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[RP] Nauzhror le domaine de Sombrespoir

---fromFRSombrespoir
Sombrespoir s'amuse en observant la sulfureuse Aëlys semblant vouloir séduire Azar.
- Vous verrez bien assez tôt que Nauzhror est comme un cristal qui restitue différemment la lumière selon sa facette qui la reçoit.
Il fait un mouvement de la tête accompagné d'un craquement sinistre.
- Il faut ensuite savoir quelle facette vous voulez découvrir. De laquelle vous désirez connaître en fait… Celle qui consiste à rejoindre une organisation en louant ses services dans le but de s’enrichir. Une qui propose de vouer son existence à entretenir la racine du mal, afin d’engendrer cette soi-disant engeance qualifiée de maléfique. Peut-être, cette facette qui permet de trouver la liberté de faire ses desseins à un endroit là où ailleurs il est impossible de le faire… Une simple curiosité peut-être ? On pourrait s'interroger sur l’existence d’un pareil domaine au cœur du royaume de France. Il n'y a rien de bien compliqué : La Horde Sanguinaire possède bien des compétences et les sanguinaires ont tous un but précis personnel à atteindre en rentrant dans ses rangs. Cela peut vous paraître surprenant. Une organisation solide et pourtant si hétéroclite…
Sombrespoir passe une main sur sa veste pour effacer le moindre faux pli puis reprend :
- J’espère que nous pourrons discuter en privé de la réelle raison de votre visite car on ne vient pas à Nauzhror pour le plaisir... Mais… pour le moment, profitez du cadre, nous aurons bien assez de temps !
Il se tourne vers Nebisa : - Au sujet de votre demande, souhaitez-vous en parler dans un endroit plus adapté ?
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---fromFRAzar
Tu étais surpris mais pas vraiment étonné du nom par lequel Sombrespoir avait présenté sa compagne.
Tu hochas la tête vers elle, levant doucement ton verre et entre tes lèvres sortit un simple murmure au moment de porter la boisson à ceux-ci.

La Comtesse de Ségur, hein...

Tu réfléchissais encore aux paroles du Maistre bien que tu n'ai montré aucun intérêt trop marqué.
Il venait de dire que tu risquais de prendre de l'influence, et c'étaient le genre de commentaires que te faisaient porter négligemment la main au pommeau de ton épée. C'était ce geste qui prouvait dans ce qui te connaissaient que tu étais contente ou tout simplement concentré.

Tu opta pour le silence tandis que Aëlys se faisait accueillir par celui qu'elle était venue voir et tu regardais, souriant, la Comtesse. Tu te demandais ce qu'elle faisait ici, et sans qu'elle ai le regard de toutes les gens croisées à la Cour des Miracles, pourquoi elle ne semblait pas étrangère à ce milieu, elle, Comtesse au Limousin...

Tu observais aussi les côtés et salua d'un geste de la tête la Sarrasine quand celle-ci quitta son poste. Et sans faute, ton regard se porta aussitôt sur l'autre homme, que tu ne connaissait pas, mais que tu avais vu partir, quelques jours plus tôt, avec Sombrespoir, vers le Limousin. A lui aussi, tu lui adressa une inclination de chef.

Aux derniers mot du Maistre, tu souris.

Voulez-vous que nous vous laissions parler entre vous?

Tu regardas Aëlys, comme l'invitant à accepter une invitation muette qui l'invitait dans les profondeurs de Nauzhror. Ou en tout cas, dans certaines profondeurs...

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Rien n'est fait sans une touche d'Azar
Nebisa
Aprés avoir observer la créature venue d'Irlande, dont l'accent lui donnait des envies de whisky aprés ces mois de tempérance, elle avait tourné son regard vers la piéce pour laisser Sombrespoir discuter avec son hote.

