
Par la suite avant potron minet, je te ferais livrer un boken, une sorte d'épée de bois pour résumé très grossièrement la chose

Le héraut de Touraine touchent les deux Jumelles passées dans sa ceinture de soie comme pour marquer la ressemblance.

Tu en prendras soin, car jusqu'à ce qu'il soit dit que tu puisses porter plus tranchant cela sera un compagnon d'entrainement auquel il faudra que tu t"habitues.

Des questions ?
Des commentaires ?
Non ? Au boulot alors...
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[img*]http://img98.imageshack.us/img98/8183/ptbannllyr5.png[/img]
Par Soucis de cohérence la signature ne reviendra qu'après la cérémonie de prise de fonction qui ne devrait tarder

Evvela

Elle écoutait attentive les directives. Elle devrait en somme etre a l'affut de la moindre connaissance, des moindres details. Bref, fourrer son nez partout ? Soit !

De jolies choses en perspectives : repas, apprentissage et... escrime !

'' Des questions ? '' Elle fit non de la tete
'' Des commentaires ? '' Repeta son geste
'' Non ? '' Une fois encore...

'' Au boulot alors... ''

- Bien, messire !

Elle sauta du siege, se fendit d'une révérence maladroitement exagerée, regardant Montjoy puis Normandie, et rejoingnit finalement la Chapelle en trotinant.

Tip tap tip tap tip tap tiap tap tiap tap ...

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Latin n'est pas le thym, ni le teint, ni là tiens.

Legueux

Le roy d'armes, au quasi terme d'une discussion avec Normandie, Sigillant et Touraine, conclue en disant :

Et bien on va voir si ça l'interresse !

Il ouvre la porte de son bureau dans lequel il avait mandé les trois hérauts et apostrophe un sbire qui passe par là...

Vai quèrre la pichona amb lo creston roginèl !

Le "Gnéééé ?" qui parait sur la figure du valet lui fait murmurer
Hummpf un francimand, peuvent pas comprendre les autres langues un peu non ?

Va chercher la fillote au chaperon rouge ! Elle traînaille souvent du coté des confection de listel.

Il laisse la porte ouverte, et se retourne vers les trois hérauts :

Veirem ben... Nous verrons bien. Le temps qu'elle arrive.

Evvela

La femme de ménage avait bien insisté et elle était formelle, c'etait bien ici le bureau du Roy d'Armes. En fait, Evvela en restait figée à quelques pas de la porte entrouverte. Que ce soit là ou non, elle n'en revenait pas d'être appelé par le Chef en personne. Allait-il lui demander de débarrasser les lieux de sa vilaine présence ? En effet une gamine à l'allure de mendiante passant de longs moments sur le parvis de la Chapelle, il y avait de quoi en mettre un sale coup à la réputation de l'endroit, fréquenté par tout le gratin mandeur de listels...

Mouef, en même temps, inutile de l'envoyer devant le Roy pour la faire partir, un simple coup de pied suffirait largement. Mais alors quoi ? Et voila qu'elle le faisait attendre, le Seigneur des Hérauts.

Diantrefouille et casse-noisette... va falloir se décider.

Alors timidement elle poussa la porte et elle ne sut si c'étaient les gonds ou ses dents qui grincèrent ainsi.

Heu... bonjoouur... murmura t-elle sur le seuil.

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Kirah

Étouffant un bâillement, non pas d'ennui, mais de fatigue accumulée plutôt, Normandie adressa à la petite fille qui attendait sur le seuil un sourire encourageant.

La petite, elle l'avait croisée quelque fois à l'atelier et sa disparition momentanée l'avait inquiétée, c'est presque avec soulagement qu'elle avait revu apparaitre son minois dernièrement.

Cependant, elle se tint coite. Après tout, c'était le bureau de Montjoie ici, à lui de mener la danse.

Legueux

Il se promit de penser à faire re-huiler ces foutus gonds. En pas huit jours, il regrinçaient déjà. Ou alors le pécore qui l'avait soit disant fait s'en était mis plein les fouilles sans faire correctement le boulot. Finira au bout d'une corde le malotru tè.

Au "Bonjour" timide, il répondit, en occitan, car pour lui pas de doute, quelqu'un qui maitrise le latin maitrise les langues et donc la sienne.