Ses pensées semblaient s'éloigner de Nauzhror pour voler vers une autre fête, un autre bal... qui l'appelait à présent impérieusement... Ces souvenirs à portée de main étaient vivaces malgré les années écoulées... le bordel, le Bal... Wilehlmina et Dolomite... le duel, la boue... le sang, son sang coulant sur le pavé tandis que son rodeur s'en allait avec sa maitresse en l'abandonant aux portes du Masque... Elle sourrit, sans amertume et sans regrets... Elle avait survécu, elle était morte ce jour là mais était revenue plus forte... A son retour en Limousin, la tendre taverniére n'était plus que cendres froides et détermination... Elle avait remporté le défi de s'ouvrir les portes d'un monde ou elle serait seule maitresse de son sort et avait trouvé dans la noblesse le moyen d'y parvenir, tout en mettant à l'abris du besoin ses enfants et en préservant sa liberté...

Pendant ce temps la Cour avait changée de visage, le Masque était mort à son tour, victime de son égarement, la Lame Ecarlate avait depuis longtemps précédé son maître et son cher Danse Macabre également... lui qui l'avait soignée et qu'elle avait chéri plus que bien d'autres qui furent ses amants... La Cour avait changé certes... mais ses nouveaux maitres avaient compris que cette derniére se donnait, sans jamais s'abandonner...

Elle s'aperçu que le dénomé Azar la regardait en murmurant son titre... sur le même ton et en le regardant au fond des yeux elle glissa


Nebisa de Malemort... je préfére.

Puis reporta son attention sur Sombrespoir qui lui proposait de gagner quelques lieux poins exposés. Elle hocha la tête, sachant déjà qu'elle ne lui parlerait pas de la Touraine pour le moment, elle réglerait cette affaire seule, aprés son accouchement... Elle voulait cependant rendre une visite de courtoisie à son meilleur ennemie avant de quitter la Cour et pour celà, il lui faudrait expliquer à Sombrespoir qu'elle quitte Nauzhror...Enfin peut être pas immédiatement se dit-elle mentalement en esquissant un sourrire mutin...
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---fromFRSombrespoir
Les présentations terminées. Sombrespoir salua Azar et Aëlys pour prendre congés ne répondant pas à la question de l’ancien templier. – Prenez mon bras, je vais vous faire visiter le domaine. Sombrespoir et Nébisa se levèrent et se dirigèrent vers une alcôve abandonnant la table d’honneur. Avançant doucement, Sombrespoit jeta un regard vers le comptoir et essaya de retenir un sourire sous son masque en croisant la discrète Echidna installée au comptoir de la grande salle. Elle semblait avoir survécu à sa dernière mission et il serait temps, bientôt, de lui donner sa récompense.
- Voyez-vous, il est possible dans certaines Alcôves de pouvoir accéder aux étages inférieurs grâce à une porte dérobée. Enfin… vous devez avoir ce genre de choses dans votre demeure. Sombrespoir tire la tenture de l’alcôve puis se tourne vers une toile représentant une femme lubrique. Passant sa main gantelet sous le tableau il activa un mécanisme qui fit coulisser un mur. - Je tiens à vous faire visiter nos infrastructures au sous-sol, j’ai fait creuser une galerie qui rejoint les canaux souterrains, ce qui me permet de rejoindre la Seine et de sortir discrètement de la Cour des Miracles. expliqua Sombrespoir en faisant un geste pour inviter Nebisa à s’avancer.
- Je dispose aussi d’une importante bibliothèque même si la majorité de mes ouvrages rares sont restés à Tulbegh… espérons que les nouveaux propriétaires admirent plus la lecture que les autodafés…
La mâchoire de Sombrespoir se serra imaginant ses œuvres uniques dans les flammes.

Le couple descendit un escalier en colimaçon avant que la porte ne se referme laissant l’alcôve vide comme elle l’était au début.
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---fromFRAëlys Ó Domhnaill
Oui... nous aurons bien assez de temps....
Pour sûr... Elle se fera un plaisir à lui expliquer la raison de sa venue. Celle-ci était en effet étrange, a Dublin elle avait le pouvoir. Pourquoi donc le quitter et tout recommencer? Lassitude mêlée de défi et d'envie de voyage. Et quels voyages... découvrir les divers rituels consacré au Mal, au Sang, à Cythraul. Il est son Dieu, le seul qu'elle reconnait et qu'elle vénère, et qu'elle s'est jurée de servir. De toutes les manières que se soit, tout en s'adonnant aux vices condamnés par la Saincte Eglise Aristotélicienne, qu'elle a découverte lorsqu'elle posa le pied en terre françoise. Elle s'était déjà trouvé une passion pour ceux qui répandait une certaine foi en Irlande. En France, cette passion s'était trouvée attisée. Les François étaient de sacrés croyants et la Saincte Eglise était bien implantée... Et les hommes d'Aristote nombreux. Il faudrait qu'elle aille faire le tour des constructions cultuelles afin de s'en faire un ou deux... A cette pensée un sourire sadique se dessina sur son visage d'ange.

Mais plus tard... toujours repousser. Heureusement pour la bonne cause. Et puis elle se rattraperait. Nul doute sur ce point. Saluant d'un dernier signe de tete Sombrespoir et la comtesse, elle se tourna vers Azaz. Regard brulant, enjoleur. Elle mene sa coupe à ses levres, pour en vider le contenu. Puis elle mordille malicieusement le bord du verre. Elle n'attend qu'un geste pour le suivre...
pnj
Les gens affluent…Viennent reviennent devant lui…La salle est comble…La sarrasine lui jette un regard discret…Il le remarque néanmoins…Elle se lève…Il la suit du regard…Une alcôve, une tenture soulevée...

Il la regard encore un instant, puis son regard se détourne…Il doit rencontrer un homme…Oû se cache-t-il jusque là ? il ne l’avait encore pas vue entré, et il commençait à douter de sa venue…Il saurait lui rappeler ce que cela entraîne un tel oublie…

Il décide de faire rapidement le tour de la salle…les gens nombreux doivent certainement dissimuler quelques secrets intéressants…Il était temps d’en rencontrer quelques un…

Il se dirigea vers un groupe…il avait bel allure dans sa large étoffe sombre…Il s’approcha d’une bande de curieuses personnes…

Les rires fusaient, ils n’étaient pas là pour affaires…Donc pas intéressant pour ce qu’il recherchait…Il s’éloigna rapidement…Il fallait être discret…Un homme curieux pouvait rapidement se faire dépiécer en un rien de temps si il était surpris à espionner.

Le Maistre se leva...La jeune femme l'accompagnant...il se dirigea lentement vers la tenture menant aux sous sols...Ils disparurent rapidement derrière la tenture.

Des jeunes femmes passaient devant lui, des éclats de rires…des tintements de verres…Beaucoup de bruit…beaucoup de monde, mais encore rien de ce qu’il attendait…Décidément, le bal ne serait pas le lieu de rencontre qu’il espérait et pourtant il avait pris quelques rendez vous…Avaient-ils eu peur d’entrer et pénétrer sur ce territoire du Maistre ?

Il n’en savait rien…Ses pas l’amenèrent devant l’alcôve qui dissimulait la porte, le Maistre venait d'y descendre, mais les couloirs étaient nombreux et tortueux...Il ne risquerait pas de le déranger…Il souleva la tenture…Jeta un dernier coup d’œil sur l’assemblée…puis disparut.
---fromFRLe furet
Le voilà entré de nouveau dans le domaine…Il espère qu’ils viendront…Le Maistre serait sûrement furieux, si ils venaient à manquer le rendez vous fixé.

Il avait longtemps traîner dans les ruelles, et l’alcool bu tantôt lui montait encore à la tête…Les gardes lui ouvrirent la porte sans même une raillerie…trop occupés par les arrivées incessantes…

Les portes se refermèrent derrière lui…que de monde dans le hall…Ils devaient y en avoir déjà pas mal d’arrivé…

Les gens étaient habillés de toutes les couleurs…Le noir restant néanmoins dominant…On ne pouvait oubliait que l’on était à la cour…Et pourtant on pouvait voir de ces bourgeois richement vêtus…peut être même des nobliaux…

Il ricana à toutes ses bécasses qui avaient certainement du s’affairer pour être présentable pour son bon Maistre…

D’ailleurs le Maistre où était-il ? Neuf avait-il réussi à accueillir toute cette foule ? Il s’interrogeait…

Une dame l’appela d’un geste vague de la main…il s’y dirigea.