Dintratz, donaiseleta, Adissiatz !

Il sourit et lui indique un siège.

assetatz, coardatz pas !*

Puis il reprend en françois, deux des autres présents venant de terres d'Oil, et il est connu que si en terre d'Oc on maitrise deux langues, ce n'est pas le cas partout.

Il les montre, les trois autres personnes, dans un geste assez large de la main tout d'abord, puis les désigne un à un.

Vous connaissez ces personnes je pense. Voici Sa Gr... euh Llyr di Maggio et d'Astralgan, ici on l'appelle Touraine, ici, Kirah du Breuil, surnommée Normandie et François de Macquart, surnommé lui Sigillant.

Ieu, soi... Euh pour ma part, je suis LeGueux d'Alanha, on m'appelle Montjoie des fois, Roy d'Armes de France.

Et ces trois hérauts m'ont parlé de vous, dans le plus grand bien et notamment de votre maitrise de la langue latine.

J'avoue, je suis assez curieux, et me demande un peu d'où vient cette maitrise, j'ai eu toutes les peines du monde à maitriser la langue d'Oil, alors imaginez le latin.

En tout cas, vous leur êtes précieuse, à ces trois, et ils ont réussi à me convaincre et ont donc une proposition à vous faire. Auparavant, je voudrais juste savoir votre nom, votre âge, et quid de votre famille.

Tout fier d'avoir placé un des rares mot de latin dont il avait eu vent, il posa un regard interrogateur sur la pichona.

[Edit : oups pardon
*Entrez, petite demoiselle, Dieu vous Garde !
Asseyez vous, n'ayez pas peur !]

Evvela

Le retour, milles plates excuses, je suis une misérable...

Elle étouffa un hoquet de surprise au vocabulaire de Montjoie ! De l'occitan ? Ici, en plein Paris ? Elle hésita d'autant plus, ne sachant plus ou elle en était, elle fléchit un genou et réussi une révérence déséquilibrée qui manqua quelque peu de grâce. Se mordant la langue pour ne pas qu'elle flanche elle aussi, elle articula presque machinalement :

Adioussiatz, Monsenhor...

Puis elle se hissa sur le siège désigné, posant sa besace sue ses genoux, les guibolles pendantes. Elle avait réussi a placer les quelques mots qu'elle se souvenait de ses pérégrinations dans les montagnes du sud, mais elle comprenais plus qu'elle ne parlais, et surtout au vue de la diversité des patois, jamais elle n'eut le temps de bien apprendre.

Elle acquiesça aux présentations, essayant de retenir les noms et titres, mais à part Llyr, elle doutais d'un jour restituer à chacun autre que leur pseudonyme.

Puis c'est le rose aux joues qu'elle répondit au seigneur Montjoie :

Hé béééh... Je m'appelle Evvela, tout court... J'ai huit ans, et heu... j'ai pas vraiment de famille, en fait...

Puis elle baissa la tête, les yeux dans ses souvenirs...

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Llyr

Citation:

j'ai pas vraiment de famille, en fait...

Sourire du Héraut de Touraine. C'est qu'il aime bien les gamins, même s'il n'en a jamais eu, d'officiel et de légitime, du moins.

Cela peut s'arranger au besoin, cela peut s'arranger...
Mais je crois que tu as été convié pour autre chose, il me semble. Nous verrons donc ce "détail" après si tu veux.

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[img*]http://img98.imageshack.us/img98/8183/ptbannllyr5.png[/img]
Par Soucis de cohérence la signature ne reviendra qu'après la cérémonie de prise de fonction qui ne devrait tarder

Evvela

La présence de Llyr la rassurait un peu de cette ambiance pesante. Non seulement elle le connaissait pour ses bons soins ici en Chapelle, mais depuis elle l'avait remarqué en Touraine, d'où elle venait.

Ah bah, voui... bien sur... heu...

Elle avait longuement attendu, pensant que le Roy d'Armes interviendrait, puis avec ce long silence, elle se risqua a ces quelques mots, des fois qu'on en attendait de sa part et qu'elle ne s'en soit pas rendu compte.

Patiente, elle triturait son sac en faisant balancer ses pieds nus.

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Legueux

Ben ben.

Sur l'insistance des hérauts, au vu de l'aide précieuse que vous leur apportez...