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pnj
L’homme souleva la tenture…il était pressé…Il se devait d’être la bas…Il jeta nu regard aux alentours…Le furet…Là ! …il se dirigea précipitamment vers lui…et lui agrippa le bras…

Dis au Maistre que je dois m’absenter pour des raisons urgentes…Je répondrais en cas de besoin dès son premier appel…

il remis nerveusement sa veste en place…Le vêtement sombre pourrait être reconnaissable, mais il savait où trouver ce dont il aurait besoin…Une main passé à sa ceinture, il sentit le bout d’étoffe…Cela devrait suffire…

Il attrapa un verre au passage et le bu d’un trait…Puis il se dirigea vers la porte de sortie…Les masques et les regards curieux le rendent nerveux…Il s’éclipse un instant…mission secrète, plan secret…Rendez vous urgent…La raison en était simple.

Le voilà devant la porte, elle s’ouvre sous la force des gardes, le voilà dans la ruelle…Il sort rapidement du quartier pour disparaître dans la première masure poussiéreuse…

Le voilà disparut dans la pénombre de la pièce.
pnj
Oui ça l'est toujours pensa méchamment L'Ensorcelé...

Il se leva, ses compagnones firent de même, ne prit pas la peine de s'incliner comme son hôte, et répondit d'une voix sèche que l'attente rageuse trahissait très fort :


-Nous vous suivons, pour rencontrer vôtre Maistre, ça fait longtemps que j'attendais ce moment...

Ces derniers mots furent transposés du ton de début de phrase à une ironie sadique, qui laissait entrevoir les pans de leur longue attente, que les Marchombres avaient mal pris, s'imaginant être traités comme des pantins d'embuscades...Mais peu importe, il importait seulement maintenant de suivre cette aimable fiote qui les conduirait jusqu'à la source claire de la conspiration qui règnait en ces lieux.

Le Fondateur replia sa cape de noire brume sur lui-même et attendit de suivre la servante, aussi, il recourba sa tête, se présentant tel un moine à l'office. Mais comme on dit, l'habit ne fait pas le moine, et sous cette apparence se préparait un chaos d'hantise que même le Maistre de ces lieux n'avait idée...Pour une fois, le Marchombre était seul à préparer ses desseins, pleins d'ambition et d'audace...Cette idée lui suffisait à ne pas se faire marcher sur les pieds par les quelques petits coquins de Paris qui discutaient de l'autre côté du rideau...

"Sous l'ombre se dissimule l'ombre,
Vertu au-dessus de la vertu,
J'avance..."
---fromFR[Ghost]
Une femme vêtue d'une étrange façon vint enfin briser la longue attente qui commençait à titiller les nerfs du Marchombre.

Ghost ne s'attarda pas à l'observer ou à se poser des questions sur sa tenue vestimentaire ou sur la façon dont elle les salua.

Il se lèva immédiatement, et se placa derrière L'Ensorcelé, qui, aussi impatient que lui, avait répondu très sèchement à la servante, bien qu'elle ce soit adressée poliment aux trois représentants de la Guilde des Marchombres.

La Griffe ne tarda pas à se lever à son tour, et les trois comparses s'engagèrent dans les couloirs du domaine de Sombrespoir, talonnant la femme qui avançait bien trop lentement au goût du Marchombre à la cape pourpre.

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La colère est une courte folie...

Attend son meurtrier, la fourche a la main, dansant autour d'un brasier...
---fromFRBalmung du Ciel Azur
[Devant une porte et sentinelles]

Des rues... Des rues... Et encore des rues... Il n'y a que ça. Mais en meme temps.. Il ne peut y avoir de paturages ! Nous sommes a Paris, pas en pleine campagne. Cour des Miracles, Mère insolente, abrite mille et une canailles... A l'heure du jour, ils sont tous dispercés, mais aucun ne viendra a trahir. On evite de blesser sa famille... Regle d'or que certains pourraient oublier. Mais s'il faut, d'une main de fer, d'un revers divin, il remmettra les choses en places. Point d'inquietude pour ses bambins, ils se debrouillent foutrement bien. Sa chevelure blanche est toujours la meme... Il ne perd pas encore ses cheveux le bougre ! Son fils doit etre soulagé de ne pas voir calvitie precoce !