Regarde Normandie et Touraine, en pensant "8 ans, quand même..." Bon il a dit oui si ça l'interesse, il ne reviendra pas dessus.

Ils ont donc proposé de vous attribuer le poste de Poursuivant d'Armes de Sigillant, plus particulièrement chargé des traductions latines des devises, cris et autres légendes de scels.

Si cela vous sied, j'accède à cette demande.

Evvela

C't'une blague ? Un sale plan ? Une fumisterie, un rêve ?? Trop élaboré pour être une blague, c'est donc un rêve. Elle sentait les muscles de ses doigts se tendre, comme appelant à s'envoyer une baffe afin d'être sure qu'elle était bien éveillée. Mais de sentir son coeur galoper à tout rompre fut bien suffisant : la proposition était bien réelle.

Et tout aussi réel le temps qui s'écoula avant qu'elle ne retrouve l'usage de la parole. Toute rouge et quelque peu incrédule au premier abord, ses jambes avaient arrêtées nettes leur mouvement de balancier, comme celui d'une pendule soudain bloquée. Les lèvres pincées par une moue de surprise, la langue aussi lourde que les maudits sacs de mais qu'elle devait transporter aux champs, elle eut peine à débloquer les rouages et à bredouiller quelques mots :

Heu... Oui, cela me scie... me sied...

Poursuivante ! Voilà près d'un an qu'elle foulait le marbre de la Chapelle et elle avait bien appris sur le tas le fonctionnement des lieux. Même si quantité de choses lui échappaient, la hiérarchie et les rôles n'en faisaient guère partie, et elle mesurait bien ce que cela impliquait. Elle jeta un regard à Llyr d'un air de dire : Mouah ?? Puis replongeant son regard dans celui de Montjoy, elle inclina la tête et parvint à retrouver les usages enseignés par son parrain.

Grand mercé, Monsenhor... Nautesa, heu... Je me montrerais ding..., digne de votre confiance.

Si l'occitan lui était venu si naturellement, ce fut presque par hasard, mais devant la confusion à peine dissolu de sa langue, et pour ne pas s'emmêler d'avantage, elle réussi à finir en bon français, à présent si généralisé dans le Royaume.

Elle pensa alors à Sigillant, du moins celui qu'elle connaissais sous se nom, celui au chapeau qui la faisait sourire à tous les coups, si peu de fois qu'elle l'avait croisé. A présent, semblait-il, un autre héraut avait pris cette charge, mais aucune certitude la dessus, un simple questionnement de ne plus le voire. De plus, il y a peu, en se rendant dans la partie de la Chapelle dédiée aux Sceaux, c'est un autre homme, bien jeune, qu'elle avait aperçu de loin portant le tabard de la fonction de Sigillant.
Tabard qu'il lui faudrait trouver maintenant...

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Legueux

Il sourit aux réponses.

Donc, c'est acté. Il n'y a pas de serment à faire pour un poursuivant.

Et donc, mademoiselle la Poursuivante es latin, sachez qu'on ne dit pas "Sa Majesté" au Roy d'Armes de France, même en occitan. "Montjoye" est un terme tout à fait aproprié et suffisant.

Il récupéra un vélin dans les mains de son scribe, le gratouilla un peu, fit couler un peu de cire et apposa son scel.

Citation:

Nous, LeGueux d'Alanha, Rei d'Armas & Par de França, Coms de Gavaudan, Bar d'Alanha et Senher de Sant Marti Lavardinienc

A toutes & tous que la présente liront & entendront,

Adissiatz !

Faisons savoir :

Que sur demande de membres du collège héraldique, & par mesure exceptionnelle au vu de son jeune âge, mesure n'ayant pas vocation à faire jurisprudence & après discussion avec intéressée,

Que nous nommons la dite Evvela Toucour poursuivante d'Armes es Sigillographie, plus particulièrement chargée des traductions latines.

Que par ailleurs, au vu de son jeune âge, il convient qu'elle soit, a minima lorsqu'elle remplit son office en chapelle Saint Antoine, sous tutelle. Cette tutelle, a minima partielle est accordée à messer Llyr di Maggio et d'Astragan, dit Touraine, à charge aux intéressés de définir les limites exactes du champ de la tutelle.