Mais pour le moment, le plus important, c'est de passer. Une double porte imposante et derriere l'obstacle qui le gene d'aller plus loin. L'Azur n'est point impressioné. Toutefois, il souligna qu'il faudrait un belier pour l'enfoncer... Va trouver ça ici ! Sauf si une veritable armée debarque, ils n'ont rien a craindre ceux la. Un regard vers les deux sentinelles, il sourit difficilement, faisant apparaitre quelques rides d'usures. Epée dans le fourreau, mains sur le manche, il se sert de l'arme comme si c'etait une canne sur laquelle il s'appuit avec aise.


"Je crois que je fus invité ici un dimanche... Ou serai ce peut etre un vendredi ? Il me semble que c'etait dans l'idée farfelue d'assembler quelques groupes qui se partagent la cour..."

Tout bas, a lui meme.

"Faux espoirs..."

Il reprend convenablement.

"J'ai jeté l'invitation au feu, comprenez qu'il faut bien maintenir le feu en vie ! Bref... Le viellard que je suis demande audience euh... Non non... Me trompe, attendez je recommence. Moi, Balmung du Ciel Azur, demande a ce que vos deux tetes me laisse en rentrer en paix pour aller discuter avec la tete plus haut placé qui doit me recevoir."

Sourire malsaint, celui de sa jeunesse...

"Mon arme ? Cette vieille épée ? C'est canne... Vous n'allez pas enlever la troisieme jambes d'un vieux ? Surtout qu'elle m'est un peu inutile... Que se soit pour marcher ou pour tuer."

Sa meilleure arme reste ses mains...
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---fromFRLa Sarrasine
Quelqu'un faisait du grabuge à l'entrée, et le Furet, indécis, l'avait faite quérir.
Elle avait à nouveau revétu son costume de voyage, pantalon large et sombre, veste de cuir noir et son sempiternel voile sur le visage.
Son sabre battant sa cuisse, elle arriva à la porte et dévisagea longuement l'inconnu, sans rien dire.

Il paraissait d'un certain age. Une aura d'expérience et de force autour de lui laissait penser qu'une épée ne changerait pas grand chose en cas de combat.
Finalement, elle sortit de l'ombre et porta la main à son front pour le saluer.



- Bienvenue Messire.
Vous dites que vous avez été invité, mais ça doit déjà faire quelques semaines. La fête est achevée et le maistre a du repartir vers d'autres horizons.
Je suis la Sarrasine, gardienne de ce lieu en son absence.
Notre portier est parfois trop zélé. Je ne pense pas que votre "canne" puisse poser problèmes.
Entrez et prenez place dans la demeure.
Si je peux faire quelque chose pour vous être agréable , n'hésitez pas.


S'écartant, elle fit signe au Furet que tout allait bien et laissa la place à l'inconnu.
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---fromFRBalmung du Ciel Azur
"Bienvenue Messire."

L'Azur inclina la tête en guise de salut, profitant pour regarder de la tête aux pieds la Sarrasine. Il pensa que son accoutrement devait être plaisant a porter et surtout très pratique pour voyager. Le vieux cependant resta assez interdit sur le voile... D'un oreille, un peu distraite, il écouta les paroles que lui adressa la femme au sujet de la fête. L'Azur s'éclaircit la voix et parla d'un ton assez tendre.

"Et bien... Me voila fort confus, le message a eu un peu de mal a passer et je me reposer. Je n'ai donc pu venir avant. Et donc voste Maistre et partit ? Si ce n'est pas trop indiscret j'aimerai bien savoir ou. Et aussi quand compte t'il revenir ?"

La Sarrasine, gardienne de ce lieu en son absence...

"La Sarrasine... J'essayerai de m'en souvenir."

L'arme ne pose pas de soucis, l'Azur mit sa canne sur son dos, qu'elle ne dérange pas trop pour le moment. Balmung entra par la suite, ça, il ne fallait pas lui dire deux fois ! Il se soucia qu'en même si la Sarrasine suivait. Un regard derrière l'épaule, sa voix grave retentit encore une fois.

"Et bien oui, vous pouvez faire quelque chose pour moi. J'aimerai avoir un petit endroit tranquille ou je pourrai patienter tranquillement et me prélasser. Cela n'est pas trop demandé j'espère..."