Siaga Atal.

Qu'afin que nul ne conteste la vigueur et la validité de la présente, y apposons notre scel.

Fach lo cinquen d'agost de l’an MCDLVII en la geisola Sant Antoni lo Pichot
Fait le cinquième d'Aout de l’an MCDLVII en la chapelle de Saint-Antoine-le-Petit.

Le temps de saupoudrer et refroidir, il dit, indiquant du menton le héraut en question :

Donaisèla, vous serez, dans l'enceinte de cette chapelle, sous la responsabilité de Touraine. M'est avis que vous ne manquerez de rien.

Il tendit ensuite le vélin à la fillette et termina :

Conservez précieusement ce rouleau, Evvela Toucour, je pense qu'on vous le demandera de le produire plus souvent qu'à un adulte.

Llyr

Voila bonne chose de faites !
Ne reste plus qu'à parler du "détail" sus nommé
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Par Soucis de cohérence la signature ne reviendra qu'après la cérémonie de prise de fonction qui ne devrait tarder

Evvela

Timidement mais sans se faire attendre, elle pris le velin delicatement de ses deux mains, profitant d'abord de la douceur du plis. Elle lut les ligne qui scellaient officiellement son role, ses doigts passant lentement sur la cire encore tiede, y laissant une legere empreinte qui deja durcissait.

Encore confuse, elle eleva sa petite voix :

Milles excuse Monsenhor... Montjoy, je le saurais à present.

Elle regarda Llyr et sourit en pensant qu'il allait etre son chaperon en Chapelle, lui qui, tout de meme, ne l'avait pas chasser a coup de pied de sur le parvis de Saint Antoine...

Merci, Montjoy, je tacherais que je ne decevrais personne dans votre confiance.

Evvela Toucour...

Elle rangea le velin dans sa besace, au coté de sa poupée et d'un monceau de choses les plus diverses. Les mains a present vides, elle se tortilla les doigts ne sachant ou se mettre et que faire a present.
D'un regard, elle semblait questionner Touraine sur la marche a suivre, ou seulement parce qu'il avait été le dernier a parler...

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Llyr

Que dirais tu d'avoir une vraie chambrée à toi accompagnée d'un bureau pour tes activités ?
La Forteresse du Lavardin est grande... Et vide de joie depuis trop longtemps maintenant. Je te propose donc d'entrer dans ma Mesnie et plus de d'adopter légalement aux termes qui nous sieront à tous les deux.
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Evvela

Comme un coup de mangonneau dans la poitrine. Cette sensation explosive qui la fit frémir. Adopter ? Déjà avant de venir au bureau de Montjoy, Llyr lui avait proposer de loger à l'Hostel Saint-Pol, c'était beaucoup pour une gamine des rues une telle proposition, mais là, le vase se mit à déborder. Ses yeux s'humidifièrent lentement et la première larme de joie dévala la pente de sa joue en y creusant un sillon dans la crasse accumulée.
Elle se frotta les yeux du revers de la manche et envoya un radieux sourire à Llyr, avant de faire un vif hochement de tête en remerciement.

Voui... J' veux bien... Vous êtes vraiment très gentil... snif

Elle eut envie de serrer sa poupée offerte à la Saint Nicolas, toujours par Llyr, mais voulant lui éviter les tumultes parisiens et ne pas l'abimer, elle l'avait laisser à Vendôme. Amers regrets, même à tort. La main dans sa besace caressa le vélin roulé, c'était décidément la plus belle journée dont elle n'aurait jamais put rêver.

Oh ! fichtre-bouc... snirf...

Malgré les efforts, elle ne pouvait empêcher ses yeux de déverser leur flot de joie.

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Llyr

Rien à voir avec de la gentillesse 'tite Poque. J'ai aussi mes raisons et visions d'avenir te concernant. De plus il serait peu céans et ignoble pour peu dire qu'un poursuivant d'armes couche en la rue, sans toit ni chaleur d'un foyer ou d'une maisonné.

Par contre nous commencerons pas chêtier quelques peu le langage : Foutre Dieu me parait bien plus amène en la circonstance...

Et pour les pleurs profites en bien car d'ici peu ils devront tarir devant l'entrainement et l'usage.

*sourire taquin*
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Llyr

Evvela

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