Continuant son chemin dans le couloir, L'Azur ne prêta pas trop attention a la décoration mais il ne put rester indifférent a la chaleur du lieu.
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---fromFRLa Sarrasine
Curieusement, l'homme la précédait, préférant sans doute découvrir les lieux par lui même.
Elle avait subi son examen sans broncher, étant habituée à ce que son apparence surprenne, aux premiers abords. Il se retourna cependant après quelques pas :


Citation:
"Et bien oui, vous pouvez faire quelque chose pour moi. J'aimerai avoir un petit endroit tranquille ou je pourrai patienter tranquillement et me prélasser. Cela n'est pas trop demandé j'espère..."


Elle s'inclina souplement et répondit sans hésiter.

- Bien entendu, aucun problème.
Nous disposons de petits salons privés où vous pourrez attendre en paix ou en compagnie, à votre guise.
Suivez moi, je vais vous conduire.

Prenant les devants, elle lui fit traverser la grande salle à présent calme, interpellant une serveuse au passage et le mena vers une alcove fermée par d'épais rideaux de velour rouge.
A l'intérieur, un confortable salon composé de fauteuils et de petites tables basses, à la mode vénissienne.


- Voilà, je pense qu'ici vous serez à votre aise.
Cette jeune personne sera à votre disposition durant la durée de votre séjour parmi nous. Elle accedera à tous vos désirs ou vous procurera ce que vous souhaitez.
Prenez vos aises, je vais faire prévenir le Maistre de votre arrivée. Il ne devrait plus tarder.


S'inclinant une dernière fois, elle recula pour prendre congé de son hôte.
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---fromFREchidnaIX
Voila plusieurs jours qu’Echidna se prélassait dans le Domaine de Sombrespoir, profitant allègrement des nombreux avantages qui lui étaient accordés… Elle avait récupéré ses vieux vêtements maintenant propres et recousus mais elle ne sortait que rarement, préférant le luxe du Domaine aux rues puantes de la cour… Elle n’avait pas l’habitude de se faire servir, mais il lui fallait reconnaître que la présence des serviteurs attentifs à toutes ses requêtes avait un côté tout à fait plaisant et la faim ne la tenaillait jamais…

*Vais bientôt devenir une Dame de la Haute moi*Cette pensée la fit grimacer, elle n’avait jamais supporté les gens riches, tellement imbus de leur personne…

Avachie sur un confortable fauteuil pourpre de la grande salle, elle regarda passer non sans intérêt un vieil homme accompagné par la Sarrasine. Elle suivit des yeux l’étrange couple qui se rendait dans une petite alcôve… Sûrement une personne importante demandant un entretien avec celui qui se faisait appelé Seigneur…

Le regard posé sur les rideaux rouges qui camouflait l’intérieur de l’alcôve, elle vit ressortir Sarrasine assez vite… Le vieil Homme était donc seul… Elle regarda passer la femme voilée puis tourna rapidement son regard vers les épais rideaux d’un air interrogateur… Le visage de l’homme ne lui était pas inconnu… Elle appela d’un signe de main l’un des serviteurs qui lui apporta aussitôt un bâton de réglisse… Elle se mit à le grignoter, le regard toujours tourné vers l’alcôve…

Sombrespoir n’était pas la, peut être pourrait elle se faufiler à travers les rideaux sans être remarquée…
Cette pensée la fit sourire, mais la présence de la Sarrasine toujours l’œil aux aguets ne lui faciliterai pas la tache…

Elle attendit un petit moment que la femme voilée se retire pour s’approcher des rideaux l’air de rien… Jetant un œil discret autour d’elle, elle se faufila rapidement derrière les étoffes et entra dans l’alcôve adressant un sourire satisfait au vieil homme…

"Salut… je m’ennuyai un peu alors… "Elle regarda l’homme d’un air espiègle avant de s’avachir sur l’un des fauteuils lui faisant face…

"Zetes un peu vieu pour traîner à la cour non ? Moi j’connaît des gens qu’auraient vite fait de vous piquer vot’bourse… "Elle rit doucement puis repris…

"Me suis pas présentée… Echidna, pour vous servir… "Après quelques instant elle ajouta "Vous voulez du réglisse ? "Puis lui tendit la sucrerie en souriant…
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